The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Manoir Tochibana

C’était un puissant et ancien manoir. On disait qu’il avait été acheté et réaménagé par les Portugais et les Espagnols qui y avaient fait le quartier général d’une compagnie de vente. Le bâtiment, classé au patrimoine historique, avait ensuite été racheté par le gouvernement japonais, puis appartenait finalement à la glorieuse famille des Tochibana suite à un achat mirobolant après la guerre. Les Tochibana représentaient l’une des familles les plus riches du Japon, dont les racines remontaient à des générations entières, et, affirmait-on, jusqu’au mythique empereur Jinmu, fondateur légendaire du Japon. Les Tochibana disposaient de nombreuses propriétés terriennes, et avaient investi leur fortune dans les capitaux de sociétés japonaises influentes. Ils avaient ainsi un trésor colossal, et étaient puissants. Ils étaient ces familles qui prêtaient de l’argent au gouvernement, et comptaient à ce titre parmi les principaux créanciers du Japon, pays dont la dette publique était colossale.

Kazuki Tochibana était le fils unique de la famille, l’héritier direct de l’Empire Tochibana. Il n’avait jamais été à l’école publique, et avait eu de nombreux professeurs particuliers. On lui prédisait un mariage depuis des années avec l’une des Princesses Impériales. Un mariage assurément prestigieux. Le mariage était organisé avant même que Kazuki ne sache parler. La Princesse Impériale devait quitter la famille impériale à son mariage, et elle irait donc vivre ici. Elle était donc souvent venue, faisant de l’équitation avec Kazuki. Les deux s’entendaient plutôt bien, et aucun de leurs parents ne se doutait que Kazuki en aimait une autre.

Cette autre femme, elle était dans la chambre de Kazuki, et lui était nu, et l’observait depuis des caméras cachées. Il la voyait se pencher dans son sailor fuku. Elle revenait du lycée public où elle étudiait pour faire le ménage de son « jeune maître ». Curieusement, elle n’avait pas enfilé sa tenue de maid, ce qui ne déplaisait pas à Kazuki. Asuka Tihino était belle dans son uniforme de maid, mais lui, il fantasmait sur elle en tenue d’étudiante.

*Vas-y, fais les poussières sous le lit, penche-toi, montre-moi ta culotte…*

Asuka était née ici. Sa mère était une jeune femme qui avait perdu son mari, profondément endetté. Sa famille avait racheté les dettes du mari, mais, en échange, la mère d’Asuka avait dû être leur gouvernante et la servante à temps plein. Elle faisait désormais partie des meubles, mais la mère d’Asuka était malade depuis des années, une maladie qui ne cessait de s’aggraver. Asuka avait donc dû l’aider, et elle avait repris le relais. Elle avait toujours été proche de Kazuki. Ses parents avaient trouvé opportun de laisser Kazuki avoir une amie, lui qui était fils unique. Petits, ils s’amusaient à se balader dans les couloirs interminables du manoir, et avaient même découvert une salle secrète dans la chambre de Kazuki ! Leur refuge à eux, où ils se réfugiaient petits, lui et sa « grande-sœur ». Ils avaient aussi dormi ensemble. Enfant, Kazuki avait souvent fait des cauchemars, et ses parents avaient constaté que ses nuits étaient paisibles quand Asuka dormait avec lui, et que ses cauchemars tendaient à diminuer quand il apprenait que c’était Asuka qui avait fait sa chambre. Enfant, il était convaincu qu’un oni vivait dans sa chambre, et qu’Asuka le chassait.

Cette situation avait duré jusqu’à ce que Kazuki commence à avoir ses premières érections. Ils avaient alors été séparés. Plus de bain ensemble, d’autant qu’Asuka, plus âgée que Kazuki, commençait à manifester de très belles formes. Il était toutefois déjà trop tard. Kazuki avait petit à petit réalisé qu’il aimait profondément Asuka. Il avait aménagé sa salle secrète en y installant plusieurs écrans autour d’un ordinateur, et avait installé des caméras cachées dans sa chambre pour pouvoir la mater. Kazuki avait développé une sorte de fétichisme autour d’Asuka. Quand elle mettait ses affaires au sale, il empruntait les culottes, et, avant que les autres employés ne viennent actionner les machines à laver, il se masturbait énergiquement dans les culottes d’Asuka. Il se rendait aussi dans sa chambre quand elle était au lycée, et se masturbait sur le lit d’Asuka.

Il ne savait pas si Asuka s’en était rendue compte. Elle était intelligente, mais, hier, lors du dîner, elle l’avait regardé curieusement… Kazuki faisait exprès de laisser ses chaussettes sous son lit, et avait disposé une caméra de telle façon que, quand Asuka se penchait, il pouvait voir sa culotte. Mais, il y a quelques jours, en se penchant, le balai d’Asuka avait touché une caméra, faisant court-circuiter le système. Il ignorait si elle avait vu le système, et si elle était entrée dans son refuge. Elle savait comment entrer, bien sûr. Elle aurait ainsi pu voir les clichés qu’il avait pris d’elle quand elle allait au lycée depuis son drone, mais aussi sentir l’odeur de sueur et de sperme qui régnait là.

Ce soir, ce serait l’occasion de lui dire, car, demain, ses parents partiraient pour une semaine à Tokyo afin d’organiser le futur mariage de Kazuki. D’ici là, il se masturbait donc, nu, impatient de la voir, et de voir si elle allait bouleverser ses habitudes…

[Chloé Faure]

Asuka se considérait comme insignifiante à bien des égards, ce qui était sans doute le contrecoup d'avoir grandie au sein d'une famille aussi riche dont sa mère était la servante depuis aussi longtemps qu'elle s'en souvienne. La comparaison avec son jeune "maître", Kazuki Tochibana, était sans appel, mais cela faisait bien longtemps que la jeune femme s'était en quelque sorte faite une raison, le tout sans éprouver la moindre jalousie. Elle avait grandie avec lui, même si elle était de deux ans son aînée, et qu'ils n'étaient clairement pas de la même famille, leur relation avait longtemps été très semblable à celle d'une grande soeur et d'un petit frère tant ils étaient proches. Forcément toutefois, en approchant de plus en plus de l'âge adulte, leur relation avait du se formaliser, mais Asuka avait récemment découvert que cela n'avait pas empêché son maître de visiblement développer certains sentiments...inappropriés à son encontre.

*C'est mal mais...je ne peut pas m'en empêcher...*

Asuka avait depuis quelques temps éprouvée plus qu'un simple amour d'amitié à l'encontre de Kazuki, lui qui était si intelligent, destiné à hériter d'un empire financier sans commune mesure, mais c'était aussi pour ça qu'elle avait bien pris soin de refouler pareils sentiments. Asuka faisait de son mieux pour ne pas avoir de trop mauvaises notes au lycée où elle était dans sa dernière année, mais le fait était qu'elle n'était pas une tête pensante, et quand elle rentrait le soir, elle passait le plus clair de son temps à effectuer le travail de ménage de sa mère qui ne pouvait plus le faire. Cela ne lui déplaisait pas pourtant, elle savait déjà que quand elle aurait légalement l'âge, les Tochibana l'emploieraient à la place de sa mère à leur service. Mais depuis quelques jours, le fait de faire le ménage dans la chambre de Kazuki avait pris une tournure un peu particulière. Complètement au hasard, alors qu'elle faisait la poussière sous le lit de son maître, son balais avait tapé dans quelque chose qu'elle avait identifiée comme étant une caméra discrète, et en avait alors trouvée plein disséminées à divers angles. Alors curieuse, elle avait fini par également rentrer dans le refuge adjacent où elle avait alors découvert l'obsession de Kazuki à son encontre.
Elle avait peu dormie alors cette nuit là, ne sachant que faire de cette information, d'autant qu'elle avait eu le temps de voir que sa propre chambre aussi disposait de caméras, mais ce avant que le système complet ne soit remis en route. Kazuki ne savait donc peut-être pas que sa jeune maid savait, ou tout du moins n'en laissa-t-il rien transparaître dans les jours qui suivirent, au cours desquels le trouve que ressentait Asuka ne fît que croître. Le fait de se savoir observée quand elle prenait certaines positions, ou quand elle se changeait, aurait du la révolter mais...elle était amoureuse de Kazuki, et même si c'était profondément déraisonnable de leur part à eux deux, Asuka ne pouvait s'empêcher d'être excitée à l'idée qu'il la matait.

Ce soir, alors qu'elle rentrait du lycée, Asuka avait brièvement déposée ses affaires dans sa chambre avant de commencer le ménage, sans prendre le temps d'enfiler un autre uniforme de maid qui couvrait bien plus son corps que son uniforme scolaire. Elle se dirigea vers la chambre de son jeune maître, et commença comme à son habitude à faire le ménage, arrivant jusqu'au moment fatidique où elle devait épousseter sous son lit. Elle savait qu'une des caméras était dissimulée, et positionnée spécifiquement pour avoir un point de vue sur son fessier quand elle était accroupie pour cette tâche, et elle le fit donc en connaissance de cause.

*Kazuki...est-ce que tu me regarde en ce moment ?*

Elle voulait imaginer que oui, alors elle se mit à quatre pattes, et s'étendit pour commencer à épousseter. Ainsi, via sa caméra, Kazuki aurait sans doute l'une des meilleures vues qu'il aie jamais eu sur la culotte blanche qu'elle portait, puisqu'elle se courbait un peu plus éxagérément qu'à l'ordinaire, et sa mini-jupe était très courte. Elle fit d'ailleurs un peu durer le plaisir, en éprouvant elle même. Asuka se découvrait un fétiche pour le voyeurisme, ou plus précisément le fait de se faire mater par Kazuki. Elle fini toutefois par se redresser, puis se dirigea vers le bac de linge sale de son maître, qu'elle songea à prendre directement mais se ravisa au dernier moment...une inspiration semblant la prendre. Plutôt que de prendre directement le bac, elle fouilla dedans, et ressorti sa main empoignant un des boxers de Kazuki, qui avait été récemment porté. Le jeune homme était en pleine puberté, et il était donc en soit logique qu'il aie une libido gigantesque, et elle tomba donc sur ce qu'elle avait espérée...un de ses sous-vêtements, avec des tâches de sperme encore fraîches.

