The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Yocchi Hakaba était assez excité aujourd'hui. Petit génie en informatique, il était ce qu'on appelait au Japon un hikikomori. Il sortait très rarement de la maison familiale, une petite maison en banlieue de Yoake. Yocchi était un jeune adulte, et il n'avait plus à supporter sa mère, qu'il avait fait interner dans une maison médicalisée il y a plusieurs mois. Yocchi disposait désormais du contrôle intégral de la maison, et utilisait à profit ses compétences informatiques. Il s'était enrichi comme ça, multipliant les arnaques, les fraudes, les piratages informatiques... C'était un véritable surdoué dans ce domaine. Là où certains streamaient sur Twitch pendant des heures, il lui arrivait de coder et de programmer ses malwares et autres logiciels de piratage pendant plusieurs jours d'affilée.

Mais Yocchi avait aussi des besoins plus naturels. Il avait déjà couché avec des prostituées, mais souhaitait maintenant avoir une copine... Ce qui avait, dans son esprit, une définition bien différente de ce qu'on pouvait imaginer. Pour cela, il avait créé un compte sur un site de minpaku, un site permettant de louer son hébergement à des fins saisonnières ou touristiques... Un Airbnb, pour simplifier. Et il avait attendu que la bonne cible frappe à sa porte.

Son choix s'était porté sur une magnifique Française, Marie Duchaux. En quelques clics, il avait pu obtenir sur les réseaux sociaux tout ce dont il avait besoin d'elle. Fan du Japon depuis sa plus tendre enfance, elle avait envie de passer ses vacances d'été au Japon, où elle devait rejoindre un groupe d'amies. Étudiante à l'université, elle avait économisé pour s'offrir ce voyage, et était très impatiente à l'idée de venir. Un profil idéal pour Yocchi, qui couvrirait naturellement toutes ses traces. Marie comptait partir en avance, et rejoindrait ensuite ses amies à Tokyo. Cela lui laissait un peu de temps pour faire d'elle sa petite-amie. Il prenait cela très au sérieux, et avait tout préparé.

Yocchi avait accepté la réservation, et avait conversé avec elle via les réseaux sociaux. Il s'était créé un profil spécialement pour elle, celui d'un otaku, typique de ce que les Occidentaux imaginaient. Ouvert sur l'étranger, il avait vite compris que Marie était une spécialiste du Japon. Elle parlait très bien cette langue, et envisageait de devenir traductrice de mangas, ou ce genre de choses. Il lui avait conseillé quelques lectures, et avait continué à fouiller. En utilisant les adresses IP et un malware qu'il avait glissé dans l'un des mangas qu'il lui avait envoyé, il avait découvert qu'elle s'était exercée à la traduction japonaise en traduisant sur Internet des mangas souvent érotiques, les plus demandés... Des scantrads à la qualité très agréable, où on parlait de tentacules, de viol, de sexe forcé. Tout un programme bien sympathique, et bien éloigné d'une jeune femme qui se disait Chrétienne, et dont les parents continuaient à aller à la messe chaque Dimanche.

*Oui, elle sera parfaite...*

Au fur et à mesure que leur rencontre se rapprochait, Yocchi était pris d'une singulière excitation. Il avait indiqué à la jeune femme qu'il viendrait la chercher, voulant éviter des témoins gênants, et se tenait à l'aéroport, un bouquet de fleurs à la main. Il les avait ramassés dans le jardin familial. Des sakuras, le symbole de la beauté, de la douceur, de la gentillesse, de l'amour... Bref, ces trucs gnangnans que les filles adoraient.

Il attendait donc, tandis que les voyageurs arrivaient. Pour le coup, Yocchi avait pris une douche, chose qui ne lui était pas arrivée depuis plus d'une semaine, ainsi qu'une chemise propre et un pantalon, mais on pouvait constater qu'il s'éloignait des regroupements de personnes, ce qui témoignait de son agoraphobie. Alors, pour se détendre, il s'imaginait déjà sodomiser la belle Marie, en faire sa copine... Sa salope personnelle !

