The Multiversity

[Booette]

Il n'y avait aucune raison logique, c'était ainsi, elle craignait Bowsette, sans que cette dernière n'ait vraiment fait quoi que ce soit pour en arriver là, mais, ça ne s'explique pas, c'est comme chercher à savoir pourquoi on avait spécialement peur des araignées ou des serpents, cette peur ne s'explique pas. C'était dans son ADN, elle devait la craindre, quand bien même elles pouvaient s'aimer, elle ne pouvait pas la dominer. Heureusement, pour la reine koopa, c'était amusant et mignon donc elle ne le prenait pas mal, elle préférait la taquiner, se touchant le bout du nez, en le mordillant si besoin. La reine à la peau pâle rougissait de plus belle devant cette déclaration, tant d'amour et d'envie à se partager, c'était quelque chose ! Il ne fallait pas chercher la logique, tout cela excitait Bowsette, et même Booette ne restait pas indifférente face à tout cela. Elle se tortillait sur place, la verge de sa future épouse se frottant contre elle, cette même reine qui la poussait à terrifier ses serviteurs pour mieux la prendre ensuite, l'idée n'était en rien déplaisante, la Boo qu'elle était aimait l'idée de provoquer la peur chez autrui et son statut de reine la rendait moins timide face aux autres, à part Bowsette, bien entendu.

« Mmmmmhhhh... »

Excitée et quelque peu tendue, elle était entre deux états, comme ce sera souvent le cas auprès de sa royale future femme. Elle suçait ce doigt en bouche, nerveuse, ses dents pouvaient être aussi tranchantes et pointues que des lames, mais elle faisait attention à elle, bien que sa nervosité fit de nouveau un bond quand elle évoquait de vouloir lui faire porter leur bébé. Dans son élan, elle la retourna, le temps pour elle de se mettre à quatre pattes qu'elle fut déjà pénétrée par sa reine, la faisant couiner de plaisir.

« Hyaaaaan ! »

Ses mains, solidement plaquées sur ses hanches, comme elle le soulignait si bien, elle était sa salope. Oh, pour elle, elle sera bien des choses après tout. Ce terme ne la gênait pas, car venant d'elle, elle pouvait accepter la pire humiliation. Bien que ce ne sera pas forcément le cas, pour le moment, il n'y avait que Bowsette qui l'effrayait autant, elle se voyait mal baisser la tête à n'importe qui d'autre. Son épaisse verge à picot coulissait entre ses cuisses, procurant moult sensation de plaisir chez la reine fantôme qui se laissait dominer par la reine koopa. Même sans lui faire face, elle était écrasée par sa présence dans son dos, elle avait même déjà envie de se cacher le visage, mais, ça va, elle arrivait à se contenir et juste supporter cela alors qu'elle ressentait les coups de reins dans son dos. Elle avait beau être puissante, elle n'en menait pas large face à Bowsette qui était et sera toujours au-dessus d'elle. Pour ça, elle n'avait pas à la craindre, Booette n'osera jamais la devancer.

« Mmmmhhh haaaaaa.... je... je suis si-si... heureuse d'être... ta... ta sal-salope... »

Elle ne pouvait s'empêcher de rougir face à une telle chose, mais une part d'elle était tout aussi heureuse de ressentir cela à son égard. Le simple fait d'être utile à cette reine la rendait heureuse, qu'elle soit une épouse aimante ou une salope, ça avait la même valeur pour elle, elle aimait se sentir dominée. Booette venait même y ajouter un petit plus, usant de ses pouvoirs pour faire léviter son corps et le rendre aussi léger qu'une plume. Ses fesses s'élevaient doucement comme un ballon de baudruche, laissant ainsi tout le loisir à Bowsette de l'écraser sur sa verge, tant pour la mettre à sa taille que pour mieux l’empaler dessus. Booette n'avait pas encore déballé tout son jeu face à sa future épouse, elle avait quelques atouts en plus dans sa manche après tout.

[Bowsette]

La Reine koopa comptait bien faire longuement et passionnément l’amour à Booette. La Reine boo serait la terreur de Humpa, et Bowsette serait sa terreur à elle. Elle se plaisait déjà à imaginer des scénarios où elle viendrait secourir la population désemparée des Boos de Booette, renforçant ainsi la ferveur des fidèles et de ses habitants. Qui sait ce qu’elle allait faire avec elle ? Bowsette avait aussi d’afficher librement sa relation avec Booette, et elle comptait après tout l’épouser. Ce choix était entériné, et, quand Bowsette avait une idée en tête, elle n’en démordait pas ! Elle plaça donc Booette en position, en levrette, et pénétra donc sa « salope » adorée. Celle-ci se mit à gémir lentement, et Bowsette sourit, la sentant se redresser, bombant son insolent petit cul.

« Petite… Petite perverse, haaaa… ! Tu aimes ça… Hmmm… Que je te baise avec force ! »

Bowsette sourit encore, et donna une belle gifle sur ce joli cul rebondi. Elle se pinça les lèvres, et continua à la prendre, attrapant ses cheveux d’une main pour tirer dessus, relevant son corps, et elle la fessait encore, claquant son insolent petit cul. La Reine koopa poursuivait donc son office, optant pour une levrette intense. Sa verge à picots durcissait et gonflait en elle, les picots remuant et frottant sur les parois internes de sa proie, se gorgeant de son nectar intime.

« O-Oui, tu es ma salope… Ma petite salope rien qu’à moi, haaaa… ! Ce que t’es bonne ! Bordel, ce que je t’aime, hmmm… !! »

Elle se laissait aller, continuant à la bourrer avec passion, le temps défilant à toute allure. Rien ne semblait devoir arrêter les deux femmes. Bowsette relâcha les cheveux de Booette, et attrapa ses hanches, ses mains moites se crispant dessus. Elle griffait même sa peau, la pinçant avec énergie, sentant la sueur se mélanger à celle de la Boo. La petite fantôme se tortillait sur place, poussant des couinements magnifiques. Sa voix très douce était un pur régal, et Bowsette se plaisait à la fesser, juste pour l’entendre hurler encore.

Ça, c’était vraiment magnifique à entendre !

