La Terre ne se limite pas qu'à une ville au Japon !

Re: Les nuits parisiennes [Ladybug]

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Chat Noir
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L’amour s’exprimait de la façon la plus matérielle et la plus intensive qui soit. Adrien la pénétrait, il venait de la percer. Il en avait vaguement conscience, et frissonnait furieusement. Il n’avait jamais été dans un t(el état d’excitation, comme si un démon s’était emparé de lui ! Devant lui, Marinette lui demanda d’aller moins vite. Il l’entendit, et déglutit, se redressant un peu, retirant sa verge de quelques centimètres en elle.

« C’est… C’est si dur, Ma-Marinette… »

Pouvait-il s’arrêter si bon chemin ? Oh, cela lui semblait impossible ! Il déglutit, sentant les parois internes de Ladybug l’attraper. Il avait l’impression d’être coincé en elle, sentant son intimité s’humidifier. Elle se pressa contre lui, et il s’enfonça finalement encore, sentant les jambes de Marinette se resserrer autour de sa taille. Leurs combinaisons crissèrent ensemble, et il griffa les épaules de Marinette. Fort heureusement, sa combinaison et celle de Marinette absorbaient les griffures, ce qui fit que son amante ne ressentit qu’une douleur très virtuelle. Adrien l’embrassa encore, et déplaça sa main, pour caresser les cheveux de Ladybug. Il serra sa main sur sa nuque, et continua à la prendre, hale tant et soupirant, grognant également en retenant sa salive. Il était énergique et sportif. De fait, sans sa forme de Chat Noir, Adrien était sûr qu’il aurait déjà joui depuis longtemps ! Mais cette tenue lui confiait après tout une force et une endurance surnaturelles. Et, de toute évidence, cela marchait aussi pour faire l’amour !

Il sentit Marinette gémir différemment. Elle n’avait plus mal, il en était sûr ! Ou peut-être était-ce ce qu’il avait envie de croire ! Il ferma les yeux en soupirant encore, sentant le souffle précipité de Marinette sur ses lèvres. La sueur était là, faisant luire sa combinaison et son visage, mais il ne la sentait pas. Tout ce qu’il sentait, c’était cette vague, cette soif qui hurlait en elle, son être qui était en train de s’enflammer ! Il brûlait avec elle, et ne pouvait penser à rien d’autre. Elle l’envahissait pleinement, et cette énergie en lui… Elle était incroyable ! Il se sentait puissant, fort, plus énergique et plus endurant que jamais ! Et elle… Elle irradiait devant lui ! Si belle, si belle ! Adrien soupirait en la regardant, en l’entendant gémir, en voyant son visage se fondre sous l’effet d’un plaisir indicible et ancestral.

« Marinette, hmmm… Je t’aime… »

Elle se lova contre le creux de son cou, et il raffermit sa prise sur sa tête, puis, quand sa tête se décolla, Adrien l’embrassa encore. Il s’enfonçait encore, encore et encore… Jusqu’à ce que, finalement, tout son membre disparaisse en elle. Il heurtait son col de l’utérus, la prenant jusqu’à la garde. Sans qu’aucun des deux ne s’en rende compte, leurs pouvoirs les unissaient. Leurs Miraculous vibraient ensemble.

« Je… Je vais jouir en toi… Hmmm… »

Pour sa première fois, il ne se voyait pas faire ça autrement : il voulait jouir en elle ! Tout son corps sembla se tendre, il griffa le lit sans le remarquer, lacérant un oreiller. Ses doigts se serrèrent dans le coton à l’intérieur, et il grogna même, avant de sentir la vague l’envahir… Et l’expulsa ensuite dans un soupir silencieux.

…Et se mit à jouir en elle !
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Ladybug
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Ils étaient unis, leurs corps dansaient à l’unisson dans une valse vieille comme le monde. Ses lèvres se scellèrent avec celles de Chat Noir, sa langue partait à la rencontre de sa consoeur râpeuse. Ses jambes étaient enroulées autours de la taille de son amant ; le maintenant contre lui et chacun de ses pénétrations lui arrachaient des tremblements qu’elle ne pouvait pas contrôler. Les sensations s’enchaînaient : la douleur avait laissé sa place au plaisir qui grandissait encore et encore. Ladybug pouvait sentir son cœur qui tambourinait contre sa poitrine et son souffle se faire plus difficile, ce qui l’amena à pousser des gémissements ô combien délicieux aux oreilles de Chat Noir.

