The Multiversity

[Mélinda Warren]

Avec ses milliers d’îles, le Japon disposait de ressources touristiques importantes. Il existait certaines agences qui proposaient de louer de petites îles balnéaires à des fins touristiques. Au sud du Japon, on trouvait un vaste archipel, les Îles Goto, abritant des îles plus ou moins grandes. Certaines comprenaient des ports de pêche, d’autres étaient vierges, ou comprenaient seulement une église. Des agences touristiques avaient réussi à obtenir du gouvernement japonais l’autorisation d’exploiter certaines de ses îles, en y édifiant une villa touristique de luxe, écologique, fonctionnant avec des panneaux solaires. Les fonds permettaient de financer l’entretien de cet archipel. Mélinda avait donc loué une île pour elle et plusieurs de ses esclaves, afin de s’offrir une semaine de vacances.

Parmi les personnes qui faisaient partie du voyage, il y avait l’une de ses plus fidèles esclaves de la Terre, Shii. Aussi intelligente que soumise, Shii était l’une des lycéennes les plus talentueuses de Jinmu, généralement au premier rang. Elle était initialement d’un naturel très nerveux, ce qui fit que Mélinda avait réussi à la séduire facilement. Depuis lors, Shii s’était un peu décoincée, mais restait toujours assez soumise. C’était par le biais de Shii que Mélinda avait trouvé la grande-sœur de celle-ci, Allison. Les deux étaient originaires de parents métis. Si Shii avait surtout hérité des gènes japonaises de leur mère, Allison avait hérité des gènes occidentales du père. Shii était aussi soumise qu’Allison était dominatrice. Mélinda l’avait rencontré alors qu’Allison était étudiante. Elle avait rapidement réussi à la séduire, avec la promesse d’entretenir une relation incestueuse entre les deux sœurs, et surtout celle de permettre à Allison d’assouvir ses pulsions de dominatrice. À l’université, elle se faisait déjà de petites rentrées d’argent en soumettant d’autres étudiants. Elle était une experte en kinbaku, et en domination. Son âme d’artiste l’amenait à entretenir une galerie érotique tournant autour de l’art de la domination sexuelle. Allison avait rejoint le lycée Jinmu comme professeur d’arts plastiques, un poste qui lui permettait volontiers de soumettre des élèves.

Au sein du manoir, Mélinda était la seule ayant réussi à soumettre Allison, et, généralement, elle laissait le soin à Allison de la dominer. Dans le domaine, Mélinda était très switch, pouvant aussi bien incarner la soumise que la dominante. Elle avait offert à Allison sa tenue de dominatrice, cet ensemble noir en latex brillant. La tenue avait été enchantée par l’enchanteresse du clan Warren, Décatis Cryptinna, ce qui permettait notamment à Allison de se baigner avec, ou de la porter en temps normal.

« Hmmm… Tu l’ouvres moins, hein, petite catin ? Je n’arrive pas à croire à quel point tu es perverse, hmmm… Tu mouilles pendant que je t’étrangle, ma chère sœur… Mère serait si choquée de voir à quel point Mélinda a fait de toi une salope hors concours.
- Haaaa… !! »

C’était le long d’une crique bordant la mer qu’Allison et Shii s’étaient isolées pour faire l’amour… Ce qui, avec Allison, revenait à dominer et à humilier sexuellement Shii. En l’occurrence, elle la sodomisait lentement, longuement, profondément. Prise à quatre pattes, Shii avait autour de son un collier, et Allison s’amusait à l’étrangler longuement en tirant sur la laisse du collier, ce qui serrait ce dernier. La petite soumise gémissait fortement, tout en s’approchant d’un orgasme, rougissant sous les humiliations d’Allison, qui la besognait avec force sur leur serviette. Les deux étaient indifférentes à l’eau de la plage, tandis que, à chaque fois qu’Allison desserrait le collier, elle frappait les fesses de Shii, la faisant gémir et même hurler, réclamant ensuite que Shii s’insulte elle-même.

