Continent situé à l'ouest du continent principal, Ayshanra a pendant longtemps été séparée du reste du monde.

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Serenos Aeslingr
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[Juste pour clarifier parce que c’est peut-être moi qui a mal expliqué. En gros, Myrcella avait été Reine pendant le temps où Serenos était captif de Mélisende et pendant qu’il était en Lumen. À son retour, il reprit son trône et donna à sa sœur le titre de Duchesse de Saffran, un titre qu’il avait créé pour elle. Elle est donc, dans l’état des choses actuelles, une des personnes les plus influentes des Trois Royaumes, parce que… Saffran, c’est un énorme territoire]

« Cependant, Roi Serenos, nous nous sommes mal compris. Vos ressources alimentaires ne seront pas très utiles pour Lumen. La ville est très grande. En revanche, suite à la guerre, et aux assauts de Poséidon, les bancs de poissons se sont massivement déplacés. C’est d’ailleurs comme ça que tout a commencé. »

Il y eu un bref silence, avant que Myrcella pouffe de rire devant la tête du Roi. S’il avait eu un moins bon contrôle de ses expressions, il aurait démontré un malaise, mais il se contenta de sourire en réponse aux rires de sa sœur. Il laissa donc Elena lui expliquer ce qu’elle désirait faire ; elle voulait un accord de principe, tout simplement, que les différentes zones de pêches soient partagées équitablement entre les nations.

« J’ignore comment fonctionne la procédure internationale à Meisa… » mentionna la Reine étrangère. « À Lumen, la Couronne a la prérogative de conclure un traité, qui doit ensuite être ratifié par le Conseil. Voilà ce que je souhaite : conclure un accord, ce qui apaisera les tensions chez moi. Cela vous semble-t-il envisageable ? »

« Je ferai prévenir le Conseil du Peuple et le ministère de la chasse, mais cela ne devrait pas être un problème. » la rassura Serenos. «  En raison de la Sentinelle, les pêcheurs ne se risquent pas vraiment à la haute mer, mais tant que celle-ci reste dormante, je crois que je pourrai négocier quelque chose en votre faveur. »

Le Roi de Meisa ne semblait pas inquiet de s’opposer à un refus. De toute façon, malgré le fait que le territoire Meisaen soit entouré par la mer, les créatures qui s’y terraient n’avaient jamais vraiment inspiré une économie maritime ; à quoi bon pêcher le poisson s’il y avait chance égale de remonter une truite que d’attirer l’attention d’un mégalodon ? Non non. Les Meisaens, les Ayshanrans en général même, favorisaient la chasse et l’agriculture, ou alors se contentaient de pêche dans les lacs et rivières, et très souvent seulement ceux qui n’avaient jamais eu d’incident de monstre quelconque.

« Cependant, je ne saurais prendre la responsabilité d’un incident si la Sentinelle se réveille. Il faudra délimiter une zone de danger. Certaines de nos cartes pourrons vous montrer à quelle distance cette bête frappe. Il semblerait que, pour le moment du moins, l’artillerie de Nachteim soit en mesure de la neutraliser, mais je connais les Vestiges ; ce qui fonctionne une fois n’est pas garanti de fonctionner pour toujours ; ces monstres s’adaptent et finissent par rendre nos avancées magiques et technologiques inutiles. »

« Ne serait-il pas mieux d’en discuter davantage devant une carte ? » dit la Duchesse en conservant une certaine proximité avec la princesse. « Quitte à faire déplacer les Conseillers, autant qu’ils sachent ce que vous leur suggérer. »

« Ce n’est pas une mauvaise idée. Elena ? »

Le souverain lui laissait le choix. Après, ils pouvaient tout aussi bien prendre une pause et en rediscuter plus tard après avoir laissé la Reine se détendre, mais peut-être qu’elle désirait également en finir au plus tôt et passer à autre chose.
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Après quelques bonnes minutes de caresse, la Mélisaine semblait en avoir assez des préliminaires. Si Aldericht n’était pas en mesure de déchiffrer son expression, il savait lire les mouvements de ses partenaires pour pouvoir au moins comprendre leur langage non-verbal. Elle le ramena alors à elle, mettant fin à ses caresses linguales, mais il continua de la stimuler quelque peu à l’aide de ses doigts. Il se pencha sur elle à son invitation et plaqua ses lèvres contre celles de l’étrangère. Ainsi penché, les longs cheveux noirs du Prince de Meisa se mêlèrent aux mèches rousses de la magicienne, formant un petit cocon autour d’eux. Entre deux baiser, elle l’invita en elle, l’appelant encore et encore par son prénom, chose qui semblait le surprendre et, en même temps, lui faisait plaisir.

Le Prince se concentra un moment et marmonna une phrase contre les lèvres d’Adamante dans une langue étrange et rythmée. À la fin de cette phrase, les vêtements qui entravaient leur corps se dématérialisèrent, chatouillant la peau d’Adamante comme si elle était entourée de milliers de petites plumes, avant de réapparaître sur le sol.

Aldericht l’embrassa de nouveau, retirant lentement la main d’entre les cuisses d’Adamante. Il s’empara alors de son membre, déjà bien gonflé et près à l’action, et dirigea son gland vers l’entrée du jardin de la Mélisaine. Il entra lentement en elle et fut pris d’un frisson d’extase alors qu’il sentait l’intimité de l’étrangère étreindre sa virilité. Il relâcha son membre et posa les mains contre les cuisses de la Mélisaine alors qu’il s’enfoncait davantage en elle, puis reculait, puis revenait, lentement, testant la jeune femme. Le prince revint alors l’embrasser, et releva une des jambes d’Adamante contre sa hanche alors que ses mouvements gagnaient en profondeur, accélérant de plus en plus.

Après quelques secondes de mouvement, le prince mit fin aux baisers et caressa la joue d’Adamante de la main, puis ses lèvres humides du pouce.

« Vous m’intriguez, Adamante. Depuis que je vous ai senti sur le navire, avant même nos premiers mots. Votre présence est comme… un brasier en hiver, un phare dans la nuit… »

Il l’embrassa de nouveau, puis encore, puis encore.

« Je n’ai jamais… perçu… quoi que ce soit d’aussi beau que vous. »

Cela était peut-être l’effet de l’âme immortelle d’Adamante. Après tout, elle était tout simplement radieuse, il serait normal que les magiciens soient attirés par elle d’une façon ou d’une autre, mais Aldericht ne semblait pas plus intéressé que cela par le pouvoir qu’elle cachait. Non, il était intrigué par sa nature mortelle, par quelque chose qui se cachait sous cette âme immortelle. Et puis, si c’était simplement sa nature d’immortelle qui intriguait le prince, il aurait nourri une même fascination pour Elena.

Tout à coup, le Prince de Meisa l’attira contre lui, la soulevant du lit, et la fit passer par-dessus. Un sourire naquit sur ses lèvres, car c’était dans cette position que la magicienne s’était représentée sur le navire, et il était curieux de voir ce qu’une femme telle qu’elle ferait avec les rennes.

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Elena Ivory
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Finalement, l’accord de principe se fit plus vite que prévu. C’était rassurant. Le Roi avait semblé surpris de la proposition d’Elena. Un accord sur la pêche, cela pouvait sembler lambda, mais la jeune femme était bien placée pour savoir toutes les tensions que cela engendrait. Après tout, Lumen était un pays-membre d’une confédération, et l’un des avantages de cette confédération était de pouvoir organiser un partage équitable des ressources. À ce titre, la question des frontières maritimes était un sujet inépuisable de discussions et de controverses en tout genre. Avant que la confédération ne soit créée, les litiges frontaliers pour des problèmes de pêcheurs étaient assez fréquents. Quand deux pêcheurs se partageaient la même zone, les nations affiliées à ces pêcheurs réagissaient différemment. Une tactique fréquente était de financer des bandes de pirates pour chasser les pêcheurs rivaux. C’était en grande partie pour éviter ces pratiques déloyales, voire criminelles, que la confédération avait vu le jour… Ainsi que pour fournir une défense commune face à l’Empire de Mijak.

Pour Serenos, un accord en ce sens ne poserait aucune difficulté, même s’il y avait un risque lié à la Sentinelle. On lui avait déjà parlé de ce monstre sous-marin lors de son arrivée à Meisa. Ce monstre expliquerait le fort isolationnisme de Meisa et, plus généralement, de l’Ayshanra, en empêchant les navires de trop s’approcher. Des légendes sur des monstres marins, il en existait beaucoup, et, après avoir vu de ses propres yeux deux d’entre eux attaquer le port de Lumen (Charybde et Scylla), Elena avait tendance à accorder du crédit à ces légendes. La Duchesse proposa d’examiner les cartes, et ce fut cette fois-ci à Elena d’écarquiller les yeux.

« Oh, euh, je ne suis guère compétente pour ce genre de choses ! »

Elle se racla la gorge, et précisa rapidement :

« Je veux dire, il faudrait logiquement que je fasse appel à mes diplomates, à des conseillers, à des représentants de pêcheurs, et que tout ce petit monde se regroupe autour d’une table… Quand nous avons fait ça au sein de notre confédération, ça a duré des semaines. »

Meisa n’était pas une confédération, alors Elena précisa ce à quoi elle faisait référence :

« Lumen dirige une confédération composée d’autres États. Il existe un traité sur la mer qui répartit entre les différents États des zones d’activité exclusives maritimes… Ces zones permettent aux pêcheurs des différents États de venir pêcher sans risque de voir d’autres pêcheurs s’attaquer aux bancs de poissons, ou d’être menacés par des corsaires. Mais, en contrepartie, chaque État doit protéger ses propres zones des attaques de monstres. Évidemment, je ne vous propose pas de rejoindre la Confédération, votre nation est après tout séparée des nôtres par un océan, mais nous pourrions nous inspirer de cela… »

Elena réfléchissait à haute voix, et reprit alors :

« Pour l’heure, je pense qu’une déclaration de reconnaissance mutuelle entre nos deux nations serait amplement suffisante. Elle ouvrirait la porte aux négociations et à l’établissement de traités pour l’avenir. »

La jeune Reine avait senti que Myrcella se montrait très proche d’elle. Une proximité qui, en soi, ne la dérangeait pas plus que ça. Elle lui sourit même, et remonta sa main pour caresser alors le visage de la Duchesse, faisant preuve d’une familiarité peu coutumière lors d’échanges diplomatiques normalement très protocolaires…

« Est-ce que cela pourrait vous aller ? »
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Alderacht avait l’air d’être un magnifique amant… Et il ne cessait de le confirmer. La magicienne frémit en le sentant utiliser un sortilège qui défit ses vêtements. Simple, mais en réalité assez complexe. Adamante connaissait ce genre de sortilèges, et le voir être utilisé si efficacement, a fortiori par une personne aveugle, voilà qui témoignait du talent magique d’Alderacht. Ce prince était bon, très bon, même ! Il frémissait contre elle, sa solide verge heurtant ses parois intimes. Là-dessous, Adamante était totalement épilée, généreusement offerte à la verge de son partenaire, à sa soif et à son endurance. Alderacht lui fit remarquer qu’elle était belle, et elle sourit. Un compliment flatteur, de la part de quelqu’un d’aveugle.

« Vous… Vous savez comment parler aux femmes, mon Prince… »

Le choix du vouvoiement était à ce stade volontaire. Sans doute percevait-il son essence magique si particulière, celle d’une Immortelle. Elena n’en était pas une, elle avait un statut différent… Ou alors, il s’agissait des qualités intrinsèques d’Adamante ? L’un dans l’autre, ils s’emboîtaient pour l’heure, et c’était tout ce qui comptait pour Adamante. Alderacht la pénétrait, remuant en elle, mais se dépêcha de lui laisser les commandes. Il banda ses muscles, et les deux amants pivotèrent sur place. Adamante se retrouva ainsi au-dessus, et sourit doucement devant cette situation inversée.

Ses mains se posèrent sur le torse glabre de l’homme.

« Cette pose me rappelle des souvenirs… Pourtant, cela n’est encore jamais arrivé, alors… Autant concrétiser cette vision ! »

Du fait de leur mouvement, la verge d’Alderacht était à l’air libre, mais elle n’y resta pas longtemps. La main d’Adamante empoigna sa verge, et la positionna. Elle s’empala dessus dans un grand soupir, et se pinça les lèvres. Son autre main était posée sur son torse, et elle le griffa légèrement, gémissant longuement.

« Han putain… Tu as une de ces queues, hmm… ! »

La magicienne s’en mordilla les lèvres, sentant cette belle verge s’enfoncer lourdement en elle. La magicienne se pinça les lèvres, et commença à danser sur lui, de haut en bas. C’était une vision angélique que celui du corps d’Adamante remuant sur le vôtre. Aldericht ne le verrait pas ainsi… Mais ce qu’il voyait était peut-être encore plus beau ?

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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

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Serenos Aeslingr
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« Oh, euh, je ne suis guère compétente pour ce genre de choses ! »

Serenos réprima un haussement de sourcils à cette information ; peut-être était-ce parce qu’il avait l’habitude de superviser tout lui-même, il s’attendait à ce que son homologue Luméenne avait jouit d’une éducation similaire sinon supérieure à la sienne. Après, il n’y avait pas toujours eu des conseils officiels en Meisa, et il avait bénéficier de plusieurs décades d’expériences comparativement à la jeune Reine. Elle se corrigea rapidement en expliquant que Lumen n’était pas le seul état concerné par ses décisions, mais toute une confédération. Le Roi n’avait que trois états à gérer, chacun agissant à titre de fédérations de clans, de duchés, contés et baronneries. Son règne, cependant, ne rencontre que peu de résistance, car la réputation brutale du Roi dissuadait les révoltes et les intrigues politiques, chose qui risque de changer lors de son regretté départ.

« Pour l’heure, je pense qu’une déclaration de reconnaissance mutuelle entre nos deux nations serait amplement suffisante. Elle ouvrirait la porte aux négociations et à l’établissement de traités pour l’avenir. Est-ce que cela pourrait vous aller ? »

« Si c’est ce que tu désires, Elena, » répondit le Roi avec un sourire.

Son regard passa alors vers Myrcella, qui semblait peu à peu s’accaparer l’attention de leur invitée. De fait, il avait l’impression que s’il ne disait rien, dans peu de temps, elles briseraient davantage le protocole.

