-ATTENTION !!!
Une explosion fit une brèche dans la muraille déversant eaux et monstruosités, avant que des mages ne la comble de glace et de débris. Des golems d'eaux se joignirent à la bataille, affrontant des pyromanciens et des ogres, alors que des soldats affrontèrent les forces de Poséidon, mener par des officiers dépasser. Olnard était tombé et toujours aucune trace de lui. Des deux côtés, les forces étaient grandement affaiblies, dispersé, les portails de chaque camps sceller, désormais la cité n'était victimes que d’escarmouche, le gros de la bataille se passant le long de l'immense muraille. Les olympiens chercher à la détruire, le flot des eaux emporterait leur ennemie, tout en apportant des renforts, les forces de Lumen luttant contre.
Dans une tour de siège convertie en QG, Zolar observa le champs de bataille, torse nue, un bandage en travers du torse, plein de sang, un médecin entrain d'en préparer un autre. Zolar parvenait à garder une cohésion, mais autant d'homme dans un chaos pareil, malgré la chaîne de commandement, il ne pouvait que limiter la casse, organisant la défense autour des mages qui maintenaient la barrière les séparant des eaux qui risquerait de les engloutir. Un homme le rejoignit, essoufflé, son armure abîmé de toute part.
-Des nouvelles de l'équipe de recherche ? Demanda Zolar à son second.
-Elle a atteint la zone où Olnard à été vue, et il y a une forte résistance, visiblement l'ennemie à la même idée que nous, ce qui laisse présager que Olnard est vivant.
-J'espère bien ! Répondit Zolard avec un sourire forcé.
Ce p'tit con me devra une tournée après cette guerre ! Lui qui disait que je pourrais pas gérer l'armée à moi seule ! Ah !
-Ahahah. Fit son second, peu convainquant.
-D'autre nouvelle ?
-On arrive plus à gérer le flux de blesser... les camps de fortune ne suffissent plus. Mais l'Ordre Divin nous envoie des renforts, les civils ont finit d'être mit à l’abri, ils vont soutenir nos médecins.
-C'est déjà ça.
Puis l'immense sphère aquatique explosa, provoquant une onde de choc qui souffla une bonne partie des infrastructures sur le point de tomber et mit à terre une partie des combattants. La pluie cessa, des tornades se dissipèrent, tandis que des élémentaires d'eau se dissipèrent. Puis le soleil perça lentement les nuages. Une brève ovation se fit entendre parmi les hommes de Lumen, avant que les combats reprennent, cette fois avec plus de vigueur et le retour des quelques mages encore en forme.
-C'est un miracle ! Clamat Zolar.
-Des dieux ne nous ont pas abandonné ! Lui répondit son second.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Comme les batailles épiques d’antan, seul contre tous, Arkadia lutta contre des vaques d'ennemies, Chevaliers Aquatiques, Myrmidon des abysses, hippocampe de guerre, tentacules et vrilles d'eau, lame de fond et lance d'eau. Déployant des boucliers par pairs et à la chaîne, enchaînant les rayons ardents, lames de feu, lance ardente, onde de choc, stalactite, cône de glace, lame de vent, explosion arcanique... un florilège de sort et de puissance, contre des ennemies infinie. Elle avait épuisée son mana, la magie rongeant sa peau, ses bras noir et calciné, remontant jusqu'à son cou et envahissant son corps.
-O FLAMME INFERNAL ! LAISSE EMERGER LE MAL !
Usant du feu sombre, elle immola plusieurs myrmidons, avant de rediriger les flammes en une lame de feu pour contrer une colonne d'eau. A ses côtés, ses servantes luttèrent de toute leur forces, appelant leur propres larbins, telle que des soldats ardents ou des incendiaires. Le feu contre l'eau, une lutte éternelle, une lutte sans fin, une dualité immémoriale. Arkadia finis par oublier Luria et Cirilla, dévoré par la magie, dévoré par la lutte, luttant pour ne pas sombrer.
