Après que Val eut soulevé l’une de ses jambes, la Comtesse enchaîna avec la seconde, sautant légèrement pour venir ceinturer les hanches du succube, son poids achevant ainsi de l’empaler totalement sur cette queue qui lui faisait tant de bien.
Les mains de Valeria agrippèrent ses fesses, la relevèrent comme un poids plume et la soutinrent efficacement tandis qu’elle la bloquait contre le mur et la prenait avec vigueur. Camille l’écouta en soupirant de plaisir, l’enlaça amoureusement et l’embrassa avec passion, passion que lui rendit Valeria avec autant d’intensité. Elle était terriblement excitée, autant par les circonstances que par le manque causé par ces deux mois d’absence. Elle ne l’aurait pas cru si on le lui avaitt dit, mais force était de constater que cette petite salope de Comtesse avait déjà réussi à insinuer en elle une petite dépendance !
« Oh… Jouissez autant que vous voulez en moi, Maîtresse… Il faut… Il faut bien nourrir notre bébé ! »
La note de fierté qu’il y avait dans sa voix fit frémir Valeria. Camille soupira derechef. Elle semblait terriblement affamée. La démone la savait très portée sur le sexe, mais ces réactions lui plaisaient beaucoup. Bien sûr, le fait d’avoir un rapport avec un succube exacerbait les sens et le désir. Le fait de porter l’enfant d’un succube aussi. Mais Camille semblait être encore un stade au-delà.
Elle se laissa doucement aller au plaisir qui l’envahissait. Valeria pouvait clairement lire qu’elle adorait ainsi se faire défoncer. Et comme déjà elle était près du plaisir, il n’en fallut pas plus. Quelques coups de reins supplémentaires lui suffirent pour atteindre une première fois le plaisir. Le sperme éclata dans l’utérus de Camille, le noya avec force, tandis que Valeria se pressait, tremblante de plaisir, dans l’étreinte de ses bras, mordant délicatement son épaule pour étouffer un gémissement qui sans ça aurait assurément attiré l’attention.