Ce soir, le public du multivers regardait un énième épisode du Multiverse TalkShow, l’émission la plus célèbre du multivers, ou des créatures venant quatre coins du multivers parcouraient la multiversité pour y assister. Ce soir, Les projecteurs illuminaient chaque coin de la scène, réfléchissant sur les surfaces dorées et argentées des décors. Les sièges étaient remplis d'une foule enthousiaste, venue assister à l'une des émissions les plus populaires du Capitole. Caesar, comme à son habitude, était en pleine forme, vêtu d'un costume flamboyant, avec une cravate scintillante assortie. Son sourire parfait brillait sous les projecteurs, et son énergie était contagieuse.
Ce soir, l'invité spécial était l'une des figures les plus importantes de l’industrie du jeu vidéo, Hidetaka Miyazaki, un Game designer extrement célèbre, notamment pour avoir créé la franchise de jeux hardcore la plus connue du monde, la célébré série de jeux vidéo Dark Souls, qui avait remporté de nombreux prix, dont celui du meilleur jamais réalisé. Connu pour son charisme et sa force, Caesar, fidèle à son style, mène l'interview avec une finesse incomparable, alternant entre questions profondes et remarques légères, gardant le public à la fois captivé et diverti. L'ambiance est électrique, les rires et les applaudissements fusent.
« Que répondez-vous aux gens qui disent que vous êtes un sadique ? »
Une question cruciale, le public retint son souffle. Qu’allait répondre Miyazaki ?
Cependant, au moment de répondre, Une lueur intense commença à émaner du plafond, croissant en intensité jusqu'à envahir la scène entière. Caesar, pris par surprise, cligna des yeux, tentant de comprendre ce qui se passe. Le public commence à murmurer, inquiet, alors que l'invité se retourne, l'air confus.
Puis, sans avertissement, la lumière devient aveuglante. Le bruit du public, les battements de son cœur, tout s'efface dans un silence total. Caesar ressent une étrange sensation de chute, comme s'il était aspiré hors du plateau, hors de la réalité même. Avant qu'il ne puisse comprendre ou réagir, il disparaît de la scène dans un éclair de lumière.
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Caesar Flickerman se réveilla lentement, des bribes de conscience revenant à lui comme des éclats d'une mémoire brisée. Ses paupières s'ouvrirent avec difficulté, et il cligna des yeux à plusieurs reprises, tentant de s'habituer à cette lumière douce mais étrange qui baignait l'environnement. Autour de lui, le sol était fait d'une matière inconnue, à mi-chemin entre le cristal et le velours, émettant une légère lueur qui éclairait les alentours.
Il se redressa lentement, l'esprit encore engourdi. Ses mains touchérent le sol, et il ressentit une sensation de douceur et de chaleur sous ses doigts, mais la texture était complètement étrangère. En observant plus attentivement, il remarqua que chaque pas qu'il faisait semblait déclencher de subtiles ondulations de lumière sous ses pieds, comme si le sol réagissait à sa présence.
Le ciel au-dessus de lui était d'une clarté irréelle, parsemé de constellations inconnues. Pas de lune, pas de soleil, mais une sorte de lumière ambiante qui ne semblait pas avoir de source définie. Caesar regarda autour de lui, cherchant désespérément des repères, quelque chose de familier. Mais tout ce qu'il voit est un paysage surréaliste : des collines aux formes improbables, des arbres dont les feuilles semblent faites de verre fin, et des rivières qui scintillent de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.
Son cœur battait plus fort alors que son anxiété montait. Où est-il ? Comment est-il arrivé ici ? Il se souvint de la scène, des projecteurs, du public… et puis plus rien. Il se lèva péniblement, son costume toujours aussi impeccable malgré le chaos dans sa tête, et commença à explorer cet endroit mystérieux. Chaque pas résonnait étrangement dans ce silence absolu.
Au fur et à mesure qu'il avançait, Caesar tenta de se rassurer, se répétant qu'il doit s'agir d'un rêve ou d'une illusion. Mais tout était trop réel, trop palpable.
« Ou suis-je ? Quel est cet endroit ?! »
Soudain, notre cher présentateur aperçoit une silhouette au loin. César ne perd pas de temps et accourt tout de suite vers cette silhouette aux formes féminines. Il s’agit d’une femme, visiblement avec les seins en l’air. Ça doit surement etre compréhensible, vu la chaleur
« Heu, excusez-moi, chère demoiselle, mais pourriez vous me dire ou nous sommes ? j’étais entrain de présenter une petite émission, tranquille, dans mon plateau télé, quand je me suis retrouvé ici. Votre habitacle est très charmant, mais j’ai malheureusement une émission à finir.Par l’occasion, je dois avouer que je suis très fan de votre style vestimentaire, ça doit surement vous attirer beaucoup d’hommes, je présume, héhé. Alors, vous pouvez me montrer la sortie s’il vous plait ? »
César ne le savait pas, mais il n’était qu’à ses débuts
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Cesar Flickerman
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Primordium
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Le Multivers, un endroit si vaste qu'il en devient vertigineux. Mais ce qui est encore plus vertigineux encore, c'est que non seulement ce Multivers n'est pas unique, mais il en côtoie en fait plusieurs autres, comme des bulles agglomérées. Passer d'une bulle à l'autre est tout simplement impossible pour un simple mortel, ou même pour un dieu. C'est une tâche que l'on peut réserver à plusieurs personnes. En premier lieu, par ordre croissant de puissance, on trouve les fameux Oracles, chacun ayant pour but de veiller sur un planète bien définie dans univers donné, le tout étant déterminé à l'avance, des milliers de cycles avant la création de l'Oracle en question. En règle générale, un Oracle n'a aucune raison de quitter sa planète, mais certains plans d'urgence peuvent justifier le passage d'un univers à un autre, voire d'un Multivers à un autre. Cela dit, il n'est pas rare qu'un Oracle sacrifie sa propre vie dans le processus.
La deuxième catégorie regroupe les Arbitres, qui veillent sur un Univers dans son ensemble. Chaque Arbitre possède aisément la puissance nécessaire pour faire ployer le genou à un dieu, voire plus. Fort heureusement, la plupart se font très discrets, d'une certaine manière. Dans le Multivers où se trouve la Tour, par exemple, les différents Autarques sont des inconnus complets, qui ne se sont jamais véritablement mis en avant, malgré qu'ils possèdent le pouvoir de réécrire à volonté l'univers dont ils sont la charge. Mais nous dirons plutôt "elles", car la seule et unique constante au sujets des Arbitres est qu'elles sont toujours de sexe féminin.
La troisième catégorie de personne a être capable de passer d'un Multivers à l'Autre si besoin est, et la première à pouvoir le faire à volonté, sont les Autarques. Des individus capables de plier des panthéons entiers à leur volonté en une fraction de seconde, et sans que cela leur demande le moindre effort. Pour des raisons évidentes, ils n'interfèrent pas dans les affaires des habitants des différents univers à moins d'y être forcés par une puissance encore supérieure à la leur, celle des terrifiants Archontes. Archontes qui forment la dernière catégorie d'entités dont nous parleront aujourd'hui. Plusieurs univers mis ensemble forment un multivers. Plusieurs Multivers mis ensemble forment un "Nexus", un "niveau de réalité". Et il s'avère que chaque Archonte possède le contrôle total de son propre Nexus. Pour des entités de cette puissance, passer d'un monde à l'autre se fait sans même avoir besoin d'y penser, ce qui en dit long sur leurs capacités, qui sont ni plus ni moins qu'au-delà de ce que certains appelleraient l'omnipotence.
