Akimbo était arrivé dans la ferme de Bhouta depuis plusieurs jours. Il s'adaptait à ce nouveau mode de vie et surtout il découvrait ce que c'était de partager sa couche avec un Buta. Ses nuits étaient surtout occupées à de longues baises jusqu'au petit matin et à des réveils tardifs au vu de la fatigue accumulées. Cela ne mit pas longtemps avant qu'Akimbo ne se décale avec le temps. Mais plus il restait dans cet endroit et plus il sentait que sa nouvelle divinité posait son regard sur lui. Bhouta l'appelait "sa Troga", sa truie... Et alors qu'un soir, Bhouta préféra partager la couche d'une autre personne pour s'amuser, Akimbo ne fut pas contre un peu de repos. Mais cette nuit ne fut pas complètement ce qu'il avait espéré...
Cette nuit fut pleine de cette sensation étrange et inconfortable, comme une nuit de fièvre. Akimbo fut transit de froid par moment, crevant de chaud à d'autres, se retournant sur le dos ou sur le ventre, agité et trempé de sueur. Ses songes furent occupés de formes porcines, de cris de porcs et d'images sexuelles ou de festins. Tout ces moments prirent soudain du sens à la vue d'un sanglier énorme, majestueux, puissant... dans son délire, Akimbo pensait voir Moccus, le dieu de tous les peuples porcins. Il posa son regard sur son être, comme si ses yeux perçaient la chair et s'adressaient directement à son âme. Une voix profonde et caverneuse résonna dans son esprit.
. . . 𐌙𐌌𐌗𐌊 Je Te Vois 𐌙𐌗𐌋𐌊 Deviens Ce Que Ton Maître Veux Que Tu Sois 𐌊𐌔𐌌ᛞ Je T'Offre Ces Traits 𐌄𐌊𐌃𐌏 . . .
La nuit fut percé par le jour et Volony se réveilla doucement. Akimbo entrouvrit les yeux quand la lumière pénétra la fenêtre. La ferme semblait encore un peu endormit mais il sortit doucement de ces rêves dérangeants et inconfortables. Doucement, Akimbo baigna, et ça lui sembla un peu aigue mais rien d'alarmant. Ce ne fut que quand il se mit assis sur le bord du lit pour se lever, cherchant ses lunettes sur la table de chevet et les mettant sur son nez qu'il remarqua soudainement quelque chose...
"Huh ?!"
Son regard ne percevait pas ses pieds, cachés par une énorme paire de seins. Il les empoigna en douceur... C'était sensible, mais c'était bien les siens. Comme tout mec transformé en femme, elle les ballota un moment avant de se lever et de faire face à son reflet dans le miroir.
"Par le groin de Moccus..."
Sa masculinité ne semblait pas transformée, toujours enfermée dans sa cage porcine... Mais sinon il avait des hanches plus imposantes et des traits plus féminins. Ses lèvres semblaient plus épaisses et charnues... Akimbo s'observa un moment, remarquant bien entendu son changement de genre. Mais au lieu de réveiller tout de suite son maître... Elle se disait... qu'essayer son pigsuit sous cette apparence ne serait pas trop mal. Enfilant ses bas et ses gants de latex rose, Akimbo s'observa avec attention avant de se mordre la lèvre inférieure. Elle était si sexy ! Enfin, c'est ce qui lui venait à l'esprit. Ses mains empoignèrent ses seins avant de commencer à se chauffer furieusement. Ce corps était plus réceptif aux caresses et au désir... La truie poussa plusieurs soupires avant de se lever. Il y avait ces chaussures que Bhouta réservait à certaines soumises... Sa pointure allait aller ? Elle alla prendre dans son placard la paire de talons à l'embout en forme de pieds porcins avant de les enfiler. ca allait pile poil ! Akimbo sembla quelque peu perdue... mais ça lui prit encore une heure pour se décider à sortir de la chambre. La chambre de Bhouta, juste à côté, ne laissait voir qu'un lit large. Le Maître ronflait doucement mais sa compagnie de la veille était déjà partie. Elle comprit aussitôt qu'elle était dans son pigsuit de latex rose... dans la chambre de son maître... et cette situation l'excita comme jamais. Elle ne voyait plus son maître comme avant... Elle ressentait un puissant désir d'accouplement... Ce corps était-il celui d'une nympho ? Résistant un peu, elle vint simplement pousser l'épaule de son propriétaire.
"M... Maître Bhouta..." Sa voix était si fluette... "... Maître Bhouta... Il est arrivé quelque chose ..."
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Bhouta
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- Fiche
- Demande de RP
Bhouta était revenu d’un pèlerinage qui l’avait conduit au monde désolé du Rustworld, et dans l’un des quelques États en fonctionnement, Inferis. Il était parti à la recherche du « Porcinet », un titre décerné par la Déesse Moccus, et qui permettait à Bhouta d’envisager une descendance. Bhouta avait rejoint Nachtheim, la colonie d’Inferis, en pensant que cet élu était Theorem, l’égérie de Nachtheim. Il pensait alors que Theorem était toujours l’esclave d’Ishtar, et avait appris en arrivant que Theorem n’était pas la bonne personne. Son choix s’était alors porté sur Akimbo, un arpenteur, un aventurier qui était amoureux de Theorem, et qui avait, suite à un séjour auprès d’un vampire mijakien, Alexandre Dowell, découvert que sa destinée était liée à Moccus, la Déesse porcine des cochons et des sangliers. Akimbo et Bhouta s’étaient liés à Nachtheim, donnant lieu à une somptueuse orgie avec la famille von Nacht, et à un rituel infernois. Bhouta était ensuite parti en emmenant Akimbo, devenu son esclave.
La première journée d’Akimbo au sein de l’auberge fut surtout une découverte. L’auberge de Bhouta se situait à Volony, une planète faite d’hommes-animaux, mais où on trouvait aussi des humains standard, généralement des esclaves. Bhouta laissa le soin à l’une des ga rdiennes du domaine, Loona, de présenter les lieux à Akimbo.
« Le domaine ne comprend pas que l’auberge, nous avons aussi des terrains de pâturage, et au centre, l’exploitation agricole. »
Volailles, porcheries, mais aussi écuries, le domaine de Bhouta s’étalait sur plusieurs dizaines d’hectares. En réalité, il avait récupéré toute une forêt. Si l’auberge était son bien le plus connu, on trouvait aussi une écurie pour les promenades équestres, un parc d’accrobranches, et ses fermes. Biches, moutons, chevaux, l’auberge proposait beaucoup de choses. Parmi tous les pâturages, le plus précieux était celui abritant les bœufs wagyu, qui permettaient à l’auberge de proposer son nectar suprême, la viande bovine wagyu, un mets rare et précieux. Loona présenta le domaine avec un cheval, se déplaçant à travers les sentiers. Akimbo la suivait avec un autre cheval. Au loin, les immenses tours d’Argo City se découpaient, ainsi que les routes plus modernes, notamment une énorme autoroute urbaine montée sur un long pont qui faisait le tour d’Argo City, et séparait la ville des terres agricoles.
« Maître Bhouta dispose de centaines d’employés. Serveurs, fermiers, cuisiniers… Moi, je surveille le domaine, notamment contre les braconniers et autres voleurs. »
Avec sa tenue moulante en latex, Loona était clairement une dominatrice. Elle lorgna sans vergogne sur le fessier alléchant d’Akimbo, tout en lui présentant le domaine.
Leur visite se termina par la structure au centre de la forêt, le sanctuaire de Moccus. Divinité ancienne et forestière, Moccus n’avait pas vraiment de temple, mais un sanctuaire construit dans une grotte. Quand ils arrivèrent, Bhouta était déjà là, priant depuis le matin. Il acheva sa prière en sodomisant énergiquement Akimbo devant l’antique statue de Moccus.
« Cette statue est au cœur de ma famille, expliqua-t-il à Akimbo après avoir joui en lui à plusieurs reprises, et alors que le jeune homme était étalé sur le sol. Je t’expliquerai un jour son origine, elle est liée en quelque sorte à toi, et au Porcinet. »
Akimbo avait joui sur la statue, et Bhouta se retira ensuite.
Plusieurs jours après
Les chambres du personnel étaient très agréables. Bhouta disposait d’un grand manoir installé près de l’auberge, là aussi un manoir familial. Tous ses employés ne dormaient pas avec lui, la plupart étaient des salariés qui rentraient donc chez eux, mais il disposait parmi son personnel d’esclaves, comme Akimbo. Sa chambre était proche de celle de Bhouta. Ce matin, Bhouta dormait paisiblement, vautré dans un énorme lit rembourré et solidement renforcé pour supporter, non seulement son poids massif, mais aussi les galipettes qu’il faisait. Il avait passé la nuit avec Rarity, une dresseuse de sa ferme. Quand Akimbo entra, il put sentir l’odeur de sexe, de sueur. Rarity était partie pour travailler, et la couverture s’était retirée sur une bonne partie du corps massif du propriétaire des lieux.
Les quelques secousses et mots d’Akimbo ne suffirent guère à réveiller Bhouta, mais elle pouvait constater qu’il était en train de bander. Mishura, qui était la gouvernante en chef du manoir, avait déjà confié à Akimbo que le Maître aimait qu’on le réveille en le suçant. Akimbo savait donc quoi faire pour motiver son Maître, même si cela allait sûrement se traduire par une séance de baise intense. Au réveil, la partie sauvage de Bhouta, sa partie animalière, prenait largement le dessus sur sa partie humaine, et, avec sa pigsuit rose en latex, Akimbo était tout de même terriblement bandante…
La première journée d’Akimbo au sein de l’auberge fut surtout une découverte. L’auberge de Bhouta se situait à Volony, une planète faite d’hommes-animaux, mais où on trouvait aussi des humains standard, généralement des esclaves. Bhouta laissa le soin à l’une des ga rdiennes du domaine, Loona, de présenter les lieux à Akimbo.
« Le domaine ne comprend pas que l’auberge, nous avons aussi des terrains de pâturage, et au centre, l’exploitation agricole. »
Volailles, porcheries, mais aussi écuries, le domaine de Bhouta s’étalait sur plusieurs dizaines d’hectares. En réalité, il avait récupéré toute une forêt. Si l’auberge était son bien le plus connu, on trouvait aussi une écurie pour les promenades équestres, un parc d’accrobranches, et ses fermes. Biches, moutons, chevaux, l’auberge proposait beaucoup de choses. Parmi tous les pâturages, le plus précieux était celui abritant les bœufs wagyu, qui permettaient à l’auberge de proposer son nectar suprême, la viande bovine wagyu, un mets rare et précieux. Loona présenta le domaine avec un cheval, se déplaçant à travers les sentiers. Akimbo la suivait avec un autre cheval. Au loin, les immenses tours d’Argo City se découpaient, ainsi que les routes plus modernes, notamment une énorme autoroute urbaine montée sur un long pont qui faisait le tour d’Argo City, et séparait la ville des terres agricoles.
« Maître Bhouta dispose de centaines d’employés. Serveurs, fermiers, cuisiniers… Moi, je surveille le domaine, notamment contre les braconniers et autres voleurs. »
Avec sa tenue moulante en latex, Loona était clairement une dominatrice. Elle lorgna sans vergogne sur le fessier alléchant d’Akimbo, tout en lui présentant le domaine.
Leur visite se termina par la structure au centre de la forêt, le sanctuaire de Moccus. Divinité ancienne et forestière, Moccus n’avait pas vraiment de temple, mais un sanctuaire construit dans une grotte. Quand ils arrivèrent, Bhouta était déjà là, priant depuis le matin. Il acheva sa prière en sodomisant énergiquement Akimbo devant l’antique statue de Moccus.
