Dans un monde de fantaisie et de magie se trouve le royaume de Latvira. Imaginez un royaume typique avec des frontières terrestres et côtières, des villages comme des villes, une capitale fleurissante et une géopolitique intéressante entre humains et créatures fantastiques. Latvira est passé à travers des périodes rocambolesques à ses débuts entre des pestes agressant les villageois des régions et la guerre avec des royaumes voisins convoitant de nouvelles terres. Bien d’autres auraient succombés devant la rudesse et la puissance militaire de ces adversaires avant que la lignée royale prenne une décision décisive pour le sort du royaume. Le roi Alexander Latvira fut le premier roi humain à se libérer des chaînes de la discrimination et de la méfiance en ouvrant le dialogue avec les races hybrides, humanoïdes et les Monstergirls abandonnés dans la nature comme des sauvages. Il décréta que ses terres ouvriront les bras à l’immigration de ces non-humains. Il décréta vouloir leur donner les mêmes opportunités que les humains à fonder une famille et dans les offres de travail. La principale conséquence de ce changement radical de cap dans les relations inter-espèces fut un boom économique inégalé dans l’histoire du continent ainsi que le développement militaire qui modifia la balance du pouvoir. D’anciens ennemis et rivaux devinrent amicaux et enclin à la négociation plutôt que de se résoudre à la violence. Alexander Latvira était et reste à ce jour un Héros pour toutes les races non-humaines.
Au fil du temps l’héritage d’Alexander fut conservé en plus de solidifié en permanence la loyauté des non-humaines et Latvira, ainsi que la loyauté de Latvira envers les non-humaines. Le petit-fils d’Alexander, nommé Xander, élargi les décrets de son grand-père pour accueillir avec bonne foi les réfugiées voulant fuir des terres irrespectueuses et moins clémentes. Le roi avait aussi un projet personnel et risqué ; un harem des plus belles et adorables créatures du royaume. Aucune n’était une esclave et chacune serait une concubine par choix. Et les humaines seraient tout aussi admissibles. Et pour toutes sortes de raisons des demoiselles se présentèrent comme recrues et devinrent des concubines, des habitantes à part entière du palais royal. L’économie et le trésor royal maintient encore aujourd’hui le style de vie de ces demoiselles de toutes les espèces qui connurent les amours de Xander puis de son fils Victor. Victor était un homme divisé entre le harem et ses devoirs de roi tandis qu’il dut rectifier des tensions de longue date quand le continent fut secoué par des insatisfactions civiles. Derrière les baisers et les ébats sexuels, il avait énormément de stress à défouler face au danger qui pèse sur Latvira.
C’est ce stress qui expliquerait, selon tous ses proches conseillers et ministres, la raison de son décès à l’âge de 42 ans. Une semaine de deuil fut décrété par le conseil des ministres. Puis il fut annoncé que pour la première fois de son histoire Latvira aura une reine sur le trône mais qu’il faudra pour cela attendre un an jour pour jour jusqu’à à la 18ème année de la princesse Akari. Désormais âgée de 17 ans, elle a grandi dans l’art du combat et dans l’éducation. À l’origine on avait cru qu’elle était née garçon à cause d’un certain attribut phallique. La crise intérieure fut évitée quand Victor défendit sa fille en pointant du doigt comment on acceptait les hybrides et Monstergirls qui certaines avaient aussi des verges. Homme ou femme, Akari a été rôdée pour prendre un jour la relève et maintenir la prospérité de son peuple. Le triste trépas de son père a été un coup dur pour le moral. Elle aime son père, elle veut grandir un peu plus avant de recevoir la couronne sur sa tête. Mais l’enterrement de Victor Latvira fut un brusque réveil. Toute la semaine du deuil national elle resta dans sa chambre avec deux brèves sorties dans les jardins du palais.
Un bon matin les ministres le convoqua dans la salle de réunion pour confirmer la régence du royaume par le conseil pour toute une année. On l’encourage à poursuivre son éducation avec ses tuteurs avant qu’un autre ministre aborde le sujet du Harem royal. Il suggéra à la future reine Akari de rejoindre les concubines et apprendre à les connaître. Pendant sa jeunesse on lui avait interdit de s’approcher de l’aile des concubines puisqu’étant considérée comme trop jeune pour toucher à la sexualité. Mais avec un an à attendre et presque adulte on accorde permission à la jeune demoiselle de prendre possession des concubines. Pour quelques ministres il s’agirait d’un simple test pour s’assurer qu’Akari conserve la loyauté des filles et qu’elle arrive à les gérer à sa guise.
Dans une tenue royale courte, la jeune souveraine à en devenir inspire et avec une grande appréhension marche dans le corridor menant à l’aide des concubines. Elle sait que les filles furent averties de sa venue et elle affiche un sourire pour garder un air digne de son rang. Akari allait découvrir un monde au sein même du palais royal et sa poitrine prend de l’expansion à travers ses grandes respirations. De ses deux mains elle pousse les larges portes d’un bois polis et sculpté à la main pour entrer dans un tout nouvel environnement. On y voyait et sentait l’influence des filles non-humaines.
- Bonjour. Votre future reine est arrivée.
Au fil du temps l’héritage d’Alexander fut conservé en plus de solidifié en permanence la loyauté des non-humaines et Latvira, ainsi que la loyauté de Latvira envers les non-humaines. Le petit-fils d’Alexander, nommé Xander, élargi les décrets de son grand-père pour accueillir avec bonne foi les réfugiées voulant fuir des terres irrespectueuses et moins clémentes. Le roi avait aussi un projet personnel et risqué ; un harem des plus belles et adorables créatures du royaume. Aucune n’était une esclave et chacune serait une concubine par choix. Et les humaines seraient tout aussi admissibles. Et pour toutes sortes de raisons des demoiselles se présentèrent comme recrues et devinrent des concubines, des habitantes à part entière du palais royal. L’économie et le trésor royal maintient encore aujourd’hui le style de vie de ces demoiselles de toutes les espèces qui connurent les amours de Xander puis de son fils Victor. Victor était un homme divisé entre le harem et ses devoirs de roi tandis qu’il dut rectifier des tensions de longue date quand le continent fut secoué par des insatisfactions civiles. Derrière les baisers et les ébats sexuels, il avait énormément de stress à défouler face au danger qui pèse sur Latvira.
C’est ce stress qui expliquerait, selon tous ses proches conseillers et ministres, la raison de son décès à l’âge de 42 ans. Une semaine de deuil fut décrété par le conseil des ministres. Puis il fut annoncé que pour la première fois de son histoire Latvira aura une reine sur le trône mais qu’il faudra pour cela attendre un an jour pour jour jusqu’à à la 18ème année de la princesse Akari. Désormais âgée de 17 ans, elle a grandi dans l’art du combat et dans l’éducation. À l’origine on avait cru qu’elle était née garçon à cause d’un certain attribut phallique. La crise intérieure fut évitée quand Victor défendit sa fille en pointant du doigt comment on acceptait les hybrides et Monstergirls qui certaines avaient aussi des verges. Homme ou femme, Akari a été rôdée pour prendre un jour la relève et maintenir la prospérité de son peuple. Le triste trépas de son père a été un coup dur pour le moral. Elle aime son père, elle veut grandir un peu plus avant de recevoir la couronne sur sa tête. Mais l’enterrement de Victor Latvira fut un brusque réveil. Toute la semaine du deuil national elle resta dans sa chambre avec deux brèves sorties dans les jardins du palais.
Un bon matin les ministres le convoqua dans la salle de réunion pour confirmer la régence du royaume par le conseil pour toute une année. On l’encourage à poursuivre son éducation avec ses tuteurs avant qu’un autre ministre aborde le sujet du Harem royal. Il suggéra à la future reine Akari de rejoindre les concubines et apprendre à les connaître. Pendant sa jeunesse on lui avait interdit de s’approcher de l’aile des concubines puisqu’étant considérée comme trop jeune pour toucher à la sexualité. Mais avec un an à attendre et presque adulte on accorde permission à la jeune demoiselle de prendre possession des concubines. Pour quelques ministres il s’agirait d’un simple test pour s’assurer qu’Akari conserve la loyauté des filles et qu’elle arrive à les gérer à sa guise.
Dans une tenue royale courte, la jeune souveraine à en devenir inspire et avec une grande appréhension marche dans le corridor menant à l’aide des concubines. Elle sait que les filles furent averties de sa venue et elle affiche un sourire pour garder un air digne de son rang. Akari allait découvrir un monde au sein même du palais royal et sa poitrine prend de l’expansion à travers ses grandes respirations. De ses deux mains elle pousse les larges portes d’un bois polis et sculpté à la main pour entrer dans un tout nouvel environnement. On y voyait et sentait l’influence des filles non-humaines.
- Bonjour. Votre future reine est arrivée.
Le deuil était le même pour tout le monde ici, que ce soient les servantes, les ministres, la famille royale ou le harem, tout le monde aimait le roi. Mais force est de constater qu'évacuer le stress en leur compagnie n'aura pas suffit à le libérer de ce poids et désormais, indirectement, les filles s'en voulait. Ce n'était pas leur faute, même le médecin qui a ausculté le roi leur a bien précisé qu'elles n'y étaient pour rien, totalement innocente, mais voilà, elles gardaient ce petit goût en bouche plutôt amer, le goût d'un travail mal fait. Cela faisait étrange de ne plus voir le roi, même s'il n'était pas ici tous les soirs, il passait au moins une fois par jour, prendre des nouvelles, demander même conseil parfois et bien sûr, coucher avec certaines d'entre elles quand l'envie lui prenait. Au fil des jours, l'un des ministres venait au moins les avertir de la suite des événements, qu'elles sachent à quoi s'attendre, et même si c'était logique, c'était surprenant de savoir que la princesse allait avoir accès à cette aile privée et que donc, désormais, elle sera leur maîtresse, leur reine ! Surprenant, mais malgré quelques inquiétudes, car elle n'était pas majeure, mais presque adulte donc elle apprendra vite à les « utiliser » comme il fallait.
Pour une telle occasion, les filles devaient se mettre sur leur trente-et-un pour l'accueillir ou au contraire, mettre en avant leur charme pour lui taper dans l'œil ? Chacune avait sa petite méthode et chacune préparait sa présentation en se demandant comment était leur reine ? Elles avaient souvent entendu le roi en parler, parfois, pour certaines, l'avait aperçu brièvement, mais jamais elles ne l'avaient approcher. Il y avait un petit stress global pour les filles, mais aucune ne s'en faisait vraiment, de la bouche du roi, sa fille était parfaite alors certes, de la bouche d'un parent, c'est souvent plus souple et plus parfait. On se doute que la future reine ait quelques petits défauts, mais ça n'en faisait pas une mauvaise personne, juste une personne normale. Fixées sur la date de sa venue, les filles venaient non pas l’accueillir en rangée, elles étaient toutes postées sur l'un des lits du harem royal, certaines dessus, d'autres devant ou sur le côté, toutes scandaient la même phrase pour l'accueillir.
« Bienvenue, votre majesté ! »
Envoyant des tas de confettis, la nouvelle reine était bien accueillis tandis que sous les yeux de la jeune femme, des tas de femmes en tout genres se trouvaient là, prête à suivre le moindre de ses ordres. Pour la plupart, c'était la première fois qu'elles voyaient celle qui fut il n'y a pas si longtemps, la princesse de Latvira. Parmi toutes ses ravissantes créatures, une belle blonde approchait, un verre de vin en main, elle faisait office ici un peu, de patronne. Elle était l'une des filles les plus âgées ici de par sa nature de vampire, elle avait connu bien des membres de la famille royale. Tendant ce verre vers elle, son sourire était à la fois sincère avec une pointe d'autorité.