« Haaa…haa Cha…Chaton… »

Il s’enfonçait, encore et encore. Elle pouvait le sentir, tout entier, écarteler ses parois internes et se frotter dans son intimité. Il était si grand ! Du moins, qu’importe sa taille, elle ne pouvait pas être plus heureuse qu’à cet instant ! Elle était à lui et il était sienne…Cette union, elle en avait rêvé depuis des années et elle se concrétisait enfin ! Leurs combinaisons crissaient et leurs sueurs perlaient sur ces dernières. Ladybug s’agrippa plus fermement venant griffer un peu les épaules de Chat Noir quand il heurta son col et lorsqu’il parla, lui annonçant qu’il allait jouir en elle, ses joues prirent une teinte écarlate :

« Att… »


Mais il était trop tard. Elle sentit la vague de chaleur exploser dans son bas ventre tandis que le membre de son compagnon tressautait joyeusement en se vidant. Elle écarquilla les yeux en comprenant ce qui arrivait à cet instant et d’un coup, dans ses pensées, cette petite vision d’une famille avec Adrien comme elle en avait tant rêvée germa. Une vision idyllique qui, couplé avec les tressautements de sa queue la firent également chavirer et l’amena à avoir un orgasme quasiment en même temps que lui. Elle le serra plus fort contre elle afin d’en profiter au maximum, tremblante de tout son corps et quand enfin, la vague fut passée, elle relâcha son étreinte pour retomber sur le lit, en sueur et quelque peu mollassonne.

« C’est…C’est le plus beau jour de ma vie… »

Un jour qui semblait être un rêve lointain et qui s’était enfin réalisé !

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Chat Noir
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Il savait qu’il ne fallait pas jouir en elle. Il y avait trop de risques. Qu’elle tombe enceinte, qu’elle attrape une saloperie… Mais, à ce moment précis, cette voix de prudence n’était qu’un murmure inaudible, un écho lointain. Il avait la croyance absolue que tout irait bien, qu’elle n’aurait rien à craindre, et la simple idée qu’elle puisse tomber enceinte, à ce moment précis, ne faisait en réalité que renforcer son envie de jouir en elle. C’était la femme de sa vie, il le savait, il savait qu’il n’en aimerait aucune autre de la même façon. Alors, jouir en elle, c’était la seule chose logique à faire. Elle eut beau lui dire, entre deux soupirs, d’attendre, il grogna, incapable de l’écouter. Le courant l’emporta. Il était comme un homme sur son radeau en plein rapide, ne pouvant rien faire pour ralentir sa vitesse, ou contrôler quoi que ce soit. Tout son corps vibrait, frissonnait, ronronnait, témoignant des sensations inédites et incroyables qu’il ressentait en ce moment précis.

« Hmmmm… »

Un orgasme intense, puissant, salvateur. Il avait déjà joui en se masturbant, bien sûr, mais… Ça n’avait jamais été aussi intense, jamais été aussi fort ! Il lui sembla en effet que tout son corps vint se vider, qu’il s’abandonnait totalement et pleinement. Une libération absolue, une jouissance phénoménale. Tout son corps s’enflamma, et il retomba ensuite. Ce moment d’éternité disparut aussi vite qu’il était venu, et il s’étala contre elle, respirant lourdement, en sueur. Il respirait longuement, et sourit à la phrase de Mairnette. Il l’embrassa dans le creux du cou.

« Tu me voles mes phrases, Marinette… »

Adrien se mit ensuite sur le côté à son tour, et soupira lentement en regardant le plafond. Il se sentait étrangement apaisé, serein. Même s’il allait quitter demain la France, il était soulagé.

« Même si on va se revoir et qu’on continuera à se parler, tu vas me manquer… C’est idiot… On a été ensemble tous les jours pendant si longtemps, et ce n’est que maintenant, à la fin, que je réalise tout ce temps perdu… Tout ce temps où on était ensemble, et où on s’est tournés autour… Je réalise maintenant que, d’ici quelques jours, tu ne seras plus là tout le temps… »

Il se mit sur le flanc, et caressa avec sa main le visage de Marinette, souhaitant chasser les pensées tristes pour n’en conserver que l’essentiel :

« Je te promets qu’on ne perdra plus notre temps, Marinette. Je t’aime, et ton amour m’est plus important que tout. »
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Ladybug
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Elle frémissait encore sous le coup de l’émotion, sa poitrine se soulevant et s’abaissant au rythme de sa respiration saccadée qui se calmait peu à peu. Quelles émotions ! Mais après cet instant d’allégresse, Adrien les ramena tous les deux à la triste réalité, celle qui affirmait qu’il partirait dès le lendemain, loin de Paris, loin d’elle. Mais Marinette ne l’entendit pas de cette oreille ! Elle se tourna vers lui caressa sa joue avant de venir l’embrasser. Un baiser qui sonnait un peu comme un baiser d’adieu mais également…d’espoir ?