« Dites, ma sœur. »

« Oui ? »

« Vous n’avez pas l’impression que… hein ? »

La duchesse s’arrêta un moment, et sembla soudainement se remémorer que l’endroit, bien qu’étant intime en raison de l’absence de regards, restait quand même un lieu de recueillement, car sous leurs pieds reposaient la dépouille de la défunte épouse du Roi. Faire du charme à une demoiselle, une reine étrangère, dans ce lieu était potentiellement un affront à la famille royale. Certes, le Roi ne mettrait pas à mort sa petite sœur pour un écart de conduite, mais cela ne l’empêcherait pas de la ramener à l’ordre. Devant Grymauch ou Aldericht, ou pis Aurora, elle ne s’en sortirait peut-être pas à si bon compte. Il n’y avait peut-être pas d’entités reconnues comme des divinités en Ayshanra, mais la dévotion des enfants du Roi envers leur mère frôlait l’idolâtrie.

Les joues de la Duchesse s’enflammèrent et elle baissa la tête, se couvrant la bouche avec un peu d’embarras.

« Mes excuses, votre Majesté. »

« Il n’y a pas de mal. »

Le Roi de Meisa posa alors son regard vers son invitée.

« Je me doute que Jamiel ait eu le temps de vous parler des habitudes de vie du Royaume. Permettez-moi de vous en parler davantage hors de ce lieu, maintenant que nous avons fini avec les discussions nécessitant une plus grande discrétion. Maintenant, si vous me permettez… »

Il s’inclina poliment avant de les aider à se relever, faisant disparaître le mobilier qu’il avait fait venir plus tôt d’un geste de la main, avant de se tourner vers la sépulture de Laryë. Il posa une fleur au pied de la statue à son effigie, se mit sur les genoux puis posa le front sur les pieds de la statue avant de réciter une salutation funèbre dans sa langue natale.

Alors qu’il s’exécutait, Myrcella prit le temps d’expliquer le rituel à la Reine, qui ne devait pas vraiment savoir où se placer dans cette histoire, et la rassura que sa participation dans le rituel n’était pas requise. De fait, le traitement que Serenos réservait au lieu de repos de sa défunte épouse était similaire à celui qui était normalement réservé au monarque officiel du royaume, mais comme c’était Laryë qui avait prêté son autorité à Serenos pendant la guerre qui l’avait, par la suite, mis sur le trône de l’Empire des Araniades et du Royaume de Meisa, elle recevait les honneurs les plus grands.

Le Roi se releva finalement, contemplant les traits de la statue, avant de se tourner vers ses invités. Il les incita alors à le suivre en dehors du jardin, et referma la porte à clé derrière eux. Les gardes reprirent immédiatement leur poste, et un jeune page s’approcha. Le jeune garçon avait une peau relativement foncée, propre aux Meisaens du Sud, et des cheveux noirs, bien que certaines mèches de ses cheveux ne soient immaculées, attachés en une queue de cheval qui lui tombait jusqu’aux reins. Il joignit les mains dans son dos et regarda le Roi avec attention. Comme tous les meisaens de son âge, il était peu vêtu, en dehors d’un pagne noir brodé d’argent et d’une veste couvrant ses bras et son buste, laissant son abdomen complètement découvert.

« Bon, alors. »

Serenos se tapa les mains et polit ses paumes entre elles avec un sourire.

« Myrcella, que recommanderais-tu à notre invitée, qui visite notre belle nation pour la première fois ? »

« Eh bien, elle vient de faire plusieurs jours de voyages, votre Majesté. »

« Ah, oui. Et je me doute que c’est ton cas aussi, Ronald. »

Le regard du Roi analysa sans la moindre gêne les accoutrements de ses invités, qui sentaient fortement la mer et la sueur, en raison de leur ascension.

« Fort bien, alors je crois que la première destination seront les bains. Aethel ? »

Le page leva la tête vers son souverain et lui sourit, immédiatement au garde à vous.

« Faites préparer les thermes. »

Le page s’inclina, avant de jeter un coup d’œil vers Ronald et lui jeter un petit clin d’œil discret avant de s’élancer dans les couloirs à toute hâte avec une grâce surprenante.

Serenos eut un ricanement discret avant de se mettre à marcher.

« Je crois que tu lui plais, » dit le Roi au commandant de la garde royale luméenne. « Après, c’est plutôt normal ; avec une gueule comme la tienne et la tradition martiale du royaume, je suis presque tenté de te contraindre au port du casque. »

Homme ou femme, les cicatrices étaient considérées avec un grand respect par les citoyens du royaume. Une tradition des Terres du Nord qui s’était transmise dans les royaumes avoisinants qui clamaient que ceux qui arboraient des cicatrices, surtout celles gagnées au combat, étaient des héros et héroïnes. D’ailleurs, un guerrier n’était considéré comme tel que lorsqu’il avait subi sa première blessure de guerre, ou sa première saignée. Du coup, pour les jeunes gens, l’idée d’avoir l’attention d’un héros était fort intéressante. En contrepartie, ceux qui jouissaient de cette attention se devaient d’agir honorablement et avec la dignité associée à ce statut, car un écart de conduite significatif résultait d’un exil social assez traumatisant.

Alors qu’ils marchaient, Myrcella observait la reine étrangère et elle osa à la question.

« Alors… est-ce qu’il y a un Roi ou une seconde Reine de Lumen ?  Ou des prétendants significatifs ? »

Question parfaitement légitime, mais qui ne manqua pas d’attirer également l’attention du Roi de Meisa, qui fit mine de ne pas porter cette attention, mais tendait l’oreille.

Aldericht Aeslingr
« Vous… Vous savez comment parler aux femmes, mon Prince… »
« Les bénéfices d’avoir été formé par les meilleurs filles de la terre du Royaume, je suppose, » dit-il avec un léger sourire.

Ce n’était pas de la vantardise ou un point de fierté pour un Meisaen, mais comme la plupart des adolescents et adolescentes de sa culture, le Prince avait été éduqué aux arts de la luxure par les filles de la terre, et quelques fils de la terre. Considérant les traditions familiales du royaume, apprendre à être courtois et savoir comment témoigner respectueusement ses attentions à un autre parti était un art auquel les Meisaens s’adonnaient avec humilité et dédication.

« Cette pose me rappelle des souvenirs… Pourtant, cela n’est encore jamais arrivé, alors… Autant concrétiser cette vision ! »

Il sentit de nouveau les lèvres intimes de sa partenaire avaler de nouveau son membre, lui arrachant un léger grondement alors qu’elle lui griffait le torse, ses ongles s’enfonçant légèrement dans sa chair. Les mains du Prince grimpèrent de nouveau sur le corps d’Adamante et s’emparèrent de ses hanches, l’aidant ainsi dans son mouvement pendant un moment, bandant les muscles de ses bras pour l’aider à se hisser, pour ensuite la faire retomber avec force sur son mât de chair, s’enfonçant au plus profond d’elle. Il se sentait frissonner et se crisper, renforçant légèrement sa poigne sur les hanches de la noble Mélisaine, alors que les mouvements ondulatoires stimulaient son plaisir. Elle compliment sa virilité, ce qui ne manqua pas de renflouer un peu l’égo du prince, mais il s’abstint de faire des remarques vantardes. À la place, il remonta une main pour venir englober le sein gauche d’Adamante et le masser, alors que sa main droit descendait et que son pouce se posait sur sa petite bille d’amour, qu’il commença à stimuler avec des mouvements circulaires pour peu qu’il ait l’espace nécessaire.

Le prince laissa sa belle le chevaucher pendant quelques bonnes minutes avant de se redresser en position assise et vint chercher ses lèvres. Il rata son coup quelques fois, en raison du mouvement de sa belle, mais finit par les trouver avec son assistance, et il l’embrassa fougueusement, relâchant sa bille d’amour pour enrouler son bras autour de ses hanches et de venir à la rencontre de son bassin, sa main lui agrippant fermement la fesse pour la pétrir de ses doigts forts et calleux.

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Elena Ivory
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Un traité commercial ne se négociait pas en un claquement de doigts. Il y avait quantité de choses à envisager, et Elena laissait cela à ses juristes et à ses diplomates. Ils étaient là pour ça ! En tout cas, les choses se déroulaient plutôt bien avec le Roi Serenos, et en tout cas bien mieux que ce qu’Elena avait pu craindre initialement. Apprendre qu’il avait connu sa mère, et qu’il connaissait Jamiël, ou même Ronald, voilà qui n’avait pas manqué de surprendre Elena ! De quoi la rendre aussi superstitieuse… Le Roi Serenos avait-il un rôle à jouer pour la Tortue ? Était-il l’un des Immortels ? C’était difficile à dire, car Elena ne maîtrisait pas encore très bien ses pouvoirs. Elle avait appris à ne plus croire aux coïncidences, et il y avait ici de trop de coïncidences, justement, pour croire au hasard. Elena fut un peu distraite par Myrcella, et se surprit à rougir quand le Roi Serenos rappela Myrcella au calme.

Elena se racla nerveusement la gorge, puis se releva ensuite, fixant ses pieds avant de se calmer. Resté à distance, Ronald se rapprocha lentement, et Myrcella se rapprocha d’Elena, lui expliquant que ce kiosque se trouvait au-dessus de la tombe de la défunte épouse du Roi Serenos, la Reine Laryë. Elena écouta silencieusement, puis la duchesse lui indiqua qu’elle n’avait rien de particulier à faire. Elle profita ensuite de leur proximité pour approcher ses doigts de ceux d’Elena, et la Reine sentit un choc dans son cœur. Quelque chose tambourina en elle, et elle entremêla furtivement ses doigts avec les siens. Un geste non-verbal qui en disait bien plus que des mots.

Le Roi se redressa ensuite, et les invita à le suivre vers les thermes. Ronald se rapprocha du trio, visiblement rassuré de voir que la Reine allait bien. Il fixa lentement Serenos, puis un jeune éphèbe, Aethel, un page, fut appelé par le Roi, afin de préparer les thermes. Aethel loucha sur la poitrine de Ronald Langley, puis fila précipitamment. Le Roi commenta sur le fait qu’il semblait plaire à Aethel, et Ronald sourit doucement.

« Votre Majesté est observatrice. Les belles personnes aiment ce qui défigure les autres. »

Les cicatrices de Ronald étaient repoussantes, et assez hideuses. Le quatuor s’aventura ensuite dans les couloirs, et Elena resta à côté de Myrcella… Et s’amusa alors à attraper sa main dans la sienne. Elle lui sourit doucement, un sourire furtif, avant que la duchesse ne l’interroge sur son éventuel époux, ou épouse.

« Des prétendants, il y en a, oui… Mais aucun ne m’intéresse vraiment. Il faudra néanmoins que j’y songe, je suis la dernière de ma lignée, et je dois assurer sa continuité. Les sage-femmes m’ont dit que j’étais prête à porter la vie, il faut que je trouve la personne capable de m’enfanter… Mais l’idée de me marier ne me tente pas beaucoup. »

Ronald grogna légèrement, agacé. Il savait que la jeune Reine pouvait se montrer impertinente en refusant es devoirs royaux. Malheureusement, il était assez impossible de la forcer, puisqu’elle était effectivement la dernière des Ivory. Difficile également de la forcer à se marier, car tout le monde était d’accord pour dire qu’Elena allait devoir avoir plusieurs enfants. Le développement de la magie rose et de l’hermaphrodisme incitait même à encourager une femme, pour pouvoir avoir plusieurs bébés.

« D’ici là, Adamante m’apprend à exploiter au mieux mon corps… Peut-être souhaitez-vous aussi contribuer à ma formation, duchesse Myrcella ? »

Elena se montrait encore plus directe que la duchesse…
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Dans une autre partie du palais, celle qui apprenait à Elena à exploiter « au mieux » son corps en faisait de même avec un bel éphèbe. Aldericht était un amant formidable, à tout point de vue. Elle dansait sur lui, caressant sa peau glabre, ce torse parfait sur lequel elle sentait la fine ligne de ses muscles et la sueur de sa peau douce et ferme. Elle n’avait jamais trop aimé les poils. Cela pouvait rendre bien chez certains hommes, mais il fallait bien avouer qu’un torse imberbe était tout de même bien plus attirant ! C’était sa mentalité de Mélisaine qui ressortait, tout simplement. Adamante soupira lentement en se mordillant les lèvres, gémissant également. Des bruits flasques et sourds sortaient de leurs danses, des mouvements répétés d’Adamante à destination du corps de son amant, le Prince Aldericht.

« Hmmm… Haaaa… !! »

Elle se laissait faire, elle se laissait porter. Aldericht se redressa alors, et les deux amants, après quelques tâtonnements, s’embrassèrent avec envie. Il posa une main sur les fesses de la magicienne, en appui, et elle l’enlaça avec force, venant l’embrasser avec appétit, prolongeant et amplifiant le baiser.

« Hmmm… !! »

Adamante n’hésitait pas à glisser sa langue en lui, à s’unir sensuellement et énergiquement. Sa langue jouait avec la sienne, et elle se pressait contre lui, avant de basculer sur le côté, inversant les rôles. Aldericht se retrouva ainsi au-dessus d’elle, et elle frotta son visage contre le sien, le nez de la jeune femme glissant sur sa peau, ses jambes s’enroulant autour de sa taille.

« Baise-moi, Aldericht… Je t’appartiens, alors, prends-moi ! »

DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

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Serenos Aeslingr
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« Des prétendants, il y en a, oui… Mais aucun ne m’intéresse vraiment. Il faudra néanmoins que j’y songe, je suis la dernière de ma lignée, et je dois assurer sa continuité. Les sage-femmes m’ont dit que j’étais prête à porter la vie, il faut que je trouve la personne capable de m’enfanter… Mais l’idée de me marier ne me tente pas beaucoup. »

« Vous avez entendu, sire ? Vous n’êtes pas le seul à bouder le mariage ! »

Comme s’il imitait Ronald, Serenos fut également pris d’un vif besoin de démontrer son agacement en marmonnant quelque chose dans sa barbe. Comme Elena, les pressions pesaient sur Serenos de reprendre une épouse. Après tout, le Roi ne pouvait pas espérer pouvoir gérer tout un royaume, même si une grande part de ses responsabilités avaient été déléguée, sans le support d’une personne de plus, et malgré une descendance assurée, l’absence d’une présence représentative aux côtés du Roi sous la forme d’une reine causait une tension chez toute la noblesse du pays, car tous étaient hâtifs de mettre une de leurs filles sur le trône pour pouvoir influencer les politiques du Royaume à travers elle. Évidemment, nul ne pouvait concevoir que le pouvoir exceptionnel dont jouissait la défunte Reine de Meisa, Laryë, était dû à la confiance du Roi en elle et à une vision partagée du futur de l’Ayshanra, chose qui n’était pas garantie, voire même impossible venant d’une autre personne qui avait de forts attaches à une famille noble et ses intérêts.