Kazuki-chan...

Ce qu'elle faisait aurait du la dégoûter mais...mais elle ne pu s'empêcher de se trouver follement excitée en portant ce boser vers son délicat petit nez, et humer l'odeur. Elle le manipula alors dans ses mains, et posa son index sur une tâche de sperme pour en récolter ce liquide séminal collant, gluant, qu'elle carressa du bout des doigts avant de...les porter à ses lèvres.

Oh Kazuki-chan...c'est ton sperme...

Oh oui, qu'il la voie ainsi, peu lui importait à ce stade. Elle prit place sur le rebord du lit en écartant bien ses cuisses, faisant face à la caméra, puis tout en continuant à humer le boxer, elle glissa son autre main dans sa culotte pour commencer à se masturber.

[Reine Alice Korvander]

Kazuki savait que leur histoire était impossible… Mais c’était plus fort que lui. C’était elle qui le faisait bander, elle qui l’amenait à prendre tant de risques inconsidérés. Il était suffisamment intelligent pour comprendre ça, et pour admettre qu’il ne pouvait pas se passer d’elle. Il l’observait donc, nu. La pièce était chaude, alors il avait amené un climatiseur, qui lui permettait de l’observer. Elle avait conservé son uniforme scolaire, et commença par les meubles, qu’elle essuya, puis refit son lit. Ensuite… Kazukia soupira lentement, et orienta sur la carte nichée sur sa table de chevet, le long de la poignée d’une armoire. Il la vit ainsi se pencher pour aller sous son lit, relevant de ce fait sa minijupe, ce qui lui permit de voir sa culotte. Sa queue durcit entre ses doigts, et il caressa avec son autre main l’écran, comme pour mieux sentir ce cul qu’il avait envie de presser, ces fesses qu’il voulait malaxer, écarter, pour la fourrer avec sa queue…

*Asuka, tu es si bonne…*

Il n’aurait sans doute pas dû penser de telles choses venant de sa grande-sœur, mais c’était plus fort que lui. Onee-chan se pencha encore, et Kazuki soupira quand elle se mit soudain à quatre pattes, relevant encore sa minijupe. Il voyait désormais très bien sa culotte, y compris sa chatte, et soupira. Asuka s’épilait soigneusement, et il s’imaginait déjà fourrant sa tête là, sentant la douceur de sa chatte, la léchant sensuellement au matin. Kazuki frémit en la voyant comme ça, mais il n’était pas au bout de ses surprises. En effet, elle finit par se relever, et retourna alors vers le bac de linge sale, d’où elle extirpa un boxer. Kazuki rougit doucement, et sentit sa queue l’élancer. Il s’était masturbé ce matin en songeant à Asuka, et avait sali son boxer. Il l’avait lui-même mis dans le bac, mais il y avait une trace de son sperme dessus… Qu’Asuka renifla, avant de s’asseoir sur son lit, et de se masturber.

Kazuki sentit sa gorge s’assécher, et déplaça encore l’angle de vue de son écran, retournant sur la caméra située dans la poignée.

*Elle sait que je la regarde, elle se masturbe pour moi…*

C’était la seule explication logique ! Elle était là, devant l’objectif de la caméra, et Kazuki pouvait l’entendre soupirer, tout en se masturbant, ses doigts remuant sous sa culotte. Il se pinça les lèvres, rougissant en entendant son nom sortir des délicieuses lèvres d’Asuka.

« Oh, Asuka-chan, onee-chan… Tu es si belle, tu te masturbes en pensant à moi, hein ? À cette grosse queue qui va te labourer… »

Tremblant d’excitation, Kazuki continua à se masturber… Et projeta sur l’écran des filaments de foutre en atteignant  l’orgasme, maculant ce dernier et le bassin d’Asuka.

Un signe prémonitoire…

[Chloé Faure]

Ha...Haaaaa K-Kazuki-chaaaaaan...

Le sentiment de gêne et de honte qu'elle éprouvait, quand au fait de se masturber sur le lit de son "maître", mais aussi de savoir qu'il la regardait probablement en ce moment, ne faisait que renforcer le plaisir qu'elle éprouvait à ainsi de caresser. Asuka gémissait et se tortillait sur place, alors qu'elle stimulait avec ses doigts son clitoris. Vierge, elle n'osait pas se rentrer des doigts dans le vagin de peur de percer son hymen, mais c'était tout à fait suffisant, vu son niveau d'excitation, pour l'amener assez rapidement vers un bel orgasme. La masturbation était un plaisir solitaire auquel Asuka s'adonnait somme toute peu souvent, la faute à un emploi du temps généralement chargé, mais cette fois à sentir cette odeur de sperme dans le boxer sale qu'elle avait trouvée elle...n'avait juste pas pu s'en empêcher. Elle joui donc, se tendant sur place, convulsant tandis qu'elle avait son bel orgasme. Sa culotte absorba la mouille qui s'échappa, et pour peu que la caméra soit assez performante, Kazuki aurait donc tout à fait une belle vue sur la petite tâche humide qui ne manquerait pas de se former.

Haaa...Hmmmm...

Asuka avait la respiration lourde, et retira lentement sa main de sa culotte, contemplant ses doigts mouillés, avant de se rendre compte qu'elle avait sans doute du coup passée un peu trop de temps ici. Elle essuya ses doigts sur le boxer qu'elle tenait toujours, puis se releva promptement, le remit dans le panier à linge sale avant de le prendre, et de sortir de la chambre. Elle avait encore pas mal de travail à faire, et l'heure du dîner approchait à grand pas.
Une poignée d'heures passa donc entretemps, où Asuka du bien faire avec la sensation d'avoir une culotte mouillée. Elle n'avait guère eu le temps de pouvoir aller dans sa chambre se changer, et elle n'avait pas non plus pu se permettre de la retirer pour la mettre dans la machine à laver avec le reste, car c'était plus ou moins la seule barrière qui l'empêchait d'avoir des filaments de mouille lui coulant le long des cuisses. Elle avait joui, mais le fait de s'être masturbée dans la chambre de Kazuki, l'aspect interdit de ce qu'elle avait fait, et cette certitude qu'il avait du la mater quand elle l'avait fait...elle n'arrivait tout simplement pas à se calmer. Heureusement, elle n'était pas de service ce soir là, c'était d'autres serviteurs qui se chargeaient de la nourriture du maître, et elle était présentement en train de faire la vaisselle dans les cuisines. Il n'y avait guère plus qu'elle maintenant, et il s'agissait de sa dernière tâche ménagère à effectuer, tandis que Kazuki avait du quand à lui finir son repas.
L'esprit d'Asuka était rempli de pensées contradictoires, qu'elle tâchait de contrôler en faisant proprement cette vaisselle, et ce au point d'être parfaitement inconsciente de son environnement autour.

[Reine Alice Korvander]

« Nous reviendrons vite, Kazuki-san.
-  Ce mariage doit avoir lieu, et la famille impériale tient à voir le personnel de maison. Vous serez donc en effectif réduit pendant cette semaine. Vos professeurs et enseignants seront également de la partie.
-  Je n’y vois aucune objection, Mère. »

Le repas familial était comme toujours assez long, et très protocolaire. Kazuki le connaissait à la perfection, et le faisait machinalement. À aucun moment, ses parents ne se doutaient que, il y a environ une heure, il était nu. Ils ne se doutaient pas non plus qu’il avait filé dans la blanchisserie, et avait attendu qu’Asuka s’éloigne pour récupérer le boxer sur lequel elle s’était masturbée, et pour l’enfiler. Il avait eu une érection instantanée, et avait joui ensuite. Kazuki avait ensuite enfilé un costume, et son tailleur personnel l’avait aidé à le mettre, réajustant sa cravate. Son copiffeur personnel s’était aussi occupé de ses cheveux. Fin prêt, Kazuki avait rejoint le salon. Asuka s’était chargée de leur offrir à manger, surprenant sa mère quand elle avait vu qu’elle portait toujours son sailor fuku. Père avait doucement ri en buvant son verre.

« Elle travaille dur, c’est pour ça… Je lui en ai fait la remarque tout à l’heure, mais, entre l’école et ses devoirs ici, elle n’a pas eu le temps de se changer.
-  Il faudra quand même veiller à ce que ça ne devienne pas une habitude, la famille impériale tient au respect de l’étiquette. »

Quand Asuka était venue prendre son assiette, Kazuki en avait discrètement profité pour décaler sa jambe. Un geste qu’on aurait pu prendre pour une simple maladresse, mais qui lui permit de glisser son genou sous la minijupe d’Asuka, et de sentir sa culotte. Cela avait réveillé l’érection de Kazuki, qui ne partit pas pour tout le reste du repas. Mère avait elle-même écarté Asuka de la délégation, car elle devait rester près de sa mère, et la voir en sailor fuku la convainquit définitivement de ne pas l’amener à la délégation. Pendant toute la durée de ce repas, Kazuki songeait aux soupirs d’Asuka, à son orgasme, à ses doigts qui remuaient dans sa culotte. Vers le dessert, sa queue continuait à l’élancer, il alternait entre essayer de se calmer, et laisser ses fantasmes l’envahir.