« Nous pourrons nous voir à notre guise Chaton…Pour cela, il me suffit de te confier le miraculous du cheval, il te permettra de voyager à loisir et ce, qu’importe la distance qui nous sépare ! Et puis si Papillon attaquait Paris pendant ton absence, tu saurais vite me rejoindre pour le combattre ! il faudra juste me rendre le miraculous si j’ai besoin de le confier à son porteur actuel. »

Kaalki était la solution trouvée ! Certes elle avait un caractère bien trempé et sa relation avec Plaag pouvait être un peu tendu au début mais les Kwamis n’étaient pas des ennemis mutuels, le « conflit » ne serait donc que minime. Et puis cela répondrait également au besoin de venir rapidement sur Paris si une urgence arrivait ! Oui c’était tout trouvé ! Elle lui confirait le miraculous du cheval !

« Je sais que tu sauras bien t’en occuper et puis…Je ne me vois pas chercher un autre Chat Noir pour te remplacer, pas maintenant, pas à présent que je sais qui se cache derrière ce masque. »


Oh non, elle ne le pourrait pas, maintenant qu’elle savait la vérité, qu’elle connaissait sa véritable identité et lui aussi. Mais ce qui signifiait aussi qu’ils devront être beaucoup plus prudents. S’ils venaient à être akumatisé, ils pourraient se trahir mutuellement sans le vouloir. Songeant à cela, elle prit les mains de Chat Noir dans les siennes et le regarda :

« Nous devrons être plus prudent maintenant ! Si Papillon viendrait à akumati….attend !  - elle se releva d’un bon, sa tenue s’étant magiquement refermée également – tu as entendu ? »


Au loin, une explosion venait briser le calme de la nuit…

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Chat Noir
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Le Miraculous du Cheval… Quand Marinette l’évoqua, Adrien écarquilla des yeux, et se redressa brusquement, se sentant tout d’un coup idiot.

*Pourquoi je n’y ai pas pensé ?*

Il ne répondit pas au baiser de Marinette, car il était sous le choc. Le Miraculous du Cheval permettait notamment de générer des Portails à distance, pour se téléporter n’importe où. Il mit cela sur le compte de la rivalité entre Kaalki et Plagg. Ce dernier avait coutume de dire que Kaalki était trop bruyante et trop énergique pour lui. Il rougit en se sentant idiot, tandis que Marinette lui expliquait que les deux Kwamis arriveraient sûrement à s’entendre, et qu’elle lui prêterait sans problème le Miraculous, ne serait-ce que pour qu’il l’aide contre Papillon. Adrien sortit de sa torpeur quand Marinette évoqua l’idée de le remplacer par un autre Chat Noir. Il secoua la tête, et fronça alors les sourcils.

« Hey ! Me remplacer ? Ma Lady, vous vous égarez, il n’y a qu’un seul Chat Noir, et c’est moi ! » s’exclama-t-il fièrement.

Marinette, comme toujours, envisageait toujours le pire. C’était aussi pour ça qu’elle était Ladybug, et la cheffe. Elle lui attrapa les mains, et l’invita à être prudent, car, si jamais Papillon venait à les akumatiser, les choses pourraient se compliquer. Adrien pourrait-il révéler à Papillon l’identité secrète de Ladybug ? Cette idée l’horrifiait ! Il comptait bien lui répondre, mais ses poils vibrèrent, signe d’un danger. Il entendit ensuite une déflagration lointaine, et se retourna peu de temps après Ladybug, sa combinaison se remettant également en place.

« Oui… J’en ai frissonné de partout… »

Adrien vit un chapelet de fumée s’élevant au-dessus des toits. Il se pinça les lèvres, et remit son masque.

« Okay, ma Lady, en piste ! »

Les deux se propulsèrent ensuite sur les toits de Paris. Ils remontèrent le long de la rue de l’Université, et une nouvelle explosion illumina encore la nuit parisienne. Adrien était un PGS ambulant, il avait couru sur ces toits toute sa vie, filant à quatre pattes, se propulsant derrière Ladybug, ; l’aidant à bondir par-dessus de grandes avenues, chacun s’aidant mutuellement quand la ficelle de Ladybug ou ces sauts de félins ne suffisaient pas. En remontant la rue de l’Université, ils arrivèrent à un gros carrefour avec l’avenue Rapp, puis avec l’avenue Bosquet, les deux se rejoignant à cet endroit pour filer vers le pont de l’Alma.