La sphère propulsa une colonne d'eau qui vaporisa une des matriarches, brisant une partie du bâtiment, créant une tornade, qui arracha brique et bois, vaporisant des servants. Arkadia, bloqué par ses ennemies, ne put s'en éloigner et lutta contre, déployant des boucliers désespérer, tandis qu'elle se concentra pour créer une boule de feu concentrer, emmagasinant ses forces pour réaliser une puissante explosion.
L'explosion fut semblable à un fugace mini soleil, qui vaporisa sur plusieurs mètre, tout ce qui pouvait l'être, dissipant pour un temps la tornade. Arkadia, ses vêtements à moitié brûlé, son corps quasiment calciné, parcourue de veine rouge. Sa respiration était difficile, flottant difficilement. Et déjà les eaux revinrent, de même que des ennemies. Elle tomba dans les flots, n'ayant la force que pour se dresser une ultime barrière, et fut malmener par des courants, l'envoyant contre des bâtiments, poursuivit par des requins.
Puis elle entendit une explosion sourde, et lentement, l'eau qui avait envahit la ville, menaçant de déborder des brèches causer, se retira, emportant débris et cadavre, quand ses derniers ne se retrouvèrent pas bloqué. Lentement, Arkadia pu voir le soleil percer les nuages et les dernières pluies, traversant les eaux. Et non loin, elle aperçue l'épée de Jhorne, sa vision troublé par sa barrière et l'eau, planté dans le sol. Réalisant cela, ni une ni deux, usant une ultime fois de la magie, alors même que les eaux n'était pas encore retiré, elle emplie l'épée de magie, sacrifiant son bouclier pour l'extraire et l'envoyer vers son propriétaire. Et alors que les eaux l'engloutir, une matriarche du feu se matérialisa devant elle, comme dernière vision.
Luna et Cirilla se retrouvèrent, mais rapidement, sans qu'elles puissent l'éviter, une colonne de fumé noir leur tombèrent dessus, les plongeant dans les ténèbres.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
Jhorne encaissa l'attaque de Poséidon, reculant d'un pas, mais ayant le souffle coupé un moment, tandis que Achille et Adamante était repousser. Poséidon porta une nouvelle attaqua vers Jhorne, qui l'évita de justesse, avant de revenir sur lui, portant de nouveau coups, enchaînant les frappes sur les boucliers, jusqu'à les sentir se briser sous ses poings, de même que les derniers vestige de ses gants, écorchant ses doigs.
-UNE ÉPÉE ! Hurla t'il.
Un ogre, tandis que Jhorne porta de nouveau coups et parvenant à mettre Poséidon en position de faiblesse, lança son
épée vers lui, alors qu'il repoussa un myrmidon aquatique. Jhorne attrapa l’imposante lame par chance, et d'un hurlement bestial, qui fit trembler l'air, t-elle un titan, il empala le dieu, le souleva, bien haut. Le sang coula sur sa main, dégoulinant jusqu'à son coude. D'un mouvement rageur et un crie tout aussi rageur, il enfonça la lame dans le sol, si fort qu'il brisa la pointe.
Il lâcha finalement l'épée, et recula un peu, soufflant comme un bœuf, peinant à réaliser ce qu'il venait de faire.
« Toi... Tu es vraiment une machine de guerre... »
-Kuku ! Fit Jhorne.
« Jhorne, at... »
-Qu...GGLLH MMPFFEEURGG...
Jhorne regarda la tentacule transpercer son ventre, tandis qu'il sentit l'eau et le sang infiltrer ses entrailles, et le goût du sang dans la bouche. Il tituba un peu et tenta de briser la tentacule, mais il n'y arriva pas, et entre-temps Poséidon recouvra ses forces, extirpant l'épée. Jhorne tenta de le frapper, mais le tentacule le pris de vitesse, le balançant contre le palais, s’écrasant dessus à quelque mètre du sol, laissant une tache de sang à l'impact, avant de chuter et de heurter le sol de pierre violemment, secouant ses boyaux meurtries. Il se releva péniblement, une mains sur sa plaie béante, retenant ses entrailles un peu trop baladeuses. Des hommes vinrent lui porter assistance, mais Poséidon envoya de nouveau Chevalier Aquatique contre lui, le tenant éloigné.
