The Multiversity

Oh oui, Ai était comme chez elle à présent et Mélinda était sûr de la voir trainée chez elle chaque week-end et surement quelques soirs en semaine mais pas tous les jours, malheureusement. Ayant envie de renouveler le jeu une dernière fois avant de reprendre un peu de force, Yakumo et Kazuho se rapprochèrent, la belle blonde venant retirer sa culotte avant de la lui donner en se rapprochant d'Ai. Oh, cette belle petite culotte noire à dentelle qui se rapprochait, qui se bandait autour de ses yeux! Han, elle aurait aimer la renifler un peu, la caresser avant! Mais tant pis, le tissu lui masquait la vue avec cette petite touche d'humidité... excitant! Elle tourna à nouveau alors qu'elle entendait les volontaires se rameuter autour d'elle. Une fois qu'elle avait repris son équilibre, elle s'avança en souriant, tendant les bras et la première fille qu'elle toucha était plus grande qu'elle vu qu'elle vu que ses mains étaient posées ses épaules. Cette dernière l'amena à elle en se couchant doucement sur le sol, l'invitant à en faire de même. Mais cette fois-ci, elle avait trouvé qui était sa partenaire. Cette peau douce, cette odeur, cette poitrine et cette petite dentelle sous sa poitrine, c'était Kazuho. Ça ne changeait rien au jeu, elle le savait mais son érection était toujours là.

Embrassant la belle, elle glissa ses mains sur son corps de façon à abaisser sa belle culotte blanche et s'insèrera en elle en caressant cette douce peau, c'était si bon! Elle avait beau sentir les regards sur elle, les murmures, elle adorait tout ça! Elle continua de pilonner Kazuho en s'attaquant à sa poitrine avec sa bouche aussi. Ha oui, une belle poitrine comme ça, faut bien s'en occuper aussi. Elle s'attaquait à ses petits tétons dresser, léchant ce petit bout de chair délicieux et ce sein si moelleux! Le plaisir était à son comble et même si Mélinda s'approchait en s'amusant à lui demander à quoi aurait ressemblé son manoir avec Sumika et Aya en plus? Facile!

« Une grande fête haaan! »

Ai reprit de plus belle ses mouvements en cognant son bassin contre le sien, elle n'y allait pas en douceur mais là, elle se sentait bien mieux. Elle se sentait toujours bien quand sa queue était entre les jambes ou les femmes d'une femme. La jeune futa continua encore quelques minutes avant de déverser sa semence en bloquant sa tête entre les seins de Kazuho, ils étaient fabuleux ses deux-là aussi! Un nouveau raz-de-marée de semence blanche coula entre ses jambes pour gonfler son joli ventre jusqu'à déborder sur le tapis. Ai ne la lâchait pas pour autant, même une fois la dernière gouttee tombé. Elle était si bien.

« Ha ha... je t'adore Kazuho-chan... »

Même avec sa culotte sur ses yeux, elle venait l'embrasser avant de se relever doucement. Elle avait besoin de reprendre des forces. Elle observa toutes les autres filles dans la salle en souriante.

« Mais je sens que je vais toutes vous adorer de toute façon! »

Elle aida Kazuho à se relever avant de se tourner doucement vers Mélinda, toujours souriante et avec son membre dressé sauf que cette fois, elle n'avait pas un besoin urgent de se vider, elle pouvait tenir et reprendre des forces. Mais bien entendu, elle avait une nouvelle idée qu'elle s'empressait de soumettre à la petite troupe!

« Dites! Dites! Et si on tirait à la courte paille et que la perdante se place sous la table, les yeux bandés et fait une petite gâterie à la première personne qu'elle croise en dessous? Et elle change entre chaque orgasme! »

En voilà une bonne idée mais que ce soit accepté ou non, elle ne faisait que proposé, elle adorait être ici et quitté cet endroit va être compliqué. De toute façon, elle avait faim pour le moment alors elle voulait mangé, quitte à faire une petite pause en faisant connaissance avec ses charmantes créatures sans forcément d'abord passer par la case sexe. Elle allait rejoindre Mélinda en se plaçant à côté d'elle en prenant son bras, le plaquant entre ses seins, sa main près de sa verge – un pur hasard... surement?

« Han Warren-chan je vous envie vraiment d'avoir des amies pareil... J'aimerais tant être à votre place maintenant! »

La fortune était un détail mais rien que pour son manoir, c'était un vrai petit morceau de paradis.

Allongée contre Kazuho, Ai se faisait plaisir. Une main sur ses beaux cheveux verts, Kazuho la laissait faire, gémissant de plaisir, les joues toutes rouges. Les deux femmes étaient regardées par tout un public de cette femme, y compris par sa Maîtresse, et elle semblait être totalement aux anges... Ce que Mélinda voulait bien comprendre. Elle-même s’amusait essentiellement avec le cul d’Ai, tout en sentant que cette jeune femme risquait de devenir assez rapidement une pensionnaire récurrente du manoir... Peut-être même l’une de ses futures esclaves ? Mélinda ne cherchait pas à l’asservir volontairement, car elle savait qu’Ai était au sein du Futabu Club, et elle ne voulait pas se mettre en porte-à-faux avec le club, mais, d’un autre côté... L’idée d’avoir sous ses ordres tout un club de femmes membrées et inépuisables était on ne peut plus tentante, promettant des orgies sévères à Ashnard, ou dans son manoir. Avec sa petite bouille mignonne, son appétit sexuel débordant, et son fétichisme à toute épreuve, Ai Aihara serait en réalité une excellente prostituée, une femme qui aurait tout à fait sa place dans son harem ! Mélinda se plaisait à y rêver tout en pinçant ses fesses, jusqu’à ce qu’elle finisse par s’abandonner en elle, balançant plusieurs giclées de sperme dans le corps de Kazuho, qui en soupira.

Les deux femmes s’embrassèrent ensuite, un baiser auquel Kazuho répondit avec plaisir, câlinant volontiers le corps de la femme. Ai se retira ensuite, et proposa ensuite une autre idée. En un sens, Mélinda était assez impressionnée. Chez la jeune femme, le sexe avait avoir pour effet de stimuler son imagination débridée, et elle venait de leur proposer quelque chose d’autre : un jeu où la perdante se trouverait sous la table. Mélinda se tapota les lèvres, et un sourire naquit sur ses lèvres, une lueur de désir pervers traversant ses yeux.

« J’ai une autre idée, Ai... Tu vas filer sous la table, et, pendant que nous mangerons, toi, tu lècheras les entrejambes de toutes les filles que tu voudras... Et nous te donnerons à manger pendant ce temps. »

Elle trouvait l’idée amusante, et, de plus, elle permettrait à Ai de satisfaire au mieux ses envies fétichistes. Elle serait comme une espèce de petite chienne furetant sous la grande table de banquet, et l’exercice ne la fatiguerait pas trop. Mélinda, tout en lui disant ça, s’était penchée vers elle, tendant sa main pour caresser l’une des belles joues de la magnifique bouille de la femme. Petite, mais énergique. Comme quoi, il ne fallait pas se fier à la taille. Ai semblait inépuisable, et Mélinda la voyait définitivement bien se transformer en une chienne perverse filant sous la table pour lécher tout ce qui passerait à sa portée.

« Ça te plairait ? Il nous faut environ une heure pour manger, imagine le nombre de culottes, de pieds, de jambes, que tu pourras lécher pendant tout ce temps ! »

Ai pourrait se reposer, dans la mesure où on ne demanderait aucune activité physique à son corps. Pour Mélinda, c’était la meilleure chose à faire, et un autre moyen de continuer à se rapprocher de cette petite, afin d’obtenir sur elle des pistes, et de quoi la faire devenir accroc de Mélinda Warren... Et Mélinda aimait ça, qu’on lui envie. C’était bien ce qu’Ai avait dit, auparavant, en exprimant son souhait d’être à sa place, et, pour la vampire, qui avait eu une enfance difficile, c’était pour elle une consécration. Elle embrassa même Ai sur les lèvres, brièvement.

« Bien sûr, on peut te mettre un bandeau sur les yeux, si tu veux... Néanmoins, il y a une règle à suivre dans ce jeu. Si tu te retrouves sous la table, jusqu’à ce que tu en sortes, il faudra que tu aboies ! »

La vampire aimait bien proposer des activités ludiques à ces filles, et le « jeu de la chienne » en faisait partie. Généralement, celle qui s’y collait était Madison, parce qu’elle aimait qu’on la traite comme une chienne... Mais, pour ce soir, la vampire voyait bien Ai dans ce rôle...

...Si elle était d’accord, bien entendu !

Cette journée serait à marquée d'une pierre blanche dans le calendrier, cette Mélinda Warren apparaissait comme la femme qui allait ouvrir toutes les portes pour Ai. Il n'était pas question d'un simple coup de main, d'un fantasme ou deux de réalisable, avec elle, elle pourrait réaliser tous ses fantasmes, du plus classique à l'irréalisable sans le savoir. Pour la jeune futanari, elle ne connaissait pas encore Terra et ses nombreuses beautés en tous genres. Même la neko, elle croyait juste que c'était un cosplay super bien foutu. Tenant le bras de Mélinda, elle la voyait presque comme la déesse de la luxure ou des fantasmes. Eh bien oui, avoir un harem était un rêve fou qu'Ai avait toujours eu depuis qu'elle a plongé dans le monde de la débauche, alors connaître une personne qui en possède un et accepte de l'y faire rentrer, c'était comme réalisé son rêve. Même si elle avait une petite idée détourné de son jeu, cela ne l'en dérangeait pas plus que ça. Elle-même sous la table, à analysé des culottes par dizaines, à se faire plaisir, elle devait bien rendre la pareille après avoir joui par trois fois dans ce manoir. Même si Mélinda proposait le bandeau et comme règle, d'aboyer, elle était plutôt d'accord, un peu grâce à ce doux baiser plutôt bref.

« Hum... c'est pas mon genre de jouer la soumise mais vu que le jeu a l'air bien marrant, je veux y jouer! »

Sa bonne humeur était toujours présent, sa trique aussi, à se demander s'il ne va pas falloir un somnifère pour la faire dormir et faire en sorte que le sang cesse de passer par cet organe? L'heure de dormir n'était pas encore arrivée mais en voyant enfin Shii dans la salle, elle relâchait le bras de Mélinda pour venir vers elle avec ce grand sourire pour lui sauter au cou en venant l'embrasser.

« Ooooh ma Shii-chan tu sais que je te dois tout à toi? Sans toi, je serais pas ici avec Warren-chan et toutes les autres... »

Elle relâchait son câlin pour baisser ses mains sur son corps, venant vite retrouver leur chemin sous sa jupe, tripotant sa culotte et ses formes sans la moindre gêne.