« Bienvenue chez vous, Majesté. Je suis Vaynelsing. C'est un peu mon rôle d'encadrer tout ce beau monde. Comment voulez-vous procéder ? Une inspection de chacune de vos amantes tour à tour ? Pour la plupart, elles ont tâchez de se mettre en valeur, d'autres ont même préparer quelque chose pour vous. »
Un poème, une petite fabrication artisanale, tout dépendait des filles en question, mais oui, Akari avait de toute sorte de femmes sous les yeux, de tout âge, taille, morphologie. Une femme chat répondant au nom de Kaeliss, une renarde aux cheveux rose se prénommant Marianne, une harpie aux formes plus discrète avec des pattes et des ailes couvertes de plumes sous les bras se nommant joyeusement Papi. Une demoiselle écureuil qui avait son petit nom, Noisette, Lydia, une jeune femme rat qui, de par sa nature s'entendait moins bien avec Kaeliss, deux sœurs ushi, un des rares cas doublon, car après tout, arrivées bien jeunes ici, elles ne pouvaient se séparer l'une de l'autre. Celle qui avait de gros pis se nommait Evy et sa jeune sœur Eveline. Mais il n'y avait pas que des femmes animaux, comme Vaynelsing qui était une vampire, il y avait une Jiganshi, Zu-bi, une sorte de zombie venue d'une lointaine contré, le talisman sur son front la maintenait en « vie », elle n'était pas méchante, mais il fallait quand même un peu se méfier, mais si elle était ici, c'était pour une bonne raison. Venant d'une région voisine à la Jiganshi, Madoka était une Oni, une ogresse donc. Frêle et svelte, elle semblait aussi redoutable qu'Eveline avec ses petits bras, mais l'habit ne fait pas le moine, elle était d'une force redoutable ! Il y avait bien des femmes pour la nouvelle reine, reste à savoir qui saura faire chavirer son petit cœur de princesse, et vers qui son secret allait gonfler entre ses jambes ?
Pour une telle occasion, les filles devaient se mettre sur leur trente-et-un pour l'accueillir ou au contraire, mettre en avant leur charme pour lui taper dans l'œil ? Chacune avait sa petite méthode et chacune préparait sa présentation en se demandant comment était leur reine ? Elles avaient souvent entendu le roi en parler, parfois, pour certaines, l'avait aperçu brièvement, mais jamais elles ne l'avaient approcher. Il y avait un petit stress global pour les filles, mais aucune ne s'en faisait vraiment, de la bouche du roi, sa fille était parfaite alors certes, de la bouche d'un parent, c'est souvent plus souple et plus parfait. On se doute que la future reine ait quelques petits défauts, mais ça n'en faisait pas une mauvaise personne, juste une personne normale. Fixées sur la date de sa venue, les filles venaient non pas l’accueillir en rangée, elles étaient toutes postées sur l'un des lits du harem royal, certaines dessus, d'autres devant ou sur le côté, toutes scandaient la même phrase pour l'accueillir.
« Bienvenue, votre majesté ! »
Envoyant des tas de confettis, la nouvelle reine était bien accueillis tandis que sous les yeux de la jeune femme, des tas de femmes en tout genres se trouvaient là, prête à suivre le moindre de ses ordres. Pour la plupart, c'était la première fois qu'elles voyaient celle qui fut il n'y a pas si longtemps, la princesse de Latvira. Parmi toutes ses ravissantes créatures, une belle blonde approchait, un verre de vin en main, elle faisait office ici un peu, de patronne. Elle était l'une des filles les plus âgées ici de par sa nature de vampire, elle avait connu bien des membres de la famille royale. Tendant ce verre vers elle, son sourire était à la fois sincère avec une pointe d'autorité.
« Bienvenue chez vous, Majesté. Je suis Vaynelsing. C'est un peu mon rôle d'encadrer tout ce beau monde. Comment voulez-vous procéder ? Une inspection de chacune de vos amantes tour à tour ? Pour la plupart, elles ont tâchez de se mettre en valeur, d'autres ont même préparer quelque chose pour vous. »
Un poème, une petite fabrication artisanale, tout dépendait des filles en question, mais oui, Akari avait de toute sorte de femmes sous les yeux, de tout âge, taille, morphologie. Une femme chat répondant au nom de Kaeliss, une renarde aux cheveux rose se prénommant Marianne, une harpie aux formes plus discrète avec des pattes et des ailes couvertes de plumes sous les bras se nommant joyeusement Papi. Une demoiselle écureuil qui avait son petit nom, Noisette, Lydia, une jeune femme rat qui, de par sa nature s'entendait moins bien avec Kaeliss, deux sœurs ushi, un des rares cas doublon, car après tout, arrivées bien jeunes ici, elles ne pouvaient se séparer l'une de l'autre. Celle qui avait de gros pis se nommait Evy et sa jeune sœur Eveline. Mais il n'y avait pas que des femmes animaux, comme Vaynelsing qui était une vampire, il y avait une Jiganshi, Zu-bi, une sorte de zombie venue d'une lointaine contré, le talisman sur son front la maintenait en « vie », elle n'était pas méchante, mais il fallait quand même un peu se méfier, mais si elle était ici, c'était pour une bonne raison. Venant d'une région voisine à la Jiganshi, Madoka était une Oni, une ogresse donc. Frêle et svelte, elle semblait aussi redoutable qu'Eveline avec ses petits bras, mais l'habit ne fait pas le moine, elle était d'une force redoutable ! Il y avait bien des femmes pour la nouvelle reine, reste à savoir qui saura faire chavirer son petit cœur de princesse, et vers qui son secret allait gonfler entre ses jambes ?
Tout le monde était prêt pour la venue de la future reine et Akari aussi avait sorti une belle tenue pour les rencontrer suite au deuil national du roi Victor. Le Harem royal a toujours accepté toutes les espèces incluant les humaines toutefois elle découvre que les semi-humaines – hybrides en tous genres – constituent la majorité au sein de l’aile des concubines. Akari entre dans la salle commune où des lits étaient en place avec les filles installées dessus et accueillant leur nouvelle souveraine. D’ailleurs la princesse les salua aussitôt une main sur son cœur et inclinant la tête en leur direction. Qu’importe que le titre de chacune soit d’être une concubine, une « catin » pour les mauvaises langues en dehors de Latvira, les filles sont là par consentement. Les décrets du adoré roi Alexander Latvira effaça les discriminations et les différences sociales entre les espèces. La seule exception fut la nécessité, pour la légitimité du royaume, de toujours maintenir une lignée royale humaine. Bref, quand bien même Akari sera leur reine elle a appris à montrer son respect le plus humain envers ses filles, ses chéries.
La jeune princesse se laissa approchée par la gouvernante du Harem, une grande femme blonde au regard vampirique doré. L’histoire du harem lui fut jadis racontée par son grand-père âgé et fondateur de l’aile des concubines. Il s’agissait d’une extension de la volonté d’Alexander en ouvrant le royaume à ses réfugiées en quête d’une terre de tolérance pour celles vivant dans une misère difficile à imaginer. Bien sûr il y avait quelques mauvaises personnes et la Justice n’épargne les crimes d’aucune race mais dans l’ensemble beaucoup de semi-humaines étaient honnêtes. Akari sourit gaiement à Vaynelsing qu’elle embrasse en douceur sur les lèvres. Lui caressant une joue elle inspire doucement et accepte le verre de vin de l’autre main.
- Je te connais déjà de feu mon père et grand-père. Tu es l’une des premières concubines de ma famille et tu as toujours été d’une loyauté irréprochable. Je suis heureuse de savoir que les vampires sont capables de bonté et d’honneur après des siècles de persécution. Que le royaume de Latvira soit à jamais ta maison et merci infiniment pour être ici parmi nous.
Akari se tourne vers les concubines et s’avance plus proche du centre de la pièce pour leur adresser la parole en même temps.
- Je peux sentir vos remords vis-à-vis la mort de Victor Latvira. Ayant grandi en sa présence je sais que la politique extérieure fut le contributeur principal de son stress. Je veux que vos cœurs soient en paix ; C’est grâce à vous si j’ai pu connaître mon père avant sa mort. Merci à vous toutes, mes chéries.
Akari expire et prend une gorgée de vin pour se désaltérer la gorge. Elle tenait absolument à être humble et montrer sa reconnaissance pour le Harem avant toute chose. Ce faisant, comme pour les précédents rois, elle continuerait à marcher ce chemin de l’affection et du respect absolu envers ses propres amantes. Mais il est grand temps pour la princesse de passer à l’étape cruciale : choisir sa première partenaire. Le plus cruel dans cette responsabilité était de choisir une à la fois et craindre de fomenter de la jalousie. C’était la sensation qui s’agrippe à la jeune demoiselle inexpérimentée.
Elle approche chaque lit et dans la moindre des choses offre une bise chaude sur chacune de leurs joues. Toutes seront aimées durant la prochaine année et Akari en faisait le serment mental. En leur donnant la bise elle en profite pour les toucher, laisser son corps réagir et lui indiquer qui sera l’élue. C’est avec le doublon de sœurs ushis que sa bosse commence à avoir une réaction. Akari se retourne vers les deux filles qu’elle fixe plus intensément. Elle pose un genou sur le lit et appose un premier sur Evy avant de sourire. Puis ses lèvres goûtent à celles d’Eveline avant que la princesse royale soupire chaudement embrasse la jeune ushi une seconde fois. Akari entre dans le lit et c’est là que son choix est fait.
- La journée est encore jeune. Je choisirai une autre fille plus tard en soirée. Entre-temps je souhaite expérimenter avec les deux sœurs, ma chère Vaynelsing.
La jeune princesse se laissa approchée par la gouvernante du Harem, une grande femme blonde au regard vampirique doré. L’histoire du harem lui fut jadis racontée par son grand-père âgé et fondateur de l’aile des concubines. Il s’agissait d’une extension de la volonté d’Alexander en ouvrant le royaume à ses réfugiées en quête d’une terre de tolérance pour celles vivant dans une misère difficile à imaginer. Bien sûr il y avait quelques mauvaises personnes et la Justice n’épargne les crimes d’aucune race mais dans l’ensemble beaucoup de semi-humaines étaient honnêtes. Akari sourit gaiement à Vaynelsing qu’elle embrasse en douceur sur les lèvres. Lui caressant une joue elle inspire doucement et accepte le verre de vin de l’autre main.
- Je te connais déjà de feu mon père et grand-père. Tu es l’une des premières concubines de ma famille et tu as toujours été d’une loyauté irréprochable. Je suis heureuse de savoir que les vampires sont capables de bonté et d’honneur après des siècles de persécution. Que le royaume de Latvira soit à jamais ta maison et merci infiniment pour être ici parmi nous.
Akari se tourne vers les concubines et s’avance plus proche du centre de la pièce pour leur adresser la parole en même temps.
- Je peux sentir vos remords vis-à-vis la mort de Victor Latvira. Ayant grandi en sa présence je sais que la politique extérieure fut le contributeur principal de son stress. Je veux que vos cœurs soient en paix ; C’est grâce à vous si j’ai pu connaître mon père avant sa mort. Merci à vous toutes, mes chéries.
Akari expire et prend une gorgée de vin pour se désaltérer la gorge. Elle tenait absolument à être humble et montrer sa reconnaissance pour le Harem avant toute chose. Ce faisant, comme pour les précédents rois, elle continuerait à marcher ce chemin de l’affection et du respect absolu envers ses propres amantes. Mais il est grand temps pour la princesse de passer à l’étape cruciale : choisir sa première partenaire. Le plus cruel dans cette responsabilité était de choisir une à la fois et craindre de fomenter de la jalousie. C’était la sensation qui s’agrippe à la jeune demoiselle inexpérimentée.
Elle approche chaque lit et dans la moindre des choses offre une bise chaude sur chacune de leurs joues. Toutes seront aimées durant la prochaine année et Akari en faisait le serment mental. En leur donnant la bise elle en profite pour les toucher, laisser son corps réagir et lui indiquer qui sera l’élue. C’est avec le doublon de sœurs ushis que sa bosse commence à avoir une réaction. Akari se retourne vers les deux filles qu’elle fixe plus intensément. Elle pose un genou sur le lit et appose un premier sur Evy avant de sourire. Puis ses lèvres goûtent à celles d’Eveline avant que la princesse royale soupire chaudement embrasse la jeune ushi une seconde fois. Akari entre dans le lit et c’est là que son choix est fait.
