Pour autant qu’elle s’en rappelle, les meilleurs moments de sa relation avec son Peter avaient été quand il portait son symbiote. La manière dont Venom la baisait actuellement était en tout cas une confirmation qu’elle préférait cela à Spider-Man. Plus le temps passait, et plus Venom se montrait entreprenant, intense, et brutal. Sans son endurance surnaturelle, Félicia aurait sûrement pris peur, et elle en aurait en tout cas assurément souffert. Sa langue reptilienne était grosse, longue, et s’enfonçait dans sa chatte trempée, mais le coup de butoir vint surtout de sa verge… Une verge monstrueuse qu’il enfonça puissamment et profondément dans sa bouche. Félicia se mit à déglutir, et ce d’autant plus qu’elle avait la tête en bas. Cette situation introduisait déjà un certain malaise, qui n’alla que se renforcer en sentant ce gros membre en elle. Elle ne réalisait alors pas que Venom cherchait à la transformer, mais, à ce stade, c’était après tout déjà ce que Félicia souhaitait. Elle savait que le symbiote pouvait changer d’hôte, elle l’avait vu quand son Peter s’en était séparé, et que le symbiote avait pris comme hôte celui du journaliste Eddie Brock. Et le symbiote pouvait aussi se multiplier, même si elle n’avait jamais trop compris comment. Venom avait conçu Carnage. En voyant tout ce que Peter pouvait faire avec son symbiote, Félicia était naturellement émoustillée à l’idée de pouvoir, elle aussi, le faire.
« Hmmmmm…. Gnnnnnn… »
Ce puissant membre lui labourait la bouche avec force, s’enfonçant dans sa gorge. Quand il appuyait fort, et se glissait en elle jusqu’à la garde, Félicia pouvait sentir l’air lui manquer. Elle n’avait toutefois pas de régurgitation, et se sentait même chaudement excitée par ça. Ses mains se déplaçaient alors, et elle venait volontiers flatter les testicules de Venom, caressant et frottant ses bourses, comme pour mieux le stimuler. Elle avait confiance en lui. C’était peut-être une erreur, mais le fait est qu’il se retirait quand elle commençait à vraiment manquer d’air, ce qu’il pouvait percevoir dans la manière dont le corps de sa partenaire se trémoussait sur place. Elle n’arrivait même plus en soi à retenir sa salive, et le sentait repartir, avant de revenir, lui laissant juste le temps de reprendre son souffle, avant d’intensifier le rythme, encore et encore. Il était littéralement en train de lui baiser la gueule, de la prendre avec force, grognant et soupirant en agissant ainsi, ses testicules venant ainsi fouetter le front de Félicia, tapant sur ses yeux.
Félicia était comme dans un état second. Elle sentait qu’elle avait joui plusieurs fois, ce qui la maintenait dans un état euphorique assez excitant, et les privations régulières d’oxygène contribuaient à la maintenir dans cet état second. Elle n’arrivait même plus à avaler sa salive, qui dégoulinait sur la verge de son amant, tandis qu’il continuait inlassablement à la besogner. Sa verge coulissait d’avant en arrière dans sa bouche et dans sa gorge. Il l’enfonçait régulièrement jusqu’à la garde, puis se reculait jusqu’à ce que la pointe de son sexe soit sur le bord de ses lèvres, puis il s’enfonçait encore. Des mouvements simples, répétés frénétiquement, avec la soif d’un métahumain qui avait un besoin dévorant et compulsif de sexe. Et puis, il continuait à jouer avec sa chatte, enfonçant profondément sa langue en elle.
Cette séance intense dura de nombreuses minutes avant que Venom ne se mette à jouir. Il s’enfonça pour cela dans la gorge de Félicia, et se bloqua le temps de relâcher sa semence. Il y eut pour le coup beaucoup de sperme. Venom cracha un sperme blanc avec des traces noirâtres, des morceaux de symbiote qui filèrent directement dans le corps de la Chatte Noire. Il se retira lentement de sa bouche, non sans s’assurer de décharger entre ses lèvres la moindre petite goutte de son sperme. Félicia referma ensuite les lèvres dès qu’elle sentit son sexe partir, et déglutit en s’efforçant de tout avaler. Elle avait déjà avalé le sperme de son Peter, et celui-là était à la fois similaire et… Différent. Elle avait le sentiment qu’il était aphrodisiaque, car elle sentait l’intérieur de son corps chauffer, bouillonner sous un feu qui peinait à se consumer.
*Ou peut-être que j’ai juste le feu au cul…*
Quand Wilson Fisk avait transformé Félicia en Chatte Noire, il avait renforcé son endurance, y compris sexuelle. Cela se confirmait en ce moment. Venom se retira d’elle, mais la posa sur une sorte de couche noirâtre symbiotique, chitineuse, qui se trouvait au sol. Félicia le laissa faire, et posa sa main sur le sol. Quand elle la retira, elle vit que plusieurs filaments la suivaient avant de se détacher. Ce fut plus ou moins la seule chose qu’elle constata avant de sentir son amant se lover dans son dos. Il avait beau avoir joui, sa verge restait toujours tendue. Il lui indiqua que ce n’était que le début, et elle soupira.
« O-Oui, Maître, en… Encore… Mon c-corps est à v-vous, comme j-je vous l’ai d-dit… »
Félicia bégayait un peu. Elle avait après tout eu une grosse verge dans sa bouche pendant de nombreuses minutes, alors elle avait la langue un peu pâteuse. Venom ne se fit guère prier. Il releva la jambe de Félicia, et se glissa dans sa chatte. Elle soupira encore, se mordillant les lèvres. Sa verge était toujours aussi épaisse, et elle poussa un premier cri, puis un gémissement ensuite, sentant ce membre s’enfoncer sans difficulté dans sa chatte… Et, de fait, Félicia contracta un orgasme presque instantané quand il la pénétra.
Sa main fila derrière elle, et elle s’agrippa à la nuque de Peter, tournant la tête pour réclamer un baiser, tout en
« B-Baise-moi, haaaa… Je t’appartiens… Mon amour ! »