[Booette]

L'amour entre les deux reines était bien visible, à sa façon particulière. Pendant que Booette couinait de plaisir sous la domination de sa grandeur, la reine Koopa, elle laissait pendre sa langue, bavant sans gêne sur son corps, sur le lit, le plaisir la rendait folle de joie. Une façon d'oublier un tant soit peu le stress lié à sa partenaire. Elle l'aimait, mais elle l'a craignait aussi donc, elle devait faire avec pour le moment, mais cela ne l'empêchait pas d'en être amoureuse, à sa façon. Même se faire insulter ou un peu malmener, elle n'avait rien contre, ce petit ton, ce petit regard à son encontre, elle aimait ça, elle se sentait spéciale quand elle la regardait ainsi. Elle ne se tromperait sûrement pas en se disant que les autres femmes à son service, qui recevait ce genre de sévices, n'avaient pas cette étincelle spéciale dans le regard de Bowsette. Sans même être mariée, un lien les unissaient, peut-être à cause du fait qu'elles venaient du même monde, elle n'en savait trop rien sur ça, mais sur ce lien, ensemble, ça, elle n'en doutait pas !

« Haaaaaan ! O-Oui ! J'adore ça, Maîtresse ! »

Bowsette continua de plus bel, ses coups de reins étaient magiques, ses petites claques sur son cul ! Elle pourrait facilement esquiver tout cela, elle se rendrait intangible, affaire régler, mais elle ne le voulait pas, tant pour ne aller contre Bowsette, mais aussi, car elle voulait ressentir cette douleur sur son cul, causée par la reine Koopa. Même si cette dernière relâchait sa crinière pour mieux se cramponner aux hanches de la reine des Boos, elle continua de couiner de bonheur en bavant, mais tout ce plaisir s'accumulait et devenait trop fort pour elle, elle se cambra en arrière, remontant presque jusqu'à sa maîtresse pour jouir.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!! »

Ce long cri de plaisir qui résonna autant dans la chambre que dans le château avant que la reine Boo ne s'écroule sur le lit, que Bowsette ait prit son pied jusqu'à l'orgasme ou non, elle s'en délogeait, devenant une simple poupée sexuelle inerte pour le moment. Sa mouille plus fraîche que celle des autres femmes coulait sur la peau de la reine Koopa. Bien que ce ne soit pas si utile en réalité pour elle, Booette reprenait son souffle, jetant un regard vers Bowsette, elle n'arrivait pas à parler, difficile de lire ce que son regard transmettait ? Pardon ? Joie ? Peur ? Peut-être un peu tout cela, c'était Bowsette qui décidait après tout, à elle donc de fixer une éventuelle punition à lui faire subir, ou rien de tout cela ? Tant qu'elle restait avec elle, Booette serait heureuse. Les rougeurs sur sa peau pâle se voyaient bien plus que chez n'importe qui, et ses joues montraient autant son plaisir que sa gêne. En réalité, il lui tardait de retrouver sa verge à picot en elle... Doucement, son cul remuait pour elle, un message muet, mais on ne peut plus clair.

« En... Encore... »

Elle avait du mal à tenir le rythme, mais elle en redemandait !

[Bowsette]

Belle et magnifique Booette ! Regardez-là donc ! Sa petite terreur était tellement mignonne ! Langue pendante, incontrôlable, elle se tortillait sur place, couinant et hurlant de sa voix fluette. Des cris suraigus qui étaient un véritable régal auditif ! Et la voilà même qui se cambrait, qui se tortillait, qui remuait sur place, allant jusqu'à fièrement se redresser, prouvant sa grande souplesse. Se perdant en elle, déformant son petit cul, la Reine koopa se faisait plaisir. Plus koopa qu'humaine, plus "Bowser" que "Peach" en ce moment, Bowsette se régalait. Elle ricanait, grognait, ses muscles saillants se bandant sous l'effet de cette sodomie qui s'étirait dans le temps et dans l'effort. La sueur commençait à couler sur son corps, même si l’adrénaline qui battait dans ses veines noyait tout sentiment d'épuisement. Bowsette haletait et gémissait, heureuse et comblée. Elle ne pouvait que l’être, après tout, vu les coups de reins puissants qu’elle avait infligé dans le corps absolument parfait de sa partenaire. Une douceur incroyable ! Booette était en train de rougir, ce qui se mariait très bien avec sa peau pâle, ses rougeurs ressortant avec délice.

« Hmmm… Oh, Boo-Booette, hmmm… !! »

L’intéressée se tortillait sous elle, et, dans un hurlement très puissant, accru par sa magie, elle se mit à jouir. Un cri suraigu, qui fissura même une vitre à proximité. Bowsette se sentit partir, et inonda le cul de sa partenaire, sa verge tressautant en elle, avant de balancer des chapelets de foutre épais dans son petit fondement. Bowsette grogna longuement en pinçant les fesses de Booette, fermant les yeux en soupirant, la bouche entrouverte en une mimique de désir qui était sûrement un peu ridicule… Mais elle prenait son pied ! Et, oh, quel pied ! Sa queue se vida en elle, et elle sentit ensuite Booette glisser sur le lit. La Reine koopa venait de marquer à jamais la Reine boo, et Bowsette reprenait son souffle. La sueur coulait de son visage, glissant sous son justaucorps. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises… Et sentit alors le postérieur de Booette frotter sa verge à picots. De sa petite voix fluette, Booette prononça alors une seule demande, simple à comprendre, mais plus difficile à exécuter…

…Encore.

Bowsette sourit lentement, comprenant que sa chérie n’en avait pas eu assez. La Reine koopa l’observa donc silencieusement, réfléchissant à la suite. Elle n’allait pas encore la prendre en levrette, il fallait varier un peu !

« Je dois reprendre mon souffle… Fort heureusement, j’ai une idée pour t’occuper, ma petite Reine perverse… »

BNowsette alla s’asseoir sur un fauteuil massif à proximité, avec une fiole d’absinthe à côté. Elle ouvrit le flacon, et but quelques gorgées, avant de reposer la fiole, puis attrapa sa verge.