« Cette statue est au cœur de ma famille, expliqua-t-il à Akimbo après avoir joui en lui à plusieurs reprises, et alors que le jeune homme était étalé sur le sol. Je t’expliquerai un jour son origine, elle est liée en quelque sorte à toi, et au Porcinet. »
Akimbo avait joui sur la statue, et Bhouta se retira ensuite.
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Plusieurs jours après
Les chambres du personnel étaient très agréables. Bhouta disposait d’un grand manoir installé près de l’auberge, là aussi un manoir familial. Tous ses employés ne dormaient pas avec lui, la plupart étaient des salariés qui rentraient donc chez eux, mais il disposait parmi son personnel d’esclaves, comme Akimbo. Sa chambre était proche de celle de Bhouta. Ce matin, Bhouta dormait paisiblement, vautré dans un énorme lit rembourré et solidement renforcé pour supporter, non seulement son poids massif, mais aussi les galipettes qu’il faisait. Il avait passé la nuit avec Rarity, une dresseuse de sa ferme. Quand Akimbo entra, il put sentir l’odeur de sexe, de sueur. Rarity était partie pour travailler, et la couverture s’était retirée sur une bonne partie du corps massif du propriétaire des lieux.
Les quelques secousses et mots d’Akimbo ne suffirent guère à réveiller Bhouta, mais elle pouvait constater qu’il était en train de bander. Mishura, qui était la gouvernante en chef du manoir, avait déjà confié à Akimbo que le Maître aimait qu’on le réveille en le suçant. Akimbo savait donc quoi faire pour motiver son Maître, même si cela allait sûrement se traduire par une séance de baise intense. Au réveil, la partie sauvage de Bhouta, sa partie animalière, prenait largement le dessus sur sa partie humaine, et, avec sa pigsuit rose en latex, Akimbo était tout de même terriblement bandante…
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Akimbo voyait bien que son maître n'allait pas pouvoir sortir du lit aussi facilement. Elle l'avait un peu secoué sans grand résultat, à part ralentir ses quelques ronflements. La chambre en elle même comportait déjà une légère pagaille. Des dildos traînaient au sol, des cordes et même un paquet de capotes traînait encore sur la table de chevet. Les sens développés de Buta qu'il avait obtenu faisait que désormais, il identifia rapidement qui avait partagé la couche de Bhouta. Ca sentait l'odeur corporelle de Rarity, et le shiner à latex. Akimbo n'était pas en reste non plus et désormais, il fallait réveiller son maître de la manière dont Mishura l'avait conseillé. Ca allait donner à sa première baise en tant que femme... Et ça, Akimbo en avait parfaitement conscience.
*Quitte à faire ça ici... Autant que je sois à mon avantage...*
Elle prit doucement la bouteille de shiner et en versa généreusement dans sa main. Elle l'étala sur son latex avec générosité. Les bas roses et ses gants eurent bientôt un reflet si prononcé qu'on se voyait littéralement dedans. Puis elle dépassa ses limites et s'activa à bien faire briller sa peau, devenant huileuse et brillante. Elle appliqua généreusement du lubrifiant sur sa poitrine, collant bien les deux pastilles en forme de tête de cochon sur ses tétons avant de récupérer un plug anal propre et de se l'enfiler dans le postérieur. Si elle devait se faire enculer après, autant être déjà dilatée. Doucement, Akimbo s'approcha de cette verge bien tendue. Son corps répondit à ses phéromones par une puissante chaleur. La queue de son Maître était imposante et bien fat. Il en dégageait une odeur de sexe qui renforçait encore plus son état de nympho. Elle redécouvrait presque sa sexualité. Doucement elle commença à sentir son pénis, prenant de profondes inspirations comme s'il était devenu sa drogue. Puis ce fut le premier coup de langue et une frénésie sexuelle s'empara d'elle.
*Putain, je ne peux plus me retenir... Han je suis devenue une salope ?... J'aime trop ça...*
Elle laissa ce sexe s'enfoncer dans sa gorge sans avoir de haut-le-coeur. C'était comme si sa gorge était faite sur mesure pour ce chibre. Elle l'avala sans aucune difficulté avant de venir entourer ce dernier entre ses loches. C'était quelque chose d'impossible encore hier mais rendu possible par sa divinité. Tout en faisant ça, elle comprima son pénis en appuyant fort sur les côtés de ses deux seins. Comme le gland apparaissait encore, elle s'empressa de le suçotter, passant sa langue sur son gland mais insistant avec la pointe de son muscle rose sur le frein, zone la plus érogène du pénis. Alors qu'elle faisait ça comme une véritable pornstar, Akimbo savait que son maître allait se réveiller d'une minute à l'autre... Elle se tenait prête à essayer de s'expliquer... Même si dans l'ivresse du moment, ça deviendrait vite difficile.
*Quitte à faire ça ici... Autant que je sois à mon avantage...*
Elle prit doucement la bouteille de shiner et en versa généreusement dans sa main. Elle l'étala sur son latex avec générosité. Les bas roses et ses gants eurent bientôt un reflet si prononcé qu'on se voyait littéralement dedans. Puis elle dépassa ses limites et s'activa à bien faire briller sa peau, devenant huileuse et brillante. Elle appliqua généreusement du lubrifiant sur sa poitrine, collant bien les deux pastilles en forme de tête de cochon sur ses tétons avant de récupérer un plug anal propre et de se l'enfiler dans le postérieur. Si elle devait se faire enculer après, autant être déjà dilatée. Doucement, Akimbo s'approcha de cette verge bien tendue. Son corps répondit à ses phéromones par une puissante chaleur. La queue de son Maître était imposante et bien fat. Il en dégageait une odeur de sexe qui renforçait encore plus son état de nympho. Elle redécouvrait presque sa sexualité. Doucement elle commença à sentir son pénis, prenant de profondes inspirations comme s'il était devenu sa drogue. Puis ce fut le premier coup de langue et une frénésie sexuelle s'empara d'elle.
*Putain, je ne peux plus me retenir... Han je suis devenue une salope ?... J'aime trop ça...*
Elle laissa ce sexe s'enfoncer dans sa gorge sans avoir de haut-le-coeur. C'était comme si sa gorge était faite sur mesure pour ce chibre. Elle l'avala sans aucune difficulté avant de venir entourer ce dernier entre ses loches. C'était quelque chose d'impossible encore hier mais rendu possible par sa divinité. Tout en faisant ça, elle comprima son pénis en appuyant fort sur les côtés de ses deux seins. Comme le gland apparaissait encore, elle s'empressa de le suçotter, passant sa langue sur son gland mais insistant avec la pointe de son muscle rose sur le frein, zone la plus érogène du pénis. Alors qu'elle faisait ça comme une véritable pornstar, Akimbo savait que son maître allait se réveiller d'une minute à l'autre... Elle se tenait prête à essayer de s'expliquer... Même si dans l'ivresse du moment, ça deviendrait vite difficile.
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Bhouta
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- Demande de RP
Bhouta avait toujours eu le sommeil lourd. Avec son appétit d’ogre, tant sur le plan alimentaire que sexuel, il avait besoin de se reposer longuement. Le réveiller n’était donc pas si simple, mais il existait des méthodes infaillibles, consistant à stimuler son appétit… Alimentaire comme sexuel. Tandis qu’Akimbo s’efforçait de le sucer, les soupirs de Bhouta changèrent progressivement, devenant plus profonds, moins lourds. Il sifflait moins de son groin, et sa main se déplaça petit à petit. Akimbo put ainsi sentir le premier réflexe de son Maître annonçant son réveil : sa main solide et puissante se posa brusquement sur sa tête. Il serra ses cheveux, et commença à remuer ses épaisses jambes.
« Mmmgnn… »
Un grognement guttural s’échappa de ses lèvres. Quelqu’un suçait sa queue, et frottait ses seins contre son membre. De cela, il prit progressivement conscience, et son corps continua à s’ajouter. Bhouta cligna des yeux, et souffla encore.
« Haaaa… »
Le sang se mit à circuler dans ses veines, sa queue se durcit, réveillant ses membres les uns après les autres. Son cerveau s’éveillait également. Ses yeux avaient encore du mal à s’ouvrir, mais ses doigts remuaient sur cette masse chevelue. Il pouvait entendre des soupirs, le son de lèvres se frottant sur sa verge. De quoi s’agissait-il ? Son autre main glissa sur le lit, ne sentant personne, aucune fesse ou sein sur quoi s’accrocher. Bhouta soupira à nouveau. Son sexe l’élançait, et, avec son ventre énorme, il lui était impossible de voir sans se redresser. Pour l’heure, il savourait donc, utilisant son autre main pour se frotter les yeux, afin de se réveiller.
Bhouta souffla encore. Dehors, le soleil peinait à se lever, plongeant la pièce dans la pénombre. Il finit par prendre appui sur ses bras, et se redressa.
« Hmmm… Une affamée qui ose déranger son Maître… Courageuse… »
Pour l’heure, dans le noir, il ne voyait même pas de qui il s’agissait. Bhouta tira alors sur les cheveux de la femme, vit sa combinaison rose moulante. Le lit grinça ensuite tandis qu’il se redressait massivement, faisant souffrir les articulations du lit. Sa partenaire fut ensuite retournée, se retrouvant à quatre pattes sur le rebord du lit, tandis que Bhouta enfonça ses genoux sur le matelas, et orienta sa verge contre les fesses de sa partenaire.
« Tu voulais ton tour, hein, ma salpe ? ricana Bhouta. Incapable d’attendre… »
D’une main, il tenait les longs cheveux de la femme, et posa l’autre sur sa verge, qu’il orienta vers le fondement de sa partenaire. Bhouta retira le plug anal d’Akimbo, puis, toujours sans avoir la moindre idée de qui il baisait, glissa sa solide verge dans le fondement de son amante…
« Mmmgnn… »
Un grognement guttural s’échappa de ses lèvres. Quelqu’un suçait sa queue, et frottait ses seins contre son membre. De cela, il prit progressivement conscience, et son corps continua à s’ajouter. Bhouta cligna des yeux, et souffla encore.
« Haaaa… »
Le sang se mit à circuler dans ses veines, sa queue se durcit, réveillant ses membres les uns après les autres. Son cerveau s’éveillait également. Ses yeux avaient encore du mal à s’ouvrir, mais ses doigts remuaient sur cette masse chevelue. Il pouvait entendre des soupirs, le son de lèvres se frottant sur sa verge. De quoi s’agissait-il ? Son autre main glissa sur le lit, ne sentant personne, aucune fesse ou sein sur quoi s’accrocher. Bhouta soupira à nouveau. Son sexe l’élançait, et, avec son ventre énorme, il lui était impossible de voir sans se redresser. Pour l’heure, il savourait donc, utilisant son autre main pour se frotter les yeux, afin de se réveiller.
Bhouta souffla encore. Dehors, le soleil peinait à se lever, plongeant la pièce dans la pénombre. Il finit par prendre appui sur ses bras, et se redressa.
« Hmmm… Une affamée qui ose déranger son Maître… Courageuse… »
Pour l’heure, dans le noir, il ne voyait même pas de qui il s’agissait. Bhouta tira alors sur les cheveux de la femme, vit sa combinaison rose moulante. Le lit grinça ensuite tandis qu’il se redressait massivement, faisant souffrir les articulations du lit. Sa partenaire fut ensuite retournée, se retrouvant à quatre pattes sur le rebord du lit, tandis que Bhouta enfonça ses genoux sur le matelas, et orienta sa verge contre les fesses de sa partenaire.