« Tu es ma salope, Shii, ma belle petite chienne… Hein ? Dis-le, sois au moins honnête avec toi, hmmm… ! »

Qui aime bien châtie bien… Jamais ce proverbe n’avait été aussi fondé avec Allison. Et ça, une spectatrice inconnue allait vite le réaliser…

[Lyli]

Si l'eau semble si chaude aujourd'hui autours de Lyli, ce n'est pas à cause du climat tropical, ni du réchauffement climatique. L'eau est en réalité d'une température tout à fait normale, sauf pour la sirène ayant l'impression d'être proche d'une source volcanique. Serait-elle fiévreuse ? Non plus, ou du moins pas fiévreuse dans le genre malade. Lyli n'a pas la grippe non plus, ce début de saison est seulement celui des " amours " pour les sirènes. C'est durant ces périodes que les tritons ont une des rares permission d'accéder au royaume duquel Lyli fait partie. Quelques sirènes guerrière aux bonne compétences sont alors sélectionnées, et permettront de donner naissance à la prochaines génération de combattante. Pour la faire courte, Lyli est en pleine période de chaleur intense, ses désirs érotiques sont impossible à étouffer, et dans ces moments la sirène est plus... directe, plus facilement tactile, taquine... voir même un peu plus dominatrice dans l'âme qu'habituellement. A comprendre par là que si elle jette son dévolu sur une compagnonne, sa raison passera au second plan, et son comportement ressemblera plus à celui d'une sirène primaire, ne vivant que pour attirer sa proie dans ses filets.

Cette proie dans ses filets, ou du moins, dans les fantasmes de Lyli, semble déjà être toue choisit. En même temps, c'est qu'elles ne passent pas inaperçu, avec l'autre cruche qui crie ! Lyli a le temps d'entendre un brun de leurs conversation : sa sœur ? Mère serait choquée ? Et bien et bien ! Voila qui est amusant ! Chez certaines espèces dont celle de Lyli, tout le monde est " frère et sœur " que ce soit par le sang ou non ! Et ça ne pose aucun problème pour les comportements primaires...Mais chez les humains, il parait que c'est un tabou absolue. Quel perverse... elle sera parfaite.

Lyli ne s'amuse même pas à se cacher et à essayer de tendre un piège, sortant de l'eau dans son propre coin, venant par le dos de la dominatrice. C'est donc la sœur soumise qui verra Lyli la première.

Le cœur de la sirène bât la chamade, son souffle est cours, ah.. il faut vraiment qu'elle calme ses chaleurs. Mais difficile avec une telle femme devant elle. Et là, Lyli ne parle pas de la soumise, mais bien de celle qui porte une tenue en latex noire. De loin elle semblait déjà magnifique, mais de près...

- En voila une façon de traiter sa sœur...

Lyli s'annonce surtout pour capter l'attention de la belle dominatrice. Et elle ne fut pas déçue de la voir de si près. Quand leurs regards se croisent, Lyli ressent une décharge électrique parcourir son échine. Quel regards... quel beauté... ses yeux seraient capable de pétrifier un non initié sur place tel Médusa, Même Lyli est subjuguée. Ses longs cheveux noirs, ses lèvres d'un rouge carmin, et ces jolies lunettes qui encadrent son regards dominant... Lyli fond sur place, littéralement... Mais s'il n'y avait que ça, sa tenue de dominatrice en latex... avec au rendez-vous longs gants et cuissardes... Ah... ces cuissardes à talons noires qui s'enfoncent à moitié dans le sable, cela lui rappelle sa première rencontre avec Rem. C'est d'ailleurs parce que Rem n'était pas disponible, que Lyli n'avait pas comblé ses chaleurs en sa compagnie. Un mal pour un bien, pour le coup... Celle-ci par contre, ne semble pas aussi dévouée que la maid... Ca aussi, c'est assez excitant, et le cœur de Lyli s'emballe encoure plus, ses joues sont rouges...

- Pas mal le maillot de bain... c'est la collection BDSM de printemps ?

Un brun sarcastique et provocateur dans sa voix et son regards, la sirène ! Mais au moins elle pourra jauger de sa réaction là aussi. De son côté, Lyli a modelé ses écailles de manière à ce que son revêtement ressemble à un maillot de bain une pièce très moulant, comme celui des lycéennes. Son revêtement recouvre également les jambes jusqu'à la moitié de ses cuisses, et les bras, simulant comme des cuissardes et des gants, à l'image de la dominatrice. Rien n'indique que Lyli est une sirène, ou que sa combinaison n'est pas un vêtement. Ca, la sirène le cache pour le moment, garder le mystère sur son identité l'aidera surement...

