Bubble grognait sur place, sa verge labourant le champ humide d’Asuka. Elle soupira une nouvelle fois, frottant son nez contre son visage, et reprit son souffle. Des vagues de désir la traversaient au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait en elle, qu’elle pénétrait Asuka, et qu’elle s’unissait à elle. Les deux femmes ne faisaient plus qu’une, reliées par une même vague, par un même élan.
« Haaaa… ! »
Elle l’embrassa ensuite, lorsqu’Asuka lui indiqua qu’elle risquait d’aimer ce pays… Et encore, elle n’avait rien vu ! Ses lèvres se plaquèrent aux siennes, et elle se crispa sur Asuka, enfonçant sa trique en elle, puis se redressa, et s’enfonça encore. Sa langue joua avec la sienne, donnant lieu à un baiser humide et intime. Bubble tremblait sur place, et sentit la main d’Asuka s’appuyer sur ses cheveux, les serrant. Le baiser se rompit ensuite, non sans qu’un mince filet de salive ne les relie entre elles. Excitée, tremblante d’excitation, la combattante uatéenne sentait également le pic de la vague se rapprocher. Sa queue trempait dans la mouille de sa partenaire, et les sensations que Bubble ressentait étaient assez indescriptibles.
Au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait en elle, elle sentait sa verge s’humidifier. La chair claquait contre la chair, s’accompagnant de bruits de claquement spongieux au fur et à mesure qu’elle remuait contre sa partenaire. Le corps de Bubble commençait également à luire, sa peau brunâtre s’illuminant de tâches de sueur sous l’effort physique qu’elle déployait. Elle haletait sans s’en rendre compte, l’adrénaline gommant toute forme de fatigue au profit d’une excitation croissante, reptilienne et sauvage.
« A-Asuka, hmmm… !! » gémit Bubble.
Même parler devenait compliqué, nécessitant de la part de Bubble un effort surhumain. Elle était en transe, continuant à la pénétrer. Sa verge l’élançait, et elle ferma les yeux en se pinçant les lèvres, sentant le torrent l’envahir…
…Puis Bubble se mit à jouir énergiquement. Ses muscles se relâchèrent, et elle s’abandonna à cette vague, soupirant de bonheur en jouissant en elle. Han, quelle délivrance ! Elle n’était pas habituée au plaisir phallique, mais cette vague libératrice, jouissive et ultime, qui la soulageait de toute cette tension et de toute cette crispation… Ça, ça n’avait pas de prix !
« Haaaa… ! »
Elle l’embrassa ensuite, lorsqu’Asuka lui indiqua qu’elle risquait d’aimer ce pays… Et encore, elle n’avait rien vu ! Ses lèvres se plaquèrent aux siennes, et elle se crispa sur Asuka, enfonçant sa trique en elle, puis se redressa, et s’enfonça encore. Sa langue joua avec la sienne, donnant lieu à un baiser humide et intime. Bubble tremblait sur place, et sentit la main d’Asuka s’appuyer sur ses cheveux, les serrant. Le baiser se rompit ensuite, non sans qu’un mince filet de salive ne les relie entre elles. Excitée, tremblante d’excitation, la combattante uatéenne sentait également le pic de la vague se rapprocher. Sa queue trempait dans la mouille de sa partenaire, et les sensations que Bubble ressentait étaient assez indescriptibles.
Au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait en elle, elle sentait sa verge s’humidifier. La chair claquait contre la chair, s’accompagnant de bruits de claquement spongieux au fur et à mesure qu’elle remuait contre sa partenaire. Le corps de Bubble commençait également à luire, sa peau brunâtre s’illuminant de tâches de sueur sous l’effort physique qu’elle déployait. Elle haletait sans s’en rendre compte, l’adrénaline gommant toute forme de fatigue au profit d’une excitation croissante, reptilienne et sauvage.
« A-Asuka, hmmm… !! » gémit Bubble.
Même parler devenait compliqué, nécessitant de la part de Bubble un effort surhumain. Elle était en transe, continuant à la pénétrer. Sa verge l’élançait, et elle ferma les yeux en se pinçant les lèvres, sentant le torrent l’envahir…
…Puis Bubble se mit à jouir énergiquement. Ses muscles se relâchèrent, et elle s’abandonna à cette vague, soupirant de bonheur en jouissant en elle. Han, quelle délivrance ! Elle n’était pas habituée au plaisir phallique, mais cette vague libératrice, jouissive et ultime, qui la soulageait de toute cette tension et de toute cette crispation… Ça, ça n’avait pas de prix !