[Chloé Faure]

Si Marie était parvenue à s'endormir pendant une partie du long trajet en avion qu'elle avait à faire depuis la France pour rejoindre le Japon, afin de réduire quelque peu les effets du décalage horaire, la dernière heure avant l’atterrissage avait été un embrasement d'émotions pour elle, qui visitait enfin le Japon ! Passionnée par ce pays et sa culture, la jeune femme venait tout juste de terminer la première année de sa licence de langues dans l'optique de pouvoir travailler, plus tard, comme traductrice, hobby auquel elle s'adonnait déjà sur son temps libre, en traduisant des mangas. Ces vacances, c'était un peu une consécration pour elle, elle s'en était payée une partie de sa propre poche en ayant économisée sur son propre argent, et ses parents avaient consenti à payer le reste, voulant volontiers que leur bien aimée fille aille explorer d'autres horizons. Mais avant d'aller à Tokyo pour rejoindre son groupe d'amies qui devaient n'arriver que dans deux semaines, Marie faisait un détour par Yokaïe, une "petite" ville japonaise en bordure de la capitale, où elle allait crécher pendant ces deux semaines chez un habitant du coin, un jeune homme avec qui elle avait discutée sur le net lorsqu'elle s'était intéressée aux possibilités de location à bas prix. Le concept était assez simple, en échange d'un logement à prix défiant toute concurrence, la personne acceuillie aidait dans les tâches de maison et tenait compagnie à l'hôte dans le cadre d'une change culturel, qui était tout le principe de ce site, et qui était une aubaine pour Marie qui voulait ne voulait pas seulement faire la touriste, mais aussi s'imprégner du pays lui même.
A la sortie de l'avion, elle avait donc rendez-vous avec un certain Yocchi, un jeune homme qui s'était volontiers défini à elle comme un Otaku, mais très enjaillé à l'idée de rencontrer une française...sans que Marie ne se doute des véritables intention du jeune homme. Un peu naïve, Marie avait quand même longuement discuté avec lui et n'avait pas trouvée de signe vraiment alarmant, et puis elle se disait que de toutes façons si quoi que ce soit devait tourner "mal", quelqu'un enquêterait rapidement là dessus...mais ce n'était en réalité même pas une option qu'elle envisageait, pour elle, tout allait très bien se passer. Elle récupéra ses deux valises et son sac à dos à la descente de l'avion, puis, vêtue de sa belle petite tenue estivale se déplaça en direction du grand hall d'accueil.

Elle chercha pendant quelques temps Yocchi du regard, avant de le voir et de se diriger, toute souriante, vers lui. Ils s'étaient échangés leurs photos au préalable afin de pouvoir se reconnaître, via MMS sur leurs portables respectifs.

Yocchi ? Salut c'est Marie ! Enfin on se croise en vrai, je suis trop contente !

Et pour le faire savoir, Marie posa ses deux valises sur le sol, et s'approcha de Yocchi pour aller lui faire un bref câlin, pas trop long car elle savait que les Japonais avaient un peu de mal avec ça, mais elle comptait ainsi lui montrer qu'elle était contente d'être là avant de se retirer.

Un bon petit salut à la française pour notre première rencontre ! J'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre et...oh...des Sakuras c'est...c'est pour moi ? c'est trop gentil !

La jeune femme était tant enthousiaste qu'elle ne pouvait absolument pas se douter de qui se trouvait vraiment en face d'elle. En plus il était venu l'acceuillir avec un bouquet de fleurs, était habillé propre, et sentait bon car il avait pris une douche un peu plus tôt. Fort présentable, certes obèse typiquement comme un Otaku, mais Marie était du genre à ne pas juger sur l'apparence physique.

[Reine Alice Korvander]

Il s'était même parfumé légèrement. Tout devait être parfait ! Et, bien évidemment, il ne pouvait pas laisser deviner ses véritables intentions... À savoir qu'il avait très envie de faire de cette Française sa chienne personnelle. Sa copine, quoi ! Après tout, il commençait à être grand, et il était temps pour lui de se caser. Cette Française était parfaite. Elle était très belle avec ses longs cheveux bruns, et sortit du tarmac avec deux lourdes valises, et une tenue estivale. Il faisait après tout chaud en ce moment, l'été arrivait. On annonçait un bel été indien, c'était parfait pour un séjour de longue durée au Japon. Yocchi avait tout mémorisé en tête. Il allait devoir s'occuper d'elle, mais aussi de ses parents. Fort heureusement, l'adresse qu'il avait donné à Marie était fausse. Si la police enquêtait en se rendant à cette adresse, elle arriverait au beau milieu des champs, ironiquement seulement à quelques kilomètres de la vraie maison... Mais, le temps que la police remonte la source de l'annonce, elle penserait que Marie avait été vendue à un autre pays comme esclave sexuelle pour le compte d'un trafic sexuel. Il y aurait une enquête, oui, mais Yocchi allait juste attendre que ça se tasse. Du moins, ça, c'était dans le pire des scénarios, celui où Marie refusait de s'offrir volontairement à lui.

