The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Confuse, Hina était peu à peu en train de sombrer, de goûter à un plaisir inouï et indescriptible. D’exquises vagues de chaleur, dérangeantes mais bienvenues, remontaient en elle. Son corps expérimentait un certain nombre de grandes sensations, et elle se tortillait sur place, soupirant encore. Respirer par le nez n’était vraiment pas simple, surtout quand on était dans son état ! Et puis, ce membre était vraiment dérangeant ! Sale, gluant, épais, et ça puait ! L’odeur était atroce ! Comment pouvait-on aimer ça ? Sa raison lui ordonnait d’arrêter ça, de nettoyer sa bouche qui était en train de se salir… Et, pourtant, oui, pourtant, une petite voix remontait progressivement en elle, une petite voix qui lui disait que c’était… Bon. Cette petite voix têtue appréciait cela, et, même si elle semblait minoritaire, elle s’imposait sur tout le reste. Les joues rougissantes, elle sursauta quand Eido-sama lui annonça qu’il allait… Jouir en elle !

*Quoi ?!*

Hina écarquilla les yeux, avant de trembler nerveusement. Ce membre puissant l’étouffait, et, quand elle essayait de l’enfoncer dans sa bouche, elle ne tardait pas à déglutir sur place, sentant ce membre épais l’étouffer à moitié. Quelle sensation désagréable ! Elle se tortillait sur place, gémissant lentement, incapable de faire autre chose. La main d’Eido-sama était ferme, et, même si ce dernier semblait se retenir, elle n’avait qu’à lever la tête pour constater qu’il était en train de se rapprocher de l’orgasme. Son visage se tendait, elle voyait des expressions faciles inattendues sur sa figure, tandis que sa queue enflait et grossissait encore.

La jeune fille ferma alors les yeux en gémissant faiblement, et sentit Eido-sama grogner doucement, avant de… Jouir. Hina déglutit en sentant sa queue tressauter sur place, et sentit un liquide chaud et poisseux taper contre sa gorge. Un liquide gluant et collant, comme une sorte de glu liquide qui la fit trembler de honte, de dégoût… Mais aussi de cette fiévreuse et troublante excitation, qui l’amena à déplacer instinctivement sa main entre ses cuisses. Chaud, elle avait si chaud ici bas ! Et ça la démangeait si fort qu’elle se caressa intimement, presque inconsciemment, sans même y songer… Et, de fait, tandis qu’Eido-sama jouissait en elle, elle se surprit à jouir aussi. L’orgasme la traversa à l’idée d’être comme Shion. Shion avait avalé du sperme, alors elle pouvait le faire ! Mais il y en avait tellement ! Eido-sama jouissait si fort ! Ou est-ce que tous les garçons étaient comme ça ? Hina n’en savait rien !

Eido-sama se relâcha en elle, et, suivant ses ordres, elle commença à déglutir, s’efforçant d’avaler… Mais ce n’était clairement pas bon ! C’était amer et collant, très gluant, et elle récupéra une bouteille d’eau, nettoyant sa bouche en se relevant, un peu nerveuse… Sans avoir constaté que ses cuisses étaient humides, signe qu’elle avait de petites fuites à hauteur de son bassin, trahissant son excitation durable. Elle éternuait aussi, ayant la gorge un peu enrouée, et tira tout de même la langue, n’osant pas avouer à Eido-sama qu’elle n’avait pas trop aimé le goût écœurant du sperme.

*Pourtant, Shion n’a pas l’air de détester ça… Comment fait-elle ?!*

Est-ce que cela viendrait avec l’habitude ? Hina n’en savait rien. Tout ce dont elle était sûre, c’est qu’elle était encore plus troublée par ce qu’elle avait vécu, et que son émoi n’était toujours pas parti, bien au contraire !

[Chloé Faure]

Eido-sama allait jouir dans la belle petite bouche de pute en devenir de son élève, car à ce stade il n'accepterait rien d'autre, il maintenait d'ailleurs bien fermement ses main sur l'arrière du crâne d'Hina pour s'assurer qu'elle n'aie pas de velléités de se retirer, et qu'elle continue ainsi de lui sucer la bite jusqu'au bout. Après tous ces longs préliminaires, le vieux pervers était anxieux de pouvoir se vider un peu les couilles, sentant la sauce monter de plus en plus, il fini enfin par jouir entre les lèvres de la douce et délicieuse Hina.

Grmmmmf...

Le proviseur évitait pour le moment de faire ce qu'il avait l'habitude de faire avec Shion, à savoir l'insulter copieusement, surtout quand il était parcouru par un orgasme. Sa queue se mit à tressauter et à cracher de gros filaments de sperme directement dans la bouche d'Hina, qui comme il le lui avait ordonné, se mit à avaler tant bien que mal son foutre épais, surtout qu'Eido éjacula assez longuement, et en quantité, faisant qu'Hina avait ainsi à sa disposition une sorte de...repas bien copieux à avaler. Il était évident que la jeune femme n'aimait pour le moment pas le goût si particulier du sperme, mais elle avalait conformément à ses instructions et ne recrachait pas...mais surtout, surtout, même en jouissant, Eido pu la surprendre en train de se masturber d'elle même, et jouir très rapidement à son tour.

Ah Hina-chaaaaan...

Eido était satisfait, car outre le fait de se vider les burnes dans la petite bouche de suceuse de sa "fleur", il notait qu'il faisait des progrès tout de même très significatifs avec cette élève qui découvrait le plaisir sexuel avec lui. Il en était certain, ce ne serait qu'une question de temps, avant qu'il ne puisse profiter de Shion et d'Hina en même temps, les deux à s'occuper de lui. L'homme termina tranquillement de jouir, et constata avec plaisir qu'Hina n'en avait pas perdu une goutte, même si elle se releva assez vite ensuite pour aller chercher la bouteille d'eau dans son sac d'école. Eido ne s'en faisait toutefois pas, elle s'y ferait, et finirait même par le supplier de jouir en elle pour avoir droit à sa "collation". Hina devait sans doute penser que c'était fini, mais en réalité, Eido avait une endurance et une libido hors du commun, et alors que sa jeune élève lui tournait le dos, son regard loucha sur le postérieur de la jeune femme, et distingua aussi les petites gouttes de cyprine qui coulaient le long de ses cuisses. Le vieil homme se remit de fait rapidement à bander, ce qui confirma qu'il n'en avait clairement pas fini avec sa petite pute en devenir. Ainsi, tandis qu'elle était occupée, Eido s'approcha dans son dos silencieusement, et attendit qu'elle aie terminé de boire et de ranger sa bouteille, pour se blottir contre elle. Il empoigna ses deux seins à l'aide se ses mains, et glissa sa bite tendue contre ses délicieuses fesses.

Tu es très douée Hina-chan, pour une première pipe tu t'es vraiment bien débrouillée. Tu me rends fier ma belle, tu le sais ? Une vraie prodige, que ça soit pour les études ou pour le sexe, tout ça te viens naturellement...hmmm...

Le vieil homme se montra très insistant, il malaxa les seins d'Hina, mais surtout entreprit de remuer son bassin pour frotter sa queue qui reprenait sa dureté contre le cul de la jeune femme, qui pouvait de fait le sentir bander bien dur très rapidement.

Tu sens comme tu me refais bander bien dur Hina-chan ? Il va falloir que je m'occupe de ce problème, car je ne vais pas pouvoir enfiler mon pantalon avec une trique pareille, tu saisis ?

C'était une bien pètre excuse, mais qui faisait partie du jeu qu'il voulait mettre en place avec elle.

Et je suppose que toi aussi, ma Hina-chan, tu as encore envie qu'Eido-sama s'occupe de toi hum ? Je t'a vue te caresser pendant que tu avalais mon sperme...ne t'inquiète pas, je ne te laisserais sortir que lorsque tu sera pleinement satisfaite Hina-chan...

Eido entendait clairement par là qu'il allait continuer d'abuser d'elle tout de suite, et cela sembla très évident pour Hina quand elle pu sentir les mains de son proviseur quitter ses seins pour s'abaisser, saisir les rebords de sa petite culotte, et commencer à la faire descendre le long de ses cuisses. Des bruits très humides accompagnèrent l'enlèvement de la culotte, car Hina avait beaucoup mouillée, à jouir deux fois dans son sous-vêtement.

Hmmmm ma petite Hina-chan est très mouillée là en bas...Eido-sama va devoir s'assurer que sa belle petite fleur soit propre...

Agenouillé derrière elle, l'homme lui retira alors sa culotte, puis il se redressa brièvement pour "pousser" Hina contre le bureau, et la souleva pour qu'elle soit assise sur le rebord. Sans sa petite culotte et avec sa mini-jupe ne cachant concrètement rien, Eido vit enfin la petite chatte de son élève. Elle n'était absolument pas épilée, mais les poils pubiens n'étaient pas un obstacle pour lui, et sans plus un mot, il s'agenouilla à nouveau tout en écartant les cuisses de sa belle élève, et fourra sa bouche contre sa chatte pour lui faire un cunni', et la nettoyer bien comme il le fallait !

[Reine Alice Korvander]

Hina devait bien admettre que ce liquide n’était vraiment pas bon ! Poisseux, collant, écœurant, il lui retournait l’estomac en lui donnant envie de vomir ! Elle avait tout avalé, mais dut boire, tout en éternuant aussi. Sa tête lui tournait, et elle ne réalisait pas davantage que, en tournant ainsi le dos à Eido-sama, elle lui offrait une belle vue sur son postérieur ! D’un autre côté, Hina ne s’était jamais prise pour une gravure de mode ! Elle avait toujours envié les gros seins de Shion, et estimait qu’elle n’était pas très jolie. Oh, elle avait quand même de la poitrine, mais ses seins lui semblaient ridiculement petits par rapport à ceux de Shion. Si Hina n’y connaissait pas grand-chose au sexe, elle savait que la poitrine, c’était important, alors elle avait toujours complexé sur cet élément. Ceci étant dit, elle ignorait que les hommes pouvaient aussi être encore plus intéressés par ses fesses, car elle estimait qu’elle n’avait pas un cul forcément très intéressant… Jusqu’à maintenant.