- La journée est encore jeune. Je choisirai une autre fille plus tard en soirée. Entre-temps je souhaite expérimenter avec les deux sœurs, ma chère Vaynelsing.
Il était normal pour Akari de se poser quelques questions, de se demander qui sera la première, de craindre une quelconque jalousie interne mais il n'en sera rien, les filles se doutaient bien que la future reine ne pouvait pas coucher avec tout le monde la première fois – ou alors elle serait très douée – et qu'elle ne pouvait pas coucher non plus avec toutes à la fois mais elles sauront se montrer patiente, leur tour viendra tôt ou tard. Vaynelsing, la vampire et membre le plus âgé du Harem, était venue accueillir Akari, présentant brièvement cette facette du château qu'elle ne connaissait pas vraiment, mais la future reine savait au moins qui elle était, elle n'aura pas besoin de passer par-là. Elle ne craignait pas sa réaction, mais toute vampire qu'elle était, elle n'aimait pas parler de son âge. Toutes les filles restaient sagement à leur place, se laissant observer par la belle jeune femme, gloussant ou se dandinant à son approche même si finalement, la belle Akari se laissait tentée par le duo de vache du Harem, les deux sœurs étaient une sorte d'exception ici. Même si en y regardant de plus près, il n'y avait pas un seul exemplaire d'espèce ici, c'était assez rare de trouver deux nekos, par exemple. Mais les sœurs ayant été récupérer par Victor assez jeune, elles n'ont pas été séparer et bien sûr, il n'avait rien tenté avec elles avant qu'elles soient en âge pour ça. Elles avaient simplement grandi ici, Vaynelsing s'étant occupée d'elles, non pas comme une mère, comme une tutrice, ferme et souple à la fois, douce et stricte quand il le fallait. Mais à vrai dire, si Evy avait couché avec Victor quelques fois, le cas d'Eveline était différents car elle était encore vierge. À dire vrai, elle n'a reçu de son précédent maître que quelques mots, caresses au mieux. Peut-être sentait-il la fin approchée ou non, mais Eveline aurait ses premières fois en compagnie de la fille de feu son maître.
« Comme il vous plaira Majesté. Vous acceptez que les filles vous observent ou bien vous voulez un voile de pudeur entre vous ? »
Si tel était le cas, elles pouvaient installer quelques paravents pour que cela reste entre elles. Il y aura bien une ou deux curieuses, mais la vampire saura éloigné les curieuses, si tel était le souhait de sa jeune maîtresse. En attendant, Evy s'approchait, son corps pulpeux remuait bien et que la future reine se rassure, il était aussi ferme que son lait était délicieux !
« Nous sommes fières que vous ayez choisi de vous amusez avec nous pour commencer ! Je m'occuperais bien d'vous, ma reine ! »
Eveline de l'autre côté de sa maîtresse était bien sûr consentante, juste un brin plus timide par ce qui allait se passer, après tout, elle allait perdre sa virginité, ce n'était pas rien, on ne pouvait lui en vouloir pour ça. Une main sur sa menue poitrine, elle avait ce côté adorable avec un brin de luxure. Si elle avait grandi ici, ça se comprenait. Face à son mutisme, sa grande sœur prenait le relais, susurrant à l'oreille de sa maîtresse.
« Z'aller être sa première fois, ma reine. Soyez toute gentille avec ma p'tite sœur, mais... Vous pouvez aussi lui montrer ce qui l'attend, en me prenant pour exemple, non ? »
L'une était plus rentre-dedans et la seconde plus timide, elle avait deux personnalités différentes dans le même lit, Akari avait bien choisie avec qui commencer à s'amuser en tout cas. Même si Eveline était timide, elle posait sa main près de celle de sa maîtresse, le bout de ses doigts touchant ceux d'Akari, tandis que la jeune ushi avait une main sur sa poitrine, sûrement que son petit cœur battait vite dedans ?
« Comme il vous plaira Majesté. Vous acceptez que les filles vous observent ou bien vous voulez un voile de pudeur entre vous ? »
Si tel était le cas, elles pouvaient installer quelques paravents pour que cela reste entre elles. Il y aura bien une ou deux curieuses, mais la vampire saura éloigné les curieuses, si tel était le souhait de sa jeune maîtresse. En attendant, Evy s'approchait, son corps pulpeux remuait bien et que la future reine se rassure, il était aussi ferme que son lait était délicieux !
« Nous sommes fières que vous ayez choisi de vous amusez avec nous pour commencer ! Je m'occuperais bien d'vous, ma reine ! »
Eveline de l'autre côté de sa maîtresse était bien sûr consentante, juste un brin plus timide par ce qui allait se passer, après tout, elle allait perdre sa virginité, ce n'était pas rien, on ne pouvait lui en vouloir pour ça. Une main sur sa menue poitrine, elle avait ce côté adorable avec un brin de luxure. Si elle avait grandi ici, ça se comprenait. Face à son mutisme, sa grande sœur prenait le relais, susurrant à l'oreille de sa maîtresse.
« Z'aller être sa première fois, ma reine. Soyez toute gentille avec ma p'tite sœur, mais... Vous pouvez aussi lui montrer ce qui l'attend, en me prenant pour exemple, non ? »
L'une était plus rentre-dedans et la seconde plus timide, elle avait deux personnalités différentes dans le même lit, Akari avait bien choisie avec qui commencer à s'amuser en tout cas. Même si Eveline était timide, elle posait sa main près de celle de sa maîtresse, le bout de ses doigts touchant ceux d'Akari, tandis que la jeune ushi avait une main sur sa poitrine, sûrement que son petit cœur battait vite dedans ?
Son choix est fait et les premiers baisers furent donnés avec un cœur léger sur les lèvres des deux sœurs Ushis. Depuis toute jeune la future reine fut éduquée sur l’histoire de son royaume et du changement bénéfique de son arrière arrière grand-père sur le futur des races humanoïdes. Ces terres restent accueillantes mais c’est depuis qu’on a ouvert la porte aux monstergirls persécutées que le harem prit forme. Pour dire simplement : Le harem a toujours été la première solution viable à celles étant les plus belles et consentantes. Les plus jeunes concubines reçurent leur refuge et éducation pour ainsi assumer leur rôle au sein du harem. Akari ne connait pas l’histoire des deux sœurs mais cela pourrait attendre. Quant à la question de la pudeur elle réfléchit un instant sachant très bien n’avoir aucune expérience dans les ébats sexuels.
- Ce serait trop facile de me cacher derrière un voile. Je serai votre reine un jour et mes chéries méritent de tout voir. Évitez juste des distractions inutiles.
Akari a parlé et peut désormais se rapprocher d’Evy pour la peloter avec prudence. Moelleux au toucher et ferme au niveau des hanches. Elle vient prolonger un nouveau baiser délicat en venant presser sa belle tenue royale contre le bikini de la Ushi. La jeune princesse s’était parfumée pour cette première rencontre avec ses chéries, un arôme de lilas qui emplissait le lit. Elle soupire et enlace la sœur plus âgée et apposant un suçon sur le cou comme une marque d’appartenance qu’Akari avait considérée faire avec tout le monde à mesure que l’année s’écoulerait en leur compagnie. Quand elle suçote le cou d’Eveline elle hoche la tête en signe de compréhension.
- Je sais cela Evy. Jamais mon père n’aurait posé sa main sur elle avant que le temps soit adéquat. Moi et Eveline sommes jeunes et seront ensembles pour très longtemps..ainsi que toi, bien sûr.
C’était un fait indéniable et une bonne raison pour que ce soit Akari qui prenne la virginité de sa jeune concubine. Avant tout elle se laisse emporter dans la suggestion d’Evy qui est loin de déplaire. La princesse royale lâche un gros soupir et commence alors à défaire sa tenue. La cape blanche, l’ornement en or, le corset blanc et la jupe rouge glissent et tout doucement Akari sent ses formes également généreuses illuminer la grande salle et offrir une vue parfaite sur le corps de leur maîtresse. Sa culotte de soie cache une bosse bien visible qui montre qu’Akari sera capable de les satisfaire comme son père avant elle. Cela fait le bikini d’Evy est retiré par l’humaine qui vient embrasser les seins directement pour ensuite embrasser ceux d’Eveline. Aucune ne sera négligée et donc une méthode astucieuse pour lutter contre sa timidité, pour lutter contre la crainte de la première fois.
Akari les observe toutes les deux et lâche un premier doux sourire tandis que ses mains vont caresser la vulve des deux Ushis en même temps.
- Ta sœur sera traiter avec la douceur d’une œuvre-d’arts. Je suis garante de votre sécurité et ce pour la vie et c’est la volonté de ma famille que je respecterai avec toutes mes chéries.
- Ce serait trop facile de me cacher derrière un voile. Je serai votre reine un jour et mes chéries méritent de tout voir. Évitez juste des distractions inutiles.
Akari a parlé et peut désormais se rapprocher d’Evy pour la peloter avec prudence. Moelleux au toucher et ferme au niveau des hanches. Elle vient prolonger un nouveau baiser délicat en venant presser sa belle tenue royale contre le bikini de la Ushi. La jeune princesse s’était parfumée pour cette première rencontre avec ses chéries, un arôme de lilas qui emplissait le lit. Elle soupire et enlace la sœur plus âgée et apposant un suçon sur le cou comme une marque d’appartenance qu’Akari avait considérée faire avec tout le monde à mesure que l’année s’écoulerait en leur compagnie. Quand elle suçote le cou d’Eveline elle hoche la tête en signe de compréhension.
- Je sais cela Evy. Jamais mon père n’aurait posé sa main sur elle avant que le temps soit adéquat. Moi et Eveline sommes jeunes et seront ensembles pour très longtemps..ainsi que toi, bien sûr.
C’était un fait indéniable et une bonne raison pour que ce soit Akari qui prenne la virginité de sa jeune concubine. Avant tout elle se laisse emporter dans la suggestion d’Evy qui est loin de déplaire. La princesse royale lâche un gros soupir et commence alors à défaire sa tenue. La cape blanche, l’ornement en or, le corset blanc et la jupe rouge glissent et tout doucement Akari sent ses formes également généreuses illuminer la grande salle et offrir une vue parfaite sur le corps de leur maîtresse. Sa culotte de soie cache une bosse bien visible qui montre qu’Akari sera capable de les satisfaire comme son père avant elle. Cela fait le bikini d’Evy est retiré par l’humaine qui vient embrasser les seins directement pour ensuite embrasser ceux d’Eveline. Aucune ne sera négligée et donc une méthode astucieuse pour lutter contre sa timidité, pour lutter contre la crainte de la première fois.
Akari les observe toutes les deux et lâche un premier doux sourire tandis que ses mains vont caresser la vulve des deux Ushis en même temps.
- Ta sœur sera traiter avec la douceur d’une œuvre-d’arts. Je suis garante de votre sécurité et ce pour la vie et c’est la volonté de ma famille que je respecterai avec toutes mes chéries.
Ainsi soit-il ! La reine avait décidé que rien ne serait caché, le trio allait s'épanouir sous les yeux curieux, amusé ou attendris de leurs amies. Cela ne les gênait pas vraiment, ici, les filles formaient une grande famille et la plupart s'étaient déjà vu observer par d'autres filles, certaines partageaient même des ébats ensemble, certaines avec des liens un peu plus amoureux que prévue. Feu, le roi, ne pouvait rester constamment avec elles et, il s'agissait d'un harem, pas le choix d'une future femme a épousé, il était normal que certains couples se forment aussi, tout en respectant les désirs de sa Majesté. Maintenant, qu'il était acté que sa première fois se fera avec les deux sœurs vachères, les autres filles leur laissait un peu d'intimité, tout en gardant quand même un œil sur ce qui se passait. Sauf si la princesse désirait que tout son harem entoure le lit pour les observer en action, elles étaient éduquées, laissant un peu de distance pour la plupart. Evy et Eveline tenaient compagnie à la jeune femme tandis qu'elle tâtait doucement de ses concubines. Ses lèvres se posèrent sur elles, d'abord sur Evy qui était belle et généreuse dans ses formes, comme bien souvent chez cette race de monstergirl, dans le cou de la belle vache, un joli petit suçon allait se former sous cette douce forme de plaisir.