« Tu voulais ton tour, hein, ma salpe ? ricana Bhouta. Incapable d’attendre… »
D’une main, il tenait les longs cheveux de la femme, et posa l’autre sur sa verge, qu’il orienta vers le fondement de sa partenaire. Bhouta retira le plug anal d’Akimbo, puis, toujours sans avoir la moindre idée de qui il baisait, glissa sa solide verge dans le fondement de son amante…
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Suida ''Erona'' Trogia
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- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Akimbo se sentait devenir plus rapidement en chaleur et plus vite. Ce corps qu'elle découvrait avait visiblement envie de plus de sexe, de plus d'attention et de plus de plaisir. Alors qu'elle s'était employé à sucer le membre de son dominant, elle sentit la main de ce dernier venir prendre une bonne poignée de ses cheveux. Cette fois elle n'avait plus le choix que de prendre la bite de son maître au plus profond de sa gorge. Elle se laissa violenter la gorge avant que Bhouta ne prenne enfin conscience de la chose. Le lit grinça et le maître signifia verbalement qu'il était réveillé. Il la redressa en tirant sur ses cheveux. Ses deux flotteurs humides de présperme et de salive retombèrent, encore décorés de leurs pastilles en latex en forme de tête de cochon. Akimbo fut obligée de se redresser à son tour alors qu'elle essayait de parler.
"M... kof kof... Maître Bhouta..."
Elle n'eut pas le temps de former une phrase cohérente qu'on la coucha à quatre pattes sur le lit. Ses mains se serrèrent dans les draps alors qu'elle se savait dans une position qui laissait totalement présager de la suite. Comme un réflexe préprogrammé, elle cracha dans sa main et vint généreusement appliquer la salive sur son anus quand il lui retira son plug anal. La truie allait se faire utiliser, là maintenant.
"Maître je... Huh... Baisez-moi Maître..."
Cette phrase venait de sortir spontanément alors qu'elle aurait préféré lever le quiproquo... Pourquoi ? Mais sa question qu'elle se posa ne trouva pas de réponse car le gland bien dur et puissant de son dominant pressa contre sa rondelle. Akimbo lâcha un petit cri avant de se mettre à gémir. Cette fois, la verge de son maître lui sembla plus grosse, plus imposante, alors qu'elle la prenait avec plus de facilité. Ce paradoxe n'éveilla en l'esclave qu'un long soupire de plaisir avant de serrer les dents quand ce sexe passa un certain point. Le plaisir était comme "nouveau" ? Elle était en train de vivre une nouvelle perte de virginité ?
*Je suis vraiment devenue une truie salope...*
Akimbo s'abandonna à ses pulsions. Elle ne pouvait plus résister de toutes façons. Sa verge en cage eut plusieurs soubresauts alors qu'elle se faisait durement enculer. Et ce n'était que le début... Le coït de son maître allait devenir plus fort dans peu de temps et elle allait se faire ravager le derrière. Pour aiser la chose, Akimbo relâcha le contrôle de ses sphincters et laissa ce sexe l'envahir sans plus aucune résistance mentale. Elle ne voulait plus qu'une chose : avoir la semence matinale de son dominant en elle.
"M... kof kof... Maître Bhouta..."
Elle n'eut pas le temps de former une phrase cohérente qu'on la coucha à quatre pattes sur le lit. Ses mains se serrèrent dans les draps alors qu'elle se savait dans une position qui laissait totalement présager de la suite. Comme un réflexe préprogrammé, elle cracha dans sa main et vint généreusement appliquer la salive sur son anus quand il lui retira son plug anal. La truie allait se faire utiliser, là maintenant.
"Maître je... Huh... Baisez-moi Maître..."
Cette phrase venait de sortir spontanément alors qu'elle aurait préféré lever le quiproquo... Pourquoi ? Mais sa question qu'elle se posa ne trouva pas de réponse car le gland bien dur et puissant de son dominant pressa contre sa rondelle. Akimbo lâcha un petit cri avant de se mettre à gémir. Cette fois, la verge de son maître lui sembla plus grosse, plus imposante, alors qu'elle la prenait avec plus de facilité. Ce paradoxe n'éveilla en l'esclave qu'un long soupire de plaisir avant de serrer les dents quand ce sexe passa un certain point. Le plaisir était comme "nouveau" ? Elle était en train de vivre une nouvelle perte de virginité ?
*Je suis vraiment devenue une truie salope...*
Akimbo s'abandonna à ses pulsions. Elle ne pouvait plus résister de toutes façons. Sa verge en cage eut plusieurs soubresauts alors qu'elle se faisait durement enculer. Et ce n'était que le début... Le coït de son maître allait devenir plus fort dans peu de temps et elle allait se faire ravager le derrière. Pour aiser la chose, Akimbo relâcha le contrôle de ses sphincters et laissa ce sexe l'envahir sans plus aucune résistance mentale. Elle ne voulait plus qu'une chose : avoir la semence matinale de son dominant en elle.
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Bhouta
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- Fiche
- Demande de RP
Bhouta était désormais pleinement réveillé. Le désir sexuel envahissait son corps, le faisant frémir, durcissant sa puissante queue porcine. L’homme-porcin grogna lentement, soufflant puissamment. Avec son groin, il grognait en faisant ça, son ventre épais heurtant le dos d’Akimbo, clouant sa partenaire contre le lit. À ce stade, Bhouta ne savait toujours pas qui il baisait, mais ce n’était pas ça qui allait le déranger. Tous les membres de son personnel savaient combien Bhouta était un amant endurant, sexuellement insatiable. Sa verge se frotta contre les fesses de sa partenaire, et il posa sa main dessus, l’orientant contre le fondement d’Akimbo. Son autre main s’appuya fermement sur la tête d’Akimbo, l’écrasant contre la couette, l’étouffant aussi à moitié.
« T’inquiètes pas, ma belle, tu me réveilles pour avoir ta dose… J’vais t’défoncer le cul bien comme il faut, héhé… »
Le solide Buta grogna encore, et heurta les parois anales de sa partenaire. Il s’enfonça en elle, et relâcha ensuite sa tête, puis emprisonna entre ses deux mains, épaisses et solides comme des mains de bûcheron, les mains gantées en rose de son amante. Il sentit le latex crisser, et se redressa un peu, puis s’abattit avec force. Son ventre s’aplatit contre Akimbo, et la coucha sur le lit, plusieurs centaines de kilos venant s’abattre sur son frêle corps, tandis que sa queue massive coulissa dans son cul, s’y glissant sur plusieurs centimètres. Bhouta se redressa ensuite, emmenant avec lui le corps d’Akimbo, puis poussa encore en avant, recouchant Akimbo sur le lit.
Totalement soumise au corps massif de Bhouta, Akimbo n’était qu’une minuscule poupée de chiffon (et de latex) contre elle. Il pensait pour le coup à l’une des maids du manoir, venues profiter d’un petit extra avant qu’il prenne son petit-déjeuner. Bhouta s’enfonçait donc encore, faisant grincer le lit, multipliant les coups de reins, grognant en venant renifler les cheveux de sa servante.
« Là… Là… Vas-y, couine, petite pute, COUINE ! »
« T’inquiètes pas, ma belle, tu me réveilles pour avoir ta dose… J’vais t’défoncer le cul bien comme il faut, héhé… »
Le solide Buta grogna encore, et heurta les parois anales de sa partenaire. Il s’enfonça en elle, et relâcha ensuite sa tête, puis emprisonna entre ses deux mains, épaisses et solides comme des mains de bûcheron, les mains gantées en rose de son amante. Il sentit le latex crisser, et se redressa un peu, puis s’abattit avec force. Son ventre s’aplatit contre Akimbo, et la coucha sur le lit, plusieurs centaines de kilos venant s’abattre sur son frêle corps, tandis que sa queue massive coulissa dans son cul, s’y glissant sur plusieurs centimètres. Bhouta se redressa ensuite, emmenant avec lui le corps d’Akimbo, puis poussa encore en avant, recouchant Akimbo sur le lit.
Totalement soumise au corps massif de Bhouta, Akimbo n’était qu’une minuscule poupée de chiffon (et de latex) contre elle. Il pensait pour le coup à l’une des maids du manoir, venues profiter d’un petit extra avant qu’il prenne son petit-déjeuner. Bhouta s’enfonçait donc encore, faisant grincer le lit, multipliant les coups de reins, grognant en venant renifler les cheveux de sa servante.
« Là… Là… Vas-y, couine, petite pute, COUINE ! »
DC de l'Observateur !
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Bhouta était en effet un amant énergique et puissant, mais les derniers bienfaits de Moccus avaient rendu le corps de la Buta insatiable. Elle voulait du sexe, aussi dur et aussi extrême qu'elle pouvait le recevoir. Là pour le moment il la besognait sans aucune gêne dans le lit et l'ancien Akimbo ne pouvait pas dire qu'il détestait ça, au contraire... Il la besognait bien fort comme elle le réclamait. Sous son épaisse masse, elle se sentait écrasé, réduite à l'état de jouet alors qu'il la tenait fermement dans ses pattes. La nouvelle Buta poussa de nouveaux soupires avant d'abdiquer, de se laisser totalement faire... Et c'était délicieux ! Intellectuellement aussi elle abandonna tout. C'est pourquoi quand il lui demanda de couiner, ce sont des hurlements porcins qui sortirent de sa bouche.
"Buhiii ! Buhiiii ! Oink oink !"
Elle prenait cher et c'était si bon, si délectable. Elle n'était plus qu'un animal, une truie pour se maître. Moccus lui avait donné ce cadeau et combien de temps il allait durer ? Etait-il temporaire ? Permanent ? Mais ces questions n'eurent aucun intérêt pour le moment. Seul le plaisir de la chair comptait ! Elle se laissa besogner bien fort pendant de longues dizaines de minutes avant que Bhouta ne la retourne violemment dans le lit pour la prendre en missionnaire. C'est là qu'il put se rendre compte que ce n'était pas une servante régulière. Devant sa surprise, Akimbo posa ses mains gantées de latex sur la poitrine de son maître avant de doucement reprendre son souffle et de lui répondre.
"C'est moi, Akimbo... Huf huf... Moccus m'a offert ce corps... Huf huf... Mais je vous en pris Maître... Huf huf... Continuez ce que vous faites..."
Si c'était temporaire, pas question de gâcher du temps. De son propre chef, elle prit doucement la main de son Maître et l'amena à son cou. Elle voulait se sentir étranglée tout en se faisant sodomiser de ce lit. Il n'y avait pas de meilleure façon de commencer la journée qu'une bonne baise bien hard ! En tout cas, c'est ce que son nouveau cerveau de truie lui donnait comme idée !
"Buhiii ! Buhiiii ! Oink oink !"
Elle prenait cher et c'était si bon, si délectable. Elle n'était plus qu'un animal, une truie pour se maître. Moccus lui avait donné ce cadeau et combien de temps il allait durer ? Etait-il temporaire ? Permanent ? Mais ces questions n'eurent aucun intérêt pour le moment. Seul le plaisir de la chair comptait ! Elle se laissa besogner bien fort pendant de longues dizaines de minutes avant que Bhouta ne la retourne violemment dans le lit pour la prendre en missionnaire. C'est là qu'il put se rendre compte que ce n'était pas une servante régulière. Devant sa surprise, Akimbo posa ses mains gantées de latex sur la poitrine de son maître avant de doucement reprendre son souffle et de lui répondre.
"C'est moi, Akimbo... Huf huf... Moccus m'a offert ce corps... Huf huf... Mais je vous en pris Maître... Huf huf... Continuez ce que vous faites..."
