Helena Gradel était l’une des meilleures professeures d’un très prestigieux lycée privé américain, le John Adams High School. Les brillants lycéens qui rejoignaient ce lycée étaient tous destinés à des carrières d’exception, et à rejoindre les prestigieuses universités de l’Ivy League. C’était un lycée d’exception, très réputé, qui s’efforçait de recruter ses élèves parmi les meilleurs élèves américains. Sous cette excellence, il y avait aussi une réalité économique plus concrète : beaucoup des élèves de ce lycée étaient issu d’un milieu extrêmement bourgeois. Autant dire que de simples riches ne pouvaient se permettre d’inscrire leur progéniture à l’école, tant les frais d’inscription étaient élevés. Ceux qui étaient sélectionnés sur dossier bénéficiant toutefois de frais réduits, voire de bourses d’étude. La légende affirmait que c’était John Adams lui-même qui avait conçu cette école. Le deuxième Président des États-Unis d’Amérique était l’un des Pères Fondateurs de la nation, un avocat constitutionnaliste qui était connu pour ses travaux visant à empêcher l’avènement d’un régime tyrannique. Sa devise avait été de créer une Chambre haute au Congrès constituée « des riches, des biens-nés, et des capables », une sorte de chambre haute intellectuelle. L’école avait été conçue ainsi, pour former de futurs leaders.
Un beau rêve en théorie, mais plus compliqué en pratique. Car il y avait bien plus de « riches » que de « capables » au sein du lycée. Et les boursiers ressentaient souvent ce phénomène d’exclusion, ce qui avait été le cas de l’un de ses élèves, Matthew Horner. Avec ses origines partiellement japonaises (il avait un parent Japonais et un parent américain), Matthew était aussi issu de la classe populaire. Ses résultats exceptionnels au collège avaient attiré l’attention des recruteurs de l’école, et il avait pu la rejoindre. Seulement, les autres élèves ne supportaient pas qu’un « pauvre Jaune » soit meilleur qu’eux. Matthew avait mal vécu ses premiers mois, et il devait à Madame Gradel, sa professeur principale, de l’avoir aidé… Beaucoup.
Plusieurs années avaient passé depuis. Matthew Horner était finalement devenu un jeune homme très en vue, un talentueux acteur dont on prédisait un avenir similaire à celui de Ronald Reagan. Horner était très populaire, et avait tourné dans plusieurs blockbusters. Les filles l’adoraient, et il était l’acteur célibataire le plus prisé de Beverly Hills.
Matthew avait favorablement répondu à l’invitation du lycée de participer à la « Journée de Regroupement ». Une fois par an, les anciens élèves venaient au lycée, et donnaient des conférences, racontaient leur expérience de vie. Une promotion très efficace pour le lycée qui invitait à l’occasion les élèves actuels, les parents des élèves dont ils convoitaient l’inscription, mais aussi des hommes politiques, et la presse. Preuve de l’influence de cette école privée, on y trouvait parfois même le Président des États-Unis, et toujours des secrétaires d’État. Helena participait à cette journée, mais elle devait bien admettre qu’une seule chose l’avait intéressé : quand elle avait appris que Matthew y participerait.
*Est-ce qu’il se souvient de moi ? Il doit avoir tellement d’amantes…*
Helena l’avait initié au théâtre, et il s’y était épanoui. Il en avait déjà fait à l’école primaire puis au collège, elle l’avait aidé dans ce sens… Mais elle avait surtout été son amant. Elle était tombée amoureuse d’elle, et elle l’avait embrassé quand il avait été enfermé dans son casier par des riches. Elle l’avait trouvé en pleine soirée, alors qu’elle avait traîné à corriger des copies à son bureau. Elle l’avait consolé, puis les choses s’étaient ensuite précipitées… Le baiser avait donné lieu à une séance de sexe, et, pendant toute la scolarité de Matthew, ils avaient fait l’amour tous les jours. Des relations de plus en plus osées, jusqu’à sceller leur union par une culotte très spéciale, que Helena était en train de chercher dans son bureau.
