Oh oui, Alice aimait ça ! Elle adorait ça, même ! C’était le feu du Dragon qui pulsait en elle, le feu de la passion ! Elle se faisait joyeusement sodomiser, et Gwendoline n’y allait pas par quatre chemins. La femme du Lys devait avoir compris que, bien qu’étant une Princesse à la peau frêle, Alice n’était pas faite de porcelaine, et qu’elle aimait le sexe violent, le sexe intense et puissant. Elle se pinçait les lèvres, elle se tortillait fréquemment sur place, crispant ses doigts sur la table de bois, gémissant encore. Sa salive coulait parfois de ses lèvres pour s’étaler sur la table, tout comme sa sueur, filant de ses joues. Son corps filait d’avant en arrière, claquant contre la table. Celle-ci grinçait sur place, et Gwendoline, inlassable, y allait encore et encore. Elle optait pour une sodomie énergique, brutale, s’enfonçant profondément en elle, ce qui était très clairement tout ce qu’Alice souhaitait. Et, bien évidemment, la jeune Princesse succombait de plus en plus.
De temps en temps, Gwendoline ralentissait le rythme pour se lover dans son dos, et les deux femmes s’embrassaient alors, Gwendoline allant jusqu’à s’immobiliser dans son fondement, comme pour exciter Alice, pour la frustrer, jusqu’à ce qu’elle se tortille nerveusement sur place en demandant plus de sexe, en couinant, et en mordillant la lèvre inférieure de Gwendoline. La douceur semblait être utilisée par Gwendoline, dans cette situation, comme un moyen supplémentaire de la frustrer, de la faire sombrer dans les voies infinies de la luxure.
« Hmmm... Mmmhmmm... !! »
Les jurons ne firent que l’exciter davantage, l’amenant à se tortiller encore sur place. Inlassablement, Gwendoline y allait, la prenant, accélérant le rythme après l’avoir fait patienter, diffusant en elle des vagues exquises de douleur. Oh oui, oui ! Cette douleur exquise, ce plaisir masochiste jouissif ! Alice en fondait sur place, couinant à nouveau, bavant encore, tandis que Gwendoline commença à l’insulter, montant dans les octaves. C’était sans doute difficile à croire de prime abord... Mais, après tout, si Alice avait été jusqu’à se promener dans un bordel, et par être excitée à l’idée de coucher dans une salle publique, était-il si surprenant qu’elle se laisse aller à ce genre de fantasmes avec sa partenaire ?
Gwendoline la traita donc, et Alice rougit encore, se pinçant les lèvres. Elle sentait toutefois que la femme haletait de plus en plus, approchant ainsi du plaisir suprême, de l’ultime limite. Mais elle ne comptait pas jouir trop vite, confirmant ainsi le talent exceptionnel des membres du Lys, plongeant Alice dans une sensation permanente de plaisir, un sentiment dilué que rien n’arrivait à éteindre. Dans un nouveau râle, elle ferma les yeux, se pinça les lèvres, et sentit alors le plaisir l’envahir. Quand le foutre de Gwendoline vint la remplir, ce fut pour la Princesse le point de rupture.
« Haaaaaaa... !! »
Elle jouit encore à son tour, inondant ses cuisses, et sentit avec délectation le sperme de la femme fuser en elle, la remplissant encore. Ses joues en avaient furieusement rougi, et, quand Gwendoline se retira d’elle, Alice se sentit chavirer. Elle tomba au sol, et se retrouva devant Gwendoline, en sueur, ses cheveux tombant sur son dos, sa robe légèrement défaite.
« Hmmmm... Pfffffftt... »
Alice soupirait longuement, devant retrouver son souffle. Elle papillonna des yeux à plusieurs reprises, avant de se redresser, et resta assise sur ses genoux. Depuis sa position, son visage était proche du membre de Gwendoline, un sexe qu’elle se mit alors à embrasser, le nettoyant presque respectueusement avec sa langue, agissant naturellement, instinctivement, sans même demander à Gwendoline son avis.
« Je dois bien admettre que... Tu es à la hauteur de la réputation du Lys, Gwendoline. Je... Je crois que je risque de devenir accroc à toi lors de mon séjour au Lys... »
Et, pendant ce temps, elle continuait à titiller cette queue trempée...