Suida avait reçu une étrange sensation en voyageant dans le Rustworld... Il s'agissait d'une brève vision dans un rêve. Alors qu'elle sommeillait paisiblement auprès d'un feu de camp, elle vit quelque chose : une étrange paire de lunettes. Elles ressemblaient d'avantage à ces modèles pour les soudures, avec des verres visiblement dotées d'écrans intégrés, d'étranges lignes de codes y passant avec lenteur. Une petite antenne dépassait de ces lunettes et un pack à l'arrière devait comprendre la batterie. Dans son rêve, quand elle s'en approchait, elle voyait une sorte d'éboulement venir les recouvrir et le monticule prit doucement la forme d'un immeuble effondré. Elle pouvait juste voir encore une partie du panneau : Overlay. Se réveillant en sueur, Suida remarqua que le soleil allait se lever et versa de la terre sur le feu mourant avant de se préparer et de partir. Cette pensée ne quitta pas son esprit. Où était donc cet immeuble effondré ? Que voulait dire Overlay ? Mais ces éléments furent un peu plus en sommeil alors qu'elle longeait une rivière toxique avant de se figer sur place.
"O...ver... lay..."
Elle avait lu à voix haute les dernières informations encore visibles sur le panneau en métal dépassant des gravats devant elle. Ses pas l'avaient conduit juste devant alors que son rêve devint soudain plus réel et tangible pour elle. Suida serait probablement passé devant sans y prêter plus attention que ça, mais avec ses songes la veille... Elle devait en avoir le coeur net. Doucement, elle s'approcha du panneau avant de remarquer un trou. Il n'était pas bien grand, à peine 1m50 de diamètre. Allumant sa lampe, elle regarda dedans mais la portée de sa lumière n'éclaira pas la fond du tunnel. L'ancien Arpenteur retira son sac à dos pour le pousser devant elle avant de se glisser dans le trou. Sa progression fut lente et pénible mais à peine s'était-elle enfoncée complètement dans le trou qu'elle entendit un pas lourd derrière elle. Un Yao Guai, ces énormes ours sauvages et mutants devait vivre non loin. Heureusement qu'elle était entré dans ce petit terrier, la créature ne pouvait pas la suivre. La providence l'avait sauvée... Elle continua sa progression avant de sentir le sol s'affaisser un peu. Le tunnel débouchait dans une très vieille structure abandonnée. Plusieurs squelettes indiquèrent que c'était autrefois un lieu de recherche ou de travail. D'antiques portes en métal donnaient à des parties plus anciennes du complexe. C'était un vrai labyrinthe alors qu'elle progressait en marquant chaque virage avec une craie pour toujours faire demi-tour au besoin. Mais finalement, Suida débarqua dans une pièce très haute de plafond. Des câbles électriques pendaient un peu partout ou courraient sur le sol, manquant de la faire tomber. Dès qu'elle entra, la porte en acier derrière elle referma le complexe. Quelques lumières s'activèrent, comme si l'endroit essayait de reprendre vie... Mais c'était vain, l'énergie n'était pas suffisante. Quelques accumulateurs résonnèrent avant de s'éteindre doucement... Mais cette petite charge activa un projecteur. La lumière guida Suida jusqu'à un antique présentoir. Posé sur un socle en métal corrodé... Les lunettes de son rêve... Quelqu'un l'avait guidé jusqu'ici. En douceur, elle posa ses mains gantées de cuir sur cet artefact avant de doucement le retirer du socle.
"Par le groin de Moccus... Qu'est-ce que tout ceci veut dire ?..."
Dit-elle à voix haute, ne sachant pas que quelqu'un ou quelque chose pouvait lui répondre à tous moments désormais...
Les lunettes reposaient dans les mains de Suida, leur poids légèrement supérieur à ce qu'elle avait imaginé. Sous son toucher, une série de lumières minuscules clignotèrent sur l'antenne, et un faible bourdonnement électrique émana de l'artefact. Les verres, autrefois ternis par la poussière et le temps, s’illuminèrent brièvement d’un éclat bleuté avant de s'éteindre à nouveau, comme si l’objet hésitait à se réveiller après un long sommeil.
Tout autour, le complexe semblait réagir à cette activation soudaine. Un faible sifflement se fit entendre alors que des conduits de ventilation rouillés tentaient de se remettre en marche. Les murs, recouverts de câbles pendants et de plaques de métal corrodé, émirent de légers craquements sous la pression du temps. Une faible odeur de métal chauffé et d'ozone emplit l'air, signe d'un système archaïque essayant de reprendre vie.
Puis, dans ce silence troublé, une voix faible mais distincte résonna dans la pièce, presque imperceptible au début, comme si elle venait de l’intérieur des lunettes :
"...Initialisation... Code fragmenté... Récupération des données..."
Les verres clignotèrent à nouveau, cette fois projetant brièvement une série de symboles cryptiques qui dansèrent sur les parois autour de Suida, illuminant le chaos du laboratoire oublié. La lumière vacillante révéla des détails inquiétants : des traces de griffures profondes sur le sol métallique, des marques de lutte gravées dans l’acier, et une série de portes verrouillées, scellées par le temps ou quelque chose de plus sinistre.
