The Multiversity

[Lucina]

Lucina avait été formée pour devenir une guerrière, pas pour ce genre de choses. Sans dire qu'elle n'était pas intéressé par ce genre de relation, ce n'était en rien sa priorité. Elle était plus souvent frustré que sa nature de femme lui colle l'étiquette de future épouse, maman ou dame de la cours et non une guerrière ! C'était aussi pour cela qu'elle admirait Luria Flowashield, une femme qui était capitaine de la garde royale, c'était pour elle un rêve ! Elle n'aurait peut-être pas voulu sa place mais au moins servir ce genre de femme... Et le destin la mettait face à une déesse qui était pour l'instant plus intéressé par son corps que le maniement de sa lame. Ce n'était pas une erreur mais Lucina voudrait faire ses preuves cependant, son cerveau était rongé par une envie bien rare chez elle. Elle en voulait plus, partager plus de choses avec cette déesse et peu importe que ce soit de l'amour charnelle. Quand son cerveau sera désenvoûté, elle s'excusera ou voudrait autre chose que ça mais pour l'instant, si ses lèvres ont su la faire jouir une fois, c'était loin d'être terminé. Elle avait offerte sa virginité à Aphrodite mais cela était loin de lui suffire. Elle subissait son assaut, tout dans une certaine douceur et elle aimait cela. Le plaisir ce cessait de grimper en flèche en elle alors que de ses yeux, elle voyait Aphrodite toujours pareille. Non pas que cela la laissait indifférente mais elle était prête à jouir, elle cachait bien son jeu.

Pour la divinité, c'était un jeu d'enfant d'amener une débutante comme elle au paradis. La guerrière se tordait de plaisir pendant son nouvel orgasme, elle avait l'impression qu'à chaque fois, Aphrodite l'amenait plus loin dans ses retranchements, un plaisir plus grand que le précédent ! Pourtant, la déesse n'avait toujours rien mis en elle, hors son pénis. Tout ce qui était liquide, c'était toujours conservé dans la divinité. Pour elle, c'était normal tout ça, il fallait aller plus loin, ne serait-ce que pour son image ! Mais Lucina parvenait faiblement à se plaindre, en quelque sorte. Elle ne jetait en rien la faute sur Aphrodite, mais sur son inexpérience plutôt.

« Aphro... dite... Je... haaaa... je s-suis pas sûr... Hum, de pouvoir... tenir autant, hum, que vous ? »

Elle était à peine au-dessus d'une inculte, elle était la déesse de l'amour des corps, elles étaient deux opposées dans ce même domaine mais Aphrodite ne la laissera pas tombé si facilement. Même si elle ignorait ce détail, c'est à croire qu'Aphrodite/Lust avait un faible pour les femmes à la crinière bleue ? Elle avait son ange de la luxure, va-t-elle avoir sa guerrière de la luxure ? Ou de l'amour ?

[Aphrodite]

Face à une femme comme Aphrodite, pas de compromis, pas d’hésitations ou de retour en arrière. Quand la Déesse voulait vous faire l’amour, tout ce que vous aviez à faire, c’était à pousser de grands cris de plaisir, et à accepter le don divin de la Déesse. Un don qui, en l’occurrence, emporta Lucina dans un nouvel orgasme, qu’elle contracta avec une joie manifeste, explosive. La Déesse n’était pas brutale, ni injurieuse, elle se contentait de lui faire l’amour, de savourer ce beau corps. Lucina découvrait un ensemble de sensations inédites. Elle était prête à la servir, même si elle ne le réalisait pas encore clairement. Aphrodite continuait donc à la prendre, sans relâche, avec un rythme qui croissait, décroissait. Elle alternait les plaisirs, tout en pinçant les seins de Lucina, et en lui offrant d’exquis baisers. Lucina réalisait-elle seulement à quel point elle était chanceuse ? À quel point des milliers d’âmes se damneraient pour pouvoir être comme elle, dans le lit d’Aphrodite ? Visiblement, Lucina ne le réalisait pas, non, car sa remarque fut de dire à la Déesse qu’elle ne pensait pas être capable de tenir.

Un soupçon d’agacement traversa les yeux de la Déesse, qui serra ses mains contre celles de Lucina, entremêlant ses doigts avec les siens.