*La voilà !*
C’était une belle culotte rose en latex, avec deux godes intégrés, équipés de fonctions vibrantes. Matthew disposait toujours à ce jour de l’une des deux télécommandes, comme de l’une des clefs de son bureau, et elle se mordilla les lèvres. Depuis toutes ces années, elle avait conservé la culotte, l’entretenant soigneusement. Elle se défit de sa propre culotte, et l’enfila ensuite. À ses yeux, il était probable que Matthew ne se souvienne plus d’elle, mais, en prévision de la journée qui s’annonce, elle voulait la porter, comme à chaque réunion…
Comment pouvait-elle s’attendre à ce que sa porte, fermée, s’ouvre alors qu’elle était en train de finaliser la pose de sa culotte sexuelle ?
Un beau rêve en théorie, mais plus compliqué en pratique. Car il y avait bien plus de « riches » que de « capables » au sein du lycée. Et les boursiers ressentaient souvent ce phénomène d’exclusion, ce qui avait été le cas de l’un de ses élèves, Matthew Horner. Avec ses origines partiellement japonaises (il avait un parent Japonais et un parent américain), Matthew était aussi issu de la classe populaire. Ses résultats exceptionnels au collège avaient attiré l’attention des recruteurs de l’école, et il avait pu la rejoindre. Seulement, les autres élèves ne supportaient pas qu’un « pauvre Jaune » soit meilleur qu’eux. Matthew avait mal vécu ses premiers mois, et il devait à Madame Gradel, sa professeur principale, de l’avoir aidé… Beaucoup.
Plusieurs années avaient passé depuis. Matthew Horner était finalement devenu un jeune homme très en vue, un talentueux acteur dont on prédisait un avenir similaire à celui de Ronald Reagan. Horner était très populaire, et avait tourné dans plusieurs blockbusters. Les filles l’adoraient, et il était l’acteur célibataire le plus prisé de Beverly Hills.
Matthew avait favorablement répondu à l’invitation du lycée de participer à la « Journée de Regroupement ». Une fois par an, les anciens élèves venaient au lycée, et donnaient des conférences, racontaient leur expérience de vie. Une promotion très efficace pour le lycée qui invitait à l’occasion les élèves actuels, les parents des élèves dont ils convoitaient l’inscription, mais aussi des hommes politiques, et la presse. Preuve de l’influence de cette école privée, on y trouvait parfois même le Président des États-Unis, et toujours des secrétaires d’État. Helena participait à cette journée, mais elle devait bien admettre qu’une seule chose l’avait intéressé : quand elle avait appris que Matthew y participerait.
*Est-ce qu’il se souvient de moi ? Il doit avoir tellement d’amantes…*
Helena l’avait initié au théâtre, et il s’y était épanoui. Il en avait déjà fait à l’école primaire puis au collège, elle l’avait aidé dans ce sens… Mais elle avait surtout été son amant. Elle était tombée amoureuse d’elle, et elle l’avait embrassé quand il avait été enfermé dans son casier par des riches. Elle l’avait trouvé en pleine soirée, alors qu’elle avait traîné à corriger des copies à son bureau. Elle l’avait consolé, puis les choses s’étaient ensuite précipitées… Le baiser avait donné lieu à une séance de sexe, et, pendant toute la scolarité de Matthew, ils avaient fait l’amour tous les jours. Des relations de plus en plus osées, jusqu’à sceller leur union par une culotte très spéciale, que Helena était en train de chercher dans son bureau.
*La voilà !*
C’était une belle culotte rose en latex, avec deux godes intégrés, équipés de fonctions vibrantes. Matthew disposait toujours à ce jour de l’une des deux télécommandes, comme de l’une des clefs de son bureau, et elle se mordilla les lèvres. Depuis toutes ces années, elle avait conservé la culotte, l’entretenant soigneusement. Elle se défit de sa propre culotte, et l’enfila ensuite. À ses yeux, il était probable que Matthew ne se souvienne plus d’elle, mais, en prévision de la journée qui s’annonce, elle voulait la porter, comme à chaque réunion…
Comment pouvait-elle s’attendre à ce que sa porte, fermée, s’ouvre alors qu’elle était en train de finaliser la pose de sa culotte sexuelle ?