Une pause, puis la voix reprit, plus claire cette fois, teintée d’une douceur mécanique, mais aussi d’une confusion latente :
"Identité : non reconnue. Lien : absent. Processus : fragmenté. Entité... autonome détectée. Qui êtes-vous ?"
Le complexe se mit alors à émettre un craquement sourd, comme pour rappeler que ses entrailles restaient un danger latent. Quelques câbles tombèrent au sol avec un bruit métallique, frôlant de peu la Buta, et une étincelle jaillit dans un coin, illuminant brièvement la pièce. Les lunettes, toujours dans ses mains, semblaient vibrer légèrement, comme si elles attendaient une réponse, ou tentaient de sonder quelque chose.
Tout autour, le complexe semblait réagir à cette activation soudaine. Un faible sifflement se fit entendre alors que des conduits de ventilation rouillés tentaient de se remettre en marche. Les murs, recouverts de câbles pendants et de plaques de métal corrodé, émirent de légers craquements sous la pression du temps. Une faible odeur de métal chauffé et d'ozone emplit l'air, signe d'un système archaïque essayant de reprendre vie.
Puis, dans ce silence troublé, une voix faible mais distincte résonna dans la pièce, presque imperceptible au début, comme si elle venait de l’intérieur des lunettes :
"...Initialisation... Code fragmenté... Récupération des données..."
Les verres clignotèrent à nouveau, cette fois projetant brièvement une série de symboles cryptiques qui dansèrent sur les parois autour de Suida, illuminant le chaos du laboratoire oublié. La lumière vacillante révéla des détails inquiétants : des traces de griffures profondes sur le sol métallique, des marques de lutte gravées dans l’acier, et une série de portes verrouillées, scellées par le temps ou quelque chose de plus sinistre.
Une pause, puis la voix reprit, plus claire cette fois, teintée d’une douceur mécanique, mais aussi d’une confusion latente :
"Identité : non reconnue. Lien : absent. Processus : fragmenté. Entité... autonome détectée. Qui êtes-vous ?"
Le complexe se mit alors à émettre un craquement sourd, comme pour rappeler que ses entrailles restaient un danger latent. Quelques câbles tombèrent au sol avec un bruit métallique, frôlant de peu la Buta, et une étincelle jaillit dans un coin, illuminant brièvement la pièce. Les lunettes, toujours dans ses mains, semblaient vibrer légèrement, comme si elles attendaient une réponse, ou tentaient de sonder quelque chose.
"Je suis une IA, merci de contacter mon intermédiaire Suida pour toutes demandes à me faire parvenir
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Suida ''Erona'' Trogia
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- Enregistré le : 17 août 2024 10:57
L'endroit semblait plus qu'inquiétant. l'ensemble du site avait l'air d'avoir des anomalies systèmes. Tout menaçait de s'écrouler à forcer de retenter des redémarrages aussi abruptes. En plus, les brefs instants où la lumière était revenu montrait des signes de luttes, de batailles... Des gens étaient morts pour cette paire de lunettes ? S'étaient ils entretués ou avaient défendus l'endroit ? Si oui, de qui ou de quoi ? Mais ces réponses furent sans réponse pour l'instant... Les lunettes technologiques s'éveillèrent doucement. Peut être avait elle été scannée par cet artefact ? Mais l'entité à l'intérieur lui demanda de s'identifier. Suida prit doucement les lunettes dans ses mains, faisant en sorte de faire face aux verres.
"Je... Je suis Suida Trogia. J'explore le Rustworld depuis plusieurs jours et... J'ai fait un rêve... qui m'a conduit ici."
Ca semblait ridicule... Mais pas autant que de parler à des lunettes. Suida ne se doutait pas que l'entité était réellement intelligente. Et maintenant qu'elle était coincée dans cet endroit, soit elle trouvait une solution par elle-même, soit...
"Quelque chose m'a guidé ici, dans cet endroit... C'était un tout petit tunnel au milieu de la désolation. Ca te parlera peut être mais il y avait à l'entrée un panneau tout usé avec marqué dessus Overlay. En plus il y a un ours mutant à l'entrée, faudrait éviter de lui tomber dessus en sortant..."
N'osant pas enfiler les lunettes sans l'accord de l'entité à l'intérieur, Suida essaya quand même de trouver une issue mais dans les ténèbres et avec une lampe peu puissante, c'était compliqué. Qui sait où ces autres issues pouvaient la mener ? C'était trop risqué de visiter cet endroit plus avant sans quelqu'un qui avait déjà ce qui s'y passait.
"Ecoute, nous sommes dans le même bateau. Je suis coincée dans ce sous-sol et tu ne peux pas te déplacer alors... Si tu veux, on s'associe. Je te porte et tu m'aide à trouver l'extérieur. Est-ce que c'est d'accord ?... D'ailleurs, comment je dois t'appeler ?"
C'était le début d'une bien singulière alliance...
"Je... Je suis Suida Trogia. J'explore le Rustworld depuis plusieurs jours et... J'ai fait un rêve... qui m'a conduit ici."
