- Shiro Ishimi
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- Enregistré le : 16 août 2024 15:54
Shiro se noie dans un exquis mélange de douleur et de plaisir : sa nouvelle puissance vampirique veut exprimer toute sa fureur mais elle se complait dans la soumission et l’avilissement, se comparant à une truie alors que ses amants vampiriques lui défoncent la chatte et le cul avec leurs puissants mandrins. Mélinda est heureuse de la voir succomber à la luxure, elle vient l’embrasser et Shiro lui rend son baiser de manière plus ou moins mécanique. Les deux vampires la baisent, giflent son cul, pincent ses tétons et lacèrent sa chair, se régalant du sang qui coule de ses plaies.
« Haaannn ! Gruik gruik ! »
Après plus d’une demi-heure et un énième orgasme, l’infirmière sent les membres veineux des vampires se décharger, la remplissant généreusement de leur foutre crémeux. Après ça elle retombe au sol et Mélinda vient appuyer sur son ventre avec son pied, et là encore elle se retrouve prise entre des désirs contraires : son envie d’affirmer sa puissance et son autorité de vampire et son envie de se soumettre corps et âme à sa mère. Cette dernière finit par trancher en lui ordonnant de se mettre à quatre pattes et la jeune femme obéit aussitôt.
« Gruik… »
Bran vient se mettre face à elle, lui demandant de nettoyer sa verge et ses testicules et de se régaler de son sperme. Shiro obéit et fait passer longuement sa langue sur la virilité du vampire, savourant le goût du sperme et l’odeur puissante qui se dégage de ce sexe. Elle sent Mélinda approcher dans son dos et écarter ses fesses, mais alors qu’elle s’attendait à être de nouveau sodomisé par la vampire elle sent un doigt ganté se glisser dans son fondement, puis un deuxième, puis un troisième… et finalement c’est toute sa main qu’elle enfonce dans son cul.
« AAAHHH ! »
Son premier fisting. Décidément Shiro aura fait plus d’une découverte lors de ce passage chez Mélinda et celle-ci s’annonce particulièrement intense. La vampire se réjouit de voir que le cul de son invitée est si bien dilaté et lui promet qu’elle va lui faire du bien.
« Aaahhh… ggrraahh… »
L’infirmière n’arrive même plus à parler, elle se contente de gémir et de grogner. Bran se rappelle vite à son bon souvenir en lui collant le visage contre son chibre tendu et elle se dépêche de le prendre en bouche. Ce n’est pas tout à fait ce qu’il lui a demandé mais peu importe, elle n’arrive pas à penser normalement avec toutes ces sensations qui parcourent son corps alors elle fait ce qui lui vient d’instinct. Elle veut sentir cette belle lance de chair lui remplir la bouche, elle veut se régaler dessus et qu’elle décharge tout son sperme dans sa gorge.
« Hhhmmm… hhhmmm ! »
Shiro sent son cul être malmené par Mélinda, dont le poing s’agite et lui procure des sensations qu’elle ne peut pas décrire. Il y a tant de douleur, tant de plaisir… l’infirmière a l’impression de ne plus être aux commandes de son corps, qu’elle n’est plus qu’un jouet entre les mains de ses amants, et ça la frustre terriblement mais ça lui donne aussi du plaisir. Elle ne sait plus où elle en est alors elle fait la seule chose qui lui vient à l’esprit : elle avale la bite de Bran dans l’espoir de se régaler de son sperme et remue ses fesses autour du poing de Mélinda pour toujours plus de plaisir et de douleur.
« Haaannn ! Gruik gruik ! »
Après plus d’une demi-heure et un énième orgasme, l’infirmière sent les membres veineux des vampires se décharger, la remplissant généreusement de leur foutre crémeux. Après ça elle retombe au sol et Mélinda vient appuyer sur son ventre avec son pied, et là encore elle se retrouve prise entre des désirs contraires : son envie d’affirmer sa puissance et son autorité de vampire et son envie de se soumettre corps et âme à sa mère. Cette dernière finit par trancher en lui ordonnant de se mettre à quatre pattes et la jeune femme obéit aussitôt.
« Gruik… »
Bran vient se mettre face à elle, lui demandant de nettoyer sa verge et ses testicules et de se régaler de son sperme. Shiro obéit et fait passer longuement sa langue sur la virilité du vampire, savourant le goût du sperme et l’odeur puissante qui se dégage de ce sexe. Elle sent Mélinda approcher dans son dos et écarter ses fesses, mais alors qu’elle s’attendait à être de nouveau sodomisé par la vampire elle sent un doigt ganté se glisser dans son fondement, puis un deuxième, puis un troisième… et finalement c’est toute sa main qu’elle enfonce dans son cul.
« AAAHHH ! »
Son premier fisting. Décidément Shiro aura fait plus d’une découverte lors de ce passage chez Mélinda et celle-ci s’annonce particulièrement intense. La vampire se réjouit de voir que le cul de son invitée est si bien dilaté et lui promet qu’elle va lui faire du bien.
« Aaahhh… ggrraahh… »
L’infirmière n’arrive même plus à parler, elle se contente de gémir et de grogner. Bran se rappelle vite à son bon souvenir en lui collant le visage contre son chibre tendu et elle se dépêche de le prendre en bouche. Ce n’est pas tout à fait ce qu’il lui a demandé mais peu importe, elle n’arrive pas à penser normalement avec toutes ces sensations qui parcourent son corps alors elle fait ce qui lui vient d’instinct. Elle veut sentir cette belle lance de chair lui remplir la bouche, elle veut se régaler dessus et qu’elle décharge tout son sperme dans sa gorge.
« Hhhmmm… hhhmmm ! »
Shiro sent son cul être malmené par Mélinda, dont le poing s’agite et lui procure des sensations qu’elle ne peut pas décrire. Il y a tant de douleur, tant de plaisir… l’infirmière a l’impression de ne plus être aux commandes de son corps, qu’elle n’est plus qu’un jouet entre les mains de ses amants, et ça la frustre terriblement mais ça lui donne aussi du plaisir. Elle ne sait plus où elle en est alors elle fait la seule chose qui lui vient à l’esprit : elle avale la bite de Bran dans l’espoir de se régaler de son sperme et remue ses fesses autour du poing de Mélinda pour toujours plus de plaisir et de douleur.
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- Mélinda Warren
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- Fiche
- Demande de RP
Tenues
Un fisting… Une première supplémentaire pour Shiro ! Pour être honnête, Mélinda n’aurait jamais cru aller jusque-là, même en offrant à Shiro le don de vampirisme. La manière dont l’infirmière réagissait était inattendue. Il fallait l’attribuer à au moins trois facteurs qui pouvaient se conjuguer : ses pouvoirs de mutante, sa lubricité naturelle, et sans doute sa relation passée avec Tessia. Même si Tessia avait disparu de la vie de Shiro, une succube aussi puissante laissait sa marque sur vous. Une empreinte indélébile qui devait expliquer au moins en partie le désir intense de Shiro. Mélinda avait donc décidé de passer à un stade supérieur. Shiro, qui sentait ce qu’elle allait faire, n’émit aucune objection, se contentant de grogner encore, comme une truie.
Mélinda prit néanmoins soin d’utiliser un lubrifiant sur sa main et sur son bras. Son gant opéra en latex allait lui être bien utile. Elle s’agenouilla ensuite derrière Shiro. Son fondement était déjà élargi, et bien dilaté à l’intérieur. Mine de rien, elles faisaient l’amour presque sans interruption depuis hier soir. À l’exception de l’heure où Shiro s’était rendue à la piscine pour réfléchir, elle avait passé l’exclusivité de son temps à faire l’amour dans tous les sens avec Mélinda. Une interminable orgie qui allait sûrement bien la marquer, et qui contribuerait par la suite à la faire revenir chez eux… Ou à l’horrifier. Ceci étant dit, vu ce que les deux femmes avaient déjà fait sans vampiriser Shiro, Mélinda croyait peu en cette option.
« Je suis sûre que même toi, tu ne te croyais pas aussi perverse, Shiro… Sache que mon sang ne fait que révéler les pulsions enfouies en toi. Je sens ton conflit, entre la Shiro qui veut dominer et celle qui aime se faire dominer. Mon sang renforce ta domination, mais ce lien maternel que tu ressens renforce ta soumission. »
Un contraste intéressant, donc. Si Shiro n’était pas aussi enfiévrée par son excitation, sa nature vampirique aurait sans doute renforcé davantage son sens de la domination, comme elle l’avait montré cette nuit en dominant Mélinda avec une satisfaction jubilatoire. Pour cette humaine qui avait sans doute dû se soumettre à une puissante succube, c’était comme une sorte de revanche. Tout en y songeant, Mélinda commença à passer à l’attaque. Elle glissa ses doigts, et put très rapidement, en poussant, placer sa main dans le cul de Shiro. Elle déplaçait ses doigts, reculait sa main, puis l’enfonçait encore, tout en s’appuyant avec son autre main sur le cul de Shiro. Mélinda savait y faire, et elle prenait son temps, pour que sa porter arrière se fasse à la présence de sa main.
Au bout de plusieurs minutes, Mélinda commença à enfoncer plus profondément sa main. Elle soupirait lentement, sentant son sperme le long de ce canal.
« Hmmm, ton cul est tellement dilaté, ma belle… »
La douleur était là, mais, maintenant que Shiro était une vampire, cette douleur devait être encore plus jouissive que quand elle était humaine. Mélinda sentait d’ailleurs que le bassin de Shiro remuait pour accompagner sa main, et elle suçait avec vigueur la queue de son frère. De son côté, Mélinda continuait sa reptation, faisant disparaître sa main, puis son coude, et finalement son bras dans le fondement de Shiro. Elle remuait ensuite ses doigts à l’intérieur, tout en soupirant, son autre main toujours en appui sur le fessier de Shiro.
« V-Voilà, Shiro… Maman est profondément en toi… Plus profondément que personne ne l’a jamais été. Est-ce que tu ressens tout l’amour de Maman, haaaa… Ma pe-petite truie adorée ? »
Un fisting… Une première supplémentaire pour Shiro ! Pour être honnête, Mélinda n’aurait jamais cru aller jusque-là, même en offrant à Shiro le don de vampirisme. La manière dont l’infirmière réagissait était inattendue. Il fallait l’attribuer à au moins trois facteurs qui pouvaient se conjuguer : ses pouvoirs de mutante, sa lubricité naturelle, et sans doute sa relation passée avec Tessia. Même si Tessia avait disparu de la vie de Shiro, une succube aussi puissante laissait sa marque sur vous. Une empreinte indélébile qui devait expliquer au moins en partie le désir intense de Shiro. Mélinda avait donc décidé de passer à un stade supérieur. Shiro, qui sentait ce qu’elle allait faire, n’émit aucune objection, se contentant de grogner encore, comme une truie.
Mélinda prit néanmoins soin d’utiliser un lubrifiant sur sa main et sur son bras. Son gant opéra en latex allait lui être bien utile. Elle s’agenouilla ensuite derrière Shiro. Son fondement était déjà élargi, et bien dilaté à l’intérieur. Mine de rien, elles faisaient l’amour presque sans interruption depuis hier soir. À l’exception de l’heure où Shiro s’était rendue à la piscine pour réfléchir, elle avait passé l’exclusivité de son temps à faire l’amour dans tous les sens avec Mélinda. Une interminable orgie qui allait sûrement bien la marquer, et qui contribuerait par la suite à la faire revenir chez eux… Ou à l’horrifier. Ceci étant dit, vu ce que les deux femmes avaient déjà fait sans vampiriser Shiro, Mélinda croyait peu en cette option.
« Je suis sûre que même toi, tu ne te croyais pas aussi perverse, Shiro… Sache que mon sang ne fait que révéler les pulsions enfouies en toi. Je sens ton conflit, entre la Shiro qui veut dominer et celle qui aime se faire dominer. Mon sang renforce ta domination, mais ce lien maternel que tu ressens renforce ta soumission. »
Un contraste intéressant, donc. Si Shiro n’était pas aussi enfiévrée par son excitation, sa nature vampirique aurait sans doute renforcé davantage son sens de la domination, comme elle l’avait montré cette nuit en dominant Mélinda avec une satisfaction jubilatoire. Pour cette humaine qui avait sans doute dû se soumettre à une puissante succube, c’était comme une sorte de revanche. Tout en y songeant, Mélinda commença à passer à l’attaque. Elle glissa ses doigts, et put très rapidement, en poussant, placer sa main dans le cul de Shiro. Elle déplaçait ses doigts, reculait sa main, puis l’enfonçait encore, tout en s’appuyant avec son autre main sur le cul de Shiro. Mélinda savait y faire, et elle prenait son temps, pour que sa porter arrière se fasse à la présence de sa main.
Au bout de plusieurs minutes, Mélinda commença à enfoncer plus profondément sa main. Elle soupirait lentement, sentant son sperme le long de ce canal.
« Hmmm, ton cul est tellement dilaté, ma belle… »
La douleur était là, mais, maintenant que Shiro était une vampire, cette douleur devait être encore plus jouissive que quand elle était humaine. Mélinda sentait d’ailleurs que le bassin de Shiro remuait pour accompagner sa main, et elle suçait avec vigueur la queue de son frère. De son côté, Mélinda continuait sa reptation, faisant disparaître sa main, puis son coude, et finalement son bras dans le fondement de Shiro. Elle remuait ensuite ses doigts à l’intérieur, tout en soupirant, son autre main toujours en appui sur le fessier de Shiro.
« V-Voilà, Shiro… Maman est profondément en toi… Plus profondément que personne ne l’a jamais été. Est-ce que tu ressens tout l’amour de Maman, haaaa… Ma pe-petite truie adorée ? »
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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
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- Shiro Ishimi
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Les choses vont bien plus loin que ce à quoi Shiro s’attendait. Être prise en sandwich c’est une chose mais se faire fister… c’est la première fois qu’elle se fait fister et elle ne sait vraiment pas à quoi s’attendre. Mélinda la rassure un peu en lui expliquant que son sang ne fait que révéler les pulsions enfouies en elle mais elle est quand même un peu surprise de se découvrir si perverse. Même Tessia ne lui a jamais fait ça et pourtant c’est une succube. Mais l’infirmière a confiance en son hôte, elle sait qu’elle ne lui fera pas de mal et qu’elle arrêtera tout si elle voit que les choses vont trop loin.
« Hhhmmm… »
Shiro sent la main de Mélinda s’enfoncer de plus en plus profondément dans ses fesses, d’abord jusqu’à l’avant-bras puis au-delà du coude. La vampire prend son temps pour que l’infirmière se fasse à l’introduction de son bras entre ses fesses mais malgré tout la douleur reste intense. Cependant, à son grand étonnement, Shiro se rend compte que la douleur ne la fait pas juste souffrir, elle lui procure aussi du plaisir. La douleur est orgasmique, tout son corps est parcouru de tremblements et de spasmes. La douleur et le plaisir se mélangent dans un feu d’artifice incroyable qui lui fait tourner la tête. Mélinda lui dit qu’elle est allée plus loin en elle que personne ne l’a jamais été et elle lui demande si elle ressent tout l’amour de sa maman.
« Mmmhhh ! »
L’infirmière se met à pomper le mandrin de Bran avec une vigueur délirante, comme si sa vie en dépendait, ne sachant pas quoi faire d’autre dans sa position. Elle a envie de hurler, de faire entendre à tout le manoir combien elle prend son pied, mais elle ne parvient à penser à autre chose qu’à la queue qui lui remplit la bouche alors elle la suce, encore et encore, remuant sa tête d’avant en arrière au rythme des coups de bassin de son amant et enchaînant les gorges profondes. Elle ne pense plus à ce qu’elle fait, elle se contente de le faire.
« Hhhmmm… Mmmhhh ! »
Tout ce plaisir fait rapidement jouir Shiro, qui déverse sa mouille sur les draps, mais elle ne ralentit pas pour autant. Tout est trop intense, tant qu’elle peut garder les yeux ouverts elle continue à remuer ses fesses autour du bras de Mélinda et à pomper goulument la queue de Bran. Les vampires lui avaient dit qu’ils la baiseraient pendant deux heures, depuis combien de temps y était-elle ?