Une érection incontrôlée recommença à le saisir, et il remua nerveusement sur place. Dur de se retenir ! Elle était tellement bandante, cette salope ! De fait, il ne fallait pas s'attendre à un quelconque moment de gentillesse de la part de Yocchi. Il avait grandi avec une mère étouffante, une geignarde qui pleurait sur la mort de son père, un homme qui battait Yocchi et sa mère. Si, petit, il s'était mis à haïr son père, il avait inconsciemment reproduit ce schéma, cette emprise qu'il cherchait à exercer. Car, même quand Yocchi avait tué son père, sa mère avait toujours regretté sa mort, et avait vécu dans l'ombre de celui-ci. Un mort « accidentel », la première vraie tricherie de Yocchi. Son père avait des problèmes cardiaques, alors, un soir, il avait inversé les médicaments que ce dernier prenait. Une crise cardiaque avait achevé son père, et mis fin aux coups de ceinturon.

Chez Marie, Yocchi ne voyait qu'une proie, une beauté virginale qu'il allait se plaire à humilier, à assouvir... Alors, il lui sourit doucement, et hocha la tête, frissonnant doucement à son câlin.

« Je me disais qu'il n'y avait rien de mieux pour ton initiation que les sakuras. Je les ai récupérés dans mon jardin ! »

Il attrapa ensuite les deux valises de Marie, et invita celle-ci à passer devant. Quand elle passa devant lui, il frémit en voyant ses délicieuses fesses, devinant un petit cul bien rebondi là-dessous. Ils rejoignirent ensuite le parking de l'aéroport, où Yocchi avait garé sa Honda. Il ouvrit le coffre, et rangea les valises à l'intérieur, puis grimpa devant, et sortit de l'aéroport.

Maire avait mis un délicieux parfum, et avait des yeux émerveillés, regardant autour d'elle en sortant.

« Comme tu peux le voir, nos rues ressemblent beaucoup aux rues de la France. Tu as un programme particulier avant de rejoindre tes amies à la capitale ? »

Il la mettait en confiance, sans que son érection ne parvienne à dissimuler. Fort heureusement, la maison n'était pas très éloignée. C'était une petite maison de banlieue, entourée par un muret, avec un garage, et le jardin à l'intérieur. Un endroit isolé, calme, tranquille... Parfait pour eux ! Un couple, ça avait besoin d'intimité, après tout...

[Chloé Faure]

Il n'y avait pour Marie absolument aucune raison, ne serais-ce que de suspecter, ce que Yocchi avait vraiment en tête pour elle. Après tout elle était loin d'être la seule et certainement pas la dernière à aller crécher chez un local pour visiter du pays, et ce d'autant plus via un site aussi connu que celui qu'elle avait utilisée. De plus, Yocchi présentait très bien, propre, bien habillé, et avec de très bonnes manières, un peu l'image très occidentale que se faisait Marie des japonais. Il avait même ramené des sakuras de son propre jardin pour lui souhaiter la bienvenue, ce qui faisait donc pour Marie une superbe entrée en matière pour ses premières minutes au Japon.

C'est si gentil ! Ils sont magnifiques et sentent si bon, merci énormément !

