Bien plus gros ? Je sens mon vagin trembler d’angoisse à cette idée. C’est qu’elle est marrante, Ryouka : sa taille normale prenait déjà de la place dans ma bouche ! J’ai jamais ouvert aussi grand les lèvres du bas, je sais pas si c’est possible. Et pour parler technique : j’ai pas les mensurations de Nika, je suis même bien en dessous ! Elle est pas grosse, c’est moi qui suis maigrichonne.
Heureusement la belle geekette vient vite calmer mon anxiété de ses douces lèvres. Elles pressent sur les miennes, glissent alors que Ryouka bouge sur moi. Je frémis, puis tressaille en sentant la chair couverte de salive glisser sur ma peau. Mon cœur s’emballe, je sens son membre brûlant et lourd sur mon ventre, dur. Il monte jusqu’à mon nombril, elle qu’il ira aussi loin à l’intérieur ? Le baiser qui s’étire n’est finalement pas si apaisant, mais je sens soudain mes cuisses se contracter d’elles-mêmes. Ma tête a beau faire toute une montagne de ce gros sexe, mon corps se cambre pour le réclamer.
Autant dire que je bois les paroles rassurantes de Ryouka. Je ne demande qu’à la croire quand elle dit que ce sera divin, et j’écarte timidement les cuisses. Mes mains rampent le long de ses bras pour atteindre ses épaules. Crier ? Ça ferait si mal que ça ? Il faut dire qu’on a un entraînement pour résister à la douleur, l’idée que je puisse crier malgré ça n’est pas rassurante. Mais déjà je sens le bout de son sexe pousser contre mes lèvres intimes. Je baisse la tête et mes yeux s’ouvrent grands, tout comme ma bouche.
« ... »
Ce n’est pas tant la douleur que la surprise qui me coupe le souffle, le choc de voir cet énorme piston de chair descendre entre mes cuisses. Je le sens, et je n’ai jamais ressenti quelque chose de vaguement approchant dans ma vie. Ça fait mal, ma chair ne s’est jamais tendue de cette façon. Mais ce n’est pas une douleur alarmante. Mon vagin n’a jamais été aussi rempli, son gros machin prend toute la place, même un peu trop. Je ne le ressens pourtant pas comme une agression, c’est plutôt une sorte de gêne. Ce n’est pas comme les doigts qu’elle m’a glissé dans l’anus, rien à voir.
Je me mordille encore la lèvre, mais je ne me retiendrais plus bien longtemps de gémir. La douleur décroît rapidement et c’est bien ce qui va me faire crier. Serrer les dents sur la souffrance est une chose, sur ce que je ressens en ce moment... Elle avait raison, c’est bien plus intense que les doigts, trop intense. Je ne comprends pas tout ce qui se passe, ce que mon corps est en train de faire. Soudain ça tire dans l’autre sens, le membre de Ryouka recule, je le sens au millimètre près. C’est encore plus intense ! Et il revient, ça n’en finit pas ! Je vais devenir dingue, je suis complètement larguée. Je ne sais qu’une chose, qui me fait soudain rejeter la tête en arrière pour crier, les yeux fermés.
« Gyah ! C’est bon ! Ryouka ! C’est trop bon ! »
Je reste agrippée à ses épaules, tendue comme un arc. À partir de la taille mon corps est cambré. J’en veux plus, je veux qu’elle reste en moi, je veux son corps contre le mien, je veux des baiser, des caresse et qu’elle continue de faire aller et venir son gros machin dans ma petite chatte. Je veux de la chair jusqu’à m’étouffer ! Mes mains abandonnent ses épaules pour grimper dans son dos. Je me hisse péniblement pour ne parvenir qu’à caresser brièvement ses lèvres du bout de la langue. Ryouka... Je me laisse retomber sur les matelas. Allongée les cuisses grandes ouvertes, j’ai l’impression de tailler un cent mètres à la nage. Tous mes muscles sont tendus, mon corps est en train de cramer une énergie monstre à rien foutre. Parce qu’on ne peut pas dire que je sois très active.