« Mmmmh... »
Eveline ne serait pas délaissé, elle aussi eut droit aux lèvres royales sur sa peau, tremblotante d'excitation, elle n'était pas au bout de ses surprises. Doucement, la future reine se mettait en condition, retirant peu à peu les vêtements sur sa peau pour plus être dans l'ambiance. Dévoilant de plus en plus sa peau, jusqu'à être dans la même tenue que ses concubines. Le temps pour elles d'en montrer un peu plus, lorsqu'Evy se voit retirer son bikini, sa belle poitrine était toujours là, bien ronde et lourde, ses pies montraient une petite perle blanche s'écouler le long de ses seins. Sous le désir, les ushis produisaient plus facilement du lait et autant dire qu'elle ne serait pas avare en quantité ! Du côté d'Eveline, son petit bikini était retiré, dévoilant sa faible poitrine, mais elle aussi, elle avait un peu de lait à offrir, en quantité plus moindre. La reine s'en rendrait compte tôt ou tard, le lait de l’aînée était classique – en comparaison avec du lait d'Ushi – mais celui d'Eveline était plus rare, meilleur et surtout, aphrodisiaque. Akari se penche sur elles, tour à tour en commençant par l’aînée, venant embrasser sa poitrine, idem pour Eveline. Avec douceur, ses mains se glissèrent entre leurs cuisses, caressant leur zone intime, laissant Evy joyeuse, habituée à cela, elle avait hâte de passer à la suite ! Eveline était toujours un peu stressée, mais avec ce côté impatiente malgré tout. Sa grande sœur posait sa main sur la sienne, la rassurant comme elle pouvait. Eveline lâchait d'adorables petits gémissements sous ces préliminaires.
« J'suis quand même curieuse, ma reine, vous avez déjà d'l'expérience dans ça ? »
Elle semblait avoir une certaine habitude, confiante en tout cas donc, ça laissait présager qu'elle n'était plus vierge de ce côté-là, mais elle faisait peut-être fausse route ? Les doigts d'Akari se retrouvaient vite humides, mais c'était du côté d'Eveline qu'elle était plus généreuse en nectar intime. Les sœurs observaient leur souveraine même si leur regard glissait sur les jolies formes de leur maîtresse, surtout entre ses jambes, hâte de voir l'épée sacrée de leur reine entrée en action. Autour de lit, quelques curieuses observaient, Papi au-dessus du rebord du lit, ne laissant dépasser sur le haut de sa tête observaient plus ou moins discrètement la scène, tout comme Marianne à ses côtés. Curieuses, mais elles ne dérangeaient pas, promis !
« Mais aussi... Sur qui alliez-vous vous jetez en première ?~ »
Evy disait cela, caressant l'un de ses seins avec sa main de libre, pressant à peine son sein qui laissait échappé un tout petit jet de lait. Eveline n'avait pas la force de jouer les charmeuses comme ça, mais c'était aussi ce qui faisait son charme.
« Mmmmh... »
Eveline ne serait pas délaissé, elle aussi eut droit aux lèvres royales sur sa peau, tremblotante d'excitation, elle n'était pas au bout de ses surprises. Doucement, la future reine se mettait en condition, retirant peu à peu les vêtements sur sa peau pour plus être dans l'ambiance. Dévoilant de plus en plus sa peau, jusqu'à être dans la même tenue que ses concubines. Le temps pour elles d'en montrer un peu plus, lorsqu'Evy se voit retirer son bikini, sa belle poitrine était toujours là, bien ronde et lourde, ses pies montraient une petite perle blanche s'écouler le long de ses seins. Sous le désir, les ushis produisaient plus facilement du lait et autant dire qu'elle ne serait pas avare en quantité ! Du côté d'Eveline, son petit bikini était retiré, dévoilant sa faible poitrine, mais elle aussi, elle avait un peu de lait à offrir, en quantité plus moindre. La reine s'en rendrait compte tôt ou tard, le lait de l’aînée était classique – en comparaison avec du lait d'Ushi – mais celui d'Eveline était plus rare, meilleur et surtout, aphrodisiaque. Akari se penche sur elles, tour à tour en commençant par l’aînée, venant embrasser sa poitrine, idem pour Eveline. Avec douceur, ses mains se glissèrent entre leurs cuisses, caressant leur zone intime, laissant Evy joyeuse, habituée à cela, elle avait hâte de passer à la suite ! Eveline était toujours un peu stressée, mais avec ce côté impatiente malgré tout. Sa grande sœur posait sa main sur la sienne, la rassurant comme elle pouvait. Eveline lâchait d'adorables petits gémissements sous ces préliminaires.
« J'suis quand même curieuse, ma reine, vous avez déjà d'l'expérience dans ça ? »
Elle semblait avoir une certaine habitude, confiante en tout cas donc, ça laissait présager qu'elle n'était plus vierge de ce côté-là, mais elle faisait peut-être fausse route ? Les doigts d'Akari se retrouvaient vite humides, mais c'était du côté d'Eveline qu'elle était plus généreuse en nectar intime. Les sœurs observaient leur souveraine même si leur regard glissait sur les jolies formes de leur maîtresse, surtout entre ses jambes, hâte de voir l'épée sacrée de leur reine entrée en action. Autour de lit, quelques curieuses observaient, Papi au-dessus du rebord du lit, ne laissant dépasser sur le haut de sa tête observaient plus ou moins discrètement la scène, tout comme Marianne à ses côtés. Curieuses, mais elles ne dérangeaient pas, promis !
« Mais aussi... Sur qui alliez-vous vous jetez en première ?~ »
Evy disait cela, caressant l'un de ses seins avec sa main de libre, pressant à peine son sein qui laissait échappé un tout petit jet de lait. Eveline n'avait pas la force de jouer les charmeuses comme ça, mais c'était aussi ce qui faisait son charme.
Pour une jeune princesse de 17 ans, Akari était déjà bien bâtie. Une forte poitrine qui laisse présager un long règne avec tous les regards posés sur chaque auréole rose et sur ces deux monts de pure beauté. Son abdomen sculpté comme une fine planche de muscles solides au toucher de ses deux magnifique Ushis la rend fière de ces quelques années exhaustives d’entraînement. Elle est prête à rendre son harem heureux pour les prochaines années à venir et tourner la page sur l’époque du défunt Victor Latvira. Cela sera aussi dut à sa bosse, à son chibre. Princesse Akari est née différente des autres femmes du royaume. De mauvaises langues pourraient dire que c’est une malédiction pour intégrer les humanoïdes à la population mais il s’agit davantage d’une bénédiction. La lignée Latvira continuera et le royaume peut s’en sentir soulagé.
Akari, par contre, sent son cœur battre trop fort comme un tambour capable de résonner dans la grande pièce du harem avec ses chéries comme témoins. Elle essaie de juger les réactions mais son attention se focalise surtout sur les deux sœurs et les attouchements sur leurs vulves. L’excitation culmine à la raideur soudaine de son pénis. La jeune souveraine voit son organe sexuel s’extirper de sa culotte, l’obligeant enfin à se dénuder complètement. Souriante elle profite de l’élan pour caresser Papi au-dessus de la tête avant de venir collecter le lait d’Evy avec sa bouche.
- La connaissance théorique n’équivaut pas à la pratique. Toi qui est si joueuse avec ta reine je vais te donner ce que ton corps souhaite absolument. Et ta jeune sœur sera la suivante.
Akari parle comme une reine prenant ses premières décisions. Elle tête le sein généreux de la Ushi jusqu’à se délecter de plusieurs gorgées de ce lait si chaud et si naturel qui arrive même à surpasser celui des vaches normales en saveur. La reine frotte la belle vulve et commence à placer Evy sur le lit sur ses 4 pattes. Elle veut sa première pénétration dans une pose dominante et classique et c’est ce qui arrive lorsque sa verge glisse dans la vachette. Akari agrippe le fessier et donne les premiers coups de rein qui s’enfoncent avec aisance bien profond dans la fente. Des secousses de bien-être envahie la souveraine exaltée par ses deux chéries. Un bras vient prendre la jeune Eveline par la taille pour l’attirer contre sa reine. Elle embrasse la sœur avec envie, la fait se redresser pour suçoter les tétons de la faible poitrine.
- Hmpff….oh oui. Mon père t’a déjà bien modelé à sa taille, n’est-ce pas ?
Akari, par contre, sent son cœur battre trop fort comme un tambour capable de résonner dans la grande pièce du harem avec ses chéries comme témoins. Elle essaie de juger les réactions mais son attention se focalise surtout sur les deux sœurs et les attouchements sur leurs vulves. L’excitation culmine à la raideur soudaine de son pénis. La jeune souveraine voit son organe sexuel s’extirper de sa culotte, l’obligeant enfin à se dénuder complètement. Souriante elle profite de l’élan pour caresser Papi au-dessus de la tête avant de venir collecter le lait d’Evy avec sa bouche.
- La connaissance théorique n’équivaut pas à la pratique. Toi qui est si joueuse avec ta reine je vais te donner ce que ton corps souhaite absolument. Et ta jeune sœur sera la suivante.
Akari parle comme une reine prenant ses premières décisions. Elle tête le sein généreux de la Ushi jusqu’à se délecter de plusieurs gorgées de ce lait si chaud et si naturel qui arrive même à surpasser celui des vaches normales en saveur. La reine frotte la belle vulve et commence à placer Evy sur le lit sur ses 4 pattes. Elle veut sa première pénétration dans une pose dominante et classique et c’est ce qui arrive lorsque sa verge glisse dans la vachette. Akari agrippe le fessier et donne les premiers coups de rein qui s’enfoncent avec aisance bien profond dans la fente. Des secousses de bien-être envahie la souveraine exaltée par ses deux chéries. Un bras vient prendre la jeune Eveline par la taille pour l’attirer contre sa reine. Elle embrasse la sœur avec envie, la fait se redresser pour suçoter les tétons de la faible poitrine.
- Hmpff….oh oui. Mon père t’a déjà bien modelé à sa taille, n’est-ce pas ?
Elles allaient s'amuser en compagnie de leur future reine ! Les deux Ushis s'apprêtaient à s'amuser avec elle, la belle Akari bandait déjà si fortement pour elles, il fallait espérer que malgré son inexpérience – du moins, elles supposaient – elle ne soit pas trop fatigable ? Si tel est le cas, Eveline aussi débutait, du moins, pour s'occuper d'une verge, sa grande sœur l'ayant un minimum formé sur un plaisir plus saphique en sa compagnie. La jeune demoiselle voulait d'abord s'occuper de l’aînée avant de voir Eveline de plus prêt, même si ses doigts, restaient toujours à s'agiter pour elles, profitant du délicieux lait gratuit et de qualité qui lui était destinée. Elle était jeune, mais elle savait ce qu'elle voulait et une fois ces préliminaires finit, elle se mit entièrement nue, prête à s'occuper d'une de ses vachettes. Papi ne perdait pas une miette de tout cela alors que la belle Evy se mit à quatre pattes, sa croupe généreusement offerte à sa reine, elle n'allait pas se faire prier. Ni une, ni deux, elle s'approchait et sa queue glissa en elle, arrachant un soupir de plaisir chez la belle ushi dont la poitrine remuait sous cette assaut plein d'amour.