« Hhhmmm… »
Shiro sent la main de Mélinda s’enfoncer de plus en plus profondément dans ses fesses, d’abord jusqu’à l’avant-bras puis au-delà du coude. La vampire prend son temps pour que l’infirmière se fasse à l’introduction de son bras entre ses fesses mais malgré tout la douleur reste intense. Cependant, à son grand étonnement, Shiro se rend compte que la douleur ne la fait pas juste souffrir, elle lui procure aussi du plaisir. La douleur est orgasmique, tout son corps est parcouru de tremblements et de spasmes. La douleur et le plaisir se mélangent dans un feu d’artifice incroyable qui lui fait tourner la tête. Mélinda lui dit qu’elle est allée plus loin en elle que personne ne l’a jamais été et elle lui demande si elle ressent tout l’amour de sa maman.
« Mmmhhh ! »
L’infirmière se met à pomper le mandrin de Bran avec une vigueur délirante, comme si sa vie en dépendait, ne sachant pas quoi faire d’autre dans sa position. Elle a envie de hurler, de faire entendre à tout le manoir combien elle prend son pied, mais elle ne parvient à penser à autre chose qu’à la queue qui lui remplit la bouche alors elle la suce, encore et encore, remuant sa tête d’avant en arrière au rythme des coups de bassin de son amant et enchaînant les gorges profondes. Elle ne pense plus à ce qu’elle fait, elle se contente de le faire.
« Hhhmmm… Mmmhhh ! »
Tout ce plaisir fait rapidement jouir Shiro, qui déverse sa mouille sur les draps, mais elle ne ralentit pas pour autant. Tout est trop intense, tant qu’elle peut garder les yeux ouverts elle continue à remuer ses fesses autour du bras de Mélinda et à pomper goulument la queue de Bran. Les vampires lui avaient dit qu’ils la baiseraient pendant deux heures, depuis combien de temps y était-elle ?
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- Mélinda Warren
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Tenues
Shiro était en train de découvrir un plaisir inouï, inattendu, totalement nouveau. Tessia n’avait jamais été jusque-là avec elle, mais, avec Mélinda, c’était une perversion sans fin. Après tout ce que le trio avait fait cette nuit, Shiro ne cessait de sombrer encore dans la luxure, dans une dépravation sans fin. Mélinda était en train d’enfoncer sa main en elle, puis continuait. Elle filait d’avant en arrière, remuant ses doigts, les crispant et les décrispant. Elle s’amusait à remuer ses doigts, sentant la résistance de sa chair. Elle s’en mordillait les lèvres, grognant et soupirant en continuant sa progression.
« D-Dieu, que tu es étroite, ma chérie… ! »
L’infirmière était en train de pomper avec appétit la verge de Bran. Elle pompait sa queue avec force, grognant et gémissant, toujours incapable de parler. Le vampire appuyait ses mains sur les cheveux de Shiro, soupirant longuement. Quand elle se retirait, il donnait un coup de reins, puis attrapait les cheveux de Shiro sur les côtés, et continuait à la bourrer, optant peu à peu à son tour pour lui baiser la bouche.
Bran y allait de plus en plus franchement, tandis que, de son côté, Mélinda continuait à s’enfoncer, jusqu’à finalement parvenir à glisser son bras, jusqu’au coude. Elle sentait tout le corps de Shiro se tendre sur place, se crispant sous l’effet indescriptible de ce mélange de douleur et de plaisir. Du sexe très intense ! Mélinda gloussa. Il lui avait fallu plusieurs minutes pour s’enfoncer comme ça en elle. Avec son autre main, elle malaxa l’une des fesses de Shiro, et la pinça ensuite, puis la griffa également, faisant réagir Shiro, qui couina encore.
La verge de Bran disparaissait en elle, tapant dans sa gorge, ses testicules venant fouetter son visage. La belle ne pouvait tout simplement pas lutter contre une telle vague, contre une telle passion. Mélinda se recula ensuite, lentement, puis s’enfonça à nouveau, encore et encore. Petit à petit, les parois anales de Shiro continuaient à se dilater, ce qui fit que Mélinda pouvait se déplacer plus facilement.
« Elle avale ma queue, une vraie salope !
- Oui… Je crois que même Shiro elle-même ignorait l’étendue de sa perversion ! Hihi, quelle nymphomane ! »
Mélinda se redressa encore, bandant ses muscles, et continua à accélérer le rythme. Elle parvint à retirer son bras, jusqu’à sa main, puis serra le poing, et s’enfonça encore, plus rapidement. Shiro hurla encore, tandis que Mélinda enfonçait de plus en plus fort et de plus en plus loin son poing, arrachant à celle-ci de nouveaux cris, étouffés par la queue de Bran, queue sur laquelle elle bavait.
Ses orgasmes ne tardèrent pas à s’enchaîner, les yeux de Shiro semblant se révulser dans ses orbites.
« Hummm… ! »
Bran se mit à gicler en elle. Il poussa d’épaisses vagues de foutre dans sa bouche, puis termina son œuvre en jouissant généreusement sur le visage de Shiro. Mélinda se retira enfin des fesses de Shiro, et celle-ci tomba sur le sol, couchée sur le ventre. Mélinda et Bran se tenaient debout devant elle, et Mélinda écarta les jambes, à droite et à gauche du ventre de Shiro, tout comme Bran.
« Une vraie bête… Ouvre bien la bouche ! »
Les deux vampires continuèrent, et urinèrent alors sur le corps de Shiro, la marquant comme on marquerait une bête. Les jets dorés fusèrent sur son ventre et sur son visage, Bran ciblant ses lèvres pour uriner directement dans sa bouche, ce qu’ils firent donc… Et, pendant ce temps, Mélinda posa son pied sur le sexe de Shiro, et appuya dessus, souriant malicieusement, comme pour se venger amoureusement d’elle, en souvenir de cette nuit intense où Shiro l’avait sexuellement torturé !
Shiro était en train de découvrir un plaisir inouï, inattendu, totalement nouveau. Tessia n’avait jamais été jusque-là avec elle, mais, avec Mélinda, c’était une perversion sans fin. Après tout ce que le trio avait fait cette nuit, Shiro ne cessait de sombrer encore dans la luxure, dans une dépravation sans fin. Mélinda était en train d’enfoncer sa main en elle, puis continuait. Elle filait d’avant en arrière, remuant ses doigts, les crispant et les décrispant. Elle s’amusait à remuer ses doigts, sentant la résistance de sa chair. Elle s’en mordillait les lèvres, grognant et soupirant en continuant sa progression.
« D-Dieu, que tu es étroite, ma chérie… ! »
L’infirmière était en train de pomper avec appétit la verge de Bran. Elle pompait sa queue avec force, grognant et gémissant, toujours incapable de parler. Le vampire appuyait ses mains sur les cheveux de Shiro, soupirant longuement. Quand elle se retirait, il donnait un coup de reins, puis attrapait les cheveux de Shiro sur les côtés, et continuait à la bourrer, optant peu à peu à son tour pour lui baiser la bouche.
Bran y allait de plus en plus franchement, tandis que, de son côté, Mélinda continuait à s’enfoncer, jusqu’à finalement parvenir à glisser son bras, jusqu’au coude. Elle sentait tout le corps de Shiro se tendre sur place, se crispant sous l’effet indescriptible de ce mélange de douleur et de plaisir. Du sexe très intense ! Mélinda gloussa. Il lui avait fallu plusieurs minutes pour s’enfoncer comme ça en elle. Avec son autre main, elle malaxa l’une des fesses de Shiro, et la pinça ensuite, puis la griffa également, faisant réagir Shiro, qui couina encore.
La verge de Bran disparaissait en elle, tapant dans sa gorge, ses testicules venant fouetter son visage. La belle ne pouvait tout simplement pas lutter contre une telle vague, contre une telle passion. Mélinda se recula ensuite, lentement, puis s’enfonça à nouveau, encore et encore. Petit à petit, les parois anales de Shiro continuaient à se dilater, ce qui fit que Mélinda pouvait se déplacer plus facilement.
« Elle avale ma queue, une vraie salope !
- Oui… Je crois que même Shiro elle-même ignorait l’étendue de sa perversion ! Hihi, quelle nymphomane ! »
Mélinda se redressa encore, bandant ses muscles, et continua à accélérer le rythme. Elle parvint à retirer son bras, jusqu’à sa main, puis serra le poing, et s’enfonça encore, plus rapidement. Shiro hurla encore, tandis que Mélinda enfonçait de plus en plus fort et de plus en plus loin son poing, arrachant à celle-ci de nouveaux cris, étouffés par la queue de Bran, queue sur laquelle elle bavait.
Ses orgasmes ne tardèrent pas à s’enchaîner, les yeux de Shiro semblant se révulser dans ses orbites.
« Hummm… ! »
Bran se mit à gicler en elle. Il poussa d’épaisses vagues de foutre dans sa bouche, puis termina son œuvre en jouissant généreusement sur le visage de Shiro. Mélinda se retira enfin des fesses de Shiro, et celle-ci tomba sur le sol, couchée sur le ventre. Mélinda et Bran se tenaient debout devant elle, et Mélinda écarta les jambes, à droite et à gauche du ventre de Shiro, tout comme Bran.
« Une vraie bête… Ouvre bien la bouche ! »
Les deux vampires continuèrent, et urinèrent alors sur le corps de Shiro, la marquant comme on marquerait une bête. Les jets dorés fusèrent sur son ventre et sur son visage, Bran ciblant ses lèvres pour uriner directement dans sa bouche, ce qu’ils firent donc… Et, pendant ce temps, Mélinda posa son pied sur le sexe de Shiro, et appuya dessus, souriant malicieusement, comme pour se venger amoureusement d’elle, en souvenir de cette nuit intense où Shiro l’avait sexuellement torturé !
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
- Shiro Ishimi
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Les orgasmes s’enchaînent pour Shiro mais ses hôtes ne semblent pas encore prêts à la lâcher. Ils la complimentent sur l’étendue de sa perversion, se régalent de la voir autant s’agiter tandis qu’elle se fait fister et qu’elle avale avec appétit la verge qui lui est présentée. De son côté elle continue, mue par un désir insatiable de luxure et une énergie presque irréelle sans doute fournie par l’élixir vampirique qui circule dans ses veines. Elle a rarement fait l’amour d’une manière aussi intense, peut-être même que c’était trop pour elle, mais elle ne parvient plus à s’arrêter.
« Hhhmmm… MMMHHH ! »
Les choses se calment après que Bran a joui dans sa bouche, déversant d’épaisses vagues de foutre que Shiro avale aussitôt puis elle se reçoit les dernières giclées sur le visage. A ce moment-là Mélinda se retire du fondement de l’infirmière qui s’écroule aussitôt au sol, couchée sur le ventre. Elle se dit qu’elle va enfin pouvoir souffler mais en fait les vampires ont décidé de l’humilier. Ils écartent bien les jambes et commencent à uriner sur le corps de leur amante, la marquant comme on marquerait une bête. Les jets dorés fusent sur son ventre et sur son visage, Bran cible ses lèvres pour uriner directement dans sa bouche tandis que Mélinda appuie sur sa vulve avec son pied. La jeune femme, encore déboussolée après s’être fait fister aussi profondément, ne peut qu’obéir et garder la bouche grande ouverte tandis qu’on lui pisse dessus. L’odeur et le goût acre de l’urine qui coule dans sa bouche et sur son corps lui donnent la nausée mais elle se laisse faire, prenant malgré tout un certain plaisir à cette forme de soumission et de rabaissement.
« Aahh… ggrruuiikk… »
Cependant, quand le marquage s’arrête, Shiro sent que l’élixir dans son sang bouillonne. Cet acte de soumission de sa part était le dernier, tout son corps lui hurle désormais de se mettre en quête de proies pour assouvir ses appétits, aussi bien sa soif de sang que celle de sexe. Elle a eu le temps de retrouver ses forces alors elle se redresse pour faire face à Mélinda.
« Aahh… ça suffit. Je me suis bien amusée à être une truie… mais maintenant je dois laisser parler mes instincts de dominatrice. Je dois me nourrir… et baiser. Oohh… je veux voir les esclaves du manoir à genoux devant moi. »
L’infirmière se pince les lèvres à l’idée de voir ces petits humains se prosterner devant elle et accomplir ses quatre volontés.
« Mais d’abord… j’ai besoin d’une bonne douche. »
« Hhhmmm… MMMHHH ! »
Les choses se calment après que Bran a joui dans sa bouche, déversant d’épaisses vagues de foutre que Shiro avale aussitôt puis elle se reçoit les dernières giclées sur le visage. A ce moment-là Mélinda se retire du fondement de l’infirmière qui s’écroule aussitôt au sol, couchée sur le ventre. Elle se dit qu’elle va enfin pouvoir souffler mais en fait les vampires ont décidé de l’humilier. Ils écartent bien les jambes et commencent à uriner sur le corps de leur amante, la marquant comme on marquerait une bête. Les jets dorés fusent sur son ventre et sur son visage, Bran cible ses lèvres pour uriner directement dans sa bouche tandis que Mélinda appuie sur sa vulve avec son pied. La jeune femme, encore déboussolée après s’être fait fister aussi profondément, ne peut qu’obéir et garder la bouche grande ouverte tandis qu’on lui pisse dessus. L’odeur et le goût acre de l’urine qui coule dans sa bouche et sur son corps lui donnent la nausée mais elle se laisse faire, prenant malgré tout un certain plaisir à cette forme de soumission et de rabaissement.
« Aahh… ggrruuiikk… »
Cependant, quand le marquage s’arrête, Shiro sent que l’élixir dans son sang bouillonne. Cet acte de soumission de sa part était le dernier, tout son corps lui hurle désormais de se mettre en quête de proies pour assouvir ses appétits, aussi bien sa soif de sang que celle de sexe. Elle a eu le temps de retrouver ses forces alors elle se redresse pour faire face à Mélinda.
« Aahh… ça suffit. Je me suis bien amusée à être une truie… mais maintenant je dois laisser parler mes instincts de dominatrice. Je dois me nourrir… et baiser. Oohh… je veux voir les esclaves du manoir à genoux devant moi. »
L’infirmière se pince les lèvres à l’idée de voir ces petits humains se prosterner devant elle et accomplir ses quatre volontés.
« Mais d’abord… j’ai besoin d’une bonne douche. »
DC de Shykarka. Merci de me contacter sur mon compte principal pour que je voie votre message rapidement.
- Mélinda Warren
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- Demande de RP
Tenues
Cette séance de sexe bien hard fut finalement ce qui permit à Shiro de reprendre ses esprits. Étalée sur le sol, elle se redressa en réclamant une douche. Mélinda sourit, et accepta, tout en laissant le soin à Bran d’organiser la suite. Mélinda la prit par la main, et les deux femmes rejoignirent ensuite une salle de bains. Shiro était encore un peu sonnée, même si sa constitution vampirique allait lui permettre de rapidement se rétablir. Mélinda la déshabilla, se déshabilla ainsi, et elles rejoignirent ensuite sa grande douche à l’italienne, très moderne.
« Laisse Maman te nettoyer, ma chérie… »
On aurait pu s’attendre à davantage de relations sexuelles, mais il n’y eut rien de tout ça. Mélinda la nettoya, utilisant du shampooing pour ses cheveux, veillant à bien les décrasser. L’eau qui jaillissait était très chaude, trop chaude pour une humaine ordinaire, mais Shiro pouvait sentir que sa nature vampirique résistait bien. L’eau chaude la faisait frémir, la vivifiait, la sortant de sa torpeur. La douche dura un bon quart d’heure, et Mélinda se laissa quand même aller à embrasser sa Shiro, la plaquant contre le mur, ou contre la paroi vitrée. Rien de trop sensuel, simplement des élans d’amour. Mélinda espérait que Shiro comprendrait un peu mieux, maintenant, ce qu’elle lui avait dit au sujet des pulsions vampiriques.