Eido-sama se glissa soudain contre elle, et elle rougit encore quand elle sentit sa verge frotter ses fesses, glissant contre la croupe, s’enfonçant dans le coton de sa culotte. Pour Hina, tout ça était si perturbant ! Elle qui se pensait inintéressante au possible découvrait que son proviseur, qu’elle considérait un peu comme une sorte de Dieu vivant omnipotent, fantasmait sur elle ! Elle ne savait vraiment pas quoi en penser, car il y avait tant de filles jolies qu’il devait avoir pour lui… Alors, est-ce que ça voulait dire qu’elle était belle ? Désirable ? C’était sans doute un peu réducteur, mais Hina devait bien admettre que l’idée que des hommes la trouvent séduisante suffisait à faire remuer son cœur dans sa poitrine.

« Ei-Eido-sama… »

La jeune lycéenne déglutit doucement quand il la complimenta. Elle avait instinctivement croisé ses bras sur sa poitrine, et gémit quand sa culotte lui fut retirée. Eido-sama la glissa doucement, et elle constata que celle-ci était vraiment très humide ! Hina rougit encore plus, si tant est que cela fut possible, tout en tremblant nerveusement. Que lui arrivait-il ? Elle ne comprenait pas tout ! Eido-sama parlait si crument… Il disait qu’elle le faisait « bander », et, si de tels termes auraient dû la choquer, elle en ressentait au contraire une curieuse  excitation, qui la git frémir davantage. Basculant peu à peu, Hina se retrouva ensuite sur le bureau.

« Eido-sama ! » répéta-t-elle encore.

Que pouvait-elle dire de plus ? Tout son esprit était si confus ! Elle était désormais toute nue, et sentit la grosse langue d’Eido-sama glisser sur ses poils pubiens. Hina couina alors en fermant les yeux, et continua à se tortiller sur place, joignant ses mains entre elles, dans une sorte de curieuse prière… Elle aimait bien quand il lui parlait comme ça, quand il disait des mots gentils, mais… Elle aimait aussi l’entendre parler salement !

*Mais qu’est-ce qui m’arrive, je n’y comprends rien !*

Est-ce que c’était ça que Shion ressentait ? Hina avait chaud et en même temps froid, elle tremblait sur place. Elle se sentait indisposée, et, pourtant, elle ne voulait rien ressentir d’autre au monde ! De fait, elle était sûre que, si Eido-sama lui avait dit qu’ils en restaient là, elle aurait été frustrée ! Tout son corps était en train de lui échapper, et elle gémit encore quand Eido-sama lécha son sexe. Comment faisait-il pour lui faire autant de bien ?!

*Sa langue… Sa langue en moi…*

Hina se mit à gémir une nouvelle fois, repensant à cette grosse verge, ce gros membre qu’elle avait pris en bouche, et qu’Eido-sama allait sûrement enfoncer… En elle ! Cette idée l’effrayait assurément, mais déclenchait aussi d’autres pulsions chez elle. Elle se mit à soupirer encore, tandis que sa mouille ruisselait contre la langue de son proviseur.

« Ei-Eido-sama… En… Encore, haaaa… »

Toute résistance s’envolait, toute retenue. Mais que voulait-elle dire par là ? Qu’il continue à la lécher ? Elle couina encore. Dans sa tête, c’était comme si des fissures se formaient sur un carcan, comme si un mur se fissurait, chaque coup de langue de l’homme agissant comme un coup de marteau qui fragiliserait ses protections.

« J-Je… Haaa… Est-ce que cela p-plaît à… À votre trique ? »

Cette dernière phrase ne voulait pas dire grand-chose, mais elle voulait surtout placer le mot « trique », qui résonnait dans sa tête comme un mot compte triple, et qui offrait à Eido-sama une nouvelle faille à exploiter chez Hina-chan…

[Chloé Faure]

Cette étape cruciale, celle où Eido venait de retirer la petite culotte d'Hina, s'était finalement passée sans aucun accroc. La jeune lycéenne aurait pu encore avoir des "remords" au moment ou le dernier rempart protégeant son intimité sautait, mais hormis prononcer le nom de son proviseur, la jeune femme n'émit aucune vraie objection au fait de se retrouver quasiment nue. Certes elle portait encore ses longues chaussettes et sa mini-jupe, mais ces deux éléments de vêtements ne comptaient pas vraiment tant ils étaient dérisoires, Hina avait commencée par avoir ses seins à l'air libre, et maintenant c'était sa chatte trempée qu'Eido-sama se mit à lécher vigoureusement. Contrairement à ce qu'on aurait pu penser, au vu du fait qu'Eido était un vieux pervers très machiste, l'homme adorait prodiguer des cunnilingus à ses "conquêtes" et les entendre soupirer de plaisir en prononçant son nom, ce qui était exactement ce qui se produisait dans ce cas là. D'ordinaire, Eido préférait de loin lécher une chatte bien épilée comme celle de Shion, et il était indéniable qu'il finirait par exiger d'Hina qu'elle s'épile proprement, mais ce n'était ni le lieu ni le moment pour ça. Alors il fourra sans retenue son visage entre les cuisses de la jeune femme, et huma à pleine narines son odeur intime avant de commencer à lécher sa moule.

Slrp...SLUUUUUUURP...

Eido n'y allait pas avec le dos de la cuillère, ouvrant grand la bouche et sortant sa langue au maximum pour aller parcourir l'intimité et les poils pubiens de sa jeune élève, il s'abreuva de sa cyprine et s'assurait aussi de lécher les zones sensibles comme son clitoris. La encore, Hina ne parvint pas à protester, car elle était doucement en train d'apprécier ce qu'elle vivait, et semblait surtout commencer à l'accepter comme une réalité. Les progrès étaient phénoménaux pour le plus grand bonheur du vieux pervers, il se mit même à sourire tout en continuant de lécher sa moule, quand Hina déclara de sa petite voix...encore. Eido sentit la satisfaction d'une bataille rondement menée, mais surtout sur le point d'être gagnée, parcourir son être. Vu la timidité d'Hina initialement, un refus de sa part avait fait partie du risque de cette entreprise, mais maintenant il la tenait complètement. Pour d'avantage de sécurité, Eido avait fait installer une multitude de petites caméras, bien dissimulées dans son bureau, qui bien entendu filmaient donc ce qui était en train de se produire. Si Hina venait à avoir des regrets, alors cette fois, il aurait en prime pour la faire chanter une belle vidéo où elle même demandait à son proviseur de continuer à lui lécher la chatte...mais il était maintenant presque certain qu'il n'en aurait pas vraiment besoin. Eido sentait la délicieuse mouille de son élève couler depuis sa belle fleur intime, qu'il léchait avec passion, appétit, et en faisant exprès de faire de gros bruits bien humides. Il continua ainsi, jusqu'à ce que Hina lui demande si cela plaisait à sa trique, et si la formulation de la phrase était douteuse, Eido ne manqua en revanche pas de noter le fait que sa jeune élève si fleur bleue venait d'utiliser un terme à connotation très "sale". L'homme cessa alors de lécher la fleur intime de son élève pour la regarder avec un air amusé.

Humhum...Je dirais que oui ma jolie, ta belle petite chatte me donne une trique d'enfer.

Il ne l'avait pas encore remarqué mais...il lui semblait bien qu'Hina commençait à apprécier qu'il lui parle avec des termes plus crus. Il se redressa alors, et s'approcha d'Hina en la saisissant par les épaules pour l'approcher de lui, et alla l'embrasser gouluement. L'homme n'hésita nullement à fourrer bien sa langue dans la bouche d'Hina tout en salivant bien, mais surtout en lui apportant un peu de sa propre cyprine dans ce baiser très humide qui dura un moment, et pour cause. Dans le même temps, Eido s'approcha suffisament pour pouvoir déposer sa trique dure comme l'acier au niveau du mont de vénus d'Hina, pile dans sa touffe de poils pubiens au niveau du bas de son ventre, et faisait avec des mouvements de va et viens, lents, mais que la lycéenne ne pourrait faire autrement que sentir. Il cessa son baiser très humide au bout d'un moment.

Oh Hina-chan, tu es tellement bonne. Tu sens comme tu me fais bander tellement dur ma chérie ? Tu sens ma bite prête à faire de toi une vraie femme ?

Eido n'avait initialement pas pensé arriver à prendre la virginité d'Hina tout de suite mais...elle était maintenant comme une fleur ouverte prête à se faire butiner. Tout en continuant à la maintenir par les épaules, Eido-sama descendit alors son visage vers les seins de la jeune femme pour aller les prendre en bouche, sucer ses tétons l'un après l'autre, juste pour lui laisser prendre conscience qu'elle allait de façon imminente sentir sa première queue plantée en elle. Quand il eut fini de sucer les seins d'Hina, au point qu'il y avait de belles traves de bave sur ses tétons durs, Eido relâcha son emprise sur ses épaules pour la faire s'allonger, la partie haute de son corps se trouvant alors sur le bureau, tandis que la partie basse de son corps en dépassait. Eido-sama entreprit alors de se déshabiller, commençant à défaire sa cravate, puis le reste.