« Viens donc me durcir, Booette ! Donne-moi envie de te faire encore l’amour très fort… Frotte tes beaux seins contre ma queue, je suis convaincue que ce sera un bon très stimulant… »

[Booette]

Malgré que sa maîtresse et future femme venaient de lui remplir le fondement, mais en digne partenaire de la reine Koopa, Booette en voulait encore, plus ! Mais toute-puissante qu'elle était, elle n'était pas une déesse qui pouvait recharger aisément, un bref instant de repos se devait d'être effectué entre temps. La sublime Bowsette était prête à lui donner ça, mais elle attendait de Booette qu'elle lui donne quelque chose en échange. La fantômette approchait de sa maîtresse, aussi belle qu'impressionnante, faisant face à cette verge tendue qu'elle devait nettoyer et s'occuper, donc ? Elle a fait pire ce soir, mais ça semblait si impressionnant ! Elle ne savait pas trop comment aborder la chose surtout que, Bowsette l'ignorait sûrement, mais la reine des Boos pouvait varier son apparence, pouvant se donner un air plus juvénile et jeune princesse comme devenir une princesse avec une poitrine plus rebondie, mais ça, ça faisait partie des choses que la reine allait découvrir et sûrement, apprécier.

Elle se redressa quelque peu pour mieux lui faire face, sa bouche s'en éloigner, sa poitrine se rapprochait, imposante de base face à cette verge. Bowsette avait beau avoir un pénis bien spécial, et de bonne taille, sa poitrine allait pouvoir l’accueillir quand elle allait s'y attaquer. Pas entièrement, mais ça devrait faire l'affaire. Se frottant aux jambes de la jolie reine, Sa poitrine venait engloutir sa verge à picot, ne laissant que la pointe dépasser, sa queue était bien au chaud entre ses beaux seins pâles.

« Hum, comme ça ? »

Elle tentait de voir quand même si elle faisait bien son travail avant de continuer, commençant à frotter sa poitrine contre elle, elle n'était pas la plus douée, mais elle apprenait petit a petit à s'améliorer pour le plus plaisir de Bowsette. Elle osait parfois la regarder, mais comme toujours , affronter son regard était bien compliqué. Comme toujours, mais l'effort était bien là, surtout que la reine de Boos faisait de mieux en mieux, sa poitrine compressait la verge de Bowsette pour mieux l'étouffer, la masturber avec sa poitrine pour, petit à petit lui redonner cette énergie que Bowsette voulait retrouver. Est-ce que ça fera l'affaire ? Devait-elle s'arrêter ou continuer ? Faute d'ordres de la part de sa maîtresse, elle allait continuer, encore et encore pour parvenir la rendre heureuse, tout simplement. Booette respirait un peu plus fortement, bavant légèrement en laissant sa langue pendre en partie en dehors de sa bouche. Belle et dévoué, que faut-il de plus ?

[Bowsette]

Booette semblait épuisée… Cela amusait Bowsette. Pouvait-on épuiser une Boo ? La question méritait d’être posée, dans la mesure où Bowsette pensait que les Boos étaient inépuisables. Ils étaient après tout des fantômes, mais il est vrai que Booette était particulière. Elle était une Boo avec une enveloppe corporelle, et qui était destinée à porter l’un de ses enfants. Assise sur le rebord du lit, Bowsette reprenait ses esprits, et sentit Booette se glisser entre ses cuisses, approchant ses opulents seins de sa verge trempée. Bowsette venait de jouir en elle, ce qui fit que sa verge avait légèrement dégrossi. Mais cela suffisait à Booette, qui souleva son membre, et le nicha entre ses généreux et moelleux seins. Bowsette frémit à ce contact, sentant la vague la traverser. Sa verge remuait dans les seins de Booette, une poitrine douce et chaude. Booette remuait ses seins tout en relevant la tête, soucieuse de croiser le regard de sa Maîtresse, de voir jusqu’à quel point elle lui faisait du bien.

« Oh, ma chérie… Toi, tu sais comment t’y prendre pour me faire plaisir… »

Un sourire onctueux orna les lèvres de Bowsette, qui posa sa main sur les cheveux de Booette. Elle les caressa doucement, et croisa encore son regard. C’était un regard rempli de désir et d’envie.

« Comme ça, oui… Je ne t’ai pas encore assez fait l’amour, ma Booette… Tu es destinée à devenir ma femme, à porter mon enfant, alors il faut bien que j’accomplisse mes devoirs conjugaux avec toi… »

Elle allait faire tout ce qu’il fallait, mais, ici, sur Terra, dans ce monde plein de magie et de miracles, elle était sûre de trouver un moyen de rendre Booette féconde, de lui faire porter la vie. C’était son objectif, et c’était quelque chose qu’elle comptait faire. Elle voulait voir la vie émerger dans le ventre de sa partenaire, de sa future épouse… Car toutes ses épouses porteraient ses enfants, cela n’était pas sujet à discussion ! Bowsette soupirait de son côté, sentant peu à peu sa vigueur se réveiller. Sa verge se redressait et durcissait, enflant dans la chaude et très confortable poitrine de sa partenaire.

« Sens comme tu m’excites, ma Booette… Ma timide terreur… » soupira-t-elle avec délectation.

[Booette]

La belle Booette voulait plaire à sa maîtresse, elle voulait la rendre fière même si elle connaissait ses propres faiblesses. Vouloir les combattre, c'était déjà bien. Bien sûr, ça demandera des efforts, elle ne sera pas parfaite demain matin, mais au moins, elle y travaillait. La belle verge de Bowsette se coinçait entre ses seins, elle la pressait pour lui redonner un peu de vigueur, elle sentait les picots qui frottaient sur sa peau, mais cela ne la dérangeait pas. Même si ses regards, jetés vers elle, étaient toujours si furtif, si Bowsette le voyait et la complimentait malgré tout, elle laissait sa longue langue pendre, arrivant sans mal sur son gland plus pointue, qu'elle léchait. La pointe de sa langue glissait le long de cette petite fente pour lui faire un peu plus plaisir. Sa salive rendait le tout plus humide même si elle était déjà bien trempée de sa cyprine. Mais que voulez-vous, elle mettait tout de son côté pour plaire à la reine malgré ses petits défauts – qui jouaient malgré tout en sa faveur certainement.