Cependant, malgré sa réticence, Serenos lui-même ne pouvait éternellement refuser de prendre une épouse. Il en allait de la tradition, assurément, mais aussi de la stabilité du royaume. En raison de la culture locale, l’idée même de ne pas avoir de reine était l’origine de beaucoup d’agitation civile, car la Reine était effectivement la mère de la nation, et dans une société qui portait une si grande importance à la Femme Divine, un concept qui voulait que les femmes étaient les réceptacles et l’origine du bien et de la prospérité, ne pas avoir une « mère de la nation » revenait à supplier les forces surnaturelles de les punir.

Bande de débiles superstitieux.

« D’ici là, Adamante m’apprend à exploiter au mieux mon corps… Peut-être souhaitez-vous aussi contribuer à ma formation, duchesse Myrcella ? »

C’est à l’unisson que le Roi et la Duchesse pouffèrent de surprise devant cette proposition surprenante et fort inattendue, surtout dans un contexte aussi diplomatique. Ils n’étaient pas surpris que la Reine puisse avoir des amantes, bien sûr, car ce n’était pas leur culture, mais plutôt que la Reine offre aussi directement à une autre personne aussi haut placée d’une autre nation de la rejoindre dans son lit, surtout avec son frère et un haut fonctionnaire de l’armée presque immédiatement à côté d’elles.

Pendant un moment, Myrcella regarda la jeune Reine, et voyant qu’elle était sérieuse, ses joues prirent une teinte rosée qu’elle n’avait jamais cru un jour arborer devant quiconque, encore moins une étrangère.

« Si votre Majesté désire mes caresses et que mes vieilles mains vous conviennent… » fit la Duchesse, visiblement consciente de la différence d’âge entre elle-même et la Reine de Lumen. « Je veux bien vous enseigner ce que les filles de la Terre m’ont prodigué… »

Les fils et filles de la Terre étaient une importante institution de Meisa. À la fois enseignants et soigneurs, ces hommes et femmes prodiguaient leur connaissance des arts du plaisir charnel, mais également du corps et de la santé. C’est à travers les enfants de la Terre que les Meisaens ont pu éviter nombre d’épidémies et de maladies qui avaient mis à mal les autres nations. C’est aussi à travers eux que les jeunes Meisaens se distancent des actes sexuels violents ou égoïstes. De fait, les viols étaient justement jugés avec la même sévérité que la torture ou une mutilation en Meisa, ce qui condamnait le criminel à mort.

Les doigts de Myrcella se resserrèrent légèrement sur ceux de la Reine étrangère. À travers ce contact, elle sentait un pouls battre dans sa paume, et impossible pour elle de dire s’il s’agissait du sien ou de celui de la Reine.

***

Parlant des filles de Terre, peut-être que celles-ci s’étaient égarées, dans un lointain passée, et s’étaient mêlé au peuple Mélisain, parce que malgré son endurance notable, Aldericht sentait que la vigueur d’Adamante parvenait à équivaloir la sienne avec une aisance redoutable, au point que son esprit osa s’éloigner un moment de leurs ébats pour réfléchir à quel point cette magicienne serait terrifiante à rencontrer sur le champ de bataille. Il l’imaginait sans mal, dans sa forme éthérique telle qu’elle s’imprimait dans son esprit, user de son esprit pour influencer, diriger et regalvaniser ses troupes, et l’idée de devoir la voir, un jour, face à lui lui arracha un frisson de terreur.

C’est la voix et les baisers d’Adamante qui le ramenèrent à la réalité, et cette angoisse naissante fut immédiatement tuée dans le vortex de sensations plaisantes que ces baisers lui évoquaient. Ses muscles se relâchèrent un peu alors qu’il se retrouvait de nouveau au-dessus d’elle. Encore une fois, il frissonna, sentant l’intimité de sa belle accueillant sa virilité, son ventre contre son abdomen, ses seins doux et généreux plaqués contre son torse, le grain de sa peau sous ses doigts et ses jambes qui le ceinturaient, le gardant tout contre elle. Elle lui demanda de la baiser. Un peu moins une demande qu’un ordre, un ordre qui résonna en lui. Il sentit encore une fois son corps réagir à ses mots, instinctivement, et son bassin redoubla de vigueur alors que ses mains quittaient le corps d’Adamante pour s’emparer de ses mains, ses doigts s’entrelaçant des siens, alors que les coups de rein se faisaient de plus en plus puissant et profond, heurtant le cervix de la Mélisaine à l’occasion.

À ce moment-ci, Aldericht n’était pas bien sûr s’il était bien en contrôle de lui-même. Il n’avait jamais été aussi avide d’une femme auparavant, ou d’un homme d’ailleurs. De fait, c’était même la première fois qu’il était aussi motivé à la chose. Le sexe était pour lui un moyen comme un autre de chasser les pensées parasites, d’évacuer de la tension, de se détendre et, optionnellement, de procréer, bien que ce dernier usage n’eût pas suite jusqu’à maintenant. Mais il n’avait jamais désiré quelqu’un, jamais voulu plaire à quelqu’un, autant qu’il voulait plaire à cette étrangère. Qu’est-ce qu’Adamante lui avait fait ? Avait-elle seulement fait quelque chose ? Est-ce qu’il était sous l’emprise d’une suggestion, d’une drogue, peut-être ? Malgré ses questionnements intérieurs, ils restaient passagers, et s’effaçaient à chaque fois que leurs lèvres s’entremêlaient et que leurs langues s’unissaient l’une à l’autre dans un tango ardent.

Presque sans s’en rendre compte, Aldericht s’était retiré d’elle et l’aida à se retourner sur le ventre, prenant place derrière elle. Il glissa ses doigts sur le dos d’Adamante, lentement, détaillant les muscles qui se dessinaient sous sa peau, puis caressa ses fesses rebondies et déjà chaudes. Le Prince de Meisa s’empara de son sexe et pressa son gland contre l’intimité de la jeune femme et s’enfonça de nouveau en elle, avant de la saisir par les bras et de la tirer sur les genoux, jusqu’à ce qu’elle se redresse complètement, son dos contre son torse, le sexe brûlant du prince poussant vers l’avant et contre le col de son utérus. Les lèvres d’Aldericht fondirent de nouveau et embrassèrent la nuque de la Mélisaine alors qu’il la baisait longuement, proprement et assidûment, comme elle le lui avait demandé, avec des coups puissants qui lui relevaient le bassin.

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Elena Ivory
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ELENA IVORY

Si Serenos avait connu Elena quand elle était bébé, le petit-enfant avait bien grandi depuis. Elena avait beau être célibataire, elle n’en restait pas moins une femme qui avait goûté au plaisir de la vie, et de la chair. Sa proposition les surprit, mais, quand ils virent qu’Elena semblait sérieuse, le regard de Myrcella changea quelque peu. Elena se surprit même à la voir rougir, et elle sourit à son tour. Myrcella commenta ses « vieilles mains » en entremêlant ses doigts avec les siens. La jeune Reine soupira doucement, et croisa le regard de la Duchesse. Son autre main se leva, et elle caressa doucement la joue de Myrcella, un sourire enjoué venant ensuite se dessiner sur ses lèvres. Elena ne se doutait pas alors que Myrcella avait la soixantaine, car, physiquement, elle faisait bien plus jeune… Mais Elena savait aussi que les magiciennes pouvaient rajeunir, disposant de sortilèges en ce sens. Il existait aussi quantité de personnes sur qui le temps n’avait pas le même effet : elfes, vampires, divinités… Elena ne savait somme toute quasiment rien sur Meisa et sur les peuples qui l’habitaient. Avaient-ils des ascendances elfiques ? On disait que les elfes de Terra, avant de rejoindre le continent, étaient venus d’ailleurs.

Elena caressa la joue de Myrcella.

« Et bien, il est impoli de demander son âge à une dame, Duchesse Myrcella, mais je peux vous dire que vous m’avez l’air très bien conservé… Et que votre beauté est un ravissement à voir. »

Sans laisser le temps à la Duchesse de pouvoir lui répondre, Elena se rapprocha d’elle, et l’embrassa alors. Sa main se déplaça pour attraper délicatement le menton de la duchesse, et elle partagea  avec elle un court baiser, ses lèvres se collant sur les siennes pendant quelques secondes. Elena rompit ensuite le baiser, un sourire enjoué sur les lèvres, une lueur malicieuse dans ses yeux.

« Après tout, il faut bien que nos deux nations sympathisent, alors, autant que les dirigeants montrent l’exemple… Peut-être disposez-vous d’un endroit approprié à cette fin dans votre grand palais ? »
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Faire l’amour avec Adamante, c’était souvent la perspective de perdre peu à peu la raison. Est-ce que cela venait de l’endurance de la magicienne ? De sa beauté renversante ? Du fait qu’elle utilisait la magie rose pour renforcer les performances sexuelles de ses amants et les siennes ? C’était sans doute un mélange de tout ça. Adamante remuait sur place, et sentit Aldericht la retourner. Il ralentit le rythme, le temps de la coucher sur le ventre. Adamante soupira en heurtant le lit, et sentit le corps du Prince remuer dans son dos. Il s’attaqua à ses délicieuses fesses, et elle soupira quand il les malaxa, appuyant dessus.

« Hmmm… A-Aldericht… »

Il ne put la voir rougir. Ses lèvres intimes étaient trempées, et le Prince meisaen repartit à l’assaut. Il s’imprégnait du corps de la belle, et commença à se montrer plus virulent, plus entreprenant, ce qui n’était pas pour déplaire à la magicienne. Il la pénétra à nouveau, s’allongeant contre elle. Elle soupira lentement en sentant son corps s’abattre sur elle, et crispa ses mains sur le lit, serrant les couvertures. Il l’empoigna alors, la relevant, puis attrapa ses deux poignets, s’en servant pour la maintenir en hauteur, et la pénétra donc, sa verge s’enfonçant d’un coup sec et prononcé en elle. Adamante gémit encore, crachant sa salive, et sa main fila dans son dos, venant s’appuyer sur la nuque de l’homme.

« Haaa, pu… Putain ! Vas… Vas-y, baise-moi !! »

Conquise, Adamante remuait également ses hanches, comme pour accompagner les coups de reins de l’homme. Il grognait dans son dos, la faisant sautiller sur ses cuisses. Le lit grinçait joyeusement, à l’aune des coups de reins intenses qu’Aldericht lui infligeait, et ce pour son plus grand plaisir !

DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

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Serenos Aeslingr
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Le baiser d’Elena sembla surprendre Myrcella, et très sincèrement, la surprise se propagea à Serenos, et peut-être même à Ronald. La Reine de Lumen venait d’embrasser un membre de la haute noblesse de Meisa. Dans les couloirs, des têtes s’étaient déjà tournées vers les monarques et leur entourage, avec des hoquets de surprise émergeant à droite et à gauche dans le couloir. Assurément, des rumeurs allaient bientôt se faire entendre. Fort heureusement pour tous, ils étaient beaucoup trop loin pour que d’autres puissent avoir entendu les propositions de la Reine de Lumen.

Discrètement, Serenos tira un morceau de fusain et gratta une rune sur la paume de sa main. Cette rune, communément appelée un Ordre de Silence, créait une zone de silence autour de l’utilisateur, qui agissait directement sur l’air et l’empêchait de vibrer et, donc, empêchait les conversations d’être entendue sur de grandes distances. Un regard vers Ronald et le souverain marmonna.

« Je crois que nous ferions mieux de leur trouver une chambre avant d’appâter tous les commères du palais. »

Théoriquement, en Meisa, Elena pouvait bien coucher avec qui elle voulait ; les affaires intimes des puissants ne regardaient qu’eux, et celles du peuple étaient considérées comme simplement normales, donc personne ne s’y attardait. Seulement, politiquement parlant, le rapprochement entre la Duchesse de Saffran et d’une Reine étrangère pourrait causer des réactions en chaîne. Mais maintenant, un peu trop tard pour que le Roi n’intervienne. Surtout que Myrcella semblait parfaitement foudroyée par la jeune Reine. C’était à croire que la Duchesse elle-même avait complètement oublié son titre et sa position.

Serenos guida donc le nouveau binôme vers la chambre de la Reine, où il comptait laisser Elena et Adamante. Il ouvrit lentement la chambre et fit les premiers pas à l’intérieur. Un frisson grimpa alors dans l’échine du Roi alors qu’il entendit un étrange grincement. Il n’avait jamais entendu de grincements provenant de cette pièce. Était-ce le vent ?

« Hmm… ! A-Aldericht… »

Non. Oh, pitié, non. se dit le Roi, son visage perdant rapidement des couleurs. Dites-moi que je rêve, j’vous en prie. Je sacrifierai trois agneaux aux haut esprits, mais pitié, faites que j’ai mal compris. Les voix semblaient provenir de la chambre des compagnons, sur la gauche, et bien franchement, il se rendit compte qu’il se faisait de faux espoirs.

« Haaa… pu… Putain… Vas… Vas-y, baise-moi !! »

Devant la tête déconfite du Roi de Meisa et la soudaine réalisation de ce qui se passait dans la chambre d’à côté, le visage de Myrcella se déforma dans une moue hilare. Elle se couvrit la bouche, pour contenir un rire, mais cela transforma simplement son explosion de rire en un couinement. Elle se couvrit immédiatement la bouche et le nez pour s’empêcher de simplement éclater de rire et alerter les amants qui se dévouaient à leur passion dans la chambre d’à côté.

« Oh, grands esprits, grands anciens, épargnez-moi… ! fit-elle à mi-voix.
- Et moi donc… grommela le Roi. Exctres, mais qu’est-ce que j’ai donc fait au ciel ?
- Une liste, peut-être, votre Majesté ? dit la duchesse dans un rire difficilement contenu.
- Non, merci, ma sœur. Suivez-moi, et faites-vous discret. »

Avec autant de discrétion que possible, le Roi de Meisa guida Myrcella, Elena et Ronald dans la chambre des maîtres, ou plus exactement la chambre de la Reine.