L’incendie était de l’autre côté de la Seine. Ils rejoignirent l’une des tours pointues de la cathédrale de la Sainte-Trinité, puis Chat Noir se catapulta dans les airs, Ladybug le ceinturant. Il s’envola haut en l’air, surplombant le pont de l’Alma, et Ladybug bondit à son tour, déployant pendant son saut sa ficelle pour agripper la façade d’un des immeubles haussmanniens surplombant la massive avenue de New York. Lui s’agrippa alors à son tour à elle, et ils remontèrent ensuite sur les immeubles en suivant la voie Georges Pompidou et Cours Albert-Ier.

Une troisième explosion illumina encore le ciel, tandis que des voitures de police, gyrophares hurlants, se dirigeaient vers les explosions, ainsi qu’un camion de pompiers. Il y avait encore du trafic à cette heure, mais modéré. Toutefois, Adrien avait un mauvais pressentiment. Ce quartier, il le connaissait par cœur, car c’était son quartier de naissance, et ces explosions, cette fumée… Adrien et Marinette rebondirent sur l’ambassade du Brésil, et coururent sur le toit, tandis qu’Adrien confia ses craintes à son aimée :

« Ma Lady… Je crains que Papillon n’attaque mon père !! »

Ils traversèrent place de la Concorde, et un hélicoptère les surplomba. Adrien leva la tête, et fronça les sourcils. Ce n’était pas un hélicoptère de la police, ni de la presse. Il avait un curieux écusson qu’il n’avait jamais vu, et l’hélicoptère était peint en noir.

Le manoir Agreste se situait Place-Châtelet. Son père avait racheté un immeuble qui était le siège de la Chambre Départementale des Notaires pour y édifier son manoir. Fait amusant, il y avait derrière le manoir un café qui s’appelait « Le Chat Noir ». La Place Châtelet, il la connaissait bien, il y avait une station de métro dans un angle, et une grande place avec la Fontaine du Palmier et une statue massive qui s’y trouvait. De l’autre côté, le Pont au Change menait tout droit à l’Île de la Cité, avec une vue magique sur la Conciergerie et sa série d’immenses tours.

Quand ils rejoignirent la zone, ce fut pour voir une voiture de police voler dans les airs, et faire une série de tonneaux au sol. Le théâtre du Châtelet se trouvait à côté, les gens hurlaient, pensant à une nouvelle attaque terroriste. La police établissait des cordons de sécurité, et Adrien reconnut l’hélicoptère qui les avait doublés tout à l’heure, projetant des missiles vers son manoir. Il arriva sur une corniche, et vit, horrifié, les missiles filer à travers plusieurs fenêtres du manoir, provoquant de surpuissantes explosions.

Tout le manoir était en feu, le portail massif à l’entrée avait été arraché, et une voiture blindée s’était garée à l’entrée, mais elle avait été retournée, et de la fumée s’échappait du moteur. Une roue tournait encore dans le vide. Fait notable, et qui acheva de surprendre un Adrien médusé, sur le perron, Papillon protégeait le manoir en projetant ses redoutables papillons noirs sur des commandos qui attaquaient le manoir, les akumatisant. Leurs yeux luisaient alors en violet, et ils se retournaient vers les assaillants. Au-dessus du manoir, Adrien vit une impressionnante nuée de papillons noirs. Il n’en avait jamais vu autant réunis en un seul endroit, et Papillon les abattait sur tous ceux qui passaient par là : civils, policiers…

« Mais qu’est-ce qui se passe ?! »

Un citoyen akumatisé se mit à hurler, et son corps évolua. Un touriste qui photographiait à tout-và, et qui se mit à cligner des yeux, déclenchant des clichés vivants, figeant les commandos qui le regardaient. L’un d’eux tendit alors sa main, et son corps se mit à durcir, à enfler, puis il projeta une onde de choc qui frappa le civil akumatisé, l’envoyant valser sur la terrasse d’un restaurant, renversant des tables.