« Han ! Majesté, vous êtes si impatiente~ »
Ce n'était pas un reproche, elle sentait ses mains se cramponner à sa croupe tandis qu'elle venait remuer, sa queue explorait son nouvel endroit fétiche. Akari était aussi bien membrée que son défunt père, difficile de dire du premier coup d’œil qui avait la plus grande ou la plus grosse, mais ça se jouait à peu de choses. La belle ushi savourait cela en tout cas, sa queue s'agitait, le bout touffu passait parfois sur la délicate peau de sa reine.
« Mmmh, ouiiii... J's'rais haaan, le fourreau d'vot' bite, Majesté~ »
Elle aimait déjà ce début prometteur et si Eveline sera la suivante, elle n'était pas oubliée pour autant, étant amener à sa reine, se frottant à elle, cherchant à lui voler baiser. Elle ouvrait en grand sa petite bouche pour venir l'embrasser, ce n'était pas parfait, mais ce n'était pas une débutante, elle était juste un peu intimidée par sa reine. Tout comme cette dernière qui se penchait sur elle pour téter sa petite poitrine. Même si elle n'avait pas la quantité de sa sœur, elle avait du haut de gamme en terme de lait ! Délicieux et aphrodisiaque, le goût plairait sûrement à la reine, autant que ses petits couinements aussi adorable qu'excitant.
« Muuuuuuuuuuh~ »
Toute fébrile devant la gourmandise de sa maîtresse, elle se laissait faire, couinant de plaisir, sa main passait timidement dans le dos de sa reine, caressant sa délicate peau du bout des doigts.
« Ne vous r'tenez pas, Majesté~ Profitez d'moi comme haaaa ! Vous voulez, muuuuuuuh~ »
Akari avait bien choisi ses premières partenaires, à n'en point douter. L'expérience d'une femme en forme, la douceur et la pureté de l'innocence à côté.
« Han ! Majesté, vous êtes si impatiente~ »
Ce n'était pas un reproche, elle sentait ses mains se cramponner à sa croupe tandis qu'elle venait remuer, sa queue explorait son nouvel endroit fétiche. Akari était aussi bien membrée que son défunt père, difficile de dire du premier coup d’œil qui avait la plus grande ou la plus grosse, mais ça se jouait à peu de choses. La belle ushi savourait cela en tout cas, sa queue s'agitait, le bout touffu passait parfois sur la délicate peau de sa reine.
« Mmmh, ouiiii... J's'rais haaan, le fourreau d'vot' bite, Majesté~ »
Elle aimait déjà ce début prometteur et si Eveline sera la suivante, elle n'était pas oubliée pour autant, étant amener à sa reine, se frottant à elle, cherchant à lui voler baiser. Elle ouvrait en grand sa petite bouche pour venir l'embrasser, ce n'était pas parfait, mais ce n'était pas une débutante, elle était juste un peu intimidée par sa reine. Tout comme cette dernière qui se penchait sur elle pour téter sa petite poitrine. Même si elle n'avait pas la quantité de sa sœur, elle avait du haut de gamme en terme de lait ! Délicieux et aphrodisiaque, le goût plairait sûrement à la reine, autant que ses petits couinements aussi adorable qu'excitant.
« Muuuuuuuuuuh~ »
Toute fébrile devant la gourmandise de sa maîtresse, elle se laissait faire, couinant de plaisir, sa main passait timidement dans le dos de sa reine, caressant sa délicate peau du bout des doigts.
« Ne vous r'tenez pas, Majesté~ Profitez d'moi comme haaaa ! Vous voulez, muuuuuuuh~ »
Akari avait bien choisi ses premières partenaires, à n'en point douter. L'expérience d'une femme en forme, la douceur et la pureté de l'innocence à côté.
La vigueur de la future reine prend désormais son élan et ne revient pas en arrière. Dès que la fente chaude et humide de la Ushi provoque une décharge de plaisir qui passe de la verge jusqu’au buste de la rouquine ses instincts d’amante guide son bassin. Akari avait été patiente depuis plus d’une année, depuis qu’on lui enseigne la sexualité et la responsabilité de gérer le Harem. Aucun jouet sexuel ne pouvait la combler complètement à comparer d’une vraie partenaire. Enfin elle s’enfonce avec élégance et passion dans la vulve de la demi-humaine. La jeune souveraine soupire profondément tout en souriant fièrement à sa concubine. Un bras agrippe la croupe avec l’autre tenant la jeune Eveline contre l’adolescente déjà bien membrée. Elle assume sa domination sur les vachettes. Une forme de contrôle basée sur l’affection et le respect pour ces demi-humaines que le royaume a adopté comme des citoyennes à part entière.
- Je dois aussi m’occuper de ta sœur, ma chérie.
Son attention est divisée entre les deux Ushis mais l’humaine ne s’en plaint pas. Ses lèvres aspire le téton du petit sein d’Eveline et avale les gouttes de lait riche en saveur qui étanche sa soif et lui donne plus d’énergie. Akari gronde de bonheur et monte la cadence d’un cran. Pour profiter de la vachette c’était son intention en passant sa main sur un des gros seins pour le pétrir. Ses baisers se déposent sur les épaules, son nez vient sentir la courte chevelure bleutée. Son corps jeune et fort ressent une soudaine impulsion de plaisir. Un fluide clair et chaud remplit un peu la belle fente trempée. Mais la jeune souveraine manque d’expérience au niveau de la retenue et quelques coups de bassin supplémentaires la pousse alors vers l’orgasme. Sa première jouissance est loin d’être impeccable tandis que son membre s’extirpe du vagin pour juter sur les fesses et le dos de la Ushi. Akari râle et profite de cette vague intense de bien-être vibrant à travers son pelvis.
- Ah…Je me suis emportée. Ta fente est si confortable, Evy, tu es très agréable à prendre.
Akari souffle chaudement et se tourne vers Eveline qu’elle embrasse avec moins de retenue. Sa bouche marque le corps si petit de la vachette de quelques marques de salive et descend pour embrasser la vulve encore vierge.
- Je jouirai en toi et te ferai découvrir ta première expérience en tant que femme et concubine de ce palais.
Pour cette jeune fille innocente, la princesse royale opte pour une position cowgirl ; Avoir Eveline au-dessus d’Akari, assise directement sur le membre tendu. Elle pourra alors tenir la vierge par les hanches et la guide su rythme qui conviendra le mieux. C’était Eveline qui fit battre le cœur de la rousse en premier et montre beaucoup d’envie avec son gland collé contre l’entrée de la jeune vachette. Et toute la famille est témoin de cet important moment.
- Je dois aussi m’occuper de ta sœur, ma chérie.
Son attention est divisée entre les deux Ushis mais l’humaine ne s’en plaint pas. Ses lèvres aspire le téton du petit sein d’Eveline et avale les gouttes de lait riche en saveur qui étanche sa soif et lui donne plus d’énergie. Akari gronde de bonheur et monte la cadence d’un cran. Pour profiter de la vachette c’était son intention en passant sa main sur un des gros seins pour le pétrir. Ses baisers se déposent sur les épaules, son nez vient sentir la courte chevelure bleutée. Son corps jeune et fort ressent une soudaine impulsion de plaisir. Un fluide clair et chaud remplit un peu la belle fente trempée. Mais la jeune souveraine manque d’expérience au niveau de la retenue et quelques coups de bassin supplémentaires la pousse alors vers l’orgasme. Sa première jouissance est loin d’être impeccable tandis que son membre s’extirpe du vagin pour juter sur les fesses et le dos de la Ushi. Akari râle et profite de cette vague intense de bien-être vibrant à travers son pelvis.
- Ah…Je me suis emportée. Ta fente est si confortable, Evy, tu es très agréable à prendre.
Akari souffle chaudement et se tourne vers Eveline qu’elle embrasse avec moins de retenue. Sa bouche marque le corps si petit de la vachette de quelques marques de salive et descend pour embrasser la vulve encore vierge.
- Je jouirai en toi et te ferai découvrir ta première expérience en tant que femme et concubine de ce palais.
Pour cette jeune fille innocente, la princesse royale opte pour une position cowgirl ; Avoir Eveline au-dessus d’Akari, assise directement sur le membre tendu. Elle pourra alors tenir la vierge par les hanches et la guide su rythme qui conviendra le mieux. C’était Eveline qui fit battre le cœur de la rousse en premier et montre beaucoup d’envie avec son gland collé contre l’entrée de la jeune vachette. Et toute la famille est témoin de cet important moment.
En plein bonheur, les deux sœurs avaient l'honneur de se partager la première fois de sa Majesté ensemble, la belle Akari pénétrait Evy et gardait tout près d'elle Eveline. Les formes et l'expérience de l’aînée, la douceur et l'innocence de la seconde. Elle n'aurait pas à rougir de ne pas tenir, la queue coincée entre les orifices de la belle ushi, elle était faite pour ça, son corps était une ode au plaisir, et si en plus de son côté, elle n'avait pas encore une grande expérience dans ce domaine, forcément, elle ne pouvait pas tenir sur la longueur. Mais son harem était aussi là pour ça, pour l’entraîner et la rendre plus forte sur ce domaine. Qui sait, elles l’entraînaient peut-être pour sa future nuit de noces avec l'élue de son cœur ? Qui se trouvait peut-être dans ce harem ? Son bassin remuait et se heurtait aux douces et fermes fesses de la belle vachette pendant que sa main tripotait les lèvres intimes de la petite sœur sous le regard de quelque curieuses tout autour du lit même si généralement, elles laissaient un peu d’intimité au trio. Le manque d'expérience gagnait la future reine qui vint se relâcher dans la grande vachette qui savourait cette délicieuse récompense entre ses cuisses, aspergeant aussi les cuisses de sa majesté avec sa cyprine. Cette crème bien chaude qui lui faisait grandement du bien... Mine de rien, elle avait été la première ici à en bénéficier ! Ça n'allait pas créer de jalousie, tout le monde s'entendait bien, mais c'était comme une médaille à brandir ! Première !
« Mmmmh, j'vous remercie, ma reine~ »
Mais place à la suite, maintenant qu'elle en avait fini avec Evy, elle embrassait Eveline avec plus d'attention, la jeune vachette se laissait dominée par la situation, aimant qu'Akari ne soit qu'à elle – ou plutôt l’inverse. Sa bouche allait de lèvres en lèvres, en haut puis en bas, c'était tellement délicieux pour elle de sentir une telle personne prendre soin d'elle. Elle gémissait doucement à tout cela, avant de suivre les directives de la reine, se plaçant en cow-girl sur elle, mouillant doucement sur le gland royal qui se frottait doucement à son entrée. Elle était toute fébrile et impatiente, observant Akari allongée, prête à savourer cela. Ce serait pour elle aussi la première fois qu'elle déchire l'hymen d'une femme ? Et c'était elle qui était l'élue ? Quel honneur. Les deux ushis avaient beaucoup de chance du coup !
« Muuuuuh... Vous... Vous voulez bien me tenir les mains... Majesté ? »
Cela devrait la rassurer un peu, après ça, elle pourra s'asseoir de tout son poids dessus et devenir une vraie femme en compagnie d'Akari. Les yeux de la vachette pétillaient, même sa grande sœur restait allongée près d'elles, sans les déranger, elle était juste au premier rang pour voir ce qui allait se passer ensuite. Elle le savait bien, mais elle n'allait pas en perdre une seule miette !
« Mmmmh, j'vous remercie, ma reine~ »
Mais place à la suite, maintenant qu'elle en avait fini avec Evy, elle embrassait Eveline avec plus d'attention, la jeune vachette se laissait dominée par la situation, aimant qu'Akari ne soit qu'à elle – ou plutôt l’inverse. Sa bouche allait de lèvres en lèvres, en haut puis en bas, c'était tellement délicieux pour elle de sentir une telle personne prendre soin d'elle. Elle gémissait doucement à tout cela, avant de suivre les directives de la reine, se plaçant en cow-girl sur elle, mouillant doucement sur le gland royal qui se frottait doucement à son entrée. Elle était toute fébrile et impatiente, observant Akari allongée, prête à savourer cela. Ce serait pour elle aussi la première fois qu'elle déchire l'hymen d'une femme ? Et c'était elle qui était l'élue ? Quel honneur. Les deux ushis avaient beaucoup de chance du coup !