Une fois le repas terminé, Père et Mère allèrent dans le salon. Kazuki savait qu’ils n’en partiraient pas. Ils liraient tranquillement, ou Père répondrait à ces mails. Kazuki put ainsi rejoindre la cuisine, et constata vite qu’Asuka était seule. Là aussi, c’était lié au fait que la plupart des domestiques avaient dû partir tôt pour le voyage vers Tokyo. Il sourit donc, rejoignant la cuisine par l’arrière, là où personne ne risquait de le voir. Asuka nettoyait les assiettes, et avait ses écouteurs sur la tête. Il hésita encore un peu, et fourra sa main sous son pantalon, relevant sa queue qui lui faisait mal, la coinçant contre sa ceinture. Elle glissait toutefois à chaque pas. Il rejoignit donc Asuka, qui avait enfilé un tablier de cuisine par-dessus son uniforme.

Pour éviter qu’elle ne crie, il posa une main sur sa bouche, et la sentit sursauter, relâchant l’assiette qui tomba dans l’évier. Il retira l’un de ses écouteurs avec son autre main, et se blottit contre elle. Sa verge tapa alors contre les fesses de la femme.

« Asuka-chan… »

Il la sentit se détendre en reconnaissant sa voix, alors il retira sa main de ses lèvres, et défit les nœuds du tablier avec. Le vêtement blanc tomba au sol, et conserva son autre main sur les hanches d’Asuka, caressant sa peau, avant d’aller l’embrasser dans le creux du cou.

« J’ai récupéré le boxer sur lequel tu t’es masturbée… Et je l’ai mis. Je le porte encore, là… »

Il sourit, et déplaça sa main pour la poser sur l’un des seins de la femme, le serrant à travers son uniforme.

« Tu ne le sais sans doute pas, mais tu es la première femme sur laquelle j’ai fantasmé… Je me souviens encore de ma première érection. Je ne comprenais rien à ce qui m’arrive, et je sentais ta cuisse contre mon sexe, remuant pendant que tu dormais. »

Il soupira encore.

« Je me masturbe depuis plus d’une semaine en te regardant faire le ménage… Toutes les nuits, je me réveille en pensant à toi, le corps en sueur, et avec une queue dure comme de l’acier. Onee-chan… Je crois que tu m’as envoûté. »

[Chloé Faure]

Asuka avait du sortir la carte des écouteurs avec de la musique pour essayer de se focaliser à nouveau correctement. Entre ce qui s'était passé dans la chambre, puis le fait qu'elle s'était faite plus ou moins réprimander par les Tochibana pour ne pas avoir eu le temps de se changer, elle avait besoin de cette distraction. Il n'y avait plus personne d'autre qu'elle dans cette aile du manoir, la cuisine était nettoyée de fond en comble, et elle était en train de finir la vaisselle des derniers couverts qui avaient été utilisés lors du repas de ce soir. Elle ne savait pas encore trop comment elle allait faire pour dormir ce soir, tant son esprit était rempli, ni si elle allait tenter de parler avec Kazuki de...tout ça. Mais la réponse lui vint d'elle même, et d'une façon qui fut pour le moins surprenante, quand elle sentit finalement quelqu'un se glisser dans son dos, et porter une main à sa bouche.

HMMMM !!!

Même si elle tenta d'hurler, surprise par ce contact, la main l'empêcha de faire assez de son pour que ce soit entendu au delà des limites de la cuisine. Mais elle sentit rapidement un de ses écouteurs lui être retiré, et ce fut alors la voix de Kazuki-chan qu'elle entendit. Naturellement, elle se détendit lorsque l'hypothèse d'un intru s'effaça, mais pour aussi soudainement se tendre à nouveau en sentant une bosse commencer à se frotter contre sa mini-jupe et ses fesses. Kazuki retira alors sa main, et défit rapidement le noeud du tablier qu'elle avait enfilée pour qu'elle se retrouve pleinement avec son sailor fuku. Il alla alors l'embrasser dans le creux du cou, provoquant une tension instinctive dans cette zone, un mouvement qui fit tomber au sol son deuxième écouteur.

K-Kazuki-chan...

Bon Dieu est-ce...est-ce que c'était vraiment en train d'arriver ? Tout ça allait si vite qu'elle avait du mal à tout comprendre, mais Kazuki était blotti dans son dos avec une érection. Il mentionna porter le boxer avec lequel elle s'était masturbée tantôt, ce qui confirma bel et bien qu'il l'avait matée le faire, ce qui, en plus du fait qu'il porta son autre main sur l'un de ses seins, ne manqua pas de la faire bégayer et rougir comme une tomate.

J-je...Haaaaa...

Elle venait tout jsute de réussir, après de grands efforts, à se calmer, et il avait fallu aussi peu pour qu'elle se retrouve à nouveau à un niveau d'excitation comparable à quand elle était tantôt rentrée dans la chambre. Il était bien là, dans son dos, blotti tout contre elle. Son sein se durcirait rapidement sous l'effet de cette main qui le malaxait, et elle tremblait au contact de l'autre qui était posée sur sa hanche, le tout en étant coincée entre le corps de Kazuki derrière elle, et l'évier devant elle. Et puis, vint le coup de grâce avec ces paroles absolument salaces et perverses qu'il lui murmurait, de sa première érection qui avait eu lieu contre une de ses cuisses pendant qu'elle dormait, ou l'aveu véritable qu'il l'espionnait en se branlant sur elle, et qu'elle hantait ses nuits. Asuka avait ses deux mains posées contre le rebord de l'évier pour se maintenir, sans quoi elle avait l'impression que ses jambes ne pourraient pas la soutenir.

Oh Kazuki-chan je...on...on ne devrait pas pourtant mais...j'ai pas pu m'en empêcher...quand j'ai découvert que tu me matais sans doute via ces caméras ça...ça m'a tellement excitée...de savoir que tu me regardais comme ça...

Elle parlait en prenant garde au débit sonore de sa voix, tremblante, ce qui donnait une ambiance tout à fait intime à ces aveux qui semblaient lui libérer la conscience. Oui, ils ne devaient pas faire ça, mais c'était à ce stade comme si l'interdit de la chose la rendait encore plus désirable. Peu à peu, Asuka avait commencée à onduler son bassin, de façon à tendrement frotter son magnifique cul rebondi et ferme contre cette érection qu'elle sentait contre elle.

Je t'aime Otôto...je suis toute à toi...je me suis préservée car je n'imaginais personne d'autre me prendre...et tu es là...mon Kazuki-chan...

[Reine Alice Korvander]

Il avait pris un risque fou, inconsidéré. Soit Asuka aurait paniqué en voyant qu’il l’espionnait, soit elle aurait été flattée de savoir combien il pensait à elle. Kazuki avait opté pour la seconde option, en se disant qu’il connaissait suffisamment bien Asuka pour savoir que son complexe d’infériorité l’emporterait sur le reste. Il était heureux de voir qu’il ne s’était pas trompé sur elle. Elle restait contre lui, ne cherchant même pas à se retirer, et lui avoua qu’elle savait tout, et qu’elle avait donc sciemment agi tout à l’heure. Kazuki sourit, ragaillardi par son érection. Il frémit quand elle lui annonça être toujours vierge, et, pendant qu’elle parlait, il défit lentement les boutons de son chemisier. Il pouvait sentir le pouls d’Asuka s’accélérer, s’amplifiant tandis que lui la déshabillait. Il alla jusqu’à retirer le dernier bouton, et laissa la chemise blanche en appui sur les épaules de sa grande—sœur. Sa main fila alors sous la minijupe d’Asuka, puis sous sa culotte, et il enfonça un doigt dans sa chatte.

« Oh, Onee-chan… Cela fait tellement longtemps que j’attends ce moment. Je ne pouvais me faire à l’idée d’offrir ma virginité à quelqu’un d’autre que toi. »

Il commença à remuer son doigt, et en glissa un second.

« J’ai installé un simulateur pornographique en réalité virtuelle pour m’entraîner…  Mais mes mains tremblent tellement, ce n’était pas prévu… »

Il devait crisper ses muscles pour retenir les vibrations. Son autre main partit sous la chemise d’Asuka, et il pinça son sein, puis le retira du bonnet du soutien-gorge, et pressa le téton. Sa queue semblait plus dure que jamais, prête à craquer. Il soupira longuement, et continua à la palper, à pincer son téton puis à relâcher la pression pour serrer ses doigts sur son gros sein. Sous sa culotte, ses deux doigts remuaient en elle, s’enfonçant dans sa chatte, la masturbant. Il estimait s’en sortir plutôt bien, même si, entre la théorie et la pratique, il y avait tout de même une grosse différence.

« Mon mariage sera purement politique, Asuka-chan… C’est toi que j’aime, et tu vivras toujours avec moi. Mais je suis prêt à renoncer à tout ça, tu sais… Mon mariage, mon héritage… Pour toi, parce que tu es la personne la plus importante à mes yeux. J’ai commencé à te suivre parce que je savais comme tu es belle, et, à l’idée que tu sortes avec un autre garçon que moi, je bouillonnais de rage. »

Il serrait encore, et la caressait intimement, ses doigts s’enfonçant un peu plus profondément.

« C’est comme ça que tout a commencé… Mais, quand je t’ai vu en sailor fuku, j’ai fantasmé là-dessus chaque nuit. Donc, j’ai commencé à mettre des caméras… Et, petit à petit, à y prendre goût. Je me masturbe comme ça depuis des semaines, tu sais. »

Il soupira encore, et l’embrassa à nouveau dans le creux du cou, tout en continuant à la masturber, curieux de voir comment elle allait réagir à tout ça..

[Chloé Faure]

Oh Seigneur, qu'est-ce que ça pouvait être bon ! Asuka avait déjà fantasmée à l'occasion sur de pareils scénarios, avant de les bannir de son esprit face à la honte qu'elle en éprouvait, mais rien n'aurait pu vraiment la préparer au fait de sentir pour de vrai Kazuki-chan se blottir contre elle ainsi. Elle tâchait de ne pas faire trop de bruit, mais ne pouvait s'empêcher de respirer lourdement, et de pousser des petits gémissements alors qu'elle sentait les mains de son "petit-frère" remuer sur son corps. Il commença par sa chemise, défaisant un à un les boutons qui la maintenaient fermée, et ce jusqu'au dernier, tant et si bien que la généreuse poitrine d'Asuka fut révélée. Et puis, une fois ceci fini, sa main glissa bien plus en bas, jusqu'à aller sous sa mini-jupe...et dans sa culotte.