« Ceci sont les quartiers de la Reine. Cependant, je vous rassure, il n’y a aucune intention cachée ; Laryë n’y a jamais séjourné. »

En effet, malgré la relation houleuse du couple royal, il ne sera jamais dit que la discorde fut telle que la défunte Reine se décida à investir ses quartiers royaux. Non, si elle devait se prendre le bec avec le maître des Trois Royaumes, elle le faisait à la Nordienne ; en le luttant sur le lit jusqu’à ce qu’il demande grâce. Si Serenos était de loin un guerrier supérieur, la Reine de Meisa maîtrisait les techniques de jet et de soumissions comme personne.

« Je comptais consentir à laisser Elena se servir de cette chambre, mais j’autorise également ma sœur. »

Encore heureux.

***

Aldericht Aeslingr

Le Prince de Meisa était tellement absorbé par l’érotisme naturel qui se dégageait d’Adamante qu’il n’entendit pas, ou à peine, la voix de son père et de sa tante de l’autre côté, pas que cela l’aurait arrêté de toute façon. Maintenant que la jeune femme tenait aisément sur ses genoux, et qu’elle se tenait en place en utilisant sa nuque comme support, les mains larges du prince quittèrent les bras de sa belle pour les poser plus bas, l’une agrippant sa hanche galbée, l’autre pressant délicatement contre son bas-ventre pour l’aider à conserver son équilibre, et ce pendant un moment, alors que les hanches du prince continuaient de remuer, claquant contre les fesses de la belle magicienne étrangère à chaque pénétration, qui gagnaient de plus en plus en vitesse et en intensité. Il remonta bien vite les mains pour s’emparer de sa généreuse poitrine, qu’il malaxa et massa avec habileté, torturant ses tétons tendus entre ses index et majeurs.

Cependant, il y avait une limite à tout homme, et Aldericht approchait lentement de la sienne, et le prince sentait la tension augmenter dans sa verge. Sachant qu’il ne tiendrait pas plus longtemps, il tâcha d’essayer de doser ses mouvements et aider sa partenaire à se rapprocher de son orgasme, essayant tant bien que mal de les synchroniser. De fait, Adamante était une femme extraordinaire ; son endurance laissait nombre des précédentes partenaires du Prince dans la poussière, voire même poussait le prince à remettre en question ses propres talents, bien qu’il soit normalement impossible à une personne de lui mentir vis-à-vis de son plaisir, car une femme ayant atteint un orgasme resplendissait comme une constellation dans le monde astral. Adamante, pour sa part, était déjà naturellement aveuglante dans ce monde, son aura étant si massive et flamboyante que s’il ne s’agissait pas d’une représentation mais d’un phénomène physique, le prince aurait été doublement aveuglé.

Après quelques minutes de plus, et malgré ses tentatives, le fils du Roi dût admettre que le plaisir était plus fort. Un homme normal aurait pu ressentir l’impératif de se retirer, histoire de réduire le risque de produire un enfant illégitime, mais Aldericht et Adamante étant tous deux magiciens, et elle maîtrisant la magie rose, il n’y avait aucune raison de craindre une grossesse malvenue, et le prince relâcha de puissants jets de semence dans les tréfonds de la noble dame des îles, resserrant sur elle une étreinte passionnée, et accompagnant le geste par un baiser doux.

Malgré l’orgasme, le Prince ne relâcha pas de suite la jeune femme. Au contraire, il la conserva dans une douce étreinte, décalant ses lèvres pour l’embrasser sur la nuque et l’épaule, ses longs cheveux noirs tombant sur leurs deux corps en sueur, mêlés à ceux, roux, de sa belle, avant de l’entrainer avec lui contre les coussins. Normalement, il se serait permis de complimenter les exploits de la jeune femme, mais pour être parfaitement franc, il n’y avait rien qui pouvait rendre justice à ce que cette femme venait de lui faire ressentir. Il lui baisa une nouvelle fois les lèvres.

« … Encore ? » Offrit-il avec un sourire chaleureux.

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Elena Ivory
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ELENA IVORY

Apprendre qu’Adamante couchait avec le Prince Aldericht ne surprit pas outre mesure Elena. Elle avait bien vu les discrets regards entre eux, et elle connaissait suffisamment Adamante pour savoir que la véritable surprise aurait été que la magicienne ne lui ait pas mi le grappin dessus. L’appétence d’Elena pour le sexe, et sa simplicité à envisager des rapports sexuels, venait des mœurs débridées de la magicienne. Adamante aurait fait rougir de honte bien des prêtres et des religieux de l’Ordre Divin, qui encourageaient la chasteté et la tempérance, la retenue en tout domaine. Adamante était sur ce point une Mélisaine fidèle à la réputation sulfureuse des insulaires. Elena laissa donc Serenos se décomposer sur place, notant que cela amusait beaucoup sa sœur. La duchesse Myrcella semblait moins coincée que lui, et Elena se disait qu’elle aurait sans doute été très à l’aise avec Adamante.

*La connaissant, elle va vouloir coucher avec toute la famille royale…*

Elena observait aussi Serenos. Même s’il avait l’âge de son père, elle le trouvait attirant. Conscient de ce qui allait se passer, Ronald Langley avait discrètement faussé compagnie au petit groupe, préférant sans doute se renseigner plus concrètement sur les ressources et le fonctionnement de Meisa. Elena, elle, rejoignit donc finalement une chambre. C’était une belle chambre, avec une grande porte-fenêtre donnant sur une terrasse qui permettait de voir la ville, et la mer au loin. Elena se retourna vers le duo, constatant que Serenos restait sur le palier de la porte. Le regard de Myrcella ne mentait pas sur ce qu’elle comptait faire à Elena, et la jeune Reine en frissonna doucement. Si Adamante était entreprenante et endurante, Elena, quoi pouvait se montrer disruptive, n’en restait pas moins assez soumise.

La Reine regarda néanmoins Serenos, et se racla la gorge.

« Majesté… Je ne voudrais pas vous congédier chez vous. Vous… Vous êtes le bienvenu. »

Elle rougit doucement, consciente que ce qu’elle proposait pouvait revêtir un caractère incestueux, de sorte qu’elle marchait sur des œufs… Car elle ne connaissait pas trop les mœurs meisaennes. Elle se contentait d’ouvrir une porte, à charge pour eux de voir s’ils allaient l’emprunter ou non.
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Adamante sentit la présence proche d’Elena. Si cela aurait pu gêner certaines personnes, elle, cela la fit hurler au contraire au plus fort. Elle voulait qu’Elena l’entende, elle voulait que la Reine s’émoustille en la regardant. Le voyeurisme était l’une des choses qu’Elena avait subi de la part d’Adamante. La magicienne avait tenu à éveiller sexuellement la jeune Reine, et, quand Elena avait eu ses premières floraisons, Adamante l’avait dissimulé dans un placard, l’empêchant de parler, l’attachant, ne le lui laissant que ses yeux, tandis qu’elle avait vu Adamante coucher avec deux amants dans sa chambre. Quand Adamante était revenue la voir, Elena mouillait et pleurait, incroyablement frustrée. Adamante l’avait fait jouir comme une folle, et, suite à ça, sa magicienne était aussi devenue sa formatrice sexuelle. Cela n’avait en soi rien d’exceptionnel dans ce genre de relations. Les enfants de riches familles avaient souvent une magicienne comme formatrice, et cette magicienne devenait aussi assez souvent une amante quand l’enfant avait grandi. Et, avec Adamante, on pouvait rapidement laisser de côté toutes ses retenues.

Leur public partit rapidement, et Adamante soupira encore, sentant les coups de reins d’Aldericht s’accentuer. Il continuait à la prendre, à la caresser. Elle-même soupirait longuement, sous ce rythme athlétique. Aldericht finit par jouir, et elle s’abandonna à son tour au plaisir suprême, tout son corps se contractant autour de la queue de l’homme, qui cracha sa semence en elle.

« Hmmmm… !! »

Elle-même goûta avec joie à l’orgasme, et poussa un cri de plaisir. Leur orgasme mutuel fut comme une explosion de magie rose alentour, susceptible de déclencher bien des pulsions chez le personnel qui aurait eu la mauvaise idée de se trouver à proximité de la chambre. Soupirant lentement, Adamante retrouva peu à peu son esprit, sentant les mains du Prince l’enlacer lentement. Elle s’en défit en se retournant, et l’embrassa tendrement, répondant à son baiser tout en posant sa main sur le sexe trempé de l’homme, le caressant doucement dans des bruits flasques. Elle se lécha ensuite les doigts, consciente qu’Aldericht ne pouvait la voir.

« Quelque chose me dit que tu as encore de l’énergie à revendre, Aldericht… Et c’est quelque chose que je veux vérifier ! »

Elle le poussa doucement, et se décala elle-même, finissant ainsi à genoux devant lui, ses deux mains jouant sur le sexe chaud et visqueux du Prince. Elle le redressa, et donna des coups de langue dessus, usant volontiers de sa magie rose pour qu’il retrouve sa dureté. Le prendre en bouche serait bien plus agréable ainsi !

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Re: Un désir de reconstruire et une soif de destruction [PV: Elena Ivory]

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Serenos Aeslingr
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« Majesté… Je ne voudrais pas vous congédier chez vous. Vous… Vous êtes le bienvenu. »

À cette invitation, Serenos eut un moment d’hésitation, pas parce qu’il était particulièrement prude, mais comme Elena l’avait suspecté, cela frôlait un peu l’incestueux pour les deux membres de la famille royale, mais ce n’était pas là le problème. Comme toute dynastie, les accouplements entre cousins, voire entre frère et sœur, n’était pas prohibé, parce qu’à une époque, c’était ainsi que l’on conservait la puissance de la famille royale, car n’éprouvant aucune influence extérieure, celle-ci pouvait donc agir dans son propre intérêt, sans devoir quoi que ce soit à une famille extérieure sous prétexte d’avoir des liens matrimoniaux. Le problème provenait du fait que leur relation était un peu tendu depuis des années.

« Esta tun agreda val irm ? » demanda le Roi, non pas pour exclure Elena de la conversation, mais parce qu’il voulait s’assurer que sa sœur lui dirait la vérité.

Elle répondit « Y esta agred vil tun agreda », avec un léger haussement d’épaule incertain. Après tout, elle ne s’était elle-même pas préparée à l’éventualité de se retrouver, un jour, dans la même chambre que son frère et partager avec lui les attentions d’un homme ou d’une femme. Mais visiblement, l’intérêt d’Elena et son enthousiasme avait un peu noyé ses appréhensions.

Serenos ramena alors son regard vers Elena. L’autre souci qu’il éprouvait, c’était le respect qu’il avait pour Liam et Nöly. Dans une autre vie, peut-être qu’Elena aurait été quelqu’un que Serenos aurait considéré comme une nièce, mais dans les faits, elle ne savait absolument rien de lui, et lui n’avait pas été exposée à la jeune demoiselle assez longtemps pour créer ce lien affectif. Au final, ils étaient des inconnus dont les chemins s’étaient croisés par le passé, tout simplement.

« Elle dit qu’elle est d’accord si je le suis, » expliqua le souverain à son invité, qu’il ne souhaitait pas garder dans l’ombre. « Voyons où cela nous mène, et au pire… »

« Oui, » surenchérit prestement Myrcella. « Au pire, on… »

« On arrête tout, » termina Serenos, qui la voyait trainer de la voix, puisqu’elle ne savait pas ce qu’il allait dire, en fait.

La duchesse regarda son demi-frère et joua nerveusement avec ses doigts, visiblement incertaine de ce qu’elle devait faire de sa présence et jusqu’où elle devait aller. Comme toute réponse, le Roi retira sa tunique, révélant alors son torse nu et ses muscles puissants, ainsi que les cicatrices d’un guerrier ayant passé de nombreuses années sur le champ de bataille. L’espace d’un moment, Myrcella le fixa elle-même, ses yeux accrochés à cette musculature. Le physique du Roi n’était pas semblable à celui des Meisaens, mais approchait davantage le physique des Nordiens, tout en étant pourtant gracié de l’harmonie physique de son clan paternel. Cependant, le regard du Roi remonta vers elle, et elle se sentit rougir malgré elle et elle détourna le regard. Elle n’était pas vraiment intimidée par Serenos ou par son corps, puisqu’elle l’avait déjà vu nu à l’occasion, ayant partagé les grands bains avec lui et d’autres diplomates ou politiciens Meisaens, mais c’était assurément la première fois qu’elle le voyait dans un contexte érotique. L’espace d’un moment, elle se demanda ce que c’était d’être dans les bras d’un homme de son calibre, de sentir ses muscles contre sa peau. Elle secoua cependant la tête.

Le souverain de Meisa s’approcha alors des jeunes femmes et s’arrêta devant Elena. Pour la guider dans les mœurs Meisaennes, Myrcella regarda son demi-frère puis se tourna pour lui présenter son dos.

« Tu sais comment le défaire ? » demanda-t-elle en pointant les boucles élaborées qui tenaient son soutien-gorge.

Le regard du Roi quitta Elena pour se concentrer un moment sur le nœud dans le dos de sa demi-sœur. Il jeta un coup d’œil vers Elena, avant de s’approcher de Myrcella et de se concentrer sur le nœud.

À l’œil avisé, les oreilles de Myrcella passèrent au rouge alors que les mains du Roi, massives et chaudes, glissèrent sur la peau nue de son dos alors qu’il défaisait les nœuds avec une remarquable dextérité. En quelques secondes, Myrcella eut un petit glapissement de surprise alors que le soutien-gorge tomba, s’arrachant de sa nuque et ses épaules, entrainé vers le sol par l’or et les pierres précieuses. Elle faillit cacher sa poitrine, avant qu’elle ne se rende compte du ridicule de cette idée. Maintenant que le soutien-gorge était hors de vue, Elena put voir la poitrine de Myrcella dans toute sa splendeur et remarquer d’ailleurs que ses tétons étaient percés d’un demi-anneau en d’or.

Elle put d’ailleurs remarquer que Serenos, pour sa part, n’avait pas de piercing, ce qui laissait croire que les piercings étaient peut-être liés aux préférences esthétiques de chacun ou alors peut-être réservés aux femmes.

Myrcella se glissa derrière Elena, et posa ses mains sur ses hanches, avant de venir poser un baiser au creux de son cou, puis sa mâchoire, relevant la main pour l’inciter à tourner le visage vers elle, s’emparant de ses lèvres, l’embrassant langoureusement, à plusieurs reprises. Elle s’interrompit pour adresser un coup d’œil vers le Roi, qui attendait les directives.