Marie était sincèrement joyeuse, elle avait longuement rêvée de ce moment où elle irait enfin au Japon pour visiter ce pays, sa culture, son histoire et ses gens. Yocchi prit alors ses valises, prétextant qu'elle devait être non seulement fatiguée, mais aussi bien tenir le bouquet. Sans se rendre compte de quoi que ce soit, Marie passa donc devant lui en filant vers un escalator qui les mènerait plus en bas, puis vers le parking où Yocchi disait s'être garé. Marie portait une bien petite jupe, estivale et bien adaptée à la chaleur actuelle du climat, mais qui remontait bien à mi cuisses et mettait légèrement en valeur ses petites fesses rebondies. Marie savait qu'elle ne laissait généralement pas les garçons indifférents, mais elle avait eu droit à une éducation qui, loin d'être stricte, lui avait inculquée quelques valeurs comme celle de ne pas s'offrir à n'importe qui. Mais là, elle n'y faisait pas trop attention, elle était trop obnubilée par la nouveauté autour d'elle, surtout quand ils montèrent dans la voiture et que Yocchi commença à rouler. La jeune femme regardait tout autour d'elle, avide de ne rien louper, même si pour l'instant c'était un environnement urbain tout ce qu'il y avait de plus classque mais...au Japon !
Pendant ce temps, Yocchi commença à conduire, et lui demanda aussi si elle avait un programme particulier de prévu pour ces deux semaines à venir. Une question qui avait sans aucun doute un intérêt très stratégique pour Yocchi, de savoir si la jeune femme avait déjà prévue des rendez-vous ou pris des contacts, mais qui semblait tout à fait anodine pour Marie, qui pensait qu'il devait surtout s'intéresser à ses projets en venant ici.

Hum pour l'instant non Yocchi-san, rien de particulier de prévu. La partie plus dirigiste du voyage, ça sera quand je serais à Tokyo, mais ici je voulais me laisser une petite marge de manoeuvre. Surtout que j'ai un guide en ta personne, tu connais le coin mieux que moi donc, je voulais préférablement te solliciter pour quelques conseils mais...plus tard. Dans vraiment l'immédiat je crois que je vais me poser pour quelques heures, si ça ne te dérange pas ? On fera à manger ce soir tranquillement, car je sens qu'aujourd'hui je vais avoir besoin de repos. Le voyage était loooooooong, mais il en valait la peine, je vais juste devoir m'adapter au décalage horaire, mais rien de très grave.
Et puis pour ta part, des idées de ce qu'on pourrait faire durant ces deux semaines ? Oh j'arrive à peine à croire qu'on se rencontre enfin en vrai, malgré toute cette distance, c'est vraiment magique tu trouve pas ?

Nul besoin de le préciser, mais Marie était typiquement ce genre de fille populaire qui était très sociable, à ceci près qu'on pouvait lui enlever le côté méprisante envers les autres, vraiment une belle petite ange tombée tout droit du ciel...

[Reine Alice Korvander]

*Alors, Père, toi qui disais que je n'aurai jamais de copine...*

Il avait beau s'être débarrassé de lui il y a des années, son souvenir continuait à le hanter. Son père, qui se moquait de lui, qui le frappait quand il le voyait jouer, qui se moquait de lui quand il n'arrivait pas à réussir ses exercices de sport. Il ne cessait de lui dire qu'il serait puceau à vie, qu'il était insignifiant, trop moche pour plaire à quiconque, qu'il était normal que les filles se moquent de lui. Quand les autres humiliaient Yocchi, quand on le recouvrait de seaux de peinture, il approuvait. Et, lorsque son père était vraiment ivre, il lui était arrivé d'aller jusqu'à l'extrême, de déshabiller Yocchi, et de caresser son sexe avec sa main, en disant qu'il serait plus simple de trancher « sa petite trompe », reniant même l'idée qu'un tel déchet puisse être son fils...

Les doigts de Yocchi se crispèrent nerveusement sur le volant, puis il revint à lui quand Mari,e de sa douce voix innocente, expliqua qu'elle n'avait aucun projet spécifique, mais l'idée qu'il lui serve de guide. Il se tourna vers elle à un feu, et sourit alors doucement, tout en remettant ses lunettes sur sa tête. Avec la chaleur de dehors, il commençait à se sentir serré dans sa chemise.

« Ouais... Je suppose que le décalage horaire doit être assez usant. Je pourrais te montrer des coins sympas, ouais.  Enfin, on verra ça à la maison, Yoake est dans un coin assez paumé, ça te permettra de voir le Japon traditionnel avant ton road trip. »

Il lui sourit encore, observant ses longues jambes. Sa minijupe était plutôt courte, et il la laissa pianoter sur son téléphone. Elle avait sûrement pris un forfait international, et il nota discrètement, quand elle l'ouvrit, le mot de passe qu'elle utilisait. Son pouce glissa très vite sur les touches numériques, mais cela ne l'empêcha pas de voir les quatre chiffres, qu'il mémorisa ensuite.