« Muuuuuh... Vous... Vous voulez bien me tenir les mains... Majesté ? »
Cela devrait la rassurer un peu, après ça, elle pourra s'asseoir de tout son poids dessus et devenir une vraie femme en compagnie d'Akari. Les yeux de la vachette pétillaient, même sa grande sœur restait allongée près d'elles, sans les déranger, elle était juste au premier rang pour voir ce qui allait se passer ensuite. Elle le savait bien, mais elle n'allait pas en perdre une seule miette !
Sa première Hybride est une vachette. La réalisation de ce moment désormais parti de sa vie la fait tressaillir de bonheur pour soi comme pour sa partenaire. Evy semblait heureuse d’être remplie tandis que la jeune princesse est fière d’avoir fait son premier pas à poursuivre le rêve de ses aïeuls à devenir la protectrice du royaume et des hybrides pacifistes. Nul souverain peut protéger ses sujets sans les aime sans l’ombre d’un doute. Akari allait aimer son Harem et s’adonner à une bonne année à les connaître et leur procurer journées après journées d’extase. Maintenant c’était au tour d’Eveline de découvrir une expérience très importante.
Elle sait que la jeune Ushi n’a jamais été prise dû à son trop jeune âge. C’était désormais sa responsabilité d’en faire une amante à part entière au sein de la famille. Mieux encore la jeune souveraine opta pour la mettre au centre de toute l’attention. La première fois d’une jeune Hybride est spéciale pour ces gens et encore plus avec une humaine les désirant. En plaçant Eveline sur son bassin elle lui donne l’impression d’être sur un piédestal. Pour cette première relation adulte la vachette aura une position privilégiée. Akari lui prend les mains et les tient fortement. Sa verge tendue et trempé de la sève de la grande sœur commence à pénétrer la fente de la plus jeune sœur.
- Ce sera désagréable comme une piqure de guêpe mais après tout ira mieux.
La future reine prépara sa vachette de ces quelques mots puis enfonce son membre viril bien profond en un élan fluide et fort. En un coup elle rompt définitivement l’hymen de l’ushi et garde une pose immobile. La sensation de douleur et de brûlure suivant cette transition irréversible lui fut inculquée par un professeur quelques mois plus tôt et il fallait attendre que sa partenaire surmonte le pic maximal. Akari laisse de nombreuses passer puis la sentant prête ondule son bassin vers le haut pour s’enfoncer plus loin. Elle embrasse Eveline et recule son chibre avant de la pénétrer encore et encore. La princesse ne lâche pas les mains de l’hybride et accentue la cadence de ces coups de bassin ascendant.
- Bon sang tu es si étroite…oh ma belle Eveline ! Regarde-toi briller de mille feux !
Elles s’embrassent de nouveau et des baisers plus sulfureux criblent la peau soyeuse et pâle de la vachette Ainsi Akari se découvre une nature très passionnelle durant un ébat sexuel. La princesse tenait à cœur toutes les filles devenant ses concubines, ses amantes et plus tard l’élue qui deviendra sa femme.
Elle sait que la jeune Ushi n’a jamais été prise dû à son trop jeune âge. C’était désormais sa responsabilité d’en faire une amante à part entière au sein de la famille. Mieux encore la jeune souveraine opta pour la mettre au centre de toute l’attention. La première fois d’une jeune Hybride est spéciale pour ces gens et encore plus avec une humaine les désirant. En plaçant Eveline sur son bassin elle lui donne l’impression d’être sur un piédestal. Pour cette première relation adulte la vachette aura une position privilégiée. Akari lui prend les mains et les tient fortement. Sa verge tendue et trempé de la sève de la grande sœur commence à pénétrer la fente de la plus jeune sœur.
- Ce sera désagréable comme une piqure de guêpe mais après tout ira mieux.
La future reine prépara sa vachette de ces quelques mots puis enfonce son membre viril bien profond en un élan fluide et fort. En un coup elle rompt définitivement l’hymen de l’ushi et garde une pose immobile. La sensation de douleur et de brûlure suivant cette transition irréversible lui fut inculquée par un professeur quelques mois plus tôt et il fallait attendre que sa partenaire surmonte le pic maximal. Akari laisse de nombreuses passer puis la sentant prête ondule son bassin vers le haut pour s’enfoncer plus loin. Elle embrasse Eveline et recule son chibre avant de la pénétrer encore et encore. La princesse ne lâche pas les mains de l’hybride et accentue la cadence de ces coups de bassin ascendant.
- Bon sang tu es si étroite…oh ma belle Eveline ! Regarde-toi briller de mille feux !
Elles s’embrassent de nouveau et des baisers plus sulfureux criblent la peau soyeuse et pâle de la vachette Ainsi Akari se découvre une nature très passionnelle durant un ébat sexuel. La princesse tenait à cœur toutes les filles devenant ses concubines, ses amantes et plus tard l’élue qui deviendra sa femme.
Eveline était un peu stressée, mais après tout, qui ne le serait pas lors de sa première fois ? Le truc, c'est qu'en plus, elle fait ça avec sa maîtresse, sa princesse, sa future reine, c'était un honneur, un privilège ! Mais cela lui ajoutait un peu de pression. La belle jeune femme faisait tout pour la rassurer alors qu'elle se trouvait au-dessus de sa queue en érection, son gland embrassait l'entrée de ses lèvres intimes, son nectar coulait doucement dessus, tandis qu'elle ne la pressait pas, lui tenant les mains en lui expliquant les choses. Sa grande sœur observait la scène à côté, comme bien yeux autour d'elles, son amie harpie au-dessus de la tête de lit, un morceau de sa tête observait tout cela sans déranger, espérait-elle. Prenant son courage à deux mains, aidée par la princesse, elle posait ses fesses sur elle, s'enfonçant sur sa verge, lui arrachant un petit cri de douleur, bien qu'une pointe de plaisir s'entendait dans sa voix.
« Haaaaaaaaaaa-aaaaaah ! »
Tremblotante suite à cela, selon sa maîtresse, ce ne serait que temporaire alors que sa fine queue s'agitait dans son dos, au mieux, frôlant les jambes de la princesse, sans jamais lui faire mal. Sa grande sœur lui caressait justement le bas du dos, la rassurant comme elle pouvait. Même si ses poignets se tenaient un peu plus à elle, elle relâchait doucement la pression en reprenant, gémissant doucement avant qu'Akari ne reprenne le rythme en main. C'était forcément plus rapide que ce qu'elle voulait faire, mais la vachette obéissait aux envies de sa maîtresse. Retombant doucement sur son corps royal, elle se laisse embrasser, partageant ses gémissements dans sa bouche, son petit corps se frotte à celui déjà plus sculpté de cette dernière qui reste entreprenante mais douce, même si elle devait faire face à son étroitesse. Logique, pour ses débuts.
« Haaaaa~ haaaaaaa~ muuuuuuuuuuh~ Pa-pardon p-pour être éTROIIIIIIIIIITE !!!! »
Elle avait du mal à contenir son plaisir entre ses bras, même si ses cris avaient tendance à attirer un peu plus les regards par ici, autant Evy ne simulait pas, mais elles étaient plus habituée à l'entendre prendre son pied alors que sa petite sœur, c'était déjà une véritable première fois. Certaines se touchaient en les observant, Papi observait avec ses grands yeux, bien que silencieuse, elle ouvrait en grand sa bouche, pour montrer à quel point elle était ébahie du plaisir que prenait son amie et sa maîtresse. Eveline ne faisait pas grand-chose, elle subissait tandis que sa reine prenait soin d'elle, elle ne tiendra pas longtemps pour sa première fois, mais elle sera heureuse, à présent femme, et est peut-être la première femme-hybride que la reine dépucelle ? La petite ushi était allongée sur sa reine, criant son plaisir, ses mains se crispant sur les draps, pour ne pas risquer de griffer la peau de sa reine, elle faisait attention à tout, mais son endurance sera sûrement loin de tenir celle de sa reine. Est-ce que du coup, elle allait au moins jouir deux fois avant de sentir Akari jouir en elle ou alors, elle va réussir à la pousser à bout ? Oh, peu de chances à vrai dire...
« Haaaaaaaaaaa-aaaaaah ! »
Tremblotante suite à cela, selon sa maîtresse, ce ne serait que temporaire alors que sa fine queue s'agitait dans son dos, au mieux, frôlant les jambes de la princesse, sans jamais lui faire mal. Sa grande sœur lui caressait justement le bas du dos, la rassurant comme elle pouvait. Même si ses poignets se tenaient un peu plus à elle, elle relâchait doucement la pression en reprenant, gémissant doucement avant qu'Akari ne reprenne le rythme en main. C'était forcément plus rapide que ce qu'elle voulait faire, mais la vachette obéissait aux envies de sa maîtresse. Retombant doucement sur son corps royal, elle se laisse embrasser, partageant ses gémissements dans sa bouche, son petit corps se frotte à celui déjà plus sculpté de cette dernière qui reste entreprenante mais douce, même si elle devait faire face à son étroitesse. Logique, pour ses débuts.
« Haaaaa~ haaaaaaa~ muuuuuuuuuuh~ Pa-pardon p-pour être éTROIIIIIIIIIITE !!!! »
Elle avait du mal à contenir son plaisir entre ses bras, même si ses cris avaient tendance à attirer un peu plus les regards par ici, autant Evy ne simulait pas, mais elles étaient plus habituée à l'entendre prendre son pied alors que sa petite sœur, c'était déjà une véritable première fois. Certaines se touchaient en les observant, Papi observait avec ses grands yeux, bien que silencieuse, elle ouvrait en grand sa bouche, pour montrer à quel point elle était ébahie du plaisir que prenait son amie et sa maîtresse. Eveline ne faisait pas grand-chose, elle subissait tandis que sa reine prenait soin d'elle, elle ne tiendra pas longtemps pour sa première fois, mais elle sera heureuse, à présent femme, et est peut-être la première femme-hybride que la reine dépucelle ? La petite ushi était allongée sur sa reine, criant son plaisir, ses mains se crispant sur les draps, pour ne pas risquer de griffer la peau de sa reine, elle faisait attention à tout, mais son endurance sera sûrement loin de tenir celle de sa reine. Est-ce que du coup, elle allait au moins jouir deux fois avant de sentir Akari jouir en elle ou alors, elle va réussir à la pousser à bout ? Oh, peu de chances à vrai dire...
- Tu es…pardonnée !
Akari est tout aussi honorée de le faire avec Eveline et de prendre la virginité de sa première hybride. Elle lui tenait les mains avec fermeté pour maintenir la pose sous les coups de bassin plus prononcés. L’étroitesse de la vulve est testé et stimulée jusqu’à la contraindre sous la volonté supérieure de la souveraine. Elle ne se gêne donc pas à rythmer son bassin, dosé à point au niveau d’endurance de la vachette. Le son des petits cris mignons joue dans la a grande salle des concubines comme une musique mélodieuse appelant aux plaisirs sexuels. La future reine trouve dans ces sons la retenue et la patience pour conduire Eveline à l’apothéose de l’extase féminine.
Leurs mains se lâchent à la venue du point culminant. Elle laisse sa partenaire agripper ses bras avec confiance. Cela l’arrange car Akari tenait à offrir des cajoles et des bisous à Papi dont la présence se faisait plus que palpable dans cette situation. Ses lèvres scellent avec celles de la harpie. Une main caresse les cheveux bleus avec l’autre contre une hanche de sa vachette commençant à jouir. Le jus de la nouvelle femme gicle sur ses cuisses et jusqu’à la garde de sa verge tendue et tremblante de désir. Après les baisers la jeune souverain commence à sentir que son harem sera une plus grande responsabilité que laisse suggérer les apparences; Satisfaire justement ses concubines lui demandera beaucoup d’endurance.