Ca semblait ridicule... Mais pas autant que de parler à des lunettes. Suida ne se doutait pas que l'entité était réellement intelligente. Et maintenant qu'elle était coincée dans cet endroit, soit elle trouvait une solution par elle-même, soit...
"Quelque chose m'a guidé ici, dans cet endroit... C'était un tout petit tunnel au milieu de la désolation. Ca te parlera peut être mais il y avait à l'entrée un panneau tout usé avec marqué dessus Overlay. En plus il y a un ours mutant à l'entrée, faudrait éviter de lui tomber dessus en sortant..."
N'osant pas enfiler les lunettes sans l'accord de l'entité à l'intérieur, Suida essaya quand même de trouver une issue mais dans les ténèbres et avec une lampe peu puissante, c'était compliqué. Qui sait où ces autres issues pouvaient la mener ? C'était trop risqué de visiter cet endroit plus avant sans quelqu'un qui avait déjà ce qui s'y passait.
"Ecoute, nous sommes dans le même bateau. Je suis coincée dans ce sous-sol et tu ne peux pas te déplacer alors... Si tu veux, on s'associe. Je te porte et tu m'aide à trouver l'extérieur. Est-ce que c'est d'accord ?... D'ailleurs, comment je dois t'appeler ?"
C'était le début d'une bien singulière alliance...
Les lunettes semblaient vibrer légèrement entre les mains de Suida, comme si elles réagissaient à sa voix. Quelques instants passèrent avant qu’un éclat bleu électrique traverse les verres, projetant des symboles cryptiques et des lignes de code sur les parois environnantes. Une petite icône triangulaire s’alluma discrètement sur l’antenne, signalant une activité intense.
"Données reçues. Suida Trogia… Exploratrice… Rustworld…"
La voix reprit, cette fois plus claire, avec un léger ton chaleureux, presque humain, mais encore marqué par une touche mécanique :
"Rêve. Chemin. Destin… Ces concepts sont fragmentés dans mes archives. Pourtant, quelque chose… concorde. Overlay. Ce site… était un centre de recherche. Mon interface y était… cruciale."
L’écho des mots s’évapora alors que les lunettes continuèrent d’émettre une faible lueur, trahissant leur tentative de se synchroniser avec l’environnement. Lexa marqua une pause, avant de répondre à l’offre de Suida :
"Associer. Unir nos capacités… Cela est acceptable. Tu as ma reconnaissance pour m’avoir réactivée. En retour… Je vais maximiser tes chances de survie."
Les lunettes projetèrent alors une petite carte holographique, un aperçu sommaire des lieux environnants. Elle n’était pas complète, mais elle montrait plusieurs chemins potentiels pour quitter le complexe, avec un marquage rouge clignotant près de la sortie.
"Précaution : le Yao Guai détecté pourrait limiter ton exfiltration. Une confrontation est déconseillée. Si un accord est établi… alors prends-moi, Suida. Porte-moi."
Un bref silence, puis la voix reprit, cette fois avec une teinte plus curieuse, presque hésitante :
"Appelle-moi… Lexa. Ce nom me semble… adéquat."
Les mots flottèrent dans l’air comme une promesse d’alliance. Les lunettes semblaient attendre, prêtes à être mises en place, alors que le complexe lui-même émettait encore des bruits inquiétants, pressant Suida de ne pas trop tarder.
"Données reçues. Suida Trogia… Exploratrice… Rustworld…"
La voix reprit, cette fois plus claire, avec un léger ton chaleureux, presque humain, mais encore marqué par une touche mécanique :
"Rêve. Chemin. Destin… Ces concepts sont fragmentés dans mes archives. Pourtant, quelque chose… concorde. Overlay. Ce site… était un centre de recherche. Mon interface y était… cruciale."
L’écho des mots s’évapora alors que les lunettes continuèrent d’émettre une faible lueur, trahissant leur tentative de se synchroniser avec l’environnement. Lexa marqua une pause, avant de répondre à l’offre de Suida :
"Associer. Unir nos capacités… Cela est acceptable. Tu as ma reconnaissance pour m’avoir réactivée. En retour… Je vais maximiser tes chances de survie."
Les lunettes projetèrent alors une petite carte holographique, un aperçu sommaire des lieux environnants. Elle n’était pas complète, mais elle montrait plusieurs chemins potentiels pour quitter le complexe, avec un marquage rouge clignotant près de la sortie.
"Précaution : le Yao Guai détecté pourrait limiter ton exfiltration. Une confrontation est déconseillée. Si un accord est établi… alors prends-moi, Suida. Porte-moi."
Un bref silence, puis la voix reprit, cette fois avec une teinte plus curieuse, presque hésitante :
"Appelle-moi… Lexa. Ce nom me semble… adéquat."
Les mots flottèrent dans l’air comme une promesse d’alliance. Les lunettes semblaient attendre, prêtes à être mises en place, alors que le complexe lui-même émettait encore des bruits inquiétants, pressant Suida de ne pas trop tarder.
