Elle était en train de craquer, et ce dans tous les sens du terme. Chengzu s’en amusait, mais en était aussi excité. Ishtar lui avait bien dit de ne pas s’en faire, et que, au fond, Malaurie voulait juste faire son intéressante. Qui aurait pu repousser un tel homme, après tout ? Somme toute, Chengzu avait beau être un dominateur, il n’avait pas en lui l’assurance franche et posée d’Ishtar. Mais, maintenant, il le sentait, oui, Malaurie lui appartenait. Il la prenait donc fort, y allant franchement, comme il pouvait le faire avec Theorem, si bien que Malaurie avait cessé de parler, et bavait sur place. Elle commençait à divaguer, délirant en étant semi-absente. On pouvait entendre les claquements répétés et frénétiques de sa verge qui tapaient dans le con trempé de sa partenaire. Quand il finit par jouir en elle, Chengzu soupira longuement, après une bonne demi-heure à la baiser sans ménagement. En sueur, sentant le latex frotter sur sa peau, il expulsa d’épaisses quantités de foutre dans sa chatte, et la laissa retomber sur le lit.
Malaurie tomba dessus. Elle respirait encore, mais clignait des yeux, de manière évasive. La pièce se remplissait déjà de cette délicieuse odeur, mélange de sueur et de sexe, le tout renforcé par la chaleur. Respirant lourdement, Chengzu vit son sperme dégouliner de sa chatte, et se pencha sur elle. Il la coucha sur le flanc, et se lova contre elle, se glissant ensuite dans son fondement. Malaurie gémit alors, et commença à retrouver peu à peu ses esprits, tandis qu’il avait diminué le rythme, la pénétrant plus longuement. Malaurie commençait à avoir l’esprit lucide, et caressa ses pectoraux. Il sourit, et elle put constater qu’il avait retiré ses lunettes. Maintenant qu’il était devenu un vampire, il n’avait aucun problème de vue, et les portait simplement pour se donner un style.
« Hummm… On le pourrait, oui… Tu as déjà rencontré Theorem, non ? Il sait pour nous… »
Chengzu soupira lentement, et l’embrassa alors, tout en pelotant l’un de ses seins, le compressant à travers sa robe. Il avait ralenti le rythme, comme pour pouvoir mieux parler avec elle.
« Quand je suis arrivé dans cette famille, j’étais comme toi, tu sais… Désorienté, perdu. Theorem et Ishtar me semblaient être… Complets l’un à l’autre. Et puis… J’ai compris qu’on pouvait aimer plusieurs personnes. Chacun d’eux m’apporte… Des choses différentes. Avec Theorem… Je peux l’aimer et le soumettre, m’amuser à le dominer, à le punir, à me délecter de sa servitude, de ses couinements. Cela répond à l’une de mes facettes, à plusieurs pulsions. Avec Ishtar… Cela répond à d’autres pulsions. Nous faisons l’amour différemment, elle et moi, et souvent avec d’autres personnes. Est-ce que cela te semble si inconcevable ? Être une Malaurie avec quelqu’un, et une autre Malaurie avec une autre personne… »
Il soupira encore, et l’embrassa dans le creux du cou. Tout en parlant, il l’embrassait souvent, et pelotait ses seins, les embrassant et les mordillant à travers sa robe. Sa verge s’enfonça également dans sa chatte, se retirant de son fondement. Tout en faisant cela, pour maintenir la porte arrière de Malaurie en état d’utilisation, il glissa un plug anal en elle, puis glissa sa verge dans sa chatte trempée.
« Ce n’est pas une question de préférence, mais d’expérience différente. Avec toi, je peux expérimenter des choses que je ne peux pas avoir avec Theorem ou avec Ishtar, mais ça ne signifie pas… Que je fais un concours entre vous. Chacun d’entre vous, vous me complétez, tout comme Ruby t’apporte des choses que je ne peux pas t’apporter… »
Il remuait plus lentement, modifiant le rythme, mais pour rester sur un mouvement relativement fluide, plus adapté à cette conversation.
« Cesse de nier l’évidence, Malaurie. Toutes les fois où je t’ai invité et où tu es partie en disant ne jamais revenir… Et, pourtant, tu es là, à jouir contre ma bite. Tu as besoin de moi. Et j’ai besoin de toi. Tu me rappelles celui que j’étais en rejoignant cette famille, l’étrangère qui se trouve une place. Tu seras ma partenaire idéale. Je te veux comme tu es, forte, dominatrice, capable de dominer Theorem avec moi, et de te faire baiser pendant des heures par moi et par Ishtar. Je ne souhaite même pas que tu choisisses entre moi et Ruby. Ruby peut rester ton amant, il peut croire que tu n’as personne d’autre… Ou devenir ton esclave sexuel, si tu le souhaites. Je te laisse choisir… Moi, j’aime l’idée de te sauter quand il est là, l’idée qu’il dorme avec toi sans se douter que mon odeur est sur toi… Et je sais que ça t’excite… Sinon, tu ne serais pas revenue en me parlant de lui. Tu en as envie, comme moi… Qu’il ne puisse plus te toucher pendant que je te baiserai comme jamais. Tout ce que tu as à faire, c’est d’accepter ce que tu veux, Malaurie… Deviens mienne, deviens une von Nacht, accepte de m’épouser… Je veux lier ma vie à la tienne, que tu fasses partie de ma famille… »
Aurait-il été au poker qu’on aurait pu dire qu’il avait fait tapis. Qu’allait-elle répondre, maintenant qu’il s’était lancé ?