Akari prête attention au corps de Papi, d’Eveline, d’Evy et des autres. Elle grogne d’excitation et expire de tout son être. Quelques coups de reins plus forts et francs lui font relâcher un nouvel orgasme puissant. Son plus beau cadeau pour une hybride fraîchement dépucelée inonde l’utérus de cette foutre chaude et réconfortante. Avec un sourire fatigué la jeune princesse donne une claque coquine aux fesses d’Eveline et la fait s’allonger sur le lit aux côtés de l’humaine.
- Je m’attends à beaucoup dans le futur. Puisses-tu bien grandir et gagner en beauté et tendresse.
Akari vient embrasser les deux sœurs et Harpie.
- Vaynelsing, je vais me reposer pour quelques heures. Si mes chéries ont besoin de jouir après avoir vu cette performance alors qu’elles le fassent. Pourras-tu les superviser comme à ton accoutumée ?
Elle sourit avec bonne humeur au vampire. Akari n’avait qu’à la regarder avec intérêt pour lui indiquer que la magnifique blonde aura un jour une séance avec une troisième génération de la famille Latvira.
- Je me prendrai une autre concubine en soirée une fois que j’aurai mangé. Et je te donne la permission de sélectionner celles que tu me recommandes absolument.
Akari est tout aussi honorée de le faire avec Eveline et de prendre la virginité de sa première hybride. Elle lui tenait les mains avec fermeté pour maintenir la pose sous les coups de bassin plus prononcés. L’étroitesse de la vulve est testé et stimulée jusqu’à la contraindre sous la volonté supérieure de la souveraine. Elle ne se gêne donc pas à rythmer son bassin, dosé à point au niveau d’endurance de la vachette. Le son des petits cris mignons joue dans la a grande salle des concubines comme une musique mélodieuse appelant aux plaisirs sexuels. La future reine trouve dans ces sons la retenue et la patience pour conduire Eveline à l’apothéose de l’extase féminine.
Leurs mains se lâchent à la venue du point culminant. Elle laisse sa partenaire agripper ses bras avec confiance. Cela l’arrange car Akari tenait à offrir des cajoles et des bisous à Papi dont la présence se faisait plus que palpable dans cette situation. Ses lèvres scellent avec celles de la harpie. Une main caresse les cheveux bleus avec l’autre contre une hanche de sa vachette commençant à jouir. Le jus de la nouvelle femme gicle sur ses cuisses et jusqu’à la garde de sa verge tendue et tremblante de désir. Après les baisers la jeune souverain commence à sentir que son harem sera une plus grande responsabilité que laisse suggérer les apparences; Satisfaire justement ses concubines lui demandera beaucoup d’endurance.
Akari prête attention au corps de Papi, d’Eveline, d’Evy et des autres. Elle grogne d’excitation et expire de tout son être. Quelques coups de reins plus forts et francs lui font relâcher un nouvel orgasme puissant. Son plus beau cadeau pour une hybride fraîchement dépucelée inonde l’utérus de cette foutre chaude et réconfortante. Avec un sourire fatigué la jeune princesse donne une claque coquine aux fesses d’Eveline et la fait s’allonger sur le lit aux côtés de l’humaine.
- Je m’attends à beaucoup dans le futur. Puisses-tu bien grandir et gagner en beauté et tendresse.
Akari vient embrasser les deux sœurs et Harpie.
- Vaynelsing, je vais me reposer pour quelques heures. Si mes chéries ont besoin de jouir après avoir vu cette performance alors qu’elles le fassent. Pourras-tu les superviser comme à ton accoutumée ?
Elle sourit avec bonne humeur au vampire. Akari n’avait qu’à la regarder avec intérêt pour lui indiquer que la magnifique blonde aura un jour une séance avec une troisième génération de la famille Latvira.
- Je me prendrai une autre concubine en soirée une fois que j’aurai mangé. Et je te donne la permission de sélectionner celles que tu me recommandes absolument.
Que du bonheur pour Evelyne qui subissait sa première expérience avec sa maîtresse. Elle cette chance que les autres n'avaient pas, sa première fois, offerte à la reine de ses lieux. Dorénavant, elle était en quelque sorte privilégiée par ce fait. Cela n'allait pas créer de jalousie, tout le monde s'entendait bien ici, mais en guise de comparaison, ça allait être difficile de faire aussi bien qu'elle. Le temps pour sa majesté de finir son travail en honorant la beauté et la tendresse de la demoiselle ushi. Ayant rempli son utérus, tout en jouant un peu avec la harpie curieuse, la reine en avait finie pour le moment et désirait se reposer un peu, elle reviendra plus tard dans la soirée. Vaynelsing acquiesça en se courbant légèrement sur son passage. Evy venait voir comment allait sa petite sœur, mais elle aussi avait besoin de repos. Une première fois pareil, ça épuise !
« Bien, Maîtresse. Reposez-vous bien. »
La vampire tournait son regard sur la petite assemblée autour des sœurs vachette, toute plus curieuse les unes que les autres sur le ressenti de leur nouvelle reine, elle allait devoir trouvé des candidates donc ? Les sœurs Ushis passeront à la trappe, elles venaient d'y avoir le droit en premier, les sélectionner, ce serait faire preuve de favoritisme. Elle va y réfléchir en son absence...
Le temps pour Akari de se reposer et vaquer peut-être à d'autres occupations, lors de son retour dans son harem, Vaynelsing fut là pour l'accueillir en souriant, amenant sa Majesté au plus grand lit de cet endroit. Tournant cela comme un jeu, un immense rideau masquait les prétendantes, mais la vampire était là pour servir sa reine et allait donc la laisser choisir, tirant le rideau doucement, pour que chaque prétendante soit montrée tour à tour, après une petite présentation.
« J'espère que vous allez aimer ma proposition. Pour commencer, notre petite harpie a envie que vous lui volez dans les plumes. Papi a insisté pour être sélectionné, elle espère pouvoir vous garder entre ses douces plumes. »
La Harpie était fidèle à elle-même, pétillante et toute pimpante, elle portait une belle lingerie fine pour l'occasion, elle voulait ressentir ce qu'Eveline avait ressentie avec elle. Tirant de nouveau sur le rideau pour l'écarter un peu plus, elle dévoilait cette fois, une femme plus velue que plumée.
« Marianne est une partenaire très expérimenté et très câline, elle a des formes plus généreuses, mais son atout selon elle, c'est sa queue aussi touffue que douce. »
La belle kitsune à la crinière rose tirait sur son soutien-gorge, non pas pour se déshabiller, mais attisé la curiosité de sa maîtresse pour être sélectionné. Le rideau venait ensuite dévoiler une autre femme animale, son côté animal était plus discret que son amie Marianne, mais elle était tout aussi charmante.
« Fidèle et très noble, Kaeliss miaulera pour vous, cette belle neko a envie de ronronner toute la nuit. »
Tandis que le rideau allait dévoiler la dernière prétendante, elle le tira elle-même pour plus de rapidité dévoilant une femme plus grande, plus musclée que ses amies et plus fière ! Elle était absente lors de l'arrivée de la reine, mais c'était pour une bonne raison. Bien que fidèle dans le harem, elle avait son petit caractère, étant une femme dragonne. Elle respectait la nouvelle reine, mais elle n'allait pas courber l'échine sans la tester. Elle avait laissé cette dernière faire ses premiers pas ici, maintenant, elle était un peu plus curieuse à son sujet.
« Moi ! Smarz, je suis celle que vous aurez le plus de mal à dompter ici, soyez-en sûr ! Je vous autorise à essayer, mais je suis pas ici pour me plier à vos quatre volontés comme les autres ! C'est selon mes envies. »
Affichant un sourire carnassier, ses traits humains faisaient d'elle une belle femme, ses ailes et sa queue était surtout ce qui ressortait du lot, car ses cornes, elles restaient encore assez discrètes. Maintenant, c'était à la reine de décidé. La joyeuse Papi ? La coquine Marianne ? La douce et câline Kaeliss ou alors la puissante Smarz ? Entre elles, ça allait être un rapport de forces. Mais pour le moment, c'était à Akari de décider vers qui sa queue palpitait ?
« Bien, Maîtresse. Reposez-vous bien. »
La vampire tournait son regard sur la petite assemblée autour des sœurs vachette, toute plus curieuse les unes que les autres sur le ressenti de leur nouvelle reine, elle allait devoir trouvé des candidates donc ? Les sœurs Ushis passeront à la trappe, elles venaient d'y avoir le droit en premier, les sélectionner, ce serait faire preuve de favoritisme. Elle va y réfléchir en son absence...
Le temps pour Akari de se reposer et vaquer peut-être à d'autres occupations, lors de son retour dans son harem, Vaynelsing fut là pour l'accueillir en souriant, amenant sa Majesté au plus grand lit de cet endroit. Tournant cela comme un jeu, un immense rideau masquait les prétendantes, mais la vampire était là pour servir sa reine et allait donc la laisser choisir, tirant le rideau doucement, pour que chaque prétendante soit montrée tour à tour, après une petite présentation.
« J'espère que vous allez aimer ma proposition. Pour commencer, notre petite harpie a envie que vous lui volez dans les plumes. Papi a insisté pour être sélectionné, elle espère pouvoir vous garder entre ses douces plumes. »
La Harpie était fidèle à elle-même, pétillante et toute pimpante, elle portait une belle lingerie fine pour l'occasion, elle voulait ressentir ce qu'Eveline avait ressentie avec elle. Tirant de nouveau sur le rideau pour l'écarter un peu plus, elle dévoilait cette fois, une femme plus velue que plumée.
« Marianne est une partenaire très expérimenté et très câline, elle a des formes plus généreuses, mais son atout selon elle, c'est sa queue aussi touffue que douce. »
La belle kitsune à la crinière rose tirait sur son soutien-gorge, non pas pour se déshabiller, mais attisé la curiosité de sa maîtresse pour être sélectionné. Le rideau venait ensuite dévoiler une autre femme animale, son côté animal était plus discret que son amie Marianne, mais elle était tout aussi charmante.
« Fidèle et très noble, Kaeliss miaulera pour vous, cette belle neko a envie de ronronner toute la nuit. »
Tandis que le rideau allait dévoiler la dernière prétendante, elle le tira elle-même pour plus de rapidité dévoilant une femme plus grande, plus musclée que ses amies et plus fière ! Elle était absente lors de l'arrivée de la reine, mais c'était pour une bonne raison. Bien que fidèle dans le harem, elle avait son petit caractère, étant une femme dragonne. Elle respectait la nouvelle reine, mais elle n'allait pas courber l'échine sans la tester. Elle avait laissé cette dernière faire ses premiers pas ici, maintenant, elle était un peu plus curieuse à son sujet.
« Moi ! Smarz, je suis celle que vous aurez le plus de mal à dompter ici, soyez-en sûr ! Je vous autorise à essayer, mais je suis pas ici pour me plier à vos quatre volontés comme les autres ! C'est selon mes envies. »
Affichant un sourire carnassier, ses traits humains faisaient d'elle une belle femme, ses ailes et sa queue était surtout ce qui ressortait du lot, car ses cornes, elles restaient encore assez discrètes. Maintenant, c'était à la reine de décidé. La joyeuse Papi ? La coquine Marianne ? La douce et câline Kaeliss ou alors la puissante Smarz ? Entre elles, ça allait être un rapport de forces. Mais pour le moment, c'était à Akari de décider vers qui sa queue palpitait ?
