Après leur joyeuse orgie, le club de Bobbie s’était joyeusement accru, mais elle avait besoin de consolider ses positions. Si Zoey était définitivement acquise à leur cause, Dale était encore plus complexe. Il vivait dans une ville machiste, où les femmes devaient obéir, et avait encore du mal à admettre que sa femme le domine. Il dut de fait subir plusieurs séances de traitements. La maison de Bobbie devenant un peu trop risquée avec leurs enfants, elles utilisèrent la maison de Kelly Lawford. Travaillant pour la Fondation Viritas, elle n’eut aucune difficulté à rejoindre la mairie, et offrit à Bobbie et à Joana un accès à sa maison, une ferme aux abords de la ville avec une grange spéciale où Kelly installait un matériel de pointe pour reformater les hommes. Dale était enfermé à chaque crise dans les enclos de l’ancienne écurie, où les femmes le sodomisaient à tour de rôle.
S’en prendre à l’institut était pour le moment bien trop risqué, car Bobbie n’était pas en état de mener une révolte. Elle disposait d’un bon contact avec Joyce, la belle femme du maire, mais le maire était encore hors d’atteinte. Bobbie se rapprocha également de Joyce, et le ranch de Kelly devint finalement le parfait quartier général de son association, et de son plan visant à révolutionner Stepford. Kelly en profitait pour leur instruire sur la puissante Fondation Viritas. C’était une fondation ancienne, qui remontait en soi à l’époque de l’Antiquité, et qui avait toujours voulu préserver la supériorité des hommes. Leurs racines semblaient remonter à la
Loi salique, un recueil de lois utilisé en France à l’époque de Clovis, et exhumé des siècles plus tard, sous le règne des Capétiens, pour interdire aux femmes d’hériter du pouvoir. Pour Kelly, c’était là le symbole le plus évident de l’apparition de cette fondation, qui disposait de beaucoup d’argent, et de politiciens. Kelly leur apprit qu’il existait un ranch plus grand à proximité de Stepford qui était un lieu de villégiature d’un sénateur américain en bonne marche pour les élections présidentielles.
Le plan de Kelly n’impliquait pas uniquement Stepford, qui était juste la première étape de son plan.
«
Vous pouvez voir Stepford comme une ferme, une ferme destinée à réécrire les femmes et tuer leur esprit de velléité. Il existe d’autres fermes à travers le monde, d’autres Stepford, mais Stepford est une ferme très importante, car c’est ici que la fondation a développé de très bons résultats. »
Elles faisaient bien sûr aussi très souvent l’amour, tout en continuant à rabaisser Carl. Le jeune homme s’habillait désormais en fille, et, quand la direction de l’école le signalerait, il deviendra leur parfait cheval de Troie pour infiltrer l’Institut. C’était là la grande étape du plan de Kelly, mais, pour l’heure, il fallait davantage de monde.
C’est comme ça que les Eberhart décidèrent de s’attaquer à une camarade de classe de Carl,
Cassie Maxwell. Belle et gentille, elle était une jeune adolescente pleine de vie, qui se déplaçait en portant souvent peu de vêtements. Elle était encore vierge, et les deux femmes décidèrent de faire d’elle leur amante, afin d’infiltrer davantage l’école. L’école de Stepford était ouverte à toutes les sections jusqu’au lycée, évitant ainsi que les enfants ne s’éloignent. C’était une autre des cibles de Kelly, car l’école était l’une des institutions de la ville.
Cassie, elle, était aussi déléguée de classe, et elle était la fille du directeur de l’école, qui avait sa femme comme vice-directrice. Cassie faisait la
baby-sitter chez les Eberhart, ainsi que le ménage, et était généreusement payée… Mais, aujourd’hui, c’était quelque chose de très différent qui l’attendait.
Joana n’avait pas fait les choses à moitié, et avait enfilé
un tablier terriblement sexy, avec de la dentelle,
et pratiquement nu derrière. Elle s’occupait d’enflammer doucement les sens de Cassie en lui proposant un goûter très difficile à contrer.
Quand Joana lui parla de ses fesses, Cassie rougit furieusement.
«
Je… Madame Eberhart, je ne suis pas sûre de comprendre ce que… »
Cassie allait se relever quand deux mains gantées se posèrent sur ses épaules, et la forcèrent à s’asseoir sur le canapé. Des crissements résonnaient dans son dos, où Bobbie était finalement arrivée. Elle avait opté pour un style très prononcé,
une combinaison intégrale en latex avec un dos ouvert. La combinaison moulait ses formes, mais pas sa verge, qui était à l’air libre.
«
Navrée d’avoir mis autant de temps, mais ma verge me faisait bien trop mal dans la combinaison… »
Cassie déglutit en voyant cette queue qui se dressait joyeusement.
«
Je… Mais c’est… C’est… »
Sa voix devint blême et effacée. Kelly avait aussi appris aux Eberhart que les enfants de Stepford étaient très sérieusement encadrés. Ils portaient en eux les gènes de leurs parents, ces gènes de soumission. Toutes les adolescentes étaient encore vierges, car, quand elles s’unissaient pour la première fois avec un homme, avec une verge, elles liaient leur plaisir sexuel à celui-ci, et réciproquement pour les garçons pénétrant une femme. Autrement dit, la belle Cassie n’était destinée qu’à être la première de tous les adolescents de Stepford, que les Eberhart comptaient bien corrompre !