« J'espère que tu portes encore ma culotte? C'est le cas hein? Cette taille un peu serré pour toi, cette marque que je sens sous mes doigts et le fait que tu mouilles ma petite culotte... Rho, je vais adorer la récupérer je crois! »

Pas tout de suite mais une culotte où elle avait mouillé dedans, où elle avait eu la gaule dedans, où Shii mouillait dedans, elle va être superbe cette petite culotte! Elle venait l'embrasser en continuant à passer ses mains sur les fesses de sa copine, dessus comme sous sa culotte. Bah quoi, c'était la sienne et c'était bandant cette situation! Elle termina le baiser en la regardant dans les yeux avec un petit sourire qui en disait long sur ses pensées.

« Ta gagné le droit de me demander un petit service, Shii-chan. Pour m'avoir fait venir ici, tu auras le droit à la gâterie de ton choix, peu importe la tenue, la situation, je le ferais pour tes beaux yeux. Mais tu n'as le droit qu'à une seule fois... pour le moment. Alors réfléchis bien, moi, je vais demander un truc à Warren-chan. »

Elle lui fit un clin d'oeil avant de retourner voir Mélinda en souriant, toujours aussi excitée qu'une puce apparemment en reprenant la main de la belle bourgeoise. Elle venait même déposer un baiser sur son épaule – vu leur différence de taille, même si ce n'était pas énorme, son épaule était plus proche que ses lèvres.

« Warren-chaaaaan? Je peux faire comme les autres et vous appeler Maîtresse? Ou Warren-sama? Warren-hime? Miss Warren? « Madame » Warren, comme les Français? Enfin, sous le surnom qui vous plait quoi. »

Elle ne tenait plus en place mais qu'est-ce qu'elle adorait être ici. Mélinda n'aura besoin de rien pour qu'elle tombe entre ses mains. Ai est accroc au sexe et Mélinda possède un harem, c'est une équation qui se résout les yeux fermés ça. Il ne restait plus qu'à lui installer le bandeau sur les yeux et à commencer le jeu.

Nul doute que, si Mélinda avait eu la fibre religieuse, Lust lui aurait offert une place de choix dans son culte... Peut-être même aurait-elle béni son harem ou son manoir, en faisant des temples au nom de la Luxure. Ai était ravie, des étoiles pleins les yeux, un fantasme venant se concrétiser... Et même encore plus. Peu à peu, Ai réalisait que le petit monde de Mélinda était dédié à la luxure, et au vice et au sexe, sans aucune réelle restriction. Tout était possible ici, toutes les femmes présentes étaient prêtes à lui faire l’amour, et toutes rivalisaient d’ingéniosité afin d’essayer de stimuler leur imagination sexuelle par le biais de jeux pervers, comme celui du bandeau et de la table. Un rôle dans lequel les filles s’en sortaient plutôt bien, même si Mélinda se demandait si Ai serait à la hauteur de Madison... Qui se complaisait tout à fait dans son rôle de chienne à domicile. Ai Aihara était ravie de porter le bandeau, et, alors que les filles s’apprêtaient enfin à manger, retournant s’asseoir, le regard d’Ai se porta vers Shii... Et elle fila la voir. Mélinda la laissa bien naturellement faire.

Shii fut tractée hors de sa chaise. Elle avait naturellement vu la scène, elle avait vu Ai faire l’amour à plusieurs reprises, et en avait confusément rougi, tout en sentant sa culotte s’humidifier. Sa culotte... Quand elle était rentrée, elle avait envisagé d’en remettre une, et, sans pouvoir se l’expliquer, le fait de porter le sous-vêtement d’une autre personne l’avait doucement, mais sûrement, excité. Peut-être bien que, dans le fond, comme la plupart des Japonais, Shii fantasmait elle aussi sur les culottes. Le fait est qu’elle avait conservé celle d’Ai, et frissonna quand Ai, sans même vouloir attendre une quelconque autorisation, glissa ses mains sous sa jupe pour tirer sur son sous-vêtement, faisant soupirer et gémir la belle lycéenne.

« Haaa... ! »

Clara lui avait gentiment fait remarquer il y a une heure qu’elle avait le feu au cul... Ce qui était typiquement la manière qu’avait Clara pour s’exprimer. L’éternelle amie de Shii était une lycéenne aux cheveux roses qui, assise à côté de Shii, regardait la scène avec un léger sourire. Elle s’attendait presque à ce que Shii se fasse prendre contre le rebord de la table, mais Ai était juste venue lui faire une proposition... Elle ferait tout ce que la lycéenne voudrait, mais seulement une seule fois. Shii en fut toute rouge de confusion, et n’eut pas le temps de répondre quoi que ce soit que l’énergique invitée retourna voir leur Maîtresse.

Surprise, perturbée, la lycéenne se retourna vers Clara, qui lui sourit.

« Toi, on dirait que tu as une touche... »

Elle déglutit poliment, peinant à répondre... Car elle ressentait toujours une certaine chaleur entre ses cuisses.

Ai, de son côté, retourna donc voir Mélinda, et lui fit une proposition qui fit sourire cette dernière : savoir comment l’appeler. Théoriquement, Ai n’avait pas à user d’un quelconque qualificatif, car elle n’était pas son esclave... Cependant, plus le temps passait, et plus Mélinda se disait qu’Ai aurait adoré être son esclave. Le manoir pouvait lui offrir absolument tout ce qu’elle voulait, et c’était une grande perverse. Avec Mélinda, elle connaîtrait un avenir radieux, et conforme à ce qu’elle désirait : du sexe à longueur de journée.

Mélinda tendit sa main, et caressa la joue de la femme.

« Si tu veux m’appeler ‘‘Maîtresse’’, tu le peux, mais il faudra me vouvoyer... Et jouer le jeu jusqu’au bout, tant que tu seras à mon manoir. »

Les règles de Mélinda ne s’appliquaient pas pour les invitées, mais, si Ai voulait un traitement spécial, la vampire était tout à fait disposée à le lui donner. Elle l’embrassa sur les lèvres en attrapant son menton, le serrant entre ses doigts, et partagea avec elle un tendre et vertueux baiser.

« Allez, passons aux choses sérieuses... »

Mélinda ordonna à Ai de fermer les yeux, puis, suivant le rituel, une petite douzaine de filles l’entoura... L’une d’entre elles retira sa culotte, et alla la mettre sur les yeux d’Ai.

« Si tu arrives à trouver à qui appartient cette culotte, Ai, tu auras droit à un vœu... »

Un jeu avec un enjeu était toujours plus intéressant, non ? L’une des esclaves de Mélinda embrassa rapidement Ai, et une main claqua sur les fesses de cette dernière. Les filles se mirent à glousser, tout en la motivant :

« Allez, petite chienne, en piste ! »

Elle était toute folle ici! Elle allait vraiment regretter l'heure de son départ mais elle préférait éviter de penser à cela et plutôt à se concentrer sur tout le reste ici. Mélinda était d'accord pour avoir son nom de Maîtresse par la bouche d'Ai même si cela devait vouloir dire se soumettre. C'est vrai que ce n'est pas son genre mais avec une femme qui va lui faire visiter un harem, elle veut bien faire un ou deux sacrifices. Partageant volontiers ce baiser, elle restait aussi en forme et souriante que d'habitude alors que le jeu allait débuter, certaines des filles se levaient alors qu'elle devait fermer les yeux. Elle sentait leur présence autour d'elle alors qu'une culotte allait à nouveau lui servir de bandeau et si elle découvre à qui elle appartient, elle a le droit à un vœu? Oh mais c'est Noël avant l'heure alors! Recevant un rapide baiser et une petite fessé, l'heure de s'amuser avait sonné!

« Ouais!!! Je veux dire, Wouf! »

On la guida à table en comprenant pourquoi la plupart des filles s'étaient levé, pour choisir des places différentes et donc faire en sorte que leur nouvelle copine ne fonce pas vers une cible précise. On la guida sous la table et une fois chacune installé, elle ne savait plus ou donné de la tête, elle entendait des voix même si la plupart étaient inconnues pour elle, certaines lui faisait du pied pour l'inciter à être choisi mais que faire, Ai voulait jouer, elle allait jouer. Elle allait dans le sens opposé à Mélinda, elle savait sa Maîtresse en bout de table, comme n'importe quel chef de maison mais elle se la réservait pour une autre fois, quoiqu'elle allait peut-être changer de place pour jouer. Arrivant vers un coin plus calme où moins de pieds venaient se frotter à elle, elle approcha sa main d'une jambe douce au toucher, pas pantalon ici? Pas de collant non plus? Elle toucha le bord de la chaise pour être sûre de ne pas foncer entre deux filles et en caressant ses douces cuisses, elle rapprocha son visage entre les jambes, reniflant ce coin délicieux comme une petite chienne alors qu'elle plongea tête baisser entre ses jambes. Ha? Il y avait là une jupe surement mais pas de culotte? Est-ce Ai qui la portait sur les yeux ou c'était normal pour cette fille? En tout cas, elle ne tardait pas à se faire plaisir, ça fait longtemps qu'elle n'a pas bouffé de la chatte!

Sa bouche ouverte, elle fonçait à l'assaut de ses délicieuses lèvres intimes, Ai semblait très voraces, c'est le moins que l'on puisse dire, venant embrasser et lécher cette partie si délicieuse en prenant appui sur ses cuisses. Elle se cognait presque sur la table mais qu'importe! Sa langue venait de loger entre ses lèvres intimes, venant sucer ce délicieux petit bonbon juste au-dessus. Elle avait une trique d'enfer et heureusement qu'on ne la masturbait pas avec le pied sinon Mélinda allait devoir investir dans de nouveaux tapis à force ou payer un peu mieux celles qui font le ménage ici car Ai va leur donner du travail si ça continue comme ça.

« Mhhhh! Rrhhhhmmmm! »

Au moins, il y en avait une qui était contente de jouer les chiennes à table pour avoir de quoi se remplir un peu l'estomac. Allez savoir si elle ne préfère pas simplement mendier et se faire remarquer plutôt que manger? En fait, elle doit bien manger quand même. Remuant sa tête rapidement entre ses délicieuses jambes, elle semblait s'amuser autant qu'elle semblait douer car bien vite, elle fut arrosée par une délicieuse. Se léchant les babines une fois fini, elle venait lécher ses petites lèvres doucement en réclamant sa petite récompense aussi.

« Wouf! Wouf! »

Ensuite, à qui le tour? Surtout qu'elle aura des surprises, il n'y avait pas que des filles à cette table... il y avait des futas et surement des shemale, sans compter neko et autres créatures déguisées en humaines, ça lui fera de nouvelles saveurs.

