The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Image d’illustration (NSFW)

Sous la houlette de leur nouveau chef, Skazz, la meute des Dents-Pointues venait d’accomplir l’impensable : elle s’était emparée du château-fort de Moriot ! Cette forteresse réputée imprenable était le siège d’un très puissant duché, qui, pendant des années, traquait les gobelins et menait des expériences génétiques et magiques sur eux. Les humains avaient fini par payer le prix de leur arrogance. Skazz avait été l’un de ces cobayes, qui avait fini par s’évader, et avait développé suite aux mutations subies une intelligence accrue. Cette intelligence lui avait permis au mieux d’exploiter sa petite taille. Il s’était emparé d’une meute de gobelins, et avait formé des gobelins d’élite, en faisant des assassins. Skazz et ses gobelins d’élite s’étaient infiltrés dans le château-fort, et avaient fait tomber les défenses principales de la ville. Ils avaient assassiné les principaux commandants et chefs de garnisons, et avaient ainsi réussi à faire tomber la ville.

Aujourd’hui, Skazz avait enfin accompli sa vengeance. Le duc du château lui appartenait, ainsi que sa femme, et leur fille, la duchesse Maëlys. Belle et parfaite, elle s’était toujours opposée aux expériences magiques menées dans les laboratoires alchimiques du duché. Skazz ne pouvait toutefois s’empêcher de la trouver magnifiquement attirante. Elle était à ce jour la principale raison qui expliquait que le duc soit encore en vie. La ville, elle, était aux abois. Il y avait de nombreux morts. Skazz avait déployé sur la ville des attaques de monstres en ouvrant des portes condamnées dans les égouts, libérant des flopées de noyeurs et de goules. Les humains s’étaient réfugiés dans le donjon principal, qui était tombé entre les mains des gobelins. Skazz avait en soi une force de frappe bien insuffisante pour s’emparer du fort de Moriot, mais, grâce à son ingéniosité, il avait réussi l’impensable !

« Tu ne t’en sortiras pas, quand le Roi apprendra ce que tu as fait, il te massacrera, sale vermine ! »

Skazz ricana en se retournant vers le duc.

« Toujours aussi arrogant… »

Il se rapprocha lentement, tandis que les autres gobelins d’élite ayant participé aux meurtres s’étaient également regroupés. Skazz hocha la tête, et l’un des gobelins frappa violemment le duc, qui tomba au sol. Les autres ricanèrent, et l’un des gobelins égorgea l’un des conseillers du duc. Son corps s’effondra sur le sol en se tortillant douloureusement. Skazz se rapprocha de la famille, puis tourna son regard vers Maëlys.

« Initialement, je comptais faire ce que vous avez fait subir à ma famille, duc… Tuer et torturer votre famille sous vos yeux… Mais votre fille est si belle… »

Les doigts crasseux et noueux de Skazz caressèrent la joue de Maëlys, et se saisirent de son menton, pressant ses joues.

« Tu tiens la vie de ta famille entre tes doigts, précieuse duchesse… Mais aussi de tes sujets. Tu vois tous ces gobelins autour de toi ? Nous allons tous te baiser… Tous, sous les yeux de tes parents, et, à chaque fois que l’un d’entre nous jouira, nous épargnerons l’un de nos prisonniers. »

La mère de Maëlys s’étrangla, et l’un des gobelins tira violemment sur ses cheveux, avant de la gifler sèchement, la jetant au sol. Skazz se redressa alors, et se déshabilla rapidement. Il avait une odeur assez atroce, et une solide verge verte qui durcissait contre son ventre rebondi, semblant d’autant plus grosse qu’il était petit. Il souriait cruellement, une lueur de perversité dans ses yeux. Il saisit de lui-même sa verge, et la fourra contre le visage de la femme.