Suite à ses deux premières jouissances en compagnie des sœurs Ushis la princesse héritière de Latvira prit congé de son harem. Quelques heures pour se ressourcer dans un bain d’eau thermal, se reposer dans son lit et se revigorer avec un repas concocté par les cuisines du palais. Durant ces occupation Akari se remémore ses ébats sexuels et les nouvelles émotions qui encore là fourmillent sous sa peau et la fait frissonner d’anticipation pour la soirée à venir. Elle lui restait un an à vivre avant de devenir légalement la reine de son pays. Elle aura ses tâches, ses lourdes responsabilités. Mais un doute plane au-dessus de sa tête. Était-ce raisonnable et faisable de gérer tout un harem sans ce terrible sentiment de laisser quelques filles à l’écart ? Akari laisse l’eau chaude couler du saut pour tomber sur sa tête. Dans un bain thermal construit dans le marbre et orné de décorations ornementales conjointement produites par les humains et les hybrides la belle rousse se console à l’idée qu’il lui manque beaucoup d’expérience.
Au crépuscule, la grande salle à manger offre la vue sur la cité mère de Latvira. L’architecture inspirée de l’époque d’ivoire et d’ébène du continent est un mélange harmonieux entre le blanc et le noir lustré tous deux mis en honneur sous l’éclat des grosses lampes éclairant le palais. Une grosse pintade sur un lit de légumes poêlés et une sauce fruitée est servie en repas principal pour la princesse et deux ministres qu’elle souhaitait rencontrer pour garder un œil sur les décisions faites en son nom. Puis elle demande au sujet du harem et des possibles procréations entre le souverain et ses concubines. Akari leur explique sa crainte d’abandonner des nouveau-nés ou de faire souffrir émotionnellement ses chéries. Les deux ministres soupirent de soulagement devant une question aussi simple. Ce soir là Akari découvre que la reproduction interespèce est rare mais possible. De plus, que les rares cas de grossesse finit avec la concubine aura l’option de donner l’enfant à une famille faisant partie d’un programme d’adoption. Le décret venait de Victor, le précédent roi de Latvira. Mais seule la descendance issue de sa femme humaine sera acceptée par le royaume et les nations voisines.
Éclairée par ces réponses elle éblouie le corridor menant au harem tandis que le voile nocturne est installée dans le ciel. Elle embrasse Vaynelsing sur la joue pour la saluer et la remercier en avance pour les préparatifs. Peut-être que la nuit aura un effet sur certaines des filles. Akari sait que quelques espèces sont différentes ou plus revigorée sous l’éclat des étoiles et de la lune. La vampire en fait clairement partie ce qui ravie la princesse. Le jour viendra où les deux auront leur rencontre en privé. Pour l’heure la princesse se tient à ses côtés devant une belle présentation des filles choisies pour la séance de soirée. Elle reconnait Papi la fidèle amie de la Ushi qui clairement a une forte envie d’avoir son tour avec sa reine. Akari sourit mais après avoir vu les autres concubines et entendue leurs présentations elle préfère une alternation équitable entre les beaux petits corps et les formes plus matures. Certains parleraient de compétition mais ici les filles sont une famille.
- Toi Smarz je te prendrai seulement quand j’aurai acquis les compétences pour nous satisfaire toutes les deux. Tu dis être dure à dompter alors je veux que cette réussite soit la raison pour laquelle tu m’aimeras.
Alors qui prendre ? Après la douceur d’une jeune vachette, la joie d’une vachette aînée la reine arpente les quatre lits dans le calme et le silence. Puis son corps et sa pulsion sexuelle la guide dans le lit de Marianne la Kitsune. Elle adore la rougeur de ses joues, le bikini si affriolant, la queue touffue qui remuait avec aise. Sa main vient toucher les oreilles sensibles de la renarde que l’humaine commence à embrasser et à peloter. Son membre bien actif est déjà bien serré sous la jupe d’Akari.
- Marianne. Tu étais la dernière concubine à avoir réconforté mon père avant son terrible trépas. Rien n’est de ta faute. Et si malgré tout tu cherches le pardon alors montre-moi ce que tu as appris avec lui. Et laisse-moi soigner ton cœur.
Au crépuscule, la grande salle à manger offre la vue sur la cité mère de Latvira. L’architecture inspirée de l’époque d’ivoire et d’ébène du continent est un mélange harmonieux entre le blanc et le noir lustré tous deux mis en honneur sous l’éclat des grosses lampes éclairant le palais. Une grosse pintade sur un lit de légumes poêlés et une sauce fruitée est servie en repas principal pour la princesse et deux ministres qu’elle souhaitait rencontrer pour garder un œil sur les décisions faites en son nom. Puis elle demande au sujet du harem et des possibles procréations entre le souverain et ses concubines. Akari leur explique sa crainte d’abandonner des nouveau-nés ou de faire souffrir émotionnellement ses chéries. Les deux ministres soupirent de soulagement devant une question aussi simple. Ce soir là Akari découvre que la reproduction interespèce est rare mais possible. De plus, que les rares cas de grossesse finit avec la concubine aura l’option de donner l’enfant à une famille faisant partie d’un programme d’adoption. Le décret venait de Victor, le précédent roi de Latvira. Mais seule la descendance issue de sa femme humaine sera acceptée par le royaume et les nations voisines.
Éclairée par ces réponses elle éblouie le corridor menant au harem tandis que le voile nocturne est installée dans le ciel. Elle embrasse Vaynelsing sur la joue pour la saluer et la remercier en avance pour les préparatifs. Peut-être que la nuit aura un effet sur certaines des filles. Akari sait que quelques espèces sont différentes ou plus revigorée sous l’éclat des étoiles et de la lune. La vampire en fait clairement partie ce qui ravie la princesse. Le jour viendra où les deux auront leur rencontre en privé. Pour l’heure la princesse se tient à ses côtés devant une belle présentation des filles choisies pour la séance de soirée. Elle reconnait Papi la fidèle amie de la Ushi qui clairement a une forte envie d’avoir son tour avec sa reine. Akari sourit mais après avoir vu les autres concubines et entendue leurs présentations elle préfère une alternation équitable entre les beaux petits corps et les formes plus matures. Certains parleraient de compétition mais ici les filles sont une famille.
- Toi Smarz je te prendrai seulement quand j’aurai acquis les compétences pour nous satisfaire toutes les deux. Tu dis être dure à dompter alors je veux que cette réussite soit la raison pour laquelle tu m’aimeras.
Alors qui prendre ? Après la douceur d’une jeune vachette, la joie d’une vachette aînée la reine arpente les quatre lits dans le calme et le silence. Puis son corps et sa pulsion sexuelle la guide dans le lit de Marianne la Kitsune. Elle adore la rougeur de ses joues, le bikini si affriolant, la queue touffue qui remuait avec aise. Sa main vient toucher les oreilles sensibles de la renarde que l’humaine commence à embrasser et à peloter. Son membre bien actif est déjà bien serré sous la jupe d’Akari.
- Marianne. Tu étais la dernière concubine à avoir réconforté mon père avant son terrible trépas. Rien n’est de ta faute. Et si malgré tout tu cherches le pardon alors montre-moi ce que tu as appris avec lui. Et laisse-moi soigner ton cœur.
Elles étaient là, belles et attirante, mais la jeune princesse devait faire un seul choix. Elles ignoraient si ce serait pour la soirée ou juste pour un moment, mais dans les deux cas, toutes les volontaires voulaient l'être. Prudente, Akari évitait la dragonne, que ce soit une excuse ou une véritable raison pour la refuser poliment, Smarz croisa les bras en la toisant du regard. Elle la jugeait, mais la dragonne savait qu'elle était puissante et pas seulement au lit. Si un combat, il devait y avoir pour le royaume ou simplement sauver Akari, elle serait un redoutable adversaire pour qui croisera sa route. C'est tout à son honneur donc de refuser le temps de se préparer, mais elle n'aimait pas ça, elle aurait aimé la voir confiante et capable de lui tenir tête. Une prochaine fois, oui, une prochaine fois... Il lui restait malgré tout un choix à faire et finalement, elle optait pour la belle kitsune du harem, Marianne. C'était un honneur pour elle tandis que la princesse reine se penchait sur elle, expliquant aussi qu'elle savait qu'elle avait été la dernière a avoir vue son père ici. Elle ne s'en voulait pas, elle savait que rien n'était de sa faute, mais elle l'avait un peu « sentie », non pas qu'elle avait des pouvoirs, mais le roi aussi devait s'en douter un peu, car il avait longuement parlé de sa fille, de ce qu'elle pourrait devoir accomplir s'il n'était pas là. Comme s'il avait donné indirectement des consignes à Marianne. Bien sûr, à sa mort, elle en avait parlé à Vaynehelsing qui gérait tout ici, mais même la vampire savait, il lui avait dit pratiquement la même chose, mais couché sur papier. Pourquoi lui avoir dit ça à elle en particulier ? Elle ignorait toujours... Peut-être le hasard d'avoir été la dernière en date à l'avoir croisé ? Sûrement...
« Vous pouvez me soigner de bien des façons, Maîtresse, mais je ne veux pas vous inciter à aimer certaines choses. Notre rôle est aussi de vous apprendre, à vous de nous dire si cela est plaisant ou non. »
Elle pouvait choisir, évidemment, elle était la personne la plus importante ici et personne ne la forcerait à faire quelque chose qu'elle ne voulait pas, c'était même le contraire, ce serait à elle d'imposer ses choix. Bien que ça n'ai pas l'air d'être son genre. Mais avec les filles qui sont présentes ici, elle affinera ses goûts et ses envies, pour le moment, elle apprenait, tout simplement. La belle renarde posait sa main entre ses jambes, caressant sa belle bosse qui ne demandait qu'à sortir. Elle contemplait sa Majesté dans les yeux, le regard bienveillant.
« Vous avez fait vos premiers pas avec les sœurs Ushis, laissez-moi vous montrer la suite. Je dois avouer que j'aimerais vous offrir une délicieuse fellation... Mais si vous êtes d'accord, vous avez le choix... Simplement vous détendre et me laisser faire, ou alors, sentir mes fesses écraser votre visage pour que vous puissiez occuper votre bouche en même temps ? »
Ce que Marianne ne disait pas, c'est qu'elle allait jouer avec sa queue touffue pour lui chatouiller le visage. Elle allait tâter de sa douceur et du plaisir de côtoyer une kitsune. Chacun ses goûts, mais ce n'était pas pour rien que le roi aimait passer du temps avec elle, pas seulement pour son physique ô combien sublime. Certains avantages n'ont pas besoin de se faire dans la luxure.
« Vous pouvez me soigner de bien des façons, Maîtresse, mais je ne veux pas vous inciter à aimer certaines choses. Notre rôle est aussi de vous apprendre, à vous de nous dire si cela est plaisant ou non. »
Elle pouvait choisir, évidemment, elle était la personne la plus importante ici et personne ne la forcerait à faire quelque chose qu'elle ne voulait pas, c'était même le contraire, ce serait à elle d'imposer ses choix. Bien que ça n'ai pas l'air d'être son genre. Mais avec les filles qui sont présentes ici, elle affinera ses goûts et ses envies, pour le moment, elle apprenait, tout simplement. La belle renarde posait sa main entre ses jambes, caressant sa belle bosse qui ne demandait qu'à sortir. Elle contemplait sa Majesté dans les yeux, le regard bienveillant.
« Vous avez fait vos premiers pas avec les sœurs Ushis, laissez-moi vous montrer la suite. Je dois avouer que j'aimerais vous offrir une délicieuse fellation... Mais si vous êtes d'accord, vous avez le choix... Simplement vous détendre et me laisser faire, ou alors, sentir mes fesses écraser votre visage pour que vous puissiez occuper votre bouche en même temps ? »
Ce que Marianne ne disait pas, c'est qu'elle allait jouer avec sa queue touffue pour lui chatouiller le visage. Elle allait tâter de sa douceur et du plaisir de côtoyer une kitsune. Chacun ses goûts, mais ce n'était pas pour rien que le roi aimait passer du temps avec elle, pas seulement pour son physique ô combien sublime. Certains avantages n'ont pas besoin de se faire dans la luxure.