Et pourtant, entre les Nexus réside une entité primordiale, dont toutes ces entités sans exceptions tirent leurs pouvoirs : Primordium. La créature par qui tout commença, et par qui tout finira. Au sein de la gigantesque Basilique, plus grande qu'un univers entier, et qui contient absolument tout ce qui a été, est et sera, qui renferme tout ce qui n'est pas encore, et où l'on peut admirer ce qui n'est déjà plus, Promordium supervise absolument tous les niveaux de réalités, tenant en laisse (figurativement) les vingt-deux Archontes, et s'assurant qu'aucun n'apporte un quelconque déséquilibre.
Et il s'avère que c'est justement de l'un des Archontes que ce cher Cesar a attiré l'attention. Et après un court échange entre cet Archonte et la Basilique, un rayon de lumière que seuls peuvent voir ceux qui perçoivent les replis entre les univers vient frapper l'endroit même où se tient CE César en particulier, parmi tous les César Flickermann existant, ayant pu exister ou même n'existant pas encore. C'est CE César qui a été choisi, et qui apparaît au beau milieu d'un paysage qui semble à la fois totalement vide, mais aussi tellement plein à craquer que cela en devient terrifiant. Ajoutons à celà d'atroces complications gastriques dues au voyage préter-réel (qui transcende les lois de la réalité) ainsi qu'une terrible réalisation (son magnifique costume taillé sur mesure a viré au blanc, ses cheveux ont pris une étrange teinte bleutée, et il manque un ongle à la main droite), et nous avons un cocktail explosif pour désorienter un simple mortel à coup sûr.
Heureusement, celui-ci finit par se reprendre, et approche donc de la première silhouette à proximité, qui n'a aucune réaction. Ce n'est que lorsqu'il lui addresse directement la parole que César peut espérer une réaction. EVE-1001 se retourne alors lentement vers lui pour lui faire face.
EVE-1001, à la surprise probable de Cesar, le saluera non pas par son nom de scène, mais par son "nom véritable", un nom qu'il ne comprendra pas, mais qu'il reconnaîtra sans savoir pourquoi, sachant instinctivement qu'elle parle de lui. Elle lui expliquera où il se trouve à cet instant également.
La Basilique est vaste, et pour qu'un simple mortel puisse être jugé digne d'y pénétrer... J'ignore ce qui vous a valu l'honneur d'arriver ici, mais j'ignore tout autant si vous vivrez assez longtemps pour apprécier l'honneur qui vous est fait... Ou même si vous vivrez assez longtemps pour le regretter... Je vois d'ailleurs que l'on vient déjà vous chercher.
Et en effet, au moment où elle pointe un endroit derrière lui, il peut voir un groupe de silhouettes émerger d'entre deux colonnes lumineuses. Sur les treize personnes approchant d'un pas souple, douze sont totalement anonymes, n'ayant même aucun visage. En revanche, l'homme qui marche en tête est particulièrement bien habillé, c'en serait à croire qu'il existe une qualité au-dessus du "sur mesure au millimètre près". Et bien sûr, la première question que se poserait César, ce serait probablement... "Mais que fait Simon Pegg ici ?"
- Vous n'êtes pas en retard. C'est bien. Je vois que le voyage vous a causé quelques petits... désagréments. Mais dans votre propre intérêt, je n'ai qu'une recommandation à faire: gardez vos états d'âme pour vous, et vous verrez que tout ira mieux. Maintenant, dites-moi... Que pensez-vous de la Basilique ?
La deuxième catégorie regroupe les Arbitres, qui veillent sur un Univers dans son ensemble. Chaque Arbitre possède aisément la puissance nécessaire pour faire ployer le genou à un dieu, voire plus. Fort heureusement, la plupart se font très discrets, d'une certaine manière. Dans le Multivers où se trouve la Tour, par exemple, les différents Autarques sont des inconnus complets, qui ne se sont jamais véritablement mis en avant, malgré qu'ils possèdent le pouvoir de réécrire à volonté l'univers dont ils sont la charge. Mais nous dirons plutôt "elles", car la seule et unique constante au sujets des Arbitres est qu'elles sont toujours de sexe féminin.
La troisième catégorie de personne a être capable de passer d'un Multivers à l'Autre si besoin est, et la première à pouvoir le faire à volonté, sont les Autarques. Des individus capables de plier des panthéons entiers à leur volonté en une fraction de seconde, et sans que cela leur demande le moindre effort. Pour des raisons évidentes, ils n'interfèrent pas dans les affaires des habitants des différents univers à moins d'y être forcés par une puissance encore supérieure à la leur, celle des terrifiants Archontes. Archontes qui forment la dernière catégorie d'entités dont nous parleront aujourd'hui. Plusieurs univers mis ensemble forment un multivers. Plusieurs Multivers mis ensemble forment un "Nexus", un "niveau de réalité". Et il s'avère que chaque Archonte possède le contrôle total de son propre Nexus. Pour des entités de cette puissance, passer d'un monde à l'autre se fait sans même avoir besoin d'y penser, ce qui en dit long sur leurs capacités, qui sont ni plus ni moins qu'au-delà de ce que certains appelleraient l'omnipotence.
Et pourtant, entre les Nexus réside une entité primordiale, dont toutes ces entités sans exceptions tirent leurs pouvoirs : Primordium. La créature par qui tout commença, et par qui tout finira. Au sein de la gigantesque Basilique, plus grande qu'un univers entier, et qui contient absolument tout ce qui a été, est et sera, qui renferme tout ce qui n'est pas encore, et où l'on peut admirer ce qui n'est déjà plus, Promordium supervise absolument tous les niveaux de réalités, tenant en laisse (figurativement) les vingt-deux Archontes, et s'assurant qu'aucun n'apporte un quelconque déséquilibre.
Et il s'avère que c'est justement de l'un des Archontes que ce cher Cesar a attiré l'attention. Et après un court échange entre cet Archonte et la Basilique, un rayon de lumière que seuls peuvent voir ceux qui perçoivent les replis entre les univers vient frapper l'endroit même où se tient CE César en particulier, parmi tous les César Flickermann existant, ayant pu exister ou même n'existant pas encore. C'est CE César qui a été choisi, et qui apparaît au beau milieu d'un paysage qui semble à la fois totalement vide, mais aussi tellement plein à craquer que cela en devient terrifiant. Ajoutons à celà d'atroces complications gastriques dues au voyage préter-réel (qui transcende les lois de la réalité) ainsi qu'une terrible réalisation (son magnifique costume taillé sur mesure a viré au blanc, ses cheveux ont pris une étrange teinte bleutée, et il manque un ongle à la main droite), et nous avons un cocktail explosif pour désorienter un simple mortel à coup sûr.
