La frontière luméenne est une impressionnante série de superforts reliés entre eux par des forts et par des campements militaires d'arrière-garde, dans le but de protéger Lumen des forces mijakiennes !

Re: Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]

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Jhorne
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« Bien sûr, je m’efforce à chaque fois d’y aller. Quand on sort de la capitale, les Luméens sont plutôt respectueux. »
-En effet, nous ne sommes pas les citadins coincé de la capitale. Répondit Maxime avec un petit rire.

Avec une révérence, il invita la Reine à la suivre et refis le chemin inverse, Jhorne les suivant, ses pas lourds faisant trembler le sol derrière eux. La descente se fit sans accroc, croisant des gardes et les différents serviteurs de la forteresse. Par ailleurs, Maxime croisa quelque messager qui lui apportèrent quelque nouvelle, notamment de l'infirmerie, un rapport sur l'infirmerie, que le plus gros était passé, la majorité des hommes sauvés, détaillant les morts et les blessés. Le bilan était plus optimiste que ce qu'il avait escompté. Par ailleurs il donna quelque ordre.

Au bout de quelque minute, ils rejoignirent le hall, tandis que les portes s'ouvrirent sous un signe de Maxime, et qu'une garde d'honneur, plus présente pour l’occasion que la protection, vinrent les rejoindre.

« Très bien, je vous suis, Commandant ! »

-Avec plaisir. All....

PPPOOOOOOOOWWWWWWMMMMMM PPOOOOOWWWMMM PPOOOOOWWWMMM


Le son d'un puissant cor résonna longuement à travers la forteresse, puis tout Alserac. Ce cor, était celui de l'imminence d'une attaque. Mais le son semblait frénétique, car il se répéta plusieurs fois. Et avant que quiconque puisse faire quoi que ce soit, des soldats entrèrent en trombe dans le hall par les grande portes.

-LA BARRIERE D'ARCANE EST TOMBÉE !


Maxime fit les gros yeux. La barrière d'arcane était la principale défense contre les intrusions magique. Elle bloquait toute les tentatives de téléportation ou de création de portail ainsi que les sorts visant à détruire les murailles. C'était la clés de voûte de la défense de Alserac. Maxime fit volt face.

-TROUVEZ HENRY ET ALLEZ DANS LA SALLE DU DISPOSITIF ARCANIQUE ! FAITE SONNEZ LES CORS DE D'URGENCE !


La pagaille régna un moment. C'était une situation d'urgence extrême, et Alserac était pris au dépourvue. Un serviteur arriva en sueur, livide et tremblant, et faillit tombé devant Maxime.

-Le... aahh... le... le mage Henry...
-Qu'es qu'il à ? Brailla Maxime.
-Il... il a été assassiné dans ses appartements !

Maxime blêmit. Henry était le mage principale de Alserac, le garant de sa protection magique et surtout, l'expert du dispositif arcanique. L'attaque venait de l'intérieur. Alserac était infiltré. Au même moment, le capitaine HIDAS arrivèrent de l'aile gauche.

-Le.... le... dispositif à été détruit ! Annonça le capitaine. Et les mages en factions sont.... morts...
-NOUS SOMMES INFILTRÉS ! Hurla Maxime. Que les mages en réserve déploie les contre-mesures !
-TROUPE MIJAKIENNE A NOS PORTES ! Hurla quelqu'un depuis une balustrade. ET LES PORTES SONT OUVERTE !

La situation était critique, mais Maxime ne paniqua pas.

-JHORNE ! Fonce aux portes et fait une percée avec les troupes sur place !
-Avec plaisir ! Annonça Jhorne, partant en grande enjambé.
-Hidas ! Escortez la Reine à ses appartements et assurez sa sécurité avec son escorte !
-Bien.

Et alors que Hidas invita la Reine à le suivre, ses hommes se rapprochant, Maxime envoya plusieurs soldats porter ses ordres. De nouveaux cors résonnèrent, tandis qu'a l'extérieur, les troupes se mettaient en ordre rapidement. Et alors que Maxime allait partir, et que Hidas, guida la Reine dans l'escalier, des soldates débarquèrent, ceux qui était partie sous ordres plus tôt.

-Commandant ! Le... le dispositif à été brisé et les mages en faction sont mort !
-On m'a déjà...

Mais brusquement, Maxime se tourna vers Hidas. Il connaissait chacun de ses capitaines, leur routine, habitude et leur poste. Et Hidas n'a jamais été charge de la sécurité intérieur du château, et encore moins de la salle du dispositif, qui relevait des compétence du mage Henry. Leur regards se croisèrent, et il comprit.

-STOPPEZ HIDAS !!!!

Et les hommes de Hidas se retournèrent fonçant sur les hommes de Maxime. Ce dernier fonça dans les escaliers, décapitant un homme d'une puissant mouvement au passage, risquant de ce briser le poignet au passage. Hidas saisit le bras de la bras, la tirant vers lui, levant un poignard. Mais une flèche se planta dans sa mains, lui faisant lâcher le poignard. Orion se tenait non loin, dans un des balustrades surbplombant le halle, faisant face à Hidas, et encocha une nouvelle flèche, qui atteignit ce dernier dans l’œil, le balança pardessus la rampe de l'escalier. Non sans mal, Maxime parvint à atteindre la Reine, perçant la défense des hommes de Hidas, avant de la tirer de l'escalier.

-Je suis sincèrement désolé majesté je...


Il tira sur son bras et la jeta derrière lui, tandis qu'un portail s'ouvrait devant lui, juste derrière la Reine juste avant. Un homme massif en sortie, bien plus grand que Maxime de 2 tête et bien plus large, ainsi que des soldats Mijakien, qui foncèrent sur les hommes de Maxime en faction, tandis que Loria arrivaient avec les chevaliers d'Alserac, suivit de Luria et de sa garde.

