Prénom : Gine
Âge : 32 ans
Sexe : Féminin
Race : Saïyajin
Orientation : Bisexuelle
Origine : Daïchi.
Physique :
D'un point de vue général - et ce malgré son statut de saiyajin « basse classe » - Gine possède une ligne propre à faire jalouser bien des humaines. Menue et dotée d'une musculature fine, elle n’apparaît pourtant pas faite pour le combat. Un avis partagé par la grande majorité de son peuple barbare qui, au vu de l'absence de ses exploits guerriers lors des missions passées, la traitait avec un certain mépris...
Pourtant, en terme de résistance et de croissance le corps de Gine ne diffère pas tellement de celui de ses congénères du même sexe ! Ses courbes bien définies lui confèrent certains attraits susceptibles de faire fantasmer bien des hommes, et la qualité de ses muscles est typique de celle de sa race guerrière. Les jambes fuselées de l'intéressée dénotent d'ailleurs une certaine force et un très bon équilibre. Gine est et sera toujours du genre à préconiser la souplesse à la résistance physique. Encaisser les coups ne lui plaît pas beaucoup, tout comme les délivrer gratuitement ne lui tient pas spécialement à cœur...
Bien malgré la dureté de son existence Saïyen, le visage de notre ravissante protagoniste affiche le plus souvent un doux sourire rempli d'espoirs. Dans d'autres circonstances moins plaisantes, ce portait aimant a tendance à se muer en une expression colérique difficilement intimidante - plus proche du caprice que de la véritable fureur.
Des cheveux ébouriffés d'un noir de jais, aussi sombres que ses grandes prunelles, encadrent cette figure de jeune femme mésestimée. Sa frange déborde sur son front sous la forme d'épis, lui conférant un air un tantinet négligé. Son épaisse crinière s'arrête juste en dessous de sa nuque.
En dépit de ses compétences martiales qui ne font guère l'unanimité, la tenue de Gine est fidèle aux coutumes de son peuple. Elle se compose d'un plastron moulant - aussi robuste que souple mais pourtant diablement extensible - à bretelles jaunes, assorti d'une jupe de la même matière synthétique. En-dessous, la saïyajin porte un collant noir qui lui descend jusqu'aux pieds, eux-mêmes couverts par des bottes blanches. Des brassards roses, qui ont pour but d'apporter un peu plus de couleur à cet ensemble austère, complètent la panoplie.
Enfin, comme les fiers Saïyens, Gine possède une queue de singe.
Caractère :
Que dire de cette impayable saïyajin au cœur tendre ? Son caractère se limite-t-il à la bonté seule ?
Bien sûr que non ! sans quoi, Gine n'aurait jamais pu survivre parmi les siens.
Derrière cette mine emplie de douceur se dissimule une colère redoutable ! Une émotion brutale, forte, très mal maîtrisée et... enterrée dans les strates d'un esprit naïf enclin au pacifisme. Parfois capricieuse dans des situations déconcertantes, il lui arrive de la laisser exploser et d'en venir aux mains avec le - ou les - malheureux responsable(s) de cette fantastique perte de sang-froid. Dans ces moments-là, Gine fait fi de toute prudence en s'exposant à des risques parfaitement inconsidérés - remarquez-là une certaine ressemblance avec ses congénères !
Belle ironie en prenant note du mépris des siens vis-à-vis de sa nature bienveillante et de sa faiblesse si répugnante à leurs yeux...
Toutefois, malgré les huées et quolibets de son peuple de soudards, Gine, forte d'une certaine résilience, parvient toujours à surpasser son désespoir et à reprendre goût à la vie. Il suffit de lui en laisser le temps, rien de plus.
Au fond d'elle-même, Gine ne partage pas les idéaux bellicistes de son entourage saïyajin, préférant de loin faire montre de bonté et de sympathie envers les autres races plutôt que de s'en débarrasser sauvagement dans un génocide écœurant. Elle abhorre le gâchis sous toutes ses formes !
Avec le temps, les combats et les brimades, le mental de la saïyajin s'est naturellement renforcé. Gine a beau ne pas avoir beaucoup brillé à côté de ses semblables, il n'a jamais été question pour elle de se laisser marcher sur les pieds !