En fait, passer les jambes autour des cuisses de Ryouka pour lui servir de garde-fou est de loin ce que je fais de plus notable. Mais je prends trop mon pied pour m’en plaindre, et très vite il n’y a plus que ça qui compte. J’en ai les larmes aux yeux tant tout ça est intense.
Heureusement la belle geekette vient vite calmer mon anxiété de ses douces lèvres. Elles pressent sur les miennes, glissent alors que Ryouka bouge sur moi. Je frémis, puis tressaille en sentant la chair couverte de salive glisser sur ma peau. Mon cœur s’emballe, je sens son membre brûlant et lourd sur mon ventre, dur. Il monte jusqu’à mon nombril, elle qu’il ira aussi loin à l’intérieur ? Le baiser qui s’étire n’est finalement pas si apaisant, mais je sens soudain mes cuisses se contracter d’elles-mêmes. Ma tête a beau faire toute une montagne de ce gros sexe, mon corps se cambre pour le réclamer.
Autant dire que je bois les paroles rassurantes de Ryouka. Je ne demande qu’à la croire quand elle dit que ce sera divin, et j’écarte timidement les cuisses. Mes mains rampent le long de ses bras pour atteindre ses épaules. Crier ? Ça ferait si mal que ça ? Il faut dire qu’on a un entraînement pour résister à la douleur, l’idée que je puisse crier malgré ça n’est pas rassurante. Mais déjà je sens le bout de son sexe pousser contre mes lèvres intimes. Je baisse la tête et mes yeux s’ouvrent grands, tout comme ma bouche.
« ... »
Ce n’est pas tant la douleur que la surprise qui me coupe le souffle, le choc de voir cet énorme piston de chair descendre entre mes cuisses. Je le sens, et je n’ai jamais ressenti quelque chose de vaguement approchant dans ma vie. Ça fait mal, ma chair ne s’est jamais tendue de cette façon. Mais ce n’est pas une douleur alarmante. Mon vagin n’a jamais été aussi rempli, son gros machin prend toute la place, même un peu trop. Je ne le ressens pourtant pas comme une agression, c’est plutôt une sorte de gêne. Ce n’est pas comme les doigts qu’elle m’a glissé dans l’anus, rien à voir.
Je me mordille encore la lèvre, mais je ne me retiendrais plus bien longtemps de gémir. La douleur décroît rapidement et c’est bien ce qui va me faire crier. Serrer les dents sur la souffrance est une chose, sur ce que je ressens en ce moment... Elle avait raison, c’est bien plus intense que les doigts, trop intense. Je ne comprends pas tout ce qui se passe, ce que mon corps est en train de faire. Soudain ça tire dans l’autre sens, le membre de Ryouka recule, je le sens au millimètre près. C’est encore plus intense ! Et il revient, ça n’en finit pas ! Je vais devenir dingue, je suis complètement larguée. Je ne sais qu’une chose, qui me fait soudain rejeter la tête en arrière pour crier, les yeux fermés.
« Gyah ! C’est bon ! Ryouka ! C’est trop bon ! »
Je reste agrippée à ses épaules, tendue comme un arc. À partir de la taille mon corps est cambré. J’en veux plus, je veux qu’elle reste en moi, je veux son corps contre le mien, je veux des baiser, des caresse et qu’elle continue de faire aller et venir son gros machin dans ma petite chatte. Je veux de la chair jusqu’à m’étouffer ! Mes mains abandonnent ses épaules pour grimper dans son dos. Je me hisse péniblement pour ne parvenir qu’à caresser brièvement ses lèvres du bout de la langue. Ryouka... Je me laisse retomber sur les matelas. Allongée les cuisses grandes ouvertes, j’ai l’impression de tailler un cent mètres à la nage. Tous mes muscles sont tendus, mon corps est en train de cramer une énergie monstre à rien foutre. Parce qu’on ne peut pas dire que je sois très active.
En fait, passer les jambes autour des cuisses de Ryouka pour lui servir de garde-fou est de loin ce que je fais de plus notable. Mais je prends trop mon pied pour m’en plaindre, et très vite il n’y a plus que ça qui compte. J’en ai les larmes aux yeux tant tout ça est intense.