« Ne sois pas si désobligeante, Lucina… Oserais-tu insinuer que la Déesse de l’Amour te lasserait déjà, hum ? Je ne te savais pas si impertinente, ma petite Lucina… Tu es entre mes mains, sous mon corps. Tu t’épuiseras quand je le voudrais, Lucina, c’est ce qu’on attend d’une dévote, d’une fidèle ! »

Aphrodite avait doucement haussé le ton, mais son inmon s’intensifia aussi. Il suffit à Lucina de croiser son regard, et elle sentit une décharge en elle, comme une explosion. Dans le cerveau de Lucina, son taux de concentration en dopamine, l’hormone du désir, explosa, battant tous les records. Elle se tortilla sous Aphrodite, qui sourit doucement en sentant la vague remonter dans le corps de sa future paladine.

« Là, comme ça… Comment te sens-tu, ma belle ? As-tu toujours envie de t’arrêter ? Ton désir est mien… »

Avec toute cette dose de désir en elle, la frustration allait être très forte, si bien que Lucina voudrait sans doute que les choses aillent plus vite et plus fort…

[Lucina]

Lucina subissait l'assaut plein de passion de la déesse de l'amour, si cette dernière y allait peut-être doucement, pour une personne comme elle, qui n'y connaissait rien, venant de la personne la mieux placée pour faire l'amour, c'était déjà beaucoup trop ! Elle ne voulait pas avoir l'air trop débutante ou au pied du mur, elle cherchait à ne pas vexer la divinité, mais cette dernière l'avait légèrement mal pris, son corps l'écrasait un peu plus, sa magie ou son sex-appeal naturel, comment savoir, opérait et Lucina sentait des choses jamais ressenties à ce jour ! Des émotions, des envies, tant de choses qui la faisait approcher de ses limites mentales, même si sa résistance orgasmique n'était pas très haute, ce n'était pas ça cette fois qui faisait sonner l'alarme en elle. La guerrière tremblait nerveusement, Aphrodite jouait avec elle ou son corps se réveillait ? La déesse ne semblait pas si innocente à tout cela, vu les questions qu'elle posait, la jeune femme ne pouvait que serrer ses mains dans celles de la divinité.

« Hhhhuuuum !!!! Je... F-Faites-moi... ce que vous voulez ! Oh, Aphrodite... je... Je veux jouir ! »

Elle a connu l'orgasme rapide, ses barrières trop frêles n'ont eu aucune chance face à la déesse, mais dans son état, elle en voulait plus, et pas un orgasme dû à un petit baiser, elle voulait que la déesse se donne pour l'amener aux portes du paradis ! Elle tenait dans le creux de sa main, elle avait tout pouvoir sur la pauvre Lucina qui n'avait qu'une idée en tête pour le moment.

[Aphrodite]

La petite Lucina était en train de sombrer. Aphrodite venait de la faire jouir par son baiser sacré. Un baiser de la Déesse Aphrodite donnait toujours un orgasme chez ceux qui n’étaient pas avertis. Un sourire amusé orna les lèvres d’Aphrodite qui regarda la paladine jouir. Lucina s’abandonna à ce plaisir, et finit ensuite par revenir à elle. Elle était toujours coincée sous Aphrodite, mais reprit peu à peu contenance. Silencieuse, et légèrement amusée, la Déesse regarda lentement la belle femme aux cheveux bleus reprendre ses esprits.

Elle demanda alors à ce qu’Aphrodite la fasse jouir. La Déesse hocha la tête, et lui fit un baiser d’esquimau. Elle frotta son nez contre le sien, tout doucement, remuant dessus, de bas en haut, puis de bas en haut, et lécha ensuite le nez de Lucina. Celle-ci put alors sentir une vive tension contre ses cuisses. Aphrodite soupira brièvement, ses iris prirent brièvement une teinte rose, et elle remua un peu, attrapant sa verge.

« Comme tu veux, mon amour… Je vais te pénétrer. Mais tu dois savoir que mon sperme est fécond, Lucina. »

Il était désormais trop tard pour faire marche arrière, elle avait bien demandé à la Déesse de lui faire ce qu’elle voulait… Ce qui conduisit alors Aphrodite à la pénétrer. Son bassin se redressa, puis s’abaissa encore, et elle soupira en s’enfonçant en elle, s’unissant à Lucina.