Ahhh !

Asuka se tendit brièvement sur place en sentant ses doigts glisser le long de son mont de Vénus, avant d'atteindre ses lèvres intimes, et de sentir un doigt, puis deux, se glisser dans sa petite chatte serrée. Elle même n'avait jamais osée glisser des doigts dans son vagin de peur de déchirer son hymen par inadvertence, alors c'était une première pour elle, surtout qu'il ne s'agissait pas de ses doigts mais de ceux de Kazuki-chan, ce qui ajoutait une délicieuse couche d'incertitude quand aux mouvements qu'il faisait, au rythme, et à la profondeur à laquelle il allait s'enfoncer. Lui sentirait tout de suite qu'elle était très chaude, et humide, ses doigts remuant provoquant de petits bruits spongieux, qui étaient à peine étouffés par les gémissements qu'Asuka ne pouvait s'empêcher de pousser.
Et puis, il y avait encore et toujours ces paroles salaces qu'il lui disait pour pimenter encore un peu plus le tout, alors que son autre main remonta de ses hanches jusqu'à l'un de ses seins.

Hannn...K-Kazuki-chaaaaaaan !

Il étaient en train de faire l'amour dans la cuisine du manoir, ce qui était forcément interdit, tout comme pareille évolution de leur relation ! Mais c'était là aussi ce qui rendait la situation d'autant plus excitante. Asuka ne pouvait pas lutter, mais ce n'était pas vraiment comme si elle en avait eu envie de toute manière, elle s'offrait comme une fleur ouverte au butinage d'une abeille venant récolter son pollen. La pauvre avait bien moins de facilités à se contenir de Kauki-chan, heureusement elle avait l'évier face à elle, sur lequel elle posait fermement ses mains, pour se maintenir, car son petit frère ne la ménageait pas. Après quelques instants à lui peloter l'un de ses seins, il souleva le bonnet de son soutien-gorge pour le mettre à nu, avant de revenir cette fois le malaxer directement. Le tout, alors qu'il continuait à la masturber, enfonçant ses doigts en elle, titillant à chaque fois de peu la délicate membrane de son hymen. Il parla alors d'à quel point il l'aimait, que son mariage n'aurait de toutes façons aucune importance, et qu'il était quand bien même prêt à abandonner tout ça pour être avec elle. Il acheva cette petite tirade par la mention du fait qu'il se masturbait en l'espionnant ainsi depuis des semaines maintenant, et par un baiser dans le creux de son cou.

Kazuki-chan !

Un soupir, vif, alors qu'elle se tendit subitement comme une code de violon, et se mit à tressauter et convulser sur place. Kazuki pourrait sentir les parois internes de sa chatte se crisper contre ses doigts, et des filet de cyprine filer et tâcher sa main, et humidifier encore d'avantage la culotte qu'elle portait. La pauvre du porter une de ses propres mains à sa bouche pour éviter de faire trop de bruit, et sembla jouir généreusement pendant de longues secondes, avant de finalement se calmer.

Ah...Oh Kazuki-chan...tu me dis de ces choses tellement perverses...

Ce n'était clairement pas un reproche, bien au contraire vu le ton sensuel qu'elle employait. Elle se retourna alors vivement, puis posa ses deux mains sur les joues de son petit frère avant d'aller l'embrasser, filant directement avec sa langue à la rencontre de la sienne dans un baiser qui était aussi maladroit que passionné. Rapidement, alors qu'elle continuait à l'embrasser, elle déplaça ses mains jusqu'à la ceinture de Kazuki, qu'elle tâche de défaire le plus rapidement possible même si ses mains tramblaient, avant ensuite déboutonner son pantalon et de le faire tomber à ses pieds. Elle rompit alors son baiser pour regarder, et il n'avait pas menti, c'était effectivement ce même boxer.

Je vois que tu n'a pas menti...oh elle est si dure et grosse Kazuki-chan.

Elle effleura en effet du bout des doigts cette bosse monumentale qui déformait le boxer, prenant garde à ne pas appuyer trop de pression dessus afin de ne pas le faire jouir trop vite.

Tu sais tout à l'heure, quand je me suis masturbée sur ton lit...je...je t'imaginais en train de me faire l'amour Kazuki-chan, avec ta grosse bite...Oh tu dois me prendre pour une salope mais je...à la sentir comme ça...tout ce que j'arrive à imaginer c'est toutes les positions dans lesquelles tu pourrais me prendre, et tous les endroits où on pourrait le faire...

[Reine Alice Korvander]

Kazuki se maîtrisait mieux qu’il ne le pensait. Il avait tellement fantasmé sur cette première fois avec Asuka, sur le moment où leur relation allait vraiment décoller. Il sourit quand il l’entendait gémir, et regretta presque qu’elle mette la main devant sa bouche. Certes, la prudence était recommandée, mais ses gémissements étaient si plaisants à entendre, si agréables pour ses oreilles… Kazuki soupirait donc, frottant encore sa verge, et la sentit jouir contre lui. Il sentit le corps d’Asuka se crisper, et elle sembla même s’affaisser pendant l’orgasme. Ses doigts se recouvrirent de sa mouille, et il dut fermer les yeux, se retenant de ne pas jouir. Même s’il s’était entraîné, lui aussi n’en était pas moins vierge. Face à ce spectacle, face à ce cul qui se frottait contre lui, mais surtout face à l’orgasme intense d’Asuka-chan, Kazuki se sentait sur le point de jouir. Elle se retourna alors, et il soupira quand elle posa chacune de ses mains sur ses joues.

Lui posa ses mains sur les hanches d’Asuka, et se pencha contre elle, venant l’embrasser également. La langue d’Asuka partit immédiatement à l’assaut de sa bouche, et il sursauta doucement. Kazuki frémit sur place, et posa sa main sur les cheveux d’Asuka, tout en amenant l’autre dans son dos. Ne pouvant se retenir, il posa seconde main sous sa minijupe, et la posa sur l’une des fesses d’Asuka. Il appuya doucement sur cette zone, pressant le cul d’Asuka, et sentit la culotte de la jeune femme se serrer contre ses doigts. Leurs langues s’unissaient dans une danse sensuelle et chaude, et le baiser dura bien plusieurs minutes. Kazuki n’avait aucune envie de se retirer, et, tandis qu’il l’embrassait, son bassin remuait d’avant en arrière, son sexe en érection heurtant ainsi le bassin d’Asuka.

« Hmmm… »

Tandis que leur baiser durait, il sursauta et frémit doucement en sentant la main d’Asuka tirer sur la boucle de sa ceinture. Elle détacha ainsi sa ceinture, puis déboutonna son pantalon, et commença à tirer dessus. Kazuki frémit encore, et écarta les jambes, simplifiant le glissement du pantalon. Son vêtement tomba au sol, et il s’aida de ses jambes, sans rompre leur baiser, pour se libérer totalement du pantalon, qu’il poussa ensuite du talon. Il ne portait plus que son boxer, et Asuka se recula un peu, et baissa la tête. Sa queue l’élança encore, se durcissant et s’élançant, maintenant qu’elle n’était plus restreinte par le pantalon. Le tissu du boxer se détendait, formant ainsi une magnifique bosse.

« Oh, Onee-chan, tu m’excites tellement… »

Cela, elle pouvait le voir. Il n’avait jamais autant bandé de sa vie ! Il frémit quand les doigts de son amante effleurèrent sa queue, et déglutit ensuite.

« J’ai envie de te prendre là, tu sais… Contre l’évier… Dans chaque pièce de ce manoir… Contre chaque mur… »

Il crispa ses poings en fermant les yeux.

« Mais, si j’essaie, là, je vais jouir en quelques secondes, tu sais… »

Kazuki avait les joues rougies, la respiration lourde. Sa main caressa la joue d’Asuka, et son pouce glissa contre ses lèvres, avant de s’y enfoncer.

« Je ne veux plus jouir autrement qu’avec toi, maintenant… Alors, si tu le souhaites, je… J’aimerai jouir dans ta bouche… Mon amour… »

[Chloé Faure]

S'était-elle déjà sentie dans un pareil état auparavant ? Certainement pas, et Asuka avait presque l'impression de devenir folle, vu à quel point le contact et la présente de Kazuki à ses côtés, et dans ce contexte, la rendaient aussi nerveuse et excitée. Bien sûr il y avait la pointe d'anxiété du fait de plonger dans l'inconnu, mais elle était balayée par la vague de son désir gigantesque de devenir intime avec lui. Elle en fût convaincue quand, lors de son baiser, elle ne pu s'empêcher de trembler sur place et de gémir quand il posa une de ses mains sur son cul pour le malaxer fermement. Asuka se découvrait en temps réel des préférences qui la faisaient "vriller", et les palpations sur ses fesses, ou même avant le fait de sentir le sexe de Kazuki se frotter dessus, avaient été des facteurs non négligeable dans la montée de son envie de se faire prendre par lui.
Et là, à sentir le sexe tout dur de son futur amant entre ses doigts, avec juste le fin tissu de son boxer comme "barrière", elle était convaincue de vouloir le sentir en elle. Kazuki partageait cette envie, mais mentionna le fait qu'il risquait de tenir au mieux quelques secondes. Il posa alors sa main sur sa joue, puis alla fourrer son pouce dans sa bouche.

Hmmm...

Asuka gémissait un peu comme une chienne en chaleur, elle qui était d'ordinaire si réservée. Elle suça avec entrain ce doigt qui était dans sa bouche, puis frémit quand Kazuki lui demanda si, en substance, elle pouvait lui faire une fellation. Elle continua de sucer son doigt pendant quelques secondes avant de se retirer pour lui répondre.

Oui, tout ce que tu veux, Kazuki-chan...

