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"I feel your breath upon my neck" [PV]

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Reine Alice Korvander
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*Quelque chose se termine, quelque chose commence…*

Karlach y songeait en observant avec nostalgie leur grande chambre vide à l’étage du Chant de l’Elfe, une taverne réputée au sein de la Porte de Baldur. Ils avaient pu empêcher la fin des temps en venant à bout du sinistre plan ourdi par les Trois Funestes et leurs hérauts, ainsi que par le Cerveau Vénérable, et enfin par l’Empereur… Ou même Raphaël. Tous ceux qui avaient prétendu les aider, et qui ne convoitaient que le pouvoir… Karlach avait été tentée, elle aussi. Elle aurait pu accepter les promesses sournoises de Raphaël, ou celles de l’Empereur. Elle aurait pu venir à bout de sa malédiction en s’emparant du Cerveau Vénérable. Cependant, s’il y avait bien une chose qu’elle avait appris au cours de cette épopée terrible, c’était que la liberté n’avait pas de prix.

Pendant dix ans, Karlach avait été l’esclave de la terrible Zariel, une Archidiablesse qui s’était assurée de sa soumission en installant dans sa poitrine un engin infernal, un cœur explosif qui était appelé à la consumer si elle quittait l’Avernus. Ce cœur infernal l’entourait d’un halo de feu constant. Elle avait été capturée par les Flagelleurs Mentaux, qui avaient implanté dans son crâne une larve destinée à la transformer en Flagelleur Mental. Le vaisseau qui l’escortait avait cependant été attaqué et détruit. Elle avait ainsi trouvé d’autres personnes comme elle qui avaient échappé au vaisseau, et qui, pour une obscure raison, ne s’étaient pas transformés en Flagelleur Mental : Lae’zel, Wyll, Gayle, Astarion, des personnages supplémentaires comme Halsin… Et, bien sûr, Ombrecoeur.

Comme elle, Ombrecoeur était une esclave. Elle était la prisonnière d’une divinité malsaine, la Déesse Shar. Elle avait renié son allégeance à Shar lors d’un moment difficile, et avait choisi de servir  la Déesse Séluné, renonçant aux Ténèbres pour embrasser la Lumière, et avait retrouvé ses parents lorsque le groupe était arrivé à la Porte de Baldur. Ensemble, ils avaient affronté les cultistes de Shar, et, après cette bataille intense, Ombrecoeur avait pu libérer ses parents.

*Elle comptait construire une ferme avec eux… C’est sans doute ce qu’il y a de mieux à faire.*

Dans le fond, ils avaient tous été les servants de maîtres cruels. Astarion s’était libéré de Cazador en le tuant, Wyll s’était libéré de de Mizora, et Lae’zel était partie mener une révolte contre Vla’akith. Et elle, maintenant, était face à son ultime choix. Son cœur infernal avait été stabilisé, ce qui lui avait permis de faire l’amour avec Ombrecoeur. La larve dans son cerveau avait retenu l’autodestruction du cœur, mais, maintenant que la larve était partie, le cœur allait s’enrayer. Karlach n’avait tout au plus que quelques jours à tenir avant de mourir… Ou de retourner en Avernus. Elle le savait : seule Zariel pouvait lever cette malédiction… Soit de son plein gré, soit en lui plantant sa hache dans la tête. Dans l’absolu, Karlach optait plutôt pour la première approche.

Dire qu’elle partait sans regrets serait faux. Karlach avait rejoint ce lieu, qui représentait à ses yeux les meilleurs moments de sa vie. Cela avait été court, mais intense. Elle se rappelait de ses nuits à dormir avec Ombrecoeur, à être réveillée en pleine nuit par Scratch, ou quand l’ourson-hibou venait picorer dans sa gamelle quand ils étaient en train de bivouaquer à l’air libre. Karlach sentait régulièrement l’émotion l’envahir. Elle savait qu’Ombrecoeur repasserait ici. Elle devait d’abord aller voir si ses parents allaient bien avant de venir chercher ses affaires. Elle avait demandé à Karlach si celle-ci pourrait les accompagner, mais cela était impossible. Elle le sentait en elle : sa machine infernale allait s’enrayer. Elle avait tenté de lui écrire une lettre, mais elle avait dû s’y reprendre, car ses larmes tombaient souvent dessus, séchant l’encre.

« Bordel ! » grogna-t-elle en rejetant la lettre.

Elle soupira à nouveau, et ferma les yeux.

*Reprends-toi, espèce de guimauve !*

Karlach consulta ce qu’elle avait commencé à écrire :

Cette nuit à la plage, j’ai senti ton souffle sur ma nuque… Et je l’ai ensuite senti chaque nuit, quand tu dormais avec moi, une douce caresse. Je ne te connaissais pas au début, et toi non plus, vous me preniez pour un monstre à abattre.

Tu as brisé tes chaînes, mais les miennes se nouent encore autour de moi. Je sens l’horloge tourner, et je n’ai pas le choix… Tu m’as appris une chose essentielle, mon amour, c’est que, au fond de moi, je veux vivre, et je ne peux pas t’imposer une vie de combats en Enfer contre la salope qui a mis une bombe dans ma poitrine.