La reine Boo avait toujours un peu de mal, à se voir l'épouser ou l'enfanter si cela était possible, mais elle ne voulait pas remettre ses paroles en doute. C'est juste... la confiance, face à elle, c'était bien compliqué. Toujours à masser sa verge dans ses seins, léchant le bout, elle la fit grandir encore un peu, sa langue agissant comme un serpent autour de sa trique, serrant doucement sa lance de chair, le tout en jetant toujours autant de petits regards furtifs vers elle. La bouche ouverte, forcément, elle bavait un peu même si, vu la situation, cela ne changeait pas beaucoup de choses. Sa future épouse avait de grands projets pour elles, mais la Boo avait du mal à visualiser tout ça. Elle perdait tous ses moyens face à cette femme destiné à devenir son épouse... Face à sa dernière phrase, elle ignorait dans quel sens elle devait comprendre le « sentir » et pour ne pas risquer d'erreur, elle levait les yeux vers la Koopa, toujours en serrant sa verge entre ses seins, sa langue toujours à glisser sur sa queue, elle gémissait un peu plus en se penchant, reniflant littéralement sa queue. Y avait-il une odeur particulière ? Elle n'y avait pas fait attention, mais Booette devait avoir l'air plus coquine que jamais à renifler sa bite, tout en lui offrant cette délicieuse expérience. Cochonne et innocente à la fois, c'était un beau mélange. Même si elle n'était pas très bavarde, dans cette situation, ça la rendait encore plus muette. Elle lâchait bien quelques gémissements ou des débuts de mots, mais ne pouvant sortir que des voyelles, ça rendait difficile à comprendre.

[Bowsette]

Les gros seins de Booette s’enroulèrent autour de l’épaisse verge de Bowsette, et la Reine boo se mit à frotter ses seins dessus, s’appliquant. Elle était tellement concentrée qu’elle en oubliait de parler, et se concentrait sur son office. Sa longue langue violette jaillit pour titiller son membre, en caressant la pointe, l’avalant, et elle se mit ensuite à renifler sa verge… Au sens littéral. Bowsette gloussa doucement, sentant bien que Booette était comme toujours perturbée face à elle. Sa main caressa ses cheveux, et elle appuya dessus, croisant ainsi son regard.

« Tu prends mes recommandations au sens littéral, ma chérie… Je voulais juste que tu remarques… Combien je bande ! »

Car elle bandait, de toute évidence ! Sa verge durcissait entre les seins moelleux de Booette. Plus inoffensive que jamais devant Bowsette, Booette se concentrait, rougissant à chaque fois, comme si elle avait honte d’elle-même. On était à mille lieues de cette femme terrifiante qui hantait un manoir, et que ses hommes avaient affronté avec grande difficulté. Là, face à Bowsette, Booette était une petite chose fragile, une jeune femme innocente qu’il fallait protéger à tout prix des menaces adverses. Bowsette n’avait donc aucune envie de lui faire du mal, et elle laissa les seins de Booette continuer à frotter sa verge. Les picots se remettaient à vibrer, faisant aussi vibrer les seins de Booette, ce qui devait être assez déstabilisant et excitant.

Booette continuait son office, et Bowsette se pinça les lèvres, de plus en plus excitée. Elle serrait les cheveux de Booette, gémissant encore, se rapprochant petit à petit de l’orgasme.

« Hmmm… Je crois que ta petite bouche d’amour a faim, non ? »

Un sourire malicieux éclaira les lèvres de Bowsette, qui regarda à nouveau Booette, et caressa son visage avec sa main.

« Suce-moi… Utilise cette belle bouche à bon escient, ma Booette… »

Des seins aux lèvres, c’était un cheminement plutôt normal, après tout !

[Booette]

Face à la reine Koopa, Booette ne pouvait moufter, elle pouvait bien avoir quelque chose à redire, mais la loi de la nature faisait qu'elle était sous elle, impossible de l'égaler sur tous les domaines, une crainte aussi grande que son respect face à cette femme qu'elle aimait. Voir la reine parler de mariage et autres, ça l'enchantait, elle se sentait si spéciale face à ce genre de message, elle était presque unique. Elle savait que Bowsette avait déjà une épouse, mais elle n'était pas jalouse, elle se savait spéciale aux yeux de cette femme. Peut-être convoitait-elle ses pouvoirs pour élargir sa domination, ce n'était pas grave, tant qu'elle restait importante à ses yeux, elle pouvait lui suivre partout ! Ce qui était étrange, car affronter son regard était bien difficile pour elle, mais bon, l'amour à ses raisons que la raison ignore. Elle s'occupait si bien de sa verge même si elle rectifiait le tir, la reine annonçant qu'elle n'avait pas besoin de prendre ses paroles au pied de la lettre. Pour bander, elle bandait même fort ! Ça, elle le voyait si bien, surtout maintenant sous son nez, mais Bowsette a dû apprécier un minimum de voir la jeune femme renifler sa queue et sa délicieuse odeur de luxure, elle ne savait pas pour sa future épouse, mais elle, ça l'émoustillait !

Observant tant bien que mal la reine des Koopas dans les yeux, elle respirait fortement, laissant toujours un petit peu sa langue pendre hors de sa bouche, cela ne pouvait que lui donner un air plus mignonne, ajoutons à cela le fait qu'elle pouvait devenir très coquine, Bowsette avait un joli combo sous les yeux. Face au bon travail de Booette, elle se sentait approchée de l'orgasme et voulait voir la suite se passer différemment. Levant le nez vers elle, elle acquiesça, rangeant sa langue dans sa bouche en glissant plus bas pour gober son énorme verge à picot. Elle disparaissait facilement dans sa bouche, atteignant sa gorge sans difficulté. Étant une fantôme, elle n'avait pas besoin de reprendre son souffle, elle la gobait sans gêne, la pressant et l'aspirant dans sa bouche, elle faisait subir un délicieux traitement à sa future femme. L'une de ses mains de libre venait jouer avec ses bourses, les caressant du bout des doigts, tâtant leur poids et leur supposée vigueur ? Elle devait la remplir donc elles devaient être bien pleine, voir, travailler rapidement comme elle lui avait déjà vider les couilles il n'y a pas si longtemps. Gourmande comme elle était, Booette comptait bien tout avaler et que Bowsette soit fière d'elle ! Oh ça, elle l'espérait !