Aphrodite la vit fermer les yeux, et posa sa main sur le menton de Lucina, la calant face à elle, puis retourna attraper sa main.

« Pour ta première fois, je veux que tu me regardes… Ne détache pas tes yeux du mien jusqu’à ce que nous jouissions ensemble. Dis combien tu m’aimes, Lucina, dis-moi que tu es la femme la plus heureuse du monde, et que tu as hâte de porter notre enfant ! »

[Lucina]

Entre ses mains, elle n'était rien de plus qu'une pauvre mortelle qui ne pouvait rien face à une divinité. Ce n'était pas le cas, mais même en étant la meilleure bretteuse au monde, elle ne serait pas plus dangereuse qu'un bébé agitant un cure-dent devant elle. La déesse se jouait de sa frustration pour obtenir tout ce qu'elle voulait d'elle, Lucina voulant obtenir la libération, Aphrodite pouvait la lui offrir en échange de si belles paroles. La sublime divinité la mettait en garde malgré tout n'avait aucune valeur aux yeux de la guerrière qui voulait jouir. Et pourtant, devenir une maman, c'était un peu ce qu'elle ne voulait pas, elle avait quitté sa famille à cause de ça, sa mère refusant de vouloir la voir porter une épée, elle voulait la marier à un noble quelconque pour qu'elle ait une vie de dame. Avoir des enfants, des activités purement féminines et futiles à ses yeux. Lucina n'était pas faite pour une telle vie, mais face à la demande d'Aphrodite, elle acceptait cela, porter le bébé d'une déesse en échange de l'orgasme. Même si un simple baiser suffisait à cela, même si la sentir frotter son nez contre le sien était déjà fort pour elle.

« Oh oui, pénétrez-moi, déesse. »

La déesse ne la faisait pas plus attendre, s'enfonçant en elle, elle faisait ça bien, doucement, Lucina soupirait en se tortillant de plaisir, c'était si bon, elle pouvait jouir n'importe quand tant le summum du plaisir était constamment atteint avec la déesse. Elle maîtrisait le sujet sur le bout des doigts, c'était si simple pour elle d'amener cette mortelle au plaisir, elle lui avait déjà fait ressentir ça plusieurs fois en quelques minutes. Elle supportait comme elle pouvait ce plaisir inouï, même si Aphrodite attendait d'elle qu'elle garde les yeux ouverts, rien que ça, ça allait être compliqué, mais elle tentait malgré tout le coup, quand bien même ses yeux semblaient vouloir se fermer contre son gré. Sa main se serrait fortement dans la sienne, même si sa force n'était sans doute rien pour une divinité, elle tentait de faire attention à sa force mais ça restait compliqué...

« Haaaaaan ! Je han... suis si heureuuuuuuuse, Déesse Aphrodite ! Huuuum han oui, si si si SI HEUREUSE !!!!! »

L'occasion pour elle de jouir de nouveau contre elle, un vrai plaisir qui la libérait même si à peine libérer de cela, son envie recommençait encore et encore. Non pas que cela soit un réel souci, mais son cœur pourrait en supporter autant ? Elle contemplait la déesse tant bien que mal en gémissant et sentant le plaisir la déborder constamment, mais elle n'avait pas fini de dire tout ce qu'Aphrodite avait hâte d'entendre. Même « ça », c'était une chose que Lucina ne voulait pas, pas si jeune, mais là, entre ses mains, en quête de plaisir, elle lui donnerait le monde si elle pouvait.

« Et j'-ai si... hâte, mmmhhh oui... De p-porter notre bébé... Haaaaan, elle sera... beeeeeeelle... huuum, et foooorte~ »

Elle fantasmait cette vision, une petite fille, mais contrairement à ce qu'elle a vécu, elle sera bien entourée et entraînée, elle fera d'elle une grande guerrière. Une guerrière aussi belle que forte, elle sera redoutable ! Oh, Lucina imaginait ça pour ce potentiel bébé qui sera une fille. Autant sur ça, elle avait une chance sur deux que ça se réalise, si elle tombait enceinte d'Aphrodite, mais la suite, ça dépendait d'elle, de la déesse et simplement de cette possible fille. Aurait-elle envie de tenir une épée ou serait-elle plutôt à user de sa beauté comme d'une arme ? Ou même rien de tout cela, elle pouvait aller dans une direction imprévue. Elle pouvait même déchanter une fois moins envoûtée par la déesse, mais pour le moment, ce désir était partagée avec celui de sa partenaire. La même vision, le même objectif, le bonheur dans la luxure.