-Bonjour. Dit il en levant son immense épée.
-FUYEZ !! Hurla Maxime, levant la sienne.

Un éclair aveuglant jaillit de Maxime, droit vers adversaire, qui recula, renversant un de ses hommes, une main sur ses yeux. Maxime tenta le tout pour le tout, et visa la tête de son adversaire, son épée fendant les airs dans un sifflement meurtrier. Mais le guerrier Esquiva habilement l'épée, se montrant plus agile qui le laisser paraître, en se penchant en arrière. Et il se montra plus réactif que Maxime. Son épée fendit les airs, dans une arrière gauche, manipulant son épée d'une main. Bien qu'il n'y eu pas assez d'amplitude, ce fut suffisant pour tranché à moitié Maxime.

L'épée enfonça son armure, trancha entrailles et os, depuis la hanche côté droite, en remontant vers le cœur avant d'être stoppé. Le guerrier retira son épée. Maxime vomit du sang et tituba sous le choc et quand l'épée fut retirer, et ne cria pas, restant de marbre, restant debout, face à son adversaire qui rigola, alors que le sang inonda le sol, dégoulinant de sa plaie béant, des entrailles glissant.

-Fu... yez... lâcha Maxime, levant à nouveaux son épée.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Jhorne courrait en direction des portes, et c'était un spectacle unique. Ses pieds massifs long comme comme un temps, frappait le sol comme le tonnerre, qu'on pouvait entendre de loin, faisant trembler le sol, le fissurant même par moment. Autour de lui, c'était plus ou moins le chaos, car femmes et enfants fonçaient vers la forteresse dans la pagaille et la panique la plus total, tandis que les hommes, des plus vieux encore valide au plus jeune en age de porter une arme, tentait de s'organiser pour établir des défenses, sortant lance, épée, bouclier et casque.

Jhorne parvint rapidement au porte, grande ouverte, et au delà, des troupes qui s'avançait, abordant les couleurs de Mijak. Mais il vit des trolls et des berserks. Et qui chargeaient.

-QU'ES QUI CE PASSE ? Hurla Jhorne, en colère de voir qu'aucune action n'était en faite. Sa voix puissante pouvait s'entendre de loin. POURQUOI LES PORTES SONT OUVERTE !?

Jhorne était un peu plus petit que la moitié de la muraille, haute de 12m. Depuis des meurtrières à sa hauteur, des hommes se présentèrent, se tenant les oreilles.

-Les mécanises ont été détruit ! On ne peut plus abaisser la grille ni fermer les portes ! Et ils sont sortie depuis des portails !

-Et merde.

Déjà, des archers étaient sur les murailles faisaient feu, tandis que les ingénieurs actionnèrent scorpions, catapulte et balistes. Des troupes se regroupèrent au niveau de Jhorne, se préparant au choc, tandis qu'on installa en hâte des balistes légère et des défenses. Jhorne dégaina sa lame, se craqua le cou... et fonça droit sur l'ennemie.

-OOORRRYYYAAAAAAAA !
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Re: Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]

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Elena Ivory
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Demande de RP
Elena ne s’attendait pas à une nouvelle attaque, violente et puissante. Tandis qu’elle était avec Maxime, Elena entendit les cloches d’alarme. Ensuite, les évènements se précipitèrent furieusement. Visiblement, les troupes ennemies avaient contourné les défenses d’Alserac pour l’attaquer de l’intérieur, commençant par neutraliser les mages, Une attaque redoutable. Sans ses défenses magiques, Alserac était démunie face aux envahisseurs. C’était à croire que l’assaut initial n’avait été qu’une diversion, un contournement pour envahir ensuite Alserac de l’intérieur. Sentant la panique l’envahir, Elena suivit le commandant, avant qu’un Portail ne se forme, délivrant une sorte d’homme massif armé d’une énorme épée. Sans attendre, le commandant Maxime lança un arc électrique vers l’adversaire, qui évita l’attaque, et contra ensuite. Elena se recula lentement, dans une cour d’intérieur… Et, quand l’épée du tueur trancha la chair du Commandant, Elena écarquilla les yeux.

« COMMANDANT !! »

Maxime hurla, tandis que l’énorme épée monstrueuse du bandit se rougit de son sang. Le tueur avait ouvert Maxime de la hanche à la poitrine, et le repoussa du pied. Dans une mare de sang, le Commandant s’agenouilla, sous les yeux horrifiés d’Elena, et lui demanda de fuir… Avant que, dans un rire cruel, son adversaire ne frappe encore, le décapitant d’un coup sec.

Elena vit la tête du Commandant s’envoler dans les airs, rebondissant au sol. L’homme face à elle sourit encore. En haut de l’escalier par lequel ils étaient arrivés, Elena pouvait entendre les hommes d’Hidas qui affrontaient les guerriers ennemis.

« Majesté… J’aurai aimé affronter le Lion de Lumen en personne, j’ai peur que vous ne soyez très décevante…
Monstre… Vous l’avez tué !
Vous êtes effectivement très perspicace… »

Elena recula alors, et, plutôt que d’emprunter l’escalier, fila par une porte. Elle entendit l’homme rire aux éclats, le torse tacheté du sang du Commandant. Elena courut dans un couloir, et ouvrit une porte, donnant dans un grand hall où des combats avaient lieu. Les Luméens défiaient les attaquants, et Elena reconnut, pêle-mêle, des Mijakiens avec des Scoia’tael. Des nains et des elfes renégats attaquaient les humains, ainsi que des furrys. On avait tendance à sous-estimer les furrys par leur servilité, mais ils étaient terriblement agiles. Elena vit ainsi un furry bondir sur une table, puis bondir encore, évitant une lame, et planta ses griffes dans le cou d’un homme, le renversant au sol.