Là...il est temps ma Hina-chan...il est temps que tu découvre le même plaisir que Shion ressent quand elle se fait troncher par des grosses bites, et c'est ton proviseur qui va te le faire découvrir...tu va ressentir une légère douleur au début, mais c'est normal, le temps que ta petite chatte s'habitue à ma grosse trique...mais ça va vite s'estomper.

L'homme termina de se déshabiller intégralement, révélant son gros ventre et son torse poilu, avant de guider d'une main le bout de sa verge vers l'intimité d'Hina. Il se frotta contre pendant quelques instants, entre autres pour couvrir sa verge de cyprine lubrifiante...puis s'enfonça alors en elle...

[Reine Alice Korvander]

Hina soupirait doucement, dans une sorte d’état second, de transe profonde dont elle peinait à ressortir. Eido-sama lui faisait un bien fou, et, peu à peu, tous ses doutes s’envolaient. Comment nier ce plaisir ? Comment nier cette vague chaude et doucereuse qui était lentement en train d’exploser en elle ? Eido-sama la léchait encore et encore, avec un appétit croissant et féroce. Le Proviseur s’attaquait à son sexe, et chaque coup de langue sur sa chatte diffusait en elle un plaisir incroyable, chaud et puissant. Les vagues déferlaient en elle, croissant avec appétit,  et Eido-sama finit alors par se relever. Hina avait l’impression de mouiller beaucoup, et cela la gênait, car elle avait l’impression d’uriner… Sans pour autant uriner ! Du moins, ce qu’elle produisait n’était pas aussi poisseux ou brûlant que l’urine, c’était plus doux, plus… Agréable.

Quand Eido-sama l’embrassa, cette fois, elle lui répondit. Elle ferma les yeux, ses joues toujours rouges, et posa ses petites mains sur ses épaules. Elle crispa ses doigts dessus, et gémit lentement, sentant le corps d’Eido-sama l’écraser. Hina se pressait contre lui, et l’homme la redressa ensuite. Ils partagèrent ensemble un long baiser, qui sembla bien durer plusieurs minutes aux yeux d’Hina. Un baiser langoureux et appuyé où leurs langues jouèrent finalement ensemble. Du moins, ce fut surtout la langue d’Eido-sama qui s’enfonça dans sa bouche, et elle qui releva la sienne. Elle eut un petit frisson en heurtant celle de son proviseur, sentant comme des petits frissons électriques qui la firent trembler.

« Hmmm… ! »

Soupirant encore, Hina profitait de ses lèvres, de ce corps massif qui l’écrasait contre le bureau. Elle sentait surtout l’épaisse trique de son Proviseur, qui glissait sur sa chatte, et… Si elle avait toujours peur, cette peur semblait cette fois diffuse, atténuée, écrasée dans un cocon de désir, dans une envie furieuse et dans une soif terrible de sentir ce membre en elle. Elle avait comme un vide à combler, un manque qui ne demandait qu’à s’exprimer. Cette queue, elle la voulait en elle ! Elle gémit doucement, commençant à sortir du carcan dans lequel Hina était plongée. Le sexe abattait tout ça, pulvérisait son mur, et elle sentait ses seins durcir, la pointe de ses tétons frottant sur le corps d’Eido-sama.

Celui-ci mit finalement fin à ce baiser, et se pencha vers ses seins, venant les titiller. Retrouvant l’usage de la parole, Hina gémit à nouveau, tout en prononçant le nom de son Proviseur :

« Ei-Eido-sama… ! »

Elle voulait lui dire de la pénétrer, mais elle n’y arrivait pas. C’était comme si un marteau l’avait assommé, et elle peinait à émerger, à retrouver des sensations normales. Eido-sama se pressait contre elle, mais finit par la renverser. Hina s’étala sur le bureau, et cligna des yeux, croisant le regard de son Proviseur. Il se recula un peu, et se déshabilla alors. Tous ses vêtements tombèrent. Elle vit une toison de poils sur son torse épais et velu, et sa grosse queue qui se redressait, tapant sur son estomac. Sa gorge sembla se dessécher sur place, et les mains d’Eido-sama caressèrent ses cuisses, celui-ci se rapprochant d’elle.

Hina frémit doucement, et sentit sa verge se rapprocher de sa petite chatte… Puis il la pénétra ensuite, et perça son hymen.

« Haaa ! »

La jeune lycéenne ferma les yeux et se mordilla les lèvres en sentant une terrible pointe de douleur éclater en elle. Elle en eut des larmes aux yeux tandis que son sang virginal s’enroulait autour de la queue d’Eido-sama. Un long frisson la traversa à nouveau, et elle regarda Eido-sama, se forçant à le regarder, comme pour y trouver la force de continuer. Mais cette douleur ! Ah, cette terrible douleur ! Elle ne s’y attendait pas, et elle déferla en elle… Mais, pour autant, cette douleur ne la bloqua pas, elle ne mit nullement fin à cette vague perturbante qu’elle ressentait en elle.

Davantage, elle en voulait surtout davantage, car cette soif la tenait toujours !

[Chloé Faure]

Eido-sama poussa un léger grognement de plaisir en sentant enfin sa bite commencer à s'enfoncer dans la petite chatte serrée de Hina-chan. Au tout début, il ne s'était honnêtement pas attendu à pouvoir en arriver jusque là lors de leur première "rencontre" intime, mais il avait vu les barrières de la jeune femme céder les unes après les autres, et le vieil homme avait fini par juger que le temps était adéquat pour enfin commencer à baiser celle qui allait devenir sa deuxième petite salope attitrée. Toutefois, l'homme y allait doucement et progressivement, car Hina était toute serrée et probablement encore un peu stressée, il la sentit se tendre comme une corde de violon quand, en poussant un peu, Eido déchira la fine membrane de son hymen, symbolisant ainsi la perte de sa virginité par nul autre que lui même.

Oooooh ma douce petite...hmmmm ça y est, Eido-sama a fait de toi une vraie femme, ta virginité est mienne...oh seigneur tu es si serrée ma toute douce...ma belle petite...s-salope...aaaah...

Eido allait doucement commencer à user de termes un peu plus fleuris pour désigner Hina-chan, tout comme il le faisait avec Shion, même si il allait se montrer précautionneux. Mais alors qu'il commençait à délicatement remuer dans ce con étroit, mais néanmoins très humide et lubrifié, il se disait que comme tout le reste, Hina allait sans doute apprécier qu'Eido finisse par la traiter de pute, ou d'autres petits surnoms qu'il ne manquerait pas d'utiliser sur elle pour pimenter leur relation. Eido adorait faire des commentaires salaces tout en baisant ses proies, et Hina ne serait pas une exception à cette règle, même si pour l'instant, il y allait avec douceur. Il pu voir la douleur traverser le visage d'Hina, évidemment, quand il déchira son petit hymen, ce à quoi il répondit non seulement en commençant des mouvements de va et viens dans sa chatte, mais il posa aussi une main sur l'une de ses joues.

Ne t'en fait pas Hina-chan...la douleur...va partir...tu es tellement trempée que ma queue va glisser toute seule dans ta petite chatte...et tu va très vite ressentir un plaisir grandissant, à mesure que je vais commencer à te baiser...oooooh oui ma chérie...tu va adorer la sensation de ma bite en toi...

Le vieil homme déplaca alors ses mains pour se saisir des cuisses de la jeune femme, et les redresser un peu, mais surtout pour l'aider dans la tâche de les garder ainsi écartées en l'air vu sa position sur le bureau. Eido remuait alors son bassin, et si il n'accélérait pas encore le rythme, il en augmentait de plus en plus l'amplitude à mesure qu'il sentait les parois vaginales de la jeune femme s'écarter, se dilater sous l'effet du plaisir grandissant, et du "travail" qu'il faisait pour s'enfoncer à chaque fois un tout petit peu plus. Eido soupirait et grognait tel un animal, car il devait à la fois se retenir de jouir trop vite, mais aussi lutter contre l'envie de littéralement baiser cette petite pute avec toute la force dont il était capable. Seule l'envie qu'il avait de faire en sorte que Hina finisse par devenir sa salope de façon volontaire l'empêchait de vraiment la violer sur place, il voulait plus que tout qu'elle associe le sexe à un plaisir incroyable avec lui, et devait pour cela se faire violence à ne pas y aller trop vite. Il sentait pourtant les progrès qu'il faisait, car de plus en plus il parvenait à s'enfoncer loin en elle, jusqu'au moment crucial ou dans un dernier mouvement, il parvint à faire complètement disparaître sa bite dans l'antre intime de son élève.

Aaaaaah...regarde Hina-chan...tu me disais que ça ne rentrerait jamais...mais regarde comme tu me prends en entier dans ta petite chatte...hmmmm tu es si chaude et si humide, c'est tellement bon en toi ma Hina-chan...tu es vraiment une belle coquine tu sais, à ainsi te prendre ma bite...aaaaah...

Là, Eido-sama pu commencer à vraiment remuer, puisqu'il avait atteint le point crucial où il la pénétrait vraiment en entier. Il conservait ses mains au niveau de l'arrière des genoux de Hina, soulevant ainsi ses jambes et gardant ses cuisses écartées, il suait et soufflait comme un boeuf alors que maintenant ses testicules tapaient contre la chair de la jeune femme. Sa queue était entière prise dans le cocon de chair chaude, et humide de cyprine, du vagin de sa belle qu'il allait se mettre à bourrer de plus en plus vite, au point d'en faire légèrement trembler le bureau. Jouir en dehors de sa chatte était hors de question, surtout pas pour une première fois où il tenait à la marquer de la façon la plus intime qui soit, en éjaculant en elle, mais il voulait d'abord attendre que Hina elle même jouisse au moins une fois contre sa queue...