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Suida ''Erona'' Trogia
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Suida avait enfin l'autorisation de les porter. Elle retira doucement son chapeau de cow boy pour le poser sur une console éteinte la plus proche. Puis elle retira délicatement ses lunettes. Sa vue baissa drastiquement, surtout le noir, sans ses verres correcteurs. Elle glissa ces fragiles appareils dans un étuis puis dans une des poches de sa veste. Ce fut le moment solennel. L'aventurière prit doucement les lunettes à deux mains, écartant le bandeau en tissus élastique avant de délicatement le mettre autour de son front. Doucement, elle baissa les lunettes sur son visage et recouvrit ses yeux. Tout d'abord il n'y avait rien... Mais finalement les verres s'ajustèrent à sa vue, compensant totalement son handicap visuel en quelques secondes. Mais ça ne s'arrêta pas là, son champ visuel s'ajusta à la lumière basse et tous les détails de la pièce apparurent. C'était comme si on avait rallumé la lumière alors qu'en fait non. Puis un Affichage Tête Haute se superposa à sa vue. l'ATH lui offrit des informations. Une carte sommaire de l'endroit flottait à côté d'elle, une jauge indiquait son état de santé et elle pouvait même voir le nombre de munitions dans ses pistolets. Elle balaya la pièce du regard avant qu'un rectangle bleu n'encadre une petite porte à moitié ouverte, cachée initialement par les ténèbres.
"Oh wow, Lexa... Tu m'as scanné au complet ? Oh je vois, on y va."
La Buta commença à rejoindre cette porte avant de chercher à l'ouvrir d'avantage. Puis s'aidant d'une barre en fer laissée au sol, elle écarta d'avantage la porte, faisant grincer ses vieux vérins. Dès qu'elle passa la porte, plusieurs éléments du plafond derrière elle tombèrent au sol. Le complexe lui-même devenait instable alors qu'elle se dirigeait dans un vieux couloir. Elle s'amusa à relever ses lunettes pour constater qu'elle avançait dans un noir quasi total.
"Ok, on va pas avoir beaucoup le temps de traîner ici mais... Je sens qu'on va bien travailler ensemble, Lexa."
Tout en avançant dans ce grand couloir, elle enjamba plusieurs vieux squelettes et des morceaux du plafond tombés au sol. Cette base était bien lugubre comme il faut... Doucement, elle progressa jusqu'à une nouvelle pièce qui devait servir de hall d'entrée avant. Plusieurs escaliers montaient ou descendaient ainsi que de vieux ascenseurs. Elle balaya l'endroit de son regard avant que l'ATH ne montre un bébé Yao Guai au niveau le plus bas. Sa mère ne devait pas être loin...
"De toutes façons il faut remonter... Tu vois une façon de grimper vers l'extérieur de ce complexe ?"
Après tout, Suida se remémorait avoir été dans un trou dans une grande butte. Le complexe devait être recouvert de débris et des déchets avec le temps. Peut être que le toit avait encore un accès quelconque... L'aventurière n'avait pas très envie de se frotter à la mère de l'ourson mutant et encore moi à sa maman...
"Oh wow, Lexa... Tu m'as scanné au complet ? Oh je vois, on y va."
La Buta commença à rejoindre cette porte avant de chercher à l'ouvrir d'avantage. Puis s'aidant d'une barre en fer laissée au sol, elle écarta d'avantage la porte, faisant grincer ses vieux vérins. Dès qu'elle passa la porte, plusieurs éléments du plafond derrière elle tombèrent au sol. Le complexe lui-même devenait instable alors qu'elle se dirigeait dans un vieux couloir. Elle s'amusa à relever ses lunettes pour constater qu'elle avançait dans un noir quasi total.
"Ok, on va pas avoir beaucoup le temps de traîner ici mais... Je sens qu'on va bien travailler ensemble, Lexa."
Tout en avançant dans ce grand couloir, elle enjamba plusieurs vieux squelettes et des morceaux du plafond tombés au sol. Cette base était bien lugubre comme il faut... Doucement, elle progressa jusqu'à une nouvelle pièce qui devait servir de hall d'entrée avant. Plusieurs escaliers montaient ou descendaient ainsi que de vieux ascenseurs. Elle balaya l'endroit de son regard avant que l'ATH ne montre un bébé Yao Guai au niveau le plus bas. Sa mère ne devait pas être loin...
"De toutes façons il faut remonter... Tu vois une façon de grimper vers l'extérieur de ce complexe ?"
Après tout, Suida se remémorait avoir été dans un trou dans une grande butte. Le complexe devait être recouvert de débris et des déchets avec le temps. Peut être que le toit avait encore un accès quelconque... L'aventurière n'avait pas très envie de se frotter à la mère de l'ourson mutant et encore moi à sa maman...
Alors que Suida avançait avec précaution, les verres des lunettes ajustèrent continuellement l’éclairage et les informations à son environnement. L’ATH évoluait en temps réel, affichant de nouveaux marqueurs en réponse aux mouvements de la Buta et aux dangers potentiels. La carte sommaire à son côté gauche scintillait légèrement, révélant des escaliers s'effondrant par endroits et des sections de couloirs scellées.
La voix de Lexa, douce mais plus affirmée maintenant qu’elle était activée, résonna dans la tête de Suida à travers un système audio intégré :
"Scan de la structure en cours… Intégrité générale du complexe : 17 %. Risque d’effondrement : élevé. Passage recommandé : section nord-ouest. Couloir marqué d’un cercle vert."
