Natsuki-chan s’assit donc sur lui, un peu nerveuse, consciente qu’elle faisait quelque chose d’inédit, et qu’Orochi avait vraiment une grosse queue ! Mais un ordre était un ordre, et le désir n’attendait pas. Natsuki-chan obtempéra donc, et frotta ses lèvres intimes contre sa verge, avant de s’enfoncer progressivement en elle.
« Hmmm… »
Il la vit gémir doucement, se tortillant faiblement sur place en sentant cette épaisse verge qui forçait le passage en elle, qui croissait difficilement. Natsuki-chan gémit encore, lui avouant que sa queue était grosse, et il hocha la tête, grognant également, sentant les mains de Natsuki serrer ses poils. Orochi grogna lentement, sentant sa queue se comprimer dans ce con serré. Dieu, que c’était bon ! Et en même temps douloureux, très douloureux ! Sa queue se comprimait dans cet espace clos, mais il n’y avait vraiment que dans le sexe que la douleur devenait jouissive !
« O-Ouuii, Natsuki, hmmm… Tu es si belle… Hmmm… »
Ses mains se déplacèrent. Il caressa la joue de Natsuki-chan, et posa l’autre sur ses hanches, avant de les éloigner encore, jusqu’à agripper l’une de ses fesses. Il serra ses doigts boudinés dessus, sans toutefois vouloir la gêner. Le choix de la mettre dessus n’était pas totalement anodin, car cela l’amènerait à agir, et non à subir. Ainsi, il aurait désormais l’intime conviction qu’elle était consentante. Mine de rien, cette idée l’effrayait. Orochi-sensei avait usé de son autorité pour séduire Natsuki-chan, il l’avait menacé, mais, dans le fond, il ne voulait que son bonheur. Il pensait juste que Natsuki-chan n’avait pas acquis la maturité nécessaire pour réaliser ça, et que c’était donc son rôle, à lui, d’agir en ce sens. Mais il pouvait bien sûr aussi se tromper. Il était donc ravi de la voir agir ainsi.
« Là, plus fort, ma poupée, plus fort… »
Le lit remuait sous leurs mouvements. Elle était délicieusement en sueur, et cela lui allait si bien ! Sa peau très claire se couvrait de tâches rouges magnifiant sa beauté, tandis que sa sueur filait dans tous les sens. Orochi-sensei grognait encore, heureux de la voir ainsi se déhancher, et désireux de la guider jusqu’à son orgasme. Elle mouillait abondamment sur sa queue, et, plus le temps passait, plus elle pouvait remuer longuement en enfonçant profondément sa queue en elle, qui allait jusqu’à taper son col de l’utérus.
Quant à Orochi, il allait devoir se retenir de ne pas jouir trop vite, car, en voyant cette scène, il était à vrai dire très difficile de se retenir !