« Wevr doem lith draöm köpr ven nastra Lumen regilrin ? » demanda la jeune femme avec un léger sourire.

« Mygh sa bes, » rétorqua-t-il sur un ton poli.

« Venez, ma belle, mon adorable Reine, » susurra la duchesse au creux de l’oreille de l’étrangère, reposant de nouveau les mains sur les hanches de la demoiselle et la tirant lentement vers l’énorme lit. Elle grimpa alors dessus, puis attira la Reine pour qu’elle s’assoit, dos à elle.

Le Roi s’approcha alors et mit un genou en terre, levant les yeux vers Elena.

Myrcella remonta lentement les mains sur le haut de la demoiselle et glissa les doigts sur ses globes mammaires, taquinant doucement ses tétons à travers le tissus.

« Voyez, Elena ? Voici comment les Meisaens se comportent avec leur dame. Vous pouvez le toucher. Il est peut-être le Roi en dehors, mais ici… ici, il est tout à vous. Tout comme vous êtes à moi. Tout comme vous êtes à lui. À nous. »

Elle laissa les seins de la Reine et lui prit les mains, les posant sur le torse du Roi. S’efforcant de paraître insensible, la duchesse conserva son personnage.

« Touchez ses muscles… voyez comme il est fort. Peut-être peut-il briser un tronc d’arbre entre ses bras ? Mais avec vous, il doit être aussi doux… ou aussi féroce… que vous le voulez. »

Elle guida les mains de la Reine sur les épaules de Serenos, qui releva alors les bras, de chaque côté de la Reine de Lumen. Effectivement, les muscles du souverain étaient fort développés, et Myrcella la guida sur les bras du Roi, avant de relâcher les mains de la jeune femme, ne voulant pas la priver de sa curiosité.

Serenos resta remarquablement immobile, hormis ce geste, démontrant une grande patience, malgré le fait qu’il semblait apprécier le toucher d’Elena. Ils traitaient la Reine délicatement, testant ses intérêts, ses goûts, comme ils l’avaient appris aux mains habiles des filles de la Terre.
***

Aldericht Aeslingr
Adamante ne comptait visiblement pas simplement prendre quelques secondes de répit. En fait, elle s’était même déjà démontrée beaucoup plus joueuse et dégourdie qu’il n’aurait pu le prévoir. Très peu de gens étaient capable de continuer lorsque le Roi de Meisa arrivait au beau milieu de leurs ébats. Aldericht avait appris à ignorer l’existence quasi-omniprésente du Roi de Meisa, autrement il était difficile de fonctionner dans le palais avec une sensibilité magique comme la sienne, mais Adamante n’avait jamais été confrontée au Roi auparavant, pour autant qu’il sache. Bien que, dans les faits, Adamante avait déjà rencontré le Roi, et même dans sa très, très jeune jeunesse, elle ne semblait pas avoir éprouvé la moindre peur pour le Roi de Meisa, ou alors il ne s’en était jamais rendu compte.

À peine eut-elle clamé l’orgasme du Prince et le sien qu’elle était déjà prête à reprendre, et en raison de leur symbiose psychique, de leur proximité et de la puissante vague de plaisir qui s’était propagée dans tout le réseau de subconscience du palais, non seulement il savait qu’il serait assurément prêt pour un second round, mais il sentait déjà quelques groupes se former et s’enfermer dans les chambres environnantes.

Avec un air provocateur dans la voix, la Mélisaine lui dit : « Quelque chose me dit que tu as encore de l’énergie à revendre, Aldericht… Et c’est quelque chose que je veux vérifier ! »

« Je ne serais un piètre représentant de ma culture si un seul orgasme suffisait, Adamante, » dit-il avec un sourire. En vrai, il se sentait comme neuf, comme s’il était fraîchement reposé, ce qui était une merveille pour lui ; chaque journée était si terne et ennuyeuse que son esprit était toujours un peu fatigué.

Il ramena son attention sur Adamante, qui était maintenant à genoux devant lui. Bien qu’il ne puisse la voir distinctement, il arrivait à deviner sa position grâce aux tensions du lit, et, bientôt, il sentit ses mains sur son sexe qui reprenait déjà de la vigueur malgré l’orgasme récent en raison des caresses expertes et, probablement, à cause de la magie de la noble étrangère. À peine une minute de caresses sembla suffire pour rendre au Prince de Meisa un vît raide, dur et prêt à l’action.

Aldericht n’avait évidemment pas l’intention de laisser cette seconde vigueur être gaspillée. Après avoir goûté aux talents de la jeune femme, le Prince de Meisa avait une meilleure idée des préférences de celle-ci, et il était temps de rehausser le niveau quelque peu. Son sexe étant maintenant de retour en pleine forme, il s’ajusta un peu, puis tira légèrement la tignasse rousse d’Adamante pour se pencher sur elle et l’embrasser passionnément, à pleine bouche, mêlant sa langue à la sienne, avant de briser le baiser et de ramener le visage de la noble dame devant son membre, agrippant celui-ci de sa main libre pour le presser contre sa délicieuse bouche.

Le jeu allait débuter.

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Elena Ivory
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ELENA IVORY

Quand on ne savait rien sur une personne, il fallait voir la manière dont il faisait l’amour. C’était l’une des choses qu’Adamante disait à Elena, sans que celle-ci ne sache si elle était sérieuse ou non. Comme si le rapport sexuel gommait tous les mensonges et toutes les images qu’une personne aimait donner d’elle envers les autres. Proposer à Serenos de rester avec elles était risqué, Elena prenait le risque de froisser ses hôtes. Ils parlèrent de fait dans leur langue natale (un idiome qu’Elena ne connaissait pas). Elle sentait bien que cette proposition inattendue les avait surpris tous les deux, et que le Roi devait hésiter. Il avait connu ses parents, après tout. Curieusement, là où cette notion aurait pu instiller chez Elena une certaine répulsion, cela contribuait au contraire à l’exciter. Elle ignorait exactement quelle avait été la relation précise entre sa mère et Serenos. Avaient-ils couché ensemble ? Il n’aurait jamais osé l’avouer, mais elle trouverait l’idée amusante. Est-ce qu’elle serait meilleure que sa mère ? Ou non ? Elena avait peu connu ses parents, après tout.

Finalement, le Roi choisit de rester, et Myrcella commença à la dévêtir. Elena se laissa porter, et répondit aux baisers de la duchesse quand elle se glissa dans son dos, sentant son désir, une pulsion fiévreuse qui ne demandait qu’à se répandre. La Reine frémissait, et, quand ses seins furent mis à l’air nu, ses tétons durcirent. Elle soupira quand Myrcella les caressa, et l’embrassa donc avec appétit, sa salive remuant avec celle de Myrcella.

« Hmmm… »

Oh, que c’était bon ! Ce baiser savoureux, intense, sensuel… Cette femme savait y faire, indiscutablement ! Juste entre elles, Elena savait qu’elle avait pris son pied, mais elle devait aussi tenir compte de Serenos, et elle l’observa. Quand Myrcella parla de son torse, elle le regarda avec une lueur pétillante dans les yeux. Elle caressa son torse, glissant sur ses muscles, rougissant doucement.

« Je dois bien admettre que je suis plus habituée au torse d’une femme qu’à celui d’un homme… »

Adamante ou Luria étaient après tout deux femmes. Ici, il n’y avait pas la rondeur d’un sein. S’il y avait bien des tétons, ils étaient soudés à une peau épaisse. Elle s’en rapprocha, et embrassa son torse, déposant un baiser sur ses muscles, sentant l’odeur corporelle de cet homme. Elle frémit en sentant sa musculature.

« De tels muscles ne m’évoquent pas la douceur, Majesté… Quand je vous visualise avec de tels muscles, je vois un homme s’abattre sur moi, me faire hurler… Si vous êtes Roi en-dehors, je suis aussi Reine en-dehors. Ici, je ne suis qu’Elena, une femme suffisamment perverse pour souhaiter faire l’amour avec un homme et sa demie-sœur… »

Elena sourit malicieusement, et lui vola alors un baiser.

« …Alors, je crois que vous allez devoir me montrer que vous êtes capable de satisfaire deux femmes qui s’embrassent devant vous comme des affamées… »
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Adamante maîtrisait la magie rose. Et, depuis l’Olympomachie, quand elle avait débloqué ses pouvoirs d’Immortelle, il lui était difficile de pleinement contrôler sa magie. Cela était d’autant plus vrai avec la magie rose, la magie du désir, par nature incontrôlable et prompt à s’échapper. Ses orgasmes avaient généralement tendance à perturber les personnes environnantes, et elle n’y pouvait rien… Et peut-être même que cela lui plaisait. Elle et Aldericht venaient de jouir. Est-ce qu’elle savait qu’Elena était désormais occupée avec le père d’Aldericht ? Adamante avait très envie de goûter aux deux, de voir si la pomme était tombée loin de l’arbre ou non. Aldericht était aussi beau que fort, faisant preuve d’une endurance exceptionnelle. Adamante était sous le charme, et s’attaqua donc différemment à son sexe.

« J’en déduis donc que les Meisaens ont pour habitude de jouir plusieurs fois… Voilà une nation qui risque de me plaire. »

Elle sourit donc, même si Aldericht ne pouvait le voir. Sa verge trempée se durcit rapidement, et elle déposa un premier baiser dessus. La main du Prince tira sur ses cheveux, et Adamante soupira. Elle se redressa, et l’embrassa avec appétit, l’enlaçant en fourrant sa langue dans sa bouche. Elle posa ensuite sa main sur son torse glabre, et caressa sa peau, la griffant même légèrement.

« [coloàr=deeppink]Je dois admettre que tu es vraiment magnifique, Aldericht… Si jamais ton père t’envoie en mission diplomatique, viens aux Îles Mélisi, les Mélisaines craqueront sur toi et ton torse parfait ![/color] »

Ainsi que sur son sexe… Mais cela était évident ! Elle retourna d’ailleurs à sa possession, et embrassa encore sa queue, la léchant à plusieurs reprises, avant de pomper sa queue. Elle fourra son membre entre ses lèvres, puis referma ses lèvres dessus, commençant à remuer dessus. La magicienne fila d’avant en arrière, pompant avec appétit cette belle queue, aspirant l’air pour sucer cette queue. Sa langue glissait sur son membre, remuant sur sa verge avec amour…

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Serenos Aeslingr
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Si Serenos n’avait jamais confirmé si, oui ou non, la relation entre lui-même et Nöly avait une composante romantique, c’était parce que la vérité n’avait que peu d’importance, que ce soit pour elle ou pour lui. Si Serenos avait été le compagnon de couche de sa prédécesseur, alors tous seraient en droit de contester son héritage, sa légitimité, qu’ils aient tort ou raison. S’il ne l’avait pas été, le nier ne ferait que soulever des ragots et apporter les mêmes questionnements. Donc, Serenos se contentait de traiter la question avec désinvolture ; sans jamais l’adresser. Ainsi, les gens restaient sur leurs propres préjugés, mais sans réponse du Roi, ils ne pouvaient pas utiliser ses paroles contre lui. Évidemment, cela n’empêcherait jamais les ragots, mais au moins, ils n’auraient pas autant de substance.

Visiblement, la fille de Nöly, pour sa part, n’avait pas envie de jouer les cachottières. Elle avait un appétit, un appétit fort, et elle voulait qu’il soit satisfait. Et elle n’avait pas envie que ses partenaires ne lui fassent de façon. D’ailleurs, sa représentation orale de ce qu’elle imaginait d’un homme ne manqua pas de soulever un sourcil au Roi, avant que celui-ci ne se souvienne qu’Elena avait passé le plus clair de son temps chez les Melisi. Ce qui veut probablement dire qu’Adamante l’a exposée à une autre forme de vie intime que ce à quoi les filles de la terre aurait initié une débutante. Ce qui lui rappela alors une réaction étrange de Liam suite à son mariage à Nöly. Un sourire flotta sur les lèvres du Roi, qui s’amusait mentalement aux dépends de son vieil ami.

Alors qu’il évaluait mentalement son approche, il sentit les lèvres d’Elena se presser contre les siennes. Elles étaient douces comme la brise des champs, chaudes comme un soleil d’été. Elle le défia alors, l’informant qu’il devait devoir montrer qu’il était capable de satisfaire deux femmes qui s’embrassaient devant lui. Oh, l’adorable arrogance de la jeunesse. Le Roi eut un sourire amusé devant cette provocation, relevant ses énormes mains pour prendre le fin minois d’Elena entre ses doigts.

« Rappelez-toi de ces mots, Elena. » souffla-t-il, pressant doucement son front contre le sien. « Parce que je ne m’arrêterai que lorsque tu demanderas grâce et pardon. »

Les lèvres du Roi se posèrent alors sur les siennes, puis sa langue pénétra ses lèvres pour engager la sienne dans un bal endiablé.

Alors que le Roi embrassait la Reine de Lumen, celle-ci put sentir les doux petits pieds de la duchesse se glisser de chaque côté de son corps alors qu’elle s’asseyait derrière elle. Ils lui caressèrent les mollets, puis les genoux, avant que les mains du Roi ne quittent le visage de la demoiselle pour se poser sur ses cuisses ; les pieds de Myrcella remontèrent sensuellement à l’intérieur des cuisses, relevant le bas de sa robe et exposant sa culotte.

Serenos ne perdit pas un moment pour descendre, non sans venir mordiller le téton droit déjà bien dur de son homologue étrangère, puis continua son chemin pour glisser sa tête entre les cuisses de la Reine et venir lécher son sexe, les poils de sa moustache chatouillant les monts de Vénus d’Elena un instant, puis son clitoris exposé lorsqu’il glissait sa langue entre ses grandes lèvres pour venir caresser les petites de sa langue.

Myrcella agrippa alors la main d’Elena et la posa sur la tête du Roi, resserrant leurs doigts sur la royale crinière de cheveux. Elle relâcha cependant rapidement la main de la Reine pour lui donner les rennes du Roi, attirant plutôt la Reine contre elle, ses doigts longs et fins se posant sur sa poitrine et massant ses globes mammaires. Elle vint alors lui lécher l’oreille, partant du lobe jusqu’à la pointe, et lui mordilla le croquant.