Une fois la douche finie, il fallut recoiffer et rhabiller les deux femmes. Quand elles sortirent, plusieurs maids les attendaient. Il était tentant de jouer avec elles, mais, avant cela, Mélinda avait autre chose à proposer à Shiro. Elle laissa donc deux maids nettoyer Shiro, la sécher, puis la maquiller à nouveau, la parfumer, et lui remettre sa tenue. Malgré le fait que sa tenue ait été déchirée, elle s’était reconstituée. On lui expliqua que les tenues étaient enchantées par une autre vampire du clan, Décatis Cryptinna, ce qui permettait de les reconstituer ensuite.
Shiro put ensuite sortir de la loge, et retrouva Mélinda.
« Tu es toujours aussi magnifique, ma belle… »
Mélinda l’embrassa avec saveur, se pressant contre elle. Leurs costumes crissèrent entre eux, leurs langues se mélangèrent tendrement et sensuellement pendant un certain temps.
« Allons-y, ton premier esclave t’attend… »
La lueur mutine dans les yeux de Mélinda la trahissait sur le fait qu’elle avait encore une surprise à lui faire. Mélinda marcha en lui tenant à nouveau la main. Le parfum très érotique des deux femmes remplissait le couloir. Elles se dirigeaient vers une autre pièce, une belle suite avec un grand lit rouge en forme de cœur, une salle sans fenêtres avec des instruments BDSM divers et variés.
« Essayons de récapituler… Tu as découvert l’amour avec un homme fort, tu as découvert que tu étais bisexuelle, tu as aussi pu dominer une vampire, tu m’as écrasé la verge avec ton pied, on t’a baisé comme la dernière des truies, tu as aussi découvert l’amour vampirique, sanglant et douloureux… Mais j’ai encore une surprise pour toi. »
Mélinda se dirigea vers une solide double porte. Celle-ci s’ouvrit, et elles entrèrent dans son donjon. Bran était là. L’éclairage émanait de néons violets le long des plinthes, ainsi que d’autres lampes à faible intensité. Toute la pièce était recouverte de latex, donnant une odeur très spécifique. Au milieu de la pièce, le premier esclave de Shiro l’attendait. Bran, qui portait un harnais en cuir, se tenait là. Un drap recouvrait l’esclave.
« Toujours aussi magnifique, Shiro…
- La personne qui se tient sous ce drap est un esclave externe… Il dispose de son propre appartement au centre-ville, mais il revient souvent ici. Je l’ai légalement adopté, donc, même si elle n’est pas encore un vampire, c’est un Warren. S’il a sa propre suite, c’est pour être un magnifique prostitué. »
Un homme, bien sûr… Mais pas n’importe quel homme ! Bran retira le drap. Shiro put voir une robe en satin, une longue chevelure brune, et la silhouette efféminée de Camille Warren ! Il portait une robe largement fendue, moulant sa verge, ainsi que des collants en bas résille.
« Bonjour, Maîtresse Shiro. Maître Bran m’a appelé ce matin en me disant de venir au manoir… »
Mélinda se lova dans le dos de Shiro, et l’embrassa dans le creux du cou.
« Ton premier trap’… Inutile de te dire que c’est un grand masochiste, hihi ♥ ! »
Cette séance de sexe bien hard fut finalement ce qui permit à Shiro de reprendre ses esprits. Étalée sur le sol, elle se redressa en réclamant une douche. Mélinda sourit, et accepta, tout en laissant le soin à Bran d’organiser la suite. Mélinda la prit par la main, et les deux femmes rejoignirent ensuite une salle de bains. Shiro était encore un peu sonnée, même si sa constitution vampirique allait lui permettre de rapidement se rétablir. Mélinda la déshabilla, se déshabilla ainsi, et elles rejoignirent ensuite sa grande douche à l’italienne, très moderne.
« Laisse Maman te nettoyer, ma chérie… »
On aurait pu s’attendre à davantage de relations sexuelles, mais il n’y eut rien de tout ça. Mélinda la nettoya, utilisant du shampooing pour ses cheveux, veillant à bien les décrasser. L’eau qui jaillissait était très chaude, trop chaude pour une humaine ordinaire, mais Shiro pouvait sentir que sa nature vampirique résistait bien. L’eau chaude la faisait frémir, la vivifiait, la sortant de sa torpeur. La douche dura un bon quart d’heure, et Mélinda se laissa quand même aller à embrasser sa Shiro, la plaquant contre le mur, ou contre la paroi vitrée. Rien de trop sensuel, simplement des élans d’amour. Mélinda espérait que Shiro comprendrait un peu mieux, maintenant, ce qu’elle lui avait dit au sujet des pulsions vampiriques.
Une fois la douche finie, il fallut recoiffer et rhabiller les deux femmes. Quand elles sortirent, plusieurs maids les attendaient. Il était tentant de jouer avec elles, mais, avant cela, Mélinda avait autre chose à proposer à Shiro. Elle laissa donc deux maids nettoyer Shiro, la sécher, puis la maquiller à nouveau, la parfumer, et lui remettre sa tenue. Malgré le fait que sa tenue ait été déchirée, elle s’était reconstituée. On lui expliqua que les tenues étaient enchantées par une autre vampire du clan, Décatis Cryptinna, ce qui permettait de les reconstituer ensuite.
Shiro put ensuite sortir de la loge, et retrouva Mélinda.
« Tu es toujours aussi magnifique, ma belle… »
Mélinda l’embrassa avec saveur, se pressant contre elle. Leurs costumes crissèrent entre eux, leurs langues se mélangèrent tendrement et sensuellement pendant un certain temps.
« Allons-y, ton premier esclave t’attend… »
La lueur mutine dans les yeux de Mélinda la trahissait sur le fait qu’elle avait encore une surprise à lui faire. Mélinda marcha en lui tenant à nouveau la main. Le parfum très érotique des deux femmes remplissait le couloir. Elles se dirigeaient vers une autre pièce, une belle suite avec un grand lit rouge en forme de cœur, une salle sans fenêtres avec des instruments BDSM divers et variés.
« Essayons de récapituler… Tu as découvert l’amour avec un homme fort, tu as découvert que tu étais bisexuelle, tu as aussi pu dominer une vampire, tu m’as écrasé la verge avec ton pied, on t’a baisé comme la dernière des truies, tu as aussi découvert l’amour vampirique, sanglant et douloureux… Mais j’ai encore une surprise pour toi. »
Mélinda se dirigea vers une solide double porte. Celle-ci s’ouvrit, et elles entrèrent dans son donjon. Bran était là. L’éclairage émanait de néons violets le long des plinthes, ainsi que d’autres lampes à faible intensité. Toute la pièce était recouverte de latex, donnant une odeur très spécifique. Au milieu de la pièce, le premier esclave de Shiro l’attendait. Bran, qui portait un harnais en cuir, se tenait là. Un drap recouvrait l’esclave.
« Toujours aussi magnifique, Shiro…
- La personne qui se tient sous ce drap est un esclave externe… Il dispose de son propre appartement au centre-ville, mais il revient souvent ici. Je l’ai légalement adopté, donc, même si elle n’est pas encore un vampire, c’est un Warren. S’il a sa propre suite, c’est pour être un magnifique prostitué. »
Un homme, bien sûr… Mais pas n’importe quel homme ! Bran retira le drap. Shiro put voir une robe en satin, une longue chevelure brune, et la silhouette efféminée de Camille Warren ! Il portait une robe largement fendue, moulant sa verge, ainsi que des collants en bas résille.
« Bonjour, Maîtresse Shiro. Maître Bran m’a appelé ce matin en me disant de venir au manoir… »
Mélinda se lova dans le dos de Shiro, et l’embrassa dans le creux du cou.
« Ton premier trap’… Inutile de te dire que c’est un grand masochiste, hihi ♥ ! »
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- Shiro Ishimi
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- Enregistré le : 16 août 2024 15:54
Shiro n’a pas besoin d’insister pour que Mélinda accepte de la laisser se laver et les deux femmes se retrouvent ensemble, nues sous la douche. La maman vampire se charge de nettoyer sa fille après cette séance de sexe bien hard, l’eau chaude fait frémir l’infirmière et la sort de sa torpeur. Elle se retrouve très vite plaquée contre la porte vitrée de la cabine à embrasser fougueusement son amante, chacune laissant parler ses pulsions à travers ces baisers délicieux.
« Hhhmmm… »
Une fois la douche finie les deux femmes sortent de la salle de bains et sont accueillies par plusieurs maids. Shiro se lèche les babines à l’idée de jouer avec elles mais Mélinda lui dit qu’elle a déjà autre chose de prévu pour elle et qu’elle doit s’économiser. L’infirmière laisse les servantes la nettoyer, la sécher, la maquiller à nouveau, la parfumer et lui remettre sa tenue.
« Tu sais, je pourrais y prendre goût. Être servie, chouchoutée, avoir des servantes autour de moi… »
Une fois prête Shiro suit Mélinda qui lui annonce que son premier esclave l’attend. L’infirmière est plus qu’enthousiaste à cette idée et la suit en trépignant d’impatience tandis qu’elle l’écoute lui faire le résumé de ce tout ce qu’elle a découvert depuis hier soir : le sexe avec un homme, la domination, le vampirisme…
« Oui ça a été une sacrée soirée. »
L’infirmière suit son hôte jusqu’à son donjon où l’attend Bran, vêtu d’un harnais en cuir, avec à côté de lui une personne couverte d’un drap. La vampire lui explique que l’esclave sous ce drap est un esclave externe, qu’elle a légalement adopté et qui dispose de son propre logement mais qui revient souvent au manoir pour assouvir ses désirs. Bran retire le drap et révèle Camille Warren, un magnifique trap vêtu d’une robe en satin ainsi que des collants en bas résille. Avec sa silhouette efféminée et sa longue chevelure difficile de croire que c’est bien un homme mais la jeune femme voit bien la bosse entre ses cuisses.
« Ooohhh… merci Mélinda… c’est un superbe cadeau. »
En fait ce n’est pas le premier trap de Shiro, elle en a déjà croisé quelques-uns à l’infirmerie du lycée, mais c’est le premier qu’on lui offre et avec lequel elle peut faire ce qu’elle veut.
« Bonjour Camille. Je suis ravie de te rencontrer. »
L’infirmière tourne autour du garçon, l’observant sous tous les contours, réfléchissant à tout ce qu’elle allait pouvoir lui faire. Elle fait glisser ses doigts sur sa robe moulante, sur sa peau nue et dans ses cheveux, souriant en voyant son nouveau jouet frémir de ses caresses et quand ses doigts approchent de ses zones sensibles.
« Hhhmmm… plutôt appétissant. »
L’infirmière pose une main sur la poitrine de son esclave et surprenamment la zone est plutôt moelleuse, presque comme si elle pelotait un vrai sein. Même chose pour ses fesses, le trap a un bon petit cul rebondi qu’elle s’amuse à peloter et à fesser. Pour un peu elle aurait cru que Camille était née femme mais Mélinda l’a présenté comme un homme alors jusqu’à ce qu’elle ait entendu le contraire elle s’en tient à cette version. Elle met une main entre ses cuisses et palpe cette jolie bosse qui commence à durcir.
« Alors comme ça tu es un grand maso ? Hihi… je sens qu’on va bien s’amuser. »
Shiro libère Camille après une tape sur sa verge et va s’installer dans un fauteuil couvert de latex avant de tendre une de ses jambes vers son esclave.
« Viens me montrer quel bon garçon tu es… avec ta langue. »
« Hhhmmm… »
Une fois la douche finie les deux femmes sortent de la salle de bains et sont accueillies par plusieurs maids. Shiro se lèche les babines à l’idée de jouer avec elles mais Mélinda lui dit qu’elle a déjà autre chose de prévu pour elle et qu’elle doit s’économiser. L’infirmière laisse les servantes la nettoyer, la sécher, la maquiller à nouveau, la parfumer et lui remettre sa tenue.
« Tu sais, je pourrais y prendre goût. Être servie, chouchoutée, avoir des servantes autour de moi… »
Une fois prête Shiro suit Mélinda qui lui annonce que son premier esclave l’attend. L’infirmière est plus qu’enthousiaste à cette idée et la suit en trépignant d’impatience tandis qu’elle l’écoute lui faire le résumé de ce tout ce qu’elle a découvert depuis hier soir : le sexe avec un homme, la domination, le vampirisme…
« Oui ça a été une sacrée soirée. »
L’infirmière suit son hôte jusqu’à son donjon où l’attend Bran, vêtu d’un harnais en cuir, avec à côté de lui une personne couverte d’un drap. La vampire lui explique que l’esclave sous ce drap est un esclave externe, qu’elle a légalement adopté et qui dispose de son propre logement mais qui revient souvent au manoir pour assouvir ses désirs. Bran retire le drap et révèle Camille Warren, un magnifique trap vêtu d’une robe en satin ainsi que des collants en bas résille. Avec sa silhouette efféminée et sa longue chevelure difficile de croire que c’est bien un homme mais la jeune femme voit bien la bosse entre ses cuisses.
« Ooohhh… merci Mélinda… c’est un superbe cadeau. »
En fait ce n’est pas le premier trap de Shiro, elle en a déjà croisé quelques-uns à l’infirmerie du lycée, mais c’est le premier qu’on lui offre et avec lequel elle peut faire ce qu’elle veut.
« Bonjour Camille. Je suis ravie de te rencontrer. »
L’infirmière tourne autour du garçon, l’observant sous tous les contours, réfléchissant à tout ce qu’elle allait pouvoir lui faire. Elle fait glisser ses doigts sur sa robe moulante, sur sa peau nue et dans ses cheveux, souriant en voyant son nouveau jouet frémir de ses caresses et quand ses doigts approchent de ses zones sensibles.
« Hhhmmm… plutôt appétissant. »
L’infirmière pose une main sur la poitrine de son esclave et surprenamment la zone est plutôt moelleuse, presque comme si elle pelotait un vrai sein. Même chose pour ses fesses, le trap a un bon petit cul rebondi qu’elle s’amuse à peloter et à fesser. Pour un peu elle aurait cru que Camille était née femme mais Mélinda l’a présenté comme un homme alors jusqu’à ce qu’elle ait entendu le contraire elle s’en tient à cette version. Elle met une main entre ses cuisses et palpe cette jolie bosse qui commence à durcir.
« Alors comme ça tu es un grand maso ? Hihi… je sens qu’on va bien s’amuser. »
Shiro libère Camille après une tape sur sa verge et va s’installer dans un fauteuil couvert de latex avant de tendre une de ses jambes vers son esclave.
« Viens me montrer quel bon garçon tu es… avec ta langue. »
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- Mélinda Warren
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- Demande de RP
Tenues
Camille frémit doucement tandis que Shiro le palpait. Mélinda resta sur le côté, se pinçant doucement les lèvres. L’après-midi venait de commencer, Mélinda estimait que Shiro avait probablement encore jusqu’à ce soir avant que le contrecoup ne saisisse Shiro. Sa constitution vampirique allait disparaître, et elle risquait de tomber rapidement dans les vapes. Mais il n’y avait aucune règle, car Shiro avait bu du sang, et frénétiquement fait l’amour. Il se pouvait donc que sa transformation tienne même pendant une bonne partie de la nuit. Pour l’heure, Shiro se complaisait totalement dans ce rôle. Elle palpa Camille, et constata que son corps était très moelleux. Il était aussi imberbe qu’une femme, aucun poil sur son torse, ou le long de ses seins, ou sous ses aisselles. Mélinda laissa Shiro tourner autour de lui, tandis que Camille rougissait et gémissait, sa belle verge se redressant sous sa robe.
Quand Shiro se positionna sur un fauteuil, Camille soupira lentement, et se mit à genoux, puis attrapa la pointe de la botte de Shiro, et lécha son talon aiguille, glissant langoureusement et sensuellement sa langue sur son pied, allant jusqu’à la pointe de la chaussure, puis suça son talon.