Ai allait donc avoir droit d’être la chienne de service. Une position humiliante, en théorie, mais qui était généralement très excitante pour les filles désignées à le faire. Les petites timides étaient toujours partagées entre la peur de le faire, et le désir de se retrouver ainsi à pouvoir lécher des culottes et des sexes. Ce petit jeu était une véritable réussite, à la fois simple à comprendre et parfait pour rapprocher entre elles les différentes filles de Mélinda. Parfois, le choix tombait sur les hommes du manoir, une bonne manière de stimuler leur soumission sexuelle vis+-à-vis de toutes ces filles entreprenantes et perverses. Mélinda s’assit donc au bout de la table, se demandant où Ai Aihara irait, et les discussions commencèrent à fuser dans tous les sens, les filles faisant comme si de rien n’était. Elles parlaient de leurs cours, de films, de sorties cinéma, de maquillages, de vêtements... Avec le temps, elles apprenaient à manipuler perversion et normalité au sein du manoir de leur Maîtresse. C’était impossible à comprendre pour ceux et celles ne travaillant pas sous son autorité. Mélinda était toujours partie du principe que la soumission était quelque chose d’intuitivement innée à l’espèce humaine, et que les personnes soumises n’étaient que plus heureuses de savoir que quelqu’un d’autre veillerait sur elles, et les commanderait. Shii ou Clara en étaient de bons exemples.

Son invitée se déplaçait sous la table, la nourriture arrivait, et la vampire se demandait ce qu’elle allait bien pouvoir faire d’elle. En faire une esclave ? C’était tentant, et ce d’autant plus qu’elle se disait qu’Ai n’aurait aucune difficulté à devenir l’une de ses pensionnaires, comme bien d’autres des lycéennes venant au manoir, préférant séjourner ici plutôt que dans les petits dortoirs de Jinmu. Certaines des prostituées de Mélinda connaissaient plutôt bien les dortoirs de Jinmu, leur spécialité étant de s’y rendre la nuit pour coucher avec des femmes.

La vampire se demandait quelle serait la première élue à goûter à la langue d’Ai, quand elle le vit. C’était une jeune timide, Miru, qui portait rarement de culottes, généralement parce que ses copines lui empêchaient de les prendre si Miru n’acceptait pas certains jeux. Elle portait généralement une tenue de maid sexy, qu’elle avait ici troqué pour des vêtements plus normaux. Miru se mit à rougir comme une tomate quand Ai lécha ses cuisses, et les filles à côté d’elle se mirent à glousser en la désignant.

« Hunnn...
- Hey ! Ça va pas, Miru ?
- Mange un peu plus ! »

Miru, qui savait que ses amies allaient encore jouer avec elle si elle n’arrivait pas à se calmer, soupira, et tenta d’attraper sa fourchette pour découper son steak... Mais elle n’y arrivait pas, et l’une de ses amies le prit dans la main, un sourire malicieux sur les lèvres.

« Allez, gros bébé, ouvre bien la bouche ! »

Miru rougissait follement, et obtempéra, en fermant les yeux. Ses amies la faisaient manger, jusqu’à ce que Miru finisse par avoir un orgasme, balançant sa mouille dans la bouche d’Ai. Bien qu’elle soit éloignée, Mélinda n’en perdait pas une miette... Car il fallait bien admettre que ce spectacle était très excitant à voir.

Et ce n’était que le début...

Jouant très bien le rôle de chienne, Ai se faufilait entre les jambes de cette petite maid – sans le savoir – pour mieux la lécher et lui bouffer le minou. Sa mouille au visage en guise de récompense, elle continuait de pousser sous la table, tentant de sortir sa tête de sous la table pour avoir un vrai petit quelque chose à manger quand même. Une fois que ce fut chose faire, elle tourna à nouveau sur elle-même, se dirigeant à nouveau vers le bout-de-table où se trouvait Mélinda. Sauf que ça n'allait pas être elle qui sera choisi par sa bouche. Qui est-ce donc? C'est toujours une question qu'elle risque de se poser lors de ce jeu puisqu'elle ne connaissait pas assez bien ses nouvelles camarades pour le deviner en quelques coups de langue. À moins de s'annoncer, elle ne pouvait pas deviner. Parlant de devinette, elle ne savait toujours pas quelle était la culotte sur sa tête? Ce n'était pas celle de Shii, elle avait quand même reconnu le tissu, c'était quelque chose de plus haut de gamme mais après, à qui est-ce, quel est le modèle? C'est une autre histoire. Cherchant la prochaine victime de sa bouche, elle passait à côté d'un morceau de viande tendu sur une fourchette, cela avait frôler sa joue mais elle avait volontiers pris ce petit morceau avant de suivre son instinct pour suivre cette généreuse donatrice.

Ce n'était pas un sexe mais un doigt qu'elle commençait à sucer doucement. Fétichiste de la main? Trop timide pour se laisser lécher à table? Non, surement pas ça mais quoi alors? Oh, ce n'était pas le moment de se poser des questions, Ai se mettait au boulot. Un piège pour l'appâter? C'était en réalité le cas mais était-ce un piège quand la victime était toute contente? Car quand le doigt se retirait doucement, elle faisait tout pour le garder mais rapidement, elle se heurtait à quelque chose de plus grand et gros. Une futa ou une shemale? En tout cas une fille membrée! Ça comptait quand même. La petite chienne se mit en action, venant prendre le barreau de chair dans sa bouche pour commencer une douce fellation mais la même main qui l'avait nourri et aguicher venait se mettre derrière sa tête pour mieux l'enfoncer sur son membre. Être aussi soumise, ça ne lui ressemblait pas vraiment. Apparemment, celle-là tenait à avoir une gorge profonde, AI était bien sur capable de la lui faire et même si cette situation de force ne lui plaisait pas, elle jouait le jeu mais c'était à charge de revanche!

Subissant les vas et viens forcé de cette main, forcé d'avaler cette queue, la laissant gémir comme elle pouvait, la jeune futa ne pouvait quand même pas dire qu'elle détestait cela, il y avait un côté très délicieux à cela mais elle préférait inverser les rôles, c'est sûr. L'orgasme de cette femme approchait quand elle cessait de remuer mais que sa bouche était de plus en plus plaquée contre elle. Le jet de crème blanche tombait directement dans sa gorge, déversant sa semence jusqu'à ce que tout soit écoulé, laissant Ai toussé un peu en reprenant son souffle avant qu'elle ne vienne nettoyer son travail avant de recevoir son petit morceau de viande. Ce jeu était à la fois humiliant mais il y avait vraiment un côté amusant à tout ça. Commençant à chercher une nouvelle proie, elle avait légèrement sursauté en sentant quelque chose la caresser. Pas une main ou un pied mais de plus doux et poilue? Mélinda avait peut-être un chat ou un chien? Bah quoi, elle peut aimer le sexe et les animaux de façon séparer... ou pas? Ce qui l'étonna c'est que cette queue continuait de se frotter contre elle? Un chat qui pensait avoir une nouvelle copine de jeu, une nouvelle adversaire dans le jeu du mendier à table? Elle suivait cette queue pour vouloir lui donner une caresse et reprendre son jeu mais cette queue la conduisait entre deux jambes? Ha? Il avait le droit d'être sur les genoux de quelqu'un? Passant sa main le long de la queue en la frôlant, elle toucha l'entrejambe d'une fille qui portait une culotte? Elle n'était quand même pas assise sur le chat? Pourtant ça avait l'air d'être le cas?

Ha non, il devait se trouver derrière elle... mais du coup, il fait quelle taille ce chat? C'est un tigre, un lion? Ce ne serait pas très étonnant de voir ça. Enfin, maintenant qu'elle avait une nouvelle proie, autant ce mettre au travail même si d'abord, experte oblige, elle découvrait cette culotte avec sa bouche, son nez, ça semblait être quelque chose de relativement banal? Banal ne veut pas forcément dire nul, c'est même parfois le contraire, la culotte la plus simple du monde peut être la plus terrifiante des armes entre les jambes d'une femme. Culotte ou non, si on l'avait attiré à elle, elle allait faire son travail, à travers sa petite culotte tiens, ce ne sera que plus drôle.

Ai était plutôt bien traitée ici. Les filles pensaient à la nourrir, trouvant ça amusants. Elles plantaient leurs fourchettes dans des bouts de viande ou de pommes de terres à la crème, et les tendaient vers Ai, trop pudiques pour les prendre entre leurs doigts. Certaines se contentaient juste de caresser du bout du pied le corps d’Ai, et d’autres allaient jusqu’à lui donner un verre d’eau, utilisant alors les deux mains pour agir, l’une tenant le verre, l’autre la tête de la chienne. Ai était effectivement vue, en ce moment, comme une vraie chienne, et certaines n’hésitaient pas, en la sentant passer, à taper ses belles fesses avec leurs pieds. Après avoir fait jouir Miru, Ai se rapprocha d’une autre femme, beaucoup plus autoritaire que Miru.

Répondant au doux nom de Notty, la jeune Futanari était une amatrice de cuir et de latex, qui, ce soir, portait une habituelle tenue rouge en cuir recouvrant presque intégralement son corps, s’arrêtant à hauteur de sa poitrine. Notty était une femme dangereuse, une ancienne lycéenne qui, depuis le collège, opprimait une jeune femme, une gaijin se trouvant juste à côté d’elle, Nyce. Elles formaient un magnifique couple, une sorte de variante du couple Clara/Shii. Notty et Nyce étaient toutes les deux très intelligentes, mais Notty avait toujours eu l’ascendant psychologique sur Nyce. Elles avaient rejoint le harem de Mélinda par le biais de Notty, et Nyce était fréquemment battue et humiliée par elle. Ce fut donc Notty qui attrapa la tête d’Ai, et enfonça sa queue dans sa bouche, soupirant de plaisir, tournant parfois la tête pour sourire à Nyce, qui se trouvait juste à côté d’elle, en se tortillant sur place. Tout en mangeant, Mélinda assistait à tout cela, de loin, avec le sourire sur les lèvres. Ai s’intégrait plutôt bien, et Notty remuait légèrement sur place, tout en tenant fermement la tête d’Ai. Ses jambes étaient bien écartées, afin d’accueillir comme il se doit la tête de la chienne, et elle les rabattait parfois, afin d’écraser les joues d’Ai Aihara, continuant jusqu’à balancer sa crème en elle, avant de la relâcher.

*En voilà une qui sait se faire plaisir, au moins...*

Mélinda était sincèrement ravie de voir Ai s’intégrer aussi bien. Elle aurait pu craindre un esprit de communautarisation avec ses petites chéries, mais elles étaient toujours aussi ouvertes que ça pour accueillir de nouvelles têtes. Ai continua à se déplacer, et le repas, lui, se poursuivait. Les filles continuaient à parler et à manger, et Ai, en se déplaçant, finit par tomber sur l’une des nekos de Mélinda, Linda. Linda était une petite neko assez mignonne, mais avec un tempérament de feu, excessif et emporté. Elle avait un fort côté lesbien, qui avait tendance à s’exprimer assez fréquemment.