Yocchi rejoignit ensuite la maison. C'était une petite maison de banlieue, et il se gara dans le garage.

« Je vais te préparer une tisane. Pour le repas, je me disais que, pour ta première soirée, tu préférerais peut-être un restaurant ? Enfin, de la nourriture japonaise typique, pas ce que tu as dû manger dans les restaurants français ! »

Il ne fallait pas non plus trop en faire, alors il rajouta ensuite :

« Et je t'avoue que je suis pas franchement le roi des cuisiniers ! »

Yocchi l'invita ensuite dans la maison, et lui indiqua où se trouvait la chambre, tout en préparant la tisane. Il y glissa bien sûr un très bon somnifère. Un escalier menait à la cave, mais elle n'avait aucune raison d'y descendre. La maison était globalement propre et bien rangée, car Yocchi passait l'essentiel de son temps dans la grande cave, qu'il avait aménagé spécialement pour elle et lui. Le somnifère était un peu superflu vu qu'elle était fatiguée, mais, vu ce que l'homme avait prévu pour elle, il était important qu'elle dorme à poings fermés plusieurs heures...

[Chloé Faure]

Marie était vraiment extatique, certes fatiguée, mais pour le moment comme tout se passait très bien, elle était heureuse que son projet qu'elle avait mit tant de temps à rêver se concrétise enfin par un si bon début. Yocchi ne sembla absolument pas dérangé à l'idée de lui servir un peu de guide dans le coin, affirmant même que comme Yoake était un coin un peu plus "paumé" que Tokyo, cela lui donnerait l'occasion de voir un peu de Japon traditionnel avant qu'elle n'aille dans la capitale, puis ailleurs.

J'adore les coins paumés, même si bon, je dois sans doute admettre que c'est mon côté touriste étrangère qui me fait dire ça au final, pour toi tout ça n'a rien d'exotique. En tout cas je suis contente de t'avoir comme guide Yocchi-san ! Ouh, excuse moi, je pense que mes parents veulent savoir si je suis bien arrivée...

Elle avait en effet entendue son portable vibrer dans son petit sac à main qu'elle se trimbalait tout le temps, et le sortit, pianotant ainsi rapidement le code pour débloquer l'appareil, et voir ainsi qu'elle avait reçue un sms de ses parents lui demandant des nouvelles. Elle avait pris un forfait à l'internationnal pour l'occasion, mais le sms demeurait clairement moins cher à l'utilisation que les appels, alors elle avait convenu avec ses parents qu'ils utiliseraient principalement ce moyen pour communiquer. Les yeux rivés sur le portable, elle pianota qu'elle était bien arrivée sans encombres et que tout se passait très bien, ce qui fit qu'elle ne nota pas le regard de Yocchi sur ses cuisses, un peu plus révélées par le fait que sa mini-jupe se relevait quand elle était en position assise, presque jusqu'au niveau de l'aine. Elle montrait ainsi sans s'en rendre compte la quasi totalité de ses belles jambes, proprement épilées, tandis qu'elle conversait via sms avec quelques personnes en leur disant que tout se passait bien.
Ils arrivèrent au final assez vite à la maison de Yocchi, et ce dernier rentra sa voiture dans son garage. C'était l'un des trucs qui l'avaient "séduite" sur cette annonce, le fait qu'elle allait se trouver dans une maison et non pas dans un appartement étroit, il y avait même un jardin, même si la totalité de la propriété était entourée d'un muret assez haut, qui faisait qu'on ne pouvait guère voir ce qui se passait dans la propriété même depuis l'extérieur...mais rien de quoi choquer ou mettre en méfiance Marie. Yocchi déclara alors juste avant de sortir, qu'il allait lui préparer une tisane, et proposait un restaurant pour le soir, tout en avouant ne pas être un as de la cuisine, ce qui ne manqua pas de faire sourire la jeune femme.

Et bien alors je sais ce que je vais t'apprendre pendant le temps que je suis là, je vais te coacher sur quelques recettes simples et très bonnes ! Mais ouais, je suis pas contre un restau ce soir, et c'est très gentil pour la tisane, ça va me faire du bien après ce vol. Je pense que je ferais une micro sieste juste après ta tisane, histoire d'être un minimum en forme pour le restaurant.

