Isabelle avait beau avoir ce gros défaut qui plaçait le plaisir sexuel avant de se soulager, elle n'en restait pas moins l'adorable petite chienne de Miranda ! Cet amour qu'elle lui portait depuis qu'elle était toute petite était peut-être une façon de combler son besoin maternel qui l'avait empêché d’élever ses enfants, mais Isabelle ne s'en plaignait pas, elle aimait sa maîtresse plus que tout ! Cela a dû arriver quelques fois que la petite chienne l'appelle « Maman », consciente ou dans ses rêves. Miranda voulait élever ses enfants après tout, Isabelle voulait une maman/maîtresse donc, c'est normal. Après, si par hasard, c'était juste que sa maîtresse l'adorait, elle n'allait pas s'en plaindre non plus. Après tout, sa maîtresse savait punir, vraiment. Isabelle en a fait parfois les frais, même si les punitions ne duraient jamais longtemps, le simple fait de savoir qu'elle avait déçu Miranda suffisait à miner le moral de la petite chienne. Fort heureusement, elle retrouvait le sourire plutôt facilement dans ce genre de situation, mais il n'empêche que pendant un moment, elle se sentait très coupable en se maudissant d'avoir fait tel ou telle faute. On ne pouvait pas rester fâchée contre une telle personne longtemps, Isabelle était aussi joyeuse que bien intentionnée ! Elle était un peu perverse, oui, mais elle a été éduqué par Miranda Forge après tout alors forcément, sa maîtresse avait un peu déteint sur elle à force, mais sans ça, elle voulait toujours aider cette dernière et la rendre heureuse ! Que son travail soit récompensé, ne serait-ce que d'un sourire, cela lui suffisait amplement ! Malgré ses airs tout mignons qui laissaient supposer que la petite chienne n'était pas très futée, c'était tout le contraire, elle avait été bien éduquée, mais le sexe, quand l'envie se pointait, lui faisait perdre ses repères.
La serviable et docile petite chienne se proposait de nettoyer la chambre et elle-même par la même occasion, mais Miranda et ses invitées préféraient d'abord jouer, ce qui ne la dérangeait absolument pas à dire vrai. Les trois belles femmes nues venaient l'entourer avec leurs belles queues. Pour la petite chienne, le calcul était simple. Il y avait trois pénis, elle avait trois orifices faits pour le plaisir, le résultat final était facile à déterminée ! Qui allait se placer où par contre, ça, c'était une autre question plus compliquée à répondre ? Mais pour elle, le calcul était plus important que le résultat sauf que, elles n'allaient pas commencer par ça, car elles voulaient renvoyer la pareille à Isabelle et lui pisser dessus. Cela lui allait. Depuis le début de ses problèmes, sa maîtresse avait tout essayer, soignant le mal par le mal aussi, se disant que si elle lui pissait dessus, peut-être que ça allait l'empêcher de recommencer, mais au final, non. Depuis toutes ses années, elle s'en était accommodée, cela était quotidien alors maîtresse et esclave n'y faisaient plus autant attention. Elle nettoyait derrière elle donc ce n'était pas un souci et parfois, c'était une excuse toute trouvée pour Miranda pour la punir, même si elle n'avait pas besoin de raison pour ça.
« Oui, maîtresse ! »
Dit-elle avec entrain en se mettant à genoux, devant ses trois belles maîtresses qui avaient une belle queue dressée sous son nez, elle ignorait ce qu'elle pouvait faire ou non mais comme demander, elle ouvrait la bouche en tirant la langue, remontant ses mains qu'elle laissait devant sa poitrine, observant tour à tour ses maîtresses. Elles étaient belles et excitantes même si à ses yeux, c'était sa maîtresse la plus belle et la plus délicieuse de toutes. Son avis ne comptait pas, c'était sa maîtresse alors forcément, elle était meilleure que tout le monde à ses yeux. Elle couinait doucement en les regardant, venant quand même poser la question pour savoir si son idée était bonne ? Mieux vaut se tromper que d'attendre que Maîtresse perde patience.
« Isabelle a envie de vous voir vous soulager sur elle, haaaaan~ Isabelle doit les sucer et les lécher aussi ou pas, Maîtresse ? »
Vraie question, car elle savait que Maîtresse décidait pour elle et autant, parfois elle devait suivre à la lettre ce qu'elle lui demandait – dans le cas présent juste attendre avec la bouche ouverte – et parfois, elle devait prendre des initiatives donc... à voir. Elle attendait juste que ses maîtresses l'arrosent avec leur beau pénis bien dur ! Et puis, pénis ou pas, c'est ce qui en sortait qui était important là, mâle ou femelle, peu importe, de l'urine reste de l'urine.