Alice ne pouvait pas savoir que la perspective de coucher avec Theorem rendrait Ishtar jalouse, et n’avait donc nullement confiance d’avoir pu froisser la susceptibilité de son hôte. Mélinda, de son côté, avait choisi de les laisser, retournant voir où en était son avocate, et ses esclaves. Elle finit par se retrouver entre les bras de Samara, et il y avait peu de chance qu’elle se plaigne de coucher avec cette femme, qui était une cliente assez récurrente de son harem, et aussi une puissante démone, qui avait su gravir les échelons de la société mijakienne, pour se placer un peu comme sa garante et protectrice, au même titre que Kaileesha. Mélinda n’avait aucune raison de s’intéresser à Alice à nouveau, dès lors que la queue caudale de Samara s’enroula autour de son bassin, et la pressa contre elle, au milieu d’autres femmes ravies de pouvoir coucher avec la superbe démone.
La Princesse de Sylvandell se retrouva ainsi avec le sexe d’Ishtar dans son con, la labourant, Theorme lui servant de confortable oreiller. Les mains de la Princesse agrippaient les épaules d’Ishtar, cette terrible dragonne noire, sur laquelle quantité de rumeurs sinistres avaient circulé. On disait qu’elle dévorait les amants de sexe masculin, qu’elle couchait avec des bébés... Le genre de rumeurs propagandistes qui sortaient pendant les guerres. Il fallait diaboliser l’adversaire afin de légitimer le combat, et de renforcer la hardiesse des soldats à se battre. Alice n’y avait jamais cru. La dragonne était bizarre, très perverse, mais ce n’était pas Alice qui pouvait lui jeter le blâme. Pour l’heure, elle se faisait encore pénétrer par cette dernière, et sentir cette verge noire en elle, remuer dans son corps, la pénétrer longuement, violemment, voilà, en réalité, qui était magnifique. La timide et douce princesse sylvandine, cette jeune femme qui avait tendance à s’effacer derrière ses livres, se libérait ici totalement, bercée par ce mélange de sexe, de cuir, et de latex. Elle sentait Ishtar tomber sur elle en labourant son corps, sentir le cuir de son torse heurter le sien, leurs vêtements se frottant et crissant entre eux. Ce crissement était délicieux, comme une rivière de perles entre elles. Dans son dos, Theorem s’appuyait sur ses seins, et elle sentit la queue caudale d’Ishtar glisser le long de ses jambes, filant vers Theorem. La verge de l’Inu heurtait son intimité, glissant parfois sur la verge d’Ishtar quand cette dernière filait en arrière pour revenir.
« Oh... Ohhh, ahhh !! »
Alice gémissait et haletait, fermant les yeux parfois, basculant sa tête vers l’arrière, ayant du mal à retenir sa salive sous l’effet du plaisir. Elle était prise au sein d’un couple, et elle trouvait ça délicieusement excitant. Loin de la dégoûter, cette sensation aiguisait sa perversion, faisant brûler le feu sauvage et rebelle du dragon qui bouillonnait en elle. Elle sentit alors les doigts d’Ishtar s’enfoncer dans ses fesses, et soupira, écarquillant brièvement les yeux, en se crispant contre le corps d’Ishtar. Les deux femmes étaient en sueur, et les cheveux d’Alice remuaient dans tous les sens, ses joues rougies par le plaisir et l’effort. Oh, c’était intense, vraiment ! Elle mouillait follement, et eut un orgasme avant qu’Ishtar ne finisse par jouir.
L’Infernoise prit clairement tout son temps, ne voulant pas brusquer les choses, et, quand elle jouit, Alice sentit le flux venir. Elle bascula sa tête en arrière, l’enfouissant dans le cou de Theorem. Les deux la berçaient : Theorem, par ses léchouilles et ses attouchements, Ishtar par cette pénétration brutale et cette vive domination qu’elle exerçait sur les deux. Elle la sentit jouir en elle, longuement, des filaments de sperme fondant dans son corps, faisant lentement grossir son estomac, dessinant une belle bosse. Quand Ishtar se retira, Alice soupira longuement, en sueur, éreintée... Mais comblée. La verge d’Ishtar se retira, couverte de sperme et de mouille, et Alice regarda le plafond, caressant son ventre arrondi. Elle venait bien de prendre un petit kilo dans le ventre.
« Pfiou... Ce fut très intense, commenta alors Ishtar. Maintenant ma belle Alice, et si tu nous nettoyais avec ta douce langue, comme le ferait Theorem ? »
Alice cligna lentement des yeux, et releva la tête, s’appuyant sur ses avant-bras. Ishtar était en sueur, mais Alice n’allait pas se refuser ça. Elle sourit lentement, et entreprit de se relever. Son cul était en feu, mais cette douleur, loin de la stopper, ne faisait que l’exciter davantage.
« Comme vous voulez... Maîtresse. »
Elle le dit sur un ton espiègle, et rejoignit la femme, embrassant sa tenue en cuir. Honnêtement, elle n’avait absolument aucune idée de ce qu’Ishtar voulait. Qu’elle la lèche comme une chienne ? Alice pouvait le faire, mais elle ne pensait pas qu’être recouverte de salive la nettoierait... Elle remarqua alors le sexe noir d’Ishtar, assez sale, et tout en léchant la tenue de cuir, l’embrassant et la mordillant, remontant lentement dessus, avança l’une de ses mains pour la masturber tendrement. Elle y allait lentement, avec douceur, à quatre pattes, et frottait surtout ses lèvres contre le cuir, satisfaisant ses penchants fétichistes.
« Hum-hum... »
Après quelques instants, elle finit par descendre jusqu’à la verge d’Ishtar, et entreprit de prendre son chibre en bouche, le léchant et le suçant, creusant ses joues en aspirant de l’oxygène, entreprenant ainsi de laver ce membre de ce qui s’était déposé dessus.