Il était vrai que la "tension" redescendait un peu, et que du coup Marie commençait à ressentir quelques effets de la fatigue, mais pas de quoi non plus tomber à terre. Une fois dans la maison même, Marie monta à l'étage pour déposer ses valises et le reste de ses affaires, dans une chambre assez petite, mais qui était bien plus que suffisante pour y passer de bonnes nuits. S'étant un minimum installée, la jeune femme était alors redescendue au rez-de-chaussé pour boire la tisane que Yocchi lui avait préparée, qu'elle bu en entier tout en lui faisant la conversation pendant quelques minutes, avant de se sentir soudainement vraiment fatiguée, au point d'en bailler.

Ouf...désolée Yocchi je...je crois que la fatigue me ratrappe, je vais aller faire cette sieste je pense, tu n'a qu'à venir me réveiller quand il sera l'heure d'aller au restaurant.

Elle monta alors les escalier, presque avec difficulté, et lorsqu'elle s'allongea sur le lit, elle s'endormit instantanément comme si une grosse masse lui était tombée dessus...
Elle serait incapable de se réveiller pendant une bonne poignée d'heures avec la dose de somnifère qu'elle venait d'ingurgiter sans le savoir, quoi qu'il puisse lui arriver. Le piège venait de se refermer sur elle.

[Reine Alice Korvander]

Marie ne tarda pas à sombrer dans un profond sommeil. Yocchi avait de plus en plus de mal à retenir son érection, et il glissa dans la tisane un lourd somnifère. Le résultat fut assez immédiat. Marie était après tout déjà fatiguée suite à ce long voyage en avion, alors elle ne pouvait pas tenir éternellement. Yocchi la vit grimper à l’étage, et elle s’effondra ensuite. Il se déplaça ensuite, et rejoignit la chambre de ses parents. Il y avait entreposé de nombreux vêtements très spéciaux, achetés sur Internet. Il trouva finalement celui qu’il allait lui mettre, mais se masturba enfin.

« Hmmm… »

Debout, il se déplaça lentement, et ouvrit un dossier regroupant toutes les photographies qu’il avait récupéré de Marie sur Internet. Il se masturba en le regardant, grognant, soufflant comme un bœuf, après s’être intégralement déshabillé. Peu à peu, sa main devenait moite, et il grogna donc, jusqu’à cracher sa semence. En grognant, il jouit sur le mur, et se laissa aller.

*Bon… En piste !*

Yocchi se déplaça, et, restant nu, grimpa à l’étage. Marie dormait à poings fermés, et il la photographie ensuite, avant de la déshabiller intégralement. Elle soupira faiblement, mais sans réagir. Une fois nue, il entreprit ensuite de l’épiler proprement, effaçant ses poils pubiens, guère surpris de voir qu’elle ne s’entretenait pas par ici. Ce n’était pas digne d’une jeune fille ! Il la prépara donc, puis la prit ensuite dans ses bras, et descendit ensuite dans la cave.

*
*  *

Quand Marie se réveilla, elle allait vite constater qu’elle était attachée. La tête devrait légèrement lui tourner. Elle était seule, car Yocchi était à l’étage, récupérant les plats qu’il avait commandés. Aucun contact avec le livreur, Yocchi commandait en indiquant un appartement à proximité, et allait débusquer le livreur dans la rue. On n’était tout simplement jamais trop prudents.

La bouche de Marie était entravée par un gag ball, mais, même si elle appelait à l’aide, personne ne viendrait la voir. La cave était grande, et avait été construite après la Seconde Guerre Mondiale, pour servir de bunker en cas d’attaque thermonucléaire. Les murs étaient donc très épais, et il n’y avait aucune ouverture vers l’extérieur. Tandis que ses yeux s’habitueraient à l’obscurité, elle pourrait discerner des néons qui éclairaient faiblement la pièce.

Plusieurs caméras montées sur des trépieds l’entouraient, ainsi que des caméras sur la cage en fer autour d’elle. Elle était attachée avec des sangles aux poignets et aux chevilles à un grand lit rouge très particulier, un lit à baldaquins en fer. Et, surtout, elle avait été déshabillée et rhabillée. Elle portait de longs collants blancs, des gants blancs, et une ravissante tenue de maid avec un nœud papillon et un petit bandeau sur les cheveux.

