Orochi le sentait clairement. Il avait senti le corps de Natsuki remuer, s’adapter à sa grosse queue. Il l’écrasait sur la table, et la prenait sur le devant. Il aurait pu la prendre à l’envers, mais, pour sa première fois, il voulait la voir. La belle Natsuki se dandinait devant lui, l’impérieuse verge de son professeur l’ayant défloré. Il avait brisé son hymen, et se retenait de jouir. Il aurait pourtant pu le faire, car il sentait bien que son désir avait atteint le plus haut niveau… Natsuki avait faiblement protesté au début, mais, cette fois, elle gémissait de plaisir. Elle s’unissait à lui, et refusait juste de l’admettre, si timide, si mignonne… Et, à chaque fois qu’elle faisait mine de détourner le visage, Orochi posait sa main dessus, et la ramenait en position.
Elle était ainsi condamnée à le voir. Son gros ventre tapait contre ses cuisses, soulevant la table, la rabaissant sur le sol, les pieds de la table venant racler le sol. Il adorait l’entendre couiner, et, quand il n’immobilisait pas son visage, il la caressait doucement. Son pouce glissa sur les lèvres de Natsuki-chan, et il l’enfonça entre ses lèvres, s’humectant de sa salive, tout en sentant sa mouille glisser le long de sa queue. Il grogna alors, et accéléra les coups de reins, les amplifiant furieusement, maintenant un rythme solide et soutenu. Sa main se déplaça alors, et pinça le sein de Natsuki, tirant sur le téton. Ses seins étaient durcis, joyeusement tendus, exprimant tout le plaisir qu’elle ressentait.
Orochi en était si excité qu’il était ému, et des larmes coulaient le long de son visage tandis qu’il la baisait. Sa queue ne cessait de se perdre en elle, provoquant de multiples claquements spongieux.
« Na-NATSUKI… !! »
Elle couina alors, et il la sentit s’abandonner. Le corps de Natsuki-chan se trémoussa sur place, et il sentit sa mouille affluer sur sa queue. Il grogna alors, et ne put se retenir encore. Depuis trop longtemps, Orochi attendait ce moment, et, après des minutes de baise intensive, il s’abandonna à son tour en elle. Sa grosse queue se tendit, se crispa, et il balança de copieux jets de foutre, éclaboussant l’intimité de Natsuki-chan, se relâchant en elle, tout en grognant silencieusement sur place. Un orgasme si fulgurant qu’il sentit même une seconde couche venir, et jouit encore, balançant de nouvelles giclées de sperme.
Le massif professeur se calma ensuite, respirant lourdement, et attrapa sa petite poupée en sueur. Il la serra entre ses gros bras, et se recula, venant s’asseoir sur une chaise, et tint Natsuki entre ses bras. Il la maintenait contre elle, l’écrasant contre son corps ventripotent. Elle était délicieusement nue, et il caressa d’une main ses cheveux, l’autre s’appuyant sur ses fesses, maintenant encore sa verge en elle.
« Natsuki-chan… Je t’aime, ma Natsuki, ma petite poupée… »
Un tendre baiser se posa sur ses lèvres, tandis qu’il était beaucoup plus calme, massant le dos de la jeune femme.
« Je plaisantais, bien sûr… Jamais je ne ferai du mal à ma Natsuki-chan, tu es si gentille… »
Il la maintenait encore contre lui, et releva son visage, afin de pouvoir l’embrasser plus longuement sur ses lèvres, pressant sa bouche contre la sienne. Croire qu’il en avait fini avec elle serait aussi une très grosse erreur, car, plus que jamais, Orochi avait une furieuse envie de pénétrer Natsuki, et de lui faire encore très longuement l’amour…