« Tu sais quoi faire, non, ou tu es trop godiche pour ça ? Une salope comme toi a forcément déjà dû s’enfiler un tas de bites joufflues, non ? Sinon, on va se charger de refaire ton éducation, hihihi ! »

[Chloé Faure]

L'attaque était survenue en pleine nuit, et Maëlys avait été réveillée dans sa chambre avec la sensation que des mains la tiraient par les cheveux. Plusieurs gobelins étaient entrés par effraction chez elle, en ayant au préalable tué tous les gardes, et face à la menace de leurs armes elle n'avait eu d'autre choix que de coopérer. Portant une simple nuisette de nuit la jeune duchesse n'était pas vraiment dans ses apparâts de jour, mais elle demeurait l'une des plus belles femmes de toute la contrée...sans aucun doute pour son plus grand malheur en vérité.
La gravité de la situation lui sauta aux yeux quand elle fut ammenée dans la salle du trône, ou toute sa famille et les conseillers de son père se trouvaient là, à la merci d'une horde de gobelins armés, avec à leur tête celui qui se prénomait Skazz. Skazz était un "rat" de laboratoire des alchimistes du duc, qui avaient fait des expériences diverses sur des gobelins, dont beaucoup étaient morts, mais celui ci en particulier semblait avoir vu son intelligence bien augmenter, au point qu'il était parvenu à s'échapper et causait depuis bien des problèmes dans le duché. Maëlys avait toujours été une opposante à ces expériences, car au delà de leur aspect dangereux qui se manifestait pleinement aujourd'hui, même des gobelins ne méritaient pas d'être traités ainsi...trop tard, de toute évidence. Forcée à être agenouillée aux côtés des autres, Maëlys lançait des regards inquiets à sa mère et à son père, et tâchait aussi de ne pas faire trop de bruit alors qu'elle était en larmes, de peur d'énerver les gobelins. Au dehors elle entendait des cris et des bruits de combat, signe qu'il s'agissait d'une prise de la ville entière.

Non, non pitié !

Maëlys ne trouva que ça à dire lorsque Skazz frappa son père, et que l'un de ses gobelins égorgea par la suite l'un de ses conseillers. Et puis...et puis ce dernier se rapprocha d'elle, et tout en commentant sur le fait qu'il la trouvait belle, posa sa main sur son menton en lui serrant les joues avec ses doigts griffus. Paniquée, Maëlys était comme figée sur place alors que Skazz lui énonça clairement que lui et toute sa horde de gobelins comptaient la baiser, et qu'il allait comptabiliser le nombre de fois où ils allaient jouir pour déterminer le nombre de prisonniers qu'ils allaient épargner. Maëlys dégluttit à cette idée, mais toute idée de dire non la quitta lorsque sa mère laissa échapper un bruit indiquant son choc, et qu'elle violemment gifflée par l'un des gobelins. Face à elle, Skazz entreprit alors de retirer son armure pour se présenter nu devant elle.

Pitié je...je ferais de mon mieux...

Elle allait coopérer, mais Maëlys était complètement vierge et n'avait donc aucune expérience sexuelle, alors qu'elle voyait pour la première fois une queue dressée devant elle. La jeune femme ne parvint pas à se retenir d'avoir une expression de dégoût alors que l'odeur nauséabonde du gobelin lui arrivait aux narines, et qu'il s'approcha en fourrant sa verge puante et couverte d'espèce de picots. Ce fut donc moins par envie que par crainte de voir ses proches se faire égorger à leur tour, qu'elle se força à ouvrir ses lèvres pour acceuillir le bout de ce sexe dans sa bouche, elle ferma les yeux et fronça les sourcils alors qu'à l'odeur se mêlaient maintenant le goût immonde qui lui donnait envie de vomir. Elle allait essayer, mais elle luttait contre le dégoût...et elle ne savait effectivement pas trop quoi faire en prime.