« Tu sais… » murmura la Duchesse en lui bécotant le cou. « Feue ma belle-sœur m’a un jour conté qu’après avoir fait l’amour avec lui, elle était tellement exténuée qu’elle avait dû tenir le lit pendant huit jours. »

Serenos avait parfaitement entendu ce que sa demi-sœur venait de dire, et cette phrase était née d’un malentendu si éloigné de la réalité que le Roi dût se contenir de ne pas expliquer, parce que cela déroberait la scène de tout érotisme. La vérité était que, pendant la guerre, l’armée et le couple royal avaient été pris dans une tempête de neige. Profitant du froid comme prétexte pour se rapprocher, se réchauffer et faire leur devoir de couple, ils espéraient éviter d’attraper le mal en faisant l’amour, mais malgré des ébats longs et éprouvants comme elle les aimait, cela n’avait pas empêché feue la Reine de tomber malade. Elle avait tenu le lit pendant huit jours parce qu’elle était terrassée par une forte fièvre. Absolument aucun lien avec les exploits sexuels du Roi.

Celui-ci, d’ailleurs, décala son visage pour venir s’occuper du clitoris de la reine avec beaucoup plus d’attention, histoire de voir si la jeune femme était une femme dite clitoridienne ou pas. La langue du Roi était très râpeuse, à l’image de celui-ci, somme toute, et exerçait une bonne pression sur la petite bille rose. Alors que les lèvres du Roi s’occupaient de son clitoris, sa main vint remplacer sa langue au niveau de son intimité, et Elena put constater d’elle-même qu’il y avait une nette différence entre les doigts d’un guerrier et ceux d’une magicienne. Alors que le Roi insérait un majeur en elle, lentement, pour stimuler son sexe, celui-ci devait faire au moins une fois et demie la taille de celui d’Adamante ! Mais le Roi était mesuré, et explorait encore les préférences de la jeune Reine.

La main libre du Roi finit enfin par quitter le genou d’Elena, remontant légèrement sa cuisse avant de frôler le pied de la Duchesse, qui tressaillit alors derrière Elena. Elle émit un mot dans sa langue natale, qui sonnait un peu comme un avertissement, suivi d’un gémissement alors que la grande main du Roi se posa sur sa cuisse et en massa le galbe généreux. Contrairement au Roi qui avait une grande résistance aux sensations physiques, sa demi-sœur n’avait jamais mis le pied sur le champ de bataille, et n’avait connu que la douceur des étreintes des filles ou fils de la terre, et donc était très, très, très réceptive aux caresses. Pas pour rien qu’elle avait une réputation chez ces gens.
***

Aldericht Aeslingr
« J’en déduis donc que les Meisaens ont pour habitude de jouir plusieurs fois… Voilà une nation qui risque de me plaire. »
« Pas tous, mais on nous apprend à se dévouer. »

Aldericht jugea bon de ne pas interrompre le travail d’une artiste avec de trop longues explications, mais pour l’intérêt des lecteurs, les traditions Meisaennes renforçaient une approche plus saine des relations sexuelles. Le sexe n’était pas qu’un moyen de procréer, c’était une communication, et comme toute forme de communication, il était important de savoir communiquer, et parfois, certains partenaires avaient beaucoup plus à dire que l’autre. Il était de mauvais ton de clore une intéraction unilatéralement, donc beaucoup de jeunes hommes apprenaient très tôt à ne pas voir leur propre orgasme comme la fin d’une rencontre, mais un agréable début, et d’apprendre à utiliser corps et jouets pour satisfaire les désirs de leur partenaire. Une expérience qui, pour un aveugle comme Aldericht, était incroyablement stimulante car, privé d’un sens, il avait simplement appris à être plus attentif.

« Je dois admettre que tu es vraiment magnifique, Aldericht… Si jamais ton père t’envoie en mission diplomatique, viens aux Îles Mélisi, les Mélisaines craqueront sur toi et ton torse parfait ! »

Aldericht sentit un léger sourire se former sur ses lèvres, sourire qu’il s’empressa de réprimer. Il voulut lui dire ‘seulement si vous y êtes’, mais il n’était pas encore prêt à admettre sa fascination pour la jeune femme, surtout qu’ils ne se connaissaient pas vraiment. Cela pouvait sembler étranger pour un œil extérieur, mais une aura comme celle d’Adamante était extrêmement rare en Meisa, et pas qu’en Meisa ; elle épousait à merveille l’aura plus calme et mesurée d’Aldericht.

Le Prince n’en était pas à la première femme à lui faire une fellation, mais Adamante se distinguait non seulement par son habileté dans cet art, mais aussi par l’enthousiasme qu’elle mettait à cette tâche ; loin d’avoir l’air de se soumettre aux bas plaisirs du Prince, elle semblait plutôt prendre son pied à le voir réagir à ses caresses. Le fils du Roi haleta de plaisir alors que sa belle magicienne pompait sa queue avec force, comme si elle essayait de l’avaler tout rond, ses lèvres pulpeuses glissant du gland jusqu’à la garde, sa délicieuse langue titillant tantôt son gland ou la chair de son sexe. Les doigts du Prince se resserrèrent un peu plus sur les cheveux de la magicienne, et en réponse à la fougue de la Mélisi, il vint à sa rencontre au rythme de ses mouvements, enfonçant de plus en plus sa queue dans la gorge chaude et invitante de l’étrangère.

Évidemment, avec la technique d’Adamante, elle ne tarda pas à arracher un nouvel orgasme au magicien de Meisa, qui cracha une nouvelle salve de foutre dans sa gorge, enfonçant profondément sa queue en elle. Il recula après un moment, saisissant son sexe et le retirant de la bouche de la jeune femme, un mélange de foutre et de salive l’accompagnant. Joueur, il tapota son sexe visqueux, mouillés de fluides sur les lèvres de sa belle. Le prince repoussa alors Adamante et se releva du lit. Il saisit alors la jeune femme par le bras et avec fermeté, mais douceur, la ramena sur le bord du lit, l’incita à se retourner et, les mains sous les genoux, la souleva du lit, plaquant le dos de la jeune femme contre son torse et pressa son gland contre sa rondelle, et l’empala lentement mais fermement dessus.

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Elena Ivory
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ELENA IVORY

Coincée entre le Roi et sa sœur, Elena se montrait vantarde. Mais, s’il y avait bien un endroit et un moment où on pouvait l’être, c’était bien au moment de faire l’amour, non ? Myrcella ne s’y trompa pas, d’ailleurs, car, tout en se blottissant contre elle, elle fit remarquer à Elena que le Roi avait déjà baisé une femme au point de la faire dormir pendant huit jours ! Elena sourit en se mordillant les lèvres, espérant que l’homme tiendrait ses promesses. Il avait décidé de commencer en douceur, s’agenouillant lentement devant Elena, explorant son corps, titillant ses seins. Elena avait une poitrine tout à fait agréable et admirable, même si elle n’avait pas le tour de poitrine d’Adamante. De quoi peut-être la faire complexer, mais pas assez pour qu’elle n’apprécie pas ce qu’elle vivait là. Elle sentit le corps de Myrcella se lover contre elle, et frémit lentement quand la bouche du Roi s’approcha de son sexe. Il la titilla, effleurant son bourgeon avec ses pieuses lèvres.

« Hmmm… Voilà une langue royale, elle parle aussi bien qu’elle agit… »

Elle avait pu noter que Myrcella semblait très douée de ses pieds, allant même jusqu’à préférer caresser le corps d’Elena avec plutôt que de se servir de ses mains. Elena frissonnait doucement, et se retourna vers Myrcella, venant quémander un baiser. Les deux femmes s’embrassèrent, et Elena posa ensuite ses deux mains sur chacun des pieds de Myrcella. Elle sentit le corps de l’intéressée trembler sur place, son baiser s’accentuant.

« Hmmm… ! Tu as l’air d’aimer les contacts sur tes pieds, Myrcella… »

La Reine lui sourit doucement, et continua à se tortiller lentement, ayant de plus en plus chaud à hauteur de son bassin, là où Serenos léchait avec appétit cette zone. Le désir chauffait lentement, croissant en elle, humidifiant son entrejambes…
*
*  *
ADAMANTE MÉLISI

Adamante pompait ce dard avec soif, glissant sur sa queue. Elle le suçait avec appétit, avec envie, jouant avec ce solide membre qui remontait dans sa bouche. Même si Aldericht était non-voyant, Adamante percevait le désir dans tout son corps, sur son visage, sur la manière dont ses muscles se crispaient, dont il retenait ses soupirs… Ou à travers la dureté de sa queue. Elle la léchait, y approchant délicatement ses dents, sans mordre, mais simplement pour mieux ressentir l’épaisseur et la dureté de ce solide membre. Aldericht était très excité, naturellement, tout comme Adamante, qui sentait sa chatte se réchauffer. Et, de fait, tandis qu’elle continuait à jouer de sa langue avec son membre, à le fourrer entre ses lèvres, elle se masturbait volontiers, deux de ses doigts jouant avec son sexe trempé.

« Hmm… Mmmhmm… »

La magicienne soupira. Lui non plus ne parlait plus, il n’en avait pas besoin. Son regard et sa queue parlaient amplement pour lui. Adamante n’avait pas besoin de plus, et elle continuait à le pomper avec appétit, soufflant lourdement. Elle remuait d’avant en arrière, sentant le membre du Prince en elle. Adamante continuait à jouer, optant pour des gorges profondes, jusqu’à sentir le sperme de l’homme juter abondamment dans sa bouche.

*Ah, voilà ma portion !*

En recueillant ce liquide sacré et intime, les yeux d’Adamante virèrent brièvement au rose. Elle se redressa lentement, la bouche pleine du nectar du Prince, qu’elle avalait lentement, déglutissant en prenant les gorgées. Le Prince de Meisa se déplaça encore, envieux de passer à la suite, et n’ayant pas envie d’en rester là. Adamante se retrouva sur le lit, Aldericht dans son dos, et elle le sentit soupirer, son souffle rauque, sa verge s’approchant de ses fesses. Adamante se mordilla doucement les lèvres en relevant la tête, et sourit ensuite.

« Vas-y… Prends-moi par là, fais-moi couiner comme une chienne ! »

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Re: Un désir de reconstruire et une soif de destruction [PV: Elena Ivory]

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Serenos Aeslingr
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(J’vais un peu me concentrer sur Elena, mais on continuera pour Adamante/Aldericht bientôt, j’suis juste en train de faire une panne xD)

Myrcella n’était pas une amourelle n’ayant jamais tenu une bonne femme dans ses bras, mais l’attitude débonnaire et bon vivant d’Elena la prenait quand même un peu au dépourvu. Après tout, elle était nettement plus jeune qu’elle, et pourtant si dégourdie et entreprenante que si elle n’avait pas eu son âge, elle aurait peut-être été déstabilisée. Elle ne se laissa cependant pas distraire par le choc culturel, accordant de nouveaux baisers à la demoiselle qui semblait, pour sa part, bien s’amuser, au point d’oser de petites piques affectives à l’égard du Roi, lui lançant ouvertement un compliment sur ses caresses intimes.

Visiblement, le Roi fut fort satisfait de ce compliment, car il augmenta la cadence et la pression de sa langue sur la petite bille d’amour de la Reine, aspirant et têtant le petit organe pour arracher des chants de plaisir à son homologue.

Le Roi sentit alors un geste rapide des pieds de sa sœur et quelque chose le frappa sur le côté de la tête, lui arrachant un grondement. Il entendit un petit cri de surprise, et il reconnut la voix de sa sœur.

« P-pas les pieds ! » objecta-t-elle sur une voix douce et suppliante qu’il ne reconnaissait pas.

De fait, ils ne se connaissaient pas assez pour que le Roi sache que sa sœur était, de fait, très sensible de la plante des pieds, et juste l’idée qu’ils soient touchés lui arrachaient des spasmes involontaires. Elle remarqua alors la tête du Roi qui s’était levé de l’entrecuisse de la Reine pour les regarder, et elle dût s’efforcer de ne pas rougir de honte ; elle venait de flanquer un coup de pied au Roi !

« Tout va bien ? » demanda-t-il, plus par mécanisme que par véritable souci.

« O-oui, je ne m’y attendais pas, c’est tout… ! » répondit la duchesse en contrôlant au mieux son embarras. « Pardon, sire. »

« Serenos, » corrigea-t-il, sans fermeté.

Il se hissa un peu sur le lit, posant les mains sur les cuisses nues d’Elena, approchant son visage du sien avant de plaquer un baiser sur ses lèvres, pressant son corps massif contre le sien. Sous la pression, Myrcella perdit l’équilibre et tomba sur le dos, suivie d’Elena. Serenos plongea un moment son regard bleu dans le sien, puis se pencha, s’emparant des lèvres de la jeune Reine, sa langue envahissant sa bouche avec douceur mais fermeté, plaquant son torse contre le sien, glissant ses mains sous elle pour attraper ses fesses et les pétrir dans ses doigts épais, soulevant son bassin pour le presser contre son abdomen.

Il brisa le baiser après quelques secondes, une main quittant les fesses de la Reine pour remonter le long de son corps de jeune femme et sa large main engloba complètement son sein gauche ET la main de Myrcella, malaxant le premier, avant que la main de Myrcella ne s’échappe et se pose sur la sienne, pour qu’il la touche directement, et il reprit son massage, revenant vers la Reine pour l’embrasser langoureusement.

Tout en gardant la Reine contre elle, les mains de Myrcella descendit alors et se glissa entre les cuisses d’Elena, commençant à presser les doigts de sa main droite contre sa petite bille d’amour, la caressant du majeur et de l’annulaire, alors que la main gauche venait chercher les cordons qui retenaient le pantalon du Roi. Après quelques secondes d’effort, celui-ci céda et, après une brève hésitation, la duchesse s’empara du sexe de son demi-frère pour l’en faire sortir et celui-ci tomba contre le bas-ventre d’Elena.

Remarquant ce qu’elle faisait, le Roi brisa le baiser pour se relever sur le bord du lit, son membre pendant devant la Reine et la Duchesse, la main de celle-ci toujours sur son membre. La duchesse regarda un moment Elena, et lui souffla doucement à l’oreille des encouragements.

Re: Un désir de reconstruire et une soif de destruction [PV: Elena Ivory]

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Elena Ivory
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ELENA IVORY

Myrcella, sensible des pieds ? Il fallait le croire, vu la manière dont elle réagit quand Elena les effleura. Elle n’avait pourtant fait que les caresser, mais cela déclencha chez la femme un spasme involontaire, perturbant Serenos dans sa succion. Elena en rougit, plus amusée que véritablement peinée. Le Roi tâcha de s’enquérir de l’état de sa sœur, et, quand elle lui confirma qu’elle allait bien, Elena tourna la tête vers elle.