[Reine Alice Korvander]

Hina-chan était pleine de confusion et de sentiments étranges ! Eido-sama… Eido-sama lui faisait l’amour ! La jeune Hina-chan n’arrivait pas à y croire ! Comment tout cela avait pu évoluer jusqu’à ce stade ? Au stade où son professeur viendrait lui faire énergiquement l’amour ? Se tortillant sur place, Hina-chan soupirait doucement, mais, quand son hymen fut percé, elle hurla de douleur, et versa même plusieurs larmes ! La douleur fut si intense, si violente, qu’elle l’annihila provisoirement, avant qu’elle ne reprenne peu à peu ses esprits. Eido-sama lui parlait si crument, elle en était mortifiée, mais aussi… De plus en plus excitée ! Est-ce que c’était ça, le désir ? Elle se sentit très étrange quand il lui indiqua qu’elle était désormais une « vraie femme », et qu’il avait pris sa virginité. Est-ce que cela voulait dire qu’ils allaient devoir se marier ? Dans l’esprit innocent d’Hina-chan, elle ne s’imaginait tomber amoureuse que d’un seul garçon, avec qui elle se marierait et lui offrirait beaucoup d’enfants ! C’était donc là son rôle !

*Je vais devoir épouser Eido-sama ?!*

Cette idée la saisit brusquement, mais disparut quand il donna un brusque coup de reins. Elle couina sur place en clignant des yeux, et releva la tête. Eido-sama agrippa ses jambes, et les souleva lentement, gagnant ainsi davantage de place pour pénétrer la jeune femme. Incapable de lutter, Hina-chan mouillait énergiquement, sentant cette vive douleur s’atténuer, se noyant avec un sentiment indescriptible. Ce sentiment d’être… D’être remplie, unie, de sentir son corps remuer, de sentir tout ça bouillonner en elle ! Oh, elle n’arrivait pas à se le décrire sereinement, mais c’était intense, si violent, si puissant, et, et… Si bon ! Oui, c’était magnifique, et c’était finalement cette dernière idée qui s’instillait en elle, l’idée que ce qu’elle éprouvait en ce moment était dantesque, et que, pour rien au monde, elle ne voudrait y mettre fin !

« Ei… Eido-sama, haaaaa… »

Entre plusieurs soupirs, c’est ce qu’elle arriva à dire, tandis que le Proviseur continuait. Elle ferma les yeux en couinant encore, et rougit furieusement. Une vague la traversa, et elle se sentit partir, s’abandonnant dans une sorte de déluge blanc. Hina-chan perdit le fil, elle perdit le rythme, et, quand ses yeux se rouvrirent, Eido-sama pourrait voir que ses yeux ne regardaient rien en particulier. Ils étaient perdus dans le vent, tandis qu’elle succombait à un orgasme tonitruant. C’était la première fois qu’elle ressentait ça, et elle poussa un cri silencieux, fermant à nouveau les yeux en jouissant, encore et encore.

Sa mouille fusa abondamment de sa petite chatte, décorant la verge de son Proviseur. Elle jouit sur lui, et hurla alors, relâchant le trop-plein :

« Kyyyyyaaaaaahh… Maître !! »

Maître ! L’ultime aveu, tandis qu’elle se mit à jouir avec appétit, s’abandonnant à tout, oubliant tout le reste, sauf son Maître, Eido-sama… L’homme dont elle se disait qu’elle venait de tomber amoureuse… Eido-sama !

[Chloé Faure]

Eido était en train d'accomplir l'impensable dans une société aussi traditionnelle, il était effectivement en train de doucement baiser l'une de ses propres élèves. Oh si ça devait se savoir il serait limogé et traîné dans la boue, mais il avait pris quelques précautions pour s'assurer que ça n'arrive jamais, et que Hina-chan garde le silence. La jeune femme ne s'en était probablement pas rendu compte, mais elle était filmée depuis tout ce temps, et la totalité de ses ébats avec le proviseur étaient enregistrés sous de multiples angles, car il y avait au bas mot une bonne dizaine de caméras cachées dans son bureau. Le cas échéant il n'hésitera pas à rendre tout ça public...mais il avait bien l'impression que ça ne serait pas une nécessité.

Aaaaaah ma toute belle...

En effet si la jeune femme s'était crispée de douleur après qu'il lui aie percé son hymen, Hina-chan commença peu à peu à ressentir du plaisir à mesure que le vieil homme se frayait un chemin dans sa petite chatte, dont il dilatait peu à peu les parois à l'aide de sa bite bien dure. Il le voyait et le sentait bien, elle se mettait à gémir de plaisir et se tortillait sur le bureau, en mouillant comme une fontaine contre son sexe, qu'il parvint finalement à enfoncer jusqu'à la garde. A partir de ce moment Eido se mit à remuer plus profondément, et plus vite surtout, il abandonna la douceur initiale dont il avait fait preuve au début pour commencer à vraiment la baiser, ce qui fini par amener cette petite traînée à un orgasme. Eido en fut grandement satisfait, surtout lorsqu'elle laissa échapper un petit maître à son encontre...

Oh Hina-chan...

Il la laissa jouir contre lui, avant de s'abaisser vers elle pour lui lécher la joue.

Oui ma Hina-chan, je suis ton maître désormais, ce qui fait de toi mon esclave, ma petite pute personnelle, tu aimes ça hein ? Tu devais déjà fantasmer sur le fait de te faire prendre comme ça par un vrai homme, tu étais juste trop timide pour l'admettre...

Ce n'était peut-être pas le cas, mais il comptait sur la confusion de la jeune femme pour lui suggérer ces insanités et l'influencer ainsi. Ce faisant Eido se retira d'elle pour pouvoir la repositionner sur le bureau, de façon à l'allonger complètement dessus, et grimpa alors en commençant à s'allonger sur elle.

Allez, je vais te marquer de mon foutre maintenant ma petite salope, tout comme j'ai joui dans ta bouche, je vais innonder ta petite chatte de mon sperme...

Il ne lui laissa même pas l'occasion de protester, puisqu'il s'enfonça lourdement en elle d'un coup, tout en allant l'embrasser en s'étalant sur elle. Il était si gros que sa masse de graisse recouvrait et écrasait son corps contre lequel il se mit à remuer férocement, dans l'optique évidente de jouir en elle. Avait elle déjà eu des règles ? Prenait elle la pilule ? Ou bien risquait il de la rendre ainsi enceinte ? Il n'en avait cure de son côté de façon bien égoïste...

[Reine Alice Korvander]

Il semblait évident de dire qu'Hina-chan ne prenait aucune pilule contraceptive, ou quoi que ce soit dans ce genre ! Le sexe était jusqu'à présent pour elle une grande inconnue, quelque chose dont elle ne s'était jamais intéressée. Une naïveté confondante qui justifiait assurément que Shion ait suggéré à Eido-sama de venir s'occuper de la petite Hina-chan, avant qu'un malotru ne le fasse. Quitte à la dépuceler, autant que cela passe par les mains d'un expert... Et quel expert ! Eido-sama besognait avec une vigueur incroyable la belle Hina-chan, qui n'était désormais plus qu'une délicieuse poupée de chair entre les mains et le corps massif de cet homme. Eido-sama ne lui épargnait rien, il la prenait avec une force incroyable, et elle rougissait quand il l'insultait. Hina-chan ne pouvait se l'expliquer. Elle trouvait ça très excitant, mais sans aucune raison précise. Que lui arrivait-il donc ? Elle était confuse, si excitée, si... Si perdue ! Tout ça était si nouveau pour elle, et Eido-sama pouvait l'entendre gémir longuement !

Finalement, il lécha sa joue, et s'écrasa plus fort sur elle, l'étouffant presque. La belle couina, sentant ce corps massif, ces centaines de kilos, venir l'écrabouiller sur place. Et cette sensation d'écrasement, cette sensation d'étouffement avec ce gros corps en sueur sur elle, c'était... Elle ne réalisait pas encore clairement ce qu'était un fantasme, mais se surprit à jouir à nouveau très rapidement.

« Haaaa... »

Elle soupira en sentant Eido-sama jouir, ce qu'elle ressentit, car... Elle sentit ce foutre jaillir, elle couina à nouveau quand elle constata qu'il avait joui, et se demanda...

*Est-ce qu'il m'a rendu enceinte ?*

Du sexe, elle ne savait effectivement pas grand-chose, mais elle savait en revanche que cela pouvait rendre enceinte. Cette idée la traversa donc tandis qu'Eido-sama jouissait en elle. Mais, après tout, si elle se fiait à ce que ses parents lui avaient appris, elle se devait maintenant de porter les enfants d'Eido-sama, et de l'épouser. Ils venaient de faire l'amour, il lui avait pris sa virginité, alors elle était à lui... Il venait de jouir en elle, mais elle se demandait s'il en avait fini pour ce soir ou non... Car son endurance sexuelle semblait tout bonnement incroyable, et Hina-chan était en train de réaliser que c'était bel et bien elle qui l'excitait autant. Est-ce que cela signifiait qu'il la trouvait belle, ou, à tout le moins, intéressante ? Cette idée était très perturbante pour elle, car elle se disait qu'Eido-sama devait être un homme accompli, qui avait dû rencontrer quantité de femmes. Pourtant, c'était elle qui l'avait intéressé.

« Eido-sama, vous... Je vous plais vraiment, alors ? » demanda-t-elle, nerveuse.