La Reine avait débarqué dans le réfectoire, où un Portail avait émergé. Ils avaient dû désactiver les défenses magiques d’Alserac pour mener cet assaut. Elena se déplaça encore, s’abritant derrière un pilier, tandis que son poursuivant arriva alors.

« Petite, petite… » siffla-t-il.

Elena se déplaça vers la sortie, mais vit un Furry bondir vers elle. Il avait les yeux injectés de sang, un sourire cruel sur les lèvres, et bondit sur Elena.

« Haaaa !! »

La Reine tomba au sol, désarmée. Un soldat intervint alors, et repoussa le Furry du pied, avant de lui planter sa hallebarde dans le torse.

« C’est la Reine !
Protégez la Reine ! »

La garnison d’Alserac était en sous-effectif, car beaucoup de soldats alsériens étaient dans la forêt, à traquer la Scoia’tael. Elena se redressa, et la porte du réfectoire s’ouvrit sur plusieurs renforts luméens, menés par Loria. Le soldat à la hallebarde entreprit de l’escorter quand le tueur du commandant surgit alors, frappant le soldat dans le dos. Celui-ci hurla de douleur en s’effondrant mollement au sol, et Elena commença à courir. L’ennemi allait porter un coup fatal, mais l’épée de Loria le bloqua alors, la jeune femme étant bien décidée à protéger sa Reine !

*Adamante est encore en vie, je le sens… Elle seule peut remettre en place les défenses magiques du fort !*

Mais comment la retrouver ? Elena se maudissait pour son impuissance !

DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]

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Jhorne
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Maxime ne tint pas longtemps debout, et tomba à genoux rapidement, vomissant du sang. Son adversaire n'eut qu'a faire un ample mouvement. Un filet de sang, une tête qui vole et le corps décapité de Maxime, s'effondra, son sang inondant le sol. Sa mort ne passa pas inaperçue, des cries d'indignation, des clameurs d'horreur et des cries de rages jaillirent des soldats d'Alserac.

Alserac était en crise, son commandant était tombé, la forteresse envahit et un siège était en place. Mais Alserac était forte, Alserac était solide, Alserac ne tomberait pas ! Les hommes de Alserac étaient pour la majorité des vétérans, des soldats confirmés. La panique laissa rapidement place à un solide esprit combatif, ne se laissant pas déborder, et pris d'une soif de vengeance et de sang, les soldats se jetèrent dans la mêlée, affrontant les Mijakiens et les Scoia’tael. La nouvelle se répandit rapidement, mais le temps des larmes viendra plus tard.

Darius rigola en poursuivant la Reine. 3 soldats s'interposèrent, mais d'un coup de lame, il fendit presque en deux un soldat et les deux autres ne tinrent pas plus longtemps. En rejoignant la prochaine salle, un réfectoire, il fut surprit de voir des membres Scoia’tael et ne put s'expliquer leur présence, mais cela mettait plus de chaos, ce qui était un avantage. Cela n’empêcha pas les Scoia’tael et les Mijakiens de s'entretuer par moment. Il s'avança rapidement, donnant un coup d'épée à l'occasion.

« Petite, petite… » siffla-t-il.

Il l'aperçue, fuyant vers une sorti. Il s'élança, mais fut bloquer par un soldat, qui parvint à le blesser au bras avant qu'il ne se débarrasse de lui prestement. Il grogna et reprit sa route, renversant un elfe et dégageant d'un coup de pied un furry qui esseyait de l'attaquer, brisant son genoux sous l'impact. Il essaya de rattraper la Reine, mais des renforts Luméens débarquèrent en trombre. Des chevaliers, mais aussi des Gardes Fer et des Lanciers Pourpres, le pire combo pour leur adversaires, car ces deux unités formaient une paire redoutable alliant défense et attaque, là où leur adversaire étaient plus chaotique et hétéroclite.

Darius n’eut le temps que de se débarrasser du garde rapproché de la Reine, avant qu'une chevaleresse ne dévie sa lame et que les renforts n'affronte les envahisseurs. Il grogna. Il n'avait pas de temps à perdre ! Il porta un puissant coup, que Loria évita. L'immense lame de Darius démolit deux hommes avant que Loria ne cherche à lui porté un coup, mais vif, Darius l'esquiva et saisit le bras de Loria, la tirant vers lui, la jetant à terre derrière lui, droit sur ses hommes qui l'attaquèrent avant de poursuivre la Reine. Il n'avait pas le temps de se battre il devait la tuer au plus !

Il constata avec horreur qu'un elfe l'avait devancer, se rapprochant rapidement dans le dos de Elena.

-ELLE EST A MOI !!! Rugit Darius.

Saisissant fermement son épée, il la lança droit vers l'elfe, qui s'était retourné. L'épée s'encastra dans son torse, broyant sa cage thoracique et ses organes, le déchiquetant en deux, avant de tomber à la renverse. Darius perdit du temps à récupérer son épée, la Reine prenant un escalier, tandis que des gardes lui fonçait dessus.

-RAAAAAAH !


Une tornade de violence et de puissance brute, il traversa les soldats, et bien qu'il fut blesser au bras et au torse, il réduisit ses adversaires en lambeaux, et s'engagea à son tour dans l'escalier, rattrapant la Reine.

-INUTILE DE FUIR CATIN !
Beugla t-il, arrivant à l'étage.