[Reine Alice Korvander]

Un sourire pervers orna les lèvres de Skazz devant le regard terrorisé de Maëlys. Elle vit son sexe verdâtre, une belle queue bien érigée, et qui était bien dure. Skazz aimait les humaines. Elles étaient beaucoup plus belles que les gobelines, et Skazz avait, à vrai dire, de grandes ambitions. Il savait comment les humains fonctionnaient, et il savait que sa victoire n’était que le début de la guerre. Il allait donc abattre ses pions, et se rapprocha de Maëlys. Elle portait une longue nuisette qui s’ouvrait sur son corps parfait, et il se tint debout face à elle, la laissant s’agenouiller. Elle était au milieu de la salle du trône. Skazz savait que Maëlys était en soi une femme douce et avenante, qui désapprouvait les expériences cruelles de son père. Ce qui lui arrivait était donc injuste, mais la vie était injuste. Les mains moites de Skazz se posèrent sur ses cheveux, et il approcha sa verge de son visage. Impossible pour Maëlys de masquer une grimace de dégoût face à l’odeur forte de cette queue puante.

« Hihi… Vous, les humains, vous vous lavez beaucoup trop… »

Skazz lui intima d’ouvrir la bouche, et fourra sa queue en elle. Maëlys gémit sur place, et il grogna alors, remuant lentement, sans trop enfoncer sa verge. Les gobelins avaient des verges de belle taille, et elles étaient d’autant plus impressionnantes qu’ils étaient petits.

« J’ai de grands projets pour toi, Maëlys… Tu as toujours été gentille avec moi… Hmmm… Je dirais même que tu es la seule humaine gentille que j’ai eu la chance de rencontrer. »

Il y avait plusieurs années, l’impétueuse Maëlys s’était faufilée dans le donjon familial, dans les laboratoires alchimiques de son père. Elle avait vu Skazz, recroquevillé dans une cage, et elle lui avait donné sa pomme en voyant combien il était famélique. Soupirant lentement,  il croisait le regard paniqué de Maëlys.

« Ne mords pas. Respire par le nez. Et déplace ta langue, approprie-toi ma queue… »

Sa voix devenait plus douce, presque chaleureuse… Pour autant, il ne fallait pas croire que Maëlys aurait droit à un quelconque traitement spécial, les gobelins ne fonctionnaient pas comme ça. Elle put entendre sa mère gémir, car d’autres gobelins, les proches capitaines de Skazz, avaient également retiré leurs armures. Ils formèrent un arc-de-cercle autour de Maëlys, leurs verges pointant vers elle. Dans son dos, un gobelin s’agenouilla, et déchira sans ménagement sa nuisette, puis tira dessus, jusqu’à ce qu’elle finisse toute nue. Il se blottit dans son dos, sa verge heurtant ses fesses, et malaxa ses seins, tout en reniflant son cou, sentant encore un peu de son délicieux parfum à la lavande. Sa langue rose jaillit ensuite, tel un serpent affamé, et titilla le creux de son cou, avant qu’il ne lui dépose un suçon, tout en continuant à pétrir ses seins, les malaxant avec appétit…

[Chloé Faure]

Maëlys était absolument dégoûtée, écoeurée par ce qu'elle était en train de faire. L'odeur comme le goût ignobles qui émanaient de la verge du gobelin qu'elle avait dans la bouche étaient insupportables, et elle devait faire de véritables efforts conscients et constants pour continuer à sucer Skazz, car tous ses instincts lui dictaient d'arrêter de le faire, elle en était à lutter contre de régulières envies de vomir, mais ne s'arrêta pas pour autant. Il suffisait en effet pour elle de tourner son regard sur le côté pour voir ses parents menacés par des gobelins, qui avaient des dagues prêtes à être utilisées pour les égorger, et Maëlys n'avait hélas aucun doute quand au fait qu'ils n'hésiteraient pas à tuer ses parents et bien d'autres encore si elle ne faisait pas ce que le chef des gobelins lui ordonnait de faire.
Ce n'était absolument pas comme ça que la jeune duchesse s'était imaginée sa première fois, et sans être une romantique naïve qui croyait au prince charmant, se faire troncher par une horde de gobelins sales et puants comme "initiation" était tout sauf plaisant...mais encore une fois, elle n'avait pas vraiment d'autre choix que de se soumettre. Les lèvres fermées autour de ce sexe d'une taille tout de même assez imposante, la jeune femme remuait sa tête pour le faire coulisser dans sa bouche, et tâchait au mieux de jouer de sa langue dessus, même si cela signifiait qu'elle devait alors se retenir de vomir car le goût de ce sexe de toute évidence non lavé depuis longtemps était ignoble.