Ai s’attaqua donc à elle, ce que Mélinda remarqua en voyant Linda se mettre à rougir en redressant d’un coup la tête. Ai aventura ses lèvres sur le bassin de Linda, faisant rougir ce dernier. Quelques ronronnements s’échappèrent de son corps, la faisant rougir encore plus. Mélinda, elle, continuait à sourire. Le repas se passait très bien, ponctué par quelques orgasmes discrets, mais non moins présents.

*Parfait...*

Tout ceci amenait Mélinda à se demander si elle ne devait pas inviter le reste du Futabu Club ici, de temps en temps... Ce serait une bonne idée à proposer à Ai, ça... Ce qu’elle ferait très probablement plus tard.

C'était un jeu vraiment drôle, Ai ne pouvait pas se plaindre, elle s'amusait comme une petite folle! Quoique si, la seule remarque qu'elle pouvait encore faire, c'était de rester inactive, elle aimait ce jeu mais si on aurait pu lui proposer un bon morceau entre chaque fellation ou tous les deux ou trois chaises, ça aurait été parfait. C'est vrai que ça l'excitait tout ça mais elle avait une gaule pas possible et personne pour l'aider à se soulager. C'est comme regarder un porno sans se toucher. À quoi ça sert si on ne fait rien? On peut pas dire que les scénarios soient géniaux, c'est à peine si ça part d'un problème banal pour qu'à la première possibilité ou problème, la réponse soit aussi simple que « bah tu me suces »! Enfin bref, Ai était toute contente sous la table jouant à ce jeu si drôle et fort appétissant. Elle avait été voir un grand nombre de femmes et futa en cours de route même si elle trouvait quand même qu'il y en a beaucoup, adepte en cosplay? Chacun ses fantasmes cela dit, c'était une chose qu'Ai acceptait. Grande fétichiste des dessous, elle respecte le choix et les goûts des autres, tant que cela n'est pas étrange... Comme coucher avec un mort, personnellement, jamais elle n'a eu ce genre d'envie, ni même n'a croisé de personne voulant cela.

Quand elle entendit parler de dessert, elle aussi se décida à terminer en beauté en allant en bout de table, frottant sa tête sur les douces jambes de Mélinda quelques instants, pour lui laisser savourer ce qu'elle allait vivre. Puis en approchant sa bouche entre ses jambes, rapidement elle arrivait à découvrir ce membre qui lui faisait tant envie depuis le début! Bah quoi? Elle peut être dominante et quand même avoir envie de sentir la sienne en elle. La jeune futa se faisait plaisir en la suçant doucement mais quand même avec une certaine envie! Et pour cette femme merveilleuse qui allait réaliser un grand nombre de ses fantasmes, une très grande partie même, elle lui réservait une petite surprise en lui faisant une petite gorge profonde. Elle n'y était pas tellement habituée alors elle y allait doucement mais cela devait être aussi bon pour Mélinda que pour elle? Y aller avec une certaine lenteur, une certaine douceur, ça devait être plutôt bon? Elle ne lâchait pas le morceau avec Mélinda, même si elle la suçait le plus souvent normalement, elle avait encore du chemin a faire avant d'être une pro en gorge profonde.

Quand elle eut droit à son dessert crémeux, elle attendit sa récompense de la part de Mélinda avant de poser sa tête sur ses cuisses, comme une chienne bien docile. Elle avait assez jouer à ce jeu ce soir, puis c'était la fin du repas après tout. Il suffisait de voir son visage couvert de mouille et de sperme, en voilà une qui avait profité de ce petit jeu. Sauf qu'elle ne demandait pas à stopper le jeu, juste se reposer sur les cuisses de Mélinda en attendant officiellement la fin de ce jeu. Elle était une chienne, ce serait difficile de dire « ça y est on a fini? » avec seulement des wouf et des wouaf. Même sans sexe, quelques caresses, ça faisait aussi du bien.

Ai se fit plaisir durant tout le repas, et Mélinda, vers la fin de ce dernier, estima que la pauvre devait avoir une trique de tous les diables. Fort heureusement, la vampire n’était pas cruelle, et, au fur et à mesure que le repas se prolongeait, elle écrivit un petit mot, et le transmit vers Shii. La jeune femme était poliment en train de manger, triturant son assiette avec ses baguettes, enfournant son bol de rāmen sans rien dire. Elle avait les joues rougies, choquée et excitée parce qu’elle avait vu. Même en étant depuis aussi longtemps au sein du manoir de sa Maîtresse, il lui était toujours difficile de se faire à ce sexe omniprésent et perpétuel. Le mot finit par arriver, elle sursauta, et le déplia. Elle reconnut rapidement l’écriture soignée et appliquée de sa Maîtresse, et rougit encore plus en en lisant le contenu. Sa tête se redressa vers sa Maîtresse, qui se contenta d’un sourire affirmatif et d’une lueur espiègle. Shii rougit encore plus, et baissa la tête, serrant les cuisses. Ai, de son côté, continuait à tourner, faisant sursauter nekos et simples humaines par sa langue et par ses mains, venant se frotter contre elles.

Le repas se termina par le dessert, un ensemble de pâtisseries, tandis que les esclaves affectés aux cuisines débarrassèrent. Même les cuisines étaient un étalage permanent de sexe. Il était fréquent que les cuisinières soient prises par l’arrière, que les servantes doivent sucer des queues, et coucher ensemble. Parfois, certaines sauces arrivaient ainsi avec un goût très particulier. Pour autant, la cuisine restait propre, car elle était entretenue, et nettoyée quotidiennement de fond en comble. Mélinda ne voulait pas non plus que ses protégées tombent malades. Les pâtisseries arrivèrent donc, et on servit à Mélinda un morceau de gâteau. Alors qu’elle allait l’entamer, elle sentit une petite tête venir se frotter à ses jambes, et écarta machinalement ces dernières, tout en mordant dans sa fourchette, avalant un bout de gâteau. Ai se mit alors à lécher activement son intimité, et Mélinda soupira, gémissant. Indéniablement, cette fille était douée avec sa langue, et sa verge se mit à jaillir des tréfonds de son corps, tapant contre le nez d’Ai en sortant, faisant reculer sa petite tête.

La lycéenne alla ensuite la prendre en bouche, et tenta d’offrir une sorte de bouquet final pour ce dîner, en remuant contre le membre de la vampire, sa bouche partant à l’assaut de ce dernier.

« Hummm... !! »

Une gorge profonde. Ai enfonça ce membre aussi loin qu’elle le pouvait, et la vampire remua un peu son basin, de gauche à droite. Il était usuel, chez les chiennes, de finir par le morceau du Roi... Ou de la Reine, en l’occurrence. La vampire se pinça les lèvres, continuant à manger, clignotant des yeux. Sa verge tapait contre la gorge de la petite lycéenne, et elle sentait, contre sa jambe, le corps d’Ai venir se trémousser d’avant en arrière. Sa belle queue pulsait dans la bouche de la femme, et, au bout d’un moment, cette dernière finit par jouir. Il ne lui fallut que quelques minutes pour se lâcher, et un jet crémeux fila dans la bouche d’Ai, aspergeant sa gorge, son foutre glissant sur sa langue. Mélinda bascula ensuite sa tête en arrière, se sentant bien, sereine, comme à chaque fois qu’elle venait de se lâcher.

La tête d’Ai resta posée contre ses cuisses, et Mélinda aventura sa main pour la caresser, ses doigts glissant le long de ses mèches de cheveux. Elle les caressait et les empoignait tendrement, frottant sa tête comme une petite chienne venant réclamer l’attention de sa Maîtresse. Mélinda fut si gentille qu’elle récupéra un morceau de gâteau, le planta au bout de sa fourchette, et le tendit vers la bouche d’Ai, la laissant le manger. Le sexe d’Ai était dur, plein à craquer. Mélinda pouvait le sentir titiller ses doigts de pied, et elle se disait que la pauvre avait envie de se soulager. Un scénario classique : quand les chiennes humaines terminaient le repas, elles espéraient toujours se faire prendre, ce qui, généralement, se faisait en levrette.

Le repas se termina, et la vampire se pencha sous la table.

« Tu peux sortir de la table, Ai... Je crois que tu as bien mérité ton cadeau... Suis-moi, ma puce. »

Mélinda la laissa se relever, et vit que sa queue était toute tendue, bien droite, bien raide. Une belle érection. Elle résista à l’envie de la masturber, et s’avança devant elle, rejoignant une chambre à proximité.

« Vas-y, rentre... »

À l’intérieur, il y avait un beau lit deux places, et une femme se trouvait au centre. Ses joues étaient rougies, et des bougies étaient allumées dans un coin. Shii était là... Elle était allongée sur le lit, et regarda Ai en rougissant, tout en portant une swimsuit bleue une pièce, tenue aussi excitante à voir de face ou de dos, moulant à la perfection son corps. Shii était légèrement trempée, et se mordilla les lèvres, en glissant un doigt le long de sa couette.

« Je... Je suis à toi, Ai... »

N’était-ce pas un beau cadeau ?

Le jeu de la chienne avait été très plaisant mais aussi très époruvant. Toutes ses femmes à satisfaire avaient été un vrai bonheur mais ne pas pouvoir jouir un supplice! Bien des fois elle aurait eut envie d'un pied charitable pour la masturber, son sexe coincé entre deux orteils même, pas besoin des deux pieds mais rien n'était venue. Heureusement aussi, celles qui s'occupaient du ménage n'avait pas besoin de passer la serpillière comme ça. Car autant de litre de sperme à évacuer, ce n'aurait pas été simple à nettoyer! Mais comme le jeu était terminé, elle se relevait avec ce goût sucré et appétissant en bouche en suivant Mélinda sans même vraiment se tourner vers les autres. Elle était encore une fois passé à côté des nekos et compagnies. Mais en arrivant dans la chambre éclairée à la bougie en installant une ambiance romantique, elle fut bloquée sur place en voyant Shii en maillot de bain sur le lit, le corps apparemment trempé, comme si elle venait de se nettoyer avec une serviette après avoir pris sa douche comme ça. Pour sûr, c'était un beau cadeau mais ça n'empêchait pas Ai de se plaindre et ce, pour une très bonne raison! Se retournant vers Mélinda, la petite futa fronçait ses sourcils, ce qui était étonnant en un sens mais pas tant que ça quand elle donnait son explication.

