La femme dominatrice qu’était Mélinda s’amusait parfois à des loisirs qui étaient de prime abord surprenants. Parmi ses esclaves, certains et certaines étaient intéressés par la prostitution. Cela pouvait surprendre, mais Mélinda n’était pas du genre à refuser n’importe quel fantasme, fût-il pervers et osé. Le fait est qu’elle-même s’amusait parfois à se prostituer. Elle n’avait pas encore réussio à convaincre sa femme de se laisser aller à ça. Pour Mélinda, c’était autant une occasion d’assouvir un fantasme osé, mais également de sécuriser les lieux, en repérant les pervers qui voulaient abuser des filles, ou d’identifier les lieux où les Yakuzas ne passaient pas. Enfin, cela lui permettait parfois d’obtenir des informations sur de potentielles prostituées qui étaient asservies, obligées de se prostituer, ou qui étaient droguées. C’était donc une activité très utile qu’elle menait sous la protection de son frère, Bran, qui surveillait à chaque fois.
« Hmmm… Hooo, bordel… »
Assis sur un banc du parc Jinmu, le plus grand parc de Yoake, un homme en costume serrait d’une main les cheveux bouclés de Mélinda. Un homme qui travaillait tard, et qui, en rentrant chez lui, rejoignait le parc. Le soir, les vigiles fermaient les grilles, mais il était assez facile de les enjamber. Des prostituées se trouvaient dans le coin, et le parc était pour l’heure une zone neutre dans les guerres de territoires entre Yakuzas et autres familles du crime organisé. Mélinda attirait naturellement les regards, d’autant que, pour l’occasion, elle avait enfilé une robe bodycon rose ultramoulante en latex. Elle suçait cette belle queue. L’homme était marié, elle le voyait à sa bague qui brillait sur son doigt, mais sa femme ne devait sans doute pas accepter ses fantasmes.
Il jouit dans sa bouche, et soupira longuement, un sourire béat sur les lèvres. L’homme sortit ensuite quelques billets, et Mélinda lui sourit, avant de boire son sperme, et ouvrit la bouche pour le montrer.
« T’es vraiment une sacrée chaudasse, toi…
- Hihi… Le client doit être satisfait, non ? Mets tes billets ici… »
Elle désigna l’espace entre ses seins. L’homme se dépêcha de le faire, puis fila ensuite précipitamment. Même si c’était une zone neutre, la police pouvait parfois passer. Mélinda le savait. Généralement, elle acceptait des passes gratuites avec eux, et, quand elle tombait sur des inspecteurs trop zélés voulant la mettre au poste, Bran finissait par intervenir. Après avoir satisfait son client, Mélinda se releva, et se rapprocha ensuite d’un lampadaire. Ici, on ne pouvait pas la voir depuis la rue, car elle était derrière un gros buisson. Elle remit à son frère les billets, puis celui-ci s’éloigna ensuite.
Mélinda entendit alors des bruits de pas, qui se rapprochaient d’elle…
« Hmmm… Hooo, bordel… »
Assis sur un banc du parc Jinmu, le plus grand parc de Yoake, un homme en costume serrait d’une main les cheveux bouclés de Mélinda. Un homme qui travaillait tard, et qui, en rentrant chez lui, rejoignait le parc. Le soir, les vigiles fermaient les grilles, mais il était assez facile de les enjamber. Des prostituées se trouvaient dans le coin, et le parc était pour l’heure une zone neutre dans les guerres de territoires entre Yakuzas et autres familles du crime organisé. Mélinda attirait naturellement les regards, d’autant que, pour l’occasion, elle avait enfilé une robe bodycon rose ultramoulante en latex. Elle suçait cette belle queue. L’homme était marié, elle le voyait à sa bague qui brillait sur son doigt, mais sa femme ne devait sans doute pas accepter ses fantasmes.
Il jouit dans sa bouche, et soupira longuement, un sourire béat sur les lèvres. L’homme sortit ensuite quelques billets, et Mélinda lui sourit, avant de boire son sperme, et ouvrit la bouche pour le montrer.
« T’es vraiment une sacrée chaudasse, toi…
- Hihi… Le client doit être satisfait, non ? Mets tes billets ici… »
Elle désigna l’espace entre ses seins. L’homme se dépêcha de le faire, puis fila ensuite précipitamment. Même si c’était une zone neutre, la police pouvait parfois passer. Mélinda le savait. Généralement, elle acceptait des passes gratuites avec eux, et, quand elle tombait sur des inspecteurs trop zélés voulant la mettre au poste, Bran finissait par intervenir. Après avoir satisfait son client, Mélinda se releva, et se rapprocha ensuite d’un lampadaire. Ici, on ne pouvait pas la voir depuis la rue, car elle était derrière un gros buisson. Elle remit à son frère les billets, puis celui-ci s’éloigna ensuite.
Mélinda entendit alors des bruits de pas, qui se rapprochaient d’elle…