Quel délicieux spectacle que voilà ! Tarzan ne se serait jamais laissé faire, c'est sûr et certain. Il ne voulait pas avoir d'enfant, il avait trop peur, alors imaginez quand ça concerne des plantes qui veulent juste le remplir par tous les orifices. Alors que de mon côté, j'aurais bien profité de ce genre de créatures. D'ailleurs, les yeux de Lyria se mettent à changer de couleur pour le rose brillant, montrant qu'elle est sous magie rose, ou au moins aphrodisiaque. Ses gémissements sont étouffés, mais on sent qu'elle aime ce moment et qu'elle ne va pas regretter le moindre instant. Peut-être qu'il y aurait des effets secondaires, mais les soigneurs n'auraient pas de mal à retirer ce qui ne va pas, d'autant plus que ça lui ferait une aventure dans lequel elle pourrait écrire une chanson. Une femme aussi aventureuse comme ça, qui ne se soucie d'aucune conséquence, ça, c'est ce que j'aime bien chez ma bardesse royale.
Une pokéball contenant un pokémon, hein ? Il faudrait que je voie à quoi ça ressemble plus précisément un pokémon, car peut-être que ce serait intéressant. En tout cas, elle parle d'un empiflor. Apparemment, un empiflor classique mesure dans les 2 mètres, donc un peu plus grand que moi, mais là on parle carrément de 5 mètres de haut. En tout cas, il est vraiment magnifique, c'est le moins que l'on puisse dire. Un Baron, comme dans la noblesse ? Eh bien il va être Baron de la punition, s'il fait bien son travail.
 |
"Eh bien ! Ils ont une catégorie du nom d'un titre de noblesse ? Si j'avais su..." |
D'habitude, quand on donne des titres de nobles, c'est en tant que surnoms, comme les lions qui sont considérés comme les Rois des Animaux. Mais qu'on ajoute une catégorie de noblesse, ça impose le respect. D'ailleurs, je vois que cette créature nous regarde tour à tour, avant de voir sa Maîtresse. On dirait qu'il a envie de s'amuser, en voulant mettre sa branche entre mes cuisses et une excroissance phallique qui me titille la chatte, ce qui me fait couiner, mais contrairement à la sorcière, je le laisse faire.
 |
"On dirait que tu veux t'amuser, hein ! Ne t'inquiète pas, Aruba, me faire pénétrer pendant qu'on parle, c'est habituel." |
Aruba demande donc à l'empiflor d'attraper Lyria, et je montre mon côté cruel et plus autoritaire. Quand mon œil bleu devient rouge, c'est jamais bon signe, et c'est bien connu, même avant que je n'aie été couronnée. Aruba n'est en rien décontenancée par cet œil et mon petit changement de personnalité. Elle rend donc l'empiflor transparent, et m'explique le mode d'emploi. Les nepentes sont connus dans les jungles tropicales à Véda, donc je ne suis pas étonnée de la façon de faire, mais ici c'est à grande échelle, avec ma bardesse qui ne remplit pas entièrement l'urne, limite je peux torturer plus d'un prisonnier en même temps que certains en profitent pour le plaisir. Alors ça fonctionne par magie, et je vois bien à quel point ma bardesse se fait complètement pénétrer. Peut-être pas de la même manière, mais en voyant les bras qui sont à l'intérieur d'elle, d'autant plus que je ne serais même pas étonnée qu'il y en ait dans son urètre, il fait tellement bien son travail. Alors il se nourrit de fluides pour faire une substance nourrissante, et donc la peine peut paraître longue. De l'acide ? Il m'intéresse d'autant plus, celui-là. J'aimerais bien essayer, et d'ailleurs elle me pose une question qui peut sembler importante, et je lui souris, pendant que mon œil bleu revient.
 |
"J'ai plus d'affinité pour les félins, je dois t'avouer. Il faut dire qu'une de mes âmes a grandi avec des tigres." |
En soi, ce sont des cousins pas si loin des chats, n'est-ce pas ? Je regarde d'ailleurs l'empiflor et je commence à lui parler directement, mais pas dans la langue commune, non... plutôt dans son langage, l'apprenant rapidement du même coup.
 |
"Enduis-la de ton acide très, très peu corrosif." |
L'empiflor est étonné d'entendre une humaine parler son langage, mais il obéit, faisant que Lyria se trouve comme si elle était huilée, sauf que cette huile la picote un peu, mais rien de douloureux, ses gémissements sont étouffés comme si de rien n'était.
 |
"Je vais te donner une autre personne à dévorer, j'ai envie de tester ton acide." |
Pas besoin de magie quand on a moyen de se faire comprendre. Je me tourne donc vers les gardes.
 |
"Gardes, amenez un prisonnier !" |
Là, on peut parler de violence sexuelle, à partir de là. Pour Lyria, c'était volontaire autant de ma part que de la sienne. Mais là, je sers d'un des prisonniers comme d'un cobaye. Mon oeil bleu redevient rouge, et cette fois, je laisse parler le sadisme qui est en moi. Comme convenu, un prisonnier, avec sa tenue d'Adam, est venu. Il essaie de me supplier, mais il voit bien que mes deux yeux sont rouges.
 |
"Te voilà cobaye pour une plante carnivore, avorton ! Tu n'aurais pas dû blasphémer Ouroboros de la sorte, tu vas en payer le prix ! Empiflor, c'est lui que tu vas dévorer, au plus profond de toi !" |
C'est là qu'il fait sortir de sa bouche des tentacules rouges et remplies de pustules pour prendre le type, d'abord par les poignets et les chevilles, puis il met une tentacule dans la bouche pour le faire taire, mais aussi absorber la salive, avant de l'avaler et le mettre au plus profond, alors que Lyria est suspendue, en train de se faire bien plaisir. Le prisonnier est limite plongé dans l'acide encore très peu corrosif. Je pose ensuite la main sur l'empiflor, commençant à comprendre comment doser l'acide de manière magique, et disons que ma cruauté s'exprime car c'est un équilibre parfait entre la douleur et la non-léthalité. Il veut crier de douleur, mais c'est étouffé par la tentacule. Alors que pour Lyria, c'est toujours du plaisir d'être celle qui lui nourrit de mouille. Elle crie, mais de plaisir, et toujours en étant étouffé. Mon œil bleu revient donc, et je suis satisfaite par ce Baron.
 |
"Il me plait bien." |