Il y a plus à faire si je veux simplement vivre.

Sentir le soleil sur son visage, pouvoir jouer avec l’eau, tout cela était si agréable… Mais toucher la peau d’Ombrecoeur, l’embrasser partout, lui faire l’amour sur le sable… Tout ça, Karlach savait que cela lui manquerait plus que tout. Quelque chose se termine, et quelque chose commence. Chacun suivrait sa propre voie. Karlach comptait finir la lettre, et générer un Portail vers l’Avernus.

Karlach jeta la lettre derrière elle, et se rendit dans la chambre isolée qu’elle avait partagé avec Ombrecoeur, une alcôve qui longeait la pièce centrale. Elle ne pensait pas que ce serait aussi dur. L’émotion la submergeait en se rappelant ces soirées, où ils mangeaient tous devant la cheminée, où elle partageait sa viande avec Scratch. Karlach observa le lit où elle avait si souvent dormi avec Ombrecoeur. Sa lettre, quant à elle, était roulée en boule, et avait atterri près de la porte d’entrée. Quand la double porte de leur suite s’ouvrit, le pied de l’invitée toucha ainsi la lettre inachevée.
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Ombrecoeur avait radicalement changée au cours de ces mois qui l'avaient menée sur la trace de la vérité concernant ses origines. Elle avait reniée Shar pour revenir à Selune, était devenue l'une des héroïnes qui avait sauvé la côte des épées d'une terrible invasion, et en avait même profitée pour trouver l'amour avec Karlach, la puissante Tiefline qui s'était jointe au groupe. Les autres avaient fini, peu à peu, par partir chacun dans leurs directions respectives, mais Ombrecoeur avait pour optique de rester aux côtés de Karlach, non seulement car elle l'aimait, mais aussi pour l'aider à trouver une solution permanente à son coeur qui surchauffait. Ce soir, avant qu'elle ne parte pour aller voir ses parents qu'elle était parvenue à extraire d'une prison de Shar, Ombrecoeur avait demandée à Karlach si elle souhaitait venir, et son refus l'avait surprise de même que son évidente mélancolie. Ne souhaitant pas encore la pousser dans ses retranchements, Ombrecoeur n'avait pas insistée, et était partie.
Mais, plus elle s'éloignait et réfléchissait à ça, plus le fait que quelque chose n'allait vraiment pas s'imposait dans son esprit. Elle commençait maintenant à bien connaître Karlach, qui ne voulait jamais qu'elle se fasse du souçi pour elle, masquant ses propres peurs derrière un masque d'optimisme éternel, mais qui parfois craquelait...et c'était bien là ce que Ombrecoeur craignait. La demi-elfe fut tiraillée pendant un moment sur son chemin, avant de s'arrêter, puis de faire demi-tour pour revenir.

*J'ai un mauvais préssentiment...*

Elle était revenue en courant jusqu'à l'auberge où elle louaient, gratuitement, une chambre car le propriétaire refusait que les héroïnes de Baldur's Gate le payent. Elle revint, discrètement, ouvrant la porte sans même se faire remarquer, et c'est à ce moment là qu'elle nota une boule de papier au sol. Elle percevait du coin de l'oeil de Karlach se trouvait dans leur chambre, à regarder comme hagarde leur lit et leurs affaires, et Ombrecoeur ouvrit précautionneusement la lettre au sol, et en lu le contenu. C'était, peu ou prou, une lettre d'adieux, ou tout du moins un brouillon, ce qui fit qu'une boule se forma dans le ventre de la jeune prêtresse.

Karlach ?

Nul doute qu'elle allait la surprendre, Ombrecoeur se trouvait là, revenant beaucoup plus tôt que prévu, et avec le brouillon dans les mains. Il était évident qu'elle en avait lu le contenu.

Tu...comptais partir comme ça ? Avec juste une lettre en guise d'adieux, après tout ce qu'on a vécu ?

Ombrecoeur en était bien évidemment attristée, mais peut-être suprenament, elle ne semblait pas en colère. Elle qui avait jadis été la porteuse de nombreux secrets qu'elle ne révélait jamais, pouvait comprendre ce qui pouvait pousser autrui à en faire de même. Elle se rapprocha par ailleurs de Karlach, jetant la lettre à nouveau au sol pour se saisir fermement de ses deux mains, qui étaient bien plus grandes que les siennes, et la regarda yeux dans les yeux.

Après avoir été là pour moi lorsque j'étais au fond du gouffre, tu penses vraiment que je ne vais te rendre la pareille ?

Jenevelle, de son ancien nom, semblait déterminée, et glissa alors une de ses mains sur la joue de Karlach.

Shar m'a quasiment tout pris, et je te dois le peu que j'ai pu récupérer. Alors n'espère pas te débarrasser de moi aussi facilement, je ne pourrais pas vivre ma vie sans t'avoir à mes côtés, et si pour ça il faut retourner en Avernus, alors tu n'y ira certainement pas seule !