Si c'était temporaire, pas question de gâcher du temps. De son propre chef, elle prit doucement la main de son Maître et l'amena à son cou. Elle voulait se sentir étranglée tout en se faisant sodomiser de ce lit. Il n'y avait pas de meilleure façon de commencer la journée qu'une bonne baise bien hard ! En tout cas, c'est ce que son nouveau cerveau de truie lui donnait comme idée !
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Bhouta
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- Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
- Fiche
- Demande de RP
Bhouta était maintenant pleinement réveillé. Le désir filait en lui, le sexe agitait comme un excellent moteur, un carburant qui le fit renifler, et l’amena donc à ouvrir pleinement les yeux. Dans la pénombre, il voyait le rose lumineux de son partenaire, et reconnut la pig suit d’Akimbo… Sauf que ce n’était pas Akimbo. Surpris, le rythme de Bhouta ralentit un peu, ce qu’Akimbo nota. Gémissant et couinant, Akimbo attrapa alors l’une de ses puissantes mains, et la porta à son cou, tout en lui expliquant qu’elle était bien Akimbo, et que Moccus lui avait offert ce corps.
*Quoi ?!*
Est-ce qu’il rêvait ? Bhouta souffla en se redressant, et sa queue se retira alors du cul d’Akimbo. Il retourna alors son amante, et fronça les sourcils en la regardant.
« Putain de merde… Mais c’est pas des conneries, en plus ! »
Il reconnut Akimbo à travers ses yeux. Eux n’avaient pas changé. Akimbo avait en revanche changé de corps. Il avait désormais une belle poitrine au milieu de laquelle les lacets sanglés de la pigsuit s’entremêlaient. Bhouta souffla, et sentait la soif dans les yeux d’Akimbo. Dans un grognement, il s’enfonça à nouveau dans le cul dilaté d’Akimbo, et releva les jambes de ce dernier. Celles-ci firent le grand écart, à gauche et à droite. Akimbo avait aussi pris du poids, une bonne dizaine de kilos au moins, puisque son corps svelte et maigre laissait place à une femme porcine bien en chair. Il vit son nez, qui avait pris une petite forme porcine, et ses oreilles de Buta. Bhouta secoua la tête. Il ignorait que le rituel de Moccus impliquait un changement de sexe, mais, si son Porcinet devait porter son enfant, c’était logique. Cependant, Akimbo avait encore sa verge, une petite queue ridicule qui durcissait contre le ventre massif de Bhouta.
Bhouta grogna encore, et replia les jambes d’Akimbo, optant pour une position de l’enclume lourde qui fit encore trembler le lit. Sa main se posa sur le cou d’Akimbo, et il serra alors, l’étranglant, tout en pinçant avec son autre main l’un des seins d’Akimbo.
« Putain, j’y crois pas ! Tu es vraiment la dernière des putes, toi… Te transformer en Buta, haha… !! J’aurais tout vu, moi, bordel ! »
Il serra encore, jusqu’à faire couiner Akimbo, et la sentir se tortiller.
« Il va te falloir un nouveau nom… Hummm… Un nom qui sied à une salope qui va enfourner des bites en elle toute la journée, héhé !! Grrrrrooiinnkk… !! »
Bhouta renâcla fort, et amplifia encore le rythme. Il relâcha sa main sur le cou d’Akimbo, et la gifla alors, claquant sa joue.
« Tu aimes ça, hein, petite pute masochiste ? Tu oses venir réveiller ton Maître sans lui apporter à bouffer, juste pour que je te baise… Tu vas vite comprendre que j’ai la gaule, moi, quand je me lève, surtout quand je suis réveillé par une pute en manque comme toi ! »
Et il retourna l’étrangler avec son autre main, pinçant l’autre téton, se demandant en malaxant ce sein si du lait allait jaillir, tandis que sa verge, impérieuse, continuait à lui défoncer méthodiquement le cul…
*Quoi ?!*
Est-ce qu’il rêvait ? Bhouta souffla en se redressant, et sa queue se retira alors du cul d’Akimbo. Il retourna alors son amante, et fronça les sourcils en la regardant.
« Putain de merde… Mais c’est pas des conneries, en plus ! »
Il reconnut Akimbo à travers ses yeux. Eux n’avaient pas changé. Akimbo avait en revanche changé de corps. Il avait désormais une belle poitrine au milieu de laquelle les lacets sanglés de la pigsuit s’entremêlaient. Bhouta souffla, et sentait la soif dans les yeux d’Akimbo. Dans un grognement, il s’enfonça à nouveau dans le cul dilaté d’Akimbo, et releva les jambes de ce dernier. Celles-ci firent le grand écart, à gauche et à droite. Akimbo avait aussi pris du poids, une bonne dizaine de kilos au moins, puisque son corps svelte et maigre laissait place à une femme porcine bien en chair. Il vit son nez, qui avait pris une petite forme porcine, et ses oreilles de Buta. Bhouta secoua la tête. Il ignorait que le rituel de Moccus impliquait un changement de sexe, mais, si son Porcinet devait porter son enfant, c’était logique. Cependant, Akimbo avait encore sa verge, une petite queue ridicule qui durcissait contre le ventre massif de Bhouta.
Bhouta grogna encore, et replia les jambes d’Akimbo, optant pour une position de l’enclume lourde qui fit encore trembler le lit. Sa main se posa sur le cou d’Akimbo, et il serra alors, l’étranglant, tout en pinçant avec son autre main l’un des seins d’Akimbo.
« Putain, j’y crois pas ! Tu es vraiment la dernière des putes, toi… Te transformer en Buta, haha… !! J’aurais tout vu, moi, bordel ! »
Il serra encore, jusqu’à faire couiner Akimbo, et la sentir se tortiller.
« Il va te falloir un nouveau nom… Hummm… Un nom qui sied à une salope qui va enfourner des bites en elle toute la journée, héhé !! Grrrrrooiinnkk… !! »
Bhouta renâcla fort, et amplifia encore le rythme. Il relâcha sa main sur le cou d’Akimbo, et la gifla alors, claquant sa joue.
« Tu aimes ça, hein, petite pute masochiste ? Tu oses venir réveiller ton Maître sans lui apporter à bouffer, juste pour que je te baise… Tu vas vite comprendre que j’ai la gaule, moi, quand je me lève, surtout quand je suis réveillé par une pute en manque comme toi ! »
Et il retourna l’étrangler avec son autre main, pinçant l’autre téton, se demandant en malaxant ce sein si du lait allait jaillir, tandis que sa verge, impérieuse, continuait à lui défoncer méthodiquement le cul…
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Alors que la truie se faisait durement étranglée par son maître et défoncé le postérieur par sa verge, elle se retrouva vite dans une forme d'extase jamais ressentit alors. Son corps se crispa, à la recherche de la moindre économie d'oxygène avant de remuer puis de carrément paniquer. C'est à ce moment que Bhouta relâcha sa poigne, donnant à Akimbo juste assez de temps pour une grand bouffée d'oxygène et avoir la tête qui tourne alors qu'elle se faisait brutaliser le postérieur en continu. Une main puissante se saisissait de son sein et le manipulait sans aucune précaution, juste pour l'empoigner. La truie lâcha un petit cri, rapidement étouffé par la poigne du Maître sur sa gorge.
"Guuuk.... Pu... tain... Buhiiiiiiiii..."
Sous les insultes de son maître, les sensations extrêmes de son corps, Akimbo perdait peu à peu pied avec son identité antérieure. Ses souvenirs étaient inchangés, mais son lui profond devenait cette truie avide de sexe et d'orgasme. Elle se demandait comment elle allait faire au quotidien... Il y avait bien des moments où elle ne quémanderait pas de la grosse queue bien dure... N'est-ce pas ? Mais cette question ne trouva pas de réponse car une gifle la sortit immédiatement de sa rêverie et lui donna même une sorte de léger orgasme qui se traduisit par une petite expulsion claire de son pénis en cage de cochon.
"Gaah ! Oui Maître ! Je suis une truie maso ! Votre trou à baiser personnel ! Pitié Maître, donnez à votre truie le nom Buta idéal !"
La poigne de son Maître revint sur sa gorge et sur son sein. Bhouta se retenait-il depuis alors ? Car il lui sembla qu'il n'était jamais été aussi fort ! La nouvelle Buta chercha de l'air, en vain. Ses yeux roulèrent en arrière et son anus se contracta comme jamais. Tout son corps se mit à trembler dans un orgasme magistrale et pourtant dépourvu de toute éjaculation pour le moment. Un pur orgasme cérébral qui venait de foudroyer le corps et l'esprit de la truie. Elle sentit littéralement sa masculinité latente se briser définitivement. Quand elle revint doucement à elle, leurs positions avaient changés. La truie se trouvait sur le dos, dans un lit désormais humide et désordonné. Elle était tremblante, huileuse, la peau marquée des poignes de son maître sur sa poitrine et sur ses bras. Son cul, ouvert par la baise précédente était désormais occupé par un plug qui la remplissait. Elle se redressa doucement, voyant Bhouta assis sur le bord du lit qui visiblement se préparait à aller se restaurer. Le soleil s'était déjà bien levé... Ils avaient copulés une heure ou deux déjà...
"M... Maître ?"
Elle le caressa du bout de son pied, son corps un peu endolori mais son esprit apaisé par autant de jouissance et de sexe dégénéré.
"Vous avez trouvés un nom pour moi ?..."
"Guuuk.... Pu... tain... Buhiiiiiiiii..."
Sous les insultes de son maître, les sensations extrêmes de son corps, Akimbo perdait peu à peu pied avec son identité antérieure. Ses souvenirs étaient inchangés, mais son lui profond devenait cette truie avide de sexe et d'orgasme. Elle se demandait comment elle allait faire au quotidien... Il y avait bien des moments où elle ne quémanderait pas de la grosse queue bien dure... N'est-ce pas ? Mais cette question ne trouva pas de réponse car une gifle la sortit immédiatement de sa rêverie et lui donna même une sorte de léger orgasme qui se traduisit par une petite expulsion claire de son pénis en cage de cochon.
"Gaah ! Oui Maître ! Je suis une truie maso ! Votre trou à baiser personnel ! Pitié Maître, donnez à votre truie le nom Buta idéal !"
La poigne de son Maître revint sur sa gorge et sur son sein. Bhouta se retenait-il depuis alors ? Car il lui sembla qu'il n'était jamais été aussi fort ! La nouvelle Buta chercha de l'air, en vain. Ses yeux roulèrent en arrière et son anus se contracta comme jamais. Tout son corps se mit à trembler dans un orgasme magistrale et pourtant dépourvu de toute éjaculation pour le moment. Un pur orgasme cérébral qui venait de foudroyer le corps et l'esprit de la truie. Elle sentit littéralement sa masculinité latente se briser définitivement. Quand elle revint doucement à elle, leurs positions avaient changés. La truie se trouvait sur le dos, dans un lit désormais humide et désordonné. Elle était tremblante, huileuse, la peau marquée des poignes de son maître sur sa poitrine et sur ses bras. Son cul, ouvert par la baise précédente était désormais occupé par un plug qui la remplissait. Elle se redressa doucement, voyant Bhouta assis sur le bord du lit qui visiblement se préparait à aller se restaurer. Le soleil s'était déjà bien levé... Ils avaient copulés une heure ou deux déjà...
"M... Maître ?"
Elle le caressa du bout de son pied, son corps un peu endolori mais son esprit apaisé par autant de jouissance et de sexe dégénéré.
"Vous avez trouvés un nom pour moi ?..."