Hmmm...

Les doigts crochus et griffus de Skazz posés sur sa tête étaient un autre facteur qui l'empêchaient de se retirer, ce qui fit qu'elle ne put effectivement que tourner un peu son regard en direction de sa mère quand elle l'entendit gémir, de peur qu'un des gobelins ne lui fassent du mal...mais elle comprit vite qu'il ne s'agissait pas de ça.

Hmmm !!!

Maëlys se crispa sur place en sentant un autre gobelins se positionner dans son dos, dont les mains se posèrent sur sa petite nuisette blanche à hauteur de ses épaules. Sans ménagement, la créature entreprit de déchirer le tissu fin et brodé, qui émit des craquements audibles dans toute la pièce à mesure qu'il faisait son office, puis tira pour faire tomber au sol la nuisette désormais en lambeaux. Désormais nue, Maëlys offrait à la vue de tous son beau petit corps, et fut traversée d'un sentiment de gêne et de honte comme elle n'en avait jamais ressenti auparavant. Le fait d'être dénudée sembla faire un effet d'électrochoc chez elle, comme si elle prit vraiment conscience qu'elle allait se faire baiser par des gobelins. Plusieurs étaient eux aussi nus et l'entouraient dans son dos, se masturbant en la regardant et en ricannant, et celui qui venait de la déshabiller vint se blottir dans son dos. Maëlus se crispa encore en sentant son sexe coulisser entre ses deux fesses, se frottant contre sa croupe, et laissant au passage des traînées de liquide séminal qui collaient contre sa peau, mais également en le sentant venir poser ses mains sur ses deux seins pour les malaxer sans la moindre douceur.

Mgnnnn...

Ressentant une pointe de douleur face à ce traitement rude de ses seins, Maëlys, qui se faisait toujours bien baiser la bouche par Skazz, posa alors ses mains sur celles du gobelin pour essayer de défaire au moins partiellement son emprise sur sa poitrine qui malgré tout se durcissait, le tout en le sentant alors lécher le creux de son cou en répandant une quantité de salive puante sur sa peau. Mais sa tentative fût contrée, car sitôt qu'elle tenta de bouger ses mains, deux autres gobelins qui étaient proches les saisirent par la force, et ils la forcèrent alors à les poser sur leurs sexes respectifs. Elle gémit, mais n'eut alors d'autre choix que de commencer à les branler, alors que le gobelin dans son dos glissa alors une de ses mains plus vers le bas, abandonnant l'un de ses seins pour aller glisser ses doigts entre ses cuisses, et contre son pubis et sa vulve dans l'optique de la masturber ce qui...à son plus grand effroi, finit assez rapidement par déclencher une réaction de son corps, dans le sens où elle commençait à sécréter de la cyprine.

[Reine Alice Korvander]

De la compassion, Maëlys n’en recevrait pas plus que ce que Skagg lui offrait : l’honneur d’être baisée en première par le chef et ses proches gobelins. C’était tout, et c’était déjà beaucoup. Skagg ne pouvait que jubiler de la situation. Il avait promis « d’épargner » les humains si Maëlmys se montrait assez endurante… Mais pas de les laisser totalement inertes. Tout autour de Maëlys, les servantes et les aristocrates étaient jetées au sol, tandis que les gobelins enchaînaient leurs amants, leurs maris, les forçant à regarder leurs femmes se faire violer.

