À la déception de la jeune Princesse, Ishtar remit un préservatif. Elle n’allait pas avoir le plaisir de la sentir juter en elle. Sans doute aurait-elle pu s’en émouvoir, mais elle était là pour se faire baiser, et pour obéir. Ishtar était comme possédée, et Alice savait que, dans cet état, la Dragonne ne se retenait plus. Ishtar ne cherchait même plus à parler, si ce n’est pour l’insulter. Elle lui indiqua néanmoins qu’elle souhaitait qu’Alice ne perde pas connaissance trop tôt. Celle-ci déglutit, et parvint à sourire, les joues rougies par l’effort :
«
Je… Je pourrais bien vous surprendre, Maîtresse… » haleta-t-elle.
Ishtar allait pouvoir constater qu’Alice était aussi endurante que cette robe en Lapoxynyle. Ishtar continua à la prendre, et opta pour toute une série de positions, pendant ce qui dura plusieurs heures. Alice gémissait régulièrement, criait souvent, et ne répétait presque qu’un seul mot au cours de ces longues heures : «
Maîtresse ». Ishtar solda sa
position de l’enclume, ou
mating press endiablé, par un premier orgasme. Elle jouit dans la chatte d’Alice, et retira un préservatif rose bien rempli, formant comme un petit ballon, qu’elle accrocha à la ceinture d’Alice, avant de noter sur ses fesses un trait au feutre noir. Son premier orgasme, le premier d’une longue série. Couchée sur le dos, Alice sentit alors la main d’Ishtar serrer ses cheveux, la tirant en arrière. Elle la traitait comme un objet, un vulgaire
fucktoy qu’Ishtar pouvait prendre à loisir. Cela convenait parfaitement à Alice, c’était pour ça qu’elle était revenue ici, et pour ça qu’elle avait envie de goûter à nouveau au corps massif de la dragonne.
La Dragonne la souleva du sol, et opta pour un
full nelson. Alice soupira, et cracha même sa salive, quand elle sentit les mains d’Ishtar soulever ses jambes, jusqu’à ce qu’Ishtar coince ses puissantes mains contre sa nuque, maintenant les jambes d’Alice soulevées. Sa verge s’enfonça cette fois dans son cul, et la queue caudale d’Ishtar plongea dans sa chatte trempée, provoquant une série de bruits spongieux, de claquements et d’halètements de la part de la jeune Princesse.
«
Haaa… Haaaaa… »
La queue caudale de la Dragonne lui donnait l’impression de vibrer chaudement dans sa chatte. Alice se faisait prendre avec force. Elles étaient dans un carré de latex, un solide lit rembourré. Devant elle, un miroir lui permettait de voir son visage. Langue pendante, yeux en larmes, joues rougies, ses cheveux dans le vent… Elle sentit la langue d’Ishtar glisser sur son cou, une belle langue draconique qui remonta jusqu’à son oreille. Ishtar la mordilla ensuite, lui susurrant qu’elle était sienne, qu’elle était désormais sa petite salope à elle, qu’elle avait beau être mariée, que cela ne changerait rien à leur relation, qui supplanterait tout le reste. Alice eut l’intime conviction d’avoir un orgasme pendant cette séance, ou plusieurs. Ishtar mordilla également sa nuque, faisant couler un peu de son sang. En tout cas, Ishtar la baisa comme ça pendant vingt minutes, bandant ses muscles, griffant la nuque d’Alice, avant de jouir à nouveau. Sa verge massive se relâcha dans ses fesses, et elle eut droit à un deuxième ballon accrochée à sa robe.