[Mélinda Warren]

Au sein du harem de Mélinda, tout le monde savait qu’Allison était une dominatrice redoutable. Entre ses mains, elle vous rendait chèvres. Elle n’avait jamais eu de vues incestueuses sur sa sœur avant de rencontrer Mélinda… Ou alors, c’était Mélinda qui avait ouvert en elle des pulsions latentes, des désirs inconscients et endormis. Tout s’était réveillé, et Allison se retrouvait là, sur cette plage, à besogner et à étrangler sa sœur. Quand Shii vit Lyli arriver, elle ne put de fait parler, et se contenta de gémir, ce qui fit sourire à Allison.

« Tu te tortilles comme un poisson qu’on sort de l’eau, petite pute, c’est si bon de t’entendre couiner… L’air te manque, hein ? Tu aimerais sans doute que je desserre ma prise ? Mais quelle punition ce serait, si tu n’étais pas vraiment punie ! »

Concentrée dans son office, Allison n’entendit pas Lyli arriver, mais, quand celle-ci se mit à parler, surprise, Allison relâcha le ruban qu’elle utilisait pour étrangler Shii. Sa petite-sœur glapit, et Allison se redressa. Elle lâcha Shii, et sa sœur tomba sur le sol, couinant longuement, tandis qu’Allison regardait Lyli.

Elle rehaussa ses lunettes en clignant des yeux, une moue agacée sur les lèvres. Bien que hermaphrodite, Allison avait opté pour un strap-on noir. Son gros vibromasseur noir était brillant, lubrifiée par la mouille de Shii, tandis que, dans sa chatte et dans son fondement, deux vibromasseurs plus petits vibraient chaudement également, afin de stimuler Allison.

« Tu es qui, toi ? C’est une propriété privée, et tu ne portes pas de collier ! »

Tous les esclaves de Mélinda portaient un collier en cuir avec les initiales de Mélinda gravées sur la doublure à l’arrière, sur une petite plaque dorée : « M W ».

Shii s’était affalée sur la serviette, mais tendit à Allison la cravache qu’elle avait emmené Allison la saisit, et la posa sous le menton de Lyli, relevant la tête de cette dernière avec.

« Tu interromps une séance de correction, jeune fille. Et ce ton irrévérencieux que tu emploies ne me sied guère. Est-ce Mélinda qui t’envoie ? Es-tu l’une de ces nouvelles petites cocottes qui attendent de se faire fouetter le cul pour qu’on leur rappelle qu’elles sont tout juste bonnes à me lécher les pieds ? »

[Lyli]

Quel prestance, quel beauté. Le cœur de Lyli fait un bond puissant lorsque celle-ci marche vers elle, le latex enveloppant ses courbes, tout brillants sous les reflets des rayons de soleil. La sirène aurait pu reculer, après tout au vu de sa gestuelle, de sa façon de parler, et de son regard oh combien envoutant et excitant, il est clair que cette magnifique créature ne compte pas s'agenouiller. Lyli est pour l'instant la proie, une proie qui ne fait rien pour s'extirper de la situation. Dans sa situation actuelle, avec ses chaleurs puissantes parcourant ses veines, l'idée d'être soumise à une femme aussi magnifique ne lui semblerait pas une si mauvaise idée. De toute façon, Lyli n'a pas encore révélé être une sirène, elle pourrait la piéger plus tard, si l'occasion se présentait. Pour le moment, elle ne bouge pas, et se laisse passé la cravache au menton.

Une propriété privée, Ah bon ? moi je n'ai pas vu de pancartes !

Elle ignore volontairement le cas du collier, défiant du regards la belle durant tout le processus, ses joues largement rosies par l'excitation de ses chaleurs. Elle semble être humaine, mais dans son état actuel, Lyli ne ferait même pas la différence avec une succube ! Si elle est vraiment humaine, il est rare d'en voir lui faisant cet effet là, même un simple geste comme celui de réajuster ses lunettes est dans le creux de ses mains une invitation à la luxure. Ses lunettes qui font d'ailleurs parties bien intégrantes de son charmes, comme tout le reste de ce qu'elle porte à l'instant.

Avec un sourire un brun moqueur et narquois, Lyli penche son visage très en avant, faisant face à la belle dominatrice, au plus près. Son nez touche presque le sien, mais il n'y a pas de contact entre leurs visages. La sirène la toise, la regardant droit dans les yeux, puis lui souffle sur les lèvres en riant. Ses lèvres d'un joli rouge foncé, qu'elle aurait déjà envie d'embrasser à pleine bouche, ou de bâillonner pour faire taire son vilain comportement. Ce vilain comportement pourtant si excitant.