[Chloé Faure]

Hina était une vraie opportunité pour Eido, une telle naïveté et une telle innocence, couplées à un manque d'affection flagrant chez une telle beauté, elle était presque faite sur mesure pour lui, et complémenterait magnifiquement Shion lorsque viendrait le temps pour lui de les baiser toutes les deux, ensemble. Pour le moment, le vieux proviseur s'enfonçait allègrement dans cette petite chatte étroite, mais bien humidifiée, sa queue parvenait à se coulisser assez aisément pour qu'il puisse la prendre avec vigueur, et lui faire bien sentir sa grosse queue en elle. L'homme tint autant qu'il le pu, mais avec ses petits gémissements et son corps chaud sous lui, Eido ne pouvait pas se retenir éternellement, et il vint en elle lorsque la jeune femme contracta un nouvel orgasme contre sa queue tendue. Sans verogne, le vieil homme cracha lourdement sa semence dans la petite chatte de son élève, grognant contre elle et s'écrasant bien contre son corps tel un buffle qui la chargerait. Essouflé, l'homme resta à soupirer contre Hina-chan, l'écrasant de tout son long contre son bureau sur lequel ils étaient allongés, quand la jeune femme lui demanda d'une voix nerveuse si elle lui plaisait vraiment.
Le vieil homme ne pu s'empêcher de sourire à cette question, Hina était vraiment inconsciente du fait qu'elle était une très belle jeune fille, et c'était tout à l'avantage d'Eido qui avait pu de fait être le premier, et il allait profiter de sa situation de proviseur, et de la mentalité d'Hina, pour en faire sa deuxième pute dévouée à lui, rien qu'à lui. L'homme se redressa légèrement, mais tout en restant avec sa queue fourrée dans la chatte de son élève.

Hina-chan...évidemment que tu me plais. Tu penses que j'aurais fait tout ça si tu ne me plaisais pas ? Tu sens comme je bande en toi Hina-chan ? Normalement, un homme débande bien vite après avoir joui, mais regarde l'effet que tu me fais...

Il se retira alors, et tout en faisant en sorte qu'Hina reste allongée dos sur le bureau large du proviseur, se dernier se mit alors à genoux au dessus d'elle, une jambe de part et d'autre du corps de la jeune femme, de façon à pouvoir...câler sa belle bite entre les seins d'Hina-chan.

Tu vois Hina-chan ? Tu m'excite tellement que je continue de bander, même après que tu m'aie sucé, même après que j'aie pénétré ta petite chatte, j'ai encore envie de toi, ma délicieuse petite coquine. Tu me plais tellement que nous allons baiser au minimum une fois par jour Hina, car tu es à moi désormais, vu que je t'ai pris ta virginité, rien qu'à moi, ma délicieuse Hina.

Il parlait d'une voix légèrement rauque qui trahissait son excitation, il était subjugué par le fait de pouvoir faire également d'Hina une pute à son service, tout comme avait fini par le devenir Shion, et il s'imaginait déjà les voir les deux à genoux sous son bureau, en train de sucer sa queue à l'unisson...mais il fallait faire preuve d'encore un peu de patience. Doucement, l'homme commençait à remuer son bassin pour faire coulisser son sexe entre les seins de la lycéenne, pour qu'elle voie et sente bien à quel point il bandait pour elle, et il posa alors même ses mains sur chacun de ses seins pour les serrer l'un contre l'autre, et ainsi enfourner son sexe dans ce doux cocon de chair chaude.

Et toi alors Hina-chan ? Tu étais réfractaire au début mais...tu semble maintenant apprécier n'est-ce pas ? Hum ? Est-ce que tu aimes que ton vieux proviseur te fasse découvrir ce qu'est le sexe ? Est-ce que tu aimes sentir ma grosse queue en toi Hina-chan ?

[Reine Alice Korvander]

Alors, c'était ça, le sexe ! Une chose très étrange pour Hina-chan, qui ne l'avait encore jamais ressenti jusqu'à présent... Elle venait de s'offrir à son Proviseur, elle était désormais sienne. Elle s'était toujours promise de n'avoir qu'un seul homme, de ne coucher qu'avec une seule personne. Est-ce qu'elle allait devoir se marier ensuite avec Eido-sama ? Cette idée la frappa subitement, et elle rougit, plus choquée de penser à ça que de se sentir offensée par ce qu'elle avait vécu... Mais le fait est qu'elle avait pleinement apprécié ce qu'Eido-sama lui avait fait, et qu'elle n'avait tout simplement rien à regretter. Elle rougit encore quand Eido-sama lui assura qu'il avait aimé ça, qu'il la trouvait... Jolie ! Qu'elle lui plaisait ! Hina-chan rougit encore, surtout quand elle constata qu'il était toujours excité. Elle écarquilla les yeux également, ne pouvant se dire que c'était un tel membre qui était rentré en elle.

« Oh... »

Il semblait sérieux, en plus ! Hina-chan était une petite poupée qui se laissa donc faire. Eido-sama la coucha lentement sur le bureau, et elle gémit quand sa queue se frotta contre ses seins. Un couinement s'échappa même de ses lèvres, et elle frémit en sentant l'homme manipuler ses seins.

« Ei-Eido-sama, je... J'ai encore chaud, moi aussi... » soupira-t-elle en réponse à sa question.

Elle déglutit encore, consciente qu'elle devait offrir une réponse plus détaillée à son Proviseur.

« Ça... Ça m'a fait mal, mais... Pas la douleur habituelle... Une douleur que j'ai encore envie de ressentir, Eido-sama... Douloureux et plaisant à la fois... »

Pour elle, c'était difficile de décrire cette sensation, d'y accoler des mots. Elle ne comprenait pas trop ce qu'elle avait ressenti, et cherchait donc naturellement à définir ça au mieux. Clignant encore des yeux, elle haleta doucement, et, reprenant ses esprits, posa à Eido-sama la question qui lui brûlait les lèvres :

« Je... Est-ce que nous allons devoir nous marier, maintenant, E-Eido-sama ? »

[Chloé Faure]

Mine de rien, Eido était plutôt satisfait de la tournure de la situation. Outre le fait qu'il était personnellement satisfait d'avoir pu arracher du plaisir à cette jeune frigide, qu'elle aie autant aimée se faire baiser par lui donnait désormais au vieux proviseur un sacré moyen de pression et de chantage, au cas où Hina aurait l'idée de parler, car tout ce qu'ils venaient de faire pour le moment avait été enregistré par les multiples petites caméras cachées dans son bureau. Eido avait toutefois la sensation que ça ne serait pas nécessaire, car si Hina avait un peu résistée au début, elle semblait de plus en plus accepter le plaisir qu'elle avait pris à coucher avec lui. Là, elle était allongée de tout son long sur le bureau, délicieusement nue, et Eido était agenouillé au dessus d'elle, ayant fourré sa queue dure entre ses beaux seins, qu'il serrait avec ses mains contre son sexe tout en remuant son bassin, il s'offrait ainsi une bonne cravate de notaire en faisant coulisser sa verge contre les seins chauds et moelleux d'Hina. Cette dernière répondit d'ailleurs à sa question, affirmant qu'elle avait encore" chaud", et que même si elle avait eu la sensation d'avoir mal pour sa première fois, elle avait encore envie de ressentir pareille sensation, ce qui ne manqua pas de faire sourire le vieil homme.

Ne t'inquiète pas Hina-chan, à mesure que nous baiserons ensemble, tu t'habituera de plus en plus à sentir ma grosse queue en toi, et il n'y aura très rapidement plus de douleur, rien que du plaisir.

Lui continuait doucement de se masturber entre les seins d'Hina, pas trop vite, mais il sentait quand même peu à peu que la sauce allait monter, et c'est quand intérieurement il se demandait si il allait jouir dans sa bouche ou sur son beau petit visage, que Hina lui demanda si ils allaient devoir se marier. La rapidité avec laquelle cette question était venue surprit initialement le vieil homme, même si il ne perdit pas ses moyens car il s'y attendait potentiellement, juste pas aussi rapidement. Mais élevée dans un milieu très traditionnel, Hina aurait forcément fini par mettre la question du mariage sur le tapis, après tout, la jeune femme devait considérer maintenant Eido comme étant son futur mari, vu qu'ils avaient fait l'amour...et c'était bien un aspect dont il comptait profiter à son avantage.

Oh...mais bien évidemment que nous nous marierons ensemble Hina-chan. Allons, tu ne pensais tout de même pas que j'allais juste te baiser une fois, puis te jeter comme une vieille paire de chaussettes ? Non...je t'aime ma Hina-chan, tu es à moi, et tu sera donc ma femme.

Eido évitait pour le moment l'aveu qu'elle ne serait pas sa seule et unique femme, car il comptait bien conserver Shion dans l'équation, sa meilleure amie qu'il avait déjà travaillée au point d'en faire son esclave soumise, et qui lui avait même suggéré que Hina pouvait la servir comme elle le ferait. Mais une cérémonie de mariage serait envisageable, mais probablement pas dans l'immédiat.

Mais il va falloir être patiente ma jolie...je ne suis pas sûr que tes parents comprendraient si tu arrêtais tes études pour te marier avec moi tu comprends ? Il va falloir garder ça secret Hina-chan, pour que nous puissions continuer à nous voir, et je veux que tu finisse tes études avant car c'est important. Mais...hum...dès que tu sera diplomée...je te passerais la bague au doigt, soit en assurée...

L'homme était de plus sincère, si il voulait faire de Hina-chan sa femme, et par extension son esclave sexuelle dévouée au moindre de ses désirs, il ne souhaitait pas pour autant la déscolariser. Non seulement il se savait vieux, et donc que forcément la jeune femme vivrait bien après que lui soit décédé, mais accessoirement, il risquait aussi de gros ennuis tant que Hina était son élève. Après en revanche, c'était là une toute autre histoire, il cherchait donc un bon compromis pour ne pas se faire virer et poursuivi pour avoir corrompu deux de ses élèves, tout en pouvant assouvir ses fantasmes et assouvir le besoin d'amour de ses deux femmes. Pendant qu'il parlait, Eido avait continué sa cravatte de notaire entre les seins de Hina, et sentait qu'il n'allait pas tarder à lâcher la sauce.