Le couloir principale avait 4 portes, deux de services pour les servants, à droite et à gauche, les deux autres des pièces quelconque, avant de tomber sur un carrefour. Le couloir de droite mener a la salle d'arme, les cachots et les dortoirs de la garde, et aussi la cave, la gauche a une salle de réception et à l'étage, tandis qu'en face on allait  à d'autre salle diverse, mais aussi un escalier conduisant directement à la bibliothèque. La Reine allait droit devant, et entre elle et Darius, et une demi-quinzaine de soldats jaillirent de la droite et de la gauche, dardant lame et lance, dressant un mur de bouclier devant le poursuivant de leur Reine.

-Montez ma Reine ! Cria un capitaine. Votre suivante est en haut dans la bibliothèque avec le responsable ! SOLDAT ! Hurla t-il en rejoignant ses hommes Ne laissez pas passer cette pourriture ! Nous sommes les garants de la sûreté de sa Majesté !
-ORYA !
-Vous pouvez rien contre moi !!
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Adamante était dans la bibliothèque, avant le début des événements, et elle fut la cible elle aussi des assassins Mijakiens. Mais elle eu plus de chance car elle fut avertie par un des responsables de la bibliothèque, de surcroît un mage, qui avait vue un garde saisir une dague et se rapprocher d'elle. Il avait crié et lancé sur l'assassin un éclair qui le sonna et le projeta à travers un étagère. Mais son action fut balayé par un autre qui le poignarda dans le dos. Trois hommes firent face à Adamante, les trois prenant garde à ses fait et gestes. L'un d'eux lança un couteau et un autre sortie une arbalète, tandis que le dernier lui fonça dessus.
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Les forces troupes qui montaient à l'assaut des remparts, furent stoppé net à la vue de Jhorne qui leur fonçait dessus. Le colosse était une vision terrifiante pour ses adverses. Les armées de Mijak était parcourue d'histoire, plus invraisemblable les une que les autres. Le Destructeur d'Armée ainsi le nomme t-on. Ses charges étaient connue à travers tout Terra, brisant les lignes et enfonçant les rangs d'une puissance écrasante, surpassant à 1 contre 1000, ses adversaires.

-En... EN POSITION ! S'exclamant un commandant. Lancier en première ligne ! En... envoyez les trolls ! Archer feu à volonté ! Ba...baliste préparez vous !

Une volée de flèche fut tiré, mais elle se brisèrent contre son armure et son épée, toute deux beaucoup trop épaisse pour que les simples flèches puissent faire quoi que ce soit ! Jhorne traversa la volée de flèche comme si il traversait un simple rideau de pluie. Un troll lui fonça dessus, beuglant comme un dératé. Sa démarche fit tremblé le sol, sa masse et son gabarit masqua à la vue de tous Jhorne.

Des rangs des soldats, on le vit de dos, foncer droit vers Jhorne, suivit de deux autres. Au corps à corps, on ne vit que la tête de Jhorne, car plus grand que son adversaire, tandis que le troll abattit son arme à deux mains. Un puissant choc métallique résonna, le troll grogna, releva son arme. Mais ses avants bras volèrent, de même que sa tête, d'un puissant mouvement circulaire de Jhorne, dans un bruit écoutant de chair tranché, avant qu'il ne dégagea sur le côté le troll. Le suivant fut si perturbé qu'il laissa l'opportunité à Jhorne de le trancher à moitié en deux et le dernier fut empalé sec et nette.

-BALISTE !!!

Une dizaine de balistes portative firent feux, mais Jhorne souleva le troll qu'il avait empaler, s'en servant comme bouclier humain. Le trolls fut transformer en pelote d’épingle géant. Il jeta le drôle sur le côté et fonça. A sa vitesse, aucune baliste n'aurait eu le temps de rechargé pour le stopper. Son terrifiant crie de guerre résonna à travers toute les lignes ennemies. Mais avant qu'il ne l'atteigne, la formation ennemie se brisa.

Les hommes perdirent courages, chacun reculant pour sa survit, même si d'autre restèrent en place, maintenant une faible ligne. Le choc fut effroyable. Jhorne percuta la première ligne, broya et réduisit en pulpe sanglant plusieurs soldats sous ses pieds, tandis que son épée envoya valser sang et morceaux au loin de ceux de la deuxième et troisième ligne, dans une cacophonie de cries d'agonie, de métal qui se tord, de chair qu'on écrase et d'os qu'on brise ! La terreur se répandit rapidement, tandis que Jhorne moulina dans la chair et le métal. Ses pieds de la taille d'un enfant de 10 ans, engoncé dans des bottes de métal, transformèrent le sol dans son sillage, en une boue sanglante, broyant des corps entiers. Un seul de ses coups fauchait une demi-douzaine si ce n'est plus d'homme, envoyant valser leur reste des dizaines de mètres. Les épées rebondirent sur ses mollets ou ses cuisses, les seules partie accessible pour ceux osant l'approcher, les lances se brisèrent sur son torse et ses bras. On balança des cordes, des filets et des chaînes, mais Jhorne transformait les malheureux à l'autre bout, en fléau de fortune, éclatant leur corps sur leur camarade.

La terreur que Jhorne répandait, était aussi bien du à ses coups de forces, comme tuer 3 trolls d'assaut, que par sa renommé et sa fureurs au combat. Il n'était pas comme les trolls, minotaures et autre monstre aussi massif. Il était plus réfléchit, plus entraîner, ayant arme et armure sophistiquer, sans compter qu'il parvenait à utiliser des objets magiques. Il était un monstre parmi les monstres, surclassant les autres, capable de prouesse physique inconcevable. Et il y avait toujours émanant de lui, une aura de terreur, le rendant terrifiant aux yeux de ses ennemies.