Elle posa alors ses mains sur les épaules du jeune homme pour qu'ils se retournent les deux, et que lui ainsi se retrouve dos à l'évier pour qu'il s'appuie dessus.

J'espère faire ça bien...c'est ma toute première fois, et je ne me suis pas "entraînée" comme tu a pu le faire, mais je ferai de mon mieux.

Elle se mit alors délicatement à genoux face à lui, puis posa ses deux mains sur les rebords du boxer pour le lui retirer. Asuka se retrouva donc directement face au sexe tendu de Kazuki-chan, qui semblait presque pulser de lui même tant il devait être excité. Elle sentit le rouge lui monter aux joues, encore une fois, et se mordilla brièvement la lèvre inférieure avant de lever son regard vers le visage du jeune homme.

Oh Kazuki-chan...tu as une si grosse bite...

Allait-il aimer qu'elle utilise un langage aussi grossier ? Asuka était en train d'expérimenter, mais elle n'avait pas l'impression que Kazuki trouvait ça déplaisant quand elle aussi parlait un peu salement. Par mesure de précaution ensuite, et aussi pour exciter encore un peu d'avantage son aimé, elle retira complètement sa chemise et son soutien-gorge, qui ne servaient en l'état plus à grand chose vu comment Kazuki l'avait partiellement déshabillée, afin qu'il aie une vue plongeante et directe sur sa magnifique poitrine.

Comme tu risque peut-être de jouir beaucoup, je souhaiterais éviter de trop salir mon uniforme.

Elle retira aussi rapidement sa mini-jupe, ce qui fit qu'elle se trouvait maintenant juste avec sa paire de longs collants et sa culotte blanche. Puis elle se rapprocha. D'une main, elle enroula délicatement ses doigts autour du sexe de Kazuki, en prenant garde à ne toutefois pas appliquer une trop grande pression au début, et de l'autre, elle alla mouler la forme de ses testicules avec ses doigts.

J'ai tellement envie de goûter à ton sperme Kazuki-chan...alors tu va jouir dans ma bouche mon chéri. Je veux que tu me regarde pendant que je te suce, et je veux que tu éjacule autant de fois que tu le veux. Je suis à toi Kazuki-chan, rien qu'à toi...mon maître...

Elle ouvrit alors grand la bouche, et tout en regardant Kazuki droit dans les yeux, elle alla gober le bout de son sexe dans sa bouche, et commença à le sucer. Par la même occasion, ses mains s'activèrent, elle le branla de l'une en même temps qu'elle le sucait, et utilisait l'autre pour malaxer ses testicules. Il ne tarderait pas à jouir face à ce traitement, et elle le savait, alors elle se préparait à recevoir sa semence dans sa bouche, et ce d'autant plus qu'elle comptait bien continuer à le sucer même après qu'il aie joui cette première fois. Il était si excité depuis si longtemps, qu'Asuka avait l'intention de le pomper, et de le vider...

[Reine Alice Korvander]

Kazuki était sous le charme. Avait-il été autant excité comme ça une seule fois de sa vie ? Il avait l’impression d’être une centrale électrique sur pattes, d’avoir en lui toute l’énergie du monde ! Comme une armée à lui tout seul, prête à déferler sur cette magnifique forteresse qu’était le corps parfait d’Asuka-chan ! Si elle lui avait dit, il l’aurait baisé là, il le savait. Cette vague… Cette irrésistible vague était impossible à repousser. Le désir s’exprimait avec une intensité comme il ne l’avait jamais connu ! Pourtant, il avait souvent bandé sur Asuka, il s’était souvent retrouvé gêné, incapable de se contenir, et devant se masturber rapidement. La vague était irrésistible, car Asuka-chan était irrésistible, tout simplement. Elle le fit pivoter, et indiqua qu’elle allait le sucer, et qu’elle ferait tout ce qu’il voudrait. De tels propos ne purent que le faire déglutir. Douloureuse, sa queue lui semblait être sur le point d’exploser. Il posa ses mains moites en appui sur le rebord de l’évier, et la vit s’agenouiller devant lui.

« Onee-chan… »

Sa voix était lourde, lente, marquée par ce désir en lui. Asuka tira sur son boxer, libérant enfin sa verge. Lui aussi commençait à avoir chaud, alors, tandis qu’elle retirait sa chemise et son soutien-gorge, il défit sa cravate, et retira sa veste et sa chemise. Quand la chemise tomba au sol, on pouvait voir d’épaisses marques de sueur à hauteur des aisselles et le long du dos. Il tenait toujours sa cravate dans la main, et, quand Asuka souffla sur sa queue, Kazuki frémit.

« C’est si bon d’entendre… Des grossièretés dans ta si jolie bouche, Asuka-chan… »

Pour rien au monde, Kazuki aurait rejeté ce moment. Il se sentait heureux, et dans un état intense, si intense… C’était quelque chose qu’il n’avait jamais ressenti avec une telle force. Elle ouvrit bien grand les lèvres, et, quand elle les abattit sur son vit turgescent, Kazeukia frémit. Sa queue frémit aussi, comme une petite secousse, un spasme nerveux dans la bouche d’Asuka-chan. Il souffla lentement, et posa ses deux mains sur la tête de sa partenaire. Elle titilla ensuite ses testicules, et, pour lui, ce fut le coup de grâce… Il crispa ses mains sur ses cheveux, et sentit la vague venir. Une éjaculation presque instantanée ! Mais, après tout, il était tellement excité que l’inverse aurait été incongru !

Tout son corps se détendit d’un coup tandis qu’il serra ses doigts sur les longs cheveux d’Asuka, et jouissait avec appétit dans sa bouche. Ce fut un premier orgasme fulgurant, mais qui ne serait pas le dernier. Sa verge restait en effet solide, et son appétit vorace.

« Oh, Asuka-chan, c’est si bon de jouir en toi… »

Il soupira encore.

« Je… Je n’ai pas fini, suce-moi encore… »

Kazuki commença à remuer son bassin, accompagnant les mouvements buccaux de sa partenaire, tout en serrant et desserrant la prise sur ses cheveux.

[Chloé Faure]

Asuka poussa un long soupir de plaisir quand ses lèvres se refermèrent sur le sexe tendu de Kazuki. N'ayant jamais fait ça, sa "crainte" avait tout de même été de savoir si elle aimerait tout ça, le sexe, le fait de se retrouver ainsi en intimité avec quelqu'un, et de s'offrir à lui. Asuka avait un peu peur de mal faire, mais ça s'arrêtait là, son désir de le faire était bel et bien présent, et elle entreprit de sucer avec amour son petit chéri. Elle pouvait le sentir, à la façon dont son sexe tressautait déjà dans sa bouche, à la façon dont il soupirait et qu'il se crispait, il avait passé beaucoup de temps à se retenir, et il ne pourrait pas le faire bien plus longtemps maintenant. Asuka eut tout juste l'occasion de le branler un peu, et de faire quelques timides va et viens avec ses lèvres contre le bout de son sexe, que Kazuki commença déjà à éjaculer.

Hmmm...

Asuka eût sur l'instant un réflexe de se retirer, mais qu'elle parvint à contrer rapidement, de sorte à ce que ses lèvres ne se décollent pas de ce sexe. La sensation d'avoir du sperme qui lui éclatait dans la bouche était étrange, cet espèce de liquide gluant, chaud, et au goût pourtant pas si agréable que ça en soit. Et pourtant, ce n'était pas ça qui était le plus important pour Asuka, mais bien ce que ça représentait, le fait qu'elle faisait plaisir à son amoureux, et qu'il était en train de jouir grâce à elle. Tandis qu'il était en train de se vider en elle, et qu'Asuka entreprenait d'avaler copieusement ce sperme pour ne pas en perdre une goutte, elle le regardait, le visage tendu et transi de plaisir, alors que c'était un véritable soulagement pour lui. Elle continua de le branler tout du long, et quand il eût fini, il posa ses deux mains sur sa tête. Kazuki la surprit en en demandant encore, et effectivement, Asuka pouvait sentir que malgré le fait qu'il aie joui, il ne débandait pas. Cela, plus le fait qu'il avait tout juste déclaré que c'était "bon de jouir en elle", ne manqua pas de causer chez elle un grand trouble...et une vive poussée d'excitation, et un peu de fierté.

Hmmmm ♥

Ainsi, tandis que Kazuki commença à remuer de lui même son bassin, Asuka reprit de plus belle sa fellation, se concentrant pleinement sur sa tâche pour donner un plaisir maximum à son partenaire. Il s'était d'ailleurs complètement déshabillé, et elle regardait à l'occasion son beau torse glabre tandis qu'elle le suçait. Peu à peu, encouragée par le fait qu'elle se débrouillait assez bien pour qu'il en redemande, Asuka mettait de plus en plus d'ardeur dans ses mouvements. Elle prenait bien garde à ne pas frotter ses dents dessus, et usait beaucoup de sa langue et salivait pas mal. Elle allait jusqu'à s'enfoncer un peu plus, sans toutefois aller jusqu'à la gorge, et elle continuait en même temps de le masturber. Kazuki pu cette fois tenir plus longtemps, ce qui lui permit de d'avantage profiter du fait de se faire sucer, mais inévitablement, il se remit à jouir. Cette fois Asuka en fut moins surprise, et accueilli dans sa bouche ce sperme à nouveau, à nouveau sans en laisser la moindre goutte tomber de ses lèvres. Le goût, qu'elle trouvait assez répugnant la toute première fois, même si ça ne l'avait pas empêchée de tout avaler, semblait devenir...plus supportable, comme si elle était en train de s'y habituer, voire même d'y prendre goût.
Mais cette fois, alors que Kazuki semblait prêt à se retirer, ce fût Asuka qui décida qu'elle n'en avait pas fini.

Hmmm !