Dommage, tu es diablement belle, mais ce que tu as l'air chiante quand tu l'ouvre !

Voilà de quoi ouvrir les hostilités sur le comportement que Lyli va adopter ! Elle s'octroie même le droit de poser sa main contre une des belles cuissardes en latex de la jolie dominatrice. Entre ces affronts et le fait de toucher son corps sans permission, Lyli ne s'attends pas à ce que cette séduisante femme reste les bras croisés. Pas grave, c'est un peu ce qu'elle cherche après tout, mais sait elle vraiment ce qu'elle cherche, avec ses hormones affolées ? Embrumé par l'excitation et un sacré coup de foudre, n'importe quel idée lui semble bonne, tant qu'elle est liée à cette femme. Pour le moment.

Alors tu vas faire quoi ? Me punir moi aussi ? Je suis pas une fille aussi facile que cette pleurnicheuse juste derrière toi. Tu vas devoir me mériter.

Là aussi, elle ignore volontairement les questions à propos de cette Melinda.

[Mélinda Warren]

Allison arriva vite à la conclusion qu’il était impossible qu’une curieuse vienne à l’improviste. Leur petite île était éloignée des côtes, on ne pouvait pas la rejoindre à la nage depuis une autre île, et une touriste ne viendrait pas dans une combinaison aussi seyante. Allison en arriva donc rapidement à la conclusion que cette femme devait, d’une manière ou d’une autre, être liée à Mélinda. Qu’elle n’ait pas de collier était surprenant, mais il arrivait parfois de croiser des gens proches de Mélinda qui n’étaient pas ses esclaves. Des amis, des amants, ou des membres de son clan… L’idée que Lyli puisse être une sirène n’avait à ce moment nullement traversé l’esprit d’Allison ! Certes, elle savait qu’il existait des êtres surnaturels (Mélinda était après tout une vampire), mais la seule sirène de Mélinda avait une queue de sirène, ce qui n’était pas le cas de Lyli. Cette idée ne lui traversa donc nullement l’esprit, et ce d’autant plus que Lyli se montrait peu farouche. La manière dont elle dévorait Allison du regard n’échappa nullement à cette dernière. Pour reprendre un terme anglais, on pouvait dire que Lyli était horny.

Souriant sur le coin des lèvres, Allison franchit l’espace qui les séparait. Sa main gauche se posa en propriétaire sur la croupe de Lily. Sa main droite empoigna ses cheveux, et Allison alla lui voler un premier baiser. Sa main gauche pressa les fesses de Lyli, sentant ses doigts s’enfoncer dans cette combinaison écailleuse. Elle soupira, et donna une première fessée à Lyli, remontant sa main pour la rabaisser.

« Je crois que tu mérites d’être punie, oui… Habituellement, j’essaie au moins de connaître les noms des personnes que je corrige… »

Allison allait encore l’embrasser, mais suspendit son geste, et préféra mordiller la lèvre inférieure de Lyli. Elle tira dessus avant de s’écarter, et, après avoir caressé les cheveux de la femme, elle pinça le téton de son sein, qui ressortait de sa tenue.

« Mais une petite pute en chaleur comme toi portera le nom que je veux bien lui donner. Te mériter ? Ma chérie, ici, il n’y a qu’une seule personne qui mérite de se faire corriger pour son impertinence, et c’est toi ! »

[Lyli]

Une attirance presque hypnotique embue les yeux de la sirène, qui se laisse volontairement faire pour une fois. La main de la garce dominatrice mais ô combien sexy découvrira bientôt que ce revêtement en écaille n'est ni poisseux, ni luisant, mais ressemble comme deux gouttes d'eau à la tenue qu'elle porte elle même. A la fessée, la sirène exagère un peu et pousse un petit gémissement trop mignon pour être réel, jouant un peu la comédie, en rajoutant. Là ou elle n'en rajoute pas, par contre, c'est quand elle se fait soudainement embrasser avec une fougue passionnée. Ah ça, Lyli en avait embrasser des femmes, mais dans son état, et avec cette sorte de... coup de foudre si soudain ? Elle ne peut s'empêcher d'ouvrir de grands yeux et de rester pétrifiée sur place. Toute rouge et raide comme un piquet, la sirène ne se débat même pas, et se laisse dévorer les lèvres sans une seule once de rébellion, devant les yeux de sa la sœur de Allison. Tiens, elle avait une sœur ? Ah oui c'est vrai... mais Lyli la trouve bien anecdotique à côté de cette dominatrice, qui prends tous les feux des projecteurs sur elle.