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Reine Alice Korvander
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Perdue dans ses pensées, Karlach en sortit quand elle entendit la porte claquer. Elle aurait bien aimé tomber sur des ennemis cherchant à la tuer, comme des cultistes de Zariel, ou des Trois Funestes… Mais ce qui se trouvait là était bien pire que tout. Karlach sentit son corps se serrer en voyant Ombrecoeur, qui tenait à la main son brouillon de lettre.

« Ombre… »

Finalement, elle n’avait pas été voir ses parents. Une intuition l’avait amené à venir ici. Karlach ne pouvait que se sermonner intérieurement. Elle n’était pas douée pour mentir ou pour masquer ses émotions. Ombrecoeur avait dû sentir l’absence de joie en elle quand elle lui avait dit qu’elles pourraient vivre avec ses parents, et mener une vie paisible avec eux. Karlach la laissa parler, sentant la déception d’Ombrecoeur, mais aussi sa colère. Elle se rapprocha d’elle, et lui dit qu’elle était prête à la suivre en Avernus s’il le fallait. Karlach ne chercha pas à la repousser, mais ferma les yeux en se mordillant les lèvres, et en penchant la tête sur le côté. Chez elle, c’était généralement un signe expressif de mauvaise nouvelle.

Elle sourit alors, un sourire triste, et caressa la joue d’Ombrecoeur à son tour.

« Je ne peux plus rester dans ce plan, Ombrecoeur… Cette maudite larve m’a offert un sursis, mais, maintenant qu’elle est partie, la bombe dans ma poitrine s’est relancée. Je l’ai senti dès que le Cerveau Vénérable a été tué.Cette bombe de merde me consume. Il me reste peu de temps… Quelques jours, quelques semaines, voire un ou deux mois, mais la bombe m’emportera. C’est inévitable. »

Au cours de leur route, elles avaient croisé un forgeron tieffelin, Dammon. Elles l’avaient retrouvé à la Porte de Baldur, et Dammon avait été formel. Il avait pu stabiliser le cœur infernal, mais il ne pouvait pas annuler son processus d’autodestruction. Gayle avait aussi confirmé que la magie ne pourrait pas l’aider. Le seul moyen de stabiliser le cœur, et de le retirer, était en Avernus, auprès de Zariel et de ses forges infernales.

« Tu as enfin retrouvé tes parents, Ombre’, tu as droit à une nouvelle vie, loin de Shar… Et tu voudrais que je te prive de tout ça pour me suivre dans une quête désespérée en Enfer ? Il n’y a que du soufre et de la lave là-bas, des champs de cendres à perte de vue… Ce n’est pas un endroit pour les humains. Par les Dieux, ce n’est un endroit pour personne ! »

Karlach s’était écartée d’elle, et frappa rageusement contre un pilier, comme pour laisser évacuer sa colère.

« Je suis désolé »e, Ombre’. Mais je ne savais pas comment te le dire… Comment puis-je te dire adieu ? »

Karlach sentit à nouveau les larmes l’envahir, et secoua la tête, se refusant encore à pleurer. Elle se rapprocha encore d’Ombrecoeur, et l’embrassa.

« Je sais que tu me suivras, ma chérie… Mais je ne pouvais pas te condamner à une vie avec moi en Enfer alors que tu as enfin retrouvé ta famille. Tu mérites… Tu mérites tellement mieux que de vivre en Enfer, mon amour. »

Elle reprit alors :

« Je peux rester, tu sais… Si tu me le demandes, je resterai avec toi. Il me reste du temps pour t’aider à bâtir ta ferme, zigouiller les monstres ou les malfrats qui furèteraient autour, et pour te mettre enceinte… Je partirai en sachant que tu es heureuse, que quelque chose de moi a survécu en toi. Ce serait le mieux, non ? »
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Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Il avait été évident, dès le départ, que leur relation se trouverait confrontée à des obstacles de taille. Ombrecoeur avait eu l'opportunité, au cours de leur quête insensée pour sauver le monde, de résoudre ceux qui lui collaient à la peau pour la grande majorité, mais pas Karlach. La demi-elfe savait que le temps qui était accordé à la tielfinne sur le plan matériel lui était compté, et que tôt ou tard, une solution permanente devait être trouvée. Ombrecoeur avait caressée l'idée de pouvoir trouver de l'aide sur ce plan, mais visiblement, le temps était d'avantage compté que ça pour Karlach. Ombrecoeur laissa parler Karlach, peu importait à quel point elle avait envie de l'interrompre, la prêtresse savait qu'il valait mieux laisser la barbare exprimer ses émotions, car elle avait un gros poids sur la conscience, même si ça pouvait être des fois difficile quand elle débitait des âneries. Mais Ombrecoeur avait aussi beaucoup changée, et quand enfin Karlach sembla en avoir fini, elle alla se blottir contre elle et l'enlaça un moment dans ses bras.

Espèce d'idiote...

Elle se recula alors, l'air déterminé.

Il est hors de question que je te laisse aller toute seule en Avernus Karlach, toute aussi féroce soit-tu, tu ne parviendra pas seule à atteindre Zarielle, surtout que tu n'a "pas" à le faire toute seule.