« Hmmm… Vous êtes devenue infirmière quand j’ai quitté le lycée, Maîtresse Shiro… Mais on m’a parlé de vous… Maîtresse vous aime beaucoup, j’étais impatient de vous rencontrer. »
Mélinda s’était aussi assise sur un fauteuil en latex, à côté de Shiro, et croisa à son tour les jambes.
« Camille est né entre mes mains… C’est mon esclave dès sa naissance. Il est né assez frêle, et j’ai utilisé au cours de son adolescence des mutagènes pour améliorer son corps. Cela a donné le jeune homme que tu vois. J’ai acheté sa mère à un esclavagiste qui la faisait travailler dur dans les mines. Elle a eu droit à une nouvelle vie, et a pu donner la vie. Camille s’est plu sur Terre, et, comme il est né esclave, je lui ai laissé la possibilité de vivre loin du manoir pendant plusieurs mois, et de choisir ensuite s’il revient ou s’il préfère vivre comme ça. »
C’était une stratégie risquée, mais efficace. Quand ceux qui naissaient esclaves grandissaient, ils pouvaient s’interroger, vouloir être libres… Alors, Mélinda les laissait choisir. Ils ne l’oubliaient jamais totalement, mais beaucoup choisissaient ensuite de revenir. Mélinda formait après tout une famille très particulière. Tandis qu’elle parlait, Camille continuait à lécher tendrement les jambes de Shiro, remontant sur ses bottes, glissant dessus, frémissant doucement en rougissant joyeusement. Il glissait également ses mains dans la foulée sur les jambes de Shiro, les caressant, témoignant par ce biais de toute son expertise…
Camille frémit doucement tandis que Shiro le palpait. Mélinda resta sur le côté, se pinçant doucement les lèvres. L’après-midi venait de commencer, Mélinda estimait que Shiro avait probablement encore jusqu’à ce soir avant que le contrecoup ne saisisse Shiro. Sa constitution vampirique allait disparaître, et elle risquait de tomber rapidement dans les vapes. Mais il n’y avait aucune règle, car Shiro avait bu du sang, et frénétiquement fait l’amour. Il se pouvait donc que sa transformation tienne même pendant une bonne partie de la nuit. Pour l’heure, Shiro se complaisait totalement dans ce rôle. Elle palpa Camille, et constata que son corps était très moelleux. Il était aussi imberbe qu’une femme, aucun poil sur son torse, ou le long de ses seins, ou sous ses aisselles. Mélinda laissa Shiro tourner autour de lui, tandis que Camille rougissait et gémissait, sa belle verge se redressant sous sa robe.
Quand Shiro se positionna sur un fauteuil, Camille soupira lentement, et se mit à genoux, puis attrapa la pointe de la botte de Shiro, et lécha son talon aiguille, glissant langoureusement et sensuellement sa langue sur son pied, allant jusqu’à la pointe de la chaussure, puis suça son talon.
« Hmmm… Vous êtes devenue infirmière quand j’ai quitté le lycée, Maîtresse Shiro… Mais on m’a parlé de vous… Maîtresse vous aime beaucoup, j’étais impatient de vous rencontrer. »
Mélinda s’était aussi assise sur un fauteuil en latex, à côté de Shiro, et croisa à son tour les jambes.
« Camille est né entre mes mains… C’est mon esclave dès sa naissance. Il est né assez frêle, et j’ai utilisé au cours de son adolescence des mutagènes pour améliorer son corps. Cela a donné le jeune homme que tu vois. J’ai acheté sa mère à un esclavagiste qui la faisait travailler dur dans les mines. Elle a eu droit à une nouvelle vie, et a pu donner la vie. Camille s’est plu sur Terre, et, comme il est né esclave, je lui ai laissé la possibilité de vivre loin du manoir pendant plusieurs mois, et de choisir ensuite s’il revient ou s’il préfère vivre comme ça. »
C’était une stratégie risquée, mais efficace. Quand ceux qui naissaient esclaves grandissaient, ils pouvaient s’interroger, vouloir être libres… Alors, Mélinda les laissait choisir. Ils ne l’oubliaient jamais totalement, mais beaucoup choisissaient ensuite de revenir. Mélinda formait après tout une famille très particulière. Tandis qu’elle parlait, Camille continuait à lécher tendrement les jambes de Shiro, remontant sur ses bottes, glissant dessus, frémissant doucement en rougissant joyeusement. Il glissait également ses mains dans la foulée sur les jambes de Shiro, les caressant, témoignant par ce biais de toute son expertise…
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- Shiro Ishimi
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- Enregistré le : 16 août 2024 15:54
Shiro n’a eu qu’à s’installer dans son fauteuil pour que Camille vienne se mettre à genoux devant elle pour lécher ses bottes. Il lui explique qu’il a quitté le lycée l’année où Shiro est devenue infirmière donc ils n’ont jamais eu l’occasion de se croiser mais il avait beaucoup entendu parler d’elle par Mélinda et il avait hâte de la rencontrer.
« Hhmm... et moi je suis ravie de rencontrer un soumis si obéissant et élégant. »
Mélinda explique à Shiro que Camille est né entre ses mains, qu’il était assez frêle et qu’elle a usé de mutagènes pour améliorer son corps jusqu’à ce qu’il devienne le jeune homme qu’elle a désormais sous les yeux. Après plusieurs mois loin du manoir il avait décidé de revenir vivre sous le toit de la vampire et d’être son esclave, un esclave qui jouait habilement de sa langue et de ses mains sur les jambes de l’infirmière, faisant frémir cette dernière.
« Ooohhh... tu as très bien travaillé Mélinda. C’est un bel esclave que tu as là... et très compétent. J’ai hâte de voir... oouuhh... tout ce qu’il sait faire. »
Shiro est toute émoustillée, son sang vampirique s’agite dans ses veines. Voir Camille ainsi à genoux devant elle, dévoué à ses jambes, ça stimule ses instincts de dominatrice. Elle a envie de s’affirmer face à son esclave alors elle enlève une de ses bottes et vient coller ses orteils contre sa bouche, caressant ses lèvres.
« Ouvre la bouche mon mignon... montre-moi ce que tu sais faire. »
Bien sûr ce n’est qu’un début, l’infirmière a bien l’intention de sentir cette bouche sur les zones les plus sensibles de son corps, mais il ne faut pas non plus trop en donner à son soumis dès le début. C’est un esclave, un masochiste, il doit comprendre que le plaisir de sa maîtresse est sa priorité et qu’il doit la satisfaire comme elle l’entend avant de pouvoir espérer le moindre plaisir.
« Hhmm... et moi je suis ravie de rencontrer un soumis si obéissant et élégant. »
Mélinda explique à Shiro que Camille est né entre ses mains, qu’il était assez frêle et qu’elle a usé de mutagènes pour améliorer son corps jusqu’à ce qu’il devienne le jeune homme qu’elle a désormais sous les yeux. Après plusieurs mois loin du manoir il avait décidé de revenir vivre sous le toit de la vampire et d’être son esclave, un esclave qui jouait habilement de sa langue et de ses mains sur les jambes de l’infirmière, faisant frémir cette dernière.
« Ooohhh... tu as très bien travaillé Mélinda. C’est un bel esclave que tu as là... et très compétent. J’ai hâte de voir... oouuhh... tout ce qu’il sait faire. »
Shiro est toute émoustillée, son sang vampirique s’agite dans ses veines. Voir Camille ainsi à genoux devant elle, dévoué à ses jambes, ça stimule ses instincts de dominatrice. Elle a envie de s’affirmer face à son esclave alors elle enlève une de ses bottes et vient coller ses orteils contre sa bouche, caressant ses lèvres.
« Ouvre la bouche mon mignon... montre-moi ce que tu sais faire. »
Bien sûr ce n’est qu’un début, l’infirmière a bien l’intention de sentir cette bouche sur les zones les plus sensibles de son corps, mais il ne faut pas non plus trop en donner à son soumis dès le début. C’est un esclave, un masochiste, il doit comprendre que le plaisir de sa maîtresse est sa priorité et qu’il doit la satisfaire comme elle l’entend avant de pouvoir espérer le moindre plaisir.
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- Mélinda Warren
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- Enregistré le : 16 août 2024 15:11
- Fiche
- Demande de RP
Tenues
Mélinda n’avait pas encore abordé avec Shiro l’étendue de ses fantasmes. Elle pouvait voir que Camille lui plaisait beaucoup, et c’était une bonne chose. Il fallait habituer Shiro à avoir toute sorte de partenaire, et elle retira le bout de sa botte, laissant pointer ses orteils. La tenue qu’elle portait dessus, un justaucorps qui se terminait au milieu de son pied, laissant ses orteils à l’air libre. Camille frémit, et entreprit alors de s’y attaquer. Il attrapa doucement le pied de Shiro pour mieux le positionner, et lécha chaque orteil, l’un après l’autre, faisant preuve d’une certaine dextérité en la matière. Sa langue glissa sur le gros orteil, et s’y enroula, puis il s’attaqua aux autres, plus petits. Quand il les isolait, et les écartait ainsi, Mélinda pouvait voir Shiro frémir doucement. Sa belle infirmière était sous le charme. Camille déposait également des baisers sur les orteils, puis lécha ensuite le flanc du pied, pour lécher par la suite l’intérieur du pied de Shiro, dessous, et glissa sa langue à l’emplacement de son nerf.
Jambes croisées, Mélinda poursuivit sa présentation :
« Camille fait partie d’une catégorie d’esclaves assez spécifiques… Il vit encore à l’extérieur de temps en temps. L’appartement que je lui ai donné est une garçonnière que j’utilise comme suite de luxe quand certains de mes esclaves manifestent le désir de se prostituer.
- Hmmmm… »
Occupé à l’écher le pied de Shiro, Camille laissait sa Maîtresse parler. Il suça désormais son gros orteil, promenant sa langue dessus, l’écartant un peu du reste du pied de Shiro, la faisant doucement soupirer. Elle était clairement sous le charme, tandis que Mélinda s’apprêtait à lui en dire un peu plus sur l’étendue presque sans fin de ses fantasmes.
« Certains de mes petits protégés aiment bien l’idée de se prostituer, c’est un excellent moyen d’obtenir du monde, et potentiellement de nouvelles recrues. Moi-même, il m’arrive de le faire. J’ai une tenue spéciale pour ça… Parfois, j’y emmène Alice, ou Camille, ou d’autres… J’ai un arrangement avec les Yakuzas pour pouvoir faire ce genre d’activités sans crainte dans un parc. »
Tandis que Camille continuait à lécher le pied de Shiro, à sucer ses orteils, à la recouvrir de baisers, Mélinda était curieuse de savoir si cet aveu allait emballer Shiro. Elle craignait toujours d’atteindre avec elle le point de bascule, le moment où elle estimerait que cela ferait trop, mais Shiro avait toujours suivi Mélinda pour le moment…
Mélinda n’avait pas encore abordé avec Shiro l’étendue de ses fantasmes. Elle pouvait voir que Camille lui plaisait beaucoup, et c’était une bonne chose. Il fallait habituer Shiro à avoir toute sorte de partenaire, et elle retira le bout de sa botte, laissant pointer ses orteils. La tenue qu’elle portait dessus, un justaucorps qui se terminait au milieu de son pied, laissant ses orteils à l’air libre. Camille frémit, et entreprit alors de s’y attaquer. Il attrapa doucement le pied de Shiro pour mieux le positionner, et lécha chaque orteil, l’un après l’autre, faisant preuve d’une certaine dextérité en la matière. Sa langue glissa sur le gros orteil, et s’y enroula, puis il s’attaqua aux autres, plus petits. Quand il les isolait, et les écartait ainsi, Mélinda pouvait voir Shiro frémir doucement. Sa belle infirmière était sous le charme. Camille déposait également des baisers sur les orteils, puis lécha ensuite le flanc du pied, pour lécher par la suite l’intérieur du pied de Shiro, dessous, et glissa sa langue à l’emplacement de son nerf.
Jambes croisées, Mélinda poursuivit sa présentation :
« Camille fait partie d’une catégorie d’esclaves assez spécifiques… Il vit encore à l’extérieur de temps en temps. L’appartement que je lui ai donné est une garçonnière que j’utilise comme suite de luxe quand certains de mes esclaves manifestent le désir de se prostituer.
- Hmmmm… »
Occupé à l’écher le pied de Shiro, Camille laissait sa Maîtresse parler. Il suça désormais son gros orteil, promenant sa langue dessus, l’écartant un peu du reste du pied de Shiro, la faisant doucement soupirer. Elle était clairement sous le charme, tandis que Mélinda s’apprêtait à lui en dire un peu plus sur l’étendue presque sans fin de ses fantasmes.
« Certains de mes petits protégés aiment bien l’idée de se prostituer, c’est un excellent moyen d’obtenir du monde, et potentiellement de nouvelles recrues. Moi-même, il m’arrive de le faire. J’ai une tenue spéciale pour ça… Parfois, j’y emmène Alice, ou Camille, ou d’autres… J’ai un arrangement avec les Yakuzas pour pouvoir faire ce genre d’activités sans crainte dans un parc. »
Tandis que Camille continuait à lécher le pied de Shiro, à sucer ses orteils, à la recouvrir de baisers, Mélinda était curieuse de savoir si cet aveu allait emballer Shiro. Elle craignait toujours d’atteindre avec elle le point de bascule, le moment où elle estimerait que cela ferait trop, mais Shiro avait toujours suivi Mélinda pour le moment…
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- Shiro Ishimi
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A peine Shiro a-t-elle présenté son pied nu à Camille que ce dernier entreprend de s’y attaquer. Il lèche chaque orteil l’un après l’autre avec dextérité, faisant glisser sa langue dessus et l’enroulant autour, puis il lèche le flanc et l’intérieur du pied jusqu’à atteindre les nerfs les plus sensibles.
« Hhhmmm… ooouuuiii… c’est ça mon tout beau… continue… »
Shiro frémit doucement sur son fauteuil mais ce n’est pas juste le simple plaisir physique des léchouilles de Camille sur ses pieds, elle sent qu’il y a autre chose : le plaisir d’avoir un esclave qui lui obéit, qui la sert avec assiduité et qui prend plaisir à lui être totalement soumis. Ça stimule ses instincts de vampire, elle en veut plus…
Jambes croisées, Mélinda poursuit sa présentation en expliquant à Shiro que Camille fait partie d’une catégorie spécifique d’esclaves qui vivent de temps en temps en dehors du harem et qu’il dispose d’un appartement utilisé parfois comme suite de luxe quand certains de ses esclaves manifestent le désir de se prostituer. Selon elle c’est un excellent moyen d’attirer du monde et potentiellement de nouvelles recrues. Elle y prend parfois part elle-même, avec une tenue spéciale, et il lui arrive aussi d’emmener certains de ses esclaves ou de ses amis. En plus tout ça est parfaitement sûr grâce à un arrangement avec les Yakuzas pour pouvoir faire ce genre d’activités sans crainte dans un parc.
« Oui… tu m’en avais déjà parlé. Et… hhhmmm… j’espère qu’un jour… tu m’emmèneras avec toi. »
Oui l’infirmière aimerait faire cette expérience. Elle l’avait déjà envisagé avant de goûter au vampirisme et aux hommes, mais maintenant elle a vraiment envie d’essayer, de sentir ce que ça fait que d’être vue comme un simple objet de désir, d’être utilisée pour satisfaire les envies d’un autre, de monnayer son corps comme une marchandise…
« Je suis très curieuse d’essayer… que ce soit avec une femme ou un homme. Je m’y vois déjà… ooohhh… une robe bodycon qui dévoile tout… un sac à main avec des capotes et des culottes de rechange… hhhmmm… me faire baiser sans même un regard… oouuhh… n’être qu’un bout de viande pour mes clients… aaahhh… »
Oui il faut qu’elle essaie.
« Par contre… il ne faut pas que le lycée l’apprenne. Sinon… hhhmmm… je vais avoir des ennuis. »
Même si une bonne partie des élèves et du personnel sont tout aussi pervers qu’elle, il y a quand même des professeurs et des parents d’élèves qui pourraient en faire toute une histoire, voir même essayer de la faire renvoyer si ça se savait.
