"Ce cordage comme tu dis, c'est ce qu'on appel un harnais... Ca me permet de me sentir soumis en toute circonstance. Chacun de mes gestes enserre mon corps, me fait me sentir à quelqu'un... Et j'adore cette sensation. Ce qui m'a le plus excité, c'est qu'on m'a forcé à le porter. Au début j'était dans une sorte de dénis, je ne voulais pas accepter cette part de moi-même... Mais maintenant que j'ai cédé, c'est tellement plus agréable..."
Il termina son explication par un langoureux baiser, très intense et sensuel. Sa langue s'attarda à rouler avec celle de Chen, lui faisant de nouveau découvrir son piercing à la langue mais aussi sa maîtrise incroyable de son muscle rose. Ce baiser érotisait tellement Theorem, bien plus encore que quand il s'adonnait à ce plaisir, devenu rare, avec Ishtar. Ce baiser stoppa au bout d'une bonne minute de caresses et de bruits obscènes alors que leurs deux pénis se collaient l'un à l'autre. Le jeune travelo regarda son amant avant de reprendre.
"Sur toi, le latex serait sublimé. Un superbe chaps en latex, un harnais de poitrine pour homme, de superbes gants... Tu serait sérieusement un des plus beaux mecs que j'ai vu. Mais ton chaps actuel en cuir est déjà vraiment bien. J'adore..."
Il caressa le cuir gainant ses jambes, retenu par une solide ceinture à boucle autour de ses hanches. Et à en juger par cette odeur de transpiration, Chen l'avait porté longtemps aujourd'hui, sans pouvoir se laver correctement. En plus il l'avait porté le temps d'une baise intensive... Cette odeur excitait encore d'avantage le jeune Haiena qui caressa le cuir avec intensité, avant d'empoigner délicatement la verge tendue du terranide-bélier. Il le masturba tout doucement.
"Tu as l'air prêt pour un tour suivant... Tu te sens prêt à être un peu plus dominant avec moi ?... Je suis sûr que tu en meurs d'envie. Tiens, prend ceci."
Il lui mit la laisse dans la main droite, tendue de manière à tirer sur son collier.
"Tu sens comme je suis à toi, là ?... Quand tu tiens cette laisse, je suis à ta merci... Et tes coups de reins me feront abdiquer, sans conteste..."