Plus, elle voulait encore le sentir jouir dans sa bouche ! Elle reprit alors de plus belle les mouvements de sa tête, et posa chacune de ses mains fermement sur les fesses musclées de Kazuki pour s'aggriper à lui. Ce troisième round se révéla être plus passionné et "violent" que les deux précédents, Asuka agissant presque alors comme une junkie face à sa dose...et la comparaison n'était pas si éloignée de la réalité. Asuka avait toujours été une fille modèle, gentille, calme, posée, qui avait toujours mis ses désirs personnels de côté...et pour la première fois là, elle s'autorisait à suivre ses désirs. C'était un océan de frustrations qui était en train de s'écouler, alors elle était maintenant clairement en train de le pomper, à s'empaler ainsi la bouche sur son gros sexe qui était en train de la rendre folle de désir. D'intenses bruits de succion, et de "gagging" enveloppaient la pièce, jusqu'à ce qu'Asuka parvienne à traire sa troisième dose de sperme qu'elle avala encore. Cette fois, plus aucune trace du moindre dégoût, et quand elle se retira finalement, des filaments de salive la relièrent encore brièvement au sexe de Kazuki.

Aaaah...D-désolée Kazuki-chan...mais tu m'a tellement excitée, j'avais besoin de te sentir en moi un peu plus...

Elle se redressa alors, puis vint l'embrasser, le tout en prenant bien soin de se blottir contre lui afin que sa verge vienne se faufiller sous sa mini-jupe, et contre sa culotte. Avec le bout de son gland, Kazuki pourrait aisément sentir qu'elle était trempée là dessous...

[Reine Alice Korvander]

Kazuki était très excité. Même en ayant joui, sa queue restait encore suffisamment durcie pour permettre à Asuka de le pomper à nouveau. Il déglutit en serrant ses mains sur ses cheveux. Il était en sueur, il avait les mains moites, mais, à ce stade, le jeune aristocrate ne ressentait rien de tout cela. Non, il ne sentait qu’un désir fou, vorace, un désir auquel il s’accrochait, et était en cela motivé par Asuka. Cela faisait des mois qu’il avait réalisé qu’il l’aimait, des mois qu’il fantasmait sur elle, au point de commencer par la filmer, par l’espionner, par jalouser dès qu’il voyait un garçon lui parler ou rire avec elle… Tant de frustration accumulée qui se vidait maintenant. Il ne pouvait pas s’épuiser aussi vite, pas en une seule décharge ! De fait, Kazuki retrouva rapidement de sa dureté, et fit fi du fait que le sperme n’était sans doute pas très bon pour Asuka (il n’avait jamais goûté le sien, mais c’était ce qu’il avait lu), et raffermit sa prise sur sa tête. Son corps fila d’avant en arrière, multipliant les coups de reins. Il soupirait longuement, voyant le regard d’Asuka-chan se relever vers lui.

« Hmmm… A-Asuka-chan… »

Il soupirait, sentant les mains d’Asuka continuer à le masturber, flattant ses testicules… Ce qui contribuait là aussi à l’exciter fortement. Il se laissa donc aller, haletant et soupirant, sa verge durcissant et gonflant furieusement dans la bouche de sa chérie. Il offrit ainsi une prestation honorable, et se mit à jouir après plusieurs minutes. Elle pouvait le voir soupirer, et il ferma les yeux avant de jouir, puis les rouvrit, voyant sa verge disparaître dans la tête d’Asuka. Ce deuxième orgasme fut particulièrement exquis, et il jouit encore plus que la première fois. Kazuki relâcha ensuite la tête d’Asuka, et commença à reprendre ses esprits. Il constata qu’il avait tellement serré les cheveux d’Asuka qu’il avait plusieurs cheveux d’elle collés sur sa paume.

« Onee-chan, désolé, je… »

Alors qu’il comptait se retirer, les deux mains d’Asuka se posèrent sur ses fesses. Surpris, Kazuki cligna des yeux.

« Asuka, mais qu’est-ce que tu… »

Il sursauta quand elle pressa ses fesses, et enfonça sa bouche sur sa queue. Elle soupira furieusement, comme pour lui dire qu’elle n’en avait pas encore fini avec lui. Sa queue avait cependant bien diminué. Il déglutit, et, quand il sentit les mains d’Asuka se crisper sur ses fesses, le jeune homme commença lui aussi à se laisser aller. La tâche était loin d’être simple, car il venait quand même de jouir deux fois. Il serra avec ses mains à nouveau les cheveux d’Asuka, et commença à soupirer, et à grogner. L’amour vertueux qu’il avait pour sa grande-sœur se muait en une sorte de bestialité, de sauvagerie préhistorique, renforcée en ce sens par la sueur qui coulait sur son corps, et par cette puanteur qu’il devinait émanant des deux êtres.

Asuka forçait, et lui aussi, ce qui fit que, non content de soupirer, Kazuki se mettait aussi à grogner, tout en crachant parfois, n’arrivant pas à ravaler sa salive, tant il se donnait à fond.

« Gnnnn… A-Asuka-chan… »

Il soupira encore, et continua à remuer, puisant dans ses efforts, sentant les doigts d’Asuka se rapprocher de sa croupe. S’il avait été moins occupé à la baiser, il aurait demandé à ce qu’elle fourre ses doigts en lui… Cette idée éclata néanmoins dans son esprit, et il frémit lentement, sa verge durcissant à nouveau. Il grogna à nouveau, et continua à laisser parler sa bestialité, son esprit lui remémorant ces fois où il était jaloux, où il la voyait en compagnie d’autres mecs qui la tournaient autour :

« Tu es à moi, Asuka-chaaaann… Je te b-baisera tous les jours, j’irai dans ton école juste pour te baiser sur ta table, contre ton casier… O.. Onee-chaaann… !! »

Kazuki pouvait entendre les bruits de succion de la femme, et se crispa encore. Sa queue expulsa de nouveaux filaments de foutre, et ses fesses heurtèrent ensuite le rebord de l’évier, ce qui fit que le bout de sa queue jaillit hors des lèvres d’Asuka lors de la dernière projection. Il se déchargea sur le visaqe d’Asuka, balançant un chapelet de foutre sur son nez et sur son visage. Kazuki soupira ensuite, les cheveux en sueur, et passa sa main sur ses mèches, qui se collaient à son front, pour les rabattre derrière. Asuka se releva ensuite, et l’embrassa. Un baiser assez humide, car son visage avait pris une teinte crémeuse. Kazukia soupira, et attrapa une serviette.

« Je… Dé-Désolé, Asuka-chan, je t’ai… Enfin, tu en as sur… Euh… »

Le jeune homme rougit encore en tendant la serviette, pour l’aider à se nettoyer, n’ayant pas encore pris conscience que la chatte d’Asuka était très humide. Impossible pour lui d’utiliser encore sa verge, mais il serait ravi d’user de sa langue…

[Chloé Faure]

Pauvre Kazuki-chan ! Ce dernier était en sueur après cette longue fellation que, sur la fin, Asuka lui avait imposée, et elle constata bien que sur le moment, il ne serait pas trop en état de la prendre là, tout de suite. Mais ce n'était pas très grave, il y avait plein d'autres options, le temps qu'il reprenne un peu de viguer, assez en tout cas pour venir la déflorer. Elle lui sourit quand il lui proposa une serviette pour se nettoyer du filet de sperme qui avait accidentellement atterri sur elle, traçant une ligne du milieu de son front jusqu'au bout de son nez.

Kazuki-chan...je ne considère pas ton sperme comme quelque chose de sale, et tu sais...j'aime plutôt bien la sensation d'en avoir sur mon visage. Mais si tu y tiens, alors il n'y a qu'une façon que j'accepterais d'utiliser pour "nettoyer" ton sperme.

Elle glissa alors son index sur la trace de sperme pour la récolter sur son doigt, puis le porta à sa bouche pour le sucer l'espace de quelques secondes, le tout en regardant la mine surprise de Kazuki. Elle avala bien goulument.

Je crois...que j'ai déjà pris goût à ton foutre, mon Kazuki-chan. Alors...j'espère que tu es prêt psychologiquement à ce que je te suce souvent, et longtemps.

Asuka semblait changer à une vitesse incroyable, comme si le fait de coucher avec son "petit frère" débloquait chez elle des choses qu'elle avait toujours enfoui par honte, et qui ressortaient donc sous l'effet de cette furieuse excitation qu'elle ressentait.

Mais pour le moment...on dirait que tu as besoin d'une petite pause Kazuki-chan...et moi...j'ai besoin de toi alors...attends j'ai une idée, c'est un peu pervers, mais je crois que tu va aimer...

Il y avait une forme de malice dans son regard, alors qu'elle glissa ses mains sous sa mini-jupe, et comme ça, fit glisser sa culotte le long de ses merveilleuses jambes bien en chair.. Elle retira son sous-vêtement qui était, à ce stade, presque complètement trempé. Kazuki-chan l'avait beaucoup fait jouir avec ses doigts tantôt, et elle avait continuée à mouiller avec cette fellation, et ces vagues de sperme qu'elle avait avalée. Tenant la culotte dans sa main, elle se rapprocha donc de Kazuki, puis porta son sous-vêtement sur son sexe qui avait bien débandé. Elle le vit trembler sur place, mais le fit se tenir immobile, le temps qu'elle trouve le moyen d'enrouler proprement sa culotte autour du sexe de Kazuki, de façon à former une sorte de "cocon" autour.

Voilà. J'ai pu constater que tu aimais beaucoup mes culottes, et ça devrait aider ta bite à reprendre de sa superbe, avec un avant-goût d'à quel point je suis humide et chaude pour toi. Et...du coup...en attendant que ça te fasse effet...

Asuka se recula jusqu'à une table centrale de la cuisine, s'adossant sur le rebord, avant d'y poser ses mains de façon à grimper dessus, les fesses posées ainsi dessus. Puis, elle écarta ses jambes en grand, tandis que d'une main elle remonta les plis de sa mini-jupe pour donner à Kazuki-chan une vue pleine et imprenable sur sa belle petite chatte épilée, suintante de cyprine.