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Bhouta
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- Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
- Fiche
- Demande de RP
Tout le monde savait que Bhouta mettait un peu de temps à se réveiller, surtout quand on venait le titiller. C’était un homme très gourmand, tant de nourriture que de sexe. Il besogna donc avec force Akimbo, sans avoir sur le coup la moindre idée de comment l’appeler. Il se contenta juste de la baiser dans tous les sens, tirant sur ses cheveux. Usant de sa force surnaturelle, « Monsieur Bibendum », comme on le surnommait parfois, alla notamment jusqu’à baiser Akimbo en le soulevant en l’air. Il le tenait par une jambe qu’il redressa puis par ses longs cheveux, et le prit ainsi, Akimbo étant de biais face à lui, son corps rebondissant sur son ventre. Bhouta y allait-il plus fort que d’habitude ? Peut-être le faisait-il inconsciemment… Il faut dire que, avec sa force et son poids, Bhouta pouvait vous mettre dans un état proche du coma. Il avait pu constater à Nachtheim qu’Akimbo était endurant, mais, avec cette forme de buta, il se doutait qu’elle devait être encore plus endurante qu’à l’époque où il était un homme. Sa transition sexuelle n’était pas encore complète, il avait encore sa petite verge qui remuait dans tous les sens, comme une ultime provocation de la Déesse. Bhouta prit donc Akimbo sans relâche, et le termina en le soulevant. Quand il jouit en lui, en lui défonçant le cul, ses mains épaisses relâchèrent Akimbo, qui tomba en avant, et chuta hors du lit, s’écroulant mollement sur le tapis au sol, le sperme de Bhouta jutant sur ses jambes et sur son ventre.
Soufflant longuement, Bhouta s’assit sur le rebord du lit, et réfléchit en sortant de sa table de chevet l’une de ses cigares. Il le fuma longuement, jusqu’à ce que Akimbo ne revienne à lui… Ou, plutôt, à elle. Bhouta allait devoir s’y habituer. Elle lui demanda quel était son nouveau nom, et Bhouta sourit.
« Je t’ai peut-être trouvé un nom, oui… Mais je dois encore y réfléchir, et bouffer. On se retrouve à la bibliothèque, je vais devoir te parler un peu du passé de ma famille. »
Cela laisserait à Akimbo l’occasion de se laver. Bhouta donna des instructions aux servantes en sortant. Plusieurs restèrent sur place en se pinçant le nez, soupirant en se disant qu’elles allaient encore passer une bonne heure à nettoyer la chambre, tout en enviant Akimbo.
« D’habitude, c’est nous qui nous faisons baiser, tu nous as volé notre tour ! »
Elles obéirent à ce que Bhouta avait demandé. Akimbo fut conduit dehors, et fut mis dans la salle réservée au nettoyage des animaux. On le laissa avec sa pigsuit, et les servantes le nettoyèrent avec les solides jets d’eau utilisés pour les cochons. Tandis qu’Akimbo reprenait ses esprits, on lui met également une belle culotte rose en latex faisant office de ceinture de chasteté, avec un plug anal dans le cul. On lui mit ensuite un collier, une laisse, et il fut guidé dans le manoir.
La bibliothèque du manoir était une belle pièce avec d’élégantes armoiries. Bhouta se trouvait là, et avait sorti plusieurs bouquins dédiés à Moccus, mais aussi à sa famille. Il avait surtout récupéré un livre dont Akimbo put lire la couverture : « La légende d’Erona ».
« On dit que ma famille descend d’une union contre-nature… Une union entre une capitaine de la Garde de Lumen, Claudia, et un Orc qui avait des pouvoirs magiques, Geldrolix. J’ignore jusqu’à quel point cette histoire est vraie ou relève de la fiction, mais l’histoire officielle de Lumen évoque l’existence d’Orcs ayant failli renverser le royaume il y a des siècles. Un mage noir mijakien aurait appris la magie à un puissant Orc, Geldrolix, qui avait entrepris de réunir des clans orcs pour renverser Lumen. Cet Orc avait fini par croiser la route de Claudia, qui était la plus talentueuse épéiste de Lumen. Elle fut corrompue par Geldrolix, devenant son amante, et trahit finalement les siens. Le livre dit même qu’elle permit pendant un moment de renverser les Ivory en séduisant le Roi de l’époque, un incompétent corrompu. Évidemment, l’histoire officielle de Lumen ne va pas jusque-là, et dit que cette Claudia aurait été envoûtée par des sortilèges de magie noire. Cette Claudia avait développé une seconde personnalité, appelée Erona. »
Bhouta se racla la gorge, avant de poursuivre :
« La horde de Geldrolix parvint ensuite à s’emparer d’un sanctuaire religieux, ce qui fut un affront de trop. Les Luméens obtinrent l’aide d’autres royaumes, et la horde de Geldrolix fut brisée. L’Histoire officielle affirme que les deux furent capturés et brûlés vifs… Mais on dit qu’ils parvinrent à s’enfuir sur Volony. Parmi leurs enfants, l’un d’entre eux aurait été mon ancêtre, un buta… Moccus aurait béni cet enfant dans le sanctuaire qui se trouve ici. Ta transition divine me semble être un message assez évident. Ton surnom sera Erona, et tu porteras le prénom de celle qui aurait été mon ancêtre… Suida. Quant à ton nom… Tu porteras celui de ma famille, Trogia. »
Bhouta conclut ensuite :
« Est-ce que cela te va ? »
Soufflant longuement, Bhouta s’assit sur le rebord du lit, et réfléchit en sortant de sa table de chevet l’une de ses cigares. Il le fuma longuement, jusqu’à ce que Akimbo ne revienne à lui… Ou, plutôt, à elle. Bhouta allait devoir s’y habituer. Elle lui demanda quel était son nouveau nom, et Bhouta sourit.
« Je t’ai peut-être trouvé un nom, oui… Mais je dois encore y réfléchir, et bouffer. On se retrouve à la bibliothèque, je vais devoir te parler un peu du passé de ma famille. »
Cela laisserait à Akimbo l’occasion de se laver. Bhouta donna des instructions aux servantes en sortant. Plusieurs restèrent sur place en se pinçant le nez, soupirant en se disant qu’elles allaient encore passer une bonne heure à nettoyer la chambre, tout en enviant Akimbo.
« D’habitude, c’est nous qui nous faisons baiser, tu nous as volé notre tour ! »
Elles obéirent à ce que Bhouta avait demandé. Akimbo fut conduit dehors, et fut mis dans la salle réservée au nettoyage des animaux. On le laissa avec sa pigsuit, et les servantes le nettoyèrent avec les solides jets d’eau utilisés pour les cochons. Tandis qu’Akimbo reprenait ses esprits, on lui met également une belle culotte rose en latex faisant office de ceinture de chasteté, avec un plug anal dans le cul. On lui mit ensuite un collier, une laisse, et il fut guidé dans le manoir.
La bibliothèque du manoir était une belle pièce avec d’élégantes armoiries. Bhouta se trouvait là, et avait sorti plusieurs bouquins dédiés à Moccus, mais aussi à sa famille. Il avait surtout récupéré un livre dont Akimbo put lire la couverture : « La légende d’Erona ».
« On dit que ma famille descend d’une union contre-nature… Une union entre une capitaine de la Garde de Lumen, Claudia, et un Orc qui avait des pouvoirs magiques, Geldrolix. J’ignore jusqu’à quel point cette histoire est vraie ou relève de la fiction, mais l’histoire officielle de Lumen évoque l’existence d’Orcs ayant failli renverser le royaume il y a des siècles. Un mage noir mijakien aurait appris la magie à un puissant Orc, Geldrolix, qui avait entrepris de réunir des clans orcs pour renverser Lumen. Cet Orc avait fini par croiser la route de Claudia, qui était la plus talentueuse épéiste de Lumen. Elle fut corrompue par Geldrolix, devenant son amante, et trahit finalement les siens. Le livre dit même qu’elle permit pendant un moment de renverser les Ivory en séduisant le Roi de l’époque, un incompétent corrompu. Évidemment, l’histoire officielle de Lumen ne va pas jusque-là, et dit que cette Claudia aurait été envoûtée par des sortilèges de magie noire. Cette Claudia avait développé une seconde personnalité, appelée Erona. »
Bhouta se racla la gorge, avant de poursuivre :
« La horde de Geldrolix parvint ensuite à s’emparer d’un sanctuaire religieux, ce qui fut un affront de trop. Les Luméens obtinrent l’aide d’autres royaumes, et la horde de Geldrolix fut brisée. L’Histoire officielle affirme que les deux furent capturés et brûlés vifs… Mais on dit qu’ils parvinrent à s’enfuir sur Volony. Parmi leurs enfants, l’un d’entre eux aurait été mon ancêtre, un buta… Moccus aurait béni cet enfant dans le sanctuaire qui se trouve ici. Ta transition divine me semble être un message assez évident. Ton surnom sera Erona, et tu porteras le prénom de celle qui aurait été mon ancêtre… Suida. Quant à ton nom… Tu porteras celui de ma famille, Trogia. »
Bhouta conclut ensuite :
« Est-ce que cela te va ? »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Akimbo retrouva lentement ses esprits alors qu'elle venait de se faire durement baiser. Bien sûr, le sport de chambre devenait son aptitude principale, ainsi elle pouvait se qualifier de "salope" désormais. Sa transformation en truie ne devait être dût qu'à une intervention divine, mais hors de question de perdre de vue que le dieu Moccus lisait en elle. Ca ne devait pas être difficile pour un dieu porcin de voir que sa fidèle avait une appétence pour le sexe. C'est pourquoi il lui avait donné un physique fait pour ça. Peut être que le vieux "Akimbo" pouvait revenir si elle éprouvait assez de regrets, mais pour l'instant son corps lui plaisait comme ça et le plaisir sexuel était ressentit avec une infinie complexité qui rendait les actes encore plus délicieux... Au moins autant qu'un banquet se disait-elle. Son Maître la laissa aux soins des servantes qui s'occupèrent de la nettoyer. Par contre quand l'eau froide tomba sur elle, son cri avait dû s'entendre jusqu'au plus lointain des greniers. Et ses insultes pleuvèrent sur cette pauvre soubrette.
"Mais t'es folle de m'arroser avec ça ?!"
Il ne fallait pas pousser non plus. Elle coupa elle-même la vanne avant de se sécher rapidement. Akimbo s'exposa même un peu au soleil extérieur pour faire passer cette expérience. Une fois sèche et présentable, elle alla retrouver son Maître dans la bibliothèque et bien qu'elle soit en lingerie de latex rose avec un harnais et une culotte couvrant juste son sexe. Elle n'était pas encore trop habituée à exposer son corps comme ça, mais la jalousie qu'elle levait dans les rangs des femmes travaillant avec Bhouta la fit sourire quand même. Elle écouta avec assiduité le comte que lui raconta l'homme cochon. Et en effet, elle commença à comprendre que peut être les Buta avaient une origine commune avec des Ork, mais très lointaine. Finalement cela voulait dire que son nouveau nom allait également avoir une racine "noble" et "sacré" au moins pour les Buta.
"Suida Trogia... l'Erona de Maître Bhouta... Voila qui m'émoustille Maître ! Et vu comment vous étiez actif ce matin, je pense que vous aussi vous êtes bien émoustillé."
Elle ria doucement avant de s'approcher de Bhouta, prenant une tartine de miel avant de tranquillement monter sur les genoux de son Daddy, croquant dedans avant de venir l'embrasser, partageant avec lui le miel resté sur sa langue avant de reprendre une bouchée.