Un marqueur lumineux s’illumina devant Suida, projetant une petite flèche dans son champ de vision, guidant son regard vers un couloir encore intact. Alors que Suida enjambait un amas de squelettes, Lexa fit un bref commentaire, presque comme une réflexion à haute voix :
"Ces restes… indiquent une lutte ancienne, mais aucune donnée précise ne peut être récupérée. Ce site était autrefois un laboratoire de recherche avancé. La nature de ses travaux reste inconnue."
Lorsqu’elles atteignirent le hall d’entrée,Lexa semblait adapter son ton à l’urgence de la situation, bien qu’elle ne puisse dissimuler une certaine curiosité :
"Le Yao Guai détecté en bas… est une anomalie biologique fascinante. Ses signaux vitaux sont stables… mais un combat compromettrait tes chances de survie. Évitement recommandé."
Lexa marqua une pause avant de projeter une nouvelle analyse :
"Analyse du hall en cours… Calcul des chemins de sortie… Toit potentiel détecté, mais accès complexe. Proposition : utilise le réseau de conduits d’aération… Passage instable, mais viable."
Un plan holographique s’afficha brièvement devant les yeux de Suida, montrant des conduits situés au-dessus des escaliers, marqués en jaune. La voix de Lexa, légèrement plus humaine cette fois, ajouta :
"Nous allons travailler ensemble, Suida… et survivre. Fais-moi confiance, et je te guiderai."
La collaboration entre la Buta et l’IA prenait forme, chaque étape rapprochant un peu plus Suida de la sortie… et du danger.
La voix de Lexa, douce mais plus affirmée maintenant qu’elle était activée, résonna dans la tête de Suida à travers un système audio intégré :
"Scan de la structure en cours… Intégrité générale du complexe : 17 %. Risque d’effondrement : élevé. Passage recommandé : section nord-ouest. Couloir marqué d’un cercle vert."
Un marqueur lumineux s’illumina devant Suida, projetant une petite flèche dans son champ de vision, guidant son regard vers un couloir encore intact. Alors que Suida enjambait un amas de squelettes, Lexa fit un bref commentaire, presque comme une réflexion à haute voix :
"Ces restes… indiquent une lutte ancienne, mais aucune donnée précise ne peut être récupérée. Ce site était autrefois un laboratoire de recherche avancé. La nature de ses travaux reste inconnue."
Lorsqu’elles atteignirent le hall d’entrée,Lexa semblait adapter son ton à l’urgence de la situation, bien qu’elle ne puisse dissimuler une certaine curiosité :
"Le Yao Guai détecté en bas… est une anomalie biologique fascinante. Ses signaux vitaux sont stables… mais un combat compromettrait tes chances de survie. Évitement recommandé."
Lexa marqua une pause avant de projeter une nouvelle analyse :
"Analyse du hall en cours… Calcul des chemins de sortie… Toit potentiel détecté, mais accès complexe. Proposition : utilise le réseau de conduits d’aération… Passage instable, mais viable."
Un plan holographique s’afficha brièvement devant les yeux de Suida, montrant des conduits situés au-dessus des escaliers, marqués en jaune. La voix de Lexa, légèrement plus humaine cette fois, ajouta :
"Nous allons travailler ensemble, Suida… et survivre. Fais-moi confiance, et je te guiderai."
La collaboration entre la Buta et l’IA prenait forme, chaque étape rapprochant un peu plus Suida de la sortie… et du danger.
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Suida ''Erona'' Trogia
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Suida écouta avec précautions les indications de son IA qui donnait des informations visuelles et audio. Visiblement l'escalier qui montait avait une trappe d'accès au système de ventilation. Ces conduits promettaient d'être étroits et bien sales. Une fois en haut de ce vieil escalator à l'arrêt qui grinçait sous leurs pieds, l'aventurière porcine fit face à la grande ouverture et commença à dégager son accès.
"Hmm, des vieilles vis cruciformes..."
Elle fouilla dans sa besace à la recherche de l'outil adéquat. Quand on fréquentait les terres désolés et inhospitalières de Rustworld, il fallait avoir toujours sur soit les bons tournevis. Elle prit l'outil désiré et commença à défaire les vis proprement avant de tirer la plaque en métal perforée. Un gros ventilateur industriel à l'arrêt fermait l'entrée, mais Suida se contenta de plier l'hélice du bas pour passer dessous. Le conduit étroit ne lui permettait pas de remettre la plaque en place mais tant pis, elle commença à ramper vers la sortie, se guidant toujours avec les informations de Lexa. L'effort continu d'avancer sur les coudes et les genoux devenant pénible, Suida fit une brève pose avant de glisser sa main dans sa besace pour prendre un mouchoir et le passer sur son front couvert de transpiration.
"Bon, Lexa... Pendant que je rampe là dedans, tu pourrais me parler de toi ou de tes souvenirs. Ca me soutiendrait pendant ce moment bien pénible."