L'assaut, mener par des hommes visiblement mal préparer de surcroît, se dispersa, s'éloignant de l'ouragan de violence et de sang qu'était Jhorne.
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-Es que c'était vraiment nécessaire ?
S'insurgea un lieutenant en regardant le massacre. Même si la plus part sont des mercenaires sacrifiable...
-Oui. Jorme est puissant, mais pas infaillible. Repondit Démérios. Faite une charge avec les troupes de réserve en contournant Georne pour occuper les troupes d'Alserac, nos infiltrés ont réussit. Une fois fait, nous libéreront les berserks directement dans la ville. Les troupes seront prise entre le marteau et l'enclume.
-Et Alserac tombera !
-Uniquement si le temps joue pour nous. Alserac est une des plus puissante place forte, même prise au dépourvue et sans défense contre les intrusions, se sera difficile, car ses troupes ne sont pas du même moule que les nôtres et le nombre n'est pas à notre avantage. Et même si nous les avons isolé, les forts voisins finiront rapidement par le savoir L'objectif est la Reine et uniquement la Reine.
-Les troupes de réserves contourne Jhorne et fonce vers les portes !
-Zorcrr ! Envoyez les berserks dans la ville ! Isolez encore plus les forces de leur Reine !
-COMMANDANT ! Hurla un homme, coupant le sorcier. Des soldats prennent nos hommes à revers !
-Ah ! Les forces dispersés se rassemblent enfin ! Ne faite pas sonner la retraite, nos hommes vont fuir de toute façon.
-Et.... et Jhorne ?
-Je m'occupe de lui. Nous avons un vieux compte à régler.
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-Tenez le choc !
-EN FER ET DAMNATION !

Les soldats Mijakiens, malgré le feu des scorpions, des catapultes et archers sur la muraille, percutèrent la ligne de la Garde de Fer et de lancier. Le choc fut brutal, le fer parlant, bouclier contre bouclier, visage contre visage. Les lances furent secoués et brisé, les épées et les haches se croisaient dans un bal de violence. Les premiers hommes tombèrent rapidement, écrasser par les vivants, insensible à leur sort ou galvanisé. Les hommes d'Alserac ne reculèrent pas d'un pouce pour autant, devant ceux de Mijak qui bataillait férocement.

Mais leur dévouement et leur rage de vaincre ne pouvait rien contre la magie. À leur insu, dans leur dos, à travers toute la ville des portails s'ouvrirent, libérant un flot de berserkers, ces créatures ignoble. Les citoyens n'étaient pas aux abris, l'accès au caverne, passant par une forteresse prise d'assaut en son cœur, n'était pas encore sur. Les bêtes se déchaînèrent sur les civiles, les forces en présence pas assez nombreuse pour défendre tout le monde. Le sang macula les mur, les cris résonnèrent en échos de part et d'autre, et les corps tombèrent. Une berserker finit d'éclater un homme contre un mur avec sa masse et se tourna vers ce qui semblait être sa femme et ses enfants. Mais il fit seulement un pas et fut percé de flèches, puis percuté par un homme robuste, l'empalant d'une fourche en plein torse, et d'autre suivirent pour massacré la bête.

-HARDIS LES GARS ! AVEC MOI !
Hurla l'homme à la fourche en s'emparant de la masse de son adversaire. ON VA PAS S'LAISSER FAIRE !

Une ovation lui répondit ! Une colonne de citoyen, armée d'outil, d'épée, de hache, d'armure rudimentaire, s'engagea à sa suite, entonna un chant de bataille pour se donner courage. Des volets volèrent en éclats à travers la ville, des hommes et des femmes balançèrent de l'huile bouillante, tirant avec des arcs, ou lançant des pierres. On organisa des évacuations, on dressa des barricades, on monta un centre de premier secours. Alserac était un super-fort habitué au siège. Ses citoyens étaient formé à la résistance, équipé, famille de soldat ou d'ancien soldat. Ils étaient la population au plus proche des fronts. Ils n'étaient pas les citoyens de la capitale ou ceux vivant dans les terres. La guerre étaient leur quotidiens, et ils savaient se battre.
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Re: Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]

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Elena Ivory
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Demande de RP
Cette attaque massive était attendue, mais restait malgré tout particulièrement surprenante. Le siège d’Alserac ne pouvait aboutir. Si les Mijakiens arrivaient à ébranler ce fort, ils disposeraient d’une ouverture, et le fort ne serait pas facile à reprendre. Les défenseurs en avaient conscience, mais savaient aussi qu’il y avait quelque chose de pire encore… Qu’Elena se fasse capturer ! Elle, la Reine ! Ce serait un drame inenvisageable, une crise majeure. Elena suivit donc les ordres qu’on lui donnait, et grimpait rapidement un escalier menant à la bibliothèque. Elle entendait dehors les hurlements et le bruit fracassant de la bataille.