Aaaah je vais encore jouir Hina-chan...tu m'excite tellement. Là, ouvre ta bouche et...prépare toi à avaler mon sperme ma coquine. J'ai vu que tu n'avais pas trop aimée ça tout à l'heure, mais c'est normal, le sperme est dégoûtant au début, mais plus tu goûtera au mien, et plus tu l'appréciera.

Eido se déplaça alors encore un peu, de façon à d'avantage approcher sa queue du visage de Hina, lui présentant le bout de son sexe près de ses lèvres, une goutte de liquide séminal perlant sur le bout, signe qu'il était sur le point de jouir.

Allez, suce moi Hina-chan, que je me finisse dans ta petite bouche...après ça je vais encore te prendre, car c'est bien ce que tu veux hein ? Que ton vieux proviseur, et futur mari, te traîte comme sa femme ?

[Reine Alice Korvander]

Hina-chan allait donc se marier avec Eido-sensei… Elle ignorait ce que cette nouvelle était supposée débloquer chez elle. Elle se pinça nerveusement les lèvres en observant encore Eido-sensei, qui lui annonçait que leur relation devait être secrète le temps que Hina-chan soit suffisamment grande. Bien sûr, il aurait pu mentir, mais Hina-chan ne pouvait même pas envisager une telle hypothèse ! Elle se tortillait sur place, sentant cette épaisse verge remuer entre ses seins, et l’observa ensuite. Ce membre était si gros, si fort, si puissant !

« O-Oui, Eido-sama… »

Se marier avec son Proviseur ! Elle s’était plutôt imaginée épouser un autre élève, mais Hina n’avait jamais eu d’amour d’enfance, de grand amour auquel se marier. Elle avait été formée à bon escient par ses parents. Le mariage était une chose fondamentale pour une jeune Japonaise, elle se sentait donc surtout soulagée. Certes, elle ne devait pas le dire, mais elle avait un époux ! Alors, elle devait se dévouer pour lui, et n’avait pas le droit de lui refuser quoi que ce soit. Elle posa donc ses mains sur ses seins, continuant à le masturber avec. Ce membre chaud et gluant lui inspirait des sentiments confus, mais elle avait encore chaud entre ses cuisses, surtout quand Eido-sama annonça qu’il allait encore la baiser ensuite. Il parlait si salement, si crument… Cela la fait rougir, mais ça l’excitait aussi, en même temps. Son petit cœur remuait furieusement dans la poitrine. Était-ce ça, l’amour ? Ce sentiment confus, troublé, où elle perdait le contrôle d’elle-même ?

Elle entrouvrit ses lèvres, et lécha sa queue avec sa langue, puis se rapprocha encore.

« Hi-Hina-chan appartient à Eido-sama, son époux… Eido-sama peut me baiser autant qu’il veut, je… Je suis désolée de ne pas avoir aimé le sperme de mon mari ! »

Hina allait devoir réparer ses erreurs, elle allait faire de son mieux !

« Jouissez en moi, Eido-sama, je dois forcer mon corps à aimer votre sperme ! »

La jeune lycéenne ne réfléchissait plus très logiquement, tant la situation actuelle l’excitait fortement…

[Chloé Faure]

Il allait vraiment finir par se marier avec cette gamine dès qu'elle ne serait plus une élève. Eido n'avait initialement pas trop prévu ça, et lorsque la question lui avait été posée par Hina, il avait un peu réagi à l'instinct en lui disant oui...mais plus il y pensait en se faisant masser sa queue entre les délicieux seins de son élève, et plus il se disait que c'était une bonne chose. Hina était une perle rare dans le sens où elle était éduquée à l'ancienne, et la simple perspective pour elle de savoir qu'Eido et elle finiraient par se marier la rendait déjà très soumise. Il s'agissait dores et déjà d'une opportunité en or pour s'assurer le silence de Hina-chan, mais aussi le fait qu'à terme, il pourrait sans doute faire ce qu'il voulait avec elle, tout comme il avait fini par faire de Shion sa pute. Deux magnifiques lycéennes juste pour lui, il salivait déjà sur l'idée de troncher Shion et Hina ensemble, ou même de les faire coucher ensemble les deux...mais ça serait pour plus tard quand il révélerait à Hina la vérité sur ce sujet. Pour l'heure...il s'apprêtait à jouir, Hina massait sa queue entre ses seins tout en léchant le bout de son sexe avec sa délicieuse petite langue, et qui se mit à redoubler d'efforts pour lui faire plaisir maintenant qu'il venait de confirmer qu'il la marierait dans le futur. Elle s'excusa même de ne pas avoir aimée le goût de son sperme tantôt, ce à quoi Eido répondit en posant sa main délicatement sur ses cheveux pour les carresser.

Chuuuuut ma chérie...ne t'en fait pas, sache que tu te débrouille très bien pour le moment. Tu finira pas aimer mon sperme, mais ça viendra en temps et en heure, laisse toi le temps d'apprendre...hmmm...tu m'excite déjà tellement ma Hina-chan...tu fera une excellente épouse...

Oui, oui il la voyait bien en tenue de mariée cette petite coquine, si frigide, qui commençait à découvrir les plaisirs du sexe, et qui allait devenir son esclave sexuelle dévouée. Oh, il n'allait plus tenir très longtemps, et il réagit d'ailleurs à la sauce qui montait en avançant un peu son sexe dans la belle petite bouche d'Hina-chan, pour s'assurer que son gland soit entre ses lèvres...et il se mit à jouir peu de temps après.

Hrrrrmf...Aaaaaah Hina-chan...b-bois tout ! Tout mon foutre ! Aaaaaaah...

Le vieil homme sentit son sexe tressauter à mesure qu'il éjaculait généreusement dans la bouche de son élève, tapissant ses lèvres, ses dents, et l'intérieur de ses joues de sa crème visqueuse. Il joui pendant un long moment, avant de commencer à se calmer.

Là...là...garde un peu de mon sperme dans ta bouche ma coquine. Fait le rouler sur ta langue pour t'approprier le goût, t'y habituer, et ensuite avale bien le tout.

Il la regarda faire, trouvant aussi fascinant qu'excitant de la voir conserver son foutre dans sa bouche aussi longtemps, avant de finalement l'avaler.

C'est bien, c'est très bien ma Hina-chan, tu es si dévouée...tu mérite bien une récompense.

Le vieil homme se releva du bureau, le sexe toujours bien tendu, et alla s'asseoir dans son siège en cuir, où il trôna comme un roi sur son domaine.

Viens ma toute belle, grimpe sur moi, et empalle toi sur ma queue. Tu as la chatte toute trempée Hina-chan, alors ça veut dire que tu as besoin de sentir mon sexe dans ta chatte. Viens, grimpe sur moi, et montre moi à quel point tu m'aime...

[Reine Alice Korvander]

Dans l’esprit de Hina, seul le mariage était envisageable, maintenant ! Elle avait été bien éduquée, elle, et elle savait que le sexe était réservé aux époux. Elle s’était toujours dit qu’elle épouserait la personne qui lui ferait l’amour, car c’était ainsi que les choses devaient aller ! La douce et timide Hina devrait donc se marier avec Eido-sama. Elle n’aurait jamais cru devoir un jour se marier avec le Proviseur du lycée, mais c’était désormais chose faite. Hina serait sa femme dévouée et aimante, et c’était une chose qu’elle savait faire. Elle massait donc l’épaisse verge de son futur époux entre ses seins. Si elle n’avait pas la généreuse poitrine de Shion-san, Hina n’avait pas non plus à rougir de ses formes. Les Japonaises étaient connues pour leurs petites formes, réputées pour leurs petits seins. Hina avait toutefois de quoi faire, elle n’était pas une planche à pains ! Elle était donc très heureuse de pouvoir contenir l’épais membre trempé et joufflu de son Proviseur entre ses seins, et remuait ses seins dessus. Elle se tortillait sur place, se dandinant en faisant remuer cette grosse queue, une verge qui tapait contre son menton.

« Oh, Eido-sama… ! » soupira-t-elle.

Quand il lui assura qu’elle ferait une « excellente épouse », Hina sentit sa chatte s’enflammer doucement. Elle avait de plus en plus chaud ici, entre les cuisses. Le désir croissait doucement en elle, et elle ne pouvait retenir cette vague qui menaçait de l’emporter, de l’engloutir avec délectation. Elle se laissait donc porter, continuant à donner des coups de langue. Hina se risqua même à sucer la pointe de cette queue, la fourrant dans sa bouche. Ses joues rougirent, et elle continua son office, jusqu’à sentir la queue d’Eido-sama tressauter sur place. Il posa sa main sur la tête d’Hina-chan, l’incitant à conserver ce membre en bouche. Sa queue cracha ensuite des filaments de sperme, et Hina écarquilla les yeux. Il y en avait tant qu’elle finit par reculer la tête, et se reçut des déjections de sperme sur le visage.

Hina éternua à plusieurs reprises, sentant le foutre maculer son visage. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et releva la tête. Elle avait la bouche pleine de sperme, mais aussi la figure, et il lui parla. Elle l’écouta silencieusement, et joua donc avec sa langue, tout en ayant toujours très chaud entre les cuisses. Petit à petit, elle avala tout, déglutissant, et réussit à ne pas recracher. C’était toujours amer, mais c’était le sperme de son époux ! Alors, elle ne pouvait rien rejeter de lui ! Elle avala donc lentement, et, ensuite, le Provisdeur alla s’asseoir sur le canapé. Il attrapa sa verge, qui retrouva sa dureté, et lui ordonna de venir s’empaler sur lui. Hina rougit encore, et hocha la tête.