Heureusement, celui-ci finit par se reprendre, et approche donc de la première silhouette à proximité, qui n'a aucune réaction. Ce n'est que lorsqu'il lui addresse directement la parole que César peut espérer une réaction. EVE-1001 se retourne alors lentement vers lui pour lui faire face.
EVE-1001, à la surprise probable de Cesar, le saluera non pas par son nom de scène, mais par son "nom véritable", un nom qu'il ne comprendra pas, mais qu'il reconnaîtra sans savoir pourquoi, sachant instinctivement qu'elle parle de lui. Elle lui expliquera où il se trouve à cet instant également.
La Basilique est vaste, et pour qu'un simple mortel puisse être jugé digne d'y pénétrer... J'ignore ce qui vous a valu l'honneur d'arriver ici, mais j'ignore tout autant si vous vivrez assez longtemps pour apprécier l'honneur qui vous est fait... Ou même si vous vivrez assez longtemps pour le regretter... Je vois d'ailleurs que l'on vient déjà vous chercher.
Et en effet, au moment où elle pointe un endroit derrière lui, il peut voir un groupe de silhouettes émerger d'entre deux colonnes lumineuses. Sur les treize personnes approchant d'un pas souple, douze sont totalement anonymes, n'ayant même aucun visage. En revanche, l'homme qui marche en tête est particulièrement bien habillé, c'en serait à croire qu'il existe une qualité au-dessus du "sur mesure au millimètre près". Et bien sûr, la première question que se poserait César, ce serait probablement... "Mais que fait Simon Pegg ici ?"
- Vous n'êtes pas en retard. C'est bien. Je vois que le voyage vous a causé quelques petits... désagréments. Mais dans votre propre intérêt, je n'ai qu'une recommandation à faire: gardez vos états d'âme pour vous, et vous verrez que tout ira mieux. Maintenant, dites-moi... Que pensez-vous de la Basilique ?
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Cesar Flickerman
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César vacillait, sa vision encore trouble, tandis qu'il tentait de donner un sens à ce qui venait de se passer. Tout était allé si vite. Un instant, il était sur scène, baigné dans les projecteurs, une foule multiverselle suspendue à ses lèvres, puis... cette lumière aveuglante. Il avait à peine eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait que son corps semblait s'être désintégré et réformé dans cet endroit étrange.
Il porta machinalement la main à sa poitrine, cherchant les battements rassurants de son cœur. Il était toujours en vie, bien qu'il se sente... changé. Le paysage qui l'entourait semblait tout droit sorti d’un rêve ou, pire, d’un cauchemar. Les collines se courbaient sous des angles impossibles, et les arbres – si l'on pouvait les appeler ainsi – étaient faits de verre, scintillant sous une lumière irréelle. Chaque pas qu'il faisait résonnait comme si le sol lui-même renvoyait un écho distant, amplifiant son sentiment d’isolement.
Sa tenue, jadis flamboyante et parfaitement ajustée pour la scène, était maintenant dans un sale état... ses cheveux avaient pris une teinte bleutée, et il constata avec une grimace qu’il lui manquait un ongle.
*Oh putain, mon ongle ! Il a disparut ! Je n'ai plus d'ongle, mon dieu !*
C'était un détail probablement insignifiant dans cette situation. Il était hors de son élément, lui qui contrôlait toujours tout, qui savait manier les mots et les foules à la perfection. Ici, il n'avait rien sous contrôle.
EVE-1001 lui avait parlé. Son nom... ou du moins, ce qui semblait être son nom dans cette dimension, résonnait en lui comme une vieille mélodie oubliée. Comment pouvait-elle savoir ? Et qui étaient ces êtres ? Les formes qui approchaient lentement semblaient se mouvoir avec une fluidité presque hypnotique. César n’arrivait pas à détacher son regard de la figure en tête, sa silhouette étrangement familière. Simon Pegg. Sérieusement ? Il y avait quelque chose de grotesquement absurde à voir l'acteur britannique ici, dans cette dimension distordue.
"Simon Pegg ? Mais qu'est-ce que..." murmura César pour lui-même, l'esprit encore brumeux. Mais la voix d’EVE-1001 retentissait dans ses oreilles, semblant venir de tous côtés à la fois. La Basilique. Tout dans ce lieu avait un air sacré, intemporel, et pourtant il ne pouvait pas s'empêcher de ressentir une terreur sourde, une pression qui pesait sur sa poitrine.
Il tenta de reprendre le contrôle, comme il l’avait toujours fait. Une émission, un public, tout cela lui était familier. Il se raccrocha à cette pensée comme à une bouée de sauvetage dans un océan d'incertitudes. S'il ne pouvait pas comprendre où il était, ni pourquoi, au moins pouvait-il jouer son rôle, celui du maître de cérémonie, celui qui détient les rênes.
"C'est... c'est fascinant," balbutia-t-il, réajustant son col d'une main tremblante. "La Basilique, oui... un endroit, comment dire, impressionnant. Très... éthéré." Sa voix, bien que toujours teintée de son habituelle jovialité, trahissait une note d'incertitude qu'il peinait à cacher. "Mais dites-moi," poursuivit-il, forçant un sourire qu’il espérait rassurant, "qu'est-ce que je fais ici exactement ? Je suis sur que vous êtes quelqu'un de trés sympa, et croyez-moi, j'aimerais volontiers prendre un ou deux verre avec vous, dans d'autres circonstances, mais voyez-vous, J'ai une émission à terminer et... comment dire ? Mon public n'aime pas trop attendre. "
Son regard scruta l’horizon, cherchant désespérément une réponse, une explication, quelque chose de tangible auquel se raccrocher dans ce monde d’illusions. Mais il n’y avait rien, sinon cette étrange entité, cette voix omniprésente, et les treize formes qui s’avançaient vers lui.
Il porta machinalement la main à sa poitrine, cherchant les battements rassurants de son cœur. Il était toujours en vie, bien qu'il se sente... changé. Le paysage qui l'entourait semblait tout droit sorti d’un rêve ou, pire, d’un cauchemar. Les collines se courbaient sous des angles impossibles, et les arbres – si l'on pouvait les appeler ainsi – étaient faits de verre, scintillant sous une lumière irréelle. Chaque pas qu'il faisait résonnait comme si le sol lui-même renvoyait un écho distant, amplifiant son sentiment d’isolement.
Sa tenue, jadis flamboyante et parfaitement ajustée pour la scène, était maintenant dans un sale état... ses cheveux avaient pris une teinte bleutée, et il constata avec une grimace qu’il lui manquait un ongle.
*Oh putain, mon ongle ! Il a disparut ! Je n'ai plus d'ongle, mon dieu !*
C'était un détail probablement insignifiant dans cette situation. Il était hors de son élément, lui qui contrôlait toujours tout, qui savait manier les mots et les foules à la perfection. Ici, il n'avait rien sous contrôle.
EVE-1001 lui avait parlé. Son nom... ou du moins, ce qui semblait être son nom dans cette dimension, résonnait en lui comme une vieille mélodie oubliée. Comment pouvait-elle savoir ? Et qui étaient ces êtres ? Les formes qui approchaient lentement semblaient se mouvoir avec une fluidité presque hypnotique. César n’arrivait pas à détacher son regard de la figure en tête, sa silhouette étrangement familière. Simon Pegg. Sérieusement ? Il y avait quelque chose de grotesquement absurde à voir l'acteur britannique ici, dans cette dimension distordue.