*Comment ont-ils fait pour rentrer ?*

Les murs d’Alserac étaient particulièrement solides, infranchissables, et le fort était continuellement surveillé, à tous les niveaux. Elle n’avait pas encore toutes les explications, et rejoignit la bibliothèque… Où elle vit la double porte de la bibliothèque, s’ouvrir violemment, un corps s’envolant pour heurter le mur. C’était un commando mijakien, le torse transpercé par un cristal de glace. Il s’effondra mollement sur le mur, et, à l’intérieur de la bibliothèque, Elena put voir sa Adamante, occupée à combattre deux autres mercenaires. De la main, elle dévia la dague lancée sur elle, et généra un bouclier qui stoppa le carreau d’arbalète. L’arbalétrier se déplaça rapidement, derrière un pilier, évitant ainsi des arcs électriques qui jaillirent des doigts de la magicienne. Il roula ensuite sur le sol, et décocha un nouveau carreau, amenant Adamante à se téléporter. Elle se recula donc, et leva la main, soulevant l’une des tables en bois de la bibliothèque, qu’elle utilisa comme bouclier, avant de la projeter sur le tueur. Celui-ci se concentra à son tour, et tendit sa main, usant alors de magie à son tour. Adamante en fut surprise, et l’autre commando lança une dague explosive.

Adamante hurla en sentant la dague exploser contre son bouclier, la faisant reculer.

« Vous… Vous n’êtes pas des commandos ordinaires, vous…
Où est la Reine ?
Vous espérez vraiment que je vous réponde ? »

La magicienne déploya de nouveaux arcs électriques. L’un des commandos les dévia en tendant ses mains, les éclairs fusant dans tous les sens. L’arbalétrier la cibla encore… Quand il se reçut un chandelier en argent sur la tête. Elena avait rampé pour récupérer cette arme improvisée, et l’abattit violemment sur lui, l’amenant à se coucher sur le sol. Surpris, l’autre commando vit sa cible, proche, désarmée… Puis concentra les éclairs en une sphère qui canalisa les éclairs, et éclata ensuite, soufflant Adamante. Il sortit ensuite une épée, et s’élança vers Elena, la lame s’enflammant dangereusement. L’épée heurta le sol, Elena ayant bondi. Elle attrapa un livre, et le jeta à la figure de l’homme, le surprenant. Celui-ci ricana, et attrapa la gorge d’Elena, soulevant la Reine, s’apprêtant à l’embrocher avec son autre main… Pour se recevoir un coup sur la figure. Elena avait attrapé un solide encrier sur le meuble en bois où elle avait récupéré le chandelier, et l’abattit sur la tête de l’homme, le déstabilisant.

« Argh, salope ! »

Elena se mit à courir, filant entre deux bibliothèques. Le commando se rua vers elle, mais une onde de choc le souffla alors. Adamante venait de se manifester, et l’envoya heurter un mur.

*Ce ne sont pas des soldats ordinaires… Qui sont-ils ?!*

Le commando qui avait atterri dans le couloir était pendant ce temps agité de soubresauts, de spasmes nerveux… Et ses yeux se ré »veillèrent brusquement, ses orbites s’illuminant d’une dangereuse lueur verdâtre. Il commença à se redresser, vomissant du sang noirâtre…

DC de l'Observateur !

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Re: Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]

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Jhorne
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Enregistré le : 26 sept. 2024 00:34
-HALLALI !

Surgissant de derrière les lignes ennemies sortant de la forêt, des chevaliers pégases enfoncèrent les archers et servants des balistes portatives. Ils semèrent d'avantage la confusion, pourchassant les fuyards. Entre les chevaliers Pégases et Jhorne, l'armée se délita et les hommes prirent la fuite. Les Chevaliers Pégases, la principale force aérienne de Lumen, capable d'attaque aussi rapide que surprenante. Chaque Super-Fort avait une branche de l'Ordre des Chevaliers Pégases, et ceux de Alserac étaient partie en manœuvre et venait de revenir. Ils avaient vue la situation depuis le ciel et c'était séparé en 2 forces. Une pour briser le siège à l'arrière. Et l'autre qui fondit depuis le ciel, fondant sur les soldats qui tenter de reformer une force de combat ou qui partait sur les portes de la cité.

Mais ils étaient pas seul, car des soldats se joignirent à la bataille, les Hardis, un groupe de soldat d'élite assistant Jhorne. Et à leur tête, la Capitaine Zeldelfia, le Chevalier Melkart, le Chevalier Sandorf et le Tyran Ogre Orgrall. Les compagnons Jhorne, des hommes et femmes d'exception qui arrivent à suivre le Colosse de Lumen dans ses aventures et ses batailles. Ils revenaient d'une expédition en dehors des terres de Alserac, et leur retour étaient prévue un jour plus tôt, mais leur retard étaient arrivé à point nommé.

L'armée qui assiégé les murs, était vaincue. Pour une bonne part des mercenaires, pas assez payé pour faire plus. Les troupes se dirigèrent maintenant vers la cité, laissant les fuyards, tandis que les chevaliers pégases prirent leur envol. Jhorne feta le retour de ses compagnons d'un grand rire, avant qu'une ombre immense ne fonce sur lui.
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Les Berserkers bien que puissante et redoutable, n'était pas des experts du combat, frappant juste comme des idiots. La milice parvint à les contenir, usant de leur esprit limité et de leur avantage du terrain. Mais les pertes étaient quand même conséquente. Mais une chance, si les berserkers avaient étaient plus nombreuse, le massacre aurait été plus conséquence et la ville aurait pus tomber. Et avec les troupes régulières qui étaient maintenant libre au niveau de la porte, la balance pencha définitivement pour Alserac.

Les Hardis montèrent en 1ère ligne, et les Berserkers furent abattue une à une. Alserac regagnait ses rues, repoussant les monstres et les troupes ennemie qui les avaient suivit, les poussant dans un coin de la cité, et les poussant dans un baroud d'honneur car aucun prisonnier ne serait fait et aucune pitié était de mise.