« O-Oui, Eido-sama… ! »

Elle se releva alors, et fut tentée de se nettoyer le visage, mais Eido-sama le lui interdit. Ce sperme chaud et collant était sur son visage, un contact poisseux qui la troublait. Tremblant nerveusement, elle réussit à rejoindre le fauteuil, et grimpa dessus. Son genou heurta le gros ventre d’Eido-sama avant qu’elle ne le déplace, et ses jambes glissèrent à droite et à gauche d’Eido-sama. Elle s’enfonça dans le fauteuil, et posa ses deux mains sur ses épaules. Son corps remua doucement sur sa peau, son sexe proche du sien. Elle se pencha vers lui, venant l’embrasser.

« J-Je vous aime, Eido-sama… Je vous aime tellement… »

Elle soupira, et attrapa la verge d’Eido-sama, puis, tout en remuant un peu, essaya de l’orienter vers sa chatte. Elle écoutait les conseils de son époux, tout en se disant, à nouveau, qu’un membre aussi gros ne rentrerait jamais en elle ! Néanmoins, les ordres de son époux et Maître faisaient loi ! Elle se positionna donc, et gémit au contact de ce membre contre ses lèvres intimes. Hina se mordilla les lèvres, rougit à nouveau, mais elle était si excitée que ses doigts glissaient sur cette queue ! Il y en avait tout simplement partout ! Elle glissa ainsi, et sentit sa verge remonter d’un coup en elle !

« Haaa… »

Soupirant lentement, Hina ferma les yeux, et les rouvrit ensuite, croisant le regard d’Eido-sama. Elle attrapa chacune de ses mains dans les siennes, et commença alors à danser sur sa queue, rebondissant sur son ventre flasque, couinant et gémissant…

[Chloé Faure]

Tout se passait parfaitement bien, et à dire vrai, Eido ne s'était pas attendu à ce que Hina-chan finisse si rapidement par vraiment tomber sous son charme. Il était après tout vieux et gros, pas exactement un modèle de beauté masculine, mais il savait y faire avec le corps des femmes, et il cumulait aussi une belle taille de sexe avec une endurance phénoménale. Il ne s'était jamais vraiment expliqué cette libido presque inhumaine, qui lui avait valu un temps de dépenser une bonne partie de ses économies et de son salaire chez des prostituées, et c'était pour ça qu'il était bien content de pouvoir disposer de non pas une, mais de deux salopes de lycéennes à son service. Même marier Hina-chan, si ça n'avait initialement pas fait partie de son plan, était une très bonne chose. La jeune femme étant éduquée à l'ancienne, une chose rare de nos jours, elle lui serait dévouée et ne risquait donc plus maintenant de parler, jusqu'au moment où elle finirait ses études et où il pourrait lui passer la bague au doigt. Il s'imaginait déjà la tringler lors de leur nuit de noces dans une magnifique robe de mariée...

Elle lui était en tout cas dores et déjà bien dévouée, et lorsqu'il lui ordonna de venir chevaucher sa queue, elle ne chercha absolument plus à discuter ou à hésiter. C'est donc avec un large sourire pervers et de contentement qu'il regarda la jeune lycéenne se rapprocher de lui, elle était bien sûr encore fébrile, alors il la laissait aller à son rythme. Eido était pourtant très impatient de fourrer sa bite dans cette petite chatte bien serrée, mais il se faisait violence pour ne pas gâcher les progrès gigantesques qu'il était parvenu à obtenir en aussi peu de temps. Nerveusement elle grimpa sur lui, et Eido frémit en sentant sa délicate peau contre son corps gras et en sueur, et il lui rendit son délicat baiser, juste avant qu'elle ne déclare l'aimer.

Oh, je t'aime aussi Hina-chan, ma Hina-chan. Je n'étais pas sûr que ce soit possible, qu'une belle jeune fille comme toi accepte d'épouser un vieil homme comme moi, mais tu me rends très heureux tu sais. Tu fera une magnifique épouse lorsque nous pourrons nous marier.

L'homme se maîtrisait bien d'avantage que son élève au niveau de ses sentiments. Cela aurait été mentir que de dire qu'il était à ce stade vraiment amoureux de Hina-chan, et il voyait surtout en elle une bonnasse doublée d'un sac à foutre et d'une bonne soumise, mais il ne voyait pas vraiment l'intérêt de briser ses rêves, alors il voulait bien rentrer dans son jeu et lui dire ce qu'elle avait envie d'entendre. Au final, cela ne changerait rien au fait qu'il l'épouserait, car avec son corps et son caractère de soumise, il ne mentait aucunement sur le fait qu'il pensait qu'elle ferait une excellente femme, qu'il irait sans doute même jusqu'à engrosser pour lui laisser un souvenir, après qu'il soit décédé dans le futur. Hina-chan mit un peu de temps avant de pouvoir se positionner comme il le fallait, mais Eido faisait preuve d'un calme et d'une patience remarquable, d'autant qu'elle fini bien par y arriver.

Hmmmm...Oh Hina-chaaaaaan...

Le vieux proviseur se tendit sur place en sentant sa queue rentrer dans cette chatte serrée, chaude, et très humide, tandis qu'Hina se mit à remuer sur lui. Elle avait pris chacune des mains du vieil homme dans les siennes, sans doute dans une espèce d'élan de romantisme, et il la laissa faire pendant un moment, jusqu'à ce qu'il devienne évident que la position devenait difficile à tenir.

Pose tes mains sur mes épaules Hina-chan, sers toi en comme appui...

Elle en avait besoin pour s'aider, et de plus, lui aussi pourrait l'aider car de cette façon, avec ses mains libres, le vieux pervers pu les poser fermement sur le cul de la lycéenne, une main sur chaque fesse, et il l'aidait ainsi dans ses mouvements.

Là...là hmmm c'est mieux...Oh tu es si belle, si bonne Hina-chan. Tu aime hein ? Tu aime sentir ma grosse queue remuer dans ta chatte ? Vas-y hum...remue bien, fais toi plaisir sur ma grosse bite...

L'intérêt n'était en effet pas seulement de baiser à nouveau Hina, mais de faire en sorte que ce soit elle qui soit au commandes dans cette position, et qu'elle dise à voix haute qu'elle aimait ce qui se déroulait. Les caméras dissimulées un peu partout dans le bureau filmaient en effet depuis tout à l'heure leurs ébats, et si pour une raison ou pour une autre Hina venait à changer d'avis et à vouloir raconter aux autorités qu'il l'avait violée, il aurait alors là de belles images pour la dissuader à tout jamais. Lui en tout cas alla alors fourrer son visage contre les seins de sa nouvelle poupée sexuelle, et commença à lui sucer auditivement le sein.

[Reine Alice Korvander]

Hina vivait un doux rêve éveillé. Eido-sama était un homme responsable et respectable, un Proviseur de lycée ! C’était assurément un excellent parti, quelqu’un de puissant, qui respectait les traditions ! Plus que tout, Hina avait craint de rencontrer comme amoureux un jeune garçon indiscipliné, l’un de ces adolescents irresponsables qui, après avoir couché avec elle, l’auraient abandonné. Mais, avec Eido-sama, c’était impossible ! Hina était donc très chanceuse d’avoir rencontré comme futur mari quelqu’un de fiable et de respectable ! Oh, il allait encore falloir attendre quelques années qu’elle soit adulte, mais elle n’était pas inquiète à ce sujet. Ses parents seraient ravis et flattés que Hina ait un si bon parti ! Elle était tout de même surprise… Elle ne savait pas que les garçons étaient si endurants ! Elle n’avait encore jamais vu de sexes d’homme à part celui-là… Elle n’avait encore jamais vu un membre d’homme de sa vie, et elle était surprise… Impressionnée, effrayée, mais aussi, très étrangement… Furieusement excitée ! Quand Eido-sama lui demanda de s’empaler sur sa queue, Hina-chan rougit comme une tomate, ses douces joues pales devenant cramoisies. Elle se mordilla les lèvres, sentant une étrange et perturbante chaleur croître entre ses cuisses. Elle frotta instinctivement ses jambes les unes contre les autres, comme quand elle avait envie d’uriner, mais qu’elle se retenait quand même.

« Ei-Eido-sama… »

Perchée sur lui, Hina-chan laissait la vague l’envahir, la submerger. Un plaisir immense déferla en elle, croissant au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait, qu’elle le sentait s’enfoncer. Hum, hum ! Cette sensation était fabuleuse, délectable au possible ! Han, quelle sensation ! Quelle magnifique et merveilleuse sensation que celle d’être remplie, celle de se sentir enfin pleine ! Cette queue massive lui fit très mal, bien sûr, mais ce n’était pas une douleur rédhibitoire. Au contraire, c’était une douleur agréable, addictive, une douleur que Hina-chan aimait ressentir ! Elle aimait ça, oui ! Elle sentait ses parois intimes se dilater, s’écartant au passage de ce gros membre, de cette queue veineuse et assoiffée. Savoir que Eido-sama la trouvait belle et désirable, malgré ses petites formes, voilà qui ne pouvait que la motiver davantage ! Alors, quand il lui demanda de poser ses mains sur ses épaules en appui, elle le fit spontanément, crispant ses petits doigts sur sa peau en sueur, griffant sa chair en essayant de prendre cette queue le plus loin possible.