"Simon Pegg ? Mais qu'est-ce que..." murmura César pour lui-même, l'esprit encore brumeux. Mais la voix d’EVE-1001 retentissait dans ses oreilles, semblant venir de tous côtés à la fois. La Basilique. Tout dans ce lieu avait un air sacré, intemporel, et pourtant il ne pouvait pas s'empêcher de ressentir une terreur sourde, une pression qui pesait sur sa poitrine.
Il tenta de reprendre le contrôle, comme il l’avait toujours fait. Une émission, un public, tout cela lui était familier. Il se raccrocha à cette pensée comme à une bouée de sauvetage dans un océan d'incertitudes. S'il ne pouvait pas comprendre où il était, ni pourquoi, au moins pouvait-il jouer son rôle, celui du maître de cérémonie, celui qui détient les rênes.
"C'est... c'est fascinant," balbutia-t-il, réajustant son col d'une main tremblante. "La Basilique, oui... un endroit, comment dire, impressionnant. Très... éthéré." Sa voix, bien que toujours teintée de son habituelle jovialité, trahissait une note d'incertitude qu'il peinait à cacher. "Mais dites-moi," poursuivit-il, forçant un sourire qu’il espérait rassurant, "qu'est-ce que je fais ici exactement ? Je suis sur que vous êtes quelqu'un de trés sympa, et croyez-moi, j'aimerais volontiers prendre un ou deux verre avec vous, dans d'autres circonstances, mais voyez-vous, J'ai une émission à terminer et... comment dire ? Mon public n'aime pas trop attendre. "
Son regard scruta l’horizon, cherchant désespérément une réponse, une explication, quelque chose de tangible auquel se raccrocher dans ce monde d’illusions. Mais il n’y avait rien, sinon cette étrange entité, cette voix omniprésente, et les treize formes qui s’avançaient vers lui.
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Primordium
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César ne s'en rendait probablement pas compte, mais la manière dont ses yeux observaient chaque détail de son environnement, tout en essayant de ne pas y prêter attention (cruel paradoxe étant donné à quel point la curiosité est un facteur déterminant d'humanité) était en fait la chose première qui fit se dérider Simon Pegg. Celui-ci offrit une main qui semblait un minimum rassurante, car très polie. Mais quand César la toucherait, la seule sensation qu'il ressentirait serait un gouffre noir et froid, comme s'il avait plongé la main dans l'eau glacée.
- Prendre un verre ? Hmmm, après tout pourquoi pas ? Vous savez, César, vous m'êtes quelqu'un de fort sympathique, mais je vais être douloureusement honnête avec vous. Votre public, je m'en contrefiche royalement. Vos réactions sont celles d'un primate habitué à ne pas quitter sa zone de confort, vous faites passer votre "émission" avant le reste... Laissez-moi vous dire une bonne chose. Votre public attendra, car lorsque vous retournerez auprès d'eux, ce sera comme si pas une seule seconde ne s'était passée, croyez-moi. Cet endroit - la Basilique - existe bien au-delà des frontières du temps et de l'espace. Après tout, je pense que même vous, l'on a dû vous dire que le temps était relatif, n'est-ce pas ? Allons, pas même une seule petite fois dans votre vie ? Je vous rassure, il en va de même pour l'espace. Tenez, passons dans mon bureau.
"Simon Pegg" eut alors un geste de la main, et soudain, un nouveau vertige saisit César alors que le décor autour d'eux changeait de manière paradoxale. En effet, ce changement semblait d'une lenteur propre à celle de l'agonie, et en même temps c'était tout comme si le décor avait toujours été là. Et ce décor sembla heureusement beaucoup plus familier. Car il s'agissait du bureau que César avait occupé, peu de temps avant de devenir cette superstar du show-business...
Le groupe de silhouettes encapuchonnées prit place tout au fond de la salle. Si César avait pu voir leurs yeux, il aurait aisément pu deviner que leur regard ne le lâchait pas. Ou en tout cas, c'est ce qu'il aurait été légitime de penser. Mais la première chose que César remarquerait, ce serait certainement le fait que "Simon Pegg" avait pris le fauteuil derrière le bureau comme si c'était la chose la plus naturelle au monde, à la place de César.
- Eh bien, allons-y. Je suppose que vous avez une foule de questions. Soyez rassuré, j'en ai tout autant à votre compte. A commencer par la première, qui serait plutôt une recommandation, ou bien un genre de petit avertissement. Ne faites ou ne dites rien qui serait contraire au bon sens le plus élémentaire.
- Prendre un verre ? Hmmm, après tout pourquoi pas ? Vous savez, César, vous m'êtes quelqu'un de fort sympathique, mais je vais être douloureusement honnête avec vous. Votre public, je m'en contrefiche royalement. Vos réactions sont celles d'un primate habitué à ne pas quitter sa zone de confort, vous faites passer votre "émission" avant le reste... Laissez-moi vous dire une bonne chose. Votre public attendra, car lorsque vous retournerez auprès d'eux, ce sera comme si pas une seule seconde ne s'était passée, croyez-moi. Cet endroit - la Basilique - existe bien au-delà des frontières du temps et de l'espace. Après tout, je pense que même vous, l'on a dû vous dire que le temps était relatif, n'est-ce pas ? Allons, pas même une seule petite fois dans votre vie ? Je vous rassure, il en va de même pour l'espace. Tenez, passons dans mon bureau.
"Simon Pegg" eut alors un geste de la main, et soudain, un nouveau vertige saisit César alors que le décor autour d'eux changeait de manière paradoxale. En effet, ce changement semblait d'une lenteur propre à celle de l'agonie, et en même temps c'était tout comme si le décor avait toujours été là. Et ce décor sembla heureusement beaucoup plus familier. Car il s'agissait du bureau que César avait occupé, peu de temps avant de devenir cette superstar du show-business...
- Eh bien, allons-y. Je suppose que vous avez une foule de questions. Soyez rassuré, j'en ai tout autant à votre compte. A commencer par la première, qui serait plutôt une recommandation, ou bien un genre de petit avertissement. Ne faites ou ne dites rien qui serait contraire au bon sens le plus élémentaire.
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Cesar Flickerman
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César sentit un frisson glacial parcourir son échine alors que sa main rencontrait celle de Simon Pegg. L'illusion d'une poignée de main amicale s'effondrait rapidement, remplacée par une sensation de froid mordant qui le fit frémir. Le visage de César se fendit d'un sourire poli, bien qu'une certaine tension était perceptible dans son regard, trahissant son malaise face à cette rencontre inattendue.
« Je… je vois que vous avez votre propre manière d’aborder les choses » commença-t-il, sa voix trahissant une légère hésitation. « Mais mon métier consiste à offrir du divertissement, pas pour philosopher sur le temps et l'espace. »
Il observa le bureau qui lui était familier, mais qui maintenant semblait étrangement étriqué sous la présence de Simon. Ce dernier s’y installait avec une nonchalance déconcertante, comme s'il était le maître des lieux. Les silhouettes encapuchonnées dans le fond de la salle ajoutaient une atmosphère de mystère, presque d'oppression.