Mais alors que la porte étaient abandonné, les troupes partant à l'assaut de l'ennemie à l'intérieur, des hommes se dépêchèrent de s'écarter, avant qu'une masse ne la traverse, écrasant les retardataires. Jhorne se releva péniblement, crachant du sang, s'appuyant sur son épée, avant de grogner et de foncer à nouveau sur son ennemie.
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Le commando éjecter de la bibliothèque par Adamante se releva, vomissant du sang noir alors que son masque était tombé. L'elfe noir jura. Le pacte noir conclue avec son... maître était aussi efficace que douloureux. Il se releva, dégageant le morceau de glace dans son torse. Avant qu'une vive douleur ne traverse son cou et que son champs de vision ne se renverse. Eros, le bras droit de feu Maxime, ramassa la tête et la dégagea dans l'escalier, tandis que le corps s'agita dans tout les sens. Ça devrait l'occuper un bon moment.

Il s'engagea dans la bibliothèque, identifia rapidement les 2 ennemies. Il fonça vers un des elfe noir, passant devant Adamante. Il visait le 1er qui avait été la cible de la Reine avec son chandelier. Le temps qu'il se relève, Eros l'embrocha à travers son dos, sectionnant la colonne vertébrale.

-Reste couchez ! Ma Reine ! Dit-il en se tournant vers elle. Vite !

Il aide la Reine à se relever, et alla au niveau de Adamante, qui lançait un nouveau sort sur l'assassin qu'elle avait touché d'une onde de choc, le clouant au mur. L'autre commençait à se relever. Et une voix grave et pleine de menace se faisait entendre.

-L'autre gorille se ramène. Tenez !

Il remit dans les mains de Adamante, un parchemin de téléportation. Un parchemin magique aussi rare que précieux. Et marqué dessus comme destination, le superfort Altenberg.

-C'est le plan d'urgence mit en place par le Générale Olnard quand votre visite a été annoncé. On se charge de reprendre Alserac. Les forces de Mijak et de la Scoia’tael s’entre-déchire, nous gagneront ! Allez-y !

Il se retourna, faisant face à l'énorme guerrier qui venait d'arriver.

-NOOOON !

Le guerrier était couvert de blessure, soufflant comme un bœuf. Il ignora Eros, fonçant droit sur la Reine, levant sa lame le plus haut. Si haut qu'il heurta le plafond, bloquant son coup, alors que Elena et Adamante, disparurent dans un flash lumineux.

-NOOOGEEUURKK !

Eros n'avait pas laisser passé sa chance. Il empala la tête de Darius, transperçant par le menton, enfonçant sa lame jusqu'à la garde. Avant de la retirer, et de laisser le guerrier s'effondrer, parcourue de spam.

-De la part de Maxime.


Eros fit ensuite face aux deux assassins qui se relevèrent, tandis que des membres de la Scoia’tael débarquaient, 2 elfes et 1 hybrides, mal en point. Et derrière eux, les clameurs d'un combat, visiblement d'autre essayait de retenir des soldats.

-Navrez, mais la Reine est dans un autre château. Lança Eros, se mettant en garde.
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-ELOIGNEZ VOUS !
-COURREZ !

La maison vola en éclat, les murs s'éboulant, des débris volant dans tout les sens. Jhorne se releva de la ruine, serrant les dents. Il leva son épée, parant l'attaque de son adversaire. L'onde de choc souffla la poussière et vrilla les tympans des soldats encore présent. Chaque coup étant comme des coups de tonnerre. Les maisons volèrent en éclat, cédant face à la tornade de violence. Le sol tremblait, se fissurant sous leur pas, tel des météores de rage, alors qu'ils se battaient sans tenir compte de leur environnement, comme des catastrophes naturelle. Les hommes ne pouvaient que fuir, et contempler le spectacle de puissance.

Jhorne chargea son épée Titan de magie, avant de lancer une onde choc sous forme de lame. Mais son adversaire s'envola et la lame de choc transperça des bâtiments. Il retomba sur des civils qui se penser à l’abri, avant de rire.

-WRAHARHARHARHARHAR !
-Démonitus ! Hurla Jhorne. Pourriture !

Démonitus regarda Jhorne. Il était immense, aussi grand que Jhorne, mais plus menaçant, le regard fou, débordant d'énergie. D'un coup d'aile, il fonça sur Jhorne, lame en avant. Jhorne dévia la lame, qui s'enfonça dans un bâtiment, mais fut percuté par le démon. Démonitus ! L'homme qui avait faillit faire tomber Alserac une fois ! Celui que Jhorne avait défait, celui qui lui avait permit d’accéder au titre de Champion de Alserac, son pire ennemie était de retour. Les deux traversèrent un bâtiment, Jhorne raclant le sol, laissant deux profond sillons, encaissant l'assaut. Les deux se retrouvèrent face à face. Le démon donna un coup d'aile, s'envolant et se laissant retomber, abattant à nouveau sa lame, Jhorne la parant, pliant le genoux, manquant de le mettre à terre.

-Allons Jhorne ! Je suis revenue des enfers juste pour toi ! Dans ma vrai forme ! NE ME DECOIS PAS !


Son épée se mit à luire d'une énergie rouge malfaisante, avant qu'une explosion d'énergie n'englobe Jhorne. Le bâtiment fut pulvérisé jusqu'à la base. Éros recula et Jhorne jaillit du nuage d'énergie et de poussière, envelopper dans un bouclier magique. Il abbatit son épée dans une arrière gauche, remontant de bas en haut. Son Némésis recula et parant tant bien que mal le coup. Jhorne tenta l'estocade dans la foulé, faisant criser sa lame contre celle de son adversaire, qui parvint à la dévier sur le côté, mais fut entailler le long de sa hanche gauche. Il lacha un râle bestial, avant de s'envoler à nouveau d'un coup d'aile.

