La jolie guerrière n'en peut plus et s'abandonne enfin à l'océan. Il faut dire que la sensation de se noyer n'est pas des plus agréable, entre le feu que cela procure aux poumons et la sensation de suffoquer, il faudrait vraiment être maso pour aimer cela ! Et ma sochiste, la fière guerrière ne semble pas l'être. Lyli est sur le point de la prendre en pitié et d'aller lui donner de l'air mais... voila que la guerrière prends les devant par elle même, presque agressivement. Sur la surprise, la sirène ne peut que se laisser faire, mais si elle ne se débat pas, c'est aussi parce qu'au fond, ce baiser fougueux est plaisant. La créature aquatique joint donc sa langue dans celle de la Sayan, s'enroulant comme un serpent, tournoyant dans tous les sens langoureusement. Avec le manque de concentration, sur le moment, elle ne remarque même pas que la guerrière siphonne son air, Lyli expire du coup une petiite quantité d'oxygène qui soulagera les pauvres poumons en feu de la belle guerrière. Qu'elle ne s'attende pas à totalement remplir sa jauge cependant ! La sirène n'est pas dupe, elle s'en rends compte assez vite et retient son souffle durant le reste du baiser. Résultat, la farouche jeune femme s'en siort avec un peu d'oxygène, juste un peu... de quoi la maintenir en apnée un léger moment supplémentaire.
Sans lui donner plus d'air, la sirène profite un peu du corps de la belle guerrière, Elle a beau être féroce, son corps galbé offre de belles courbes alléchantes, surtout ses cuisses, et sa poitrine. Une poitrine que Lyli saisit pendant le baiser fougueux et forcé, commençant à le lui malaxer. Cependant, aussi agréable que cela puisse être, elle n'a pas oublié l'affront, et romp le baiser, tout en ceinturant férocement la guerrière avec ses deux bras, la serant fort. Un sourire sadique anime ses lèvres.
- Et dire que j'étais sur le point de te prendre en pitié, mais tu n'as rien compris, rien apprit... Ici, c'est moi qui mène la danse, je ne t'ai pas parmis de te jeter sur mes lèvres, et de voler MON oxygène, sans mon autorisation. Dommage pour toi, cet élan d'idiotie risque de te faire mal... trés mal... accroche toi.
Oui, Lyli insiste bien sur le fait que ce soit SON oxygène, une danrée absente ici bas, auquel la guerrière n'as pas le droit. Même le simple fait de respirer appartient à la sirène, qui compte bien lui montrer quel est le prix de la désobéissance.
- Ca tuerait surement une humaine normale, ou ça lui provoquerait de sérieux dégats mais... ton corps à toi est solide, hein ? Tu devrais y survivre...
Si la Sayan ne comprends pas encore, ça va vite venir... Lyli, qui la ceinture, ricanne avant de soudainement se laisser couler de tout son poid vers le fond, et surtout, à toute vitesse. Tout ces mètres qu'elle avait remonté, redescendu en un éclair, grâce à l'aisance et la vitesse de Lyli. Un tel changement de pression, et à tel vitesse... ça ne laisse pas indifférent ! Si la guerrière n'avait pas un corps solide, Lyli ne se serait pas permis de lui infliger un tel supplice. Mais bon, c'est une bataille après tout, et face à un adverssaire résistant, il faut savoir se battre avec ses armes les plus puissantes.
Une fois au fond, Lyli ricanne encore, lui laissant digérer ce choc. en la gardant bien ceinturé contre son corps. Leurs poitrines sont collées l'une à l'autre.
Comme tu ne comprends que la manière forte, je ne serais pas satisfaite tant que tu ne suffoquera pas sous mes yeux... Tant que je ne verrais pas ton corps paniquer, et ta poitrine se soulever sous l'envie de respirer... je continuerait, même si tu me supplie... Aller ma belle, prête pour un second tours ?
Lyli ne lui laisse pas le choix, elle remonte vers la surface, en gardant la guerrière contre elle, ne lâchant pas un seul instant du regards le visage de la Sayan, voulant se délecter de chacune de ses expressions. Une fois à bon port, la créature marine compte cruellement jusqu'à 3, puis... POUF ! encore une fois, cette lourde et rapide descente, ce changement de pression écrasant. Lyli s'emporte un peu, sans s'en rendre compte... même si son clan de sirène guerrière est habitué à se battre, la créaturer marine n'est normalement pas si violente par nature. Cependant, c'est justement son instant de combattante aquatique qui prends le dessus, comme pour lui signaler qu'elle a face à elle un adverssaire puissant qu'il faut à toux prix briser ! C'est d'une importance capitale, car elle est dangereuse...
C'est avec ce sentiment ancré en elle, que Lyli recommence à monter. Un troisième tours ? Pauvre Sayan, Lyli peut déjà sentir la poitrine de la guerrière cogner contre la sienne, se cambrant de plus en plus, se contractant et se soulevant de plus en plus régulièrement. C'est ce qui arrive, lorsque l'ont retient trop longtemps son souffle et qu'on commence à avoir sérieusement envie de respirer. Le diaphragme pousse sur la cage thoracique, dans un instinct de survit, pour essayer de forcer les poumons à inspirer profondément. Un instinct contradictoire, sous l'eau. Comprenant à quel point elle a envie de respirer, Lyli se permet même de narguer la Sayan, en inspirant et expirant avec exagération juste sous ses yeux. Le message est clair : " regarde comme il est facile de respirer pour moi, rergarde tout cet oxygène qui s'envole devant toi. " Mais il est déjà l'heure de la troisième et dernière descente, sans même prévenir cette fois...