« Non, pitié… !!
-  Haaaa… Lâ-Lâchez-moi, au secours !!
-  Haaaa… !! »

Le spectacle immonde pouvait commander ! Vae victis ! On entendit les vêtements se déchirer, les rires gras des gobelins. D’autres avaient amené les réserves de vin, et buvaient tout en baisant, forniquant. L’un saisit la longue chevelure d’une femme, tout en la sodomisant avec force, la giflant avec son autre main. Les gobelins étaient nombreux, mais Skagg avait tenu parole, en ce sens qu’aucun homme n’avait encore été tué. Leurs vies ne tenaient toutefois qu’à un fil, car une longue fête s’annonçait ce soir. Mais Skagg préférait se concentrer sur Maëlys. Nue, celle-ci était somptueuse. Dans son dos, il y avait Krüg, l’un de ses plus fidèles lieutenants, un frère d’armes. Comme lui, Krüg avait fait partie des prisonniers gobelins du fort. Il était donc ravi de peloter ainsi la duchesse. Il fourra son nez dans son cou, léchant sa peau, la reniflant, s’enivrant de sa délicieuse odeur, tandis que Maëlys ne pouvait rien dire, sa bouche remplie par la queue monstrueuse de Skagg. Avec son petit gabarit, sa verge ressortait encore plus ! L’endurance sexuelle des gobelins n’était pas à négliger, car ils disposaient ainsi de beaucoup de gobelins. Les alchimistes humains vendaient souvent des aphrodisiaques à base de sang de gobelin, et on pouvait voir cette endurance à la manière dont Skagg la prenait.

Quand les douces mains de Maëlys cherchèrent à repousser les mains fermes de Krüg, celui-ci ricana, reniflant bruyamment contre elle, ses mains sales continuant à pétrir ses seins, pinçant les tétons. Les mains de Maëlys se retrouvèrent rapidement prises par d’autres mains, et elle se retrouva à devoir masturber deux verges appartenant à deux autres gobelins.

« On va tous te passer dessus, Maëlys… Hihi… Tu nous appartiens, maintenant… »

Krüg ricana à son tour, et déplaça sa main. Il sentit la chatte de la jeune femme. Une belle chatte imberbe. Un héritage génétique très rare de ses parents, qui étaient naturellement imberbes pour certaines générations. Maëlys avait hérité de ce trait, et elle put sentir le doigt de Krüg s’enfoncer en elle. Un autre doigt s’y faufila également, et il commenbça à la masturber. Skagg sentit alors le corps de Maëlys trembler, ses couinements de protestation prenant une tonalité très différente.

« Hihi… Cette salope vient de se pisser dessus ! C’est tout humide là-dessous ! »

Krüg retira ses doigts, et les renifla alors.

« Oh, mais… C’est pas de la pisse, ça… Cette catin mouille, hihi ! »

Le gobelin retourna la masturber, la pelotant, tout en léchant son cou. Skagg, à l’idée que Maëlys puisse mouiller, trembla alors, et se mit à jouir puissamment… Un orgasme intense, anormal même pour un gobelin, qui était le fruit des expériences qu’il avait subis. Un sperme poisseux, mais qui était aussi très aphrodisiaque, et que Maëlys se reçut en pleine bouche ! D’épaisses giclées de foutre qui se terminèrent sur le visage de la jeune femme, avant que les verges qu’elle ne masturbe, appartenant à des gobelins qui buvaient en même temps, ne se joignent à la fête, éclaboussant joyeusement les joues et les épaules de Maëlys. Une odeur puante et rance de sperme s’échappa de son visage, et elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que Krüg alla lui voler un baiser endiablé et passionnel, serrant d’une main ses cheveux, tandis que Skagg, s’agenouillant, titilla l’un de ses tétons… Et le mordilla ensuite, malaxant les généreux seins de la duchesse, qui durcissaient à vue d’œil. Joueur, Skagg glissa également ses doigts dans l’intimité de Maëlys, ce qui amena Krüg à déplacer ses doigts, pour les glisser dans le fondement de la jeune femme, la préparant lentement, mais sûrement, à l’intense orgie qui allait avoir lieu, et la contraignant aussi en l’état à devoir avaler le sperme de Skagg, qu’elle ne pouvait recracher !