Ombrecoeur n'était certainement pas la plus forte physiquement des deux, et si elle était capable d'encaisser beaucoup, taper fort n'avait jamais été tellement l'avantage qu'elle prodiguait au groupe. En revanche, elle était une tête pensante un peu à l'image de Gale, même si peut-être moins...prompte maintenant à prendre des décisions idiotes.

Au cas où tu l'aurais oublié, nous avons un potentiel pied-à-terre là bas depuis que nous avons vaincu Raphael et que ses anciens prisonniers ont pris le contrôle de la Maison de l'Espérance. je suis sûre Yurgir et d'autres seraient au moins ravis de nous permettre de nous y installer. Nous pourrions aussi demander de l'aide aux autres pour nous épauler, Wyll serait certain de dire oui, et peut-être d'autres si nous y passons un peu de temps. Je pourrais aussi amener avec moi quelques Sélunites qui seraient volontaires, ou bien encore d'autres qui nous doivent des faveurs pour avoir sauvé le monde.

C'était clairement un sermont, mais Ombrecoeur se devait de remettre l'esprit sur le droit chemin, elle qui était partie impulsivement sur une quête suicidaire.

Si il te reste encore un peu de temps, alors nous allons nous préparer pour une véritable expédition, et nous irons arracher à Zarielle les moyens de te guérir. Tu fais autant partie de ma famille que mes parents, Karlach, et je te le répète, il est hors de question que je tu parte sans moi. Je t'aime, et je n'envisage pas la suite de ma vie sans toi à mes côtés. Alors s'il te plaît, calme toi, tu n'a pas à faire ça toute seule, et tu ne le dois pas. Tu as aidée tellement de gens ici, dont moi, laisse les t'aider en retour.

Ombrecoeur s'approcha à nouveau de Karlach, qui la toisait d'une bonne tête, et posa ses deux mains sur ses joues pour s'assurer qu'elle la regardait dans les yeux.

Je n'irais nulle part sans toi. Nous aurons tout le temps de bâtir cette ferme quand tout ça sera fini. Après tout ce qu'on a traversées, je ne suis plus à une expéditions aux Enfers près, si ça peut nous assurer ensuite la vie tranquille dont on rêve...ensemble. D'accord ?

Elle attendit que Karlach acquiesse, qu'elle arrête avec ces absurdités de la laisser de côté, avant de se dresser sur la pointe de ses pieds pour aller longuement l'embrasser.

Bon...et maintenant que tu es calmée...est-ce que tu as autre chose à me dire ? Tu as mentionnée le fait de me faire un enfant. Déjà, je te contrerais avec le fait que je n'entends pas me limiter à un et...m'aurais-tu cachée que tu en est capable ?

Elles avaient bien entendu déjà fait l'amour, à de multiples reprise, dès lors que le coeur de Karlach avait été assez refroidi pour lui permettre le contact humain sans tuer qui que ce soit. Jamais encore Karlach n'avait montrée des capacités pour se doter d'un quelconque "appareil" capable d'enfanter alors...surprise ?

Re: "I feel your breath upon my neck" [PV]

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Reine Alice Korvander
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Réfléchir n’avait jamais vraiment été le fort de Karlach, d’autant qu’elle estimait que ce cœur infernal était son problème à elle. Cependant, s’il y avait bien un enseignement à retirer de ce long périple qui les avait amenés de la Côté des Épées à la Porte de Baldur, c’est que personne ne gagnait en étant seul. Ensemble, ils avaient affronté des ennemis terrifiants, contre lesquels ils n’auraient jamais gagné individuellement. Orin, Cazador… Ou encore Raphaël, évidemment. Karlach soupira lentement quand Ombrecoeur lui rappela cette victoire. Là-bas, le groupe avait croisé bien des curiosités, comme un incube qui prenait la forme de Raphaël en leur expliquant que Raphaël ne pouvait coucher avec personne d’autre que lui-même, et beaucoup de prisonniers, ceux qui avaient commis l’erreur d’accepter les contrats de Raphaël. Des damnés, mais aussi une prisonnière, dans les tréfonds de la Maison de l’Espoir, une naine clergesse, Espérance. Elle avait été enfermée ici depuis des éons, à tel point qu’on pouvait se demander si la maison de Raphaël n’avait pas été construite ici. Elle était la sœur de Korrilla, une naine qui servait Raphaël, et que Karlach avait croisé à plusieurs reprises lors de leur épopée. Si les circonstances entourant la capture d’Espérance étaient floues, Karlach avait toujours sous-estimé un acte de jalousie et de félonie venant de cette vipère de Korrilla.

Après la bataille, Espérance était restée sur place, pour reconstruire la maison, et sans doute parce qu’elle n’avait nulle part où aller. C’était sans doute le meilleur moyen où commencer pour trouver un moyen de vaincre Zariel. Yurgir, quant à lui, était un démon qui était aux services de Raphaël, et que le groupe avait rencontré dans le temple de Shar. Ils avaient réussi à le convaincre de se retourner contre Raphaël, que Yurgir haïssait plus que tout. Karlach resta donc silencieuse, et, quand Ombrecoeur en eut fini, elle sourit alors.

