Tout ça pour dire que, de base, l’appartement puait la sueur et le renfermé. Alors, vu la manière dont ils baisaient comme des bêtes, l’odeur continuait à empester les lieux. Yocchi, si calme d’habitude, se déchaînait, réalisant à quel point, lui aussi, était sexuellement frustré, et à quel point il avait négligé les pulsions de son corps. Et là, en ce moment, que c’était bon, putain !
« Hnnn… Pu-Putain, t’es… T’es si étroite, bordel ! »
Yocchi grogna encore, de la bave commençant à couler de ses lèvres. La combinaison de la fille continuait à crisser, surtout quand son corps énorme se pressait contre elle, et il commençait à littéralement raffoler de cette tenue brillante, qui moulait si bien son corps, la magnifiant, et qui crissait tellement bien. L’homme continuait à la prendre, grognant encore, et la sentit finalement jouir contre lui. Yocchi s’abandonna à son tour en elle, jouissant généreusement dans son corps, venant remplir son ventre.
Respirant lourdement, l’homme maintint ensuite la femme contre son corps, une main sur ses cheveux trempés, l’autre sur ses fesses, et la maintenait contre lui. Il était en sueur, elle aussi, et, rapidement, elle lui demanda de reprendre, ce qui le fit sourire.
« En-Encore, h-hein ? Très bien… Mais… Je dois admettre que tu es encore plus salope que ce que je pensais… »
Yocchi la relâcha alors en la posant sur son bureau, à côté de son clavier, et caressa ses joues, avant de l’embrasser.
« J’y ai pensé, tu sais… »
Il se retourna, et marcha vers un placard, puis en sortit une boîte comprenant des gélules roses.
« Ce sont des pilules très spéciales, qu’on ne trouve qu’à Seikusu. Toi, tu peux tenir pendant des heures, ma super-salope, mais moi, ma queue a ses limites… Pour le moment. »
Yocchi observa la pilule, qu’il tenait silencieusement entre ses doigts, puis l’avala alors. Un frisson vint à traverser son corps, et il serra ses poings. Sa queue, molle, se redressa alors, durcit, et grossit encore, devenant longue, bien grosse et bien tendue. Yocchi grogna encore, puis se rapprocha d’elle, le pas lourd.
« Mets-toi… Contre le rideau… Vite, sale chienne ! »
Le rideau recouvrait la fenêtre, et, dès que la jeune fille se rapprocha, l’homme fonça contre elle, et la prit en levrette, avant d’écarter d’une main le rideau, et de plaquer le visage de la femme contre la fenêtre, tout en lui bourrant sèchement le corps. Sora devrait sûrement reconnaître cette rue, car elle était l’une des grandes rues qui venaient depuis le lycée.
« Les… Tes camarades de classe vont bientôt revenir, rentrer chez elles pour travailler, hmmm… Et, pendant qu’elles feront leurs devoirs, discuteront entre elles, toi, ma grosse salope, tu te feras baiser, encore et encore… Comme la sale pute que tu es ! »
Yocchi la fessa alors, fortement, et continua à la baiser, furieusement, soulevant et abaissant son corps.
« Et ce n’est qu’un début, hmmm… !! »
Oh oui, Sora ne retrouverait plus jamais son ancienne vie. C’était, somme toute, aussi simple que ça !