En somme, la jeune femme n'a, en terme de détermination, rien à envier à son peuple. Elle aime la vie et se battra bec et ongles pour continuer à subsister.
Cela dit, sa queue de singe reste son point faible ; la saisir la vide de ses forces quasi-instantanément. Ajoutez à cela la piètre maîtrise de sa transformation en Oozaru, un soir de pleine lune pour que sa colère enfouie prenne immédiatement le dessus ! Le monde vire alors au rouge, annonçant une imminente désolation...
Une transformation que la jeune femme abomine à juste titre.
Histoire :
C'est avec la venue de Talos que le destin de Gine - tout comme celui de bien des saiyajins - a complètement basculé !
Elle qui n'était promise à rien ni à personne, qui s'était trouvée un semblant de vie paisible en temps que modeste cuisinière au sein d'un village insignifiant à l'écart des combats et de la brutalité des siens... tout cela avait été soufflé en un rien de temps !
Avait-elle eu le temps d'en profiter ? De jouir un minimum de sa retraite guerrière ? Combien d'années s'étaient écoulées depuis son changement de carrière, au juste ?
Gine n'avait pas pris la peine de les compter...
Elle s'était simplement retirée dans un coin perdu où les gens n'aspiraient pas qu'à se battre. Un endroit reculé où chacun avait sa place. Où la force ne primait pas. Où les villageois, de bien des origines, étaient amenés à se compléter. A se serrer les coudes. A vivre en petite communauté.
En bref, un minuscule havre de paix où les passages se faisaient rares.
Mais un tel rêve ne pouvait pas durer.
Pas sur Daïchi.
Pas sur la planète renommée Sadela !
Le jour du cataclysme, alors que la femme à queue de singe était tranquillement en train de débiter un énorme tronçon de viande à l'aide d'un hachoir de très modeste facture, une silhouette musculeuse couverte de bandages était apparue dans le ciel. Cette forme éthérée s'était substituée au soleil couchant. Gine n'avait pas été la seule à lever des yeux ronds dessus et à se poser des questions sur sa nature.
A cette heure-ci, la nuit était censée tomber sur Sadela. Mais la seule présence de cet être hors norme avait inondé le monde d'un feu éblouissant comme en plein jour.
Oh ! C'était une vision magnifique, oui... absolument sublime !
Une main en visière posée au-dessus de ses yeux plissés, Gine en était restée scotchée.
L'espace d'un instant, elle avait cru assister à l’émergence d'une divinité avant de finir par comprendre que toute source de lumière n'est pas forcément pavée de bonnes intentions.
Sous ses pieds, le sol avait commencé à se craqueler. Inexplicablement, le ciel - sans nuage - s'était alors mis à tonner. Cette énergie, qui grondait si farouchement, ne provenait non pas de la voûte céleste mais bel et bien de la terre qui avait commencé à s'ouvrir dans des gerbes de lave !
Daïchi était en train de se disloquer, et ceux qui ne savaient pas voler furent les premiers à se dissoudre dans ses ruines fumantes comme s'ils n'avaient jamais existé.
Mue par son instinct de survie, la saïyajin avait quitté son refuge et, depuis les airs, assisté avec horreur aux affres de la fin de son monde. Impuissante, elle vit ainsi bon nombre de ses voisins mourir. Une collection d'images qui allaient la hanter jusqu'à la fin de ses jours ! Celle d'un Tsuful à demi plongé dans les flots ardents, la moitié de son visage fondu appelant vainement à l'aide ; celle d'un autre villageois, un bon vivant avec qui elle avait échangé moult plaisanteries, dont la partie inférieure du corps avait fini écrasé par un vicieux amoncellement de rochers brûlants ; celle d'un homme qui, tout comme elle, avait fui les combats pour se trouver une nouvelle vie dans cet hameau et qui, ce jour même, avait tenté de fuir par la voie des airs avant de se faire frapper par un éclair.
Une ultime et funeste vision qui avait poussé la jeune femme terrifiée à s'éloigner de la lumière et de la mort qu'elle propageait ! à retarder l'inévitable, à fuir ce destin cruel aussi vite qu'elle le pouvait tout en zigzaguant parmi les éclairs mortels.