« Je savais bien que rien ne te ferait changer d’avis, mais que tu me ferais changer d’avis… Seigneur, je suis tellement influençable… »

Karlach l’embrassa alors sur les lèvres.

« Tu penses sincèrement avoir les reins suffisamment solides pour aller en Avernus ? Ce n’est pas comme si je pouvais t’en empêcher, après tout… »

Karlach s’écarta alors, et commença alors à se déshabiller.

« Comme tu le sais, j’ai été aux services de cette folle de Zariel. Elle a fait de moi une machine à tuer, mais… Il y a certains aspects que je n’évoque pas spontanément. Zariel a beau être la reine des putes, elle a un vagin comme tout le monde. Donc, parmi toutes les expériences et mutations qu’elle m’a fait, il y a… »

Karlach finit avec ses sous-vêtements noirs, et ôta sa culotte. Ombrecoeur put voir sa chatte. La tieffeline ferma les yeux en se concentrant. Elle se mordilla les lèvres.

« Ça ! »

Son clitoris se déforma alors, et une épaisse verge rouge jaillit alors. Un service trois pièces intégral, avec des testicules ronds et lisses.

« Pfffiouh… Désolée, je ne suis plus habituée à la déployer. »

Karlach se rapprocha d’Ombrecoeur, et nota son regard surpris, et même… Sa gêne ? Ou son excitation ? Elle caressa sa joue encore en se rapprochant d’elle.

« L’Avernus n’est pas une promenade de santé, ma jolie. Le plus dur, ce n’est pas tant de combattre Zariel que de la rejoindre, car elle a toute une armée de monstres à son service. Elle m’a forcé à la baiser un nombre incalculable de fois, mais, rétrospectivement, c’était aussi le meilleur moyen que j’avais de l’entendre hurler. Ma verge est féconde. Je ne l’ai jamais sorti parce que… Hum… D’une part, vu ma malédiction, je ne souhaitais pas te mettre enceinte par accident, mais… Euh… D’autre part, hum… »

Si Karlach avait pu rougir, c’est ce qu’Ombrecoeur aurait vu.

« Tu sais qu’il m’arrive de m’énerver, hein ? Quand je déploie ma verge et que je me lance, je peux… Me lancer vraiment à fond. Et… Je n’ai pas envie de te faire peur. Vous, les humains… Enfin, je ne dis pas ça spécifiquement pour toi, parce que j’adore quand on fait l’amour, et que tu es trop belle quand tu jouis, mais… Enfin, vous êtes assez fragile… Mais, si tu veux me suivre en Enfer, je dirais que… C’est un bon moyen de te tester… »

La verge de Karlach commençait naturellement à se durcir. La tieffeline se pinça encore les lèvres.

« Putain, j’avais oublié à quel point ce truc me pompait… Tu vois dans quel état tu me mets ? J’espère pour toi que tu portes pas des sous-vêtements gith’, parce que, sinon… J’te promets que je vais te baiser comme on t’a jamais baisé, ma petite Ombrecoeur… »
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Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Ombrecoeur poussa un léger soupir de soulagement quand elle constata que Karlach allait prendre en compte son avis, et qu'elle n'allait pas aveuglément se jeter dans cette quête seule, ni tout de suite, et rendit alors son baiser à Karlach quand celle ci se rapprocha brièvement d'elle.

Influençable, ou peut-être finalement un peu raisonnable ? Et tu ne devrais pas t'inquiéter autant pour moi Karlach, souviens-toi qui dans notre duo panse les plaies de l'autre.

Équipée d'une armure lourde, d'une lance et d'un grand bouclier, ainsi que de tous ses sorts de prêtre qui avaient pour rôle de soigner et de buffer elle même ou ses alliés, Ombrecoeur était semblable à une petite forteresse à elle toute seule. Elle n'était clairement pas celle qui faisait le plus de dégâts aux ennemis, mais ce n'était également, et clairement, pas son rôle, car elle s'assurait que ceux avec qui elle se coordonnait sortaient indemnes de leurs affrontements. Nombre de fois, Karlach s'était jetée dans la mêlée en faisant preuve de sa rage de barbare et de ses aptitudes martiales, mais nombre de fois également, avait-elle eu le soutien d'Ombrecoeur derrière pour protéger ses arrières et la soutenir.
Karlach se recula alors, et sous le regard à al fois surpris et intéressé d'Ombrecoeur, sembla commencer à se déshabiller. La demi-elfe leva un sourcil en l'air, tout en l'écoutant s'expliquer sur ce qu'elle entendait par ses paroles précédemment assez mystérieuses. La tieflinne se retrouva nue, délicieusement nue même, face à Ombrecoeur qui la vit alors se concentrer...pour faire jaillir une verge entre ses cuisses avec ses testicules.

Oh...par Selune...