Elle avait en effet pu remarquer combien Eido-sama semblait aimer ça, lorsqu’elle s’enfonçait profondément, lorsqu’elle donnait de grands coups de reins et s’efforçait d’engloutir tout ce membre en elle. Oh, la tâche était pourtant loin d’être simple, car Eido-sama avait une verge puissante et grosse. Hina-chan se forçait donc, gémissant alors. Elle couinait en se mordillant les lèvres, sentant un pic de douleur croître, provoquant en elle des résultats inattendus, et indescriptibles. Elle avait l’impression que cette queue devenait comme une épée de chair la labourant de l’intérieur pour remonter jusqu’à son cerveau ! Elle soupira encore en sentant les grosses mains de son futur époux palper ses fesses.

« Haaaa… Ei-Eido-saaammaaa !! » gémit-elle.

Elle se dandinait sur place, prenant peu à peu conscience qu’elle adorait sentir les mains de Eido-sama sur ses fesses. Ce contact, ses doigts gros et libidineux qui palpaient son cul, cela la rendait toute chose ! Elle était en train de mouiller avec joie, remplissant le bureau d’Eido-sama de ses couinements, de ses gémissements. C’était une véritable Princesse en transe, s’approchant d’un nouvel orgasme, et mouillant abondamment sur la queue et sur les cuisses de son Proviseur tant aimé !

[Chloé Faure]

Eido était aux anges présentement, comment ne pas l'être ? Si Hina-chan avait été réticente au début, elle lui semblait maintenant complètement soumise et dévouée avec cette idée qu'ils allaient se marier dans le futur. Oh bien sûr ce n'était pas possible dans l'immédiat, il fallait d'abord que la jeune femme finisse ses études afin qu'il ne soit plus officiellement son proviseur, mais ça n'allait pas l'empêcher de la troncher régulièrement à partir de ce jour. C'était d'ailleurs en ce moment plutôt Hina qui était aux commandes, du moins dans un certain sens, car c'était elle qui était sur lui, et elle qui chevauchait son sexe, de son propre chef. Eido pouvait profiter de cette position pour bien explorer le délicieux corps de cette lycéenne, qui découvrait avec lui les joies du sexe, il lui suçait les tétons tout en plaquant fermement ses deux mains sur ses fesses fermes, chose à laquelle elle avait d'ailleurs répondue avec un bon gémissement. Ainsi, tandis qu'elle était en train de se dandiner sur lui pour faire coulisser son gros sexe dans sa petite chatte, Eido avait fini par subtilement déplacer l'une de ses mains d'avantage en direction de la raie des fesses de la jeune femme, et termina sa course en glissant le bout de son majeur contre la rondelle de son anus qu'il commença à titiller. Il n'était pas question encore pour lui de la sodomiser, cela viendrait plus tard, mais c'était définitivement quelque chose à laquelle il entendait la préparer...avec un tel cul, il était impensable qu'il n'aille pas la fourrer aussi par là !

Hmmm...

Il se faisait plaisir, fourrant fortement son visage contre chacun de ses seins qu'il tétait l'un après l'autre, et caressant doucement la rondelle de sa future femme, en décrivant de petit cercles dessus du bout de son doigt, pour progressivement l'habituer à ce genre de contact. Vu la "courbe de progression" très rapide de cette jeune femme bourrée de frustrations refoulées, il était à peu près certain qu'il pourrait l'enculer dans assez peu de temps, un peu de patience était juste nécessaire pour que l'expérience soit agréable pour elle. Car après tout, Eido n'était pas tant une ordure que ça, du moins tâchait-il de s'en convaincre ainsi, car il prenait son pied en satisfaisant ses partenaires, et à la façon dont sa Hina-chan était en train de mouiller en s'empalant sur sa grosse queue, elle était une partenaire dûement satisfaite !

Oh tu est si belle, si bonne, ma Hina-chan !

Le proviseur était particulièrement satisfait de la situation en ce moment même, car c'était sa lycéenne qui était en train de le baiser, de s'empaler avec un rythme de plus en plus appuyé sur son sexe. Des caméras cachées dans la pièce filmaient la scène sur plusieurs angles, ce qu'il ne manquerait pas d'utiliser comme pièce de chantage si cela devait devenir nécessaire...mais il était maintenant plutôt sûr que ça ne le serait pas. Confortablement assis sur le divan avec Hina qui le chevauchait à califourchon, il la laissait faire et la voyait sur le bord d'un nouvel orgasme. Quand il la vit commencer à jouir, Eido glissa alors rapidement le bout  de son majeur dans l'anus de la jeune femme, de façon à ce qu'elle commence à associer la sensation de sodomie à du plaisir. Eido sentit donc sa « femme » délicieusement jouir contre sa queue, à la fois par les crispements des parois internes de sa chatte, mais aussi par la belle quantité de cyprine chaude qui se mit à dégouliner le long de sa verge et sur ses testicules.

Là...là c'est bien...tu as joui tellement fort ma jolie.

Eido passa une main délicate dans les cheveux de Hina, tout en retirant délicatement son doigt de son fondement, qu'il eu néanmoins le temps de travailler un peu en faisant des rond avec. Il remua alors, et coucha la jeune femme sur le divan en cuir qui se mit à crisser, tout en venant se placer dressé à genoux entre ses cuisses, avec son sexe qui alla se poser sur le mont de vénus de sa jeune partenaire, pour se frotter sur son épaisse touffe de poils pubiens.

Regarde toi Hina-chan, tu aimes maintenant avoir du sexe avec Eido-sama hein ? Tu aimes sentir ma grosse verge dans ta petite chatte serrée et humide n'est-ce pas ?

Il se déplaça légèrement après avoir passé quelques secondes à titiller la jeune femme en frottant son sexe contre ses poils pubiens, et en tenant sa verge d'une main, pu à nouveau l'orienter de façon à pénétrer Hina, le tout en poussant un grognement presque animal.

Haaaaa...je me sens si bien dans ta chatte ma chérie...oh tu va rapidement me faire jouir Hina-chan...dis moi, où tu préfère hum ? Tu veux que je vienne en toi, ou sur toi ? Dépèche toi ma chérie...Eido-sama ne va pas pouvoir se retenir encore très longtemps...

Il était en effet en train de la maintenir par les hanches avec ses mains, et lui donnait déjà de furieux coups de rein pour la baiser, déjà un peu plus sauvagement qu'avant, maintenant qu'elle était en train de s'habituer à la taille de sa verge.

[Reine Alice Korvander]

Comme Hana avait changé en si peu de temps ! Mais la cause était entendue, la messe était dite ! Eido-samla était un Proviseur, c’était un homme puissant, respectable. Le fait qu’il veuille d’elle ne pouvait que plaire à Hina, qui était évidemment bien loin de pouvoir suspecter Eido-sama de quoi que ce soit. À ce stade, il était difficile de dire qu’elle était vraiment amoureuse, elle était confrontée pour la première fois de plein fouet, et sans aucune protection quelconque, face au désir sexuel. Ce désir noyait tout le reste, la faisant délirer. Enfiévrée, elle s’imaginait déjà porter les enfants d’Eido-sama, et l’épouser ! Et puis, il l’avait dit, alors, s’il l’avait dit, c’était bien la preuve qu’il comptait le faire ! Hina s’empalait donc sur sa grosse queue, soupirant encore, gémissant contre lui, frissonnant au contact de ses mains sur son corps… Mais, quand il commença à toucher ses fesses, elle gémit, et se tortilla un peu plus, comme si cette palpitation était différente des autres, plus marquante, plus forte !

« Haaaa… Ei-Eido—sama, hmmm… »

Elle gémit encore, et couina quand il enfonça son pouce en elle, dans son fondement. Hina ferma les yeux en rougissant furieusement, et ses parois vaginales se contractèrent davantage autour de l’épaisse queue de son amant. Les réactions de son corps trahissaient ses fantasmes profonds, ce désir inné qu’elle avait de se faire prendre par là ! Elle était inexpérimentée, mais pas non plus totalement sotte. Elle savait que les sodomies existaient, mais cette idée l’avait toujours fait rougir, notamment quand Shion lui en parlait. Elle était convaincue, désormais, que Shion avait dû faire l’amour. Hina frémit quand le pouce d’Eido-sama remua en elle, puis quand il glissa son majeur en elle. Hina remua d’avant en arrière, ses petits seins durcis heurtant son torse. Elle heurtait son ventre proéminent, et enroula ses bras autour de la nuque d’Eido-sama, puis l’embrassa, tandis qu’elle gémissait. Ses yeux se voilèrent sous l’effet d’un énième orgasme. Elle soupira ensuite, et jouit devant lui, un sourire béat et idiot sur les lèvres. Bon, c’était siiii bon !

Hina jouit donc avec appétit sur la grosse queue de son Maître, et Eido-sama la complimenta. Hina rougit. Elle avait joui abondamment, et elle sentait ce liquide sur ses cuisses, dégoulinant sur le divan.

« Je… Maître… »

Sa verge étant toujours dure, elle le soupçonnait de n’avoir pas joui. Il la coucha délicatement sur le divan, et elle soupira, sentant sa mouille contre ses jambes. Il se dressa au-dessus d’elle, et elle sentit son gros ventre s’abattre sur elle, l’étouffant. Sa poitrine l’écrasa, et elle écarta les jambes, avant de gémir encore quand il la pénétra. Elle rougit encore quand il lui parla, quand il lui indiqua combien il aimait être dans sa chatte. Elle rougit confusément, et soupira lentement, hochant la tête en le regardant.

« Ma… Ma chatte vous appartient, Maître… Soulagez-vous en moi… S’il-vous-plaît… »

Jouir sur elle, cela lui semblait bizarre ! Et puis, si elle voulait être enceinte, il fallait bien qu’il jouisse en elle ! Donc, le choix était vite fait…