Lorsque le baiser est terminé, Lyli en tremble encore d'extase, les yeux presque révulsés de plaisir. Elle aurait pu lui dire " épouse moi " que Lyli aurait dit " d'accord " sans réfléchir une seule seconde. C'est naturellement donc qu'elle se jette droit dans le second baiser... pour mieux se faire avoir et embrasser le vent. Lyli aurait bien eut envie de bouder, si elle ne s'était pas faite choper la lèvre inférieur ainsi, comme une dominatrice saisissant son trophée de chasse. Des étincelles brillent dans les yeux de Lyli, qui regarde la dom droit dans les yeux, d'un regards intense et fiévreux. Même Allison pourra comprendre que ses pupilles n'envoi qu'un seule message " je te veux " Peut-être même comprendra t-elle par cette intensité que Lyli se laisse un peu faire, qu'elle n'est habituellement pas de la trempe des soumises.

- Lyli...

Un peu par provocation, elle lui donne son nom, comme pour lui rétorquer que " non, j'ai un nom, ce sera pas celui que tu veux bien me donner " la sirène restant dans une provocation très passive. Toutefois, la belle dominatrice devra au moins elle aussi se faire corriger pour avoir oser la traiter de pute ! Alors quand son seins recouvert d'écailles au toucher de latex, se fait saisir et que son téton dur et enflé comme un dé à coudre se fait pincer, Lyli feinte d'abord un cri encore une fois trop mignon pour être vrai... avant de se jeter ses bras autours de Allison, et de la serrer fort, très fort contre elle. Le revêtement en écailles et la tenue en latex de la belle dom rentrent en contact et provoque un son de friction suffisant à faire mouiller Lyli. Elle profite de cette soudaine immobilisation et de la surprise pour à son tours déposer un bisous sur le bout du nez de Allison, un autre baiser sur ses lunettes, et puis un dernier droit sur ses lèvres rouges carmin. Bien que Lyli serre fort, en dehors de l'eau elle ait qu'elle ne pourra pas retenir Allison, et que celle-ci n'aura aucun mal à se défaire de la captivité de ses bras. Elle a juste profité de la surprise, pour la provoquer.

- Une petite fessée et un baiser, c'est ça ma punition ? Va y chérie, corrige moi ! Avant que je finisse par croire que tu n'es qu'une belle parleuse.

[Mélinda Warren]

Lyli, donc… Allison fit un bref effort de réflexion, avant d’arriver à la conclusion que ce nom lui était définitivement inconnu. Elle n’avait pas la prétention de connaître l’intégralité des esclaves de Mélinda, ou de ses connaissances. Elle restait donc partagée quant au fait de savoir d’où venait vraiment cette femme. Allison décida néanmoins de laisser cette question de côté, pour se concentrer sur l’essentiel : rappeler à cette petite écervelée que c’était elle qui dominait les lieux ! En temps normal, Allison était très abordable, elle pouvait même rougir facilement. Mais, quand elle rentrait dans le jeu, quand elle incarnait son personnage de dominante, elle devenait beaucoup plus autoritaire, intransigeante, jouant finalement à fond son jeu. Elle frémit donc quand Lyli embrassa ses lunettes, laissant surtout une belle traînée de buée dessus. Celle-ci la provoqua encore, en lui disant que de simples fessées, ce n’était pas grand-chose. Allison se pinça les lèvres devant cette ultime provocation.

*Pour être aussi farouche, c’est sûrement une invitée de Mélinda… Bon, elle l’aura cherché, elle a sali mes lunettes !*

Allison remonta sa main pour saisir le cou de Lyli, et appuya dessus, tout en pinçant plus fermement son téton.

« Tu as la langue un peu trop pendue, toi… Tu salis mes lunettes avec tes lèvres baveuses, tu me provoques quand je corrige mon esclave… Quelque chose me dit que tu es une chaudasse en manque ! Et les chiennes en rut comme toi, on les calme en les matant ! »

Shii rougit un peu, devant la voix sèche et marquante de sa grande-sœur. Celle-ci savait comment y faire pour adopter un bon ton. Elle poussa Lyli, la renversant sur la serviette de bain des deux sœurs. Shii sursauta un peu, puis Allison attrapa la sangle en cuir qu’elle avait utilisé pour étrangler Shii, et la passa autour du cou de Lyli, puis tira dessus.