Voilà qui...était effectivement une "grosse" surprise sans mauvais jeu de mots. Karlach se rapprocha d'elle, tout en expliquant qu'elle avait héritée de ça en même temps que son coeur infernal, et pourquoi elle n'avait encore jamais osée l'utiliser. Ombrecoeur ne l'interrompit pas durant ses explications, déjà car elle voulait les entendre, mais aussi car elle était tout de même un peu estomaquée par cette révélation.

Et bien...tu aurais presque pu être une prêtresse de Shar avec tous ces secrets.

Se sentait-elle déçue que Karlach ne lui aie pas fait assez confiance sur ces sujets pour lui en parler ? Oui, un peu effectivement, mais elle comprenait aussi pourquoi elle l'avait fait. Karlach était comme ça, à vouloir tout endosser sur ses épaules, et à vouloir la protéger coûte que coûte, et Ombrecoeur non pas commençait à s'y faire, mais commençait à comprendre comment elle fonctionnait et qu'il fallait s'y adapter. Personne n'était parfait après tout, et tout comme Karlach naviguait entre les défauts d'Ombrecoeur, la réciproque se devait aussi d'être vraie. Et puis...il fallait aussi avouer qu'en l'état, cette surprise était plutôt bonne, et franchement inattendue. Karlach se rapprocha à nouveau d'elle, semblant montrer des signes d'impatience, ce qui ne manqua pas de la faire sourire.

A vrai dire, je ne porte présentement rien de tel, mais j'avais prévue quelque chose de similaire pour quand je rentrerais...ma surprise à moi, à la condition que tu puisse patienter quelques minutes, le temps que je me change.

Ombrecoeur ne lui laissait pas vraiment le choix de toutes manières, alors elle échangea avec elle un bref baiser, avant de lui tirer sur le bras pour la faire sortir de la chambre, et verrouilla la porte ensuite. Il aurait été tentant pour elle de prendre plus de temps que nécessaire, juste pour la faire un peu "payer" de la frayeur qu'elle lui avait donnée, mais la demi-elfe était à vrai dire aussi...impatiente. Elle retira donc la totalité de ses vêtements, avant d'ouvrir une armoire dans laquelle elle avait méticuleusement dissimulée l'un de ses récents achats, une "tenue" qu'on ne pouvait trouver que dans certaines échoppes bien particulières de Baldur's Gate. Il fallu bien une poignée de minutes à Ombrecoeur pour pouvoir l'enfiler, car elle était composée de multiples éléments, mais au bout d'une attente qui lui semblerait interminable, Karlach entendrait enfin le loquet de la porte se déverouillait, et sa belle Ombrecoeur se présenter à elle. Le tout, dans une tenue en cuir proprement scandaleuse.

Alors...est-ce que ma surprise en valait la peine ?

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Reine Alice Korvander
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Il y avait bien des raisons ayant conduit Karlach à ne pas montrer sa verge à Ombrecoeur. Ce qu’elle venait de dire, leur épopée prenante et le fait qu’elle n’avait pas forcément songé non plus à sortir sa verge… Mais la véritable raison était ailleurs. Elle soupira lentement quand Ombrecoeur lui indiqua qu’elle allait se changer, et hocha la tête.

« Ouais… J’apprends à me contrôler, tu sais, haha ! Hummm… Non, sérieusement, ça va aller, fais-toi belle, tu sais que j’aime ça. »

Tandis que sa partenaire filait, Karlach tapa nerveusement dans ses mains, puis se rapprocha du feu. Il était dans la cheminée. Il y avait encore la peau de bête dessus. Elle appartenait à l’un de ces énormes hyènes que le groupe avait affronté à la Côte des Épées. Elle se pinça brièvement les lèvres en se rappelant la fois où elles avaient fait l’amour ici, en mangeant et en buvant. Elle avait fourré une grappe de raisins entre les lèvres de son amour, puis elle avait léché ses seins en buvant le vin rouge que Ombrecoeur y faisait couler. Les autres étaient sortis pour célébrer leur victoire contre la guenaude, et elles étaient revenues plutôt. Combattre la guenaude et ses monstruosités avait été pour elles un point de rapprochement décisif.

Alors, pourquoi n’avait-elle pas sorti sa verge ? Elle observait le reflet des flammes, et, pour se détendre, elle se concentra, et urina dedans. Un jet qu’elle modifia, et qui enflamma les flammes. La réponse à cette question était très simple. Zariel dansait dans les flammes.

*Il a fallu des années pour que je puisse toucher, embrasser une peau, sentir l’odeur de cheveux qui ne sentent pas le brûle, humer ton parfum… Je ne l’ai jamais sorti, car j’ai toujours été comblée, c’est aussi simple que ça…*

Karlach adorait lécher Ombrecoeur, l’embrasser, la caresser, elle avait déjà embrassé et léché chaque partie de son corps. Des pieds à la tête, elle aimait cette peau douce, elle aimait pouvoir lécher ses orteils et les sucer sans les enflammer. Elle avait été tellement privée de contact humain que cette sensation surpassait tout le reste. Elle avait longuement léché tout le corps d’Ombrecoeur, et elle aimait par-dessus tout lécher sa chatte, et goûter à sa cyprine. Parfois, Ombrecoeur pouvait avoir l’impression d’être une peluche. Sans doute faudrait-il qu’elle trouve une façon de le dire à Ombrecoeur… Mais, si Karlach arrivait à bien tourner les mots dans sa tête, ce n’était plus le cas à l’oral.