[Chloé Faure]

Maëlys pouvait sentir des larmes couler le long de ses joues alors qu'une bande de gobelins étaient en train de profiter d'elle. Nue, et agenouillée devant Skagg, la jeune duchesse n'avait d'autre choix que de sucer, tant bien que bal, sa verge répugnante. Elle entendant de façon un peu lointaine les soupirs et gémissements d'autres victimes, qui étaient en train de se faire violer elles aussi, mais Maëlys ne pouvait guère les distinguer, car elle avait pas moins de trois autres gobelins autour d'elle en plus de Skagg.

Hmmmnnn...

Oh Seigneur...l'odeur et le goût qu'elle devait supporter était à la limite de l'intolérable, et seul le fait qu'elle savait que si elle ne le faisait pas, sa famille allait mourir, l'empêchait de se retirer et de vomir. Ses mains étaient occupés à masturber deux gobelins, qui se tenaient à gauche et à droite d'elle, tandis qu'un dernier était agenouillé derrière elle, et s'occupait de la molester dans tous les sens. D'abord deux mains sur ses seins, qui se durcirent naturellement à force de se faire ainsi pincer, puis il glissa une de ses mains vers son intimité imberbe. Maëlys se crispa sur place à ce contact dans sa zone intime vierge, et elle avait été bien trop "accaparée" par le fait de devoir sucer le sexe de Skagg qu'elle ne s'était pas rendue compte que, à son propre effroi, son corps semblait la trahir.

*Quoi ? N-non !*

Le gobelin dans son dos affirma qu'elle mouillait, et puis sans qu'elle puisse y faire grand chose, elle sentit les mains de Skagg se refermer sur sa tête pour la maintenir en place, et il se mit à jouir.

HMMGNNN !!!

La jeune femme écarquilla les yeux, ne pouvant pas se retirer car Skagg la maintenait, elle n'eut alors d'autre choix, pour éviter d'étouffer sur place, que d'avaler ce sperme gluant et bien peu savoureux...
Dans le même temps, les deux gobelins qu'elle masturbait jouirent en même temps que leur chef, et Maëlys se retrouva avec ses épaules, ses joues, et une partie de ses cheveux, couverts de sperme. Skagg se retira vite après avoir joui, ne laissant à la duchesse qu'un court instant pour reprendre son souffle, avant que Krug, le gobelin dans son dos, ne lui empoigne le menton et la force à tourner la tête vers lui, pour la forcer à l'embrasser.

HMMMMF !!!

Maëlys était crispée sur place, devant lutter contre l'instinct de se débattre, sachant pertinnement que si elle devait se rebeller, sa mère et son père pouvaient rapidement avoir leurs gorges tranchées. Elle du donc subir le fait de se faire embrasser par ce gobelin, qui fourra sa langue dans sa bouche, l'assaillant de sa puanteur, tandis que Skagg pour sa part, était en train de lui sucer un de ses seins, et de continuer de la masturber. Rapidement, les effets aphrodisiaques de ce gobelin allaient se faire sentir chez Maëlys, qui ne pouvait s'empêcher de mouiller au contact des doigts rugueux de Skagg sur sa chatte, tandis que Krug, tout en l'embrassant de force, avait alors déplacé sa dernière main libre pour glisser un doigt dans le fondement de la jeune femme. Elle était incapable de parler, mais se sentait comme "partir", alors que son bassin commençait à onduler de lui même. L'aphrodisiaque montait dans son organisme, la rendant beaucoup plus sensible au toucher, et elle était en vérité, très proche d'avoir un orgasme, et de jouir contre les doigts de Skagg.