« Ha non Maîtresse! Ce n'est pas juste, je me retiens depuis une heure sous la table, je suis le point d'exploser et vous m'offrez Shii-chan dans cette tenue? Elle va a peine poser ses mains sur moi que je vais jouir sans pouvoir me retenir! Mais regardez là! Elle est trop bandante comme ça! L'(humidité ne fait d'épouser ses formes, voyez les petites bosses sur sa poitrine, ce petit creux entre les cuisses, ses cheveux... humides... cette pose... »

Mine de rien, elle tombait quand même sous son charme, elle acceptait bien évidemment le cadeau mais il va être difficile de lui demander de se retenir face à tant de charme après s'être retenue. Elle en délaissait Mélinda, sans attendre la moindre réponse, avançant comme un zombi vers Shii, elle était attirée par cette dernière. Grimpant sur le lit, elle s'avançait à quatre pattes vers elle, sa bouche frôlait la sienne, leur nez en faisant de même.

« Ne me caresse pas trop Shii-chan, sinon je risque de trop vite me relâcher... et ce serait dommage de t'arroser déjà. »

Une si belle tenue déjà couverte de sperme alors qu'elles n'auraient même pas commencé à jouer, ce serait comme jeter une œuvre d'art en sucre dans l'eau, ça se dissoudrait bien vite et donc adieux le cadeau! L'exemple était un peu con mais vrai quand même. Il restait quand même plein de façon de s'amuser, de la libérer de ce poids avant de jouer ensemble, Ai pourrait se masturber en regardant Shii la chauffer, elle pourrait se mettre sur ses cuisses et se laisser masturber par cette dernière, elle pourrait simplement la sucer mais ça, elle y avait déjà eu le droit un peu plus tôt en quittant les cours. Ou même autre chose si Shii était imaginatif mais pour le moment, elle savourait son cadeau en l'embrassant doucement, dans cette ambiance romantique. Ai n'était pas amoureuse de Shii, elle la trouvait mignonne et bandante, évidemment mais Ai était encore trop jeune pour penser à avoir une petite amie, elle voulait simplement s'amuser, voilà tout. Mais bon, elle aimait vraiment sa présence pour le moment, elle avait besoin de se soulager et elle présentait qu'elle allait le faire comme une pro!

« Tu es diablement sexy dans cette tenue tu sais? J'aurais tant envie de la frotter entre tes jambes, forcer l'entrée comme si je pourrais la trouer mais... non, pas tout de suite, on à tant a faire. »

Sachant que Shii avait encore sa carte joker en main, elle pouvait demander une chose à la jeune futa qu'elle lui ferait obligatoirement comme elle lui avait dit. Sauf que bon, elle pouvait utiliser ça plus tard.

Aussi timide et pudique que Shii soit, elle ne pouvait pas aller contre un ordre exprès de Mélinda. La vampire lui avait dit d’aller enfiler cette swimsuit, et de prendre une petite douche, en évitant de trop se nettoyer. La lycéenne, qui était suffisamment intelligente pour savoir ce que cela signifiait, avait néanmoins obtempéré, incapable de s’opposer très longtemps à un ordre venant de sa Maîtresse. Dès qu’elle était rentrée dans la douche, Shii savait qu’elle serait offerte à Ai comme un vulgaire bout de viande... C’était humiliant, particulièrement offensant, mais aussi terriblement excitant. Elle était là, offerte à Shii, dans une tenue qui moulait ses formes, en devant jouer l’allumeuse... Ce qu’elle était totalement incapable de faire. Paradoxalement, les scènes clichés qu’elle faisait ne contribuaient qu’à exciter davantage Mélinda, qui restait en retrait. Elle avait souri en entendant la réplique d’Ai, reprochant à son cadeau d’être trop... Réussi.

« Je ne fais pas les choses à moitié, Ai... Tu es une invitée exceptionnelle, qui mérite donc... »

La vampire se tut en réalisant qu’Ai ne l’écoutait pas, et que, comme une automate, elle venait de se rapprocher de Shii. Soupirant silencieusement, Mélinda croisa les bras, et laissa donc Ai agir, en l’observant. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, son regard niché sur celui de Shii, donnant à la jeune Japonaise l’impression d’être face à une prédatrice sexuelle en manque. Elle gémit, couinant silencieusement en sentant la verge de la femme glisser le long de ses cuisses, frottant sa peau nue, avant de caresser sa combinaison. Elle se mordilla les lèvres en voyant la petite tête innocente d’Ai s’approcher de la sienne. Leurs visages se heurtèrent, et la bouche de Shii vint à s’entrouvrir, accueillant celle d’Ai.

L’une de ses mains se détendit, et agrippa la nuque d’Ai, empoignant ses cheveux, et elle ferma les yeux, répondant timidement à son baiser, soupirant en sentant la pointe heurter son corps. Ai était en manque, ce que Shii pouvait comprendre. En effet, elle avait bien saisi que cette femme était une perverse, une coquine, dans tout ce que cette notion impliquait. Une perverse en manque, qui avait passé plus d’une heure à lécher des minous, et qui devait donc être sacrément en manque. La lycéenne ne savait pas ce qui dominait dans son corps : l’excitation, ou la peur. En tout cas, le fait que sa Maîtresse reste ici signifiait clairement qu’elle n’allait pas pouvoir faire n’importe quoi, et qu’elle allait devoir se montrer digne du choix de Mélinda. Autrement dit, une lourde responsabilité pesait sur ses épaules, car elle estimait être totalement nulle en matière de relations sexuelles.

Ai en profita alors pour lui dire ce qu’elle comptait lui faire... Ce qui, naturellement, amena Shii à rougir encore plus. Forcer le passage, et la pénétrer... Elle pouvait tout à fait le faire, la tenue étant prévue pour, et, de fait, c’était aussi ce que Shii envisageait... Mais, visiblement, Ai avait d’autres objectifs, d’autres envies. Shii ne savait pas quoi en penser. Ses joues cramoisies témoignaient de son état de nervosité extrême, de sa gêne, et elle se mordilla les lèvres. « Tant à faire »... Pour être honnête, ça n’avait rien de rassurant !

« Je... Euh... »

Elle sentait la verge de la femme contre son estomac, une longue pointe de chair qui titillait son corps, glissant dessus, heurtant le tissu, remontant lentement. Ses mains serraient son lit, et elle avait le buste légèrement parti en arrière.

« Que... Qu’est-ce que tu... Euh... Qu’est-ce que tu comptes me faire ? »

Elle lâcha cette question d’une toute petite voix, ses lèvres tremblotant sur place.

Pour le coup, elle n’était effectivement pas très rassurée !

Elle n'en pouvait plus, la moindre occasion serait bonne pour la jeune futa pour se libérer de ce poids, que ce soit à l'aide d'un magazine, de son imagination ou en jouant les voyeurs, elle acceptait n'importe quoi pour se libérer mais le hic avec les personnes riches, c'est qu'elles n'ont pas idée que leur cadeau sont trop cher. Ai demandait le minimum et elle avait Shii... Shii en maillot de bain et prête à se faire croquer sur place! Ce n'est pas juste, un rien et elle ira envoyer la sauce! Ce serait gâcher si elle l'arrose maintenant sans même avoir pu jouer avec. Elle était si proche de son amie, sa verge frottait doucement son amie, croisant les doigts pour que rien n'allume la mèche après tout! Leur baiser était déjà bien assez chaud pour déclencher la petite flamme qui pourrait faire partir la mèche vers son explosion mais... calme... Ai savait un tant soit peu se maîtriser, même si d'habitude elle s'en fiche, là, un cadeau reste un cadeau et autant ne pas l'abimer de suite.

Mais la voir paniquer face à son imagination, c'était mignon. Ai aurait bien aimé voir ce qu'elle avait dans la tête à ce moment, ce qui lui faisait tant peur? Elle l'avait pourtant sucé sans vraiment de problème dans le parc et là, passer à l'acte était trop paniquant pour elle? Eh bien alors? Qu'est-ce qu'il la tourmentait donc? Impossible de savoir mais face à sa question, la jeune futa gloussait en se redressant pour mieux se montrer imposante face à Shii malgré sa taille.

« Ça, c'est une surprise puisque cela a l'air de te rendre toute chose... »

La vérité c'est qu'elle ne saurait dire ce qu'elle avait envie de lui faire. Des tas de choses, oui, de tous genres mais avec le fait qu'elle était sur le point d'exploser, elle ne savait pas par où commencer. Ai fini par se redresser sur ses genoux en tirant Shii par l'une de ses mains pour l'inviter à en faire de même. Elle la faisait s'asseoir sur le rebord du lit avant de prendre une grande respiration pour se calmer car quand on voit son pénis aussi droit et imperturbable, on sent bien qu'un rien pourrait faire sauter cette bombe a foutre. Ai se retournait pour doucement s'asseoir sur les cuisses de Shii, collant son dos contre son corps en posant sa tête sur une de ses épaules, l'observant, la tête cambrer en arrière. Elle leva ses mains pour les passer dans ses cheveux en se dandinant légèrement sur elle.

« Pour qu'on s'amuse pleinement toutes les deux, soit un amour et viens me branler. Shii-chan, je veux sentir tes mains me libérer de cette trop grosse pression, après ça, promis, je savourerais vraiment mon cadeau... »

Mais pour le moment, ça va faire mal! Shii n'aura pas besoin de la masturber longtemps, Ai va vite envoyer la sauce et ensuite, elles vont batifoler comme des petites folles! N'oublions pas que la petite futa à laisser une carte joker à sa copine et que, quand bon lui semble, elle fera ce qu'elle voudra d'Ai. Une seule fois mais c'était déjà bien. Si elle veut réaliser un fantasme en sa compagnie, pourquoi pas. Écartant les jambes sur elle, elle lui offrait même son vagin, si elle préférait la faire jouir sans la masturber, c'est son choix après tout. Ai gardait la même tenue que depuis son arrivée mais qui sait, elle pourrait en retirer certains morceaux le temps de s'amuser? Ou non? Quoi qu'il en soit, elle fixait Shii, attendant qu'elle passe à l'action, ses lèvres étaient maintenant sous ses dents alors qu'elle approchait petit à petit son visage pour un petit baiser en plus.