« Hhhmmm… ça te plairait Camille ? Toi et moi… dans ta garçonnière… à se faire baiser par des inconnus… ou même à partager un client. »
Si Camille est bien le pervers masochiste que Mélinda lui a décrit alors Shiro se dit qu’il doit y avoir plein de façons de s’amuser avec lui en impliquant une troisième personne. En fait, maintenant qu’elle sait qu’il se prostitue, elle le voit très bien du genre à se faire violemment sodomiser par des hommes en rut et elle l’imagine au lit avec un yakuza aux muscles saillants et au chibre veineux qui le baise sans retenue comme un vulgaire bout de viande. Ce fantasme l’émoustille beaucoup, elle a de plus en plus envie de pouvoir essayer par elle-même. Elle retire son autre botte et tend son autre pied à son soumis pour qu’il s’en occupe.
« Ooohhh… raconte-moi mon mignon. Raconte-moi ce que ça fait… de se prostituer. Parle-moi… aaahhh… des clients qui ont payé… pour avoir ton beau petit cul. »
Elle ne serait pas contre entendre quelques anecdotes de Mélinda aussi…
« Hhhmmm… ooouuuiii… c’est ça mon tout beau… continue… »
Shiro frémit doucement sur son fauteuil mais ce n’est pas juste le simple plaisir physique des léchouilles de Camille sur ses pieds, elle sent qu’il y a autre chose : le plaisir d’avoir un esclave qui lui obéit, qui la sert avec assiduité et qui prend plaisir à lui être totalement soumis. Ça stimule ses instincts de vampire, elle en veut plus…
Jambes croisées, Mélinda poursuit sa présentation en expliquant à Shiro que Camille fait partie d’une catégorie spécifique d’esclaves qui vivent de temps en temps en dehors du harem et qu’il dispose d’un appartement utilisé parfois comme suite de luxe quand certains de ses esclaves manifestent le désir de se prostituer. Selon elle c’est un excellent moyen d’attirer du monde et potentiellement de nouvelles recrues. Elle y prend parfois part elle-même, avec une tenue spéciale, et il lui arrive aussi d’emmener certains de ses esclaves ou de ses amis. En plus tout ça est parfaitement sûr grâce à un arrangement avec les Yakuzas pour pouvoir faire ce genre d’activités sans crainte dans un parc.
« Oui… tu m’en avais déjà parlé. Et… hhhmmm… j’espère qu’un jour… tu m’emmèneras avec toi. »
Oui l’infirmière aimerait faire cette expérience. Elle l’avait déjà envisagé avant de goûter au vampirisme et aux hommes, mais maintenant elle a vraiment envie d’essayer, de sentir ce que ça fait que d’être vue comme un simple objet de désir, d’être utilisée pour satisfaire les envies d’un autre, de monnayer son corps comme une marchandise…
« Je suis très curieuse d’essayer… que ce soit avec une femme ou un homme. Je m’y vois déjà… ooohhh… une robe bodycon qui dévoile tout… un sac à main avec des capotes et des culottes de rechange… hhhmmm… me faire baiser sans même un regard… oouuhh… n’être qu’un bout de viande pour mes clients… aaahhh… »
Oui il faut qu’elle essaie.
« Par contre… il ne faut pas que le lycée l’apprenne. Sinon… hhhmmm… je vais avoir des ennuis. »
Même si une bonne partie des élèves et du personnel sont tout aussi pervers qu’elle, il y a quand même des professeurs et des parents d’élèves qui pourraient en faire toute une histoire, voir même essayer de la faire renvoyer si ça se savait.
« Hhhmmm… ça te plairait Camille ? Toi et moi… dans ta garçonnière… à se faire baiser par des inconnus… ou même à partager un client. »
Si Camille est bien le pervers masochiste que Mélinda lui a décrit alors Shiro se dit qu’il doit y avoir plein de façons de s’amuser avec lui en impliquant une troisième personne. En fait, maintenant qu’elle sait qu’il se prostitue, elle le voit très bien du genre à se faire violemment sodomiser par des hommes en rut et elle l’imagine au lit avec un yakuza aux muscles saillants et au chibre veineux qui le baise sans retenue comme un vulgaire bout de viande. Ce fantasme l’émoustille beaucoup, elle a de plus en plus envie de pouvoir essayer par elle-même. Elle retire son autre botte et tend son autre pied à son soumis pour qu’il s’en occupe.
« Ooohhh… raconte-moi mon mignon. Raconte-moi ce que ça fait… de se prostituer. Parle-moi… aaahhh… des clients qui ont payé… pour avoir ton beau petit cul. »
Elle ne serait pas contre entendre quelques anecdotes de Mélinda aussi…
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- Mélinda Warren
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- Fiche
- Demande de RP
Tenues
Comme quoi, il n’y avait pas à douter de la perversion de Shiro. Face à sa réponse, le sujet n’était pas de savoir si elles allaient le faire, mais quand. L’imagination de l’infirmière s’emballait déjà, tandis qu’elle demanda à Camille de lui en dire plus. Le jeune homme continuait à longuement lécher et à baiser les pieds de Shiro, mais s’attaquait aussi désormais à ses jambes, remontant sur ses bottes, les lustrant avec passion.
« Je… J’ai commencé à me prostituer parce que je ne croyais pas que j’étais joli… Maîtresse m’a convaincu de le faire, elle m’a dit que, si des inconnus fantasmaient sur moi, alors c’était bien la preuve que j’étais joli, et qu’elle ne disait pas ça juste pour me faire plaisir… »
Camille remontait lentement. Pour que Shiro puisse l’entendre, c’était tout de même mieux.
« J’ai commencé à me prostituer près du lycée. Personne n’a su que j’étais Camille, car je m’y suis absenté un long moment…
- …Le temps de modifier son look, de faire pousser ses cheveux, et de le féminiser un peu. Il y avait des garçons au lycée qui aimaient se moquer de lui. Une brute épaisse, notamment, qui était au club de sport. C’est lui qui fut son premier client, hihi…
- Il m’a sodomisé avec force dans des toilettes à l’arrière du lycée… Depuis, j’y ai pris goût. Et je dois admettre que j’adore ça… Ce frisson du risque, l’excitation de ne pas savoir sur qui on va tomber… Certains clients sont des réguliers, ils apprécient de me revoir, et je leur donne parfois directement rendez-vous dans ma suite. Mais rien ne vaut de faire le tapin. »
Mélinda reprit à son tour, prenant la suite :
« Nous agissons au sein de l’un des plus grands parcs publics de la ville. On reverse une partie de nos recettes aux Yakuzas, et on leur offre aussi des suppléments. Camille a eu droit à beaucoup de séance avec eux, et moi aussi… Quand je t’emmènerai u parc, tu verras. Il y a parfois des clients dangereux, mais Bran veille toujours sur nous. Parfois, je les laisse me brutaliser, voire me capturer, et Bran débarque ensuite quand ils commencent à aller trop loin… Enfin, c’est assez rare, il faut surtout sortir du parc pour ça. Rassure-toi, le lycée n’en saura rien, mais il est possible que tu tombes sur plusieurs étudiants, hihi… »
Comme Shiro attendait sans doute des exemples un peu plus consistants, Mélinda poursuivit :
« La dernière fois que je l’ai fait, j’ai sucé un salarié qui revenait d’une banque. Un jeune homme fiancé qui n’a pas su résister à mes charmes. Il a juté dans ma bouche. J’ai également eu droit à deux policiers en patrouille qui m’ont baisé tous les deux dans une ruelle. Et il y a aussi eu un homme corpulent, qui m’a sodomisé sur un banc en me fessant et en me pinçant.
- Moi, ma dernière fois a été avec un couple de quadragénaires… Ils avaient besoin d’un gigolo pour diversifier leurs activités sexuelles. Ils m’ont baisé toute la nuit, et la femme était la plus perverse. Elle m’a fait plusieurs fistings, m’a fait boire son urine, et son mari a juté plus d’une dizaine de fois en moi… Lui aussi avait un bon embonpoint, il m’a notamment plaqué contre le mur en m’étouffant à moitié, tout en me défonçant mon petit derrière…
- La dernière fois que je me suis prostituée avec Alice, nous sommes tombées sur un homme qui promenait son chien. Il nous a fait baiser avec son chien l’une après l’autre, c’était assez intense… »
Mélinda était curieuse de voir à quel point le désir de Shiro allait croître, tandis que Camille continuait à lécher les pieds de Shiro, comme s’il voulait la faire orgasmer à partir de là…
Comme quoi, il n’y avait pas à douter de la perversion de Shiro. Face à sa réponse, le sujet n’était pas de savoir si elles allaient le faire, mais quand. L’imagination de l’infirmière s’emballait déjà, tandis qu’elle demanda à Camille de lui en dire plus. Le jeune homme continuait à longuement lécher et à baiser les pieds de Shiro, mais s’attaquait aussi désormais à ses jambes, remontant sur ses bottes, les lustrant avec passion.
« Je… J’ai commencé à me prostituer parce que je ne croyais pas que j’étais joli… Maîtresse m’a convaincu de le faire, elle m’a dit que, si des inconnus fantasmaient sur moi, alors c’était bien la preuve que j’étais joli, et qu’elle ne disait pas ça juste pour me faire plaisir… »
Camille remontait lentement. Pour que Shiro puisse l’entendre, c’était tout de même mieux.
« J’ai commencé à me prostituer près du lycée. Personne n’a su que j’étais Camille, car je m’y suis absenté un long moment…
- …Le temps de modifier son look, de faire pousser ses cheveux, et de le féminiser un peu. Il y avait des garçons au lycée qui aimaient se moquer de lui. Une brute épaisse, notamment, qui était au club de sport. C’est lui qui fut son premier client, hihi…
- Il m’a sodomisé avec force dans des toilettes à l’arrière du lycée… Depuis, j’y ai pris goût. Et je dois admettre que j’adore ça… Ce frisson du risque, l’excitation de ne pas savoir sur qui on va tomber… Certains clients sont des réguliers, ils apprécient de me revoir, et je leur donne parfois directement rendez-vous dans ma suite. Mais rien ne vaut de faire le tapin. »
Mélinda reprit à son tour, prenant la suite :
« Nous agissons au sein de l’un des plus grands parcs publics de la ville. On reverse une partie de nos recettes aux Yakuzas, et on leur offre aussi des suppléments. Camille a eu droit à beaucoup de séance avec eux, et moi aussi… Quand je t’emmènerai u parc, tu verras. Il y a parfois des clients dangereux, mais Bran veille toujours sur nous. Parfois, je les laisse me brutaliser, voire me capturer, et Bran débarque ensuite quand ils commencent à aller trop loin… Enfin, c’est assez rare, il faut surtout sortir du parc pour ça. Rassure-toi, le lycée n’en saura rien, mais il est possible que tu tombes sur plusieurs étudiants, hihi… »
Comme Shiro attendait sans doute des exemples un peu plus consistants, Mélinda poursuivit :
« La dernière fois que je l’ai fait, j’ai sucé un salarié qui revenait d’une banque. Un jeune homme fiancé qui n’a pas su résister à mes charmes. Il a juté dans ma bouche. J’ai également eu droit à deux policiers en patrouille qui m’ont baisé tous les deux dans une ruelle. Et il y a aussi eu un homme corpulent, qui m’a sodomisé sur un banc en me fessant et en me pinçant.
- Moi, ma dernière fois a été avec un couple de quadragénaires… Ils avaient besoin d’un gigolo pour diversifier leurs activités sexuelles. Ils m’ont baisé toute la nuit, et la femme était la plus perverse. Elle m’a fait plusieurs fistings, m’a fait boire son urine, et son mari a juté plus d’une dizaine de fois en moi… Lui aussi avait un bon embonpoint, il m’a notamment plaqué contre le mur en m’étouffant à moitié, tout en me défonçant mon petit derrière…
- La dernière fois que je me suis prostituée avec Alice, nous sommes tombées sur un homme qui promenait son chien. Il nous a fait baiser avec son chien l’une après l’autre, c’était assez intense… »
Mélinda était curieuse de voir à quel point le désir de Shiro allait croître, tandis que Camille continuait à lécher les pieds de Shiro, comme s’il voulait la faire orgasmer à partir de là…
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- Shiro Ishimi
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Mélinda et Camille ont de nombreuses anecdotes juteuses à raconter sur leur activité en tant que prostituées ; Camille raconte à Shiro comment son premier client, une brute épaisse du lycée, l’a longuement sodomisé dans les toilettes, Mélinda lui raconte sa dernière passe où elle a sucé un employé de banque… Chaque anecdote est un régal pour l’infirmière, qui s’amuse parfois à essayer de s’imaginer dans les mêmes situations. L’idée de faire une pipe à un employé de banque ou de baiser un couple en manque de diversité dans leur vie sexuelle ne la dérange pas, mais se taper un homme bedonnant ou un même un chien… elle est tout de suite plus refroidie. Son hôte lui assure que le lycée ne saurait rien de cette activité quand elle déciderait de s’y mettre, ce qui la rassure.
« Il faudra quand même que tu m’expliques précisément les conditions de votre accord avec les Yakuzas. La dernière chose dont j’ai envie c’est de me taper des vieux bedonnants, des alcooliques ou des types défoncés. »
En tout cas pas de doute, l’excitation de Shiro a bien augmenté. La façon dont Camille lui a décrit le plaisir qu’il prend à faire le tapin, avec le frisson du risque et l’excitation de ne pas savoir sur qui on va tomber, n’a fait que la convaincre un peu plus qu’elle doit tenter l’expérience. Elle s’imagine déjà être présentée aux Yakuzas, en petite tenue ou dans le plus simple appareil, être observée et jaugée, peut-être testée par un homme ou deux…
Le plaisir brut, n’être qu’une chose entre leurs mains, un objet de plaisir…
L’infirmière sent le plaisir monter en elle, la langue de son amant sur ses pieds est de plus en plus agréable, elle sent l’orgasme approcher.
« Hhhmmm… encore, petit cochon… encore… suce-moi les orteils… dévore-moi les pieds… »
La jeune femme regarde son esclave s’agiter avec sa bouche et sa langue sur ses pieds, elle se délecte du plaisir qu’elle prend à lui donner des ordres et à sentir comment elle le domine. Ses instincts de vampire sont en ébullition, elle se délecte pleinement de la situation.
« Hhhmmm… dis Mélinda… est-ce que c’est toujours… oohh… aussi bon ? De voir les esclaves… totalement soumis… aaahhh… qui œuvrent à combler tes désirs ? »
Dès que la petite bouche de Camille aura fini de s’occuper de ses pieds, elle compte bien la mettre dans des endroits plus agréables.
« Il faudra quand même que tu m’expliques précisément les conditions de votre accord avec les Yakuzas. La dernière chose dont j’ai envie c’est de me taper des vieux bedonnants, des alcooliques ou des types défoncés. »
En tout cas pas de doute, l’excitation de Shiro a bien augmenté. La façon dont Camille lui a décrit le plaisir qu’il prend à faire le tapin, avec le frisson du risque et l’excitation de ne pas savoir sur qui on va tomber, n’a fait que la convaincre un peu plus qu’elle doit tenter l’expérience. Elle s’imagine déjà être présentée aux Yakuzas, en petite tenue ou dans le plus simple appareil, être observée et jaugée, peut-être testée par un homme ou deux…
Le plaisir brut, n’être qu’une chose entre leurs mains, un objet de plaisir…
L’infirmière sent le plaisir monter en elle, la langue de son amant sur ses pieds est de plus en plus agréable, elle sent l’orgasme approcher.
« Hhhmmm… encore, petit cochon… encore… suce-moi les orteils… dévore-moi les pieds… »
La jeune femme regarde son esclave s’agiter avec sa bouche et sa langue sur ses pieds, elle se délecte du plaisir qu’elle prend à lui donner des ordres et à sentir comment elle le domine. Ses instincts de vampire sont en ébullition, elle se délecte pleinement de la situation.