Mais cette fois, Jhorne l'attrapa par le pied, et dans un crie de puissance et de rage, il envoya son adversaire sur une maison ayant déjà subit leur assaut. Éros tomba sur le flanc, et roula sur le côté, Jhorne lui sautant dessus avec son épée, qui frappa et ravagea le sol et la maison derrière d'une onde de choc, la faisant s'écrouler. Éros se releva et tenta une attaque haute, que Jhorne dévia d'un revers de sa lame. Mais il ouvrit sa garde, et si Éros ne put contenir l'assaut, il se libéra une main et tira une boule d'énergie sur Jhorne, qui se la prit en plein torse tandis que lui même fut parcourue par une vague d'énergie qui l'engourdi partiellement. L'explosion le projeta en arrière. D'un coup d'aile Éros fut sur lui. Trop rapide et engourdi, Jhorne ne put rien faire.

La lame démoniaque transperça son armure, mordit et déchiqueta la chair. Elle ne s'enfonça pas plus d'une dizaine de centimètre, l'armure ayant quand remplit son office de la ralentir. Mais le mal était fait. La lame se gorgea du sang de Jhorne, se nourrissant. Il lacha son épée, tandis qu'il fut jeter à terre et que Éros posa son pied sur son torse et enfonça un peu plus la lame.

-La victoire est mienne mon vielle ennemie ! Ma vengeance est enfin accomplie ! Ton âme rejoindra ma collection dans ma Buveuse d'Âme ! Je te ferais assister à la chute de Lumen ! Mais avant... une certaine Reine m'attend ! WRAHARHARHAR !


Démonitus laissa là Jhorne, qui se sentait partir. Il pouvait sentir l'obscurité s'en prendre à son âme, il se sentait partir. Sa vue se mélangea avec une autre vision, de la ville. Ses mains s'engourdissaient de plus en plus, il les sentait presque plus, de même que ses pieds. Il allait mourir, enfermé dans une lame. Non ! Il refusa ! Ce n'était pas son heure ! Il était Jhorne, le Colosse de Lumen, Le Champion de Lumen ! Il sentit ses dents se serrer, un puissant crie s'échapper de sa bouche. Il sentait une puissance l'envahir, une puissance inconnue, ancienne.

Il se sentir revenir, il sentait ses mains saisir et retirer la lame. Jhorne se releva, ne sentant plus la douleur. Il ne le voyait pas, mais Jhorne brillait d'une aura dorée, ses yeux illuminés de Jaune. Il saisit l'épée démoniaque par le manche, se releva en attrapant son épée Titan et se tourna vers Démonitus qui le regardait ébahit.

-C... comment ? Tu ne peux pas manier une buveuse d'âme ! Pourquoi ton âme ne se fait pas aspirer ?

-JE SUIS JHORNE LE CHAMPION DE LUMEN ! ET MA VOLONTÉ EST INÉBRANLABLE !

C'est comme si son aura explosait dans tout Alserac, les soldats et les civils qui étaient apeuré reprirent courage et les derniers ennemies furent abattue, plus aucun doute, ni peur. Son crie résonna dans toute la ville forteresse, remontant jusqu'au super-fort, frappant les derniers Mijakiens et les membres de la Scoia’tael d'une vague d'effrois. L'heure n'était plus au combat, mais à la fuite. Fuir, partir loin d'ici et ne plus jamais recroiser Jhorne dans cette vie ou dans une autre. La débandade pure et simple. La Scoia’tael s'échappa par des portails qui se rouvrir, mais les Mijakiens furent exterminé et les elfes noir assujettis à Démonitus furent maîtrisé par Eros et des chevaliers.

Jhorne remonta vers Démonitus, se dernier tétanisé par la peur, ne parvenant pas à agir. Lui ! Un démon ! Peur ? C'était inconcevable ! Le hurlement bestiale de Jhorne lui rappela vaguement un ours, alors qu'il lui fonçait dessus. Il finit par prendre son envole, s'arrachant de son blocage, mais sa propre lame, la buveuse d'âme, trancha une aile et il tomba. Jhorne venait de la lancer. Demonitus s'encastra dans une maison et alors qu'il tentait de se relever, une poigne de titan, saisit une de ses cornes, alors qu'un genoux s’écrasa dans son dos.

-Pitié !

Et ce furent là, le dernier mot de Démonitus, l'ancien commandant de Mijak, la Terreur de Alserac, avant que Jhorne ne le décapite. Et il leva la tête de son ennemie bien haut, et hurla.
-
ALSERAC A VAINCU ! GLOIRE A LUMEN ! GLOIRE A LA REINE !


Son aura disparue soudainement, une immense fatigue s'empara de lui, il vacilla et s'effondra, sourire au lèvre. La mort de Démonitus, brisa tout ses maléfices. Les Elfes noirs, libéré de leur servitude, partirent en poussière, soulager et le sceau démoniaque implanté sur la princesse Nizira disparue, lui redonnant accès à ses pouvoirs. Alserac était sauvé. Ravagé, mais sauvé.
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Dans les jours qui suivirent, Alserac fut renforcé, Eros fut intronisé comme nouveau commandant de Alserac et Maxime fut enterré avec les honneurs. Jhorne resta inconscient plusieurs jours, avant de revenir à lui. La visite de la Reine de la ligne de défense fut écourté par Olnard, le Générale des Armées de Lumen, le temps d'une inspection des territoires pour chasser toute trace de potentielle menace et quand Jhorne fut disponible, il le réquisitionna pour porter assistance à un avant fort attaqué par une bande de Orc en maraude et ensuite dans la traque d'une bête dans les terres de Lumen, ayant causé de nombreux jours.

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