[Aphrodite]

Porter son enfant… Si l’idée avait pu sembler incongrue initialement à Lucina, le désir parlait pour elle, balayant ses peurs et ses doutes. Ce que Déesse voulait, Déesse avait ! Et, en ce moment, Aphrodite se sentait d’humeur très maternelle. Elle sentait la dévotion de Lucina, son sens du devoir, et elle avait envie d’en faire son amante. Aphrodite avait en soi beaucoup d’amants, elle n’enfantait pas systématiquement ceux-ci, ni aussi rapidement, mais, avec elle, Aphrodite avait décidé de le faire. Pourquoi ? À vrai dire, la Déesse n’en savait trop rien. Elle avait aussi le droit d’agir de manière illogique, de rencontrer cette femme, et de suggérer instinctivement de lui donner un enfant. Peut-être avait-elle senti que, inconsciemment, Lucina refoulait ce désir. Si elle était issue de la noblesse, elle était de toute façon tenue d’avoir un bébé, de perpétuer sa lignée. Aphrodite la pénétrait donc, et sourit doucement en croisant son regard. Les doutes de Lucina furent balayées par les premiers coups de reins de la Déesse, par sa verge qui allait s’enfoncer durablement et puissamment en elle.

« Hmmm… Ta petite chatte serrée est si délicieuse, haaaaa… Baiser des petites vierges salopes comme toi, j’adore ça… »

Heureusement que les aristocrates existaient pour ça ! La Déesse soupirait encore contre elle, et serra ses mains contre celles de Lucina, les plaquant sur le lit, puis l’embrassa encore. Elle pouvait la sentir jouir, perdre peu à peu la raison, son calme olympien s’effaçant devant les pulsions explosives d’une jeune femme. Elle était comme un petit volcan prêt à entrer en éruption, à s’enflammer contre la queue massive de sa Déesse et Maîtresse, une queue qui la pilonnait puissamment. Nonobstant, cette première fois avait un côté assez romantique. Aphrodite la prenait en missionnaire, yeux dans les yeux, comme pour s’assurer que Lucina grave dans son esprit chaque moment de ce qui se passait, chaque seconde.

Elle l’embrassa donc encore, consciente toutefois qu’elle ne devrait pas encore trop l’insulter.

« Sache que je t’aimerai toujours, Lucina… Notre enfant sera une fière guerrière, comme sa mère, elle sera le fruit de ton amour et de ton courage. N’aie pas peur de la maternité, hmmm… Donner la vie est la plus précieuse des choses que tu puisses faire, Lucina. Et cette vie, tu la donneras, et tu la chériras, car cet enfant sera le fruit de l’amour et du désir… »

Et, après cette phrase, Aphrodite l’embrassa à nouveau, plus longuement, bien décidée à faire orgasmer Lucina à de multiples reprises avant de planter enfin sa graine en elle…

[Lucina]

Elle se débrouillait bien à l'épée, dans un lit, c'est une autre histoire. Lucina n'en menait pas large, la déesse de l'amour faisait d'elle ce qu'elle voulait. En un rien de temps, elle a supposé lui donner un enfant et, ce que sa mère voulait d'elle et qu'elle avait toujours refusé, préférant agiter une épée que jouer les nobles, elle l'acceptait sans discuter de la part de la déesse ? Cette verge en elle, lui procurant une montagne de plaisir était aussi la cause de ce changement d'avis si soudain. Une fois les esprits clairs, elle pensera peut-être différemment, mais pour le moment, le plaisir d'Aphrodite était le sien. Elle la dominait sans mal, au-dessus d'elle, l'insultant même un peu, mais le plaisir qu'elle lui offrait en retour rendait ses mots si... fade. Ils n'étaient aucunement blessants, elle pouvait même lui donner raison, pourvu que cela dur !