« Mmmmmmmh-mmmmmmmh~ »

[Bowsette]

Bowsette était aussi perverse que Peach était douce, aussi entreprenante que Peach était soumise et docile.  Elle soupirait en sentant les lèvres de Booette se refermer sur son membre. Elle commença à la sucer avec force, et Bowsette soupira doucement, serrant d’une main ferme les doux cheveux soyeux de Booette. Elle se tortillait devant elle, gobant ce membre avec envie, son regard fiévreux croisant celui de Bowsette. Oh ! Comme elle aimait sa petite Booette ! Aussi soumise face à elle que terrifiante face aux autres ! Une pure merveille, à n’en pas douter ! Bowsette posa son autre main sur son visage. Ses belles joues se déformaient sous le poids de son membre dans sa bouche, gonflant comme un délicieux hamster. Elle rougissait sous l’effort, et la deuxième main de la Reine koopa caressa sa joue, glissant sur sa peau gonflée. Elle sourit donc, excitée par cette scène, par le visage poupon de Booette avalant sa verge avec appétit.

« Oh, bordel, quelle affamée… Han, ma belle Booette, tu avais soif de ma queue, hein ?! Hmmm… !! »

La Reine koopa continuait à remuer en elle, d’avant en arrière. Elle lui baisait la bouche, ses testicules venant claquer contre son menton. Son membre impatient continuait à s’enfoncer profondément en elle, n’épargnant tout simplement rien à Booette. Une main serrée sur ses cheveux, elle donnait de solides coups de reins, grognant et gémissant, la salive coulant parfois de ses lèvres. Ses solides musclés engoncés dans sa tunique moulante brillaient sous la sueur, et elle haletait, hennissait, faisant fi de la douleur. De gros coups de reins, et Booette ne pouvait même plus avaler sa salive ! Maintenant la pression, Bowsette lui baisait puissamment la bouche, jusqu’à finir par jouir en elle. Elle sentit la vague remonter en elle, irrépressible, et elle s’y abandonna dans un grand soupir.

« Bo-Bordel, bois ça, pe-Petite salope… ! »

Bowsette jouit assez longuement, inondant la délicieuse bouche de Booette. Elle se vida longuement en elle, balançant d’épaisses et chaudes giclées de sperme dans sa bouche. Elle soupira doucement, ralentissant petit à petit le rythme, mais en conservant sa verge dans la bouche pleine de Booette.

« Avale bien tout, ma chérie, il y a une seconde couche qui arrive… »

Elle sourit doucement, une lueur malicieuse dans les yeux. Une seconde couche arrivait, oui, mais ce n’était pas du sperme qui allait venir… C’était un liquide moins collant, et plus doré. Oui, Bowsette était en train d’uriner avec passion dans sa bouche !

[Booette]

Face à Bowsette, elle était peu de chose, elle s'écrasait naturellement, mais cela arrangeait bien la reine Koopa. La pauvre Booette subissait, mais ce serait mentir de dire qu'elle n'aimait pas ça, une petite partie en elle appréciait d'être ainsi traitée par la reine. Du moins, que cette dernière fasse attention à elle. Alors, oui, elle adorait sucer son énorme queue pleine de picots, c'était étrange en bouche, mais c'était quand même agréable. De plus, Booette ne risquait rien, étant une Boo, elle était pour ainsi dire invincible donc déjà, tout ce qui tuait physiquement – arme, étouffement, noyade, etc – ne fonctionnait pas sur elle, elle pouvait vivre accrochée à la queue de la reine, elle trouverait juste la position inconfortable tôt ou tard. Sa future femme l'observait, un mélange d'amour, de passion et de domination dans le regard tandis qu'elle passait sa main sur sa joue alors que la reine ne tardait pas à venir lui remplir par la même occasion. S'assurant qu'elle ne quitte pas sa place, Booette était maintenue pendant que sa chérie lui remplissait la bouche. Oh oui, elle sentait ses couilles se vider en elle, bien que cela débordait malgré tout un petit peu hors de sa bouche, elle en avalait le tout, avec un certain appétit. Des gens pouvaient trouver que ça avait un goût étrange ou pas forcément bon mais la reine Boo. Elle adorait ce goût si particulier. Elle va faire une heureuse !

« Mmmmmmrrrrrrrrr~ »

Mais comme Bowsette le disait si bien, ce n'était pas fini, car elle venait déverser autre chose, et ce n'était pas déjà un second orgasme plein de foutre, elle vidait plutôt autre chose. Le goût plus fort fit d'abord grimacer la reine accrochée à sa queue, mais après coup... Ce n'était pas si mal ? Pas aussi bon que ce qu'elle lui avait donné avant, mais, ça allait, c'était plutôt bon ? Non pas qu'elle irait réclamer ça tous les soirs, mais... Ouais, ça allait. Là par contre, le fait que ce soit plus liquide et directement pointé vers sa gorge, il n'y avait pas de fuite. Quand enfin la reine daignait retirer sa queue, Booette exhibait sa longue langue, pas si grande pour le moment, mais plus longue que la moyenne. Le peu de tissu sur son corps s'évaporait encore pour ne laisser place qu'à une très fine lingerie pour un peu la couvrir alors que son visage approchait des fins abdos de sa reine, si sexy, si luisant dans sa tenue qu'elle léchait. Il y avait toujours cette crainte dans son regard, mais l'excitation prenait doucement le dessus. Si elle la regardait dans les yeux, elle avait peur. Si elle regardait cette musculature luisante, elle était excitée !

« Haaaaaa~ Bowsette~ »

Car bien sûr, si sa langue était occupée à lécher, sa main était occupée à jouer avec son service trois pièces, pesant ses bourses pour savoir si le plein a été refait, taquinant sa verge pour voir à quel point elle bandait. Tout ça, c'était important.

[Bowsette]

Uriner sur Booette pouvait sembler offensant et dégradant… Cela l’était, mais il y avait aussi une symbolique derrière. Comme un chien qui urinait pour délimiter son territoire, Bowsette marquait symboliquement Booette comme étant sienne. Celle-ci étira ensuite sa langue, comme pour montrer qu’elle n’avait rien recraché, et Bowsette sourit doucement, avant de caresser d’une main les cheveux de la Reine boo.

« Tu es mienne, maintenant… Ma marque est en toi. »

Bowsette sourit donc, satisfaite de cette évolution. Relevant la tête, Booette approcha son visage de sa verge, et lécha doucement, tandis qu’elle usait de sa magie pour changer de vêtements. En la voyant prendre de délicieux sous-vêtements blancs en lingerie fine, Bowsette sentit sa verge l’élancer à nouveau. Son membre se mit à durcir, croissant devant elle, se redressant fièrement. Il était motivé par les multiples coups de langue de Booette, qui semblait bien décidée à partir pour un nouveau tour avec Bowsette. La Reine koopa soupira lentement, et se déplaça un peu. Sa main serra les cheveux de Booette, appuyant plus fortement, tandis que son rythme cardiaque s’accrut encore.