Ce jour-là, Gine aurait dû mourir comme tous les autres. Par où aurait-elle pu s'enfuir, après tout ? Existait-il un seul refuge viable sur cette planète profondément meurtrie par le tout-puissant Talos ?
Non, Daïchi était voué à une destruction totale.
Pourtant, alors que les éclairs éclataient à ses oreilles, que la terre s'éventrait de part en part et que les vents violents s'évertuaient à la faire dévier de sa trajectoire, la saïyajin découvrit un portail. Une déchirure dans l'espace. Une... faille surréaliste dont elle ignorait la nature et l'auteur.
Paniquée, pressée par le temps et la mort qui se déchaînait tout autour d'elle, Gine n'eut d'autre choix que de s'élancer à travers cette voie insolite !
Que savait-elle de sa destination et de cette possible vie qui l'attendait derrière ?
Rien, si ce n'est qu'elles restaient à définir.
Capacités latentes/Compétences clés :
- Manipulation du Ki : comme tout saïyajin qui se respecte, Gine est capable de déployer son énergie interne de façon à pouvoir s'en envelopper - sous forme d'aura - ou de la projeter de diverses manières - rayons ou sphères. Il lui est également possible par son biais d'ignorer les lois de la gravité et de s'envoler à loisir ! (D'autres utilisations du Ki sont possibles, mais il est préférable de les développer en RP)
- Combattante malgré elle : Gine est une guerrière par nature mais n'a jamais fait bon usage de son potentiel caché. Elle est donc plus robuste, forte et agile qu'une femme lambda.
- Transformation en Oozaru : en tant que saïyajin, elle porte une queue de singe et peut se métamorphoser en Oozaru (gorille géant) lors de la pleine lune en fixant ledit astre de ses yeux noirs. Cette transformation prend fin si Gine perd son attribut simiesque ou si la lune n'est plus. A noter que Gine sombre dans une rage destructrice sous cette forme et qu'elle devient capable de cracher du Ki par la bouche.
- « Bonne santé, longue vie ! » : Dernier facteur inhérent à sa race et à prendre en considération. Les Saïyen ne subissent pas les affres de la maladie sauf si cette dernière s'attaque au cœur. Les poisons ont également efficacité moindre dans son organisme.
Âge : 32 ans
Sexe : Féminin
Race : Saïyajin
Orientation : Bisexuelle
Origine : Daïchi.
Physique :
D'un point de vue général - et ce malgré son statut de saiyajin « basse classe » - Gine possède une ligne propre à faire jalouser bien des humaines. Menue et dotée d'une musculature fine, elle n’apparaît pourtant pas faite pour le combat. Un avis partagé par la grande majorité de son peuple barbare qui, au vu de l'absence de ses exploits guerriers lors des missions passées, la traitait avec un certain mépris...
Pourtant, en terme de résistance et de croissance le corps de Gine ne diffère pas tellement de celui de ses congénères du même sexe ! Ses courbes bien définies lui confèrent certains attraits susceptibles de faire fantasmer bien des hommes, et la qualité de ses muscles est typique de celle de sa race guerrière. Les jambes fuselées de l'intéressée dénotent d'ailleurs une certaine force et un très bon équilibre. Gine est et sera toujours du genre à préconiser la souplesse à la résistance physique. Encaisser les coups ne lui plaît pas beaucoup, tout comme les délivrer gratuitement ne lui tient pas spécialement à cœur...
Bien malgré la dureté de son existence Saïyen, le visage de notre ravissante protagoniste affiche le plus souvent un doux sourire rempli d'espoirs. Dans d'autres circonstances moins plaisantes, ce portait aimant a tendance à se muer en une expression colérique difficilement intimidante - plus proche du caprice que de la véritable fureur.
Des cheveux ébouriffés d'un noir de jais, aussi sombres que ses grandes prunelles, encadrent cette figure de jeune femme mésestimée. Sa frange déborde sur son front sous la forme d'épis, lui conférant un air un tantinet négligé. Son épaisse crinière s'arrête juste en dessous de sa nuque.
En dépit de ses compétences martiales qui ne font guère l'unanimité, la tenue de Gine est fidèle aux coutumes de son peuple. Elle se compose d'un plastron moulant - aussi robuste que souple mais pourtant diablement extensible - à bretelles jaunes, assorti d'une jupe de la même matière synthétique. En-dessous, la saïyajin porte un collant noir qui lui descend jusqu'aux pieds, eux-mêmes couverts par des bottes blanches. Des brassards roses, qui ont pour but d'apporter un peu plus de couleur à cet ensemble austère, complètent la panoplie.