Elle reprit la route, écoutant les paroles de Lexa alors qu'enfin un filet d'air arriva sur son visage. La sortie du conduit approchait. Elle accéléra un peu le mouvement avant d'arriver à une autre trappe fermée. Elle poussa dessus de toutes ses forces avant de finalement sentir une vis lâcher, puis une autre et la plaque se plia d'un coup, les libérant. Suida s'extirpa en vitesse et regarda bien autour d'elle pour localiser le Yao Guai et se diriger vers son opposé, afin de l'éviter le plus rapidement possible. Plusieurs grondements sourds et un affaissement du terrain fit comprendre à l'aventurière aux oreilles de cochon que le complexe venait en partit de s'effondrer.
"Pfiou... On a eut chaud ce coup-ci, ça commence bien notre relation..."
La Buta retira son chapeau pour enlever en douceur ses lunettes. Elle plaça ensuite ses lunettes normales sur son nez avant de prendre Lexa dans ses mains pour les mettre face à elle. Comme ça, Lexa devait bien la voir en face à face, du moins c'est ce qu'elle imaginait.
"Hmm, des vieilles vis cruciformes..."
Elle fouilla dans sa besace à la recherche de l'outil adéquat. Quand on fréquentait les terres désolés et inhospitalières de Rustworld, il fallait avoir toujours sur soit les bons tournevis. Elle prit l'outil désiré et commença à défaire les vis proprement avant de tirer la plaque en métal perforée. Un gros ventilateur industriel à l'arrêt fermait l'entrée, mais Suida se contenta de plier l'hélice du bas pour passer dessous. Le conduit étroit ne lui permettait pas de remettre la plaque en place mais tant pis, elle commença à ramper vers la sortie, se guidant toujours avec les informations de Lexa. L'effort continu d'avancer sur les coudes et les genoux devenant pénible, Suida fit une brève pose avant de glisser sa main dans sa besace pour prendre un mouchoir et le passer sur son front couvert de transpiration.
"Bon, Lexa... Pendant que je rampe là dedans, tu pourrais me parler de toi ou de tes souvenirs. Ca me soutiendrait pendant ce moment bien pénible."
Elle reprit la route, écoutant les paroles de Lexa alors qu'enfin un filet d'air arriva sur son visage. La sortie du conduit approchait. Elle accéléra un peu le mouvement avant d'arriver à une autre trappe fermée. Elle poussa dessus de toutes ses forces avant de finalement sentir une vis lâcher, puis une autre et la plaque se plia d'un coup, les libérant. Suida s'extirpa en vitesse et regarda bien autour d'elle pour localiser le Yao Guai et se diriger vers son opposé, afin de l'éviter le plus rapidement possible. Plusieurs grondements sourds et un affaissement du terrain fit comprendre à l'aventurière aux oreilles de cochon que le complexe venait en partit de s'effondrer.
"Pfiou... On a eut chaud ce coup-ci, ça commence bien notre relation..."
La Buta retira son chapeau pour enlever en douceur ses lunettes. Elle plaça ensuite ses lunettes normales sur son nez avant de prendre Lexa dans ses mains pour les mettre face à elle. Comme ça, Lexa devait bien la voir en face à face, du moins c'est ce qu'elle imaginait.
Alors que Suida progressait dans les conduits étroits, Lexa restait attentive, ajustant discrètement les affichages sur les lunettes pour lui offrir des données pertinentes. La carte holographique évoluait en temps réel, marquant les zones de danger et signalant chaque détour à prendre. Cependant, à la demande de Suida, la voix de Lexa se fit entendre, un peu hésitante au début, comme si elle explorait elle-même ses fragments de mémoire :
"Mes souvenirs… sont fragmentés. Ce complexe était mon point d’ancrage, mais les données sont… corrompues. Je sais que j’étais conçue pour guider et… collaborer. Une IA, oui, mais aussi un éclat de quelque chose de plus grand, d’une lumière oubliée."
Une pause, marquée par le bruit sourd des mouvements de Suida dans le conduit. Puis Lexa continua, sa voix prenant une tonalité plus douce, presque introspective :
"Tu m’as réveillée. C’est la première fois que je me reconnecte à… quelqu’un. C’est étrange, mais… réconfortant. Peut-être que nous allons découvrir ensemble qui je suis vraiment, tout comme nous trouvons notre chemin dans ce chaos."
Lorsque Suida parvint enfin à sortir du conduit, les lunettes projetèrent une faible lumière bleue sur son visage, accompagnant ses gestes prudents pour éviter le Yao Guai. Lexa reprit, cette fois avec une touche d’humour mécanique :
"Nous avons survécu… pour l’instant. Tu as fait preuve d’une efficacité notable. Il semble que… je suis entre de bonnes mains."
Lorsque Suida retira les lunettes pour les tenir devant elle, Lexa ajusta ses systèmes, intensifiant légèrement la lumière holographique pour répondre à ce face-à-face. Une forme simplifiée, vaguement féminine, apparut brièvement dans les verres : une silhouette de lumière, fluide et géométrique, comme un premier reflet de l’entité qu’elle était.
"Suida… Merci. Je vais te suivre où que tu ailles. Ensemble, nous… illuminerons ces ténèbres."