« Haaaaaan ! Oui, Ma déesse ! »

Aphrodite était là, joignant ses mains aux siennes, l'observant sans relâche tandis que Lucina faisait des efforts pour garder les yeux grands ouverts pendant l'acte, ce n'était pas avec la même facilité que la déesse que cet exploit était fait. La déesse enchaînait, parlant de l'enfant à venir, fruit de leur Amour, elle la connaissait à peine, mais elle voulait bien tout renier en cet instant, si cela était la vérité. Ses mains se serraient à celles de la divinité, espérant que ses paroles soient vraies ! Et pourtant, Lucina devrait penser le contraire, au moins pour le bébé. Lui dicter sa voie ? C'est ce qu'elle a fui pourtant ? Si en grandissant le bébé voudrait suivre cette voie, c'est avec joie que Lucina l'entraînera. Si elle voulait faire autre chose, elle devait l'encourager sur cette voie et non choisir pour elle. Bon, sauf si sa vision du futur était de se prélasser pendant que moult serviteurs se plie en quatre pour elle, pourquoi Lucina devrait intervenir pour décider pour elle ?

Aphrodite l'empêchait de parler, déjà que réfléchir était compliqué, tandis que les orgasmes s'enchaînaient presque aussi vite que le fait d'eteruner quand on était enrhumé ! La déesse faisait bien son travail, voilà tout. Lucina jouissait sur elle, cela la faisait à peine ralentir pendant son effort, même si Aphrodite devait se délecter de cela, elle n'arrêtait pas pour autant. Mais entre deux orgasmes, Lucina parvenait à articuler une petite phrase, sans trop d'espace.

« Et elle sera... aussi... Belle que vous... Ma déesse... »

Quelques coups de plus suffisaient à Lucina pour jouir de nouveau, se cambrant contre la déesse en subissant cette nouvelle vague de plaisir. Si Aphrodite raffolait des vierges inexpérimentées, elle était servie avec Lucina. Sachant que là, elle n'avait qu'effleurer la surface avec un simple baiser et la position du missionnaire. Il y avait tant à lui apprendre ! Sya était toujours là, assoupie et bercer par les doux soupirs, gémissement et orgasme qu'elle ressentait. Sa déesse l'avait épuisée, elle avait bien mérité de se reposer un peu après tout. Toute experte qu'elle était, elle n'était pas une divinité, son endurance avait ses limites. Bien plus loin que la moyenne, mais quand même. Il faut croire que la déesse de l'Amour et du Sexe avait un faible pour les femmes aux cheveux bleus.

[Aphrodite]

Lucina n’avait pas encore une endurance sexuelle phénoménale, Aphrodite ne s’attendait donc pas à la voir tenir la cadence avec la même énergie que Sya. Ceci étant dit, l’essentiel avait été fait, la belle Lucina portait désormais leur enfant. Quand il s’agissait de servir la Déesse de l’amour et de la procréation, il fallait lui rendre hommage sur les deux aspects : l’amour, mais aussi la procréation ! Aphrodite continuait donc à s’unir en elle, à la pénétrer, à labourer son délicieux champ intime, très humide. Sa verge la pilonnait, Aphrodite haletait, soupirait, tout en voyant les yeux de Lucina se voiler. Quand la Déesse se relâcha enfin en elle, Lucina bascula. Elle soupira, puis Aphrodite se reposa contre elle, se lovant tendrement et chaudement contre son corps.

« Là, là, repose-toi, ma belle… Tu l’as bien mérité, Lucina… »

Aphrodite l’embrassa sur la joue, tout en caressant le ventre de la femme. Aucun doute, un bébé venait de se former là-dedans. L’un des spermatozoïdes d’Aphrodite était rentré dans un ovule, et entamait alors le processus de procréation. Aphrodite s’écarta alors de Lucina, et se retourna vers Sya. L’Ange s’agitait, et, en se rapprochant d’elle, Aphrodite sourit en constatant qu’elle avait les cuisses humides. Elle posa un baiser sur le front de Sya, et vit que son rêve était très érotique.

« Laisse-moi apporter un peu de matière à ce rêve, ma belle… »

Souriant doucement, la Déesse la pénétra tendrement, usant de sa magie pour la maintenir en état de sommeil, tout en la faisant rêver.

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Quand Lucina se réveilla, ce fut pour sentir des lèvres l’embrasser. Des lèvres douces et agréables, mais qui n’étaient pas celles de sa Déesse. En regardant mieux, elle pourrait voir des lunettes, une femme à la peau violette et aux cheveux bleus foncés, avec des mèches rouges.