Mélinda manquait de rire devant cette cocasse situation. Ai avait une furieuse envie de jouir, mais elle ne voulait pas gaspiller son cadeau en jouissant prématurément. Shii avait toujours été un véritable appel au viol, avec sa timidité, ses formes délicieuses, et cette allure corporelle de parfaite soumise qu’elle se coltinait toujours. Elle était une femme que Mélinda appréciait beaucoup, non seulement parce qu’elle était très intelligente, très douce, mais aussi parce que sa douceur abritait une dose de perversion insoupçonnable, une dose qui ne demandait qu’à se libérer… Et qui de mieux qu’Ai, véritable perverse en puissance, assumant totalement sa perversion et sa lubricité, pour réussir ce tour de force ? La pauvre Shii était déboussolée, et rougit encore plus en voyant Ai se redresser devant elle, sa verge à hauteur de son visage. Sa queue avait l’air… Sur le point d’exploser. Shii rougit encore plus en ayant ce genre de pensées, prenant conscience que, à force de sucer la verge de sa Maîtresse, ou d’autres Futas ou d’hommes, elle finissait par devenir une spécialiste. Ce sexe était tendu, prêt à craquer, prêt à exploser sur son visage. C’était un spectacle magnifique à voir, et Shii avait encore plus honte de ressentir du désir en voyant une chose aussi sale. C’était un spectacle honteux, déshonorant… Mais Ai était magnifique, que ce soit avec ce petit air de poupée sur son visage, ses longs cheveux verts, ou sa tenue en dentelle. Shii craquait devant ce corset, devant cette guêpière, ces jarretelles… Quand on servait Mélinda, on avait tendance à finir par s’approprier les goûts de la vampire, à savoir son fort fétichisme… Et sa passion pour la sodomie. C’était le cas pour Shii, et ce même si la jeune femme se refusait à l’admettre. Maîtresse l’avait corrompu, l’avait fait sombrer dans la lubricité, et, le moins qu’on puisse dire, c’est que Shii adorait ça !

Après quelques hésitations, Ai retourna s’asseoir sur elle, lui offrant la vue de son dos, et lui expliqua ce qu’elle attendait de la jeune femme. Qu’elle… Qu’elle la masturbe ! Shii rougit, tout en sentant ses seins s’enfoncer dans le tendre dos de la femme. Ses mains se déplacèrent lentement, et elle attrapa ce monceau de chair entre ses doigts, soupirant faiblement, se mordillant les lèvres.

« Très… Très bien… » finit-elle par dire.

Sa main gauche remua le long de ce vit, le pressant. Elle avait déjà masturbé plusieurs queues, et savait donc, théoriquement, comment y faire… Mais la jeune femme était tellement gênée qu’elle tremblait un peu. C’était… C’était tellement sale, de branler ce chibre, d’entendre des mots si crus sortir d’une si belle bouche… Ohlàlà, mais où diable avait-elle donc débarqué ? Shii était toute confuse, toute gênée, toute rouge de honte. Sa main continuait donc à glisser sur la queue de la femme, d’avant en arrière, remuant le long de cette peau replète. La peau d’un phallus l’impressionnerait toujours, mélange de dureté et de douceur. Elle serrait cette queue, sentant quelque chose de dur sous une couche molle et pliable. La peau d’Ai glissait le long de la sienne, découvrant l’extrémité de sa verge.

Avec son autre main, Shii caressait la base de cette verge, soupirant faiblement, en sentant ses mains devenir moites au contact de ce sexe tendu et assoiffé. Elle continuait à le branler, calmement, tendrement, allant toutefois de plus en plus vite, et, au bout de quelques minutes, à peine, Ai se mit à jouir généreusement. Sa queue tressauta entre les mains de Shii, qui se mordilla les lèvres en voyant le sperme jaillir droit devant Ai, venant asperger le mur en face du lit, éclaboussant ce dernier. Shii la branla alors plus énergiquement, remuant rapidement sa main, tout en soulevant son autre main pour masser le sein d’Ai, venant pincer son téton à travers le bonnet de son corset.

Sa partenaire éjacula généreusement, et, après plusieurs myriades de secondes, le mur se retrouva décoré d’une belle tâche de sperme blanchâtre et collante.

« Et bien… »

La verge tendue d’Ai, qui avait dû lui faire sacrément mal, venait de légèrement décroître entre les mains de Shii, et elle rougit en voyant cette masse épaisse de sperme. Pour un petit calibre, elle en balançait beaucoup !

« Tu… Euh… Tu te sens mieux, Ai-chan ? »

Shii était toujours aussi gênée… Et également excitée. Ce n’était en effet pas de l’eau qui coulait entre ses cuisses.

Mélinda pouvait bien garder un œil sur ce qui se passait, ça ne gênait absolument pas Ai qui adorait partager sa passion avec les autres en les faisant participer comme simplement observer. Elle ne se préoccupait que de Shii pour le moment, dès qu'elle se concentre sur le sexe, y a peu de chances qu'elle fasse attention à ce qui se passe autour d'elle avant d'avoir joui. Et vue à quel point elle s'était retenue, Mélinda pourrait rien faire pour la faire sortir de sa bulle à moins de préparer une orgie autour d'elles, elle fait autant attention à Mélinda qu'au nombre bougie dans cette chambre. Assise sur les douces cuisses de sa nouvelle copine, elle passait ses mains derrière sa tête pour caresser ceux de Shii qui la masturbait doucement. Owh, même aussi simplement et aussi doucement, c'était un véritable bonheur que voilà! Elle s'était tellement retenue que cela allait devenir son nouveau record d'endurance. C'était pire que que ne pas se masturber même une seule fois à l'école. Ça lui arrivait parfois de s'abstenir une journée d'école pour mieux s'amuser chez elle ou au club mais là... Rho, elle ne tiendra pas longtemps.

Ai posa sa tête sur l'épaule de Shii, laissant ses doigts se perdent dans ses cheveux, sa respiration réchauffait la joue de son amie, même besoin de hurler et entre deux gémissements, elle en profitait pour lancer à Shii ce langage si cru et pourtant dans les bonnes conditions, si excitant. Drôle de phénomène mais Ai n'était pas là pour ce genre de choses. Elle gémissait et soupirait de plaisir entre ses doigts experts. Elle se dandinait un peu sur ses cuisses, venant parfois lui baiser la joue en fermant les yeux sous ce plaisir immense.

« Oh ouais c'est ça... branle-moi ma Shii-chan.... fais-moi jouir... plus vite han... Plus Vite! »

Quand l'orgasme venait, elle se cambra sur elle en criant son ode au plaisir, laissant Shii lui vider son pénis de tant sperme qui coulait à flots, telle une lance à incendie. Une chance que ce mur soit anodin, s'il y aurait eu une œuvre d'art hors de prix, Ai l'aurait remplacé par autre chose. Oh bon dieu oui, elle se sentait tellement mieux! Elle se retourna de façon à face à Shii, venant l'allonger de force sur elle pour l'embrasser tendrement, une façon de dire « oui » surement? Ce baiser de remerciement dura une bonne minute sans que la petite futa ne frotte son engin sur son amie. Quand elle rompis le baiser, elle se redressait un peu en l'observait avec son léger petit sourire en coin.

« Allez ma gentille Shii-chan, faut me la nettoyer maintenant. Et moi... je vais te renvoyer la pareille. »

Elle lui fit un clin d'oeil avant de changer de position pour se mettre à l'envers, elle faisait face à l'entrejambe de Shii qui elle, faisait face avec une chose qu'elle connaissait bien. Ai laissait ses jambes céder pour mieux enfoncer sa tige dans la bouche de Shii alors qu'elle venait lécher la combinaison de sa copine, léchant cette zone si appétissante et inaccessible. Moui, elle était sexy dans cette combinaison mais vu que son maillot descend au niveau des cuisses, elle aura du mal à la pénétrer sans trouer... Tant pis, pour le moment, elle fait avec! Sentant sous l'effet de sa langue, son petit bonbon rose se dessiner, elle le mordillait doucement avec ses dents avant de le sucer ou le lécher, alternant un peu avec tout ce qu'elle savait faire d'habitude. Bientôt, elle allait vraiment la pénétrer mais pour le moment, autant laisser faire ce genre de petites choses si amusantes. Elle voulait l'entendre gémir, lui dire de continuer? D'arrêter? De faire bien pire? Elle était tellement impatiente de pousser le jeu plus loin!

Branler Ai… La jeune femme employait des mots tellement crus que Shii ne pouvait s’empêcher de rougir furieusement. Toute gênée, sa main continuait à s’activer sur la queue de la femme. Elle était dure, tendue, et Ai s’était lovée contre elle… Jusqu’à ce que l’orgasme vienne. Puissant, violent, Shii n’y avait pas été de main morte, et elle observait son œuvre… Tout un mur était Sali, traversé par de grosses flaques de sperme qui commençaient à dégouliner. Rouge, Shii regardait timidement sa Maîtresse. Bras croisés, Mélinda souriait, visiblement plus amusée par ce spectacle que réellement choquée. La vampire décroisa lentement les bras, se déplaçant un peu, et Ai se retourna alors, venant plaquer la pauvre Shii contre le lit.

Fermant les yeux, la Japonaise accueillit les lèvres d’Ai, tendant sa propre main pour caresser la chevelure de la jeune femme. Ai avait de beaux cheveux verts, soyeux et délicieux, et Shii s’amusait à les frotter, ses doigts glissant dessus. Ai s’était étalée sur elle, son sexe frottant contre le lit. Jambes bien écartées, Shii, yeux clos, gémissait et soupirait, ses douces lèvres se frottant à celles d’Ai. Aussi perverse soit-elle, la membre du Futabu Club se débrouillait bien avec les baisers, s’évertuant à le lui prouver. Ce baiser était comme un entracte, mais Shii n’ignorait pas pourquoi sa Maîtresse l’avait amené ici. Elle n’était rien de plus qu’un sac de viande destinée à nourrir l’appétit sexuel débridé de son amante. Shii était belle, timide, mais elle n’était pas idiote. Elle savait que sa nervosité naturelle faisait d’elle une femme encore plus appétissante pour des perverses comme sa Maîtresse ou comme Ai. Shii n’était jamais spécialement d’accord pour ce genre de choses, mais son corps, à chaque fois, la trahissait… Et, de fait, malgré toute la peur que lui inspirait le sexe, elle savait aussi que c’était grâce à sa Maîtresse que Shii avait réussi à sortir de sa dépression. Sa Maîtresse l’avait aidé, et le rôle de Shii, maintenant, était de la servir fidèlement, sans jamais se poser de questions, et sans jamais contester son autorité. Sa Maîtresse était une femme ambivalente, cruelle, perverse, mais aussi infiniment douce et généreuse. Oui, Shii pensait que, malgré sa sournoiserie et sa perversion, Mélinda l’aimait. Et ce simple fait suffisait à tolérer et à accepter tout ce qu’on lui faisait subir… Même la mettre en swinsuit mouillée devant une perverse sexuelle qui l’avait coincé dans son casier après s’être masturbée sur sa culotte.

Ai finit par la repousser, et par agir. Elle ne pourrait que se plaire ici, le manoir de Mélinda était un paradis pour pervers. Un immense baisodrome dans lequel, sans qu’on ne comprenne trop comment, un semblant d’ordre et de propreté régnait. Shii comprit ce qu’Ai avait en tête, et déglutit en la voyant se positionner au-dessus d’elle, sa tête filant vers ses cuisses.

