« Oui, ma salope, tu es à moi ! Rien qu’à moi, hmmm… ! »
Il la fessa encore, et se pencha vers elle. Sa main se saisit de son collier, et il tira dessus, soulevant la tête de Dasã, l’étranglant un peu au passage. Il déplaça ensuite sa main pour continuer à la tirer en arrière, jusqu’à la soulever intégralement. Elle se retrouva en position debout, et il posa ensuite sa main sur son sein, appuyant dessus, son autre main se déplaçant pour aller entre ses cuisses, venant la titiller intimement par là. Il enfonça deux doigts dans sa chatte trempée, et l’entendit couiner contre lui, son dos heurtant le sien. Crispant ses mains, il s’en servait comme appuis pour la prendre. Là, avec son corps nu et musculeux, il ressemblait clairement à une bête, une sorte d’ours glabre qui venait s’abattre sur le séant de sa jeune et fragile proie.
Les hurlements de Dasâ emplirent l’air, et, cette fois, aucune bouche ne vint les recouvrir. Virginie se déplaça alors, rejoignant le lit, et s’agenouillant devant le duo, venant donner à son père un vibromasseur doré, le glissant entre ses doigts trempés pour l’enfoncer dans le dos de l’okami. La main d’Arthur s’empara ensuite du vibromasseur, et l’enfonça en elle, l’aspergeant de mouille, le reculant pour mieux l’enfoncer ensuite. Virginie, elle, s’attaqua aux seins de Dasã, venant les embrasser, mordillant les tétons, tirant dessus avec ses dents.
« Hmmm… !! Petite salope ! Tu es ma pute, hein ?! Une grosse chienne qui a envie de se faire fourrer ! »
Comme transcendé par ce qu’il vivait, Arthur se laissait joyeusement aller, sans limite, sans aucune retenue !