C’était un chaos indescriptible, et Adrien n’avait qu’une inquiétude : retrouver son père à l’intérieur du manoir !
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Re: Les nuits parisiennes [Ladybug]

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Ladybug
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Ladybug avait suivi Chat Noir pour arriver sur les lieux de l’explosion. L’endroit n’était autre que le manoir Agreste qui était actuellement recouvert de flammes ! Un étrange hélicoptère surplombait la demeure tandis que Papillon se tenait devant et envoyait ses papillons afin d’akumatiser quiconques s’approchaient d’un peu trop prêt. Ladybug fronça les sourcils et se tourna vers Chat Noir :

« Je ne sais pas pourquoi Papillon a attaqué ta maison Chaton mais on ne va pas le laisser faire le souci…-elle releva la tête vers la nuée de papillons- c’est bien trop dangereux…Si Papillon nous voit il enverra toute sa nuée sur nous… »

Que faire alors ? Il ne semblait n’y avoir aucun accès ! Papillon surveillait tout le périmètre et les forces de l’ordre ne semblaient pas d’être d’une grande utilité. Utiliser le pouvoir du miraculous serait aussi trop prématurée et pire que tout : Elle indiquerait leurs positions ! Non, elle devait réfléchir et trouver une solution…

« Nous n’y arriverons pas seule. Même si nous connaissons nos identités, je préfère garder celle des autres porteurs connus de moi-seule…Je vais aller les chercher. Je suis sûre aussi qu’ils m’attendent et qui ont vu ce qui se passaient à la télévision. Toi, essayes de t’infiltrer dans ton manoir et de trouver ton père ! Fais-toi le plus discret possible, comme un chat !
– elle l’embrassa furtivement – fais attention, je reviens avec du renfort le plus rapidement possible ! »

Et à ses mots, Ladybug s’éloigna du chao, partant chercher les autres porteurs des Miraculous…

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Chat Noir
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Ladybug indiqua qu’elle allait chercher des renforts. Chat Noir hocha la tête, puis sourit à Marinette.

« Ne t’en fais pas, ma Lady, ton fidèle Chat Noir ne compte pas mourir ce soir. »

Ils avaient déjà eu ensemble des crises graves à réagir, mais jamais Papillon n’avait employé des mercenaires… Ni autant de papillons. Il y avait quelque chose d’apocalyptique dans ce spectacle. Chat Noir avait clairement un mauvais pressentiment. Il bandit ses muscles, et bondit en contrebas. Il atterrit sur un civil akumatisé, et le renversa au sol. Un autre civil se retourna vers lui, et souffla dans une machine à bulles, générant des bulles aqueuses collantes. Chat Noir les esquiva rapidement, et frappa le civil au torse. Le coup envoya le civil contre un mur, et il vit le papillon s’échapper de ses lèvres. Une explosion supplémentaire illumina le manoir. Adrien courut en avant, et fit un bond qui l’amena sur le perron. Papillon était parti à l’intérieur. Le mauvais pressentiment de Adrien s’amplifia dans sa poitrine.

Adrien pénétra à l’intérieur du hall d’entrée, ce grand hall d’albâtre. Des mercenaires gisaient au sol, et Papillon se trouvait sur le perron. Des mercenaires gisaient au sol.

« Papillon ! Je ne te laisserai pas attaquer mon père ! »

Difficile de dire si Papillon put l’entendre, car l’énorme lustre tomba au même moment dans une explosion. Adrien tomba au sol, soufflé par la déflagration, et courut sur le côté. Il fila par une pièce latérale pour rejoindre un escalier secondaire. Il rejoignit ainsi la cuisine. L’énorme réfrigérateur américain s’était renversé, la vitre était détruite, et il y avait du feu partout. Il passa par une autre porte, et rejoignit la grande salle à manger. Il y avait ici une mezzanine menant à l’étage, ainsi que plusieurs mercenaires.

« C’est qui, ce môme ?
C’est l’un de ces super-héros à la noix…
Le mignonnet… »

Adrien déploya son bâton, et bondit sur l’un des mercenaires, puis dévia avec son bâton le canon du fusil d’assaut d’un autre, avant de le projeter du pied contre le mur. Chat Noir bondit ensuite sur la mezzanine, et sauta pieds joints sur la tête d’un ennemi, le clouant au sol. Il continua à courir vers le bureau de son père, au deuxième étage. Au fond de la salle à manger, il traversa un couloir, et glissa sur le sol, évitant ainsi la déflagration du fusil à pompe d’un autre bandit. Il rebondit ensuite en s’aidant de son bâton, et le frappa du pied dans le ventre. Adrien rejoignit ainsi un grand escalier. Trois commandos lui faisaient face, mais, avant qu’il ne puisse réagir, une fenêtre explosa en libérant un flot de papillons noirs qui repoussèrent les mercenaires, les projetant en contrebas.

N’ayant pas le temps de s’appesantir, Chat Noir grimpa au deuxième étage, et courut vers le hall central. La porte du bureau de son père était éventrée. Chat Noir courut encore, et bondit par-dessus un balcon. Il rejoignit le couloir menant au bureau, et fila encore, oubliant toute prudence… Ce qui fit que, quand le plafond explosa, il se retrouva juste en-dessous.