Jhorne ne put que regarder impuissant Poséidon se débarrasser de Achille, et avancer vers la Reine. Il força le passage entre deux Chevaliers et un mur d'eau, mais chuta à terre, alors que ses compagnons le protégeait.
-EN POSITION !
Les 4 mages sentinelles qui défendaient la Reine, voulurent s'opposer au Dieu, soutenir Adamante. Mais Circée, occupé jusqu'alors par les autres mages sentinelles, les foudroya sur place, avant de se tourner vers les hardis qui lui foncèrent dessus, tandis que Poséidon s'occupa de Adamante. La dernière défense était tomber, l’ultime barrière était tombé. Plus rien ne séparait le dieu de son objectif, tout les efforts pour la défendre et la sauver, n'avait servit à rien.
Pour la première fois de sa vie, Jhorne ressentit ce qu'était vraiment la peur, la détresse. Lui ? Jhorne ? Le Colosse de Lumen, le Destructeur d'Armée, Tyran des Ogres et Fléau des Orcs, avait échouer à défendre la Reine ? NON ! Il ne pouvait l'accepter, il devait agir ! MAINTENANT ! Poséidon leva son arme, Jhorne n'avait rien sous la main... NON !!!!!
Puis le choc. Terrible et puissant. Poséidon fut repousser et tout sembla se tenir en suspend. Une nouvelle intervenante, qui raviva les soldats qui hurlèrent de joie. La Reine avait été sauvé ! Et alors que Poséidon réalisa qui était cette femme, la sphère aqueuse explosa, dans un spectacle grandiose ! Les créatures élémentaires se liquéfièrent, la source de pouvoir les alimentant ayant disparue. La joie était à son comble, et les forces en présence de Poséidon réduite, la situation tourna à leur avantage. Circé affronta de nouveaux mages sentinelles, tandis que les hardis et ogres purent se concentrer à nouveau sur Poséidon, pendant que le reste des forces affrontèrent avec une vigueur retrouver les forces restante de Poséidon.
Jhorne put se redresser, tandis que Adamante le rejoignit et entrepris de le soigner, recollant les chairs et les morceaux. Jhorne se laissa faire, souriant et soulager, la peur ayant disparue. Et tandis que l'inconnue affronta un Poséidon plus enragé que jamais, la Reine rejoignit Jhorne et Adamante.
« Vous auriez pu le tuer, s'il n'y avait pas eu cette sphère aqueuse...
- Oui, mais je suis épuisée...
- Tu m'as habitué à être plus résistante, Adamante...
-Quelle déception, hein ? Je crois qu'il va falloir compter sur vous, Jhorne...
- Méfiez-vous, Poséidon est en train de perdre le contrôle... »
-Il est grand temps de mettre fin à sa folie ! On va faire en sorte régler ça rapidement avec la jolie brune. Dit il en se relevant.
Au même moment, surgissant du ciel comme un éclair, frappa le sol avec puissance, l'épée de Jhorne venait de réapparaître, crépitante d'énergie.
-KUAHAHAHAH ! ON DIRAIT QUE LE DESTIN EST AVEC NOUS !
Il attrapa son épée au passage, l'arrachant du sol, projetant débris et poussière, saisissant sa lame, ressentant à nouveau l'énergie coulant de son épée. Il se concentra, se projetant l'image, d'une lame blanche. Il avança, alors que la magie dans son épée se concentra. Il chargea, déterminer et silencieux. Poséidon entendit le demi-géant approcher, il repoussa la traîtresse d'une colonne d'eau, et alla parer l'attaque de Jhorne. Mais il ne s'entendait pas à ce que ce dernier ait retrouvé son épée magique, sans quoi il aurait usé de ses pouvoirs pour contrer Jhorne et pas seulement Diana.