« Lucina, mon amour, je te présente l’une de mes prêtresses. Elle appartient à un corps d’élite qui a juré de me servir sur Volony, la Cavalerie de Lust. »

Avec tout ce qui se passait à l’Olympe, les Cavalières avaient tendance à venir, ce qui impliquait naturellement Twilight Sparkle, une femme-licorne. Aphrodite, allongée à son tour, caressa les cheveux de Twilight. Sya n’était plus là. Aphrodite avait joui en elle, ce qui avait réveillé Sya, et Twilight était ensuite arrivée. Reniflant l’odeur de sa Déesse sur le corps de Lucina, elle avait commencé à l’embrasser, et à la lécher, tandis qu’Aphrodite se trouvait dans une salle adjacente, une salle de bains où elle laissait Sya s’empaler sur elle. La vie d’Aphrodite impliquait de nombreuses heures à faire l’amour, et elle avait ensuite laissé Sya dans la baignoire, pour rejoindre le duo…

[Lucina]

Un tendre moment, Lucina vivait pleinement un moment de rêve en compagnie d'Aphrodite. Jamais elle n'aurait pensé cela, elle qui voyait sa vie idéal comme une vie où elle maniait l'épée pour protéger, éprouver de la joie dans ce genre d'activité, c'était étonnant ! Elle ne niait pas que cela pouvait un jour arrivée, mais avec sa mère qui a voulu faire d'elle une énième petite noble bonne à rester à la maison à élever des enfants, là où sa passion se faisait dans le maniement de l'épée, ça l'avait dégoûté de tout cela ! Finalement épuisée par tant d'amour de la part de la déesse, qui montrait à peine un échantillon de ses capacités, elle s'écroula de sommeil. Cela ne dérangeait pas la divinité, qui en profitait en maintenant le sommeil de Lucina. La jolie demoiselle rêvait d'un monde où les deux visions se mélangeaient. Une mère, avec une fille qui apprenait à manier l'épée à ses côtés. Une vision idéal qu'elle n'a jamais eue, associant l'idée d'avoir des enfants à ce que sa mère souhaitait d'elle. Une ravissante petite fille qui lui ressemblait, écoutant sa mère avec passion, avec un talent naturel pour manier une lame. Oui, c'était bien sa fille !

Mais le réveil arriva, doux dans ce baiser, mais elle sentait que quelque chose clochait... Les seules lèvres qu'elle connaissait appartenaient à Aphrodite, et sans les reconnaître entre mille, c'était différent. Ouvrant les yeux, elle vis une autre personne, amusée mais pas déranger par le réveil de Lucina qui eut un geste de recul. Par chance, Aphrodite arriva, s'installant derrière l'inconnue qui servait elle aussi la déesse. N'étant plus sous le charme de la déesse, elle se couvrait le corps avec les draps, observant tout cela sans trop savoir quoi en penser.

« Que c'est mignon. Ne crains rien, Lucina, tes douces lèvres ont été si attirantes pour y résister, mais je n'ai pas été plus loin qu'user de ma langue. »

Un demi-mensonge, elle avait en effet usé que de sa langue, mais pas uniquement sur ses lèvres. Elle se laissait caresser par sa déesse, contemplant le nouveau jouet de cette dernière.

« Nous avons des points communs, tu sais ? Notre amour pour la déesse nous pousse à la protéger, contre toute menace. Toi avec une épée, moi, surtout avec la magie. »

Un point commun, c'est vrai. Twillight Sparkle était une licorne, faisant d'elle un être naturellement plus douée pour la magie que la force pure, comme c'est le cas avec Rainbow Dash ou Applejack. Même si certaines pouvaient avoir les deux forces en guise de compétence, mais seulement du côté des licornes. Même si certaines pégases avaient des notions magiques, ce n'était pas vraiment utile en combat. Fluttershy se défendait un peu mieux en magie blanche, sa nature douce devait aider à mieux cerner la magie pour aider autrui. Levant sa main, elle l'approchait de son ventre, le caressant à travers le drap.