La Reine koopa croisa le regard de la Reine boo. Booette sortait peu à peu de sa quasi-catatonie face à Bowsette. Comme quoi, le sexe les rapprochait, et elle faisait même preuve d’audace, d’originalité, léchant ce membre, jouant avec ses testicules. La main de Booette flatta également ses bourses, ne cessant ainsi de stimuler Bowsette, qui avait bien du mal à rester calme. Le désir croissait également en elle, remontant dans sa chair, dans son corps.

« Je vois que tu souhaites que je te prenne encore… Insatiable petite Boo… Mais c’est tout ce à quoi on peut s’attendre de la part de ma femme, n’est-ce pas ? »

Bowsette se déplaça pour de bon, et coucha Booette sur le lit. Celui-ci grinça quand la Reine boo fut quasiment projetée dessus, puis Bowsette la rejoignit. Elle souleva les jambes de sa partenaire, et les replia vers sa tête. En tant que Boo, Booette était très élastique, ce qui permit à ses jambes de rapidement se plier, puis de se redresser, filant vers les jambes de Booette. Bowsette s’allongea ensuite contre elle, puis la pénétra, optant pour une savoureuse, mais non moins intense, position de l’enclume.

« Crois-moi, ma petite Booette… Quand j’en aurai fini avec toi, tu seras… Totalement accroc à ma queue ! »

[Booette]

Booette était totalement accroc à Bowsette, l'aimant autant que ses gênes lui dissent de la craindre, mais doucement, ce sentiment se faisait de plus en plus discret. Pas encore assez pour être à l'aise, mais déjà plus simple a vivre. Un peu, pour elle. Elle n'avait aucune honte à vivre ce que la belle lui faisait subir, pour elle, tout était trop beau, c'était à la fois lui montrer son respect que son amour alors quand la belle koopa blonde la poussait sur le lit, bien décider à user de cette énorme verge à picot, à faire remuer ses bourses pleines, la Boo était en extase à imaginer la suite et elle avait raison car la reine comptait bien honorer sa femme. Elle redressa ses jambes, cela faisait peu de différence pour elle, étant une Boo, tout sévice physique sur elle était inutile, elle pouvait en souffrir un peu, mais pas en mourir, l'avantage de son statut, mais bon, à moins que Bowsette n'ai des envies très étranges, elle ne devrait pas abîmé son jolie corps très pâle.

« Haaaaaan... Je... Je le suis déjà, maîtresse... A-Accroc à votre... hmm, bite, mais surtout... à votre foutre chaud~ »

Rougissant toujours un peu, elle eut le courage au moins de croiser le regard de Bowsette pendant trois bonnes secondes avant de complètement fermer les yeux, trop intimidé par le regard de braise de sa future femme qui l'écrasait, tandis que ses jambes étaient autour de sa nuque. Ce serait si simple de devenir intangible de s'enfuir, au moins sous le lit, mais Booette refusait de le faire. Pourtant, qu'elle adorait sentir la reine faire d'elle sa chose, l'amour ou autre, elle acceptait sans crainte, elle ferait tout pour sa reine. Même si elle semblait la craindre, ce qu'elle attendait d'elle, c'est d'obtenir juste son attention. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil. Les yeux fermés, elle n'osait pas les ouvrir de nouveau, demandant quand même une petite faveur de la part de sa souveraine.

« Ré-Réchuaffer mon corps si froid, Maîtresse ! »

Ce n'était pas un ordre, plus une supplication, pour mieux la sentir sur elle.

[Bowsette]

Bowsette sourit encore en voyant Booette croiser son regard pendant quelques secondes, avant de détourner les yeux, visiblement trop gênée. Cela restait Booette, après tout ! La jeune fantôme avait beau se faire baiser depuis maintenant plus d’une heure, elle n’en restait pas moins toujours aussi nerveuse face à Bowsette, sa patronne et Maîtresse naturelle ! Pour Bowsette, ce sentiment naturel de forte soumission devait venir de la nature de Bowsette, une Reine koopa. Ses gènes devaient dégager une sorte d’influence forte, de musc qui s’emparait de vous. Booette le ressentait en elle, et Bowsette sourit donc quand elle l’a vit fermer les yeux.

«  La vue de ta Maîtresse est si déplaisante ? ironisa la Reine koopa. Tu devrais pourtant l’admirer, imprégner tes souvenirs de la vision de ta Reine et Maîtresse pendant qu’elle te baise avec force ! »

La Reine koopa la prenait dans cette position, sentant les jambes de Booette se serrer sous son poids. Relevant sa tête, elle lécha la jambe de Booette, et continua à la prendre, soupirant et grognant avec force. Oh, que c’était bon de s’enfoncer ainsi en elle ! Bowsette aimait sa Boo, et ce n’était pas pour rien ! Elle la sentait gémir sous elle, se tortillant sous son corps massif.. Han, que c’était bon pour elles ! Bowsette s’enfonçait jusqu’à la garde, et posa sa main sur le cou de Booette, commençant à serrer.

« Oh, ça oui, je vais te réchauffer, ma petite pute… Tu… Tu m’appartiens ! »

Elle lui appartenait, et cela rendait cette situation ô combien excitante ! Bowsette se pencha encore, et l’embrassa avec appétit, mordillant sa lèvre inférieure. Elle joua avec, et s’enfonça encore, reculant, puis s’enfonçant de nouveau. Elle prenait son pied à la baiser ainsi, et continua son office. Sans jamais s’arrêter, Bowsette adoptait un rythme soutenu et lourd, et rapprocha ensuite sa queue caudale des fesses de Booette. Elle continua à serrer ensuite sa gorge, l’étranglant, tout en enfonçant sa queue caudale dans le creux de ses fesses.