"Merci pour ce nom Buta, Maître... Maintenant que je suis votre Erona, j'ai juré fidélité à Moccus et je ferais en sorte de vous servir. Vous allez me garder aussi peu vêtue ou on va quand même me laisser enfiler quelque chose ?... En vrai je m'en fout un peu, j'ai l'impression que ma transformation m'a rendu un peu plus bête mais... ce n'est pas plus mal. Il n'y a pas de place à la honte dans ma nouvelle vie."
Elle termina sa tartine de miel avant de se tourner vers Bhouta sans avoir d'intentions perverses.
"Alors comme ça vos ancêtres lointains sont des Uruk... Ca explique beaucoup de choses, huhu."
"Mais t'es folle de m'arroser avec ça ?!"
Il ne fallait pas pousser non plus. Elle coupa elle-même la vanne avant de se sécher rapidement. Akimbo s'exposa même un peu au soleil extérieur pour faire passer cette expérience. Une fois sèche et présentable, elle alla retrouver son Maître dans la bibliothèque et bien qu'elle soit en lingerie de latex rose avec un harnais et une culotte couvrant juste son sexe. Elle n'était pas encore trop habituée à exposer son corps comme ça, mais la jalousie qu'elle levait dans les rangs des femmes travaillant avec Bhouta la fit sourire quand même. Elle écouta avec assiduité le comte que lui raconta l'homme cochon. Et en effet, elle commença à comprendre que peut être les Buta avaient une origine commune avec des Ork, mais très lointaine. Finalement cela voulait dire que son nouveau nom allait également avoir une racine "noble" et "sacré" au moins pour les Buta.
"Suida Trogia... l'Erona de Maître Bhouta... Voila qui m'émoustille Maître ! Et vu comment vous étiez actif ce matin, je pense que vous aussi vous êtes bien émoustillé."
Elle ria doucement avant de s'approcher de Bhouta, prenant une tartine de miel avant de tranquillement monter sur les genoux de son Daddy, croquant dedans avant de venir l'embrasser, partageant avec lui le miel resté sur sa langue avant de reprendre une bouchée.
"Merci pour ce nom Buta, Maître... Maintenant que je suis votre Erona, j'ai juré fidélité à Moccus et je ferais en sorte de vous servir. Vous allez me garder aussi peu vêtue ou on va quand même me laisser enfiler quelque chose ?... En vrai je m'en fout un peu, j'ai l'impression que ma transformation m'a rendu un peu plus bête mais... ce n'est pas plus mal. Il n'y a pas de place à la honte dans ma nouvelle vie."
Elle termina sa tartine de miel avant de se tourner vers Bhouta sans avoir d'intentions perverses.
"Alors comme ça vos ancêtres lointains sont des Uruk... Ca explique beaucoup de choses, huhu."
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Bhouta
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- Fiche
- Demande de RP
Suida se rapprocha donc de Bhouta, et grimpa sur ses genoux. Il allait se charger des formalités administratives pour que Suida ait une identité civile, et qu’elle soit officiellement reconnue comme étant son esclave. Elle recouvrit une tartine de miel, et partagea avec lui un baiser gourmand, mélangeant le miel à sa salive. Lui répondit à son baiser, tout en caressant distraitement le bas-ventre de Suida. Elle avait encore son sexe masculin. Impossible de la féconder dans ces conditions, et Bhouta savait que c’était un message de Moccus. Sa Déesse confirmait que Suida était bien celle qu’il avait cherché, puisqu’elle avait favorisé la transition de genre de feu Akimbo, mais ne l’avait pas totalement fait. La Déesse attendait donc autre chose, et c’était à Bhouta de déterminer quoi.
Il sourit doucement à Suida, et caressa d’une main sa joue, son autre main glissant sur son sein, et pinça le téton.
« Je ne pense pas que tu sois devenue plus bête, mais tes hormones sont sans doute un peu déréglés… Après tout, tu as changé de sexe en une nuit, ce n’est pas banal. »
Il se pencha vers elle, et lécha sa joue.
« Ta peau est plus douce… Moccus ne t’a pas seulement changé de sexe, je pense qu’elle t’a rendu aussi… Plus perverse. Donc, tu conserveras cette tenue, oui. Elle est en Lapoxynyle, donc tu peux la porter tout le temps. Il faudra que je rajoute une cage de chasteté sur ton sexe. Je dois t’habituer au plaisir féminin, maintenant, et te faire oublier le plaisir masculin. »
Bhouta continuait à la palper.
« Enfin, tu porteras quelque chose par-dessus, oui… Une robe de maid quand tu feras le ménage, une tenue de servante quand tu serviras les clients… On verra selon ce qui te plaît, je suis ton Maître, mais je ne vais pas te forcer à faire des choses que tu ne veux pas. Et puis, je pense que tu as encore un goût pour l’aventure. Volony est vaste, il y a beaucoup de zones sauvages inexplorées, je ne veux pas te faire renoncer à cela non plus. »
Il continuait à malaxer son sein, et déplaça son autre main pour caresser ses fesses.
« On t’habituera à porter un plug anal en continu, je veux pouvoir te défoncer le cul quand l’envie m’en prend. »
Elle avait mentionné son ascendance avec les Orcs. Bhouta haussa les épaules.
« Tous les Butas ne descendent pas des Orcs… Ou peut-être que ce sont les Orcs qui descendent des Butas, je n’en sais rien. J’ignore même si cette histoire est vraie, je me suis juste dit qu’elle s’appliquerait bien à toi… Tu n’es pas d’accord ? Quand tu seras Suida, je te traiterai normalement, mais, quand tu seras Erona, tu seras l’une de mes prostituées. »
Il sourit doucement à Suida, et caressa d’une main sa joue, son autre main glissant sur son sein, et pinça le téton.
« Je ne pense pas que tu sois devenue plus bête, mais tes hormones sont sans doute un peu déréglés… Après tout, tu as changé de sexe en une nuit, ce n’est pas banal. »
Il se pencha vers elle, et lécha sa joue.
« Ta peau est plus douce… Moccus ne t’a pas seulement changé de sexe, je pense qu’elle t’a rendu aussi… Plus perverse. Donc, tu conserveras cette tenue, oui. Elle est en Lapoxynyle, donc tu peux la porter tout le temps. Il faudra que je rajoute une cage de chasteté sur ton sexe. Je dois t’habituer au plaisir féminin, maintenant, et te faire oublier le plaisir masculin. »
Bhouta continuait à la palper.
« Enfin, tu porteras quelque chose par-dessus, oui… Une robe de maid quand tu feras le ménage, une tenue de servante quand tu serviras les clients… On verra selon ce qui te plaît, je suis ton Maître, mais je ne vais pas te forcer à faire des choses que tu ne veux pas. Et puis, je pense que tu as encore un goût pour l’aventure. Volony est vaste, il y a beaucoup de zones sauvages inexplorées, je ne veux pas te faire renoncer à cela non plus. »
Il continuait à malaxer son sein, et déplaça son autre main pour caresser ses fesses.
« On t’habituera à porter un plug anal en continu, je veux pouvoir te défoncer le cul quand l’envie m’en prend. »
Elle avait mentionné son ascendance avec les Orcs. Bhouta haussa les épaules.
« Tous les Butas ne descendent pas des Orcs… Ou peut-être que ce sont les Orcs qui descendent des Butas, je n’en sais rien. J’ignore même si cette histoire est vraie, je me suis juste dit qu’elle s’appliquerait bien à toi… Tu n’es pas d’accord ? Quand tu seras Suida, je te traiterai normalement, mais, quand tu seras Erona, tu seras l’une de mes prostituées. »
DC de l'Observateur !
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Suida était tellement en chaleur de se sentir si proche de son Maître. La truie s'habituait à son nouveau corps, à sa sexualité et sa nouvelle perception du monde. Bhouta la caressait, empoignait ses seins et ses fesses comme si elle n'était qu'un objet... Et elle adorait ça. En plus, comme elle portait ses bas et ses gants en latex rose ainsi que le harnais qui enserrait son corps désormais généreux, elle se trouvait sexy et désirable. Suida commença à lécher doucement la main de Bhouta qui venait de la caresser puis suça ses doigts, de manière très explicite et sexuelle. Puis doucement, elle écarta en grand les cuisses pour montrer son sexe placide mais bien humide.
"Alors mettez moi ma cage de chasteté, Maître Bhouta. Je la garderais jusqu'à devenir accroc au sexe anal comme le fait Theorem... Je serais toujours à vous."
Alors qu'elle écarta bien pour permettre au Maître d'installer cette cage, elle ne le quitta pas des yeux, le voyant prendre ses testicules et les passer dans l'anneau rose. Puis il fit passer son pénis à travers. Désormais son sexe était totalement passé par l'anneau. Puis la cage en forme de tête de cochon emprisonna et écrasa son sexe pour venir s'emboîter avec l'anneau. La clé du cadenas interne tourna et referma le tout. Cette dernière termina autour du cou de son Maître et alors que Suida regarda cet ornement, la truie caressa cette dernière avant de lever les yeux vers Bhouta.
"Je suis tellement excitée là... J'ai envie de sexe... Maître Bhouta, on peut baiser bien hard là maintenant ? Oink oink !"
La truie caressa le corps de son propriétaire avant d'écarter en grand les bras, invitant son Maître à la prendre maintenant. Oui, il y avait d'autres assistantes et membre du personnel qui voulait baiser aussi, mais visiblement Suida ne pouvait calmer son excitation.
"Alors mettez moi ma cage de chasteté, Maître Bhouta. Je la garderais jusqu'à devenir accroc au sexe anal comme le fait Theorem... Je serais toujours à vous."
Alors qu'elle écarta bien pour permettre au Maître d'installer cette cage, elle ne le quitta pas des yeux, le voyant prendre ses testicules et les passer dans l'anneau rose. Puis il fit passer son pénis à travers. Désormais son sexe était totalement passé par l'anneau. Puis la cage en forme de tête de cochon emprisonna et écrasa son sexe pour venir s'emboîter avec l'anneau. La clé du cadenas interne tourna et referma le tout. Cette dernière termina autour du cou de son Maître et alors que Suida regarda cet ornement, la truie caressa cette dernière avant de lever les yeux vers Bhouta.
"Je suis tellement excitée là... J'ai envie de sexe... Maître Bhouta, on peut baiser bien hard là maintenant ? Oink oink !"
La truie caressa le corps de son propriétaire avant d'écarter en grand les bras, invitant son Maître à la prendre maintenant. Oui, il y avait d'autres assistantes et membre du personnel qui voulait baiser aussi, mais visiblement Suida ne pouvait calmer son excitation.
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Bhouta
- Messages : 55
- Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
- Fiche
- Demande de RP
L’évocation de Theorem fit souffler Bhouta. Il n’oubliait pas qu’il s’était mépris initialement3. Il avait couché avec Theorem, mais sans réel investissement de ce dernier. De fait, Bhouta commençait à se dire que Suida avait sans doute les capacités requises pour concurrencer Theorem. Si Bhouta avait été bien accueilli par les von Nacht, il le devait surtout à Chengzu. Ishtar l’avait surtout utilisé pour se débarrasser d’Akimbo, et il avait senti chez elle un semblant de mépris. Peut-être l’avait-il simplement fantasmé, mais il savait qu’Ishtar était assez misandre. C’était un trait commun à beaucoup d’Infernoises. Bhouta n’avait également pas apprécié que Theorem se désintéresse de lui. L’idée de former Suida, de créer une Erona parfaite, puis de la confronter à Theorem, ne pouvait que l’émoustiller. Il bandait déjà à l’idée d’un concours où sa Erona s’imposerait sur Theorem, et où il pourrait pavaner comme meilleur dominateur qu’Ishtar. C’était idiot et puéril, mais Bhouta était comme ça. Il était dominateur, et un dominateur ne pouvait accepter d’avoir la seconde place. Il remit donc à Suida sa cage de chasteté.