« Et nous donnons la vie, pour elle. »

La licorne n'était pas enceinte, sa fille était sur le nouveau monde qu'elles bâtissaient pour la déesse. Le temps s'y déroulait plus lentement là-bas. Quelques semaines hors du palais de Lust, quelques années là-bas. Sa fille était encore bien jeune, mais elle s'amusait avec ses autres sœurs en l'absence de sa maman. Pour ce genre d'occasion, le temps défilait normalement. On ne sait jamais, Twillight était venue ici, aussi pour faire un rapport, mais c'était évident que Lust n'allait pas la laisser filer au bout de dix minutes. Et même dix minutes ici pouvait être long là-bas. La révélation fit faire les grands yeux à la jeune guerrière.

« Enceinte ? Je le suis vraiment ?! »

Elle se souvenait, oui, mais elle pensait que c'était sur le coup une simple phrase pour prendre la température, à ce moment-là, Aphrodite aurait pu parler d'orgie qu'elle aurait à peine sourcilier. Comprenant la panique qui pouvait la gagner, Twillight se pencha sur elle, la main sur son ventre, diffusant certes un peu de magie pour la calmer, sans bousculer ses pensées.

« Ne crains rien... tu portes l'enfant d'une déesse... D'une douce déesse... Il ne t'arrivera rien de mal et, même si cela peut faire peur... Cet enfant sera le vôtre et il fera votre bonheur, à toutes les deux. »

Elle ne voyait pas l'avenir, mais elle était sûre de cela. Soudainement moins paniqué, elle posa sa main sur celle de la licorne, elle portait la vie en elle... Une chose qu'elle ne croyait pas vivre de sitôt. C'était... Merveilleux ? Aphrodite se doit de rassurer ses fidèles, surtout celles qui portent ses enfants.

[Aphrodite]

Lucina émergea doucement, joyeusement bercée par Twilight. Celle-ci l’avait embrassé, et l’accueillit avec sa douce voix. Aphrodite était bien sûr ici aussi, dans un grand lit confortable et soyeux. Lucina se réveillait lentement, et commença à se rappeler qu’elle était enceinte. Twilight le lui confirma, et cela sembla réveiller pour de bon Lucina.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle Twilight… »

Près de Lucina, Twilight obtempéra à l’ordre de sa Déesse. Elle se mit à quatre pattes, et put sentir la verge d’Aphrodite coulisser en elle. La Déesse la pénétra doucement, tout en pouvant croiser le regard de Lucina. Elle lui sourit alors, remuant paisiblement dans le corps de Twilight, la tenant par les hanches. La belle licorne se mit à gémir, poussant de délicieux soupirs. Twilight attendait de recevoir un autre enfant, mais Aphrodite la laissait choisir son amante. Avec la fondation de la planète Equinoa, les Cavalières étaient très occupées. Twilight faisait partie de cette minorité qui préférait recevoir la vie que la donner. Le reste de la Cavalerie engendrait de nombreux enfants, en suivant des quotas et des règles, l’idée étant de se diversifier, et d’éviter ainsi des problèmes d’eugénisme.

Soupirant doucement, Aphrodite profitait du retour de Twilight, venue faire son rapport sur l’essor d’Equinoa, pour lui faire l’amour. Pour Twilight, c’était naturellement bienvenu, et Aphrodite pouvait sentir avec délectation ses parois intimes se crisper autour de sa verge. Elle soupira lentement, et confirma dans la foulée à Lucina ce que Twilight lui avait dit.

« Tu es enceinte, Lucina, oui… Tu portes notre enfant. Comme Twilight l’a dit, cet enfant fera notre bonheur, mais je n’envisage pas… Hmmm… De faire de toi une simple pondeuse. »

Aphrodite lui sourit encore, et laissa Lucina se redresser, tout en se concentrant pendant plusieurs secondes sur ses coups de reins. Twilight gémit plus fort en sentant les coups de reins de sa Déesse s’accentuer, s’amplifiant en elle.

« Ja-Jadis, Lucina, j’é… J’étais la Déesse Ishtar… La Déesse des prostituées, du sexe, mais aussi une Déesse guerrière… Une gardienne de cités, une meneuse de soldats… Haaa… Je... Je ne souhaite pas que bénéficier de ton corps parfait, Lucina, j’aimerais aussi… Hmmm… »

Si Lucina regardait Aphrodite, elle pourrait sentir la subite nervosité d’Aphrodite, qui se mit même à rougir.

« Je souhaiterai… Que tu me formes au maniement de l’épée, Lucina… »