J'aimerais que tu me rende la pareille Kazuki-chan...que tu vienne constater par toi même à quel point je suis chaude pour toi, et que tu me prépare une dernière fois avant...avant qu'on se prenne mutuellement nos virginités, toi et moi...

[Reine Alice Korvander]

Sa respiration était lourde. Il avait joui trois fois d’affilée ! Même lui avait du mal à y croire ! Et, le plus dingue dans cette histoire, c’est que, quand il vit Asuka lécher son sperme avec son index, il déglutit, et sentit qu’il en avait encore envie. Oui, il était encore loin d’être rassasié, bien loin, mais son corps avait pour l’heure besoin de repos. Il savait toutefois que son érection risquait vite de revenir. Kazuki était alors tout nu, et frémit quand Asuka-chan lui indiqua qu’elle se faisait déjà au goût si particulier de son sperme, et qu’il devait s’habituer à ce qu’elle le suce souvent, « et longtemps ». Il déglutit doucement, et sourit alors, en restant près d’elle.

« Une telle invitation, ça ne se refuse pas… Je serai toujours là pour toi, Onee-chan… Et pour épancher ta soif. »

Il sourit doucement. Maintenant que la frénésie était retombée, le doute ou la culpabilité auraient pu le saisir, mais, tout ce que Kazuki ressentait en ce moment, c’était une envie féroce de lui faire encore l’amour, de rester près d’elle. Elle le stimula davantage, en posant sa culotte sur son sexe. Le jeune homme frémit en la laissant faire, écartant les jambes. Il sentit Asuka se pencher vers lui, et serrer sa culotte sur son sexe, la posant dessus, puis faisant un nœud avec. Il soupira, et sentit un fourmillement dans sa queue, un durcissement retenu.

« Ta culotte… Elle est toute humide… »

Il aimait effectivement ses culottes, une chose qu’il ne pouvait pas s’expliquer. C’était ce qu’on appelait un fantasme, mais il aimait sentir sa culotte autour de sa queue, il aimait se masturber dedans, et se dire qu’il portait les tenues intimes d’Asuka-chan. Il déglutit donc, et la vit grimper sur une table, puis écarta ses cuisses. Son regard coulissa naturellement vers sa chatte, non sans lorgner sur ses seins, sur son ventre, sur… Sur tout, en fait ! Car tout chez elle était magnifique, et lui donnait envie de lui faire l’amour. Elle s’étalait langoureusement, et désigna du doigt son sexe, ce délicieux bourgeon, en l’invitant à s’y fourrer. Il la vit pour cela relever sa minijupe, et il frémit lentement, avant de se rapprocher. Son érection s’accrut encore un peu plus.

Kazuki se rapprocha alors de la table, et caressa les jambes d’Asuka, remontant ses mains sur sa peau.

« Tu es tellement magnifique, Onee-chan… J’aimerai embrasser chaque partie de ton corps, lécher chaque centimètre de ta peau, te vénérer comme la Déesse que tu es… Mais je dois d’abord penser à ton propre plaisir. Tu te dévoues tellement pour moi, mais je sens bien que tu es… Affamée. »

Maintenant qu’il était proche, Kazuki laissa Asuka se coucher, relevant ainsi son bassin, qu’il attrapa en rapprochant son visage. Il renifla cette zone intime, humide, et déplaça ses mains pour attraper les fesses d’Asuka-chan. L’odeur était délicieuse, exquise, et il sentit sa queue durcir un peu plus, soulevant la culotte d’Asuka. Sa langue s’enfonça alors en elle, et il commença à lécher, remuant son organe dans sa cavité, dans son antre intime. Sa queue durcie le faisait frémir, maintenant, mais il n’y pensait pas trop, se focalisant entièrement sur l’intimité de sa grande-sœur. Sa langue partit donc, s’enfonçant aussi loin qu’il pouvait, puis il commença à lécher, et à sucer, de manière assez désordonnée, suçant pour avaler sa mouille, et cherchant à la faire mouiller davantage. Kazuki découvrait avec une joie immense le désir sexuel féminin, et c’était assurément une expérience qui allait durablement le marquer !

[Chloé Faure]

Asuka peinait encore à croire ses propres réactions, tout ce que le fait de savoir que Kazuki-chan l'aimait, avait déclenché chez elle. Si elle s'écoutait, et si c'était possible, elle et lui ne feraient rien d'autre que de baiser ensemble du matin au soir. Elle qui était pourtant d'un naturel plutôt timide et sage, avait surtout refoulée beaucoup de ses propres désirs en se disant qu'ils n'étaient de toutes façons pas possibles, ou que c'était pour le mieux. Leur relation n'était clairement pas raisonnable, vu que Kazuki-chan était destiné à se marier à une des princesses de la famille impériale, mais Asuka ne se serait jamais vue avec qui que ce soit d'autre que lui, et que Kazuki lui annonce que pareils sentiments étaient réciproques chez lui...il n'avait pas fallu plus pour que la modeste jeune femme ne cède à ses fantasmes.
Elle s'offrait donc à lui, dans sa totalité, et unilatéralement. Ils n'en étaient pas encore à ce stade de leur relation, car ils se découvraient tout juste mutuellement, mais elle ne mentait pas quand elle disait qu'elle ferait "tout" ce qu'il voulait, ce qui là aussi semblait réciproque.
Kazuki se rapprocha d'elle, et elle frémit sur place en le sentant poser ses mains sur ses jambes, les carressant au travers de ses longs collants qu'elle portait encore, l'un des derniers vestiges de son uniforme encore sur elle avec sa mini-jupe, alors qu'il lui parlait et lui disait de ces choses qui ne pouvaient que la faire rougir.

Oh Kazuki-chan...je...je suis si heureuse de t'exciter à ce point. Je suis toute à toi, rien qu'à toi, mon amour...

Elle dit cela en se couchant progressivement sur la table, la respiration lourde à l'idée qu'il allait la lécher "là". C'était une première pour elle, et déjà que sentir les doigts de Kazuki-chan sur sa chatte l'avaient rendue folle de plaisir, plutôt que ses propres doigts, elle se demandait ce qu'un contact inédit comme celui d'une langue allait faire. Le regard vers le plafond, elle en était généralement réduite à se concentrer sur les sensation qu'elle éprouvait, et "sentit" donc cette présence se rapprocher de sa chatte sensible. Tandis que lui posait ses mains sur ses fesses pour légèrement soulever son bassin, ce qui ne manqua pas de la faire gémir, Asuka releva ses jambes en pliant les genoux...et se tendit sur place quand elle sentir Kazuki venir vers elle.

Haaaaaa...K-Kazuki-chaaaaan !

Asuka fut surprise par le contact de la langue de son chéri sur sa chatte, qui était bel et bien unique et loin de ressembler en une quelconque façon aux doigts. Elle sentait la salive, la texture de l'organe qui était plus douce et plus agile, et d'autres détails comme les lèvres de Kazuki qui du coup se collaient contre ses lèvres intimes, ainsi que son nez contre son mont de Vénus, sa respiration se heurtant à toutes ses parties sensibles.

Haaaaaa j-je...Haaaaaan !!!

Oh Seigneur que c'était bon ! Alors qu'il enfonçait sa langue dans sa petite chatte humide, Kazuki pourrait sentir, en y allant au plus profond, la très fine membrane de l'hymen d'Asuka-chan, ce prix tant convoité de sa virginité qui était juste là, et qui n'était rien que pour lui quand il déciderait de lui faire l'amour. Il pourrait aussi sentir la jeune femme glisser une main sur sa tignasse de cheveux, tandis que de l'autre, elle se malaxait ses deux seins alternativement en gémissant de plaisir, des bruits qui emplissaient la pièce, au moins autant que les bruits humides qui s'échappaient de sa chatte alors que Kazuki la léchait.

K-Kazuki...m-mon clitoris...l-lèche le s'il te plait...haaaaaa !

C'était surtout via son petit bouton de plaisir qu'il parviendrait à la faire jouir. Elle décolla alors sa main des cheveux de Kazuki pour glisser ses doigts en direction de son clitoris, le mettant en avant en le plaçant entre son index et son majeur, en faisant ainsi une cible qui était impossible à louper.

Je...je suis si proche je te préviens K-Kazuki-chan...je...je vais te jouir dessus si tu me...

Si tu me lèche là, fût la phrase qu'elle serait incapable de finir. Kazuki-chan, au cours de ce cunnilingus, allait pouvoir se rendre compte que contrairement à lui, une femme comme Asuka-chan, qui avait de grandes tendances nymphomaniaques, pouvait assez aisément jouir à plusieurs reprises une fois lancée...

[Reine Alice Korvander]

Kazuki savait que le cœur du plaisir féminin était concentré autour d’un bouton, un petit bouton appelé « clitoris ». Mais il était happé par tout le reste, et clairement trop inexpérimenté pour se focaliser dessus. Sa langue filait en elle, et, tout à son plaisir égoïste, il se délectait surtout de sa semence. C’était bon, une odeur un peu acide, et un liquide qui avait le goût que Kazuki voulait bien lui donner. En fait, il se focalisait surtout sur les soupirs d’Asuka-chan. Il savait que les femmes avaient parfois tendance à simuler,  mais là, il ne pouvait croire à une quelconque simulation. Elle avait l’air bien trop excité pour cela ! Elle se crispait contre lui, relevant ses jambes pour les poser sur ses épaules, les faisant ensuite descendre le long de son dos. Il restait ainsi courbé sur elle. En se relevant, les jambes d’Asuka-chan le bloquaient, et il trouvait cette sensation magique. Il sentait les cuisses de sa femme à droite et à gauche de sa tête, et, en la léchant ainsi, en l’entendant gémir et soupirer son nom, il était plus que jamais convaincu d’une certitude fondamentale : c’était bien elle. On disait qu’une personne connaissait un seul grand amour dans sa vie, et que tous ceux qui suivaient ensuite n’étaient que des répliques, des tentatives de retrouver ce premier amour. Eh bien, dans son cas de figure, cet amour originel, c’était elle, c’était Asuka-chan, et ça ne pouvait être qu’elle.