« Oublie désormais toute idée de plaisir masculin, Suida. Pour l’heure, ton cul sera comme un vagin… Un asspussy que l’on va fourrer tous les jours. Je ferai disparaître en toi toute forme de masculinité pour que tu deviennes pleinement une femme, que tu portes mon enfant, et que tu sois enfin digne de la légende d’Erona. »
Cela allait sûrement prendre du temps, mais Bhouta était un homme patient. Il pouvait sentir l’excitation de Suida, qui réclama une baise bien intense. Bhouta sourit alors, et hocha la tête. La bibliothèque familiale n’était pas vraiment un endroit pensé pour le sexe, mais Bhouta avait déjà baisé partout dans son domaine. Il plaqua donc Suida sur le rebord de la table, puis libéra son épaisse verge. Le Buta frémit, et posa sa main sur les cheveux de Suida, la plaquant contre la table, puis enfonça sa trique dans son cul. Il l’entendit gémir, puis hurler, surtout quand la puissante main de Bhouta alla s’abattre avec force sur ses fesses. Il grogna ensuite, et releva avec sa main la tête d’Erona, puis se pencha contre elle, l’écrasant sous tout son poids. Sa main remonta pour empoigner l’une de ses seins, et son autre main se glissa sous la nuque de Suida, optant pour une clef de bras.
Grognant ensuite contre elle, Bhouta se mit à parler contre l’oreille de Suida :
« Je vais retirer… Tout réflexe d’homme en toi, Suida… Ta démarche, tes intonations, ton allure, ta silhouette, la manière dont tu te tiens… Nous allons travailler sur tout, afin de faire de toi la plus parfaite des salopes, ma chienne ultime et absolue… Hum… Est-ce que ça te plaît, hein ? De savoir que tu vas devenir la plus accomplie de toutes mes salopes ? De devenir une bonne pute chez qui on ira se fourrer ? Quand j’en aurais fini avec toi, même Theorem ne te reconnaîtra plus, hnnnn… !! »
« Oublie désormais toute idée de plaisir masculin, Suida. Pour l’heure, ton cul sera comme un vagin… Un asspussy que l’on va fourrer tous les jours. Je ferai disparaître en toi toute forme de masculinité pour que tu deviennes pleinement une femme, que tu portes mon enfant, et que tu sois enfin digne de la légende d’Erona. »
Cela allait sûrement prendre du temps, mais Bhouta était un homme patient. Il pouvait sentir l’excitation de Suida, qui réclama une baise bien intense. Bhouta sourit alors, et hocha la tête. La bibliothèque familiale n’était pas vraiment un endroit pensé pour le sexe, mais Bhouta avait déjà baisé partout dans son domaine. Il plaqua donc Suida sur le rebord de la table, puis libéra son épaisse verge. Le Buta frémit, et posa sa main sur les cheveux de Suida, la plaquant contre la table, puis enfonça sa trique dans son cul. Il l’entendit gémir, puis hurler, surtout quand la puissante main de Bhouta alla s’abattre avec force sur ses fesses. Il grogna ensuite, et releva avec sa main la tête d’Erona, puis se pencha contre elle, l’écrasant sous tout son poids. Sa main remonta pour empoigner l’une de ses seins, et son autre main se glissa sous la nuque de Suida, optant pour une clef de bras.
Grognant ensuite contre elle, Bhouta se mit à parler contre l’oreille de Suida :
« Je vais retirer… Tout réflexe d’homme en toi, Suida… Ta démarche, tes intonations, ton allure, ta silhouette, la manière dont tu te tiens… Nous allons travailler sur tout, afin de faire de toi la plus parfaite des salopes, ma chienne ultime et absolue… Hum… Est-ce que ça te plaît, hein ? De savoir que tu vas devenir la plus accomplie de toutes mes salopes ? De devenir une bonne pute chez qui on ira se fourrer ? Quand j’en aurais fini avec toi, même Theorem ne te reconnaîtra plus, hnnnn… !! »
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Bhouta se montrait si possessif, si dominateur... Ca n'avait plus rien à voir avec ses premières séances. Là il lui détruisait le corps et l'esprit, y allant aussi fort qu'un Maître pouvait le faire. Sa tenue en latex grinçait sous ce sexe brutal alors qu'une main serrait un de ses seins et que l'autre serrait sa gorge avec volonté et appropriation. Suida se sentait comme un objet dans ses mains et c'était tellement bon ! La truie se laissait totalement dominer, sentant la verge de son maître lui démonter le cul alors qu'elle se tenait solidement à la table.
"Haaaa ! Oink oink !!! Eduquez-moi Maître ! Buhiii ! Que je sois la meilleure des Erona !!!"
Ce n'était pas une disquette ou une phrase automatique... C'était sa réelle volonté. Bhouta était son maître et ça ne faisait aucun doute pour elle. Suida était en train de naître sur les cendres d'Akimbo. Ce sexe si puissant et dégénéré lui faisait oublier jusqu'à son passé d'homme. Elle n'allait désormais plus que s'offrir à la domination et au sexe degen. Elle n'aurait jamais imaginé devenir une pute après en avoir côtoyé à Inferis. Mais maintenant c'est elle qui pavanerait en petite tenue de latex pour se prendre des gros chibres contre rémunération. Bon, son Maître l'aura toujours gratuite, mais maintenant, si sexe avec d'autres, ce serait contre rémunération.
"Gnnn... Possédez-moi ! Partagez-moi !"
Suida se mit à jouir soudainement. Un jet de foutre chaud vint zébrer le sol sous elle. Lors de cet orgasme, elle ne put s'empêcher de tirer la langue et de loucher, sentant tout son QI disparaître le temps d'un plaisir complet. La truie venait de connaître un orgasme décuplé. Son nouveau corps lui offrait ce plaisir à plusieurs centaines de niveau au dessus... Et le pire c'est qu'elle avait encore envie... Jouir ne l'avait pas stoppé dans son élan.
"Haaaa ! Oink oink !!! Eduquez-moi Maître ! Buhiii ! Que je sois la meilleure des Erona !!!"
Ce n'était pas une disquette ou une phrase automatique... C'était sa réelle volonté. Bhouta était son maître et ça ne faisait aucun doute pour elle. Suida était en train de naître sur les cendres d'Akimbo. Ce sexe si puissant et dégénéré lui faisait oublier jusqu'à son passé d'homme. Elle n'allait désormais plus que s'offrir à la domination et au sexe degen. Elle n'aurait jamais imaginé devenir une pute après en avoir côtoyé à Inferis. Mais maintenant c'est elle qui pavanerait en petite tenue de latex pour se prendre des gros chibres contre rémunération. Bon, son Maître l'aura toujours gratuite, mais maintenant, si sexe avec d'autres, ce serait contre rémunération.
"Gnnn... Possédez-moi ! Partagez-moi !"
Suida se mit à jouir soudainement. Un jet de foutre chaud vint zébrer le sol sous elle. Lors de cet orgasme, elle ne put s'empêcher de tirer la langue et de loucher, sentant tout son QI disparaître le temps d'un plaisir complet. La truie venait de connaître un orgasme décuplé. Son nouveau corps lui offrait ce plaisir à plusieurs centaines de niveau au dessus... Et le pire c'est qu'elle avait encore envie... Jouir ne l'avait pas stoppé dans son élan.
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Bhouta
- Messages : 55
- Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
- Fiche
- Demande de RP
Comme toujours, Bhouta y allait en char d’assaut. Pour cette masse de plusieurs centaines de kilos, le sexe était toujours un sport très intense. Suida pouvait le sentir alors qu’elle se retrouvait plaquée entre lui et la table. Somme toute, sa cage de chasteté porcine était une bonne chose, car, à défaut, son sexe heurterait le rebord en bois de la table, garantissant une douleur terrible et fort peu excitante. Mais, là, la queue de Suida était protégée par la cage, atténuant fortement l’impact. Pour le reste, le spectacle était impressionnant. Comme souvent, quand Bhouta prenait un amant en levrette, il finissait par s’abattre sur lui, donnant l’impression qu’une masse écrasait le corps de sa proie, et qu’elle allait lui briser tous les os. De fait, Suida aurait sans doute cette sensation, celle de se faire besogner pendant qu’un bus de chair lui roulait dessus. L’homme-porc grognait contre son oreille, promenant sa truffe sur ses cheveux, laissant de fines traînées de bave sur sa joue quand il se promenait dessus. Sa respiration était forte, excitée, trahissant le puissant désir que Bhouta ressentait en défonçant ainsi aussi méthodiquement le petit cul serré de Suida. Pour elle, il n’y avait aucune échappatoire, elle était condamnée à subir les assauts voraces de Bhouta, dusse-t-elle en perdre la raison !
Elle jouit donc, mais lui prit tout son temps. Suida réclama néanmoins d’autres partenaires, ce qui le fit ricaner. Il mordilla la pointe de l’oreille de Suida en se redressant un peu, puis la plaqua un peu plus fort contre la table.
« Tu te lasses déjà de moi, ma salope ? Il faut dire que tu es exigeante… Tu as beau avoir changé de sexe, ton corps se rappelle surtout comment tu t’es fait tringler à Nachtheim, héhé ! Tu étais la petite pute d’Ishtar, hein ? Ma queue n’est pas aussi longue que la sienne, mais, question dureté et épaisseur, elle n’a rien à lui envier, héhé ! »
Tant que sa queue était large et épaisse, elle défonçait tout sur son passage. Le reste n’était qu’excitation et intensité. Bhouta ressemblait en ce sens davantage à Akimbo qu’à Ishtar, optant pour des coups de reins rapides et puissants. Et, autant qu’Ishtar et Akimbo, il avait aussi une rude endurance ! Le puissant Buta se redressa encore, et, bien dressé continua à besogner Suida, arrachant à ce dernier de grands cris, et des projections de bave sur la table, tandis que Bhouta lui frappait fort les fesses. Son ventre rebondi s’écrasait contre le jeune homme, donnant parfois l’impression de le faire voler le long de la table, avant qu’il ne reparte en arrière, puis en avant encore. Tout son corps était secoué par les puissants coups de reins de Bhouta, transporté d’avant en arrière.
Pour autant, Bhouta n’en oubliait pas la suite. Il se retourna vers ses servantes, et les invita à réunir du monde au Salon Écorce. Les pièces du manoir portaient toutes des noms en rapport avec la forêt. Bhouta continua à besogner Suida un bon quart d’heure, avant de puissamment jouir dans son petit cul, désormais moins serré. Il se relâcha furieusement, jouissant au fond de son cul rougi, puis grogna ensuite. Une servante lui tendit sur un plateau d’argent un plug anal rose avec une tête de cochon à l’extrémité, que Bhouta fourra dans le fondement de Suida.
« Cette semence ne doit pas se perdre. Ne cherche pas à être debout, marche à quatre pattes, comme il sied à une petite pute. »
Bhouta tira sur la laisse de Suida pour le faire tomber de la table. Il s’affala sur la moquette, amortissant le choc, et fut ensuite tiré par Bhouta, qui rejoignit le Salon Écorce.
