Dix minutes de retard… Dix. Minutes. Cette fois, Andréa avait fait fort ! Jamais sa fille adorée ne l’avait autant provoqué, et n’était arrivée autant en retard ! Andréa bouillonnait de patience en regardant la puce GPS sur le collier de Cloé. Elle se rapprochait de la maison, mais avait visiblement été très occupée. Andréa savait que, avec son corps malingre, Cloé pouvait parfois inquiéter. Andréa faisait très attention à bien l’éduquer, à ne pas aller trop loin. Si elle la blessait ou l’épuisait trop, les services sociaux finiraient par le savoir, et elle n’avait pas envie qu’on lui retire sa fille. Les autres ne comprendraient pas, personne ne comprendrait ! Tout ce qu’Andréa faisait, c’était pour le bonheur de sa fille, sa fille qu’elle aimait plus que tout, et à qui elle refusait qu’elle fasse les mêmes erreurs qu’elle. Quand Cloé arriva enfin, Andréa portait sa robe de soirée. Elle était comme toujours intégralement nue dessous. Cloé connaissait tout de l’anatomie humaine, elle avait pu voir le corps nu de sa mère à bien des occasions, presque tous les jours.
Cloé expliqua rapidement que Charlotte, l’une de ses amies, avait voulu l’accompagner. Andréa, qui était dans le salon, attendit que Cloé arrive. Et, quand celle-ci arriva, elle put voir qu’un chevalet avait été traîné hors du donjon pour être positionné face à une grande fenêtre donnant sur l’extérieur. Dehors, Charlotte était effectivement là, observant la maison d’Andréa.
« Tu espères pouvoir échapper à ta sanction en blâmant tes amies ? Il suffit d’une petite erreur, et c’est le début de la fin. Toute erreur, toute entorse aux règles, se doit d’être réprimée et punie. Je t’ai déjà dit que tu devais toujours revenir à l’heure. Or, tu as dix minutes de retard… Dix minutes ! »
Andréa parlait sur un ton fort, faisant bien comprendre à Cloé qu’elle allait se faire punir ! Elle se rapprocha d’elle, et la déshabilla rapidement. Cloé finit toute nue, à l’exception de son harnais, et de sa cage de chasteté. Andréa s’agenouilla alors, et glissa la clef dans la cage, qu’elle ouvrit ensuite. La cage libéra l’intimité parfaitement épilée de Cloé (Andréa l’épilait elle-même).
Elle sourit doucement en voyant le plug, et attrapa l’embout rose, puis tira dessus. Elle entendit sa fille soupirer naturellement, tandis que le plug se dévoilait petit à petit. Ce n’était pas un petit calibre, mais un gros plug noir qu’elle retira lentement, jusqu’à faire soupirer Cloé.
« En tout cas, tu es une vraie cochonne, tu as pu marcher avec ça dans le cul… »
Andréa soupira lentement, doucement excitée. En même temps, sa fille était habituée, il était très rare qu’elle ne porte plus ce genre de choses. Elle l’avait progressivement habitué à porter des plugs de plus en plus gros, et sur des durées de plus en plus longues.
Une fois ceci fait, Andréa l’attacha sur le chevalet. Dehors, depuis la fenêtre, elle pouvait voir Charlotte, qui était sur son téléphone portable. C’était un quartier résidentiel, et il était impossible de voir à travers la vitre.
« Tu m’as désobéi, Cloé. Pour ça, je vais devoir te punir. Tu te feras sûrement porter pâle demain matin. »
Chaque absence de Cloé coïncidait avec une grosse et longue séance de punition. Andréa attrapa un fouet, et commença par caresser avec sa main libre le cul de Cloé.
« Commençons par dix coups de fouet, un pour chaque minute de retard. »
Andrea se recula, et le fouet remua dans l’air… OPuis fusa sur els fesses de Cloé, la claquant avec force.
*SHTAAAC !!*