Difficile de dire jusqu’à quel point Luke avait pu participer au conditionnement de sa femme. A priori, les hommes étaient exclus du programme, mais il y avait parfois des exceptions. Quand Joana l’interrogea, en le fixant avec son regard électrique, Luke se racla la gorge, et répondit :
« Et bien, pour commencer, nous ne craignons pas pour nos vies ici. Le fait de pouvoir travailler en sécurité, cela aide beaucoup. Et puis, ici, à Stepford, nous faisons tous partie d’une grande communauté. Nous aurions pu craindre que notre couleur de peau soit un blocage, mais cela n’a pas été le cas. Je fais partie du conseil municipal, vous savez, et, pour rien au monde, je ne souhaiterai retourner là d’où nous sommes venus. Cette ville est beaucoup trop agréable. »
Cela, Bobbie pouvait sincèrement le comprendre. Elle aussi, elle ne se voyait pas repartir, bien loin s’en faut… Pour autant, même si elle appréciait la ville, elle ne la trouvait pas parfaite non plus. Et, à bien y réfléchir, si Luke avait insisté sur le caractère sécurisant de la ville, et sur le fait qu’il n’avait pas envie de la quitter, il n’avait pas, en soi, envie de partir. Maria, de son côté, restait assez silencieuse, et évitait de trop croiser le regard de Joana. Bobbie n’avait pas besoin de pouvoirs télépathiques pour savoir que les deux jeunes femmes avaient dû se dire quelque chose. De fait, Joana finit par se débrouiller pour que Bobbie et Maria soient seules. Joana lui avait assuré que Maria dissimulait quelque chose, et, quand Maria arriva, Bobbie lui sourit.
« Pourriez-vous préparer les patates cuites pendant que je découpe le poulet ? »
C’était un repas classique… Un bon poulet cuit qu’il fallait découper, servi avec des pommes de terre découpées en lamelles et cuites au poêle. Bobbie sortit le poulet du four, et attrapa le couteau électrique, puis trancha dans le poulet, le couteau servant surtout à séparer les cuisses du poulet du corps. Tandis qu’elle s’activait, Maria, visiblement rassurée, sortit les patates de la poêle pour les mettre dans un récipient… Et sentit alors Bobbie venir se presser contre elle, son corps savoureux et langoureux venant s’écraser dans son dos, sa verge heurtant ses fesses. Elle posa sa main sur la bouche de Maria, étouffant son cri de surprise, et l’embrassa dans le creux du cou.
« Shht… Si tu savais comme tu me fais envie… Je suis sûre qu’en ce moment, ma femme doit s’occuper de ton mari… »
Lors de cette première partie de soirée, Luke avait déjà manifesté des pulsions envers Joana, sous l’influence de ses pupilles magiques. Bobbie, de son côté, palpa sans vergogne les seins de Maria.
« Tu sais que j’ai beaucoup pensé à toi aujourd’hui ? J’ai une furieuse envie de te baiser, ma jolie…
- Oh, Bobbie, voyons, mon mari… »
Bobbie pinça brusquement les seins de Maria, et mordilla son cou.
« Maîtresse, petite traînée. Est-ce clair ?
- Ah… Pa-Pardon, Maî-Maîtresse… »
Un léger sourire orna les lèvres de Bobbie, qui commença à défaire la ceinture du pantalon de Maria. Elle gémit sur place en se débattant faiblement, semblant perdre toute sa force. Souriant encore, Bobbie frotta sa verge contre les fesses de Maria.
« Ton mari… Qu’est-ce qu’il cache, ma belle ?
- Je… Maîtresse, que voulez-vous dire ? »
Bobbie pinça les tétons de Maria, et la plaqua ensuite contre le plan de la cuisine, puis gifla ses fesses.
« Tu oses mentir à ta Maîtresse ! Petite traînée !
- Ah, Maîtresse, mon mari… ! Hîîîî !
- Tu n’as qu’à arrêter de crier, petite truie ! »
Bobbie la pénétra ensuite, s’enfonçant dans sa chatte, et remua lentement, la faisant gémir.
« Tu aimes la sentir, ma grosse queue, non ? Tu sais… Je me dis que tu ne dois pas être le seul membre de ta famille à aimer ça…
- Hmmm… ! »
Les jambes de Maria étaient retenues par un pantalon, et Bobbie continuait à la prendre, le corps de sa partenaire remuant d’avant en arrière.
« Ta Maîtresse t’ordonne de parler, salope !
- Oh, Maîtresse, oui… !! Mon… Mon mari, haaaa… Je lui ai parlé de vous, Maîtresse, et… Hmmm… »
Maria se mordilla les lèvres. Bobbie s’écrasa contre elle, et continua à lui parler :
« Parle. »
Gémissant alors, Maria se relâcha :
« Il veut sentir votre queue dans son cul ! »