Natsuki Mishiro était une jeune lycéenne assez talentueuse, et très discrète. Elle était aussi très respectueuse des règles, et tellement soucieuse d’être discrète qu’elle ne demandait même pas la permission d’aller aux toilettes quand elle avait envie de faire ses besoins naturels. Elle était plutôt belle, assez intelligente, éduquée à l’ancienne. Un profil idéal pour Orochi, qui avait commencé à la cuisiner, à la préparer. Lorsqu’il donnait des exercices et faisait le tour de la classe, il se mettait derrière la jeune fille, et n’hésitait pas à caresser ses épaules, à la palper, feignant une erreur... Mais constatant que la jeune femme ne bronchait pas. Finalement, Orochi avait pris un risque énorme hier... Et avait posé une main sur les fesses de la jeune fille, en la retenant à la sortie de la classe.
Ils étaient alors seuls, et il lui avait redonné sa copie, la félicitant pour sa dissertation en français, et en avait alors profité pour caresser son cul. Sa main s’était glissée sous sa minijupe, et, en souriant, il avait malaxé son postérieur, tout en lui faisant sentir, contre son corps, la bosse de sa queue. Orochi était resté comme ça pendant suffisamment longtemps pour qu’aucun doute ne soit possible, puis il avait ensuite laissé l’adolescente filer.
Ils avaient désormais un nouveau cours, et, comme il s’y attendait, personne n’était venu le voir. La jeune femme baissait la tête en le voyant, mais n’en avait parlé à personne.
*Elle n’a aucun véritable ami, et elle est bien trop timide pour en parler aux autorités... Parfait !*
Le fait est qu’Orochi commençait à bander de plus en plus en pensant à cette femme. Sans être un pédophile, Orochi s’était toujours vu comme une sorte de pédéraste moderne, appréciant le contact des adolescents. À l’origine, le terme désignait, en Grèce, une relation entre un homme âgé et un éphèbe. Orochi y adaptait sa propre situation, et avait bien des idées avec cette jeune fille. Et, maintenant qu’il était sûr qu’elle ne dirait rien, il allait pouvoir véritablement commencer sa préparation.
*Je l’ai choisi avec soin, pour éviter qu’elle ne me dénonce, comme cette salope d’Asuka à Tokyo... Je vais la jouer finement, mais tu es à moi, gamine !*
Il exultait avant le début du cours, et, dès que Natsuki entra, il posa sa main sur son épaule, et lui parla d’une voix dure et froide, professionnelle :
« Tu viendras me voir à la fin du cours, Michiro-san. »
Il relâcha ensuite son épaule, et fit son cours comme si de rien n’était...
...En fantasmant à l’idée de ce qu’il avait préparé pour cette jeune femme innocente !