César se redressa légèrement dans son siège, tentant de regagner le contrôle de la situation. Il ne pouvait se demander ce qui motivait cet etre, qui avait l’apparence d’une star d’Hollywood, de l’attirer ici. Il fixa Simon avec une intensité renouvelée.
*Le sens rudimentaire ? Tout ça n’a aucun sens ! *
César essaya de reprendre ses esprits ; s’il voulait avoir une chance de quitter cet endroit, alors il avait intérêt à suivre les consignes de cet homme. Après que son interlocuteur prit place, César s’avança, essayant de s’armer de courage, et prit place. Pour la première fois, c’était lui l’invité et non le présentateur. Une belle ironie.
*Vite, il me faut une cigarette ! *
La main tremblante, césar se saisit de sa poche à l’intérieur de sa veste et y sortit son paquet de cigarettes. Il y sortit une, et puis se rendit compte qu’il n’avait pas de briquet.
*Mince, il a du etre carbonisé en meme temps que mon doigt… mince ! *
César fixa son interlocuteur, avec effroi.
*De toute façon, rien ne garantit que ce type, ou ‘cette chose’ m’aurait laissé fumer…*
César, s’armant de ce qu’il avait de courage, prit la parole.
« Premièrement, je veux savoir qui vous êtes ? Vous avez l’apparence de Simon, mais il est clair que vous n’êtes pas Simon Peggs. Alors, qui êtes-vous ? Et surtout, pourquoi je suis ici ? »
« Je… je vois que vous avez votre propre manière d’aborder les choses » commença-t-il, sa voix trahissant une légère hésitation. « Mais mon métier consiste à offrir du divertissement, pas pour philosopher sur le temps et l'espace. »
Il observa le bureau qui lui était familier, mais qui maintenant semblait étrangement étriqué sous la présence de Simon. Ce dernier s’y installait avec une nonchalance déconcertante, comme s'il était le maître des lieux. Les silhouettes encapuchonnées dans le fond de la salle ajoutaient une atmosphère de mystère, presque d'oppression.
César se redressa légèrement dans son siège, tentant de regagner le contrôle de la situation. Il ne pouvait se demander ce qui motivait cet etre, qui avait l’apparence d’une star d’Hollywood, de l’attirer ici. Il fixa Simon avec une intensité renouvelée.
*Le sens rudimentaire ? Tout ça n’a aucun sens ! *
César essaya de reprendre ses esprits ; s’il voulait avoir une chance de quitter cet endroit, alors il avait intérêt à suivre les consignes de cet homme. Après que son interlocuteur prit place, César s’avança, essayant de s’armer de courage, et prit place. Pour la première fois, c’était lui l’invité et non le présentateur. Une belle ironie.
*Vite, il me faut une cigarette ! *
La main tremblante, césar se saisit de sa poche à l’intérieur de sa veste et y sortit son paquet de cigarettes. Il y sortit une, et puis se rendit compte qu’il n’avait pas de briquet.
*Mince, il a du etre carbonisé en meme temps que mon doigt… mince ! *
César fixa son interlocuteur, avec effroi.
*De toute façon, rien ne garantit que ce type, ou ‘cette chose’ m’aurait laissé fumer…*
César, s’armant de ce qu’il avait de courage, prit la parole.
« Premièrement, je veux savoir qui vous êtes ? Vous avez l’apparence de Simon, mais il est clair que vous n’êtes pas Simon Peggs. Alors, qui êtes-vous ? Et surtout, pourquoi je suis ici ? »
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La question, ou plutôt la succession de questions, ne sembla pas troubler "Simon Pegg" outre mesure. En fait, c'était plutôt l'inverse : il sembla s'en amuser, et pas qu'un peu. Comme si la détresse de César était pour lui un divertissement dont il choisirait la durée de manière totalement arbitraire. Puis, au bout d'un petit moment, dans le silence le plus complet, on entendit un léger tic-tac. Comme si une montre qui avait oublié de sonner venait de se remettre en marche après qu'on l'air rabrouée. Et à la surprise de César, c'était bien cette parodie de Simon Pegg qui produisait ce bruit, avec une fidélité absolument choquante. Quiconque aurait été aveugle, ou n'aurait pas regardé le visage de l'acteur, aurait été persuadé d'entendre une montre.
Sur le visage de l'acteur Britannique, cependant, le sourire avait disparu. Et, beaucoup plus curieux, le visage semblait s'allonger. Un peu comme si la personne en face de lui portait un masque en caoutchouc.
"Je crois bien que vous êtes le tout premier César Flickerman qui comprend que le "quoi" est aussi important que le "qui" de façon aussi rapide !"
S'ensuivit alors une vision d'horreur. Comme si le visage avait véritable commencé à fondre, et que la chair de l'acteur se détachait par paquets, de même que la mâchoire. Comme s'il n'était qu'une statue de sable que la pluie venait ruiner après un magnifique été. Pourtant, la créature semblait terriblement calme. Jusqu'à ce qu'enfin...
Mais le plus impressionnant était tous ces visages. Autour de César, les capuches s'étaient abaissées, révélant toujours des visages connus. Des femmes que César avaient rencontrées. Parfois intimement, souvent en privé, mais toujours avec un désir. Le désir de les avoir, pour lui et seulement lui. Des femmes qu'il aurait voulu faire sienne, maintenant, tout de suite et à jamais. Et à chaque capuche qui tombait, c'était une femme de plus qui apparaissait, dans la splendeur de la nudité la plus vulgaire... et pourtant ces femmes transpiraient la sophistication. Des bijoux de pulsions charnelles, des diamants de plaisir brut façonnés par des orfèvres du désir. Et face à lui, l'androgyne cornu ricanait, d'une voix délicieusement acerbe. L'on lui aurait donné le Bon Dieu sans confession, même en voyant ces femmes prêtes à se battre pour une seule miette de son affection..
"Mais je ne me suis pas présenté, mon cher ! Êtes-vous religieux ? Chrétien, peut-être ? Ou autre chose ? Alors vous pouvez m'appeler Lucifer. Ou Moloch. Ou Sheitan. Ou même, pourquoi pas, comme les nerds m'appelleraient aujourd'hui, Slaanesh."
Et l'individu de glousser, prenant une des nombreuses femmes nues sur ses genoux. La femme semblait en transe rien qu'à l'observer, et son toucher semblait suffire à lui prodiguer un orgasme instantané.
"Mais mon vrai nom, mon nom véritable... Oh, je suis certain qu'il va vous plaire, car c'est une belle histoire qui commence... je suis Tramail. Le Diable, le vrai. Celui qui condamne par l'exemple et punit par la récompense. Je connais vos instincts et les utilise contre vous, pour toujours et à jamais. Je connais mieux les Hommes que les Hommes ne me connaissent, et on m'appelle bien souvent le Cornu, alors que je ne suis pas celui qui mérite le plus cette dénomination. Sérieusement, César. Mon cher César. Pourriez-vous me faire une faveur ?"
De toutes les femmes dans la pièce, c'est celle que César avait le plus désirée qui vient se place devant lui, à genoux, venant directement lui toucher l'entrejambe, sans autre forme de procès.