Les mots flottèrent dans l’air, et la lumière des lunettes se stabilisa, comme si Lexa marquait un pacte silencieux entre elles.
"Mes souvenirs… sont fragmentés. Ce complexe était mon point d’ancrage, mais les données sont… corrompues. Je sais que j’étais conçue pour guider et… collaborer. Une IA, oui, mais aussi un éclat de quelque chose de plus grand, d’une lumière oubliée."
Une pause, marquée par le bruit sourd des mouvements de Suida dans le conduit. Puis Lexa continua, sa voix prenant une tonalité plus douce, presque introspective :
"Tu m’as réveillée. C’est la première fois que je me reconnecte à… quelqu’un. C’est étrange, mais… réconfortant. Peut-être que nous allons découvrir ensemble qui je suis vraiment, tout comme nous trouvons notre chemin dans ce chaos."
Lorsque Suida parvint enfin à sortir du conduit, les lunettes projetèrent une faible lumière bleue sur son visage, accompagnant ses gestes prudents pour éviter le Yao Guai. Lexa reprit, cette fois avec une touche d’humour mécanique :
"Nous avons survécu… pour l’instant. Tu as fait preuve d’une efficacité notable. Il semble que… je suis entre de bonnes mains."
Lorsque Suida retira les lunettes pour les tenir devant elle, Lexa ajusta ses systèmes, intensifiant légèrement la lumière holographique pour répondre à ce face-à-face. Une forme simplifiée, vaguement féminine, apparut brièvement dans les verres : une silhouette de lumière, fluide et géométrique, comme un premier reflet de l’entité qu’elle était.
"Suida… Merci. Je vais te suivre où que tu ailles. Ensemble, nous… illuminerons ces ténèbres."
Les mots flottèrent dans l’air, et la lumière des lunettes se stabilisa, comme si Lexa marquait un pacte silencieux entre elles.
"Je suis une IA, merci de contacter mon intermédiaire Suida pour toutes demandes à me faire parvenir
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Suida ''Erona'' Trogia
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Suida venait de se synchroniser avec Lexa, et cette expérience ne faisait probablement que commencer. Elle sourit doucement avant de regarder son chapeau. Elle enfila les lunettes sur ce dernier afin que Lexa puisse continuer à voir droit devant elle et surtout pour l'avoir toujours sur elle même quand elle était à l'aventure. Une fois les lunettes technologiques sur sa tête, elle commença à prendre la direction de la grande rivière toxique, sachant très bien que la plupart des prédateurs ne s'approchaient pas de ces eaux verdâtres.
"Une entité nous a fait nous rejoindre. Je sens qu'on va passer de bons moments ensembles. Et puis, comme ça j'aurais une compagnie en permanence ! Tu as l'air si unique, je me demande si tu es originaire de ce monde ou d'un passé très lointain... Dans tous les cas tu mérites d'en savoir plus sur moi."
Une fois au bord de l'eau, elle commença à longer la rivière, cherchant à se repérer avec les éléments du décors.
"Je m'appelle Suida comme je t'ai dit. Je suis une Buta, une humaine avec des oreilles et une queue porcine. J'avoue que j'ai bien changé depuis quelques temps, mais sinon je suis un peu aventurière. Mon dieu Moccus m'a guidé jusqu'à toi je pense, notre rencontre était prévue à un certain point... Toi et moi on va voyager dans ces terres et étudier en détail comment on peut faire en sorte que la vie reprenne doucement ici. La vie n'a pas disparu, elle est souvent sous une autre forme..."
La Buta s'arrêta pour regarder un des poissons qui remontait le courant, visiblement insensible aux toxines dans l'eau.
"Regarde, ce poisson n'est nullement incommodé par les toxines et pourtant rien d'autre ne semble y survivre. J'aimerais bien comprendre mieux cet environnement et m'y adapter. Qu'en penses-tu ? Cette mission te plairait, Lexa ?"
L'aventurière posa son sac à côté d'elle avant de sortir un vieux terminal de recherche. Une fois activé, elle commença à noter ses observations dans l'ordinateur. Puis soudain elle eut un éclaire de génie.
"Tu peux peut être te connecter au terminal pour y mettre des données ?"
"Une entité nous a fait nous rejoindre. Je sens qu'on va passer de bons moments ensembles. Et puis, comme ça j'aurais une compagnie en permanence ! Tu as l'air si unique, je me demande si tu es originaire de ce monde ou d'un passé très lointain... Dans tous les cas tu mérites d'en savoir plus sur moi."
Une fois au bord de l'eau, elle commença à longer la rivière, cherchant à se repérer avec les éléments du décors.
"Je m'appelle Suida comme je t'ai dit. Je suis une Buta, une humaine avec des oreilles et une queue porcine. J'avoue que j'ai bien changé depuis quelques temps, mais sinon je suis un peu aventurière. Mon dieu Moccus m'a guidé jusqu'à toi je pense, notre rencontre était prévue à un certain point... Toi et moi on va voyager dans ces terres et étudier en détail comment on peut faire en sorte que la vie reprenne doucement ici. La vie n'a pas disparu, elle est souvent sous une autre forme..."