« Ohhh… Ouuiii, je vais te réchauffer, ma salope, ça oui… »

[Booette]

La reine Boo subissait l'amour de sa maîtresse, et certes, elle aimait ça, mais affronter son regard semblait au-dessus de ses forces. L'amour, la peur aussi, mais c'était sa nature, si elle pouvait faire face à celle qu'elle ne craignait pas, qu'elle pouvait vaincre, elle ne pouvait pas face à ce genre de personne plus forte, plus imposante. Bowsette ne devait pas voir cela comme un défaut, c'était un honneur, après, si elle préférait que sa partenaire l'observe, oui, c'était plus problématique, mais ça, il va lui falloir un peu de temps pour s'y habituer du coup. La reine koopa la baisait avec passion et amour, sa trique monstrueuse ramonant ses organes entre ses cuisses. Sa verge à picot pouvait tout faire en elle, elle ne risquait rien et elle lui appartenait. En dehors d'un type de magie, Booette ne risquait pas de mourir, quand bien même elle pouvait serrer sa gorge, la priver d'air n'allait rien changer à sa nature de fantôme. Ça pouvait passer quelque pulsion chez sa femme, c'est tout.

« Haaaaan, Mais... Maîtreeeeeeesse.... vous êtes si haaaaa... Imposante~ »

Comment affronter son regard, c'était impossible pour l'instant pour elle. Bowsette la dominait, la baisait en serrant sa petite gorge, rajoutant de nouveaux gémir un peu plus étouffer de la part de la reine spectrale tandis qu'elle lui promettait de la réchauffer au fur et à mesure qu'elle la baisait. Elle ne demandait que ça, recevoir l'amour de sa maîtresse, lui faire du bien pendant que son énorme verge habitait en elle. Mais gourmande comme elle était, la reine Koopa menaçait aussi son anus avec son autre queue, plus naturelle.

« Mmmhhh haaaaaan je suis à vouuuuuuus~ Baiser-moiiiiii plus foooooort, Maîtreeeeeeeeesse~ »

Elle faisait des efforts, se tenant les joues, en cachant plus ou moins ses yeux, mais elle faisait l'effort d'observer Bowsette, ça devrait devenir sa femme, elle devait faire des efforts, pour elle. Sa douce peau pâle prenait vite des couleurs, y voir son plaisir se teinter sur elle était plaisant à contempler.

[Bowsette]

La nervosité de Booette était si craquante ! Bowsette fondait à la voir ainsi, cette terrible Reine boo qui terrorisait ses gardes, et qui s’effondrait devant elle ! Alors, la Reine koopa la baisait d’autant plus, renforçant la puissance de ses coups de reins. Bowsette grognait en continuant son office, souriant malicieusement quand Booette lui demanda de la baiser plus fort.

« Oh, ça, ma chérie… Ce n’est vraiment pas un problème ! »

Bowsette grognait à son tour, faisant craquer le lit. Elle  était forte, puissante, et ses muscles partaient à l’unisson dans une machine sexuelle simple et aux objectifs clairs : baiser aussi fort que possible cette petite salope de fantôme ! Pour le coup, Bowsette n’y allait pas par le dos de la cuiller, enchaînant les coups de reins avec une efficacité redoutable. Sa verge à picots vibrait chaudement dans la chatte de sa Booette d’amour, qui se laissait embarquée par ce déchaînement de violence sexuelle, cette incroyable énergie dont la Reine koopa faisait preuve en ce moment. Ho ! Ho ! Quel spectacle, quelle force !

La Reine Bowsette soupirait longuement, poursuivant son office, mais elle était bien décidée à sortir Booette de son carcan… Alors, tout en continuant à la prendre, Bowsette banda ses muscles, et pivota sur place. Les rôles s’inversèrent, et Booette se retrouva finalement au-dessus d’elle, à califourchon.

« Hmmm… »

Bowsette sourit devant sa partenaire, caressant ses hanches.

« À-À ton tour… Danse sur moi, ma belle… Remue ton joli p-petit cul, humm… »

[Booette]

La pauvre reine Booette n'arrivait pas à supporter la vision pourtant de rêve qu'elle avait sous les yeux. Il faut dire que la belle Bowsette était si impressionnante ! Une des rares femmes de ce monde à la rendre toute chose ! Et si en plus, elle devait devenir sa femme ? Ohlala, que de stress pour elle ! Elle voulait bien faire mais c'était si compliqué. Quelque chose au fond d'elle lui disait de la craindre, mais aussi maintenant, de l'aimer. Elle la craignait, elle l'aimait, il était compliqué de jongler entre les deux, mais elle voulait lui faire ce plaisir et étouffer une de ses deux parties, mais, pour l'instant, c'était difficile de totalement éclipse une de ses deux parties. Le belle et puissante reine Koopa la démontait, elle ne craignait rien, physiquement, seule la magie pouvait être risqué contre Booette. Si jamais la reine voulait l'étouffer, elle ne risquait rien ainsi. Après tout, c'était un fantôme. Ses coups de reins étaient de plus en plus puissants, cela n'étant pas fait pour lui déplaire, mais le fait que sa chère et tendre la retourne, de sorte à ce qu'elle soit sur elle, ça la rendait toute chose !

« Ha ? Oh la laaaaaaaa ! »

D'instinct, elle plaçait ses mains sur son visage, laissant quand même une ouverture sur ses doigts pour observer Bowsette, savourant ce plaisir d'être empalé sur elle. Soudainement, avec une nouvelle crainte... N'était-elle pas trop lourde pour elle ? En réalité, elle ne pesait presque rien, elle était morte, et pouvait traverser les murs, c'était presque via la magie que Bowsette avait l'impression de heurter quelque chose, sinon, elle pouvait lui passer à travers sans souci. Bien que, comme toujours, elle était intimidé, elle lui obéissait, remuant assez pour gémir et rentrer dans le jeu de sa future femme. Elle avait toujours la même crainte, de ne pas faire assez. Pourtant, elle mouillait bien le long de sa queue à picots, elle sentait son corps se réchauffer et la sublime reine semblait, tout comme elle, prendre son pied. Sous l'effet du plaisir, elle laissait sa langue pendre doucement, en remuant sur elle, mine de rien, sa colossale verge allait bientôt l'amener à jouir... elle s'en rapprochait même dangereusement.

« Maî-Maîtresse.... Je vais aaaaah... bi-bientôt... »

Plus elle parlait, plus elle sentait sa limite approcher...