Elle regardait les flammes, et s’assit sur un fauteuil en buvant de l’alcool. Il restait encore quelques bouteilles qui traînaient par là. Elle entendit alors une porte s’ouvrir, puis se retourna…

…Et laissa tomber la bouteille sur la peau de bête en écarquillant les yeux. Sa verge, qui avait ramolli, se durcit instantanément, et elle soupira, tandis que la couleur de son cœur prit une teinte rose vive.

« Par les Neuf Enfers… »

Karlach la rejoignit rapidement, la souleva, et la plaqua contre un pilier. Elle l’embrassa alors, une main sur ses fesses, l’autre sur ses longs cheveux argentés, et fourra son épaisse langue dans sa bouche, pressant son corps contre le sien. La force de Karlach était très impressionnante. Elles formaient en ce sens un très bon duo, Ombrecoeur soutenant et soignant Karlach quand celle-ci fonçait dans le tas avec sa hache, découpant du gobelin.

Elle soupira en embrassant Ombrecoeur avec force.

« Tu es fantastique dedans, je… Je t’avoue que je ne sais pas par où commencer ! Enfin, je veux dire, tu es fantastique tout le temps, mais, là… Tu t’es surpassée ! »

Elle l’embrassa dans le creux du cou ensuite, et lécha sa joue. Comme Ombrecoeur le savait maintenant, Karlach était extrêmement tactile…
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Re: "I feel your breath upon my neck" [PV]

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
Chloé Faure
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Enregistré le : 15 août 2024 12:06
Ombrecoeur savant, en choisissant cette tenue, qu'elles allaient très certainement être parties pour une longue partie de jambes en l'air, et après tout ce qui s'était passé et ce qui allait se passer, la demi-elfe n'avait en vérité qu'une seule envie...c'était que Karlach la prenne comme jamais. Elle afficha un sourire radieux en voyant la réaction de Karlach, la façon dont elle se redressa rapidement du fauteuil où elle l'avait attendue, et la vitesse avec laquelle elle la rejoignit. Ombrecoeur sentit son coeur battre fort dans sa poitrine en voyant la grande Tieflinne s'approcher d'un pas aussi assuré et déterminé d'elle, pour finalement la porter sans aucune difficulté.

J'en conclus que la réponse est oui...

La prêtresse de Selune poussa une brève exclamation quand Karlach la plaqua dos contre une des poutres poteuses du bâtiment, tout en pressant son corps contre le sien. Ombrecoeur répondit en enroulant ses jambes autour du bassin de Karlach, afin d'accompagner son maintien, même si la solide main de Karlach sur ses fesses était en soit amplement suffisante. La différence flagrante de puissance physique entre les deux était quelque chose qui, sans qu'elle ne puisse raisonnablement l'expliquer, excitait extrèmement Ombrecoeur. Karlach était plus grande qu'elle, et avait amplement assez de force pour théoriquement la forcer physiquement, ce qui n'était jamais arrivé, mais c'était là tout le plaisir de la chose, Ombrecoeur avait confiance en Karlach, ce qui rendait leur différence de physique d'autant plus excitante. Alors que la barbare la soulevait sans aucun problèmes, et qu'elle se retrouva plaquée entre une solide poutre de bois dans le dos, et le solide corps nu de Karlach sur le devant, Ombrecoeur pencha sa tête sur le côté et laissa la Tieflinne allait explorer sa bouche au cours d'un baiser passionné qu'elle lui rendit. Elle resserra fermement l'étau de ses cuisses et de ses mollets autour du bassin de Karlach, et posa respectivement ses mains sur une de ses épaules, et dans le creux de sa nuque.

Hmmm...

Oh, elle se sentait déjà toute chaude...et toute humide aussi. A l'idée que Karlach ne vienne la baiser avec sa verge, Ombrecoeur se sentait toute chose, toute fébrile, et ça se sentait à la façon dont elle poussait des petits gémissements étouffés durant leur baiser, mais aussi à la façon dont elle ondulait son bassin, frottant délicatement des parties de son corps contre ce sexe qu'elle sentait tout tendu et dur contre elle. Leur baiser dura un bon moment, avant que Karlach ne se retire, et déclare à quel point elle aimait cette tenue, au point qu'elle ne savait pas par où commencer. Cette déclaration, en plus de tout le reste, faisait qu'Ombrecoeur avait clairement les joues rougies par l'excitation, et se mordilla la lèvre inférieure tout en regardant sa belle barbare avec un doux mélange d'amour et de désir ardent.

Et bien...j'aurais bien quelques suggestions à te proposer, mais je dois te les dire au creux de l'oreille ma chérie...