La porte du bureau de son père explosa également, et il se retrouva sous une poutre, sonné. Sonné, les oreilles sifflantes, la vision trouble, il s’habitua peu à peu à la situation, et vit devant lui… Papillon, en train de se battre avec un homme intégralement recouvert d’une combinaison noire et orange équipée d’une lame. La lame trancha en deux le bâton de Papillon, qui, surpris, tomba au sol. Adrien commença à ramper, s’extirpant péniblement des débris.

« Je… Nous ne sommes pas obligés d’en arriver là…
Mes employeurs m’ont chargé de vous transmettre un message. »

Le mercenaire rangea sa lame dans son fourreau. Il avait brisé le masque de Papillon avec sa lame, mais son corps le masquait.

*Où est Père ?*

Le mercenaire avait sorti un téléphone, et se pencha vers Papillon, faisant écouter un message. Il avait activé le haut-parleur, mais Adrien ne pouvait pas tout entendre :

« …Un regrettable gâchis… Nous vous avons accordé votre confiance, et vous n’avez pas été capables de respecter les délais. Pensez-vous sincèrement que, après vous avoir parlé des Kwamis, nous laisserions entre vos mains incapables le sort de notre fille ? Vous êtes un bon-à-rien, Gabriel, vous l’avez toujours été. Votre fortune est notre fortune, et vous n’avez aucun talent en ce qui concerne la mode. Nous avons eu tort de vous faire confiance… Par respect pour notre fille et notre petit-fils, Gabriel, nous vous épargnons. Soyez gentils de remettre Gabriel à notre employé. »

Adrien n’y comprenait plus rien. Une flamme tomba sur son masque déchiré, et il grogna en le retirant, tandis que le mercenaire se mit à frapper Papillon.

« Où est ton fils ? Parle !
Vous n’emporterez pas Adrien ! »

Chat Noir essayait de ne pas écouter. Il réussit alors à sortir, et écarquilla les yeux en voyant Papillon glisser sur le côté.

*Ce… C’est… Non…*

La surprise de constater que Papillon était son père s’effaça bien vite. L’homme vit le regard surpris de Gabriel, et se retourna alors.

« Oh… Il suffisait de demander gentiment.
Adrien… Tu dois partir, je t’en prie ! Fuis !
Laissez Père tranquille ! »

Jamais Adrien n’avait été autant énervé. Ses griffes se déployèrent.

« Oh… Tu es Chat Noir, donc… Cela fait sens, après tout. Tu veux vraiment jouer à ça, petit ? Les phénomènes de foire que tu as affrontés à Paris, c’est une chose, mais là, tu rentres dans la cour des grands.
Va crever, ordure !! »

Il se mit en position, et leva sa main, générant dans sa paume une sphère noire.

« CATACLYSME !! »

Image

Adrien bondit vers le mercenaire… Et se reçut un violent coup de genou dans le ventre. Il écarquilla les yeux en posant ses deux mains sur son ventre, et finit à genoux, avant d’éternuer douloureusement en sentant l’air lui manquer, tandis que sa main avait heurté le mur, faisant exploser ce dernier.

« Tu es… Très lent. C’est quoi, tous ces mouvements, petit ? Tu t’es cru à un bal masqué ? »

Adrien se redressa, et attaqua avec son bras… Pour voir la main de l’homme attraper son poignet, puis le frapper à nouveau au ventre avec le pied. Le coup souffla Adrien, le jetant au sol. Il sentit le goût du sang dans sa bouche.

« Adrien… Tu ne peux rien contre lui… Va-t-en…
Vous, les mutants, les super-héros, les métahumains, les mages, les je-ne-sais-quoi… Vous vous croyez tellement supérieurs parce que vous affrontez des minables. Mais à quoi bon avoir des pouvoirs surpuissants, si tu ne peux pas toucher ta cible ? »

Adrien cracha encore du sang sur le sol, et se releva, avant de déployer encore ses griffes.

« Amène-toi…
Tu as du cran, je te reconnais ça. Admirable, si ce n’était pas suicidaire. »

L’homme bondit alors. Terriblement rapide. Il feinta une attaque, et Adrien déploya son bâton en le faisant tournoyer. L’homme fléchit les genoux, et bondit ensuite en prenant appui avec une main sur le sol, ce qui lui permit de se retourner en l’air. Adrien sentit son nez se craquer, et le coup le propulsa par le trou qu’il avait fait. Il tomba deux étages plus bas, s’écrasant sur la pelouse du jardin. Sa combinaison était déchirée, et l’homme descendit ensuite en glissant avec une griffe sur le mur.