[Bowsette]

Le choix de retourner Booette, de la mettre au-dessus, était délibéré de la part de Bowsette. Elle avait bien compris que deux pulsions se battaient chez Booette à son encontre. Il y avait la Booette qui avait peur d’elle, qui craignait sa puissance, mais il y avait aussi la Booette qui était amoureuse d’elle, qui lui faisait l’amour, et à qui Bowsette venait de proposer d’en faire sa femme. Une dualité qui répondait à celle de Bowsette, mi-humaine mi-Koopa. Elle sourit donc en la voyant mettre ses mains devant ses yeux, tout en écartant lentement ses doigts, puis en paniquant encore quand elle croisait le regard de Bowsette. La Reine caressa ses hanches, frottant sa peau avec amour. Booette était légère comme une plume. Elle sentait son corps, mais c’était après tout une Boo, donc il était normal qu’elle soit très fine. Booette continuait à danser sur elle, et Bowsette soupira longuement. Elle se mordilla les lèvres, et déplaça ses mains pour palper ses fesses, les malaxant.

Quand Booette lui annonça qu’elle allait jouir, Bowsette donna un coup de reins en poussant avec ses mains. Booette était si fine qu’elle tomba en avant. La main de Bowsette serra ses cheveux, et conserva son autre main sur ses fesses. Bowsette s’empressa de l’embrasser avec amour, leurs langues venant jouer ensemble.

« Jouis, ma belle, jouis… C’est ta Maîtresse qui te l’ordonne ! »

Un tel ordre ne pouvait être ignoré. Booette se tortilla sur place, et Bowsette la regarda, elle vit son joli visage et ses yeux partir au loin quand elle se mit à jouir. Ce fuit un très bel orgasme, et Bowsette sentit la vague l’emporter aussi. Elle soupira longuement,  et le plaisir l’envahit. Elle se mit à jouir dans la chatte de Booette, et pinça plus fermement l’une de ses fesses, s’en servant comme appui pour relâcher sa semence. Elle se mit à jouir longuement, puis relâcha ensuite la pression. Booette resta allongée contre elle, pouvant sentir la respiration lourde de Bowsette.

« Oh, ma chérie… »

Bowsette lui caressa doucement les cheveux, l’enlaçant tendrement.

« Je t’aime, ma Booette… »

[Booette]

Boette faisait face à tout un tas de choses en elle, des tas de contradictions qui se tapaient dessus, un camp gagnait, parfois l'autre, c'était difficile à dire à gérer tant elle passait d'un état à l'autre. Elle avait beau aimé Bowsette, il y a une partie en elle qui la craignait, c'était instinctif. Cela ne l'empêchait pas de l'aimer mais il lui faudrait un petit temps pour s'y habituer, sauf que ça n'allait pas se faire en une soirée. Chevauchant la reine, elle gémissait, heureuse de tout cela, quand bien même elle la craignait toujours un peu mais au moins, ça devait flatter un peu son ego de reine. Boette ne craignait que ce qui était plus fort qu'elle et pour le moment, seule la reine Koopa a eu cet honneur. Une reine qui se soumettait à une autre, ça devait avoir son charme pour une personne telle que Bowsette. Approchant de l'orgasme, elle se retrouva allongée sur elle, embrassée de force tandis qu'elle avait un seul ordre à suivre. Jouir. Croisant son regard sans y échappée, elle se relâchait, jouissant de plaisir sur la puissante verge de sa future femme. Sortant sa longue langue bavante qui arrivait sans mal à la bouche de la reine Koopa.

« Hyyyyyyaaaaaaaaan~ »

La cyprine de la légère reine fantôme arrosait Bowsette tandis que le plaisir atteignait son pic, avant qu'elle ne s'écroule contre elle. Fait amusant, étant donnée qu'elle était un fantôme, donc, morte, Bowsette ne pouvait pas sentir de petit cœur qui battait si fort après un tel moment. Quand ce fut au tour de la reine Koopa de jouir, elle écarquilla ses yeux en sentant l'orgasme de son épouse la remplir. Ce foutre bien chaud dans ce corps si froid, elle y poussait un second cris, se tortillant de plaisir. Sa main ganté caressa la joue de la reine tandis qu'elle se redressait doucement, elle osait affronté son regard, ne serait-ce que pour quelques instants, le temps d'entendre ses quelques mots d'amour qui la faisait fondre.

« Moi aussi, Bowsette... Je... Je t'aime... »

Vu sa pâleur, même rougir doucement se voyait bien sur elle, alors autant dire que annoncer ça, ça la rendait bien rouge, une douce chaleur émanait d'elle.

[Bowsette]

Après ce puissant orgasme, Bowsette reprenait ses esprits. Elle était en sueur, la respiration lourde et profonde. Bowsette était en train de battre ses propres records. Booette l’excitait tellement ! Sa timidité la rendait trop craquante, tout simplement ! Bowsette reprenait donc sa respiration, sa lourde poitrine se soulevant et s’abaissant au gré de son rythme cardiaque. Baiser était définitivement quelque chose de jouissif, ce qu’elle n’avait encore jamais vraiment réalisé avant de devenir Bowsette. Elle était impatiente de faire découvrir cela aux autres Peach du Multivers ! Elle sentit Booette se relever lentement. La pâle fantôme avait pris une teinte cramoisie quand elle croisa son regard. Bowsette lui sourit tendrement, et se hissa sur ses avants-bras. D’une petite voix tremblotante, Booette lui indiqua alors qu’elle l’aimait. Le sourire de Bowsette s’agrandit alors, et sa main droite se releva pour caresser la joue gauche de Booette.

« Hum… Ma Reine boo s’est transformée en une délicieuse cocotte-minute, hihi… »

Bowsette s’en pinça les lèvres, et caressa les hanches de Booette, qui put alors sentir la verge de Bowsette retrouver en force. Elle se redressa à nouveau, alors que la main de Bowsette glissait sur le ventre de Booette. Il suffisait de voir son regard pour comprendre ce à quoi elle pensait… D’une manière ou d’une autre, elle arriverait à la rendre enceinte. Et c’était bien cette idée, couplée à leur mariage, qui réveillait son érection.

« Tu seras mon épouse, Booette, ma femme, et, je peux te le jurer, celle qui portera notre enfant. »

Cela semblait impossible… Mais la présence de Bowsette et de Booette dans cette dimension était déjà, en soi, impossible. Bowsette soupira donc, et se redressa encore.

« La nuit est encore longue, ma chérie, et ta déclaration se doit d’être honorée comme il se doit… Vas-y, attrape ma queue, et empale-toi dessus… Je veux que mon amoureuse Booette danse sur moi, et qu’elle me montre à quel point elle m’aime ! »