« Shii ! Nettoie mes verres ! »

Shii sursauta, et acquiesça, puis attrapa précautionneusement les lunettes d’Allison. Sans ses lunettes, le regard d’Allison n’en restait pas moins acéré, même si sa vision devint plus floue. Utilisant un petit chiffon, Shii nettoya rapidement les lunettes de la femme, tandis qu’Allison tirait sur les deux côtés de la sangle, étranglant Lyli. Elle se frottait aussi contre elle, frottant sa verge en érection sur les écailles de la sirène, gloussant en la voyant remuer nerveusement sous elle.

« Tu l’ouvres moins, hein, petite pute curieuse ? Tu gigotes comme un poisson hors de l’eau… Tu me pardonneras le caractère artisanal de ta punition, nous ne sommes pas dans mon donjon, je n’ai pas les instruments adéquats pour te corriger. Vois cela… Comme un avant-goût !
- Tenez, Maîtresse, elles sont nettoyées ! »

Allison tourna la tête vers Shii, laissant sa petite-sœur lui remettre ses lunettes, puis Shii lui sourit. Les deux sœurs s’embrassèrent ensuite, pendant plusieurs secondes, jusqu’à ce que Lyli commence à suffisamment gigoter pour qu’Allison desserre la sangle.

« C’est moi, ou ça t’a excité, Lyli ? Tu es vraiment détraquée, toi… »

[Lyli]

Lyli n'aime pas vraiment se laisser faire normalement, mais cette humaine lui procure une excitation si intense qu'elle serait prête à lui obéir, ce qu'elle fait, du moins par jeu. Oui, la sirène se laisse aller à une sorte de jeu de rôle ou elle est la vilaine soumise, jusqu'au moment ou elle aura l'occasion et l'envie de reprendre son rôle principal. Dans l'eau, Alisson ne ferait pas fière allure, quel que soit son tempérament, étant une simple humaine. D'ailleurs, ça tombe bien, l'humaine enroule la sangle en cuir autours du cou de la créature aquatique, lui coupant net la respiration. ce qui donnera à Lyli l'occasion de se venger plus tard, avec les un peu près les même méthodes. Pour le moment, elle se tient calme, feintant d'avoir une once de peur en ouvrant grands les yeux, gémissant, rougissant, avec les pupilles perdues et tremblantes. En réalité, la panique n'existe même pas, et la sirène n'est qu'excité par le vilain traitement qui lui est infligé.

Gnnn... nnnn..a..arg... nnngg...

C'est ça petite sirène, serre les dents et essaye de gémir avec cette sangle en cuir enroulant ton cou, aucun son ne sortira de toute façon, avec la gorge comprimée et restreinte ainsi. La sirène s'agite, gémit, sens son cœur battre dans ses tempes au fur et à mesure que l'oxygène lui manque. Un délicieux cocktail parcours ses veines, entre l'asphyxie intense, et la sensation d'euphorie lorsqu'elle commence à planer, à voir flou. Sa langue pendouille légèrement sur le côté, avec un air satisfait et excité, tandis que le corps lui, ne peut mentir et s'agite dans tous les sens, pris de convulsion, de spasmes. Soudainement, après que son diaphragme n'ai commencé à se soulever à plusieurs reprises, comme pour implorer la maitresse qu'il fallait que la sirène gonfle ses poumons à ours prix, la pression est relâchée.

Lyli aspire de l'air et tousse en convulsant, non pas seulement par l'asphyxie et ses poumons en feu, mais également car elle vient de jouir. Jouir, seulement par asphyxie. On aurait pu croire à une masochiste n'en étant pas à son coup d'essai, et pourtant...

Ah... hyaha... ha... détraquée ? Drôle de mots, venant de la bouche d'une pute... qui se tape sa sœur en publique.

Ce qui l'excite, c'est également le fait de penser à sa douce vengeance, d'imaginer quel sera son regards une fois que les rôles se seront inversés. Gardera t-elle le même sourire hautain ? Ou aura t-elle les yeux exorbité de peur derrière ses lunettes ? implorant à Lyli de lui épargner de bien vilains jeux ? Ca, Lyli avait encore le temps de l'imaginer et de le découvrir, puisqu'elle n'avait pas encore la main sur elle.