« La combinaison te protège, mais pas assez… Tu as plusieurs côtes brisées, ainsi que ton pied. Ne me force pas à faire ça, petit, tes grands-parents vont m’en vouloir si je te tape trop.
M-Mes grands-parents ? Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Qui êtes-vous ?!
Ton père a conclu des contrats, et n’a pas honoré ses engagements. J’ai été envoyé pour lui faire comprendre que toute action entraîne des conséquences. Tu peux utiliser mon nom de code, gamin, je suis… »

Deathstroke !
Modifié en dernier par Chat Noir le 10 déc. 2024 01:52, modifié 1 fois.
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Re: Les nuits parisiennes [Ladybug]

Message par Ladybug »

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Ladybug
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Ladybug se dépêchait, allant aussi vite que possible par-delà les toits de Paris. Elle savait qu’elle ne pouvait se permettre de ralentir, Chat Noir comptait sur elle ! Et après toutes ces années à espérer enfin de sortir avec Adrien Agreste, voilà que son vœu était enfin exhaussé ! Et tout ça pour quoi ? Pour qu’on le lui retire dès le lendemain ? Il en était hors de question ! Plus elle avançait vers chez elle et vers le coffre contenant les Kwamis, plus Ladybug songeait à une chose : Elle n’aurait jamais le temps de chercher chacun des porteurs des miraculous qu’elle aura choisi et revenir après au Manoir Agreste avant qu’il ne soit trop tard. Il fallait donc qu’elle agisse seule et vite.

Elle arriva par le toit de la boulangerie familiale et ouvrit la petite trappe qui mena à sa chambre, vérifiant au passage que personne ne s’y trouvait pour éviter de mauvaises surprises et des explications dont elle n’avait largement pas le temps de s’en préoccuper. Un coup d’œil rapide dans la chambre, personne en vue, Ladybug rentra donc dans sa chambre et fila droit vers la cachette où la boîte des Kwamis résidait. Elle l’ouvrit et observa les différents Miraculous à sa disposition.

« Voyons voir…Prenons celui du Cheval pour arriver plus vite à destination ou s’enfuir de celui-ci – elle enfila la paire de lunette noire  faisant apparaître au même instant Kaalki à ses côtés – nous aurons aussi besoin de celui du Renard, ses illusions pourrons nous être précieuses – cette fois elle enfila le collier, Trixx apparaissant às es côtés – Celui du Coq pour choisir un pouvoir de notre choix – L’anneau du pouce fut placé et Orikko apparu – D’autres auraient été utile mais…je ne peux pas me permettre d’en prendre plus – elle regarda les Kwamis autour d’elle – merci de m’aider les amis, je vais avoir besoin de votre puissance….Kaalki ! Trixx ! Orikko !  Amalgame ! »

Les Kwamis rentrèrent donc dans leurs miraculous respectif, donnant par ce biais une nouvelle apparence à Ladybug. Sa chevelure se changea en une queue de cheval à la place des ses chignons habituelles, des « plumes » apparurent sous ses bras et une mèche orange au niveau de sa chevelure.

« Bon, ne perdons pas de temps…VOYAGE ! »

Grâce au pouvoir du Cheval, Ladybug revint non loin de la zone de conflit, notant bien rapidement qu’elle ne voyait aucune trace de Chat Noir. Fronçant ses sourcils elle devina rapidement que quelque chose clochait et à la vue du manque de papillons noirs dans le ciel, ce n’était pas la faute de Papillon…Mais alors de qui ? Elle fit apparaître le pouvoir du Coq, réfléchis quelques instants et…

« Invisibilité. »

Ladybug disparu donc, devenant invisible. Elle s’avança donc, prenant garde à ne pas faire d’erreurs dans ses déplacements afin de ne pas être repérée par inadvertance, comme marcher dans une flaque d’eau par exemple... Sa progression fut lente mais elle se stoppa net quand elle vit Chat Noir gisant au sol, en bien mauvaise posture ainsi qu’un homme au-dessus de lui. Qui…était Il ? Elle n’en avait pas la moindre idée et elle ne voulait pas le savoir pour le moment, l’identité de Chat Noir devait rester secrète ! Sans un bruit elle invoqua la flûte du Renard, se mis assez loin pour ne pas être entendu, par chance, le chao masquait aussi sa présence dans le cas présent, et elle joua rapidement quelques notes, générant une illusion d’elle-même qui aurait pour but de détourner l’attention de Deathstalker de Chat Noir. Une simple seconde suffirait. Une simple seconde où il détournerait un instant les yeux…Et à cet instant Ladybug lancerait un portail de téléportation sous Chat Noir. Tout était donc question de timing…