Le fracas assourdissant du choc, résonna avec force, tandis que le sol se fissura et se brisa sous les pieds de Poséidon, qui encaissa l'onde de choc. Son trident grincer contre la lame de Jhorne, qui avait entailler profondément son épaule.
-Toi ! TOI ! Va tu donc mourir à un moment ! Lui dit Poséidon en grinçant des dents.
-Pas avant d'en avoir finis avec toi ! Lui dit Jhorne.
Il releva son épée rapidement, et décocha un coup de pied au dieu, le repoussant.
-Et toi ? Lui dit Jhorne, en assénant un nouveau coups d’épée, avec une onde de choc en plus.
TU TE DIS DIEU MAIS TU N'ARRIVE MÊME PAS A ME TUER !
Poséidon para son coups, contrant avec une lame d'eau, le choc repoussant les plus faibles combattants.
-TU VIENS NOUS FAIRE UNE GUERRE QUE TU ES ENTRAIN DE PERDRE ! Jhorne porta une nouvelle attaque, sans onde de choc, mais Poséidon esquiva.
TU VIENS TUER MA REINE ALORS QU'ELLE LUTTE POUR SON PEUPLE PENDANT QUE VOUS ÉTIEZ DANS VOS REFUGE !
-CELA DEPASSE TON ENTENDEMENT ! Hurla Poséidon.
Poséidon lança une lame d'eau, que Jhorne pulvérisa d'une onde de choc, avant que le trident du Dieu ne perce et arracha un morceau de sa tassette.
-NOUS OEUVRONS POUR UN PLUS GRAND BUT ! C'EST DANS L'INTERET DE TOUS !
-REGARDE CE QUE TU AS FAIT DE CE GRAND TOUS ! TU A NOYEZ UNE PARTIE DE LA CITE ! VERSER DES RIVIERES DE SANG ET BATIE DES MONTAGNES DE MORTS !
Jhorne porta un nouveau coups, en même temps que Poséidon, chacun chargeant son arme. Le choc fut si puissant, que les deux furent repoussé.
----------------------------------------------------------------------------------------------------
De leur côté, la Reine et Adamante furent escorté par les chevaliers Melkart et Sandorf, tandis que la Capitaine Zeldefia se dressa contre Circé avec Orgrall et Loria, avec des mages Sentinelles. De son côté, Orion commandait au troupe en présence, luttant contre les forces encore vivaces de Poséidon.
Circé malmena les trois compagnons de Jhorne, malgré leur ténacité et finit par ce débarrasser des mages dans un déluge de sort meurtrier.
-AHAHAHAHAH ! Vous ne pouvez rien contre moi ! Dit elle en flottant dans les airs, électrifiant les 3 malheureux, avant de les jeter au loin.
Et pour ne rien arranger, Hector, l'oublié de cette bataille, finit par sortir du palais, avec une faible force de combat, et pris en chasse la Reine, après un rapide coups d'oeil à la situation. Les deux fondirent donc sur la Reine, rien ne semblant pouvoir les arrêter.
Mais ce fut aussi à ce moment là que Azertus réapparut, entre eux et la Reine, surgissant du ciel depuis une colonne de magie sombre, inconnue et terrible. Torse nue, pleurant des larmes de sang noir, son corps couvert de symbole cabalistique inconnue. Se tenant à ses côtés, Luria, la capitaine de la garde royal, mais aussi l’étrangère.
-Qu'est donc cette magie ! Éructa Hector.
-J'ignore ce que tu es... mais ce que je sais, c'est que tu ne fais pas le poids face à moi ! Clamat Circé, en se remettant de sa surprise.
-Et toi tu n'es pas capable de me tuer. Une situation bien cocasse hihihi. Mais on ne sera pas de trop pour te faire tomber ! Dit il.
Dans une langue oublié, d'une voix gutturale et rauque, leva ses bras devant lui. Circé envoya des lances des ténèbres, qui visaient le trio, mais les lances furent dévier par un mur éthéré, fugace mais visible, qui émit des sons inhumains au impact.