"Suis-je vraiment aussi cornu que cela, quand la moitié des femmes de tous les univers ne rêvent plus que de moi une fois après avoir connu ne serait-ce que le plaisir d'une conversation avec moi ?"
Sur le visage de l'acteur Britannique, cependant, le sourire avait disparu. Et, beaucoup plus curieux, le visage semblait s'allonger. Un peu comme si la personne en face de lui portait un masque en caoutchouc.
"Je crois bien que vous êtes le tout premier César Flickerman qui comprend que le "quoi" est aussi important que le "qui" de façon aussi rapide !"
S'ensuivit alors une vision d'horreur. Comme si le visage avait véritable commencé à fondre, et que la chair de l'acteur se détachait par paquets, de même que la mâchoire. Comme s'il n'était qu'une statue de sable que la pluie venait ruiner après un magnifique été. Pourtant, la créature semblait terriblement calme. Jusqu'à ce qu'enfin...
"Mais nous voici maintenant entre amis, mesdames et messieurs ! Pour le plus grand plaisir de notre César Flickermann international ! Ou devrais-je dire Multiversiel ?"
La créature face à César avait tout du diable. Vraiment tout. Une beauté androgyne ensorcellente qui aurait tenté n'importe quel simple mortel, un regard de braise qui invitait autant à la subtilité qu'à la destruction indiscriminante de tout ce qui pouvait exister. L'expression du mal absolu, dans toute sa beauté et son charme.Mais le plus impressionnant était tous ces visages. Autour de César, les capuches s'étaient abaissées, révélant toujours des visages connus. Des femmes que César avaient rencontrées. Parfois intimement, souvent en privé, mais toujours avec un désir. Le désir de les avoir, pour lui et seulement lui. Des femmes qu'il aurait voulu faire sienne, maintenant, tout de suite et à jamais. Et à chaque capuche qui tombait, c'était une femme de plus qui apparaissait, dans la splendeur de la nudité la plus vulgaire... et pourtant ces femmes transpiraient la sophistication. Des bijoux de pulsions charnelles, des diamants de plaisir brut façonnés par des orfèvres du désir. Et face à lui, l'androgyne cornu ricanait, d'une voix délicieusement acerbe. L'on lui aurait donné le Bon Dieu sans confession, même en voyant ces femmes prêtes à se battre pour une seule miette de son affection..
"Mais je ne me suis pas présenté, mon cher ! Êtes-vous religieux ? Chrétien, peut-être ? Ou autre chose ? Alors vous pouvez m'appeler Lucifer. Ou Moloch. Ou Sheitan. Ou même, pourquoi pas, comme les nerds m'appelleraient aujourd'hui, Slaanesh."
Et l'individu de glousser, prenant une des nombreuses femmes nues sur ses genoux. La femme semblait en transe rien qu'à l'observer, et son toucher semblait suffire à lui prodiguer un orgasme instantané.
"Mais mon vrai nom, mon nom véritable... Oh, je suis certain qu'il va vous plaire, car c'est une belle histoire qui commence... je suis Tramail. Le Diable, le vrai. Celui qui condamne par l'exemple et punit par la récompense. Je connais vos instincts et les utilise contre vous, pour toujours et à jamais. Je connais mieux les Hommes que les Hommes ne me connaissent, et on m'appelle bien souvent le Cornu, alors que je ne suis pas celui qui mérite le plus cette dénomination. Sérieusement, César. Mon cher César. Pourriez-vous me faire une faveur ?"
De toutes les femmes dans la pièce, c'est celle que César avait le plus désirée qui vient se place devant lui, à genoux, venant directement lui toucher l'entrejambe, sans autre forme de procès.
"Suis-je vraiment aussi cornu que cela, quand la moitié des femmes de tous les univers ne rêvent plus que de moi une fois après avoir connu ne serait-ce que le plaisir d'une conversation avec moi ?"
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Cesar Flickerman
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César resta immobile, figé dans une posture presque théâtrale. Son sourire caractéristique vacillait, remplacé par éclat de nervosité trahissant l’ampleur du choc qu’il subissait. Simon pegg (ou plutôt ce qui semblait etre l’acteur britannique) vit son visage se déformer soudainement pour laisser place une apparence beaucoup plus… démoniaque.
« Qui-Qui êtes vous ?! »
L’individu ne tarda pas à se présenter : il s’appelait « tramail », et n’avait absolument rien d’humain. Il avait meme demandé à cesar s’il était religieux, une question qui surprit l’animateur tant il n’avait jamais donné d’importance à la religion, qu’il considérait comme un comte de fée. Il fallait dire que lorsque vous étiez millionnaire, Dieu ne relevait que peu d’importance face aux immenses plaisirs que vous pouviez acheter via l’argent. Alors, durant toute sa vie, César était plongé dans le matérialisme athée et n’avait jamais développé de spiritualité à proprement parler.
« Je… Je vous repose la question : qui êtes-vous ?! »
L’individu se présenta comme étant le diable en personne, ce qui écarquilla les yeux de César. Le diable ?! il avait certes lu la Bible alors qu’il était un enfant, qui pour lui n’était rien d’autre qu’un roman horrifique destinée à faire peur aux enfants. Et jamais il n’aurait pu imaginer que le diable existait réellement. Après tout, c’était juste une créature issue de l’imaginaire de l’homme… n’est-ce-pas ?
« Le diable, vous dites ?! »
Sauf que le diable s’appelait apparemment Tramail et non Lucifer comme affirmait la religion chrétienne. Puis, à sa grande surprise, il lui demanda s’il lui pouvait faire une faveur.
« Moi, une faveur ?! »
La surprise de César était amplement justifiée : quel genre de faveur pouvait-il bien accorder à cet individu, ou plutôt cette chose ? cette entité semblait déjà avoir tout l’univers dans la paume de sa main, comme on témoignait son incroyable pouvoir de séduction, puisque d’un geste de main, il réussit à faire entrer en transe une des femmes présentes d’un simple regard. De la magie ? César était au courant que certains êtres dans le Multivers étaient capables de prouesses qui dépassaient l’entendement, mais son interlocuteur semblait encore plus puissant, comme si le monde entier lui appartenait.
« Vous n’avez toujours pas répondu à ma question : qu’est ce que je fais ici ? Pourquoi- »
César ne put terminer sa phrase car une des femmes présentes (étrangement, celle qui lui plaisait le plus) vint prendre place sur ses genoux avant de lui caresser son membre masculin. Une attitude choquante qui le fit glousser un peu, tant la créature était belle et séduisante. La verge de César commença à s’exciter sous les caresses de sa partenaire, mais il décida néanmoins d’opposer une résistance, aussi maigre soit-elle, afin de résister à l’emprise du démon.
« Non, arrêtez, je… je ne veux pas. Je suis marié et j’ai des enfants, s’il vous plait, arrêtez… »
Une résistance futile, car pour une raison quelconque, la verge de César était devenu soudainement plus sensible ! le cinquantenaire, qui devait prendre des aphrodisiaques pour baiser sa femme, bandait soudainement comme un taureau. Cela ne pouvait etre que l’œuvre de ce démon !
Mais que voulait-il, au final ?