Sur sa gauche, une machine infernale bourdonnait furieusement. Plusieurs ordinateurs et écrans étaient reliés autour d’une table avec plusieurs claviers lumineux. En regardant bien, Marie pourrait voir, sur l’écran central, plusieurs images en temps direct émanant des caméras, la filmant sous tous les angles. Petit à petit, l’horreur de la situation allait devoir s’imposer à elle. La porte de la cave s’ouvrit alors, et Yocchi fit irruption.

« Chérie ? Je suis rentré ! »

Il referma la porte. Yocchi se rapprocha, et s’était déshabillé avant d’arriver. Il exhibait sans crainte son corps massif, et posa le sachet abritant les plateaux-repas sur une table basse à côté du lit, et l’observa ensuite en souriant, voyant la peur dans son regard.

« Cela faisait tellement longtemps que je t’attendais, Marie… Nous sommes liés, toi et moi. C’était ta destinée de venir ici, ta destinée de me rencontrer, Marie… »

Tout en parlant, d’une voix douce et posée, il caressa ses cheveux, puis l’embrassa sur le front.

« Je veux que tu sois ma petite-copine, Marie… Je t’ai ramené à manger, tu vois comme je tiens à toi, mon amour ? »

Il lui défit ensuite son gag ball…

[Chloé Faure]

Marie dormit d'un sommeil de plomb durant tout le temps que le somnifère fit effet, soit une bonne poignée d'heures, ce qui laissa pleinement le temps à Yocchi de la...préparer. Quand elle commença enfin à quelque peu émerger, Marie mit encore tout de même un certain temps à vraiment reprendre ses esprits. Yocchi n'y avait pas été de main morte avec ce somnifère, tellement qu'elle ne s'était pas réveillée quand il l'avait déshabillée, épilée au niveau de l'entrejambe, puis rhabillée à son goût avant de l'attacher dans sa cave. Marie avait du mal à ouvrir ses paupières qui lui semblaient si lourde, et sa tête lui faisait l'effet d'une enclume...mais malgré tout, elle finit par se rendre compte que quelque chose n'allait pas.

Hmmmmf...

Elle poussa un petit gémissement étouffé par la gagball qu'elle avait dans la bouche, qui était la première sensation qu'elle ressentit et qui lui donna envie de remuer ses bras pour la retirer, sauf qu'alors elle se rendit compte qu'elle était attachée et là...là elle commença à sérieusement se réveiller, car la peur commencça elle à venir.

*Que...quoi ?!?!*

Marie fini par ouvrir les yeux pour constater qu'elle était dans une autre pièce que celle où elle s'était endormie, attachée aux jambes comme aux poignets à un lit très étrange, de sorte que son corps en position allongée faisait une sorte de X. Elle tenta bien évidemment de se débattra alors, mais les liens qui la retenaient étaient solides, et le lit en métal bien trop lourd pour bouger sous l'effet des corps qu'elle tentait de donner.

HMMMMMF !!! HMGGGGNNNNNNMMMFFFF !!!!

Il fallu alors peu de temps à Marie pour vraiment paniquer et reprendre complètement conscience, car elle se rendit compte aussi qu'elle avait été changée intégralement par quelqu'un, qui avait du la voir nue et...à sa plus grande gêne, se rendit compte qu'elle ne sentait plus ses poils pubiens, et n'avait pas de culotte sous cette tenue. Qu'est-ce qui s'était passé ? Marie ne comprenait rien, et vu la situation, elle avait du mal à se calmer pour essayer de réfléchir, elle voulait surtout se défaire de ses liens, mais tirer dessus était en train de lui abimer les poignets. La présence de caméras partout, et d'écrans reliées à ces dernières qui la filmaient en direct n'arrangeait rien...et c'est alors que Yocchi rentra.
Marie se figea alors sur place pendant un moment, une brève sensation d'espoir à entendre une voix famillière...mais quand elle redressa sa tête pour le voir complètement nu, tout en l'appelant chérie...alors elle comprit.

