Le
Lovegood Estate était un riche manoir, la demeure de la redoutable baronne Lovegood, Camille… Celle qu’on surnommait Cruella. Elle était une baronne impitoyable, aussi belle que redoutable, crainte de ses sujets. Elle dirigeait après tout l’une des régions les plus riches d’Herzeleid, avec de vastes mines, carrières, et usines. Elle participait activement à l’effort de guerre herzelois, et imposait à ses ouvriers un quota journalier très difficile. Elle était aussi assez impitoyable, multipliant les esclaves et les expériences dans son laboratoire, situé dans les profondeurs de son manoir. La sécurité était assurée par de redoutables
automates, gardes incorruptibles qui surveillaient les entrées du manoir.
Quand Rouge arriva, les automates ne la détectèrent pas lorsqu’elle se posa sur le toit. Elle se déplaça rapidement, et avisa un conduit de cheminée inutilisé, son meilleur moyen d’entrer à l’intérieur. Elle se laissa donc tomber, et arriva dans un petit slaon vide. La porte, entrouverte, laissa filer un peu de lumière. Le personnel du manoir comprenait, outre les automates, des esclaves en tenue de maid, et d’autres personnes. Le
Lovegood Estate était le palais des plaisirs de Camille Lovegood, et les jeunes femmes qui avaient le droit d’y entrer étaient souvent bien loties, ainsi que les hommes. Les premières servaient de domestiques et de concubines, tandis que les seconds servaient pour les expériences de Camille, et devenaient ensuite des esclaves. Camille s’amusait à les féminiser, partageant cette conception uatéenne des rapports entre les deux sexes.
En s’aventurant dans ce grand manoir victorien, Rouge rejoignit une mezzanine surplombant un grand salon où elle put voir une scène cocasse.
«
Lèche, petit chien ! »
Recouvert de latex, un homme léchait les bottes de
Katharina, un gros
plug anal remuant dans son fondement. Katharina était l’une des proches amantes de Camille. La baronne disposait de lieutenantes l’aidant à administrer son domaine ainsi que le
Lovegood Estate, des femmes qui avaient été des expériences. Elle en avait fait des femmes plus musclées, perverses, et totalement dévouées à elle. Katharina dressait un nouvel esclave sous le regard amusé de
Brittany, une autre dominatrice qui fumait une longue cigarette tandis qu’un autre esclave léchait son sexe à travers son pantalon, assis sur un gros
plug anal qui s’enfonçait profondément en lui, les mains serrées dans son dos. Ils portaient tous les deux des cages de chasteté sous leur combinaison en latex.
Rouge n’avait qu’à poursuivre sa route, mais, alors qu’elle allait repartir, Brittany se releva. Elle jeta au sol l’esclave, et abandonna sa cigarette.
«
Je vais au laboratoire, voir comment la transformation des derniers cobayes se poursuit… »
Brittany sortit donc, laissant à Rouge une trace à suivre… Mais, alors que Brittany avançait dans un couloir, elle croisa le regard d’une belle
kitsune, et posa sa main gantée sur son visage, la plaquant contre le mur.
«
Kyaaah !
-
Qu’est-ce que tu fais à cette heure, toi ?
-
Je… Je finissais mon service, Maîtresse ! »
Brittany fronça les sourcils en se rapprochant d’elle. Sa braguette était toujours ouverte, et elle ne tarda pas à faire sortir son opulente verge, un membre épais qui caressa la robe de la kitsune. La jeune esclave rougit furieusement, et sentit le pouce de Brittany s’enfoncer dans sa bouche. N’ayant d’autre choix que de le sucer, elle s’y attela, tandis que Brittany s’écrasa contre elle.
«
Viens par là, ma chérie… »
La coinçant contre le mur, la puissante femme commença à la pénétrer, et sentit les dents de la kitsune se crisper sur son pouce, serrant le latex, quand sa verge s’enfonça dans sa chatte. Puis Brittany soupira de plaisir, et commença à remuer en elle, la prenant contre le mur…