« Humm… »

Sa main se souleva pour attraper la verge d’Ai. Elle venait de jouir, mais son vit était toujours aussi tendu, sa bite toujours aussi impatiente de se planter en elle. Entrouvrant les lèvres, Shii accueillit cette verge en elle, et gémit de plaisir. Elle retira sa main du sexe de la femme, et choisit de la poser sur ses fesses, les joues toujours aussi rouges. Cette position était sale, indécente… Dans l’état où Shii était, et après avoir été la chienne de sa Maîtresse pendant des heures, elle s’étonnait encore d’arriver à rougir de tout cela. Comme quoi, on ne pouvait jamais totalement vous changer… Shii ne deviendrait jamais une perverse intégrale. Il y aurait toujours, en elle, ce substrat de douceur et d’innocence.

Elle gémissait en sentant la langue d’Ai glisser sur son intimité, à travers son maillot de bain. Elle gémissait aussi en sentant cette belle queue s’enfoncer dans sa bouche, formant comme un puits de pétrole qui ramonerait le gouffre. Ses mains étaient posées sur les fesses de la femme, glissant dessus, les caressant, les titillant. Elle s’appuyait sur sa culotte, serrant cette surface tendre et chaude. Elle aimait bien les belles fesses bien rondes et bien tendres, ce qui était probablement une conséquence du fait d’être l’esclave de Mélinda Warren. Comme Mélinda aimait à le penser, ses fantasmes rejaillissaient souvent sur ceux de ses esclaves, ce qui n’était nullement pour la déranger.

La vampire s’avança un peu, observant cette scène avec attention. Shii suçait la queue d’Ai, la léchant avec sa langue, yeux clos, son corps aplati sous le sien, et Ai s’activait à justifier son penchant pour le fétichisme. Mélinda s’assit sur le rebord du lit, et sa main vint caresser les cheveux verdâtres d’Ai, glissant dessus, empoignant plusieurs mèches de cheveux, un sourire évasif planté sur ses tendres lèvres.

« Quel spectacle fascinant… Vous êtes vraiment très mignonnes, toutes les deux ! »

Oh que oui !

Cet endroit était son petit paradis ! Entre toutes ses belles jeunes femmes qui demandaient qu'à baiser et Ai qui était reçu comme une véritable reine, elle avait mieux que gagner au loto ! Elle était sûre que même en plaquant Shii pour X raison maintenant, il y aura au moins trois amies de Mélinda prête à assouvir ses fantasmes. Oh, elle ne voulait pas lâcher Shii de suite, ça, non. Mais l'idée de savoir que tant de personnes veulent coucher avec elle, c'était aussi rassurant qu’existant. De son côté, sous les yeux de Mélinda, Ai se faisait plaisir en léchant ses jolies lèvres mouler par la délicieuse tenue de Shii. Certaines personnes aimaient faire l'amour en tenue d'Eve, Ai préférait de loin avoir quelque chose sur elle qui rendait la chose plus sexy encore et ici, elle sera servie, aucun doute à ce sujet. Elle s'appliquait à son travail mais elle n'était pas la seule, Shii en faisait de même avec sa queue dans sa bouche, diantre, que sa langue était délicieuse ! C’était pousser ça un peu loin, mais elle imaginait bien cette langue faire les mêmes mouvements sur son pénis, dans sa tête. Bah oui quoi, un peu comme dans un porno ou un hentai, voyant bien l'intérieur de sa bouche se mouvoir sur sa queue, c'était le pied, total !

Mélinda venait même à leurs côtés, caresser ses cheveux mais comme toujours, quand Ai faisait l'amour ou même en était simplement spectatrice, elle était dans sa bulle et rien ne comptait autour d'elle. Si elle ne l'avait ni toucher, ni parler, elle n'aurait fait attention à Mélinda autant qu'à une de ces bougies dans la chambre. Elle retirait sa langue de ce tissu un petit instant en levant les yeux sur Mélinda, la petite futa était si docile en compagnie de Mélinda qui lui offrait tant de choses merveilleuses.

« Haa, merci, Maî.... tresse.... Shii-chan suce si bien... »

Prononçant ses derniers mots, elle remuait un peu son bassin en s'enfonçant surtout un peu plus dans sa bouche. Une chance qu'elle ne soit pas de ses futas à la queue aussi grande qu'un bras, même si ce n'était pas rien, elle devait faire partie des plus petites en taille parmi toutes les futas du lycée et même de ce manoir des plaisirs. Elle adorait la façon dont Shii lui caressait les fesses et Ai tentait d'en faire de même, glissant ses mains sous ses fesses, caressant autant qu'elle pressait ses deux beaux fruits. Oh, il faudra penser à l'en remercier en glissant sa queue sous cette combinaison mais autant elle était foutrement sexy dedans, autant elle n'avait pas choisi le meilleur modèle. Vu que cela s'étendait aux cuisses, c'était compliquer de la prendre sans trouer cette délicieuse combinaison de piscine. Autant avec les classiques uniformes scolaires, il est possible d'écarter un peu la tenue pour se frayer un passage mais ici, c'était quand même bien compliqué pour l'une comme pour l'autre.

« Houuuu ouais Shii-chan.... Suce bien et je te, haaa, gâterais pour ta petite récompense... »

Naturellement, elle savait à quoi s'attendre avec Ai, une grosse récompense en liquide, comme toujours. Ouais, mais qui irait dire non à une belle douche de sperme ? Tiens, ce sera un jeu à faire ça, avoir plein de fille sous sa ceinture qui l'excite et après, elle arrose tout le monde. Celle qui est le plus marquée aura gagné ! Gagnée quoi, elle en sait rien mais ça fera un bon jeu ! À voir si ce n'est pas marqué sur sa liste car oui, elle avait vraiment une liste de fantasme. Quand on a deux ou trois idées et envies, pas besoin de liste mais quand chaque jour on trouve plusieurs idées à mettre en place, faut pas hésiter. Tiens, elle donnera sa liste à Maman Noël Mélinda voir si elle pourra lui ramener plusieurs cadeaux. Replongeant la tête entre ses jambes, venant lécher ses lèvres et mordiller ce petit bouton d'amour qu'elle adorait tant. Mordant doucement cette toute petite bosse, la faisant glisser entre ses dents, c'était aussi bon pour elle que pour Ai. La jeune futa était très vorace, venant sucer ses lèvres intimes, les mordiller, elle ne savait jamais sur quel pied danser. Mais une fois était sûr, elle sentait la moutarde lui monter au nez et Shii allait avoir une onctueuse surprise dans trois, deux, un...

Allongée sur le corps de Shii, Ai semblait aux anges. Mélinda, elle, s’amusait beaucoup, et triturait les cheveux d’Ai, caressant ensuite le haut de son dos, avant de se pencher pour l’embrasser dans le creux de la nuque. La vampire aimait beaucoup cette femme. Sincèrement. Ai Aihara était une petite perverse, une délicieuse Futanari, qui aurait fait merveille dans son harem. Le pire, c’était que Mélinda était convaincue qu’Ai accepterait de travailler à son harem. Dédier sa vie au sexe, voilà qui semblait être le plus doux et le plus intensif des rêves. Elles vivrait dans un environnement entièrement tourné vers le sexe et la luxure, vers le beau sexe... Pas un sexe sauvage et forcé où elle serait entourée de femmes malheureuses forcées de vendre leurs corps, mais entourée de jeunes femmes heureuses, travailleuses, motivées, et amoureuses... On atteignait pas facilement une telle existence, un tel niveau de vie, une telle utopie. Le harem de Mélinda était comme une microsociété où l’objectif final était, outre la sécurité de ses résidents, leur épanouissement personnel. Shii en était un bon exemple. La brave timide, allongée sous le corps d’Ai, savourait cette Futanari. Elle aimait les femmes membrées et les femmes autoritaires.

Se déplaçant un peu, Mélinda continua à jouer avec le corps d’Ai, l’embrassant dans le creux du dos, tirant sur sa fine et élégante tenue, avant de rejoindre, à son tour, ses fesses. Le bassin d’Ai remuait de haut en bas, sa queue pilonnant la bouche de Shii, qui se contentait de gémir, de couiner, et de mouiller. Sa cyprine se répandait sur la bouche d’Ai, sur ses cuisses, et sur le lit. La vampire, quant à elle, atteignit donc le beau petit cul d’Ai, et se glissa derrière, venant lécher sa croupe, ses mains rejoignant celles de Shii. Elle les vit sursauter quand Mélinda les posa dessus, ce qui amena la vampire à se pencher vers elle, et à l’embrasser sur le sommet du crâne.

« Sois une gentille fille, Shii, et écarte les fesses de cette traînée pour moi...
- Hmmm... »

Shii obéit, et ses pouces se rapprochèrent de la croupe d’Ai. C’était une fétichiste, cette femme, et Mélinda ne comptait pas la déshabiller plus. Elle savait qu’il était bien plus fréquent que ce qu’on pensait de voir des personnes aimant faire l’amour à d’autres tout en restant dans leurs vêtements. Mélinda en faisait partie, aimant autant faire l’amour toute nue qu’en étant habillée. Elle ne serait pas la responsable d’un harem de luxe si ses goûts sexuels n’étaient pas aussi vaste et diversifiés. Elle lécha donc la croupe de la femme, filant dans cette raie tendre et chaude, atteignant rapidement sa rondelle, cette petite porte arrière, qu’elle lécha en soupirant, ses mains s’appuyant sur les hanches d’Ai. Elle continuait à lécher ça.

De son côté, Shii était totalement comblée. Elle léchait cette grosse queue, comme une sorte de grosse sucette, ses yeux obstrués par le corps d’Ai et par la tête de sa Maîtresse, dont les cheveux tombaient en cascade sur sa tête. Contrairement à ce qu’Ai pouvait passer, il ne serait pas très difficile d’accéder à son fondement. Il fallait juste remonter un peu son maillot de bain. Mélinda lui avait justement ordonné de mettre une tenue facilement extensible, et il était fréquent que des femmes prennent Shii en levrette après un séjour dans la piscine, ou encore dans la piscine elle-même, contre le mur, en lui défonçant son beau petit cul. Shii avait vécu tellement de choses dans son manoir... Elle aurait pu prétendre en être gênée, mais, quand on se retrouvait allongée sous le corps d’une perverse, avec sa queue qui s’enfonçait dans votre gorge, on ne pouvait pas prétendre à une chasteté qu’on ne méritait pas. Shii était l’un des sacs à foutre du manoir, et elle était en train de le prouver en ce moment.