« Qui-Qui êtes vous ?! »
L’individu ne tarda pas à se présenter : il s’appelait « tramail », et n’avait absolument rien d’humain. Il avait meme demandé à cesar s’il était religieux, une question qui surprit l’animateur tant il n’avait jamais donné d’importance à la religion, qu’il considérait comme un comte de fée. Il fallait dire que lorsque vous étiez millionnaire, Dieu ne relevait que peu d’importance face aux immenses plaisirs que vous pouviez acheter via l’argent. Alors, durant toute sa vie, César était plongé dans le matérialisme athée et n’avait jamais développé de spiritualité à proprement parler.
« Je… Je vous repose la question : qui êtes-vous ?! »
L’individu se présenta comme étant le diable en personne, ce qui écarquilla les yeux de César. Le diable ?! il avait certes lu la Bible alors qu’il était un enfant, qui pour lui n’était rien d’autre qu’un roman horrifique destinée à faire peur aux enfants. Et jamais il n’aurait pu imaginer que le diable existait réellement. Après tout, c’était juste une créature issue de l’imaginaire de l’homme… n’est-ce-pas ?
« Le diable, vous dites ?! »
Sauf que le diable s’appelait apparemment Tramail et non Lucifer comme affirmait la religion chrétienne. Puis, à sa grande surprise, il lui demanda s’il lui pouvait faire une faveur.
« Moi, une faveur ?! »
La surprise de César était amplement justifiée : quel genre de faveur pouvait-il bien accorder à cet individu, ou plutôt cette chose ? cette entité semblait déjà avoir tout l’univers dans la paume de sa main, comme on témoignait son incroyable pouvoir de séduction, puisque d’un geste de main, il réussit à faire entrer en transe une des femmes présentes d’un simple regard. De la magie ? César était au courant que certains êtres dans le Multivers étaient capables de prouesses qui dépassaient l’entendement, mais son interlocuteur semblait encore plus puissant, comme si le monde entier lui appartenait.
« Vous n’avez toujours pas répondu à ma question : qu’est ce que je fais ici ? Pourquoi- »
César ne put terminer sa phrase car une des femmes présentes (étrangement, celle qui lui plaisait le plus) vint prendre place sur ses genoux avant de lui caresser son membre masculin. Une attitude choquante qui le fit glousser un peu, tant la créature était belle et séduisante. La verge de César commença à s’exciter sous les caresses de sa partenaire, mais il décida néanmoins d’opposer une résistance, aussi maigre soit-elle, afin de résister à l’emprise du démon.
« Non, arrêtez, je… je ne veux pas. Je suis marié et j’ai des enfants, s’il vous plait, arrêtez… »
Une résistance futile, car pour une raison quelconque, la verge de César était devenu soudainement plus sensible ! le cinquantenaire, qui devait prendre des aphrodisiaques pour baiser sa femme, bandait soudainement comme un taureau. Cela ne pouvait etre que l’œuvre de ce démon !
Mais que voulait-il, au final ?
Envie de participer au Multiverse Talkshow ? MP Moi !
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Primordium
- Messages : 11
- Enregistré le : 20 août 2024 15:06
- Non, arrêtez, je… je ne veux pas. Je suis marié et j’ai des enfants, s’il vous plait, arrêtez…
Une tentative pitoyable de se protéger. Alors que quand on y réfléchissait une demi-minute, voire même - soyons fous - dix secondes, il était facile d'en rire. Après tout, le métier de César Flichermann, son gagne-pain, n'était-il pas de ne pas tenir compte du fait que certains de ses invités étaient eux-mêmes marriés et avaient des enfants ? Combien d'invités l'homme avait-il humiliés en direct, pour le plus grand plaisir de son public, sans la moindre considération pour leur propre estime d'eux-mêmes ?
Un joli retour de bâton, d'une certaine manière. Comme le dirait le proverbe, tel est pris qui croyait prendre...
- Aussi incroyable que cela puisse paraître, mon cher César, je m'en contrefiche. Et en même temps, c'est ma préoccupation la plus absolue à l'instant T. Comment pourriez-vous savoir duquel des deux nous sommes le plus proche, là, maintenant, tout de suite ? Venant de quelqu'un dont c'est assez littéralement le gagne-pain que de tourner ses invités en ridicule et de révéler au monde entier leurs pires travers, pour le plus grand plaisir de votre audience... C'est assez ironique, vous ne trouvez pas ?
La femme assise sur les genoux de Tramail était en train de se toucher, sans la moindre honte, alors que le diable en personne lui molestait la poitrine. Tout cela pour son plus grand plaisir alors que malgré tous ses efforts, César ne pourrait pas empêcher la femme en face de lui de libérer sa queue de sa prison de tissu. Qu'il le veuille ou non, il se retrouverait la verge au vent, à deux doigts de l'orgasme lui-même... Et ce serait pile à ce moment que la femme le lâcherait, semblant se rhabiller en un éclair.
Et avant même que le cocktail de frustration, de honte et de choc ne finisse d'atteindre le cerveau du journaliste, celui-ci se trouva de nouveau derrière son bureau... En plein devant son public. Face à lui, Miyazaki ne put se retenir de pouffer, et les rires commencèrent. Car oui, cette verge au vent, tout le monde sur le plateau de télé la voyait, maintenant ! Dure, bandée comme celle d'un taureau... Impossible de la louper, en fait, car c'est à ce moment que la verge de César allait éjaculer, échapant à tout contrôle... Pour le plus grand bonheur de l'audience, c'était certain ! Et dans la tête de César, une seule petite déclaration, qui se perdait presque dans le torrent de rire et d'humiliation qui manqua submerger César.
- Allez-y, César, donnez-leur leur plaisir ! Montrez-leur ce que vous savez faire de mieux... A moins que vous ne soyiez qu'un lâche parmi tant d'autres ? A moins que vous soyiez en fait assez lâche pour souhaiter disparaître ? Soit !
Et le pauvre César d'être livré à lui-même pendant une bonne minute. L'on pourrait croire que ce serait peu... Mais dans la situation de César ? Nul doute que cela serait une véritable agonie... Mais heureusement pour lui, juste avant qu'on ne l'expulse du plateau, il y eut de nouveau ce flash, et de nouveau, César se retrouva en face de Tramail. Le Diable était hilare, de même que toutes les femmes qui l'accompagnaient.
- Ce que je veux, César ? C'est simple. Vous voulez interviewer quelqu'un qui compte vraiment ? Alors allez-y. Interviewez-moi. Les règles du jeu sont simples. En fait, il n'y en a qu'une : arriverez vous à poser toutes vos questions sans devenir fou ? Car ceux qui viendront après moi ? Ils sont encore moins lucides que je ne le suis, d'après vos propres standards...
Une tentative pitoyable de se protéger. Alors que quand on y réfléchissait une demi-minute, voire même - soyons fous - dix secondes, il était facile d'en rire. Après tout, le métier de César Flichermann, son gagne-pain, n'était-il pas de ne pas tenir compte du fait que certains de ses invités étaient eux-mêmes marriés et avaient des enfants ? Combien d'invités l'homme avait-il humiliés en direct, pour le plus grand plaisir de son public, sans la moindre considération pour leur propre estime d'eux-mêmes ?
Un joli retour de bâton, d'une certaine manière. Comme le dirait le proverbe, tel est pris qui croyait prendre...