« Allez…Ca doit marcher… - songea Marinette en observant son illusion qui s’approchait de la zone visée. »

Re: Les nuits parisiennes [Ladybug]

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Chat Noir
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Chat Noir avait affronté bien des adversaires dangereux et puissants. Les papillons noirs donnaient parfois des individus de pouvoirs terrifiants, et Papillon lui-même était un adversaire retors. Confus, perdu, Adrien peinait encore à se faire à l’idée que son père puisse être Papillon, et qu’il avait perdu sa virginité il y a un peu plus d’une heure auprès de la femme qu’il aimerait toujours. À cette idée, plus que la douleur qu’il ressentait, son cœur se serrait. Ne pourrait-il donc pas continuer à la voir ? Cette idée lui était absolument insupportable. Peut-être que Ladybug avait eu le pressentiment que les choses allaient déraper ainsi ? Car, de tous les ennemis qu’il avait combattus, Adrien s’était rarement senti aussi impuissant. La vue de son père blessé lui avait amené à perdre toute prudence, à foncer dans le tas avec cette arrogance qui, dans le fond, l’avait toujours marqué. Les choses auraient-elles été différentes s’il avait été plus prudent ? Il était en droit de le croire, mais il ne le pensait pas vraiment.

Il rampait donc en arrière, tandis que Deathstroke marchait lentement vers lui. Un hélicoptère ne tarda pas à les survoler, et Adrien aperçut alors sa Lady, qui se tenait derrière Deathstroke. Il la connaissait suffisamment pour savoir que c’était une diversion, et qu’elle était à proximité. Adrien s’efforça de regarder le clone, comme pour amener Deathstroke à croiser son regard, et ainsi à s’éloigner. Si Marinette avait été chercher les Miraculous, elle devait probablement avoir celui du Coq, qui lui permettait d’être invisible, et celui du Cheval, qui permettait de générer des Portails de téléportation.

*Pourquoi il ne se retourne pas ?*

Adrien se mordilla les lèvres.

« Je ne viendrais pas avec toi… Ladybug, frappe-le ! »

Deathstroke fit mine de tourner la tête… Et déploya dans le même temps un bâton de combat télescopique, qui frappa Ladybug dans le ventre.

« Vous n’êtes vraiment que des enfants si vous pensiez que des tours aussi grossiers pourraient me surprendre. Je sais déjà tout de vous et de vos pouvoirs… Et je dispose moi aussi de mes propres atouts. »

Un treuil se déploya de l’hélicoptère. Adrien tenta vainement de se débattre, mais son corps s’éleva alors.

Un éclair déchira alors le ciel, et le câble du treuil fut brusquement coupé, tandis qu’une silhouette noire apparut alors, fondant sur Deathstroke tel un démon nocturne s’abattant sur sa proie. C’était plus qu’il n’en fallait. Quand Adrien heurta le sol, il vit Marinette l’enlacer, et le Portail les absorba dans un ultime fracas…

« Ma… Marinette… »
*
*  *
« …Nuit de terreur à Paris qui n’est pas sans rappeler les terribles attentats qui ont endeuillé la capitale française il y a des années. Le Président la République français a fait une allocution spéciale pour indiquer que l’attaque était l’objet d’un commando terroriste lourdement armé. Les investigations sont en cours… »

Adrien soupira lentement en sentant les sensations lui revenir. Il se releva lentement, redressant la tête, et constata qu’il était dans une chambre d’hôpital. Il portait encore sa combinaison de latex, ainsi que son masque. Il constata que, depuis les baies vitrées, on pouvait voir l’espace… Et que Marinette était là, assoupie sur une chaise, portant elle aussi sa tenue de Ladybug.

« Ma Lady ? »

Adrien se redressa alors. S’il avait été fortement blessé, il pouvait rapidement régénérer grâce à son Miraculous. Il se leva donc, et l’embrassa doucement sur la joue, tout en la laissant dormir, puis observa ensuite le décor par la baie vitrée… Adrien n’était pas au bout de ses surprises, et écarquilla les yeux en voyant qu’ils étaient dans l’espace, et que la Terre apparaissait en contrebas. Ils étaient dans l’endroit où, enfant, il avait toujours rêvé d’aller…

…La célèbre Watchtower de la Ligue des Justiciers !
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