En formant son équipe qui représenterait le SFC, Poison avait miser sur trois point ! Le talent de combattante, c'était un sport de combat après tout. La beauté, pour le plaisir des yeux. Et enfin, l'endurance ! Sexuelle ou non, l'endurance se collait autant au sport qu'au sexe, si ça n'allait pas, il fallait un peu plus pratiquer pour ajuster cela. Alors oui, son équipe était redoutable sous bien des points. Mais Ysis se décida à se calmer un peu, laissant la belle souffler un peu et pourquoi pas aller récupérer sa récompense ? Il ne faudrait pas qu'elle quitter cet endroit sans son argent, ne sait-on jamais, déboussoler après tant d'émotions. Elles la laissèrent se préparer, repérant évidemment que la coquine avait usé d'un plug anale avant de s'habiller de nouveau. Le sexe était fort présent ici, mais ça restait un lieu public alors dans les couloirs, elles devaient être présentables ! Les mœurs sont plus légères à Uatis, mais ne sait-on jamais qui elles pourraient croiser dans le couloir. Escortant la belle jusqu'au bureau de Poison, elles frappèrent à la porte, laissant ensuite Espéranza entrée. Le bureau était classique, rien d'extravagant, c'était si classique que ça en était presque décevant. Mais hey, elle bossait ici comme managers, pas pour tourner un nouveau film de cul ! Même si l'un n'empêchait pas l'autre. Derrière elle, une vitre donnant vue sur le ring ou un nouveau match se jouait, un des derniers de la soirée, autant dire que ça faisait un moment que la belle était ici !
Elle était assise sur un fauteuil confortable, observant les chiffres de la soirée sur son ordinateur, les avis du public sur les réseaux sociaux, chatant aussi quelque peu avec sa mère. Poison avait eut l'idée mais ensemble, elles avaient cimenté le tout. Voyant la belle cow-girl arrivée, elle souriait, sachant très bien ce qui s'était passé dans les coulisses.
« Haaaaa... Lady Rawhilde... Heureuse de pouvoir te rencontrer. Vaincre Mika, ce n'est pas le genre de chose qui est donné à tout le monde alors, félicitation, ma belle ! »
Poison était sincère, elle ne se moquait pas. Elle prit une mallette au sol, la posant sur le bureau en l'ouvrant, il y avait bien la récompense promise dedans. Les participants avaient le choix, liquide, virement, c'était à elle de voir si elle préférait un virement, mais vu l'endroit où elle habite, les comptes n'étaient pas si « courant » que ça, non ?
« Tu peux recompter si tu veux et partir, ma jolie, mais avant ça, j'aurais autre chose à te proposer, et c'est tout simple. Tu peux gagner presque autant avec une simple signature. »
Elle sortit une feuille qu'elle tendait vers elle avec un stylo. Libre à elle de lire le contrat, mais elle allait rapidement lui expliquer ce que c'était que ça ? Gagner plus d'argent, ça pourrait être bénéfique pour elle donc, autant tendre l'oreille.
« C'est ton accord qui m'autorise à diffuser tout ce qui s'est passé en coulisse, que ce soit dans votre loge à toutes les deux ou vos performances dans la salle de gym. Bien sûr, tu peux cocher la case pour flouter ton visage si ça peux te donner meilleure conscience, mais... ce serait dommage. »
Le sourire en coin, Poison avait tout prévue. Bien entendu qu'une vidéo sortirait à la vente ou en diffusion sur le net sur leur site officiel, ce qui se passait sur le ring était diffusé à la télé, mais ce qui se passait en coulisse était plus privée. Que ce soit avant ou après les combats, de simples anecdotes des filles ou des choses plus sérieuses comme ce qu'elles ont pu faire toutes les trois.
« Donc si tu veux plus d'argent, il me faut juste ton autorisation, mais pas seulement... le contrat sera valide seulement quand tu m'auras fait jouir. »
Elle recula son fauteuil à roulette, dévoilant le fait qu'elle ne portait rien sous la ceinture et que sa trique était prête à se décharger aussi. Elle lui laissait feu vert pour ça, masturbation, fellation, rodéo sur ses cuisses, du moment qu'elle avait un orgasme, ça allait ! Il fallait bien qu'elle prenne sa part du gâteau, surtout que sa mère la surveillait actuellement via la caméra du pc, elle aussi avait le droit de savoir ce qui se passait en priver.