« Hhhmmm… dis Mélinda… est-ce que c’est toujours… oohh… aussi bon ? De voir les esclaves… totalement soumis… aaahhh… qui œuvrent à combler tes désirs ? »
Dès que la petite bouche de Camille aura fini de s’occuper de ses pieds, elle compte bien la mettre dans des endroits plus agréables.
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- Mélinda Warren
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Tenues
Bon sang ne saurait mentir. Shiro semblait moins à l’aise avec certains aspects de ce que le racolage impliquait. Mais Mélinda se devait d’être claire avec elle.
« La prostitution est le domaine réservé du crime organisé, mon arrangement prévoit plusieurs interactions. Il y a le racolage public, qui a lieu dans un square neutre, et où nous reversons une partie de nos gains aux Guramu. C’est un arrangement simple, qui évite la concurrence sauvage. À défaut de refiler une partie de nos gains, on peut aussi coucher avec eux. Les Guramu sont plutôt des beaux mecs, ils sont généralement musclés, bien bâtis, et suffisamment pervers pour te baiser comme des chiens. Mais, si tu veux de la prostitution pure, c’est-à-dire de racoler dans la rue, on s’offre à qui veut. Et laisse-moi te dire qu’on tombe rarement sur des canons de beauté. Il y a bien des mignons, mais, généralement, on suce des obèses, et des mecs pervers. Des poivrots, il y en a aussi, et, tant qu’ils ne sont pas violents, on agit. Après, si tu ne veux pas d’un client, on se débrouille pour le refiler à quelqu’un d’autre. Et, bien sûr, tu peux aussi opter pour la prostitution de luxe, comme Camille. Dans ce cas, pas de racolage, soit on se rend chez des clients qu’on connaît, soit ils viennent dans l’une de nos suites. Généralement, on a des couples, c’est la clientèle qui revient le plus… »
C’était tout un business. Shiro semblait partagée entre l’excitation de participer à tout ça, et les risques inhérents à ce genre de choses.
« Tu dois savoir qu’on garde toujours le contrôle, même si le client est certain du contraire. Moi, tu me connais, j’aime le risque… Une fois, un type m’avait capturé, et je l’ai laissé faire. C’était un pervers. Quand il a voulu me forcer à le sucer, j’ai mordu très fort, puis on l’a livré à la police, j’ai des contacts parmi eux également. Et, parfois, je les laisse me baiser avec force. Ils pensent me violer, et, quand je suis rassasiée, je demande à Bran d’intervenir. Il les sodomise, ou je les sodomise, et on leur prend ensuite tout leur argent. Bref, il y a beaucoup de scénarii possibles selon ton profil. Mais, si tu veux t’y initier, on choisira des clients fiables. Tu peux me faire confiance, je ne te mettrais jamais en danger. »
Mélinda sourit doucement à Shiro. S’il y avait bien quelqu’un à qui on pouvait faire confiance, c’était à Mélinda. Elle n’avait encore jamais menti à Shiro, et, en un sens, elle espérait aussi que confronter Shiro à des activités à la frontière de la légalité lui permettrait de mieux comprendre pourquoi elle avait parfois dû se résoudre à tuer certaines personnes. Elle le taisait, mais elle avait déjà eu comme client des pédocriminels, qui la capturaient en vue de la prostituer, ou des trafiquants d’organes qui voulaient la découper. On trouvait parfois de sacrés malades, même si, dans l’ensemble, Mélinda s’en sortait bien. En fait, quand elle tombait sur ce genre de profils, c’était en s’éloignant des zones sûres, et c’était surtout elle qui traquait les prédateurs dangereux pour les neutraliser.
Camille continuait à la lécher, remontant encore sur son collant. Il léchait toutefois surtout ses pieds, gobant chaque orteil entre ses lèvres, les suçotant, puis les mordillait même, sa langue glissant sur les ongles de Shiro. Sa dextérité en la matière était indéniable, Shiro devait sûrement prendre son pied… Dans tous les sens du terme. Elle lui demanda alors si on pouvait se lasser de ce genre de choses.
« Hum… Je détestais ça, au début. Je ne me voyais pas du tout devenir une esclavagiste… Mais, après des siècles, le plaisir que l’on ressent, ce frisson de domination qui pulse dans nos veines… Personnellement, je ne m’en lasse toujours pas. Et toi, visiblement, tu y prends goût… Il faut savoir varier les plaisirs, bien sûr. Je pense que tu feras vraiment une magnifique Warren, ma chérie… »
Bon sang ne saurait mentir. Shiro semblait moins à l’aise avec certains aspects de ce que le racolage impliquait. Mais Mélinda se devait d’être claire avec elle.
« La prostitution est le domaine réservé du crime organisé, mon arrangement prévoit plusieurs interactions. Il y a le racolage public, qui a lieu dans un square neutre, et où nous reversons une partie de nos gains aux Guramu. C’est un arrangement simple, qui évite la concurrence sauvage. À défaut de refiler une partie de nos gains, on peut aussi coucher avec eux. Les Guramu sont plutôt des beaux mecs, ils sont généralement musclés, bien bâtis, et suffisamment pervers pour te baiser comme des chiens. Mais, si tu veux de la prostitution pure, c’est-à-dire de racoler dans la rue, on s’offre à qui veut. Et laisse-moi te dire qu’on tombe rarement sur des canons de beauté. Il y a bien des mignons, mais, généralement, on suce des obèses, et des mecs pervers. Des poivrots, il y en a aussi, et, tant qu’ils ne sont pas violents, on agit. Après, si tu ne veux pas d’un client, on se débrouille pour le refiler à quelqu’un d’autre. Et, bien sûr, tu peux aussi opter pour la prostitution de luxe, comme Camille. Dans ce cas, pas de racolage, soit on se rend chez des clients qu’on connaît, soit ils viennent dans l’une de nos suites. Généralement, on a des couples, c’est la clientèle qui revient le plus… »
C’était tout un business. Shiro semblait partagée entre l’excitation de participer à tout ça, et les risques inhérents à ce genre de choses.
« Tu dois savoir qu’on garde toujours le contrôle, même si le client est certain du contraire. Moi, tu me connais, j’aime le risque… Une fois, un type m’avait capturé, et je l’ai laissé faire. C’était un pervers. Quand il a voulu me forcer à le sucer, j’ai mordu très fort, puis on l’a livré à la police, j’ai des contacts parmi eux également. Et, parfois, je les laisse me baiser avec force. Ils pensent me violer, et, quand je suis rassasiée, je demande à Bran d’intervenir. Il les sodomise, ou je les sodomise, et on leur prend ensuite tout leur argent. Bref, il y a beaucoup de scénarii possibles selon ton profil. Mais, si tu veux t’y initier, on choisira des clients fiables. Tu peux me faire confiance, je ne te mettrais jamais en danger. »
Mélinda sourit doucement à Shiro. S’il y avait bien quelqu’un à qui on pouvait faire confiance, c’était à Mélinda. Elle n’avait encore jamais menti à Shiro, et, en un sens, elle espérait aussi que confronter Shiro à des activités à la frontière de la légalité lui permettrait de mieux comprendre pourquoi elle avait parfois dû se résoudre à tuer certaines personnes. Elle le taisait, mais elle avait déjà eu comme client des pédocriminels, qui la capturaient en vue de la prostituer, ou des trafiquants d’organes qui voulaient la découper. On trouvait parfois de sacrés malades, même si, dans l’ensemble, Mélinda s’en sortait bien. En fait, quand elle tombait sur ce genre de profils, c’était en s’éloignant des zones sûres, et c’était surtout elle qui traquait les prédateurs dangereux pour les neutraliser.
Camille continuait à la lécher, remontant encore sur son collant. Il léchait toutefois surtout ses pieds, gobant chaque orteil entre ses lèvres, les suçotant, puis les mordillait même, sa langue glissant sur les ongles de Shiro. Sa dextérité en la matière était indéniable, Shiro devait sûrement prendre son pied… Dans tous les sens du terme. Elle lui demanda alors si on pouvait se lasser de ce genre de choses.
« Hum… Je détestais ça, au début. Je ne me voyais pas du tout devenir une esclavagiste… Mais, après des siècles, le plaisir que l’on ressent, ce frisson de domination qui pulse dans nos veines… Personnellement, je ne m’en lasse toujours pas. Et toi, visiblement, tu y prends goût… Il faut savoir varier les plaisirs, bien sûr. Je pense que tu feras vraiment une magnifique Warren, ma chérie… »
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- Shiro Ishimi
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Les inquiétudes de Shiro sont légitimes, la prostitution reste une activité illégale et contrôlée par les organisations criminelles, mais Mélinda se dépêche de venir lui apporter des éclaircissements. L’arrangement qu’elle a passé avec les yakuzas prévoit trois types d’interaction : le racolage public, qui a lieu dans un square neutre, avec reversement d’une partie des gains au clan ; la prostitution pure dans la rue, où on tombe souvent sur des pervers obèses et des poivrots ; et enfin la prostitution de luxe où les clients sont triés sur le volet, où tout se passe soit chez le client soit dans l’une des suites prévues à cet effet et où la plupart des clients sont des couples.
« Oouuhh… l’option de luxe me plairait bien. Et peut-être aussi le square… mais définitivement pas la rue. »
La vampire lui assure également que le client n’a jamais totalement le contrôle, même s’il est persuadé du contraire, et qu’il y a toujours des gens prêts à intervenir en cas de débordement. Mélinda s’est déjà amusée à se laisser kidnapper par des pervers pour pouvoir les dominer et les violer avant de les remettre à la police, à qui elle s’offrait ensuite. Il y a des tas de scénarios possibles selon le profil et la vampire lui assure que, si elle veut découvrir ce monde, elle s’arrangera pour lui trouver de bons clients.
« Hhhmmm… ooouuuiii… j’ai très envie d’essayer. »
L’infirmière n’a aucun doute que son hôte ne lui veut que du bien et qu’elle lui trouvera la meilleure porte d’entrée possible pour qu’elle s’adonne au plaisir vicieux de la prostitution.
Mélinda lui parle ensuite de son expérience en tant que dominatrice : au début elle détestait ça mais aujourd’hui, même après plusieurs siècles, le plaisir du frisson de la domination qui pulse dans ses veines continue de la faire vibrer et elle voit bien que son invitée est en train d’y prendre goût.
« Ooohhh… ça c’est certain. »
Shiro sait bien qu’elle n’est pas encore prête à devenir une Warren, mais savoir que son hôte lui garde déjà une place dans son clan la réjouit.
L’infirmière sent qu’elle approche de l’orgasme et elle encourage Camille à continuer de bien s’occuper de ses pieds jusqu’à ce que le plaisir la submerge enfin.
« Aahh… AAAHHH ! »
Elle pousse un gémissement de joie, tout son corps se tend et sa mouille éclate entre ses cuisses. Jouir lui a fait un bien fou et lui a vidé la tête mais ça ne l’a pas rassasiée, elle en veut plus de la part de son soumis. Aussitôt a-t-elle fini de jouir qu’elle le fait s’installer à califourchon sur ses genoux et l’embrasse, sa langue venant vite trouver la sienne tandis que ses mains glissent dans son dos jusqu’à atteindre ses fesses, pressant et malaxant cette chair moelleuse et y mettant des claques. Dès que le baiser se rompt elle use de sa voix magique pour capter toute l’attention de son amant.
« Tu es plutôt doué avec ta bouche petit pervers, tu as réussi à me faire jouir rien qu’en me léchant les pieds et en me suçant les orteils. Maintenant tu vas me sucer autre chose. »
L’infirmière écarte les pans de sa tenue au niveau de la poitrine et libère ses seins, dont les pointes roses sont érigées et prêtes à être dégustées.
« Oouuhh… l’option de luxe me plairait bien. Et peut-être aussi le square… mais définitivement pas la rue. »
La vampire lui assure également que le client n’a jamais totalement le contrôle, même s’il est persuadé du contraire, et qu’il y a toujours des gens prêts à intervenir en cas de débordement. Mélinda s’est déjà amusée à se laisser kidnapper par des pervers pour pouvoir les dominer et les violer avant de les remettre à la police, à qui elle s’offrait ensuite. Il y a des tas de scénarios possibles selon le profil et la vampire lui assure que, si elle veut découvrir ce monde, elle s’arrangera pour lui trouver de bons clients.
« Hhhmmm… ooouuuiii… j’ai très envie d’essayer. »
L’infirmière n’a aucun doute que son hôte ne lui veut que du bien et qu’elle lui trouvera la meilleure porte d’entrée possible pour qu’elle s’adonne au plaisir vicieux de la prostitution.
Mélinda lui parle ensuite de son expérience en tant que dominatrice : au début elle détestait ça mais aujourd’hui, même après plusieurs siècles, le plaisir du frisson de la domination qui pulse dans ses veines continue de la faire vibrer et elle voit bien que son invitée est en train d’y prendre goût.
« Ooohhh… ça c’est certain. »
Shiro sait bien qu’elle n’est pas encore prête à devenir une Warren, mais savoir que son hôte lui garde déjà une place dans son clan la réjouit.
L’infirmière sent qu’elle approche de l’orgasme et elle encourage Camille à continuer de bien s’occuper de ses pieds jusqu’à ce que le plaisir la submerge enfin.
« Aahh… AAAHHH ! »
Elle pousse un gémissement de joie, tout son corps se tend et sa mouille éclate entre ses cuisses. Jouir lui a fait un bien fou et lui a vidé la tête mais ça ne l’a pas rassasiée, elle en veut plus de la part de son soumis. Aussitôt a-t-elle fini de jouir qu’elle le fait s’installer à califourchon sur ses genoux et l’embrasse, sa langue venant vite trouver la sienne tandis que ses mains glissent dans son dos jusqu’à atteindre ses fesses, pressant et malaxant cette chair moelleuse et y mettant des claques. Dès que le baiser se rompt elle use de sa voix magique pour capter toute l’attention de son amant.
« Tu es plutôt doué avec ta bouche petit pervers, tu as réussi à me faire jouir rien qu’en me léchant les pieds et en me suçant les orteils. Maintenant tu vas me sucer autre chose. »
L’infirmière écarte les pans de sa tenue au niveau de la poitrine et libère ses seins, dont les pointes roses sont érigées et prêtes à être dégustées.
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- Mélinda Warren
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- Fiche
- Demande de RP
Tenues
Il n’y avait aucun doute à avoir sur l’amour que Mélinda vouait à sa future fille. Elle ne ferait rien susceptible de lui déplaire, mais elle comptait bien continuer à la corrompre, à l’initier dans les plaisirs les plus perverses qu’elle puisse leur offrir. Dans sa tête, Mélinda imaginait déjà le parcours à venir, alternant entre racolage public au square et clients ayant des fantasmes à assouvir. Camille participerait sûrement. Mélinda n’avait pas que des Guramu comme clients, il y avait aussi les Petrovski, la Mafia russe. Camille avait déjà rejoint leur base centrale, un night club faisant office de cabaret, de restaurant, et de bordel, appelé le Perestroika. Camille était ce genre d’amants qui vous faisaient douter de votre orientation sexuelle, tant il était mignon et doué. Mélinda était sûre qu’elles passeraient un bon moment, mais il faudrait peut-être attendre que Shiro accepte de devenir une Warren… Ou pas. Le choix lui appartenait, mais Mélinda savait aussi que, maintenant que Shiro avait goûté à cette ivresse, à la joie d’être une vampire, elle ne pourrait pas revenir en arrière.
Camille, de son côté, l’approchait de l’orgasme, par ses stimulations sur ses pieds. Il pinçait le nerf sciatique de Shiro à partir de la plante de son pied, qu’il léchait ensuite. La femme soupirait sur place, et finit ainsi par jouir. Mélinda s’en mordilla les lèvres, se délectant de son cri… Et, tandis que Shiro jouissait, elle tourna la tête vers Bran. Celui-ci était désormais nu, et approcha sa verge de la bouche de sa sœur.