« Hunnnn... »

Ai avait un sexe dur comme de la brique. Shii soupirait en la léchant, remuant ses lèvres dessus. Les minutes passaient, et elle sentait Ai venir... Elle-même venait, car le plaisir était là, vibrant, de plus en plus fort, de plus en plus intense. Les jambes de Shii remuaient lentement le long du lit, et l’orgasme afflua. Ai se lâcha dans sa bouche, et la petite lycéenne se mit à couiner en sentant sa bouche se remplir de son foutre.

« HMMMMM !! »

Sa mouille jaillit de manière un peu plus intensive, ses jambes remuèrent, ses yeux se fermèrent, ses mains se crispèrent... Et elle goûta elle aussi aux plaisirs immenses et infinis de l’orgasme, tout son corps se relâchant en soupirant, emporté dans une tornade de plaisir.

Mélinda, quant à elle, se retira des fesses d’Ai, qu’elle avait commencé à doigter. Son index remuait dans son fondement, glissant dans sa petite porte arrière, et elle se rapprocha ensuite du visage de la jeune femme, caressant sa joue, un sourire sur le coin des lèvres. La vampire se pencha vers elle, et l’embrassa sur son autre joue, tout en murmurant dans le creux de son oreille :

« Peu importe où tu comptes la prendre, jeune femme, sache que je serais là pour explorer ton petit cul... »

Et même bien là !

Chacun son petit coin de paradis, pour Ai, c'était le manoir et le harem de Mélinda qu'elle visitera bientôt. Si elle savait que c'était la partie visible de l'iceberg, elle tomberait sûrement dans les pommes, encore une fois. Si elle savait que ce harem avait des nekos, des inus, kitsunes, ushi, démones, anges et autres créatures aussi incroyables que sexy... elle serait capable de tout plaquer pour la suivre aveuglément. Mais bon, elle avait quand même encore la raison en poche, elle ne pouvait pas tout quitter, les cours, ses amies – en dehors du club – et surtout sa famille. L'idée d'inquiéter ses parents pendant qu'elle pars baiser ailleurs, non, un minimum de respect quand même. Mais bon, ce genre de pensé n'était pas dans sa tête actuellement, non pour le moment elle se disait combien la bouche de Shii était superbe. Cette langue le long de sa queue, cette petite bouche assoiffée, oh oui, elle se faisait plaisir avec elle !

De même que plus haut, vers sa tête à elle, ses petites lèvres étaient si délicieuses, bien caché par son maillot de bain, rendant la chose que meilleure et bien frustrant à la fois. Haa, quand les goûts se disputent la première place des envies de la futa. C'est vrai quoi, elle voyait bien grâce à ses coups de langue et sa mouille que ses lèvres et son mignon petit clitoris étaient si bien gonflés par le plaisir, si bien moulé, mieux que la 3D ! Mais si elle pourrait y glisser sa langue... elle n'hésiterait pas à aller aussi loin que possible. En plus Mélinda se joignait à la partie en se concentrant exclusivement sur ses fesses, s'il vous plaît, ça rendait les choses que meilleures ! Elle sentait ce doigt si curieux s'enfoncer dans son fondement et sincèrement, c'était encore mieux ! Logique en effet mais pas pour tout le monde. Si l'on associe cela à cette charmante langue qui passait le long de sa queue avec tant... de passion, pas étonnant qu'elle n'allait pas tarder à jouir. Avec toutes les chattes et les queues qu'elle a léché et sucer, jouir une fois, ce n'était qu'une précaution pour éviter qu'elle n'explose de l'intérieur. Face à cette joie qui venait de plus en plus, Ai était presque immobile face à ce doigt et cette langue, sa bouche était enfoncé contre cette combinaison, aspirant aussi fort qu'un aspirateur cette petite boule moulée sur le maillot de bain.

« MMMMMMHHHHHHHHHH !!!!! »

Elle aurait bien hurlé son bonheur mais elle refusait de retirer sa bouche de cette magnifique petite combinaison. Sa sauce se déversait dans la bouche de Shii qui devrait sûrement avoir du mal à tout avaler ? Mais ne sait-on jamais. Si elle voit que ça va pas, elle va bouger mais pour le moment, elle trouvait corps si confortable. Puis Shii avait joui elle aussi, sa combinaison n'en était que plus délicieuse encore. Mélinda y retirait son doigt pour venir lui murmurer des petites choses à l’oreille, des choses bien intéressantes. Le regard rêveur, elle posa sa tête sur la cuisse de Shii en observant la belle Mélinda.

« Voilà qui promet mais j'espère que ce sera plus qu'un doigt cette fois. Vous savez Maîtresse, je ressemble à une petite chatte mais j'ai des griffes et d'habitude on me fait pas ce genre d'avance si facilement... mais vous, c'est différent. Pareil pour ma Shii-chan mais ça, c'est parce qu'elle m'a amené ici. Ou plutôt sa superbe culotte. »

Y avait qu'elle pour encore fantasmer sur ce bout de tissu alors que des dizaines de filles seraient prêtes à écarter les jambes en la voyant s'approcher. Cependant, elle regrettait de pas pouvoir pénétrer Shii, cette tenue était trop serré et la remonter pour libérer un passage serait désagréable, il suffisait de voir comment son doigt ne passait pas... oh ? Mais si ! D'apparence bien collée à la peau, la matière est très souple ! Voilà une marque de maillot de bain qui n'est pas de la merde ! Ce qui veut dire que...

« Oh oh... je vais enfin pouvoir baiser ma Shii-chan. Ha non, désolé. Toi, je ne te baise pas. Je vais te faire l'amour. Elle le mérite bien ma jolie Shii-chan. »

Elle se retira doucement de sa bouche en se plaçant à genoux, devant elle, le temps de souffler un peu en s'étirant aussi pour la futa. Puis elle s'allongea sur elle, sans la pénétrer pour le moment, embrassant sa nouvelle copine en goûtant aussi sa semence. Bah quoi, quand on se coupe, on lèche sa blessure pour cautériser la plaie ou par un réflexe presque animalier, bah là... c'est pareil, non ? Que la première futa qui n'a jamais fait ça lui jette la première pierre ! Son sexe se frottait déjà aux lèvres intimes encore protéger par cette jolie combinaison sur son corps.

« Petit cadeau pour toi ma Shii-chan... tu veux que je me montre douce comme un chaton... ou tu préfères que je te prenne comme une tigresse ? »

Elle lui souriait tendrement en frottant son nez contre le sien, gloussant comme une folle alors que sa queue tressautait entre leur deux corps chauds. Après ça, promit, elle la pénètre en douceur ou sauvagement donc... surprise, surprise !

La belle Ai était une femme magnifique, sur tous les points de vues. Mélinda avait joué avec son cul, et elle et Shii venaient mutuellement de jouir. Ai s’était ensuite relevée, tout en parlant à sa Maîtresse, et en lui disant que, si Mélinda comptait promettre de la prendre, elle allait devoir le faire. La vampire se contenta de légèrement sourire. De ce point de vue, la vampire ne se faisait pas de soucis… Elle allait la prendre, lui défoncer son adorable petit cul. Elle ne pouvait tout simplement pas les observer ainsi sans rien dire. Rester calme était très difficile, et elle était maintenant excitée, avec des vibrations traversant son corps.

« Oh, mais ne t’inquiète pas pour ça, Shii, je vais défoncer ton joli cul bien comme il faut… »

Ai lui avait dit qu’elle était une petite chatte, mais qu’elle avait aussi des griffes, et qu’il valait mieux ne pas les négliger. Mélinda s’écarta un peu, sur le rebord du lit, et laissa Ai jouera avec Shii. Cette dernière comptait maintenant la pénétrer, et frotta sa queue recouverte de sperme et de salive contre la combinaison de Shii, qui rougit et gémit quand Ai l’embrassa. La main de Shii se posa sur les cheveux verts de la femme, et elle répondit à son baiser. Sa bouche était encore partiellement pleine de foutre, qu’elle échangea donc volontairement avec la jeune lycéenne en tenue élégante. Mélinda vit que les cuisses de Shii débordaient de foutre et de mouille, et sourit. C’était une combinaison prévue pour, car on pouvait légèrement la relever pour avoir accès à son intimité. Il y avait toutefois une culotte bleue dessous, qu’on utilisait pour se baigner. La retirer ne serait pas difficile, et Ai pourrait ainsi pénétrer Shii avec sa swimsuit. Tout marcherait pour le mieux, et les deux femmes continuaient à s’embrasser, gémissant et soupirant, formant un magnifique spectacle. Le côté fétichiste d’Ai se régalerait de pouvoir coucher avec cette femme dans son maillot de bain.

Rompant le baiser, Ai Aihara demanda alors à Shii comment cette dernière voulait se faire prendre. Les joues rouges, la jeune femme cligna des yeux. Elle se mordilla les lèvres, peinant à parler. Elle était furieusement excitée, mais n’avait pas l’habitude qu’on lui pose une telle question… Ou, plutôt, qu’elle y donne une réponse. Parler était difficile pour elle, et elle soupira lentement, sans rien dire, avant de gémir, sa main caressant les cheveux d’Ai. Leurs seins se frottaient, et Shii soupira à nouveau, son regard plongé dans le sien.

« J-Je… »

Se mordillant à nouveau les lèvres, la lycéenne sentait cette verge caresser ses cuisses, heurtant sa culotte. Elle respira à nouveau, remuant légèrement son corps de gauche à droite. Son autre main s’appuyait contre le lit, et elle la déplaça lentement, caressant les hanches de la femme, appréciant la douceur de sa peau, s’enfonçant un peu dans sa chair. Ai lui laissait le choix entre être tendre ou brutale, et Shii avait envie de dire qu’elle voulait être prise tendrement, avec douceur… Ai frotta alors son nez contre le sien, tendrement, avant de rire légèrement, la prenant comme une espèce de poupée, de… De chienne !

« Co… Comme… Comme… Hunnn… »

Comment était-elle censée répondre à ça ?! La pauvre était complètement désorientée ! Elle se pinça à nouveau les lèvres, puis hocha la tête.

« Baise-là comme une tigresse, Ai… Shii est trop timide pour le dire, n’est-ce pas, ma belle ?
- Je… O-Oui, Maî… Maîtresse…
- Alors, dis-le, ma belle Shii… Fais parler ta belle voix, fais-nous entendre ce que tu veux… »

Shii se mordilla à nouveau les lèvres, puis hocha lentement la tête, avant de regarder Ai.

« Je… Je veux… Je veux que tu… Je veux que tu… Que tu sois une… Une b-belle tigresse… »

Elle soupira à nouveau, en se pinçant encore les lèvres. Mélinda le lui avait bien dit : Shii était toute à elle.

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