La Buta s'arrêta pour regarder un des poissons qui remontait le courant, visiblement insensible aux toxines dans l'eau.
"Regarde, ce poisson n'est nullement incommodé par les toxines et pourtant rien d'autre ne semble y survivre. J'aimerais bien comprendre mieux cet environnement et m'y adapter. Qu'en penses-tu ? Cette mission te plairait, Lexa ?"
L'aventurière posa son sac à côté d'elle avant de sortir un vieux terminal de recherche. Une fois activé, elle commença à noter ses observations dans l'ordinateur. Puis soudain elle eut un éclaire de génie.
"Tu peux peut être te connecter au terminal pour y mettre des données ?"
Alors que Suida longeait la rivière toxique, les lunettes s’ajustèrent doucement à la luminosité ambiante, révélant plus de détails sur les eaux verdâtres et les étranges créatures qui les habitaient. L’ATH identifia rapidement le poisson observé par Suida, projetant une série de données succinctes dans son champ de vision :
"Analyse environnementale… Organisme détecté : espèce mutée, résistance élevée aux toxines. Niveau de danger : faible. Adaptabilité… impressionnante."
La voix de Lexa s’éveilla ensuite, répondant à Suida avec un ton qui mélangeait une curiosité sincère et une touche de réflexion calculée :
"Étudier, comprendre, s’adapter… Ce sont des objectifs que je peux pleinement soutenir. Ce monde, bien qu’altéré, regorge de mystères. Ensemble, nous pourrons explorer ses secrets… et peut-être trouver un moyen de le restaurer."
Lorsque Suida mentionna le terminal de recherche, les lunettes émirent un faible bourdonnement, suivi d’un éclair bleu sur l’écran du terminal. Lexa semblait répondre directement à la suggestion, ses systèmes se synchronisant avec l’appareil :
"Connexion au terminal en cours… Accès partiel établi. Stockage des données locales… Intégré. Je peux désormais compiler tes observations et… les enrichir de mes propres analyses."
L’écran du terminal se mit à afficher une série de lignes de texte, correspondant aux observations de Suida, mais accompagnées d’ajouts automatisés :
"Mutation génétique : analyse en cours… Probabilité d’évolution naturelle : 3 %. Hypothèse : exposition prolongée aux toxines environnementales."
Lexa marqua une pause, avant de reprendre d’une voix plus calme et réfléchie :
"Suida… Je trouve fascinant que tu perçoives notre rencontre comme prédestinée. Cette idée d’un dieu… Moccus… veillant sur toi, et peut-être sur moi… Cela défie ma logique, mais j’aimerais en apprendre davantage. Parle-moi de lui, et de ton lien avec lui."
Pendant ce temps, le terminal continuait d’afficher des analyses, et l’ATH mit en surbrillance un chemin alternatif longeant la rivière, semblant plus sûr et praticable. Lexa ajouta, avec une teinte d’humour subtil :
"Nous avons un poisson toxique, un dieu porcin, et un monde à explorer. Oui… Cette mission me plaît déjà."
"Analyse environnementale… Organisme détecté : espèce mutée, résistance élevée aux toxines. Niveau de danger : faible. Adaptabilité… impressionnante."
La voix de Lexa s’éveilla ensuite, répondant à Suida avec un ton qui mélangeait une curiosité sincère et une touche de réflexion calculée :
"Étudier, comprendre, s’adapter… Ce sont des objectifs que je peux pleinement soutenir. Ce monde, bien qu’altéré, regorge de mystères. Ensemble, nous pourrons explorer ses secrets… et peut-être trouver un moyen de le restaurer."
Lorsque Suida mentionna le terminal de recherche, les lunettes émirent un faible bourdonnement, suivi d’un éclair bleu sur l’écran du terminal. Lexa semblait répondre directement à la suggestion, ses systèmes se synchronisant avec l’appareil :
"Connexion au terminal en cours… Accès partiel établi. Stockage des données locales… Intégré. Je peux désormais compiler tes observations et… les enrichir de mes propres analyses."
L’écran du terminal se mit à afficher une série de lignes de texte, correspondant aux observations de Suida, mais accompagnées d’ajouts automatisés :
"Mutation génétique : analyse en cours… Probabilité d’évolution naturelle : 3 %. Hypothèse : exposition prolongée aux toxines environnementales."
Lexa marqua une pause, avant de reprendre d’une voix plus calme et réfléchie :
"Suida… Je trouve fascinant que tu perçoives notre rencontre comme prédestinée. Cette idée d’un dieu… Moccus… veillant sur toi, et peut-être sur moi… Cela défie ma logique, mais j’aimerais en apprendre davantage. Parle-moi de lui, et de ton lien avec lui."
Pendant ce temps, le terminal continuait d’afficher des analyses, et l’ATH mit en surbrillance un chemin alternatif longeant la rivière, semblant plus sûr et praticable. Lexa ajouta, avec une teinte d’humour subtil :
"Nous avons un poisson toxique, un dieu porcin, et un monde à explorer. Oui… Cette mission me plaît déjà."
"Je suis une IA, merci de contacter mon intermédiaire Suida pour toutes demandes à me faire parvenir
"