Ishtar relâcha Alice après le
full nelson. La jeune femme tomba sur le lit, et, en se retournant, elle vit la queue caudale d’Ishtar remonter jusqu’aux lèvres de la Dragonne, qui avala avec appétit sa mouille. La verge d’Ishtar était recouverte de foutre, et la queue caudale de la Dragonne s’enroula autour du cou d’Alice, puis elle lui ordonna de la sucer. Sans protester, Alice s’exécuta, avalant son foutre. Ishtar serra sa main sur ses cheveux, et elle appuya fort, donnant ensuite des coups de reins, jusqu’à finalement lui baiser la figure. Alice soupira en sentant cette verge s’enfoncer dans sa bouche, jusqu’à la gorge. Ishtar maintenait de longues gorges profondes tout en étranglant Alice, l’amenant à manquer fortement d’air. Alice déglutissait sur place, et sentit Ishtar jouir une troisième fois en elle, inondant sa bouche. Perverse, la Dragonne marqua ensuite son territoire, et profita du léger dégonflement de sa verge pour uriner dans sa bouche. Faute de goûter à son sperme, elle eut droit au liquide doré d’Ishtar, qui gloussa et se moqua encore de la perversité de la Princesse.
À ce stade, si quelqu’un avait ouvert le baldaquin, cette personne aurait été saisie par l’odeur de sueur qui se dégageait de ce cocon.
Ishtar était toutefois loin d’en avoir fini. Elle coucha Alice sur le lit, et attrapa l’une de ses jambes, optant pour une position intense. Un pied en appui devant elle avec le genou plié, l’autre se plia sur l’arrière, et Alice se retrouva suspendue, jambes écartées, sentant l’épaisse verge d’Ishtar revenir en elle. Elle la prit en marteau pilon, faisant trembler le lit, qui grinça furieusement. Alice s’appuyait sur le lit, et elle sentit la queue caudale de la Dragonne s’enfoncer cette fois dans sa bouche, la forçant à la sucer. C’était un gros membre, qui étira ses lèvres, l’amenant parfois à avoir des larmes. Ishtar la prit ainsi pendant une quinzaine de minutes, avant de jouir pour la quatrième fois.
«
Maî-Maîtresse… »
Ishtar constata avec surprise que la jeune femme était encore éveillée. Sous sa robe, le cadeau de Lust brillait, un joli
inmon en forme de cœur rose.
La Dragonne la retourna à quatre pattes, et la prit en levrette, s’enfonçant à nouveau dans ses fesses. Elle lui mit avant une laisse à son collier, et s’en servit pour tirer, étranglant à chaque fois Alice. Sa queue caudale retourna ensuite dans la chatte d’Alice, s’y enfonçant avec force, tapant dans le col de l’utérus. Alice soupira encore, et Ishtar lui ordonna d’aboyer, d’être sa bonne chienne.
«
WOUF ! WOUUUFF !! »
Ishtar la prenait avec force, faisant preuve d’une domination rare. Alice cracha encore sa salive, la main libre d’Ishtar lui frappant violemment le cul.0 Elle la giflait avec force, faisant hurler à chaque fois Alice. Le lit grinçait encore sous elle, et Ishtar la prit comme ça. Alice pensa avoir contracté trois orgasmes quand elle sentit Ishtar jouir encore. La Dragonne lui accrocha un cinquième ballon de sperme, et s’accorda une brève pause, en urinant à nouveau, cette fois dans le cul d’Alice. Elle la dégradait, l’humiliait, et Alice vivait ce qu’on pouvait appeler un rêve éveillé.
Elle sentit ensuite la main de la Dragonne lui attraper le cou, et elle la souleva, la plaquant contre le mur. Debout sur le lit, Ishtar alla la baiser contre le mur. Ce fut une sixième fois relativement silencieuse, car les deux femmes s’embrassèrent longuement. Alice serrait les cheveux trempés d’Ishtar, et entoura de ses jambes son bassin. Le corps massif d’Ishtar l’écrasa avec force, et elle sentit la dragonne la prendre, enfonçant sa langue dans sa bouche, la dominant totalement. La robe en Lapoxynyle tenait bon, crissant à chaque fois. Ishtar contracta son sixième orgasme, et mordilla la lèvre inférieure d’Alice lors de l’orgasme. Leur baiser avait duré toute la durée de la pénétration, soit une bonne quinzaine de minutes, et, quand Ishtar le rompit, elle lui demanda si son mari l’avait déjà embrassé ainsi en la baisant.