C’était un beau salon de forme semi-circulaire, à un angle de la propriété, avec plusieurs fenêtres formant une sorte de baie vitrée depuis laquelle on pouvait voir la forêt. Il y avait des canapés, et une peau de bête au centre, celle d’un grand ours blanc. Bhouta était aussi un adepte du safari, et cette peau de bête appartenait à un animal qu’il avait tué lors d’un safari. Quand le duo entra, Suida put voir que l’assistante personnelle de Bhouta, Mishura. Elle était accompagnée de Loona. LMa première avait un sourire sur le coin des lèvres, la deuxième un sourire plus vorace. Bhouta posa son pied sur les fesses de Suida, et le poussa vers les deux femmes, tout en attrapant un épais cigare que l’un de ses domestiques lui tendit, les joues rougissant, en espérant sans doute pouvoir faire partie du spectacle, ou en enviant la position de Suida.
Bhouta alluma son cigarette, et tira plusieurs bouffées tout en s’asseyant sur son énorme fauteuil. Une autre servante avait amené une bouteille de whisky qu’elle mit dans un verre. Bhouta but plusieurs gorgées en soupirant, et, en parfait porc qu’il était, rota ensuite.
« Héhé… Tu les reconnais sans doute ? Mishura est la gouvernante du manoir, mon assistante personnelle… Loona, elle, est ma dresseuse personnelle. »
Il but encore un peu de son verre.
« Alors, qu’attends-tu ? Présente-toi bien comme il faut, montre-leur que tu es une bonne petite Buta, Suida ! »
Elle jouit donc, mais lui prit tout son temps. Suida réclama néanmoins d’autres partenaires, ce qui le fit ricaner. Il mordilla la pointe de l’oreille de Suida en se redressant un peu, puis la plaqua un peu plus fort contre la table.
« Tu te lasses déjà de moi, ma salope ? Il faut dire que tu es exigeante… Tu as beau avoir changé de sexe, ton corps se rappelle surtout comment tu t’es fait tringler à Nachtheim, héhé ! Tu étais la petite pute d’Ishtar, hein ? Ma queue n’est pas aussi longue que la sienne, mais, question dureté et épaisseur, elle n’a rien à lui envier, héhé ! »
Tant que sa queue était large et épaisse, elle défonçait tout sur son passage. Le reste n’était qu’excitation et intensité. Bhouta ressemblait en ce sens davantage à Akimbo qu’à Ishtar, optant pour des coups de reins rapides et puissants. Et, autant qu’Ishtar et Akimbo, il avait aussi une rude endurance ! Le puissant Buta se redressa encore, et, bien dressé continua à besogner Suida, arrachant à ce dernier de grands cris, et des projections de bave sur la table, tandis que Bhouta lui frappait fort les fesses. Son ventre rebondi s’écrasait contre le jeune homme, donnant parfois l’impression de le faire voler le long de la table, avant qu’il ne reparte en arrière, puis en avant encore. Tout son corps était secoué par les puissants coups de reins de Bhouta, transporté d’avant en arrière.
Pour autant, Bhouta n’en oubliait pas la suite. Il se retourna vers ses servantes, et les invita à réunir du monde au Salon Écorce. Les pièces du manoir portaient toutes des noms en rapport avec la forêt. Bhouta continua à besogner Suida un bon quart d’heure, avant de puissamment jouir dans son petit cul, désormais moins serré. Il se relâcha furieusement, jouissant au fond de son cul rougi, puis grogna ensuite. Une servante lui tendit sur un plateau d’argent un plug anal rose avec une tête de cochon à l’extrémité, que Bhouta fourra dans le fondement de Suida.
« Cette semence ne doit pas se perdre. Ne cherche pas à être debout, marche à quatre pattes, comme il sied à une petite pute. »
Bhouta tira sur la laisse de Suida pour le faire tomber de la table. Il s’affala sur la moquette, amortissant le choc, et fut ensuite tiré par Bhouta, qui rejoignit le Salon Écorce.
C’était un beau salon de forme semi-circulaire, à un angle de la propriété, avec plusieurs fenêtres formant une sorte de baie vitrée depuis laquelle on pouvait voir la forêt. Il y avait des canapés, et une peau de bête au centre, celle d’un grand ours blanc. Bhouta était aussi un adepte du safari, et cette peau de bête appartenait à un animal qu’il avait tué lors d’un safari. Quand le duo entra, Suida put voir que l’assistante personnelle de Bhouta, Mishura. Elle était accompagnée de Loona. LMa première avait un sourire sur le coin des lèvres, la deuxième un sourire plus vorace. Bhouta posa son pied sur les fesses de Suida, et le poussa vers les deux femmes, tout en attrapant un épais cigare que l’un de ses domestiques lui tendit, les joues rougissant, en espérant sans doute pouvoir faire partie du spectacle, ou en enviant la position de Suida.
Bhouta alluma son cigarette, et tira plusieurs bouffées tout en s’asseyant sur son énorme fauteuil. Une autre servante avait amené une bouteille de whisky qu’elle mit dans un verre. Bhouta but plusieurs gorgées en soupirant, et, en parfait porc qu’il était, rota ensuite.
« Héhé… Tu les reconnais sans doute ? Mishura est la gouvernante du manoir, mon assistante personnelle… Loona, elle, est ma dresseuse personnelle. »
Il but encore un peu de son verre.
« Alors, qu’attends-tu ? Présente-toi bien comme il faut, montre-leur que tu es une bonne petite Buta, Suida ! »
DC de l'Observateur !
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Suida ''Erona'' Trogia
- Messages : 78
- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
Suida ne pouvait probablement pas lutter contre la traction de son Maître. Cela ne mit pas longtemps avant qu'elle ne soit tiré comme un animal alors qu'il marchait dans cette maison immense. Heureusement, la moquette omniprésente rendait la promenade plus facile. Ses pas la guidèrent vers le salon écorce, semi circulaire avec des fenêtres donnant sur l'extérieur. La déco en général était post coloniale, avec des peaux et des éléments de chasse. mais pour l'heure, ce qui marqua Suida fut la présence de deux femmes volonienne. D'un côté une Kitsune à la fourrure foncée, portant des gants de latex et pas grand chose en dessous... et de l'autre une Okami en lingerie de latex, une belle bosse dans son bas de bikini révélait facilement une verge. Son Maître fut reçut avec un cigare et un verre de whisky et donna un coup de pied au cul de Suida pour qu'elle se présente. La truie allait faire de son mieux. Elle se redressa un peu, jambes arquées et mains derrière la tête, exposant son corps de truie uniquement mit en valeur par ses gants et ses bas en latex rose, son sexe en cage porcine et un harnais enserrant son corps généreux.
"Bonjour Madame Mishura et Madame Loona. Je suis Suida Trogia, surnommée Erona, la truie de Maître Bhouta. Enchantée de faire votre connaissance et de vous servir."
Elle garda la position pour le plaisir des yeux de ces deux personnes. Rapidement, Mishura put palper les seins de Suida de ses mains couvertes de latex et Loona pouvait tâter de ce postérieur rebondit, surmonté d'une queue de cochon naturelle et garnie d'un plug anal profondément enfoncé dans son postérieur. Suida se sentait comme de la viande, comme un jouet entre leurs mains.
"V... Vous pouvez me faire tout ce que Maître Bhouta vous autorise..."
On ne sait jamais, elle était quand même sous sa protection mine de rien.
"Bonjour Madame Mishura et Madame Loona. Je suis Suida Trogia, surnommée Erona, la truie de Maître Bhouta. Enchantée de faire votre connaissance et de vous servir."
Elle garda la position pour le plaisir des yeux de ces deux personnes. Rapidement, Mishura put palper les seins de Suida de ses mains couvertes de latex et Loona pouvait tâter de ce postérieur rebondit, surmonté d'une queue de cochon naturelle et garnie d'un plug anal profondément enfoncé dans son postérieur. Suida se sentait comme de la viande, comme un jouet entre leurs mains.
"V... Vous pouvez me faire tout ce que Maître Bhouta vous autorise..."
On ne sait jamais, elle était quand même sous sa protection mine de rien.
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Bhouta
- Messages : 55
- Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
- Fiche
- Demande de RP
Il ne fallait sans doute pas attendre trop de clémence de la part de Bhouta. C’était un pervers, après tout, et même un fieffé coquin ! Mishura et Loona étaient loin d’être deux jeunes femmes chastes. Bhouta avait même tendance à considérer que Mishura, qui était professeure, était aussi perverse que lui. Loona, en revanche, était beaucoup plus directe. Elles tournaient autour de Suida, palpant son corps, lui demandant d’ouvrir la bouche. Mishura était clairement la plus observatrice. Elle palpa les fesses de Suida, tandis que Loona ne masquait pas son érection, déformant sa minijupe. Une belle queue se formait là-dessous, prête à défoncer le corps de Suida. Bhouta but encore, observant ce spectacle. Sa verge était à l’air libre, et durcit lentement à l’idée de ce qui allait suivre. Il connaissait l’appétit féroce de Mishura et de Loona, et attendait donc que les festivités commencent.
« Tant que Maître Bhouta ne dit rien, on va te faire tout ce qu’on veut, petite poupée… s’amusa Mishura.
- C’est incroyable, ta transition ! Je suis curieuse de voir jusqu’à quel point on va te faire oublier toute idée de plaisir masculin…
- Tu n’as qu’à commencer, Loona… »
Loona sourit malicieusement, et se mit devant Suida. Mishura, de son côté, se lova dans le dos de Suida. Elle s’agenouilla derrière elle, et palpa d’une main l’un de ses seins, qu’elle pinça, tout en glissant son autre main contre les fesses de la jeune femme, et commença à enfoncer deux doigts dans son fondement après avoir écarté le plug anal qui s’y trouvait.
« Nous allons travailler ton petit cul pour qu’il soit l’équivalent pour toi d’une chatte… »
Bhouta hocha la tête. Son objectif était de finaliser la transition de genre de Suida. Cela ne se fera pas dans l’immédiat, naturellement, mais l’homme-porc n’était pas pressé. Chaque chose en son temps. Loona libéra sa solide verge grisâtre. Elle avait une base poilue d’où sa queue s’échappait, lisse et tendue, une véritable verge canine avec cette base redoutable qui formait un nœud quand elle pénétrait quelqu’un. Ce monceau de chair épaisse tomba sur le nez de Suida, qui put inhaler son odeur.
« Allons, montre à Maître Bhouta tes talents de suceuse, Suida, ma queue attend de s’enfoncer dans ta bouche ! »
Le dressage de Suida pouvait commencer…
« Tant que Maître Bhouta ne dit rien, on va te faire tout ce qu’on veut, petite poupée… s’amusa Mishura.
- C’est incroyable, ta transition ! Je suis curieuse de voir jusqu’à quel point on va te faire oublier toute idée de plaisir masculin…
- Tu n’as qu’à commencer, Loona… »
Loona sourit malicieusement, et se mit devant Suida. Mishura, de son côté, se lova dans le dos de Suida. Elle s’agenouilla derrière elle, et palpa d’une main l’un de ses seins, qu’elle pinça, tout en glissant son autre main contre les fesses de la jeune femme, et commença à enfoncer deux doigts dans son fondement après avoir écarté le plug anal qui s’y trouvait.
« Nous allons travailler ton petit cul pour qu’il soit l’équivalent pour toi d’une chatte… »
Bhouta hocha la tête. Son objectif était de finaliser la transition de genre de Suida. Cela ne se fera pas dans l’immédiat, naturellement, mais l’homme-porc n’était pas pressé. Chaque chose en son temps. Loona libéra sa solide verge grisâtre. Elle avait une base poilue d’où sa queue s’échappait, lisse et tendue, une véritable verge canine avec cette base redoutable qui formait un nœud quand elle pénétrait quelqu’un. Ce monceau de chair épaisse tomba sur le nez de Suida, qui put inhaler son odeur.
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Le dressage de Suida pouvait commencer…
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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