D'autre part, la garce dominatrice avait elle aussi un vilain secret entre les cuisses. Voila qui lui faisait un point commun avec Lyli, qui n'avait pas encore activé cette particularité chez elle.

Et puis si je suis autant excitée... c'est que j'étais en train de m'imaginer quelle tête tu ferais, une fois que cette sangle sera autours de ton cou à toi... chérie.

[Mélinda Warren]

Allison la fit donc jouir. Elle avait sans doute senti instinctivement que cette intruse aimait le sexe brutal, et qui tournait aussi de la strangulation sexuelle. Ou alors, c’était un pur hasard. Allison avait des goûts plutôt variés. Tout ce qu’elle voulait, c’était dominer les autres, et elle s’adaptait aux fantasmes de ses soumis. Peu importe le flacon, tant qu’on ait l’ivresse. Strangulation, fessées, fouets, dirty talk, baise intense, Allison était comme un couteau suisse de latex et de cuir, capable de faire tout ce que ses soumis souhaitaient. Mais cette Lyli… Allison ne la sentait pas trop soumise. Non, elle sentait même en elle une potentielle rivale. Là aussi, elle n’aurait su dire en quoi. Sa tenue, ses provocations, le fait qu’elle débarque de nulle part, sans avoir peur du fait de débarquer sur une île hédoniste… Allison l’observa, fascinée par sa combinaison, la voyant mouler ses seins à la perfection. De généreux seins qui vinrent à durcir sous l’excitation, ses tétons pointant, parfaitement moulés dans cette tenue.

« Petite perverse, tu mouilles comme une cochonne en manque… C’est pour ça que tu as rejoint cette île ? Tu es une passagère clandestine qui a envie de rejoindre le harem de Mélinda ? Ma foi, je dois bien admettre que tu as… Des arguments très convaincants. »

Mélinda partageait totalement le fétichisme d’Allison, et sans aucun doute celui de Lyli. Allison se pencha vers elle pour lécher sa joue, puis ses lèvres. Elle relâchait un peu la bride de la sangle, avant de serrer encore, jusqu’à sentir le corps de Lyli se tortiller sous elle, ses mains se crisper sur son corps, pressant ses hanches, ou malmenant ses fesses. Ça, quand Lyli les palpa, Allison frémit en se mordillant les lèvres. Un autre point commun avec Mélinda : les deux adoraient l’anal. Aucune restriction là-dessus ! On aurait pu craindre qu’Allison ne serre trop, mais elle relâchait la bride à chaque fois, et souriait en voyant la bouche de Lyli s’ouvrir en grand. Elle se mettait à inhaler l’air, et finit ainsi par jouir. Ce spectacle fut particulièrement savoureux pour Allison.

Souriant malicieusement, elle en avait presque totalement oublié sa sœur, pour se focaliser sur elle.

« Diable, tu as déjà joui, ma salope, je n’ai même pas eu le temps de te pénétrer ! »

C’était vrai… Elle relâcha la sangle, et laissa Lyli se redresser, reprendre ses esprits. Allison, quant à elle, récupéra un jus d’orange de la glacière en canette, et le suçota, tout en laissant Shii venir pomper son dard.

« Pour commencer, ma chérie, nous ne sommes pas sur un lieu public. Cette île est privée. C’est toi qui débarques avec ton joli cul, ta combinaison ultra-sexy qui me donne envie de te jouir dessus pour ordonner à Shii de la lécher, et tes pulsions sadomasochistes. »

Allison évoquait sans doute un peu la suite, mais Lyli la devança. L’invitée surprise évoqua la possibilité de soumettre Allison. Celle-ci haussa les sourcils sous la surprise, avant de légèrement glousser.

« Tu n’as pas froid aux yeux, toi ! La seule personne au monde qui m’ait jamais dominé est celle qui possède cette île, Mélinda Warren. Si tu veux envisager quoi que ce soit de ce type, c’est avec elle qu’il faudra marchander… Si j’accepte toutefois de te présenter. »

Elle but encore un peu de sa canette, et tira sur la tête de Shii, libérant son sexe, un mât turgescent et assoiffé.

« J’ai une idée… Montre-moi de quoi tu es capable sur ma petite-sœur, motive-moi… Si ce que tu fais arrive à m’exciter suffisamment pour que je vienne te baiser et jouir en toi, alors tu pourras avoir une audience avec Mélinda, et plaider ta cause… »