- Aussi incroyable que cela puisse paraître, mon cher César, je m'en contrefiche. Et en même temps, c'est ma préoccupation la plus absolue à l'instant T. Comment pourriez-vous savoir duquel des deux nous sommes le plus proche, là, maintenant, tout de suite ? Venant de quelqu'un dont c'est assez littéralement le gagne-pain que de tourner ses invités en ridicule et de révéler au monde entier leurs pires travers, pour le plus grand plaisir de votre audience... C'est assez ironique, vous ne trouvez pas ?
La femme assise sur les genoux de Tramail était en train de se toucher, sans la moindre honte, alors que le diable en personne lui molestait la poitrine. Tout cela pour son plus grand plaisir alors que malgré tous ses efforts, César ne pourrait pas empêcher la femme en face de lui de libérer sa queue de sa prison de tissu. Qu'il le veuille ou non, il se retrouverait la verge au vent, à deux doigts de l'orgasme lui-même... Et ce serait pile à ce moment que la femme le lâcherait, semblant se rhabiller en un éclair.
Et avant même que le cocktail de frustration, de honte et de choc ne finisse d'atteindre le cerveau du journaliste, celui-ci se trouva de nouveau derrière son bureau... En plein devant son public. Face à lui, Miyazaki ne put se retenir de pouffer, et les rires commencèrent. Car oui, cette verge au vent, tout le monde sur le plateau de télé la voyait, maintenant ! Dure, bandée comme celle d'un taureau... Impossible de la louper, en fait, car c'est à ce moment que la verge de César allait éjaculer, échapant à tout contrôle... Pour le plus grand bonheur de l'audience, c'était certain ! Et dans la tête de César, une seule petite déclaration, qui se perdait presque dans le torrent de rire et d'humiliation qui manqua submerger César.
- Allez-y, César, donnez-leur leur plaisir ! Montrez-leur ce que vous savez faire de mieux... A moins que vous ne soyiez qu'un lâche parmi tant d'autres ? A moins que vous soyiez en fait assez lâche pour souhaiter disparaître ? Soit !
Et le pauvre César d'être livré à lui-même pendant une bonne minute. L'on pourrait croire que ce serait peu... Mais dans la situation de César ? Nul doute que cela serait une véritable agonie... Mais heureusement pour lui, juste avant qu'on ne l'expulse du plateau, il y eut de nouveau ce flash, et de nouveau, César se retrouva en face de Tramail. Le Diable était hilare, de même que toutes les femmes qui l'accompagnaient.
- Ce que je veux, César ? C'est simple. Vous voulez interviewer quelqu'un qui compte vraiment ? Alors allez-y. Interviewez-moi. Les règles du jeu sont simples. En fait, il n'y en a qu'une : arriverez vous à poser toutes vos questions sans devenir fou ? Car ceux qui viendront après moi ? Ils sont encore moins lucides que je ne le suis, d'après vos propres standards...
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Cesar Flickerman
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- Enregistré le : 15 août 2024 19:39
- Fiche
César n’avait jamais réellement été un homme intègre. Meme s’il est vrai qu’il était marié et avait des enfants, le présentateur avait plus d’une fois trompé sa femme avec des prostitués, et avait meme frôlé le divorce à un certain moment. Qui plus est, ses interventions télévisées se résumaient souvent à ridiculiser ses invités et les faire paraitre de maniére peu honorable. Des célébrités que César avait ridiculisées, il y’en avait des dizaines. C’est ce qui faisait le charme de son show, et c’est ce qui lui permettait d’atteindre un taux de visionnage de fou. Pour obtenir plus de vues, César était clairement prêt à tout, y compris ridiculiser des jeunes invités en public. Et cela, l’entité démoniaque semblait le percevoir clairement : elle percevait la malice sous-jacente caché à l’intérieur du présentateur.
Alors que César se faisait masturber par ce jeune homme, et qu’il approchait bientôt l’orgasme, cette dernière le lâcha au dernier moment, et a l’instant meme, il se retrouva, comme par magie, sur son plateau télé !
*Bon sang, mais qu’est ce que… qu’est-ce que je fais ici ?!*
Verge a l’air, César fut tout de suite la risée du public, qui n’hésita pas à prendre en photo le présentateur. Nul doute que ces photos allaient bientôt inonder les réseaux sociaux, et lever un véritable raz de marée sur la toile !
« Je… »
César ne savait trop quoi faire, paralysée par la honte, ne pouvant meme pas remonter son pantalon. Il resta figé, là, quelques secondes, avant qu’un nouveau flash le ramène à cette réalité parallèle ou il avait atterri, en face de ce démon.
Essoufflée, césar vomit au coin de la pièce, avant de remonter son pantalon et de s’essuyer la bouche avec un mouchoir qu’il avait dans la poche. Désemparé, le présentateur fit appel à ses sens, et se persuada que ce qu’il était entrain de vivre était un cauchemar, certes, mais un cauchemar éveillé. Et s’il voulait avoir la moindre chance de s’en sortir, il fallait qu’il fasse appel à toute sa lucidité.
Prenant place sur son siégé, César attrapa une bouteille d’eau qui était posé sur la table, là, par hasard, avant d’en boire une gorgée. Puis il se prépara à faire face à cette… chose.
« Vous avez parlé d’autres qui viendrez après vous, est ce qui il y’a d’autres comme vous ? Combien ils sont ? Etes-vous des extra-terrestres ? Souhaitez-vous faire un passer un message particulier à l’humanité ? »
Alors que César se faisait masturber par ce jeune homme, et qu’il approchait bientôt l’orgasme, cette dernière le lâcha au dernier moment, et a l’instant meme, il se retrouva, comme par magie, sur son plateau télé !
*Bon sang, mais qu’est ce que… qu’est-ce que je fais ici ?!*
Verge a l’air, César fut tout de suite la risée du public, qui n’hésita pas à prendre en photo le présentateur. Nul doute que ces photos allaient bientôt inonder les réseaux sociaux, et lever un véritable raz de marée sur la toile !
« Je… »
César ne savait trop quoi faire, paralysée par la honte, ne pouvant meme pas remonter son pantalon. Il resta figé, là, quelques secondes, avant qu’un nouveau flash le ramène à cette réalité parallèle ou il avait atterri, en face de ce démon.
Essoufflée, césar vomit au coin de la pièce, avant de remonter son pantalon et de s’essuyer la bouche avec un mouchoir qu’il avait dans la poche. Désemparé, le présentateur fit appel à ses sens, et se persuada que ce qu’il était entrain de vivre était un cauchemar, certes, mais un cauchemar éveillé. Et s’il voulait avoir la moindre chance de s’en sortir, il fallait qu’il fasse appel à toute sa lucidité.
Prenant place sur son siégé, César attrapa une bouteille d’eau qui était posé sur la table, là, par hasard, avant d’en boire une gorgée. Puis il se prépara à faire face à cette… chose.
« Vous avez parlé d’autres qui viendrez après vous, est ce qui il y’a d’autres comme vous ? Combien ils sont ? Etes-vous des extra-terrestres ? Souhaitez-vous faire un passer un message particulier à l’humanité ? »
Envie de participer au Multiverse Talkshow ? MP Moi !