C’était une rave party organisée hors de la ville, dans la grande forêt qui entourait Atarashï Yoake. Une fête illégale, clandestine, qui avait lieu dans une ferme silencieuse. La fête durait une bonne partie de la nuit, avec tout ce qu’on pouvait imaginer. Outre une musique dantesque, on fumait, on buvait… Les adolescents venaient ici en nombre, venant s’amuser, s’égayer, oubliant la journée… Ils s’abandonnaient totalement, et cela était aussi le cas d’une adolescente, Marin Kitagawa. Belle et accomplie, Marin venait d’un lycée privé où elle menait une éducation stricte. C’était une fille très populaire, qui était venue participer à cette rave pour se détendre, s’amusant avec ses amies. La jeune fille ignorait toutefois qu’un homme allait jeter son dévolu. Doté de jumelles, le chasseur observait ces proies. Il regardait les étudiantes et les étudiants, cherchant laquelle frapper depuis son refuge, perché au sommet d’un arbre.
« Hmmm… »
Il cibla plusieurs filles, mais son regard finit par s’attirer sur Marin Kitagawa. Elle portait une minijupe à carreaux, et une chemise de lycéenne ouverte. C’était de toute évidence sa tenue d’étudiante, signe qu’elle avait dû filer directement de l’école à la rave. Elle portait même encore sa cravate, toutefois largement dénouée, tombant le long de son corps. Il sourit doucement, un sourire de prédateur, et la vit s’écarter précipitamment de ses amies. Elle rejoignit la forêt, s’éclairant à l’aide de la lampe-torche de son téléphone portable. Elle s’éloigna un peu, allant derrière des buissons. L’homme se laissa alors discrètement tomber sur le sol, sortant de sa ceinture la lame argentée d’un couteau de chasse acéré. Il se déplaça lentement, évitant de se frotter contre les buissons, contre les branches et les racines sur le sol. Elle était en train d’uriner, et il sourit. C’était parfois si simple… Vaas se déplaça donc, et se rapprocha encore, voyant la lumière du téléphone, petit phare dans l’obscurité ambiante de la forêt.
Visiblement pudique, la jeune fille s’était éloignée de la rave party. On entendait encore les sons de la fête, mais il n’y avait à ce stade aucun risque qu’on vienne jusqu’à eux. Elle commença à se relever, et, alors que ses deux mains saisirent sa culotte pour la repositionner, Vaas bondit brusquement.
Tout alla très vite.
Sa main gauche se posa sur la bouche de la femme, et la main droite, qui tenait l’arme, se nicha contre sa gorge. Le couinement apeuré de la jeune femme mourut contre sa main, et il serra le corps agréable et doucereux de cette femme contre le sien.
« Là…Shhttt, chica. Laisse-toi faire, ma beauté… Tu sais comme c’est dangereux de se promener dans les bois la nuit ? Tes parents ne t’ont jamais lu Le Petit Chaperon Rouge, hum ? »
Il restait serré contre elle, l’empêchant de trop se débattre, et lécha alors la femme dans le creux du cou.
« T’es bonne, chica… Tu es venue ici pour te faire troncher, non ? Alors, estime-toi heureuse, tu as touché le gros lot… Je vais t’envoyer au Paradis ce soir, ma salope ! Aie foi en Vaas pour ça ! »
« Hmmm… »
Il cibla plusieurs filles, mais son regard finit par s’attirer sur Marin Kitagawa. Elle portait une minijupe à carreaux, et une chemise de lycéenne ouverte. C’était de toute évidence sa tenue d’étudiante, signe qu’elle avait dû filer directement de l’école à la rave. Elle portait même encore sa cravate, toutefois largement dénouée, tombant le long de son corps. Il sourit doucement, un sourire de prédateur, et la vit s’écarter précipitamment de ses amies. Elle rejoignit la forêt, s’éclairant à l’aide de la lampe-torche de son téléphone portable. Elle s’éloigna un peu, allant derrière des buissons. L’homme se laissa alors discrètement tomber sur le sol, sortant de sa ceinture la lame argentée d’un couteau de chasse acéré. Il se déplaça lentement, évitant de se frotter contre les buissons, contre les branches et les racines sur le sol. Elle était en train d’uriner, et il sourit. C’était parfois si simple… Vaas se déplaça donc, et se rapprocha encore, voyant la lumière du téléphone, petit phare dans l’obscurité ambiante de la forêt.
Visiblement pudique, la jeune fille s’était éloignée de la rave party. On entendait encore les sons de la fête, mais il n’y avait à ce stade aucun risque qu’on vienne jusqu’à eux. Elle commença à se relever, et, alors que ses deux mains saisirent sa culotte pour la repositionner, Vaas bondit brusquement.
Tout alla très vite.
Sa main gauche se posa sur la bouche de la femme, et la main droite, qui tenait l’arme, se nicha contre sa gorge. Le couinement apeuré de la jeune femme mourut contre sa main, et il serra le corps agréable et doucereux de cette femme contre le sien.
« Là…Shhttt, chica. Laisse-toi faire, ma beauté… Tu sais comme c’est dangereux de se promener dans les bois la nuit ? Tes parents ne t’ont jamais lu Le Petit Chaperon Rouge, hum ? »
Il restait serré contre elle, l’empêchant de trop se débattre, et lécha alors la femme dans le creux du cou.
« T’es bonne, chica… Tu es venue ici pour te faire troncher, non ? Alors, estime-toi heureuse, tu as touché le gros lot… Je vais t’envoyer au Paradis ce soir, ma salope ! Aie foi en Vaas pour ça ! »