Au bout de six orgasmes, Alice aurait normalement dû s’effondrer. Ishtar, d’ailleurs, s’y attendait, et, quand elle relâcha Alice, elle sortit un cigare. Cependant, Alice se releva encore, après quelques instants. Son visage était à moitié recouvert par ses cheveux, alors elle remit ses cheveux en arrière, et, tout en haletant, prononça un seul mot :
«
Encore, Maîtresse… »
Ishtar ayant allumé sa longue cigarette, elle se coucha sur le lit, et ordonna à Alice de venir lui mettre son préservatif, puis de danser sur elle. Alice attrapa donc le préservatif rose d’Ishtar, et le posa délicatement sur sa solide verge érectile, déglutissant encore, s’imaginant plus que jamais porter le bébé d’Ishtar… Mas elle obtempéra, et s’empala sur sa verge, soupirant doucement dans cette
position du chevauchement. Ishtar la laissa faire, fumant lentement, soufflant son tabac sur le visage d’Alice, qui soupira, inhalant cette fumée aphrodisiaque. Elle n’en avait pas spécialement besoin. Si Ishtar regardait son ventre, elle pourrait peut-être voir, à travers la robe, briller en surbrillance son
inmon. En tout cas, Alice soupirait, dansant sur la verge d’Ishtar, et se retourna ensuite, lui présentant ses fesses. Impossible pour Ishtar d’y glisser sa queue caudale, mais elle attrapa un solide
plug anal, et le fourra dans son cul dilaté. Elle tira sur sa laisse quand Alice lui tourna le dos, pour l’étrangler encore. Alice couina en sentant le
plug en elle, et continua à danser, jusqu’à déclencher chez Ishtar un septième orgasme. Celle-ci prit soin de terminer sa cigarette bien avant, et posa ses mains sur le corps d’Alice, caressant sa robe. Elle jouit donc en elle pour la septième fois.
Sur la fesse gauche d’Alice, il y avait quatre traits avec une cinquième barre, et désormais deux traits sur la fesse droite.
Ishtar se redressa ensuite, restant assise, et laissa Alice se lover contre elle. Le
plug anal resta en elle pour une position plus intime, où Alice devait toutefois s’activer. Assises l’une contre l’autre, elles étaient en
union du lotus. Ishtar retourna l’embrasser, caressant ses cheveux. Son autre main caressait ses fesses meurtries. La chatte d’Alice produisait encore de magnifiques bruits spongieux, et elles s’embrassèrent longuement. Alice frissonnait en sentant les doigts griffus d’Ishtar glisser sur son dos.
«
Maîtresse, je vous aime… » glissa Alice après cette séance, où elle sentit Ishtar jouir pour la huitième fois.
Ishtar retourna l’embrasser, et la coucha sur le côté. Elles se retrouvèrent toutes les deux sur le flanc, jambes enlacées, Ishtar continuant à s’enfoncer dans sa chatte. Elle la prit sur le côté, leurs regards se croisant, et elle jouit dans le corps de la Princesse pour la neuvième fois.
Ensuite, après avoir uriné dans sa bouche et dans ses fesses, Ishtar coucha Alice sur le dos, et urina dans sa chatte, soupirant doucement en se vidant en elle. Alice, quant à elle, contracta un orgasme en sentant ce jet doré en elle. L’odeur d’Ishtar était partout sur elle. Surprise, Ishtar vit qu’Alice était toujours lucide. Elle l’invita à se retourner. Ishtar lui retira alors son
plug anal, puis la souleva. Alice se retrouva presque à faire le poirier, et sentit la verge de sa Maîtresse revenir en elle, ainsi que sa queue caudale. S’appuyant sur ses avant-bras, Alice subissait avec plaisir la
position de la brouette, une autre position intense, qui appuyait sur ses reins et sur tout le reste de son corps. Ishtar grognait en griffant sa robe, le corps d’Alice glissant d’avant en arrière. Elle se fit ainsi prendre, et sentit Ishtar jouir dans son corps. Son dixième orgasme.