« J’ai la gorge sèche, offre-moi ma crème… »
Elle referma ses lèvres sur le membre turgescent de Bran, qui soupira. Mains jointes dans son dos, il jouit rapidement, balançant plusieurs giclées. Mélinda soupira, et avala ce foutre, puis regarda encore Shiro. Elle avait fait se relever Camille, qui s’assit contre elle, et les deux amants s’embrassèrent énergiquement.
« Hmmm, Maîtresse… »
Les lèvres de Camille étaient aussi irrésistibles que le reste. Douces, tendres, sans aucune fissure, et légèrement sucrées. Il répondait avec envie au baiser de Shiro, posant une main sur l’une de ses épaules, son autre main se posant sur sa nuque. Le jeune homme l’embrassa langoureusement, glissant sa langue dans sa bouche, sa verge en érection caressant le bas-ventre de l’infirmière. Il soupira en sentant les mains gantées de Shiro presser ses fesses, malaxant son cul. Comme tout esclave digne du clan Warren, Camille appréciait énormément tout ce qui avait trait à l’anal. Il soupirait donc, et gémit même quand elle le fessa, relevant sa main pour la claquer sur son petit cul.
Après ce baiser, Shiro n’eut qu’à libérer l’accès à ses seins en écartant les lanières de sa tenue. Shiro put alors sentir dans sa tête la pensée pernicieuse de sa mère vampirique.
*[MT] Laisse-moi t’aider à amplifier votre plaisir réciproque, ma belle…[/MT]*
Sur le pubis de Mélinda, un inmon brillait. Shiro sentit alors ses seins durcir, et gonfler un peu. Quand Camille pressa ses lèvres sur l’un des tétons de Shiro, et commença à le sucer, du lait jaillit. Un délicieux lait aphrodisiaque qui le fit frémir, tout en soulageant fortement Shiro, dont la poitrine sensible devait apprécier les doux traitements de Camille.
« Hmmm… Hmmm… »
Qu’elle profite, c’était le but !
Il n’y avait aucun doute à avoir sur l’amour que Mélinda vouait à sa future fille. Elle ne ferait rien susceptible de lui déplaire, mais elle comptait bien continuer à la corrompre, à l’initier dans les plaisirs les plus perverses qu’elle puisse leur offrir. Dans sa tête, Mélinda imaginait déjà le parcours à venir, alternant entre racolage public au square et clients ayant des fantasmes à assouvir. Camille participerait sûrement. Mélinda n’avait pas que des Guramu comme clients, il y avait aussi les Petrovski, la Mafia russe. Camille avait déjà rejoint leur base centrale, un night club faisant office de cabaret, de restaurant, et de bordel, appelé le Perestroika. Camille était ce genre d’amants qui vous faisaient douter de votre orientation sexuelle, tant il était mignon et doué. Mélinda était sûre qu’elles passeraient un bon moment, mais il faudrait peut-être attendre que Shiro accepte de devenir une Warren… Ou pas. Le choix lui appartenait, mais Mélinda savait aussi que, maintenant que Shiro avait goûté à cette ivresse, à la joie d’être une vampire, elle ne pourrait pas revenir en arrière.
Camille, de son côté, l’approchait de l’orgasme, par ses stimulations sur ses pieds. Il pinçait le nerf sciatique de Shiro à partir de la plante de son pied, qu’il léchait ensuite. La femme soupirait sur place, et finit ainsi par jouir. Mélinda s’en mordilla les lèvres, se délectant de son cri… Et, tandis que Shiro jouissait, elle tourna la tête vers Bran. Celui-ci était désormais nu, et approcha sa verge de la bouche de sa sœur.
« J’ai la gorge sèche, offre-moi ma crème… »
Elle referma ses lèvres sur le membre turgescent de Bran, qui soupira. Mains jointes dans son dos, il jouit rapidement, balançant plusieurs giclées. Mélinda soupira, et avala ce foutre, puis regarda encore Shiro. Elle avait fait se relever Camille, qui s’assit contre elle, et les deux amants s’embrassèrent énergiquement.
« Hmmm, Maîtresse… »
Les lèvres de Camille étaient aussi irrésistibles que le reste. Douces, tendres, sans aucune fissure, et légèrement sucrées. Il répondait avec envie au baiser de Shiro, posant une main sur l’une de ses épaules, son autre main se posant sur sa nuque. Le jeune homme l’embrassa langoureusement, glissant sa langue dans sa bouche, sa verge en érection caressant le bas-ventre de l’infirmière. Il soupira en sentant les mains gantées de Shiro presser ses fesses, malaxant son cul. Comme tout esclave digne du clan Warren, Camille appréciait énormément tout ce qui avait trait à l’anal. Il soupirait donc, et gémit même quand elle le fessa, relevant sa main pour la claquer sur son petit cul.
Après ce baiser, Shiro n’eut qu’à libérer l’accès à ses seins en écartant les lanières de sa tenue. Shiro put alors sentir dans sa tête la pensée pernicieuse de sa mère vampirique.
*[MT] Laisse-moi t’aider à amplifier votre plaisir réciproque, ma belle…[/MT]*
Sur le pubis de Mélinda, un inmon brillait. Shiro sentit alors ses seins durcir, et gonfler un peu. Quand Camille pressa ses lèvres sur l’un des tétons de Shiro, et commença à le sucer, du lait jaillit. Un délicieux lait aphrodisiaque qui le fit frémir, tout en soulageant fortement Shiro, dont la poitrine sensible devait apprécier les doux traitements de Camille.
« Hmmm… Hmmm… »
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- Shiro Ishimi
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- Enregistré le : 16 août 2024 15:54
Alors qu’elle dégage l’accès à ses seins pour Camille, Shiro entend la voix pernicieuse de sa mère vampirique dans sa tête qui lui dit qu’elle va l’aider avec leur plaisir réciproque. D’un coup l’infirmière sent sa poitrine durcir et gonfler, une sensation qu’elle reconnait : ses seins sont en train de se remplir de lait. Du coup quand son soumis commence à les sucer le lait coule abondamment et la sensation de soulagement qui s’empare de la femme lui procure beaucoup de plaisir.
« Ooohhh… c’est bien mon joli… aspire tout mon lait. »
Shiro se sent toute chose tandis que Camille se nourrit à son sein, elle sent sa jolie bouche collée à son téton qui l’aspire avec appétit, le lait qui se vide peu à peu de sa poitrine, la tension qui s’apaise et en même temps le plaisir qui grimpe…
Hhhmmm… merci Mélinda, c’était une très bonne idée.
En même temps l’infirmière continue à jouer avec l’appétissant petit cul de son amant, le malaxant et multipliant les claques dessus. Elle imagine que, comme les autres esclaves de Mélinda, le jeune homme aime beaucoup tout ce qui touche à l’anal alors elle titille sa porte arrière sans jamais vraiment y aller juste pour le sentir se tortiller contre elle.
« Aaahhh… quel gourmand… »
Une fois son premier sein vidé Shiro redresse Camille pour l’embrasser, savourant le goût du lait sur ses lèvres et sa langue, et quand ils se séparent elle le fait aussitôt coller sa bouche sur son autre sein pour le vider aussi.
« Régale-toi mon beau… ooohhh… et soulage ta maîtresse. »
Ce baiser lui a permis de confirmer ce dont elle se doutait déjà : le lait que lui a donné Mélinda est aphrodisiaque et son amant doit sûrement être très excité vu la quantité qu’il a bu jusqu’à présent. Elle pose une main entre ses cuisses et n’est pas surprise de sentir une érection puissante, ni de sentir son soumis trembler sur place quand elle vient le toucher. Un sourire carnassier se forme sur son visage tandis qu’elle remet sa main sur son cul et appuie son autre main sur sa tête pour s’assurer qu’il boive bien tout son lait.
Une fois sa poitrine vidée Shiro a le souffle lourd mais ce n’est rien comparé à Camille, qui semble au bord de l’explosion. Amusée par cette situation elle décide de s’amuser un peu avec lui.
« Allonge-toi sur le dos petit pervers. »
Une fois son soumis en place elle vient poser son pied entre ses jambes, appuyant sur son membre tendu et le masturbant avec ses orteils.
« Ça te plaît mon cochon ? Tu aimes quand ta maîtresse te branle avec ses orteils ? »
Son objectif est simple : faire jouir le jeune homme sur ses orteils pour qu’ensuite il les nettoie avec sa délicieuse bouche, ce qui donnera encore plus de plaisir à l’infirmière.
« Ooohhh… c’est bien mon joli… aspire tout mon lait. »
Shiro se sent toute chose tandis que Camille se nourrit à son sein, elle sent sa jolie bouche collée à son téton qui l’aspire avec appétit, le lait qui se vide peu à peu de sa poitrine, la tension qui s’apaise et en même temps le plaisir qui grimpe…
Hhhmmm… merci Mélinda, c’était une très bonne idée.
En même temps l’infirmière continue à jouer avec l’appétissant petit cul de son amant, le malaxant et multipliant les claques dessus. Elle imagine que, comme les autres esclaves de Mélinda, le jeune homme aime beaucoup tout ce qui touche à l’anal alors elle titille sa porte arrière sans jamais vraiment y aller juste pour le sentir se tortiller contre elle.
« Aaahhh… quel gourmand… »
Une fois son premier sein vidé Shiro redresse Camille pour l’embrasser, savourant le goût du lait sur ses lèvres et sa langue, et quand ils se séparent elle le fait aussitôt coller sa bouche sur son autre sein pour le vider aussi.
« Régale-toi mon beau… ooohhh… et soulage ta maîtresse. »
Ce baiser lui a permis de confirmer ce dont elle se doutait déjà : le lait que lui a donné Mélinda est aphrodisiaque et son amant doit sûrement être très excité vu la quantité qu’il a bu jusqu’à présent. Elle pose une main entre ses cuisses et n’est pas surprise de sentir une érection puissante, ni de sentir son soumis trembler sur place quand elle vient le toucher. Un sourire carnassier se forme sur son visage tandis qu’elle remet sa main sur son cul et appuie son autre main sur sa tête pour s’assurer qu’il boive bien tout son lait.
Une fois sa poitrine vidée Shiro a le souffle lourd mais ce n’est rien comparé à Camille, qui semble au bord de l’explosion. Amusée par cette situation elle décide de s’amuser un peu avec lui.
« Allonge-toi sur le dos petit pervers. »
Une fois son soumis en place elle vient poser son pied entre ses jambes, appuyant sur son membre tendu et le masturbant avec ses orteils.
« Ça te plaît mon cochon ? Tu aimes quand ta maîtresse te branle avec ses orteils ? »
Son objectif est simple : faire jouir le jeune homme sur ses orteils pour qu’ensuite il les nettoie avec sa délicieuse bouche, ce qui donnera encore plus de plaisir à l’infirmière.
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- Mélinda Warren
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- Demande de RP
Tenues
Face au beau Camille, Shiro était aux anges, d’autant qu’elle bénéficiait de l’assistance magique de Mélinda. Shiro avait déjà des seins assez gros, de sorte que sa montée de lait ne s’accompagna pas d’un accroissement significatif de son tour de poitrine. Ses seins enflèrent toutefois un peu, et ses tétons durcirent, ce qui fit que, quand le beau Camille alla suçoter ses tétons, la réaction fut immédiate… Un plaisir diffus et ténu qui se diffusa dans le corps de l’infirmière. Mélinda s’en pinça les lèvres. Elle voyait les mains de Shiro continuer à malaxer le cul de Camille, et il fallait bien admettre que ce spectacle était excitant… Tant d’un point de vue visuel que sanguin. Le sang qui se concentrait dans les seins de Shiro, la bouche de Camille qui vint téter… Mélinda sentait que, tôt ou tard, elle allait retourner baiser sa Shiro. Celle qui était destinée à devenir son amante, sa fille, prenait en tout cas son pied. Elle soupirait tandis que Camille vidait ses seins, l’un après l’autre. Bien élevé, Camille s’appliquait consciencieusement, gémissant tendrement.
« Votre lait est si bon, Maîtresse Shiro… »
Il s’attaqua ensuite au second sein, tout en les caressant. Tout en suçant le premier téton, Camille s’était d’ailleurs amusé à presser l’autre, faisant jaillir un peu de lait. Et là, tout en s’appliquant sur le second sein, il malaxait l’autre sein avec sa main, pinçant et tirant sur le téton. Camille savait y faire, c’était un bon petit pervers, et cela, Shiro devait sûrement le percevoir. Le temps défilait, tandis que les seins de Shiro se vidaient de tout ce bon lait bu par le jeune homme. Entre les deux, ils s’étaient embrassés fiévreusement, et Shiro avait là aussi pu sentir toute la soif du jeune homme, son désir… Qu’elle avait également perçu en sentant son érection. Camille bandait très fort, mais Mélinda l’avait bien formé, il avait appris à être frustré, tout comme elle en ce moment. Elle avait terriblement envie de les baiser tous les deux, mais elle se retenait, pour pouvoir en profiter ensuite pleinement. Après tout, c’était elle qui avait offert à la perversion de Shiro le corps savoureux de Camille, il était donc naturel qu’il en prenne soin.
Une fois le deuxième sein vidé, Camille avait les joues rouges. Sa queue était très dure, et il soufflait longuement, le regard transi de désir. Shiro en prit conscience, et lui ordonna de se coucher sur le dos. Il acquiesça.
« B-Bien, Maîtresse… » déglutit-il.
Mélinda sourit en croisant les jambes et en se penchant un peu. Elle se rappelait encore avec délectation de cette longue nuit de folie avec Shiro, où elle lui avait écrasé sa verge contre son pied, ce qui l’avait fait jouir. Camille s’était couché sur un tapis rembourré sur le sol, et Shiro commença à le masturber avec ses pieds.
Le « petit cochon » soupira lentement. Comme on pouvait s’y attendre d’un Warren, il était très fétichiste, à tout niveau. Il hocha donc la tête.
« O-Oui, Maîtresse, haaaa… Maîtresse Mélinda m’a formé pour aimer ça… Haaaa… Elle m’a déjà fait jouir en me fouettant là avec une cravache, hmmm…
- Il ne serait pas digne d’être un Warren si je ne l’avais pas bien formé… »
Camille eut beau essayer de tenir, quand il sentit la pointe de la botte de Shiro glisser sur sa verge, il se mit à jouir. Camille soupira, et sa semence éclata dans tous les sens, fusant sur les pieds et sur les jambes de Shiro, ainsi que sur son ventre. Camille gémit ensuite, sa verge conservant toujours une bonne dureté.
« Pa-Pardon, Maîtresse, je vous ai sali… »
Soupirant lentement, Camille se mit à quatre pattes, et commença à lécher son pied, veillant à nettoyer sa botte, et à la lustrer passionnément. Mélinda, de son côté, s’était relevée.
« Un vilain petit pervers qui salit tes bottes mérite d’être puni… »
Elle avait récupéré une cravache, et commença à fouetter le cul de Camille, qui bava un peu sur les bottes de Shiro, avant de gémir, sa queue durcissant à nouveau. Mélinda abattit également la cravache sur ses testicules, arrachant à Camille des couinements de plaisir.
Comme Mélinda l’avait dit, il était un magnifique masochiste…
Face au beau Camille, Shiro était aux anges, d’autant qu’elle bénéficiait de l’assistance magique de Mélinda. Shiro avait déjà des seins assez gros, de sorte que sa montée de lait ne s’accompagna pas d’un accroissement significatif de son tour de poitrine. Ses seins enflèrent toutefois un peu, et ses tétons durcirent, ce qui fit que, quand le beau Camille alla suçoter ses tétons, la réaction fut immédiate… Un plaisir diffus et ténu qui se diffusa dans le corps de l’infirmière. Mélinda s’en pinça les lèvres. Elle voyait les mains de Shiro continuer à malaxer le cul de Camille, et il fallait bien admettre que ce spectacle était excitant… Tant d’un point de vue visuel que sanguin. Le sang qui se concentrait dans les seins de Shiro, la bouche de Camille qui vint téter… Mélinda sentait que, tôt ou tard, elle allait retourner baiser sa Shiro. Celle qui était destinée à devenir son amante, sa fille, prenait en tout cas son pied. Elle soupirait tandis que Camille vidait ses seins, l’un après l’autre. Bien élevé, Camille s’appliquait consciencieusement, gémissant tendrement.