« Fais attention à ce qu’Adamante ne découvre pas ta sensibilité, elle en profiterait volontiers… Elle m’a déjà fait ça, avec sa magie rose, augmenter la sensibilité de mes pieds pour me faire jouir en me léchant. »

Espiègle et effrontée magicienne ! Adamante lui avait expliqué que ses pieds étaient reliés au reste de son corps, et notamment son bassin, par plusieurs nerfs, qu’elle avait caressé du doigt. Le nerf sciatique, s’il était à l’origine de bien des difficultés pour marcher, reliait le pied au bassin, filant par la jambe. Certains masseurs talentueux, en s’attaquant à la voûte plantaire, parvenaient à stimuler le nerf sciatique jusqu’au bassin, et aux organes génitaux. Le même raisonnement fonctionnait en soi avec tout le reste du corps. Elena sortit de ce type de pensées quand Serenos délaissa son sexe pour son visage. Elle frémit en sentant ce corps musclé et massif sur le sien. Il s’écrasa sur elle, et les seins aux tétons durcis de la Reine s’enfoncèrent contre sa peau musclée. Il l’embrassa, et elle soupira au contact de sa barbe. Elle était plus habituée à des mentons féminins, imberbes, mais les poils de Serenos ne la dérangeaient pas… Au contraire.

Il l’embrassa, et elle posa sa main sur sa nuque, serrant ses cheveux, sentant ses tétons durcir quand le Roi palpa ses seins, sa solide et puissante main serrant son sein, appuyant sur le téton. La différence d’âge était palpable, l’homme avait l’âge de son père, mais, loin de refréner Elena, cette différence semblait l’exciter. Les mains de Myrcella vinrent compléter le tableau, stimulant la jeune Reine, tout en déshabillant Serenos. C’est ainsi que son pantalon glissa de ses jambes, libérant un membre imposant, un vit durci. Myrcella déplaça ensuite Elena, et les deux femmes se retrouvèrent finalement devant le sexe tendu de Serenos, un membre assoiffé qu’Elena observa avec envie. Aucune innocence déplacée ne se lisait dans son regard, c’était le regard intéressé et sexuel d’une femme qui observait ce membre avec soif.

« Oh… Vous avez… Un joli membre, Serenos. »

Myrcella se lova dans son dos, et Elena se retourna vers elle, en lui souriant, et murmura à son tour dans le creux de son oreille :

« Masturbe-moi pendant que je le suce… »

Envolé, le ton protocolaire ! Elena le remplaçait par la sincérité de mots crus et dénués d’ambiguïté. Agenouillée sur un sol moelleux, elle se rapprocha de ce membre, et caressa la verge de Serenos, la tenant entre ses deux mains. Elle le masturba, puis déposa des baisers dessus, et commença à le lécher, reniflant cette odeur. Une odeur vive, l’odeur du sexe, et elle releva son regard, croisant les yeux de Serenos. Puis, Elena ouvrit la bouche, et commença à prendre ce membre en bouche, et à remuer dessus, refermant ses lèvres dessus, l’emprisonnant entre ses lèvres pour le pomper doucement et tendrement…

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Serenos Aeslingr
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« Fais attention à ce qu’Adamante ne découvre pas ta sensibilité, elle en profiterait volontiers… Elle m’a déjà fait ça, avec sa magie rose, augmenter la sensibilité de mes pieds pour me faire jouir en me léchant. »

« J’en prendrai note ! » répondit la duchesse.

L’idée de se voir torturée par une étrangère jusqu’à l’orgasme aurait pu l’intéresser dans certains contextes, mais l’idée que cela lui soit infligé contre son gré était plutôt terrifiant pour une Meisaenne ; le consentement, pour un homme comme pour une femme, était un droit sacré et farouchement défendu, un droit qui, lors que violé, demandait une rétribution sévère et rapide.

L’attention d’Elena ne tarda pas à revenir sur le Roi, cependant, alors qu’il la couvait de caresses et de baisers, et bientôt, elle se retrouva devant son membre nu. Elle ne sembla fort heureusement pas intimidée ou inconfortable, bien au contraire ; elle semblait intéressée, curieuse et excitée. Elle alla même le complimenter sur sa verge, ce qui arracha un sourire au Roi, qui s’abstint de mentionner qu’il avait entendu la même chose venant de Nöly, à une époque. L’influence de Jamiël, probablement.

Après avoir présenté ses demandes à la duchesse, la Reine de Lumen s’approcha du Roi, quittant le lit pour se laisser tomber sur le sol devant lui, rapidement suivi par Myrcella qui se débarrassa de ses derniers vêtements avant de se placer derrière l’étrangère, un peu sur la gauche, une jambe entre les siennes et elle attira légèrement ses fesses blanches contre la peau de son bassin, alors que la Reine s’emparait du sexe du Roi et commençait à le suçer.

Normalement impassible, le regard du Roi ne manqua pas de trahir son plaisir alors que les douces lèvres de la Luméenne se resserrait délicieusement contre sa queue, soutenant le regard d’Elena avec un désir brûlant. La tête d’Elena se décala lentement, et son sexe dur glissa contre sa délicieuse langue chaude, gagnant en fermeté.

Entretemps, Myrcella ne laissa pas Elena sans attention, glissant ses doigts le long de son dos, sa main gauche remontant sur sa nuque et agrippant sa chevelure brune entre ses doigts, se rapprochant alors de l’oreille d’Elena et lui lécher doucement le lobe, avant de le sucer, alors que, de la main droite, elle venait s’occuper du sexe moite et excité de la petite Reine. Elle lui avait demandé de la masturber, et la Duchesse n’était que ravie de s’exécuter, et elle commença alors à caresser la bille d’amour gonflée de sang de la Reine, la frottant vivement contre ses doigts, et pour un moment, elle se contenta de stimuler la reine ainsi.

Après un moment, cependant, elle tira doucement sur les cheveux d’Elena, la forçant à quitter le sexe de Serenos pour s’emparer de sa bouche, l’embrassant passionnément, sa langue s’enfonçant dans la bouche souillée de salive et de présperme royal. Après le baiser, elle se tourna vers le Roi, lui adressant un bref regard puis, sous les yeux d’Elena, et sans la relâcher ou cesser de la masturber, elle s’empara de son vit, et l’enfonça dans sa bouche juvénile, arrachant au Roi un râle de plaisir.

Serenos agrippa alors la tête de sa demi-sœur et enfonça sa verge entre ses lèvres, la faisant de plus en plus profondément dans sa gorge sous les yeux de la Reine de Lumen, et répéta l’expérience à plusieurs reprises avant de regarder Elena, retirant sa queue de la gorge de la duchesse avant de lui présenter de nouveau, venant rejoindre la main de sa sœur de la sienne avant de venir l’enfonçer dans la bouche de la Reine, mais sans lui faire subir la même chose ; après tout, le réflexe de déglutition était une chose fort peu plaisante pour qui que ce soit.

« Alors, Serenos… sois franc, laquelle de nous deux a la meilleure bouche ? »
« Elena, » dit-il sans perdre un instant.

La duchesse pouffa de rire avant de regarder Elena et repousser légèrement le Roi pour l’embrasser de nouveau, dégustant ces délicieuses lèvres royales encore humide de salive pendant un moment, sa langue pressant avec insistance contre la sienne, avant qu’elle ne recule.

« Hmm… plus douce, certes… »

Elle tira légèrement le bassin de la Reine et lui pressa les fesses contre son bas-ventre alors qu’elle insérait deux doigts dans sa chatte humide.

« Mais sait-elle chanter mieux qu’une fille de la terre ? »

Elle commença alors à faire venir et aller ses doigts en elle, stimulant ses parois intimes et pressant avec insistance sur certaines parties du vagin de la Reine pour trouver son point faible, tout en lui collant le visage contre la verge du Roi de Meisa, qui ne tarda pas bientôt à bâillonner la Reine de nouveau.

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Elena Ivory
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Elena et Myrcella étaient toutes les deux bien occupées à flatter le vit royal de Serenos. C’était une solide queue, et, si Elena était plutôt habituée à sucer la verge d’une hermaphrodite, elle pouvait noter les ressemblances et les différences. L’odeur, pour commencer. Elle était différente, plus ferme, plus prononcée… Les poils, également. Il y en avait beaucoup, toute une foison de poils pubiens s’articulant autour de l’organe. Et puis, il y avait des soupirs différents. Un homme ne gémissait pas comme une femme, et elle le percevait. Oui, elle notait ces infimes différences, et ça ne la déplaisait pas. À Lumen, son cercle proche était presque exclusivement féminin : Adamante, Luria, Jamiël… Les hommes n’étaient pas si nombreux que ça ! Mais là, elle avait un magnifique échantillon devant elle, et elle ne comptait pas le laisser partir si facilement ! Elena avait donc commencé à le sucer, à le pomper, sentant avec délectation sa verge grossir et durcir dans sa bouche. Elle appuyait davantage, comme pour mieux sentir ce vit dans sa bouche, cette verge qui l’étouffait à moitié.

« Hmmm… »

Ce fut Myrcella qui la retira de ce sexe, et qui la remplaça, après un baiser plein de fougue et d’envie. Myrcella suçait un peu plus rapidement, et on sentait chez elle une maîtrise plus prononcée. Elena rougit doucement en déglutissant, le goût du sexe du Roi encore contre ses lèvres. Elle entendait Myrcella soupirer, et elle pouvait voir les muscles de Serenos se crisper légèrement sous ce contact. La main de la jeune Reine glissa sur le dos de Myrcella, et, comme la Duchesse à l’instant, elle la caressa doucement, tout en se rapprochant encore, comme passionnée, subjuguée par un tel spectacle. Elle vit la main de Serenos se crisper sur les cheveux de Myrcella, et elle pouvait sentir le désir sur son visage, crispant ce dernier, lui faisant remuer les yeux plus rapidement. Elena se mordilla les lèvres en voyant ses muscles, ce corps massif et assoiffé, et en s’imaginant être prise par un tel homme…

Serenos, qui croisa le regard d’Elena, retira alors sa hampe de chair de la bouche de Myrcella, et lui présenta son membre. Elle soupira, et le reprit donc naturellement en bouche, ses lèvres ondulant sur ce gros membre. Elle soufflait, aspirant l’air entre ses lèvres, tout en le pompant. Sa main se posa sur la base de sa verge, et elle releva ses yeux, le voyant osciller entre elle et Myrcella. Elles s’étaient déjà embrassées une fois lors de cette double succion, et elles le firent encore, mais, cette fois, Elena fut un peu plus réactive. Elle répondit à ce baiser, gémissant doucement, puis repartit ensuite à l’assaut.

« Hmmm… !! »

Occupée à pomper sa verge, Elena sentait que Serenos approchait doucement du point de rupture, et elle avait hâte de partager sa semence avec Myrcella. La Duchesse se glissa dans son dos, et commença à la faire « chanter » en glissant sa main entre ses cuisses.

« Mmmhmm… »

Elle gémit lentement, sentant les doigts de Myrcella se glisser en elle, se délectant de son jus, de son nectar intime. Elle soupirait encore, tout en ondulant sur ce membre, le prenant jusqu’à la garde, impatiente de le faire jouir, de le sentir se vider en elle… Oh, cette idée ne faisait que l’exciter davantage ! Ses cuisses se comprimaient, son corps s’enflammait, le désir montait, irrépressible, la rapprochant de l’orgasme, elle aussi…

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Serenos Aeslingr
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Encore une fois, et Serenos ne saurait diminuer la surprise que cela lui évoquait, Elena se montra encore plus lubrique qu'elle n'y laissait paraître. Il n'aurait pu dire si cela provenait d'un esprit de compétition ou simplement par un appétit refoulé depuis trop longtemps, mais elle ne refusa en rien de lui accorder toute son attention, dévorant son sexe avec une lascivité surprenante pour une femme du continent, mais qui ne déplaisait pas du tout au souverain de Meisa.

Entre les mains de Myrcella, Elena devenait une petite cantatrice, gémissant malgré le membre qui lui obstruait la gorge, et cela semblait motiver la fratrie royale, le premier glissant ses doigts dans les cheveux soyeux de la Reine de Lumen, coulissant avec vigueur son vît dans sa gorge, râlant de plaisir en la sentant le prendre complètement, jusqu'à ce que, finalement, à force de stimulation aussi délicieuse, Serenos resserre son étreinte sur elle, enfonçant sa queue jusqu'à la garde dans la bouche de la fille de Liam, la forçant à déglutir une généreuse quantité de sa semence royale. Il ne la relâcha cependant pas immédiatement, soutenant son regarde, avant se retirer de sa bouche avec une lenteur exagérée, mais jusqu'à ce que la Reine aspire de l'air et toussote légèrement, le membre de Serenos dégoulinant de salive et de sperme pointant devant elle.

Myrcella se pencha sur elle et lui mordilla son épaule d'Elena, continuant d'enfoncer ses doigts dans sa chatte humide, avant de lever les yeux vers Serenos et, se redressant un peu, elle vint nettoyer cette grosse queue d'homme de sa semence et de la salive royale qui la couvrait, non sans avaler le mélange des deux, et de revenir embrasser Elena, sa langue se glissant dans sa bouche souillée et l'embrassant avec un abandon complet, jusqu'à ce que la Reine n'atteigne son premier orgasme, accélérant ses mouvements en elle et sur son clitoris.

Après le premier orgasme de la Reine, Myrcella retira lentement ses doigts de sa chatte et brisa leur baiser, avant de venir lécher ses doigts couverts de nectar, ses yeux plongés dans les siens un moment avant qu'elle ne prenne son visage et l'embrasse de nouveau, puis lui fait tourner la tête vers Serenos. Elle lécha alors l'oreille d'Elena, lui embrassant le lobe avant de susurrer.

"Serenos?"

Le regard du Roi se plongea dans celui d'Elena.

"Elena a envie d'un homme, je crois", elle lui bécota le cou. "Et un homme qui la ravagera comme un Nordien sur une villageoise de frontière de clan."

Certains pourraient croire que cela est particulièrement dégueulasse, parce que s'en prendre aux filles de village était simplement un geste odieux, mais ça, c'était avant de se souvenir que les guerres de clan, surtout dans les temps modernes, étaient des compétitions tout ce qu'il y a de plus amical. Certes, il y avait un mort ou deux à l'occasion, mais les femmes qui restaient au village pendant un raid étaient souvent là justement pour rencontrer un mari potentiel, parce que non content de devoir passer au travers de gaillards passionnés de violence, la nordienne typique était aussi farouche que ses pairs masculins.