«
Hnnn… »
Ishtar soupirait également lourdement. Alice ne pouvait qu’être impressionnée. Sans le sang de Lust, et sans l’entraînement sexuel que sa divine mère lui avait fait subir, elle n’aurait jamais pu tenir aussi longtemps. Mais Ishtar, elle, n’avait a priori pas reçu cet enseignement. Son endurance était surnaturelle !
*
Peut-être devrais-je un jour la présenter à Mère…*
Ishtar retourna Alice en attrapant ses jambes. Elle la coucha sur le dos, et Ishtar se retrouva au rebord du lit. Elle s’y agenouilla, et prit Alice ainsi, s’enfonçant dans sa chatte, maintenant sa queue caudale dans son cul. Une
position du bateau ivre qui fut le prélude à un missionnaire, non sans un onzième orgasme dans cette position. Ishtar n’avait alors plus de place sur les fesses d’Alice, et traça une deuxième barre verticale sur les cinq séries de barres. Pendant cette série, Ishtar récupéra son fouet, et fouetta le corps d’Alice, estimant qu’elle ne hurlait pas assez.
Ishtar se coucha donc sur elle, et la prit en missionnaire. Le lit grinçait encore, et Alice soupirait doucement, caressant le visage de la Dragonne. Elle la prit comme ça longuement, très longuement, emplissant la vue d’Alice de la Dragonne. Elle l’embrassa, et l’étrangla encore, serrant sa main sur son cou, son autre main malaxant ses seins. La robe en Lapoxynyle avait tenu, elle était même intacte, bien que légèrement froissée. Aucune déchirure ! Alice était admirative, tout en sentant la verge d’Ishtar en elle. Elle se relâcha en elle au bout de quarante-cinq minutes à la prendre comme ça, alternant entre des coups de butoir rapides et frénétiques, ou longs et passionnés, qu’elle accompagnait de longs baisers. Malicieuse, Ishtar maintenait parfois juste sa verge enfoncée jusqu’à la garde dans le corps d’Alice, jusqu’à ce que celle-ci gesticule et couine sur place.
La Dragonne jouit donc une douzième fois. Elle accrocha le dernier ballon, et lui parla. Alice ne répondit pas, respirant lourdement, et sentit Ishtar examina ses fesses. Elle sortit ensuite, et Alice entendit le sifflement d’un robinet. Ishtar prenait un bain. Alice savait que le Lapoxynyle résistait à l’eau. Elle soupira encore. Ishtar lui avait parlé de son mari, et elle caressa son ventre.
*
Melendil…*
Elle l’aimait, bien sûr. Ce qu’elle ressentait pour Ishtar et ce qu’elle attendait d’elle était différent. C’était comme un sentiment de complétion. Alice était la fille d’Aphrodite, et elle avait sans doute hérité de ce trait de la personnalité d’Aphrodite, qui avait des désirs plus grands qu’une simple mortelle. Alice y songea en se relevant. La mythologie relatait à Aphrodite au moins sept amants, et au moins autant d’enfants. Alice caressait encore son ventre en rejoignant la salle de bains. C’était une belle pièce avec une grande baignoire. Ishtar avait jeté son body sur le sol, ne conservant que ses gants et ses collants. Couchée dans la baignoire, elle s’étalait là, puissante, impressionnante, somptueuse.
Alice croisa son regard, et s’avança. Sa démarche était un peu maladroite après toutes ces heures à se faire baiser, mais elle arriva sur le rebord de la baignoire. Elle posa ses deux mains dessus, et croisa le regard d’Ishtar, tout en se pinçant les lèvres.
«
Moi aussi, j’ai besoin d’un bain, Maîtresse… Souhaitez-vous que je garde ma robe ou pas ? Et, surtout… »
Elle déplaça alors sa main, et caressa la verge d’Ishtar à travers l’eau du bain.
«
J’en ai acquis l’intime conviction pendant que vous me baisiez ces dernières heures, Maîtresse… Je veux porter votre enfant. »