*Oh bon Dieu non...*

La réalité de la situation l'écrasa alors comme une enclume, alors qu'elle comprit que c'était Yocchi qui avait fait tout ça et...et qu'il avait du droguer sa tisane pour la faire dormir. Sous sa façade gentille, Yocchi était donc un prédateur sexuel qui venait de la prendre au piège...et elle avait peur, au point de commencer à pleurer lorsqu'il s'approcha d'elle, déposant des sacs de nourriture sur une table, et qu'il affirma qu'il voulait qu'elle soit sa petite copine.
Il lui retira alors la gagball, mais Marie ne cira alors pas, de peur qu'il la frappe, mais aussi car elle devait sans doute se trouver dans une cave...

Y-Yocchi s'il te plait...j'ai peur...laisse moi partir...

[Reine Alice Korvander]

Un sourire ravi traversa les lèvres de Yocchi. Quel spectacle magnifique ! Marie-chan était allongée au milieu du lit, et ne tarda pas à se débattre, avant de lui demander de la laisser partir, indiquant qu’elle avait peur. Yocchi sourit encore, et caressa doucement son visage, son pouce glissant près de ses lèvres.

« Tu as peur de qui, Marie-chan ? Tu n’as pas compris ? Je suis ton petit-ami… Les gentilles filles n’ont pas peur de leur petit-ami. »

Yocchi sourit encore, et glissa sa main sur la jambe de Marie, caressant son beau collant. Il la sentait encore vainement se débattre. Les sangles étaient solides, reliées à la cage qui entourait le lit. Si Marie prenait le temps de regarder, elle pourrait voir de multiples caméras installées sur les barreaux, la filmant sous tous les angles. Yocchi avait soigneusement et méticuleusement préparé cette scène, et grimpa ensuite sur le lit. Sa masse se glissa à droite de la jeune femme, et sa verge en érection caressait la jambe de Marie. Il croisa encore le regard de la jeune femme. Yocchi tremblait nerveusement, non pas sous l’effet de la peur, mais bien d’une puissante excitation qui le traversait. Il observa à nouveau le fascinant corps de Marie.

« Je vais te baiser, Marie-chan… Tu sais, j’ai longuement préparé ce moment. J’ai une semaine pour jouer avec toi, alors je compte bien en profiter. Je vais te baiser dans tous les sens. Pour le dire clairement, Marie-chan, tu ne vas pas vraiment être ma petite-amie… Du moins, pas dans l’immédiat. Pour que tu deviennes ma petite-amie, je dois d’abord te traiter comme une chienne… Ma salope personnelle. »

Sa voix se voulait calme, mais tremblotait sous l’effet d’une excitation qu’il n’arrivait pas à refréner. Cette femme l’excitait tellement ! Il lisait une adorable peur dans ses yeux, et se pencha vers elle, venant l’embrasser tendrement sur le front.

« J’attends ce moment depuis des semaines, Marie-chan… Oh, je vais tellement adorer ça ! »

Il lécha ensuite son visage, bavant un peu sur elle. Yocchi se déplaça ensuite, et glissa sa main contre sa verge, venant se masturber. Sa queue était alors contre la minijupe de Marie. Elle n’avait aucune échappatoire possible, mais Yocchi n’avait fait que l’épiler. Il avait aussi utilisé des produits très spéciaux, qu’on ne trouvait qu’à Yoake, des aphrodisiaques redoutables vendus sur le marché noir. Une véritable drogue du violeur qui allait amener le corps de Marie à apprécier tout ce qui allait se passer. De fait, sa main se déplaça rapidement pour venir sous sa minijupe, et il la caressa intimement, enfonçant deux doigts entre ses lèvres intimes.

Yocchi s’aventura en elle, et la vit se tortiller, rougir, mais sentit rapidement la zone s’humidifier.

« Hihi, Marie-chan mouille déjà… Visiblement, tu as très envie qu’on te prenne comme une pute. Je vais être ravi de te satisfaire ♥ ! »

Il retourna encore s’amuser avec ses doigts, et les suçota, puis continua ainsi à la lubrifier, jusqu’à rapprocher sa verge. Elle ne lui avait jamais semblé aussi grosse que maintenant. Et, s’il avait drogué Marie, lui aussi avait pris quelques pilules, des anabolisants très spéciaux destinés à le rendre particulièrement endurant. Cette semaine allait être incroyable ! Et, sans plus attendre, il caressa la fente intime de Marie-chan avec sa grosse verge turgescente.

« Tu peux hurler autant que tu veux… Ici, personne ne t’entendra crier, ma salope ! »

Puis, il la pénétra en grognant.