Serenos regarda sa sœur puis lui fit un signe de s'éloigner un peu, histoire de lui laisser le champ libre, et il saisit le fin minois de la Reine de Lumen et plaqua sur ses lèvres un baiser, mais contrairement au baiser plus délicat de plus tôt, ce baiser avait quelque chose d'agressif. De bestial. De dangereux. Elena sentit ses dents se presser contre la lèvre inférieure du Roi et, dans ce geste brusque, taillada légèrement celle-ci avec les dents du bas. Le Roi la repoussa alors sur le lit, l'étalant dans les draps, avant de grimper derrière elle, lui saisissant les mains et les tenant fermement, avant de se pencher sur son cou.

Le Roi posa des baisers dessus, puis s'empara de sa chair et la suça un brin douloureusement, à plusieurs reprises, laissant de belles marques violacées sur sa nuque, puis son buste, descendant sur ses seins pour aspirer la peau de ses mamelles nues, mordant délicieusement dans ses tétons érigés.

Il lui releva alors les mains au dessus de la tête et les tint en place d'une des siennes avant d'agripper la robe et la déchirer sans ménagement (un couturier en Lumen sent une part de son âme lui échapper), découvrant l'abdomen de la reine, avant de répéter la même chose avec la partie inférieure, dévoilant ses cuisses douces, délicates, délicieuse.

Pendant que le Roi dévorait les atours de la Reine, Myrcella prit la peine de retirer ses propres vêtements, faisant tomber ce qui restait de ceux-ci sur le sol, et elle grimpa de nouveau dans le lit, contournant lentement, à quatre pattes, le duo royal, remontant jusqu'aux coussins dans lesquels elle s'adossa confortablement. Elle écarta alors ses jambes et glissa une main entre ses cuisses, commençant à se masturber en les regardant faire, massant et pincant le téton de son sein gauche par la même opportunité.

Sous les yeux de sa sœur, le Roi s'immisca entre les cuisses d'Elena, la dominant de son énorme carrure de guerrier, et celle-ci put sentir son gland se presser contre sa chatte. Le silence du Roi semblait, évidemment, délibéré; l'idée était de lui donner une impression d'être baisée par quelqu'un qui ne comprenait pas sa langue. Elle sentit alors le vît royal la pénétrer, écartant ses parois vaginales dans un geste délibérément brusque, mais non violent; le but était de satisfaire son désir d'être prise avec force, pas de lui faire du mal, après tout.

Il ne la laissa cependant pas longtemps reprendre ses esprits, car il lui saisit les hanches et commença immédiatement le mouvement des hanches, retirant sa queue puis revenant, et encore, encore, toujours plus profondément, testant les limites de la tolérance de la Reine de Lumen.

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Elena Ivory
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Elena put dire adieu à sa robe quand Serenos sembla se décider à passer à la vitesse supérieure. Myrcella s’était d’ailleurs écartée, comme pour ne pas en rater une miette. La jeune Reine n’était plus une petite fille innocente, c’était bien une femme, une femme qui connaissait les choses de l’amour, et qui les appréciait pour ça. Et puis, physiquement, Serenos ne faisait pas si vieux que ça. Certes, il était bizarre de se dire que l’homme qui était en train de déchirer sa robe, l’homme dont elle sentait le renflement puissant de sa verge contre ses fesses, avait connu sa mère quand elle-même n’existait pas encore, et avait peut-être même couché avec elle… Mais, tout aussi étrange que cela fut, Elena ne pouvait s’empêcher d’en ressentir un doucereux frisson d’excitation supplémentaire. Elle sursauta doucement en entendant le tissu de la robe se déchirer. Elle rougissait alors qu’il s’efforçait de piétiner sa belle robe.

« Majesté… Vous êtes si brutal ! » gémit-elle.

Myrcella se déshabilla également, s’installant sur le recoin du lit. Elena rougit en la regardant, voyant ses longues jambes fuselées, et sa main qui venait se masturber, son sourire enjoué et ses yeux impatients les fixant. Une vision qui aurait sans doute focalisé l’attention d’Adamante, mais le regard d’Elena glissa rapidement sur le corps massif de Serenos. Sa longue barbe épousait un torse fourni et massif. Elle posa sa main sur son torse, serrant ses doigts sur sa peau, frémissant devant ce corps puissant, un corps de guerrier. Les rougeurs sur ses joues persistèrent naturellement, et Serenos se rapprocha d’elle. Un homme qui la ravagera… Dans l’absolu, Myrcella avait plutôt bien résumé l’idée, et c’était ce à quoi Elena allait avoir droit, elle le sentait ! Il se rapprocha encore d’elle, et elle pouvait lire le désir dans ses yeux, un regard de prédateur qui aurait pu l’effrayer, mais qui, en ce moment, ne contribuait en réalité qu’à l’exciter davantage.

Il se rua contre elle, et elle soupira, gémissant… Et le sentit venir. Il perça dans sa chair, sa verge se glissant avec impatience et royauté dans sa chatte trempée. Elena déglutit, couina, et poussa un petit cri, un gémissement délicieux, ravissement des oreilles. Cela lui en coupa le souffle, et elle releva ses jambes, les enroulant autour de son bassin, tout en s’appuyant d’une main sur sa nuque. Elle sentit les fermes mains de Serenos empoigner ses hanches, lui offrant ainsdi l’appui dont il avait besoin, et il grogna alors, donnant un coup de reins. Le dos d’Elena heurta le mur à côté du lit, et elle poussa un cri supplémentaire, avant de sentir Serenos remuer en elle, commençant des coups de reins bien plus amples.

« Haaa… Ma-Majesté, hmmm… !! »

Elle soupirait doucement, et l’embrassa fiévreusement. Ses lèvres tremblaient nerveusement, et Elena banda ensuite ses muscles, comme pour raffermir sa prise sur l’homme qui était en train de la prendre.

« Bai… Baisez-moi, haaa … ! »

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Re: Un désir de reconstruire et une soif de destruction [PV: Elena Ivory]

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Serenos Aeslingr
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« Majesté… Vous êtes si brutal ! » gémit-elle.

Protestation vide si elle en était une, quoique le Roi ne se priva pas de faire une note mentale de la dédommager. C'était, après tout, une très belle robe.

Visiblement, la perte de ses vêtements et le comportement du Roi ne déplut pas à la Reine, car elle ne manqua pas se montrer beaucoup plus réceptive à ce coït que prévu. Comme quoi, l'idée de se faire passer dessus par un guerrier lui plaisait, mais ce n'est pas pour autant qu'elle avait un fantasme du viol, une chose qui l'avait beaucoup surpris chez… eh bien, chez sa mère, et selon les dires de Liam, ce n'est pas une chose qui avait changé après leur mariage. Mais, comme dirait une Fille de la Terre; on ne juge pas une femme par ses fantasmes, donc il n'avait jamais vraiment posé de questions en ce sens.

Serenos glissa ses mains sur le corps de la Reine de Lumen, la caressant sans vergogne, explorant chaque parcelle de cette jeune femme, alors que sa bouche se pressait de nouveau contre la sienne après qu'elle lui ait demandé de la baiser. Il ne lui fallut guère plus d'encouragement, car le voilà qui la maintenait contre le mur et la pilonnait vigoureusement, avec une force suffisante pour que ses hanches claquent contre ses fesses et ses cuisses, se délectant des gémissements d'Elena qui, pour le moment, se mettait complètement à sa merci.

Cependant, après un moment, Myrcella s'était relevée du lit, car non contente d'être simple observatrice, elle voulait également ravager un peu cette jolie jeune femme qui la chauffait déjà depuis plusieurs heures.

"Iln van desìrn, sil Regarln," dit-elle sur un ton frôlant le commandement, comme si elle s'adressait à une bête sauvage.

Le Roi jeta un coup d'œil derrière lui, un bref moment, puis posa les yeux sur Elena. La main du Roi se leva et caressa délicatement la joue de la Reine, puis pressa délicatement son menton pour lui entre-ouvrir la bouche, se penchant ensuite pour s'emparer de ses lèvres d'un baiser passionné, sa langue envahissant la sienne, alors qu'il la décollait lentement du mur et s'approchait du lit.

Il l'y fit lentement tomber, et Myrcella s'approcha du couple, avant de poser une main sur le buste du Roi et de le repousser.

Il se redressa, mais garda sa juste place dans l'intimité d'Elena, reprenant lentement ses mouvements de va-et-viens en elle, son mandrin royal s'extirpant presque complètement avant de s'enfoncer jusqu'à la garde, heurtant de nouveau le col utérin de la Reine étrangère.

Myrcella se pencha sur Elena et s'empara de ses lèvres, la tête vers le bas. Les mains de la Duchesse se glissèrent dans les cheveux de la Reine, caressant délicieusement son crâne, suivit de son visage, sa nuque et ses épaules, venant ensuite lui masser les seins.

Elle continua sa progression, et lentement descendit sur le corps d'Elena, jusqu'à ce que son visage n'arrive à sa poitrine, qu'elle embrassa sensuellement, taquinant ses petites pointes durcies de ses lèvres, puis de ses dents, les sucant généreusement, tout en pressant ses seins contre le visage de la jeune Reine, l'asphyxiant à moitié, bien qu'elle reculait assez souvent pour ne pas qu'elle se sente en danger ; ses amants du moment étaient, après tout, plus ou moins des étrangers. Même si sa protectrice était dans la pièce d'à côté, aucun des deux ne semblaient pressés de lui donner une raison de défoncer la porte.

Après quelques secondes, elle continua lentement son chemin, pressant son corps souple et ferme contre le visage d'Elena, jusqu'à ce que celle-ci ne sente la langue de la duchesse taquiner son clitoris, et ce sans que le Roi ne s'arrête. Elle taquina cette petite bille rose quelques instants avant de poser les mains sur le torse du Roi et, lentement mais surement, elle se redressa, ses cuisses maintenant de chaque côté de la tête de la Reine, son intimité ducale frôlant son nez et ses lèvres.

"Lecht syln feminam," grogna le Roi sur un ton guttural.

Par contexte, la phrase pouvait simplement être comprise comme "Lèche sa féminité". Bien que ce terme semble un brin formel, la langue Meisaenne ne possédait pas d'alternatives plus coquines. Ou du moins aucune qui ne pouvait être traduite plus clairement.

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Elena Ivory
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Elena ne savait pas quelle avait été l’endurance sexuelle de sa mère, ou la manière dont celle-ci faisait l’amour. Ce n’était pas le genre de choses qu’un enfant souhaitait savoir de ses parents. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle-même avait pu compter sur les bonnes manières d’Adamante pour avoir une éducation sexuelle assez distordue. Ses premières expériences sexuelles avaient après tout porté sur la sodomie, Adamante se refusant initialement à lui prendre sa virginité. Les choses avaient évolué ensuite, mais le fait est qu’Elena n’était pas une jeune prude ignorante en la matière. Elle en perdait certes son innocence, mais, dans la mesure où son rôle allait être de produire beaucoup de bébés (elle avait une famille royale à reconstruire), il valait mieux la former vite ! Serenos la pénétrait donc, et elle aimait ce contact. Elle avait plutôt l’habitude de coucher avec des femmes, mais, avec un homme, les choses étaient à la fois semblables et différentes… Meilleures sur bien des aspects. Serenos était musclé, solide, et sentir ses coups de reins, sentir la manière dont il la ravageait, voilà qui ne pouvait que lui plaire ! Elle voulait aussi sentir ses muscles sur elle, sentir son corps l’écraser, sa cage thoracique être comprimée… Cette sensation délectable d’être prise comme une petite chose fragile… Quel pied !

« Haaaa… Ma-Majesté, hmmm… »

Elena vit alors Myrcella se rapprocher. Elle fut renversée sur le lit, tandis que Myrcella écarta Serenos, relevant ce dernier. Sa verge glissa dans la chatte d’Elena, la sortant un peu de sa transe, avant qu’il ne retourne en elle, mais en restant debout. Lui relevé, et  elle couchée, son corps était aux mains de Myrcella. Elena s’était demandée si la Duchesse n’allait pas opter pour un strap-on ou pour de l’hermaphrodisme pour la prendre par l’arrière. Mais, finalement, Myrcella avait choisi une approche plus « douce ». Elle sortit du champ de vision de la Reine, avant de se glisser derrière sa tête, puis de remonter en sens inverse. La belle femme posa ses deux mains sur le visage d’Elena, qui soupira en croisant son regard. Elle entrouvrit les lèvres, et répondit avec envie à son baiser. Myrcella l’embrassa tendrement, un baiser qui devint toutefois de plus en plus passionnel. Sans douter la Duchesse rongeait-elle son frein en attendant son tour avec impatience…

Après ce baiser, elle continua à descendre, partant avec délice à l’assaut du corps d’Elena. Sa prochaine cible fut la poitrine d’Elena, et, quand les lèvres de la Duchesse s’y attaquèrent, Elena remonta ses mains. Elle caressa les hanches de la Duchesse, crispant ses mains sur sa peau, pour la sentir glisser ensuite, continuant à s’aventurer sur son corps. Elle embrassa son ventre, lécha son nombril, puis son sexe. À ce stade, Elena avait le visage enfoui contre le corps de Myrcella, et elle crispa ses deux mains sur ses fesses, se demandant bien comment la langue de Myrcella faisait pour se glisser en elle avec la verge royale à côté.

« Hmmm… »

Myrcella finit ensuite par se redresser, et, même si Elena ne comprenait pas la langue de l’Ayshanra, elle comprit ce qu’on attendait d’elle. Parfois, l’intuition suffisait. Elle vit les cuisses de Myrcella s’écarter, et releva sa langue, l’enfonçant dans son bourgeon intime. Un nectar délicat vint recouvrir ses lèvres. Elle soupira, étouffée par le bassin de Myrcella, prise par la verge de ce dernier. Les deux formaient un sacré duo, et Elena continuait à s’humidifier. Pour le dire simplement, elle mouillait comme une petite folle ! Ses mains se serraient sur le corps de Myrcella, s’appuyant sur ses hanches, se déplaçant parfois pour malaxer ses fesses, les pinçant avec amour. Elle était bien décidée à ce que Myrcella finisse aussi excitée qu’elle !

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