[Reine Alice Korvander]

Les deux gobelins la masturbaient intensivement, enfonçant leurs doigts dans son intimité et dans son fondement. Elle était leur prisonnière, tout simplement, même si elle avait droit à un traitement spécial. Après tout, ils étaient en train de la préparer, contrairement à ce que les autres femmes subissaient. Skagg avait bien dit à Maëlys qu’il lui réservait un traitement particulier. Tandis que lui et Krüg la préparaient, l’embrassaient, et goûtaient à son corps, les parents de Maëlys avaient été déshabillés. On leur avait mis des colliers en cuir autour du cou, et ils avaient été attachés contre le mur. Nus, ils subissaient les ricanements des gobelins, et étaient face à Maëlys. Des baillons leur avaient également été mis, les empêchant ainsi de parler. Sans les ordres de Skagg, la Duchesse aurait assurément été violée, vu les regards envieux des gobelins sur son corps. La Duchesse Eléonore avait eu Maëlys très jeune, elle avait été mariée de force à son époux, bien plus âgé qu’elle, dans le cadre d’un mariage politique.

Skagg sentit Maëlys jouir contre ses doigts. Après avoir sucé son sein, sa longue langue violette lécha la joue de la jeune femme, laissant sa marque dessus, sa salive. D’autres gobelins se masturbaient autour d’elle, et, tandis qu’elle jouissait, elle put sentir des filaments de foutre éclater sur son corps nu, au fur et à mesure que les gobelins jouissaient. Quand Maëlys eut fini de jouir, Skagg se redressa, et la jeune femme tomba en avant.

« Je tiens ma parole, Maëlys… »

Des femmes qui étaient violées voyaient ainsi leur calvaire prendre fin, les gobelins les emmenant ailleurs, les enfermant dans une cellule. Maëlys pouvait croiser le regard de sa mère en levant les yeux… Et sentit alors des mains gobelines écarter ses fesses l’une de l’autre. Skagg s’était glissé derrière elle, et enfonça sa longue langue violette dans son fondement. Krüg avait commencé à la préparer par là, mais Skagg enfonça le clou, parachevant sa préparation. Krüg s’agenouilla à côté de Maëlys, et posa sa main sur son menton, la forçant à regarder sa mère. Un gobelin était en train de la lécher intimement, enfonçant sa longue langue dans sa chatte, la faisant gémir sous son bâillon.

« Regarde comment ta mère prend son pied, Maëlys… Ces femmes que nous sommes en train de baiser, elles vont regretter de retrouver les queues rabougries de leurs maris. Il est probable qu’aucune ne souhaitera nous quitter, hihi. Les expériences que nous avons subi impliquaient l’usage d’hermaphrodites, pour nous rendre plus performants sexuellement. On était des cobayes, mais certaines expériences ont bien marché. »

Krüg relâcha ensuite le menton de Maëlys. Il s’allongea ensuite sous elle, et enfonça à son tour sa langue en elle, cette fois dans sa chatte. Les deux Gobelins se délectaient de ses gémissements. Leurs longues langues s’enfonçaient sur plus d’une dizaine de centimètres en elle, des langues râpeuses. D’autres gobelins se rapprochaient également, et, tandis que Maëlys était à quatre pattes, l’un d’eux fourra sa queue puante dans sa bouche, tandis que d’autres s’étaient installés à droite et à gauche d’elle. Leurs langues s’étirèrent alors, et s’enroulèrent autour de ses seins, les pressant et les malaxant avec force.

Sous ce traitement, la petite Duchesse allait jouir à nouveau, ce qui était le but recherché…