Enfin, comme les fiers Saïyens, Gine possède une queue de singe.
Caractère :
Que dire de cette impayable saïyajin au cœur tendre ? Son caractère se limite-t-il à la bonté seule ?
Bien sûr que non ! sans quoi, Gine n'aurait jamais pu survivre parmi les siens.
Derrière cette mine emplie de douceur se dissimule une colère redoutable ! Une émotion brutale, forte, très mal maîtrisée et... enterrée dans les strates d'un esprit naïf enclin au pacifisme. Parfois capricieuse dans des situations déconcertantes, il lui arrive de la laisser exploser et d'en venir aux mains avec le - ou les - malheureux responsable(s) de cette fantastique perte de sang-froid. Dans ces moments-là, Gine fait fi de toute prudence en s'exposant à des risques parfaitement inconsidérés - remarquez-là une certaine ressemblance avec ses congénères !
Belle ironie en prenant note du mépris des siens vis-à-vis de sa nature bienveillante et de sa faiblesse si répugnante à leurs yeux...
Toutefois, malgré les huées et quolibets de son peuple de soudards, Gine, forte d'une certaine résilience, parvient toujours à surpasser son désespoir et à reprendre goût à la vie. Il suffit de lui en laisser le temps, rien de plus.
Au fond d'elle-même, Gine ne partage pas les idéaux bellicistes de son entourage saïyajin, préférant de loin faire montre de bonté et de sympathie envers les autres races plutôt que de s'en débarrasser sauvagement dans un génocide écœurant. Elle abhorre le gâchis sous toutes ses formes !
Avec le temps, les combats et les brimades, le mental de la saïyajin s'est naturellement renforcé. Gine a beau ne pas avoir beaucoup brillé à côté de ses semblables, il n'a jamais été question pour elle de se laisser marcher sur les pieds !
En somme, la jeune femme n'a, en terme de détermination, rien à envier à son peuple. Elle aime la vie et se battra bec et ongles pour continuer à subsister.
Cela dit, sa queue de singe reste son point faible ; la saisir la vide de ses forces quasi-instantanément. Ajoutez à cela la piètre maîtrise de sa transformation en Oozaru, un soir de pleine lune pour que sa colère enfouie prenne immédiatement le dessus ! Le monde vire alors au rouge, annonçant une imminente désolation...
Une transformation que la jeune femme abomine à juste titre.
Histoire :
C'est avec la venue de Talos que le destin de Gine - tout comme celui de bien des saiyajins - a complètement basculé !
Elle qui n'était promise à rien ni à personne, qui s'était trouvée un semblant de vie paisible en temps que modeste cuisinière au sein d'un village insignifiant à l'écart des combats et de la brutalité des siens... tout cela avait été soufflé en un rien de temps !
Avait-elle eu le temps d'en profiter ? De jouir un minimum de sa retraite guerrière ? Combien d'années s'étaient écoulées depuis son changement de carrière, au juste ?
Gine n'avait pas pris la peine de les compter...
Elle s'était simplement retirée dans un coin perdu où les gens n'aspiraient pas qu'à se battre. Un endroit reculé où chacun avait sa place. Où la force ne primait pas. Où les villageois, de bien des origines, étaient amenés à se compléter. A se serrer les coudes. A vivre en petite communauté.
En bref, un minuscule havre de paix où les passages se faisaient rares.
Mais un tel rêve ne pouvait pas durer.
Pas sur Daïchi.
Pas sur la planète renommée Sadela !
Le jour du cataclysme, alors que la femme à queue de singe était tranquillement en train de débiter un énorme tronçon de viande à l'aide d'un hachoir de très modeste facture, une silhouette musculeuse couverte de bandages était apparue dans le ciel. Cette forme éthérée s'était substituée au soleil couchant. Gine n'avait pas été la seule à lever des yeux ronds dessus et à se poser des questions sur sa nature.
A cette heure-ci, la nuit était censée tomber sur Sadela. Mais la seule présence de cet être hors norme avait inondé le monde d'un feu éblouissant comme en plein jour.