Sous-entendu, qu'il s'agissait de paroles fort peu chastes, et Karlach pourrait bel et bien s'en rendre compte lorsque Ombrecoeur se pencherait de façon à approcher ses lèvres du creux de son oreille.

Je suis toute chaude et toute mouillée Karlach, et je sens ta grosse verge qui pulse contre moi. Je veux te sentir me pénétrer, t'enfoncer dans ma petite chatte qui n'attends que ça, et me baiser bien fort.

Re: "I feel your breath upon my neck" [PV]

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
Reine Alice Korvander
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Enregistré le : 14 août 2024 13:01
Fiche
Demande de RP
Avec Karlach, on avait l’habitude des préliminaires. Elle aimait beaucoup le contact, le toucher, le fait de pouvoir palper sous toutes ses coutures le corps de son amante. De quoi parfois impatienter Ombrecoeur quand elle avait envie de faire l’amour. Pour Karlach, ce cocktail exquis de sensations l’amenait souvent à prendre tout son temps. Mais là, ce soir, en sentant le corps de sa partenaire se presser contre le sien, en sentant ce cuir coller à sa peau, en sentant cette odeur exquise, ce mélange de cuir, de chair… Karlach n’avait pas envie d’attendre ! Et Ombrecoeur non plus. Elle se serra contre elle, et, les joues rouges, demanda à sa partenaire de la « baiser bien fort ». Karlach soupira, et les picots qui ornaient sa verge vibrèrent doucement tandis que sa verge durcissait, devenant de plus en plus douloureuse pour la tieffelin. Karlach soupira lentement, et sourit ensuite.

« Ça, ma belle, pas besoin de me le dire deux fois… »

Karlach la décolla alors, et, tenant Ombrecoeur par les fesses, elle la coucha sur une table abritant normalement un vase… Vase qu’elle écarta rapidement, le réceptionnant dans sa chute avec sa queue caudale pour le poser plus loin. Ombrecoeur se retrouva assise sur la table, et Karlach la fit basculer en arrière, relevant de ce fait ses jambes. Derrière la table, il y avait le dossier d’un divan qui était inversé. Karlach aurait pu la poser dessus, mais la tentation était trop forte. Elle soupira encore, sentant les pieds d’Ombrecoeur près de sa tête, ses jambes se redressant le long de son torse. Karlach poussa encore, et les jambes d’Ombrecoeur se replièrent en partant vers sa tête. C’était une position de l’enclume où Karlach restait debout, contre la table. Elle approcha ensuite sa verge, qui lui semblait bien grosse… Et, sans plus de cérémonie, donna un premier coup de reins qui fit se soulever la table.

« Hrrmpfff… Bo-Bordel, t’es vachement serrée, ma jolie ! »

Sa puissante verge ne s’enfonça pas complètement, et même loin de là. Karlach sentit très rapidement comme un anneau de chair comprimer sa queue. Elle grogna, et se recula, tout en prenant appui sur les mollets d’Ombrecoeur, et donna un coup de reins plus fort, soulevant encore la table, qui se rabattit quand elle se recula. Elle serrait ses doigts sur ses collants, et soupira encore. Elle n’était pas habituée à une telle résistance ! Elle était en même temps habituée à la chatte de Zariel, qui était la seule référence qu’elle avait, et celle d’Ombrecoeur se dilatait tout de même moins facilement ! Karlach soupira encore, se mordillant les lèvres. Son cœur infernal s’illumina encore, et elle se recula encore, puis s’enfonça à nouveau, gagnant à chaque fois à l’intérieur.

Les picots vibraient et raclaient l’intérieur de la chatte d’Ombrecoeur, l’un d’eux frottant son clitoris à chaque fois. Fort heureusement, sa partenaire mouillait beaucoup, ce qui simplifiait tout de même grandement la pénétration. Karlach soupira encore, et déposa un baiser sur le pied de sa partenaire, soufflant dessus. La douleur avait un côté euphorisant, et elle soupira encore.

« Pu-Putain, tu… T’es si serrée, bordel… Ah, tu voulais que je te b-baise, hein ? O-Oh oui, je vais te baiser, ma salope ! Je vais enfoncer ma bite au plus profond de ta petite chatte de salope, je vais te faire hurler, ma chérie, hurler comme la dernière des putes, rhaaaaa… !! »

Karlach grogna encore, poussant un grognement bestial. Mais, petit à petit, les mouvements devenaient plus faciles, et, quand elle réussit à s’enfoncer complètement en poussant en avant, elle bascula sur le corps d’Ombrecoeur, et lui vola alors un baiser passionné, serrant ses cheveux de sa main trempée par la sueur, puis se redressa ensuite. Elle maintenait contre elle les jambes de son amante, s’en servait comme appui, et commença à lécher ses orteils, les suçotant aussi, tout en commençant vraiment son travail, qui consistait à la besogner, et à la baiser avec force, amplifiant progressivement le rythme, gémissant et grognant en même temps, se gargarisant des soupirs et des hurlements de sa chérie.

Sous l’excitation, sa queue caudale se déplaça, et caressa l’une des fesses de sa chérie, avant de commencer à la fouetter…
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