« Votre lait est si bon, Maîtresse Shiro… »
Il s’attaqua ensuite au second sein, tout en les caressant. Tout en suçant le premier téton, Camille s’était d’ailleurs amusé à presser l’autre, faisant jaillir un peu de lait. Et là, tout en s’appliquant sur le second sein, il malaxait l’autre sein avec sa main, pinçant et tirant sur le téton. Camille savait y faire, c’était un bon petit pervers, et cela, Shiro devait sûrement le percevoir. Le temps défilait, tandis que les seins de Shiro se vidaient de tout ce bon lait bu par le jeune homme. Entre les deux, ils s’étaient embrassés fiévreusement, et Shiro avait là aussi pu sentir toute la soif du jeune homme, son désir… Qu’elle avait également perçu en sentant son érection. Camille bandait très fort, mais Mélinda l’avait bien formé, il avait appris à être frustré, tout comme elle en ce moment. Elle avait terriblement envie de les baiser tous les deux, mais elle se retenait, pour pouvoir en profiter ensuite pleinement. Après tout, c’était elle qui avait offert à la perversion de Shiro le corps savoureux de Camille, il était donc naturel qu’il en prenne soin.
Une fois le deuxième sein vidé, Camille avait les joues rouges. Sa queue était très dure, et il soufflait longuement, le regard transi de désir. Shiro en prit conscience, et lui ordonna de se coucher sur le dos. Il acquiesça.
« B-Bien, Maîtresse… » déglutit-il.
Mélinda sourit en croisant les jambes et en se penchant un peu. Elle se rappelait encore avec délectation de cette longue nuit de folie avec Shiro, où elle lui avait écrasé sa verge contre son pied, ce qui l’avait fait jouir. Camille s’était couché sur un tapis rembourré sur le sol, et Shiro commença à le masturber avec ses pieds.
Le « petit cochon » soupira lentement. Comme on pouvait s’y attendre d’un Warren, il était très fétichiste, à tout niveau. Il hocha donc la tête.
« O-Oui, Maîtresse, haaaa… Maîtresse Mélinda m’a formé pour aimer ça… Haaaa… Elle m’a déjà fait jouir en me fouettant là avec une cravache, hmmm…
- Il ne serait pas digne d’être un Warren si je ne l’avais pas bien formé… »
Camille eut beau essayer de tenir, quand il sentit la pointe de la botte de Shiro glisser sur sa verge, il se mit à jouir. Camille soupira, et sa semence éclata dans tous les sens, fusant sur les pieds et sur les jambes de Shiro, ainsi que sur son ventre. Camille gémit ensuite, sa verge conservant toujours une bonne dureté.
« Pa-Pardon, Maîtresse, je vous ai sali… »
Soupirant lentement, Camille se mit à quatre pattes, et commença à lécher son pied, veillant à nettoyer sa botte, et à la lustrer passionnément. Mélinda, de son côté, s’était relevée.
« Un vilain petit pervers qui salit tes bottes mérite d’être puni… »
Elle avait récupéré une cravache, et commença à fouetter le cul de Camille, qui bava un peu sur les bottes de Shiro, avant de gémir, sa queue durcissant à nouveau. Mélinda abattit également la cravache sur ses testicules, arrachant à Camille des couinements de plaisir.
Comme Mélinda l’avait dit, il était un magnifique masochiste…
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- Shiro Ishimi
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Comme Shiro s’y attendait Camille est un grand fétichiste, il avoue de lui-même que Mélinda l’a formé pour prendre du plaisir en se faisant maltraiter les parties intimes et que sa maîtresse l’a déjà fait jouir en fouettant son entrejambe.
« Fétichiste et masochiste… hhhmmm… un parfait esclave. »
Son soumis est dans un tel degré d’excitation après avoir avalé tout son lait aphrodisiaque qu’elle n’a besoin que de quelques minutes pour le faire jouir avec son pied. Il répand sa semence sur ses orteils et même un peu sur ses jambes, mais surtout sur son ventre, puis il s’excuse d’avoir sali sa maîtresse et commence à nettoyer son pied avec sa langue. La vampire, qui a observé toute la scène, ajoute qu’un petit pervers qui salit sa maîtresse doit être puni alors elle attrape une cravache et commence à donner des coups sur les fesses et les testicules du jeune homme. L’infirmière peut le voir tressaillir sur place, même avec ses gémissements étouffés elle sent bien qu’il adore être malmené. Pas de doute c’est un grand masochiste et elle ne va pas hésiter à en jouer.
« Nettoie-moi bien petit cochon… et ensuite c’est moi qui te punirai. »
Shiro frémit en sentant la langue de Camille sur ses orteils, son amant sait définitivement comment bien se servir de sa bouche et c’est un vrai plaisir de le sentir s’activer sur ses pieds et ses jambes. Elle frémit dans son fauteuil, se pince les lèvres, gémit parfois mais fait en sorte de rester dans son rôle de dominante, en appuyant sur sa tête avec son autre pied ou en encourageant Mélinda à le fouetter plus fort.
Une fois son pied et ses jambes nettoyés Shiro se lève de son fauteuil et se prépare à prendre le relais de Mélinda pour punir Camille à son tour. Mais pour elle la cravache n’est pas suffisante, elle va chercher un fouet puis approche de son soumis. Elle appuie son pied sur ses fesses en ricanant et caresse sa peau avec le bout du fouet.
« Tu es prêt vilain garçon ? Ta maîtresse va te donner la punition que tu mérites. »
Elle lève le fouet et il vient s’abattre sur les fesses de son soumis dans un claquement sonore. Le voir couiner et gémir aussi bien de plaisir que de douleur est un régal pour elle, elle enchaîne les coups de fouet mais prend son temps, déjà parce qu’elle veut savourer pleinement l’expérience mais aussi parce qu’elle ne maîtrise pas bien le fouet, elle ne veut pas risquer de blesser son amant en le fouettant là où il ne faut pas.
« Fétichiste et masochiste… hhhmmm… un parfait esclave. »
Son soumis est dans un tel degré d’excitation après avoir avalé tout son lait aphrodisiaque qu’elle n’a besoin que de quelques minutes pour le faire jouir avec son pied. Il répand sa semence sur ses orteils et même un peu sur ses jambes, mais surtout sur son ventre, puis il s’excuse d’avoir sali sa maîtresse et commence à nettoyer son pied avec sa langue. La vampire, qui a observé toute la scène, ajoute qu’un petit pervers qui salit sa maîtresse doit être puni alors elle attrape une cravache et commence à donner des coups sur les fesses et les testicules du jeune homme. L’infirmière peut le voir tressaillir sur place, même avec ses gémissements étouffés elle sent bien qu’il adore être malmené. Pas de doute c’est un grand masochiste et elle ne va pas hésiter à en jouer.
« Nettoie-moi bien petit cochon… et ensuite c’est moi qui te punirai. »
Shiro frémit en sentant la langue de Camille sur ses orteils, son amant sait définitivement comment bien se servir de sa bouche et c’est un vrai plaisir de le sentir s’activer sur ses pieds et ses jambes. Elle frémit dans son fauteuil, se pince les lèvres, gémit parfois mais fait en sorte de rester dans son rôle de dominante, en appuyant sur sa tête avec son autre pied ou en encourageant Mélinda à le fouetter plus fort.
Une fois son pied et ses jambes nettoyés Shiro se lève de son fauteuil et se prépare à prendre le relais de Mélinda pour punir Camille à son tour. Mais pour elle la cravache n’est pas suffisante, elle va chercher un fouet puis approche de son soumis. Elle appuie son pied sur ses fesses en ricanant et caresse sa peau avec le bout du fouet.
« Tu es prêt vilain garçon ? Ta maîtresse va te donner la punition que tu mérites. »
Elle lève le fouet et il vient s’abattre sur les fesses de son soumis dans un claquement sonore. Le voir couiner et gémir aussi bien de plaisir que de douleur est un régal pour elle, elle enchaîne les coups de fouet mais prend son temps, déjà parce qu’elle veut savourer pleinement l’expérience mais aussi parce qu’elle ne maîtrise pas bien le fouet, elle ne veut pas risquer de blesser son amant en le fouettant là où il ne faut pas.
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- Mélinda Warren
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Mélinda devait bien avouer que Shiro l’excitait de plus en plus. Rester calme en sa présence devenait vraiment très difficile ! Elle était merveilleuse dans le rôle de la dominatrice impitoyable, et ce rôle ne pouvait que plaire à la vampire. Mélinda la vit donc imposer à Camille de la lécher, et, comme à son habitude, le jeune homme s’en sortait bien. Il avait écarté les bottes de sa Maîtresse, pour pouvoir mieux lécher ses orteils, glissant sur la plante de son pied, nettoyant ses magnifiques collants. Shiro ne tarda pas à se tortiller sur place, subissant avec envie les assauts de la magnifique langue de Camille.
Shiro se tortillait donc, et invitait Mélinda de la tête à le punir. Dans le dos du jeune homme, Mélinda abattit donc sa cravache sur ses fesses. Il se courbait joyeusement en relevant son insolent petit cul, tandis que, dans la tête de Mélinda, les idées pour la suite déferlaient. Elle avait hâte de transformer Shiro en vampire, mais aussi de faire avec elle une soirée « mac-à-dames ». Mélinda avait beaucoup d’idées sur la manière d’organiser cette folle nuit orgasmique. Camille aurait sa place, bien sûr, mais la vampire avait encore beaucoup de surprises à présenter à l’infirmière perverse.
« Lèche-là bien, petit pervers, et tâche de ne rien oublier !
- O-Oui, Maîtresse… »
Il avait joui, mais la verge de Camille avait retrouvé de sa dureté. Shiro se releva ensuite. Mélinda alla l’embrasser, puis Shiro récupéra un fouet. Les fouets de Mélinda étaient dangereux et violents, mais émoussés. Elle n’avait pas non plus envie de torturer ses amants !
Mélinda ordonna à Camille de se relever, car elle avait eu une idée.
« Mets-toi debout, Camille ! »
Camille obtempéra. Mélinda lui ordonna de lever les bras, et elle attacha ses poignets à des sangles en cuir qui pendouillaient au plafond, puis attacha également ses chevilles. Sa robe fendue libérait sa verge, et Mélinda soupira en se redressant, venant le masturber. Il gémit, puis frémit quand Shiro le fouetta, faisant claquer le fouet sur son cul. Mélinda s’amusa ensuite à lui retirer sa robe, en coupant avec ses griffes les bretelles.
« Maî-Maîtresse, ma robe…
- Tu en as d’autres en recharge, et je la ferai réparer. Et puis, tu aimes quand je te griffe, non ?
- S-Si, mais… »
Mélinda pinça alors sa verge, et serra ses doigts dessus. Camille se mit à couiner en rougissant.
« On ne répond pas à sa Maîtresse, petit pervers !
- Pa-Pardon, Maîtresse… »
Mélinda relâcha sa queue, puis se déplaça ensuite, et caressa le ventre de Camille. Il était très beau, et bandait à chaque fois que Shiro le fouettait. Mélinda se rapprocha d’elle, et l’embrassa à son tour.
« Vanillia a offert un mutagène à Camille… Tu sais, je l’ai depuis qu’il est bébé, donc son corps s’est habitué à la douleur. Le mutagène qu’il a bu renforce sa guérison au fur et à mesure qu’il est excité. Regarde, il y a un inmon sur son pubis qui se charge de ça… »
Si on regardait son bas-ventre, on pourrait effectivement voir un cœur rose qui luisait sur place. Sa queue tendue se dressait encore. Mélinda avait récupéré elle aussi un fouet, et fouetta le sexe de Camille, qui hurla encore. Shiro maîtrisait à ce stade suffisamment ses pouvoirs vampiriques pour sentir combien le sang de Camille s’emballait en lui.
« Je te propose de le fouetter devant et moi derrière, puis d’inverser… Et, quand il jouira, peut-être auras-tu envie de goûter à son sang ? Je te garantis qu’il est délicieux… »
Sur ce point, on pouvait largement faire confiance à Mélinda !
Mélinda devait bien avouer que Shiro l’excitait de plus en plus. Rester calme en sa présence devenait vraiment très difficile ! Elle était merveilleuse dans le rôle de la dominatrice impitoyable, et ce rôle ne pouvait que plaire à la vampire. Mélinda la vit donc imposer à Camille de la lécher, et, comme à son habitude, le jeune homme s’en sortait bien. Il avait écarté les bottes de sa Maîtresse, pour pouvoir mieux lécher ses orteils, glissant sur la plante de son pied, nettoyant ses magnifiques collants. Shiro ne tarda pas à se tortiller sur place, subissant avec envie les assauts de la magnifique langue de Camille.
Shiro se tortillait donc, et invitait Mélinda de la tête à le punir. Dans le dos du jeune homme, Mélinda abattit donc sa cravache sur ses fesses. Il se courbait joyeusement en relevant son insolent petit cul, tandis que, dans la tête de Mélinda, les idées pour la suite déferlaient. Elle avait hâte de transformer Shiro en vampire, mais aussi de faire avec elle une soirée « mac-à-dames ». Mélinda avait beaucoup d’idées sur la manière d’organiser cette folle nuit orgasmique. Camille aurait sa place, bien sûr, mais la vampire avait encore beaucoup de surprises à présenter à l’infirmière perverse.
« Lèche-là bien, petit pervers, et tâche de ne rien oublier !
- O-Oui, Maîtresse… »
Il avait joui, mais la verge de Camille avait retrouvé de sa dureté. Shiro se releva ensuite. Mélinda alla l’embrasser, puis Shiro récupéra un fouet. Les fouets de Mélinda étaient dangereux et violents, mais émoussés. Elle n’avait pas non plus envie de torturer ses amants !
Mélinda ordonna à Camille de se relever, car elle avait eu une idée.
« Mets-toi debout, Camille ! »
Camille obtempéra. Mélinda lui ordonna de lever les bras, et elle attacha ses poignets à des sangles en cuir qui pendouillaient au plafond, puis attacha également ses chevilles. Sa robe fendue libérait sa verge, et Mélinda soupira en se redressant, venant le masturber. Il gémit, puis frémit quand Shiro le fouetta, faisant claquer le fouet sur son cul. Mélinda s’amusa ensuite à lui retirer sa robe, en coupant avec ses griffes les bretelles.
« Maî-Maîtresse, ma robe…
- Tu en as d’autres en recharge, et je la ferai réparer. Et puis, tu aimes quand je te griffe, non ?
- S-Si, mais… »
Mélinda pinça alors sa verge, et serra ses doigts dessus. Camille se mit à couiner en rougissant.
« On ne répond pas à sa Maîtresse, petit pervers !
- Pa-Pardon, Maîtresse… »
Mélinda relâcha sa queue, puis se déplaça ensuite, et caressa le ventre de Camille. Il était très beau, et bandait à chaque fois que Shiro le fouettait. Mélinda se rapprocha d’elle, et l’embrassa à son tour.
« Vanillia a offert un mutagène à Camille… Tu sais, je l’ai depuis qu’il est bébé, donc son corps s’est habitué à la douleur. Le mutagène qu’il a bu renforce sa guérison au fur et à mesure qu’il est excité. Regarde, il y a un inmon sur son pubis qui se charge de ça… »
Si on regardait son bas-ventre, on pourrait effectivement voir un cœur rose qui luisait sur place. Sa queue tendue se dressait encore. Mélinda avait récupéré elle aussi un fouet, et fouetta le sexe de Camille, qui hurla encore. Shiro maîtrisait à ce stade suffisamment ses pouvoirs vampiriques pour sentir combien le sang de Camille s’emballait en lui.
« Je te propose de le fouetter devant et moi derrière, puis d’inverser… Et, quand il jouira, peut-être auras-tu envie de goûter à son sang ? Je te garantis qu’il est délicieux… »
Sur ce point, on pouvait largement faire confiance à Mélinda !
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