Oh ! C'était une vision magnifique, oui... absolument sublime !
Une main en visière posée au-dessus de ses yeux plissés, Gine en était restée scotchée.
L'espace d'un instant, elle avait cru assister à l’émergence d'une divinité avant de finir par comprendre que toute source de lumière n'est pas forcément pavée de bonnes intentions.
Sous ses pieds, le sol avait commencé à se craqueler. Inexplicablement, le ciel - sans nuage - s'était alors mis à tonner. Cette énergie, qui grondait si farouchement, ne provenait non pas de la voûte céleste mais bel et bien de la terre qui avait commencé à s'ouvrir dans des gerbes de lave !
Daïchi était en train de se disloquer, et ceux qui ne savaient pas voler furent les premiers à se dissoudre dans ses ruines fumantes comme s'ils n'avaient jamais existé.
Mue par son instinct de survie, la saïyajin avait quitté son refuge et, depuis les airs, assisté avec horreur aux affres de la fin de son monde. Impuissante, elle vit ainsi bon nombre de ses voisins mourir. Une collection d'images qui allaient la hanter jusqu'à la fin de ses jours ! Celle d'un Tsuful à demi plongé dans les flots ardents, la moitié de son visage fondu appelant vainement à l'aide ; celle d'un autre villageois, un bon vivant avec qui elle avait échangé moult plaisanteries, dont la partie inférieure du corps avait fini écrasé par un vicieux amoncellement de rochers brûlants ; celle d'un homme qui, tout comme elle, avait fui les combats pour se trouver une nouvelle vie dans cet hameau et qui, ce jour même, avait tenté de fuir par la voie des airs avant de se faire frapper par un éclair.
Une ultime et funeste vision qui avait poussé la jeune femme terrifiée à s'éloigner de la lumière et de la mort qu'elle propageait ! à retarder l'inévitable, à fuir ce destin cruel aussi vite qu'elle le pouvait tout en zigzaguant parmi les éclairs mortels.
Ce jour-là, Gine aurait dû mourir comme tous les autres. Par où aurait-elle pu s'enfuir, après tout ? Existait-il un seul refuge viable sur cette planète profondément meurtrie par le tout-puissant Talos ?
Non, Daïchi était voué à une destruction totale.
Pourtant, alors que les éclairs éclataient à ses oreilles, que la terre s'éventrait de part en part et que les vents violents s'évertuaient à la faire dévier de sa trajectoire, la saïyajin découvrit un portail. Une déchirure dans l'espace. Une... faille surréaliste dont elle ignorait la nature et l'auteur.
Paniquée, pressée par le temps et la mort qui se déchaînait tout autour d'elle, Gine n'eut d'autre choix que de s'élancer à travers cette voie insolite !
Que savait-elle de sa destination et de cette possible vie qui l'attendait derrière ?
Rien, si ce n'est qu'elles restaient à définir.
Capacités latentes/Compétences clés :
- Manipulation du Ki : comme tout saïyajin qui se respecte, Gine est capable de déployer son énergie interne de façon à pouvoir s'en envelopper - sous forme d'aura - ou de la projeter de diverses manières - rayons ou sphères. Il lui est également possible par son biais d'ignorer les lois de la gravité et de s'envoler à loisir ! (D'autres utilisations du Ki sont possibles, mais il est préférable de les développer en RP)
- Combattante malgré elle : Gine est une guerrière par nature mais n'a jamais fait bon usage de son potentiel caché. Elle est donc plus robuste, forte et agile qu'une femme lambda.
- Transformation en Oozaru : en tant que saïyajin, elle porte une queue de singe et peut se métamorphoser en Oozaru (gorille géant) lors de la pleine lune en fixant ledit astre de ses yeux noirs. Cette transformation prend fin si Gine perd son attribut simiesque ou si la lune n'est plus. A noter que Gine sombre dans une rage destructrice sous cette forme et qu'elle devient capable de cracher du Ki par la bouche.
- « Bonne santé, longue vie ! » : Dernier facteur inhérent à sa race et à prendre en considération. Les Saïyen ne subissent pas les affres de la maladie sauf si cette dernière s'attaque au cœur. Les poisons ont également efficacité moindre dans son organisme.