Le jeune homme léchait donc, et sentit une main sur ses cheveux. Quand Asuka-chan tira dessus, il releva la tête, et la vit coincer entre ses doigts le petit bouton situé au-dessus de ce trou dans lequel il s’était enfoui, et qu’il avait dû titiller avec son nez. Il rougit en voyant là un organe solide, qui semblait assoiffé et durci. Kazuki déglutit, et, ne disant rien, il s’en approcha. Elle lui demanda de lécher son clitoris, en lui indiquant, tout en soupirant que, s’il faisait ça, elle allait… Kazuki sourit et l’empêcha de finir sa phrase en léchant son clitoris, et en s’y pressant dedans, le coinçant autant que possible entre ses lèvres, et lécha avidement, comme on aurait pu le faire avec un téton.

« Hmmmpff… »

Elle se mit à jouir, et ce fut comme une fontaine lancée à plein régime. Asuka-chan se mit à jouir abondamment, et ses gémissements et tentatives de phrases moururent dans de longs sifflements et soupirs. Cette fois, aucun doute, elle ne simulait pas ! Il la fit jouir longuement, sans doute à plusieurs reprises, et libéra l’une des fesses d’Asuka-chan. Il effleura sa verge, et la pressa, car elle avait désormais regagné de sa superbe. Il bandait comme un taureau, maintenant ! Du moins, c’était l’impression qu’il avait. Kazuki s’exécutait donc, léchant intimement, encore et encore, tout en se régalant, sentant la mouille d’Asuka-chan inonder son visage, et déborder sur la table. Elle se lâchait comme jamais, et c’était tout simplement divin !

[Chloé Faure]

Le contact de la langue de Kazuki-chan sur son clitoris fut tout ce qui était nécessaire pour que Asuka s'embarque dans une spirale dans laquelle elle se laissait volontiers emporter, celle d'orgasmes qui allaient s'enchaîner.

Aaaaaah !!!!

Oh Seigneur...c'était sans commune mesure avec tout ce qu'elle avait pu ressentir en se masturbant elle même. C'était un tout, le fait que ce plaisir ne soit pas prodigué par elle même mais par une autre personne, ce qui faisait qu'elle n'avait aucun contrôle et aucune possibilité d'anticiper les mouvements faits sur son bouton de plaisir. Le fait qu'il s'agissait d'une langue, dont le contact si particulier sur une zone aussi sensible que son clitoris était en soit une nouveauté, et puis surtout, surtout, le désir et l'attirance sans commune mesure qu'elle éprouvait vis à vis de la personne qui luio prodiguait ce cunnilingus, Kazuki-chan.
Asuka se crispa donc presque instantanément une fois que Kazuki commença à titiller son clitoris avec sa langue, et elle joui une première fois. Si Asuka n'était pas une femme fontaine, pour autant, elle mouillait généreusement et expulsait une petite quantité de cyprine à chaque orgasme qu'elle contractait. Mais des orgasmes, justement, elle en avait eu beaucoup durant cette journée déjà, et là, elle était partie pour un véritable rodéo. Heureusement qu'elle était allongée, car ses jambes n'auraient pas pu la supporter. Bien décidé à lui faire plaisir, Kazuki léchait et frottait sans répit son clitoris qui avait depuis lors quelque peu gonflé sous l'effet du plaisir, et qui était donc d'autant plus facile à trouver et à stimuler. Asuka...commença à perdre le fil, elle n'était guère plus qu'une espèce de poupée gémissante, chaude, et qui se mit à jouir, encore, et encore, et encore. Elle  était bien incapable de sortir de ses lèvres autre chose que de chauds soupirs et gémissements, donc Kazuki avait pour ainsi dire pleinement le contrôle sur combien de temps il souhaitait la lécher là en bas, et même si elle perdait la notion du temps, Asuka eût bien l'impression qu'il lui offrit un long, long cunnilingus.
Aimait-il à ce point la voir jouir ? Alors il serait servit. A ce stade, Asuka se trouvait dans cet état où son corps était devenu si sensible, qu'il pouvait ne s'écouler qu'une poignée de secondes entre deux orgasmes, généralement environs une quinzaine, soit même pas le temps pour elle de se remettre du précédent qu'elle enchaînait déjà le prochain. Elle avait l'impression d'en perdre la tête, mais c'était si bon...si bon ! Oh toutes ces années de frustration à ne pas pouvoir avouer ses sentiments à Kazuki-chan étaient en train de s'évacuer de la plus belle des manières, et Kazuki semblait lui aussi vouloir ratrapper le retard, toutes ces fois manquées où ils auraient pu faire l'amour.

Haaaan K-Ka...aaaaaaaaa !!!

Elle avait un peu honte, au fond, de se révéler ainsi être une nymphomane, mais sentait aussi que cet appétit sexuel qu'elle avait...n'était pas pour déplaire à Kazuki-chan, qui allait en jouer dans leur relation à venir. Combien de temps passa ? Elle n'en avait aucune idée, tout ce qu'elle pouvait sentir, c'était à quel point sa chatte était en train de devenir "crémeuse", que de la cyprine coulait le long de sa peau, entre la raie de ses fesses pour tomber sur la table, et que lui continuait, encore et encore, faisant d'elle sa chose. Au bout d'un moment, alors que Kazuki serait peut-être obligé de faire une pause pour soulager sa langue tant mise à contribution, Asuka parviendrait alors à poser sa main sur le cheveux de son amant pour l'inciter à se redresser, tandis qu'elle même le ferait également, mais tout en restant assise sur le rebord de la table.

Kazuki-chan...

Elle alla l'embrasser vigoureusement, le bas de son visage était couvert à plusieurs endroit de cyprine, et sa bouche en avait l'arrière goût, donnant à ce baiser une sensation encore plus "humide" qu'à la normale...mais le partage de leurs fluides intimes ne la dérangeait pas, que ça soit d'un côté comme de l'autre.

Pitié Kazuki-chan je...je veux te sentir en moi...prends moi...baise moi dans toutes les positions que tu veux...unis toi à moi mon amour...

[Reine Alice Korvander]

Elle avait joui… Beaucoup de fois. Quand elle commença à reprendre ses esprits, elle l’embrassa, et il l’embrassa en retour, l’enlaçant. Elle enroula ses jambes autour de sa taille, tout en restant assise sur le rebord de la table. Elle pourrait ainsi sentir que le sexe de Kazuki avait retrouvé de sa splendeur. Il frémit même encore un peu quand elle lui indiqua qu’elle voulait le sentir de nouveau en elle, et qu’il devait désormais la baiser. Il frémit en la regardant, et lui sourit.

« Oui… »

Il n’y avait aucun risque qu’on vienne. Ses parents ne s’aventuraient jamais dans ce qu’ils appelaient « le quartier des domestiques », et lesdits domestiques avaient tous quitté le manoir.

« Mais pas sur cette table, pas comme ça… Je veux le faire dans ta chambre, là où tu as fantasmé sur moi, et où j’ai fantasmé sur toi. »

Kazuki lui sourit en caressant sa joue, et l’embrassa encore.

« Je t’aime, Asuka-chan… » dit-il d’une petite voix.

Il conserva sa main dans la sienne, et ils sortirent ensuite de la cuisine. Lui était totalement nu, elle portait toujours ses collants. Sa minijupe avait été retirée par Kazuki pendant ses dernières vagues d’orgasmes. Ils traversèrent ainsi les couloirs en étant nus. Kazuki savait qu’il devrait ensuite faire un peu de « damage control », comme disent les Américains. Il allait falloir effacer certaines bandes de sécurité. Personne ne remarquerait rien. Il trouvait aussi assez excitant de se déplacer nu avec Asuka dans les couloirs. Tout en se dirigeant vers sa chambre, il lui glissa dans le creux de l’oreille :

« Je te baiserai dans toutes les pièces de ce foutu manoir, tu sais… » glissa-t-il fièrement.

Kazuki voulait la faire saliver, et qu’elle pense à lui chaque fois qu’elle ferait le ménage. Le manoir, la salle de classe, le gymnase… La prochaine semaine qui suivait allait être intense ! Car, si les professeurs particuliers de Kazuki partaient à Tokyo, Asuka, elle, avait toujours cours. Cette idée lui donnait des fourmillements entre les jambes. Ils rejoignirent finalement la chambre d’Asuka. L’appeler « chambre de bonne » aurait été injuste, car c’était une très belle chambre. Il y avait un grand lit et une grande fenêtre. Asuka disposait aussi de son bureau, avec un ordinateur, d’une penderie avec ses affaires… Il referma la porte derrière eux, et l’embrassa instantanément, l’enlaçant tout en pétrissant ses fesses, qu’il malaxa fermement.

Sans attendre, ils grimpèrent sur le lit. Kazuki retira la culotte sale d’Asuka, et la serra dans sa main, puis s’allongea sur elle. La main tenant la culotte alla rencontrer l’une des mains d’Asuka, et leurs doigts s’entrelacèrent, tandis que son autre main se posa sur sa verge. Il s’allongea contre elle, frissonnant en étant sur ce lit, l’imaginant se masturber en pensant à lui, comme lui avait déjà pu le faire à bien des reprises quand elle était en cours. Son sexe caressa le sien, il tremblait nerveusement, ne sentant plus du tout la sueur qui coulait sur son front, la nervosité ambiante… Il frémit en sentant la chatte d’Asuka-chan, et croisa son regard à nouveau, comme pour y lire un ultime assentiment… Et glissa alors :

« Je t’aime… »

Puis, enfin, vint la délivrance, tant pour elle que pour lui : il la pénétra.