The Multiversity

[Makana]

Malgré la proposition de la basanée, la première année secoua la tête, le visage rouge.

– C'est très prévenant de ta part mais... comme l'a dit la présidente : je ne vais avoir d'autre choix que de me familiariser à cette ambiance. Ne vous gênez pas pour moi. Si vous avez envie de le... euhm!... faire tout de suite, libre à vous de vous y adonner.

Elle était mignonne comme ça, mais cela ne fera que la faire craquer plus vite. Et puis se retenir quand on meure d’envie de le faire, c’est aussi le meilleur moyen de perdre la boule. C’était aussi pour ça que Makana c’était montrée prévenante. Justement pour que Rini puisse céder à son rythme et s’y préparer.

Bref, elles entamèrent leur repas et la jeune fille en profita pour prendre des nouvelles du lycée. Même si les premières années de son époque étaient aujourd’hui à l’université, juste savoir ce que ses amies étaient devenues, ou encore quels étaient les nouveaux profs, était déjà bon à prendre. Elle appris aussi ce que devenaient ses parents du même coup.

Puis, à peine le repas terminé, Shehtra se jeta littéralement sur elle. Même pas le temps de s’installer plus confortablement sur le canapé ou le lit. Nan, la brune s’installa directement sur ses cuisses à même la chaise et se positionna en ciseaux, avant de commencer à bouger contre elle et son intimité. Forcément, Makana ne put laisser échapper un gémissement de plaisir, face à cette attaque soudaine.

– Alors, ça t'a manquée d'avoir quelqu'un avec qui partager ton lit, hein ? Quatre mois seule, ça a l'air long.

– Dit celle qui ne peut même pas attendre deux minutes qu’on soit mieux installées…

C’était une boutade, pour souligner l’empressement de Shehtra à baiser avec elle, mais elle répondit favorablement à son langoureux baisé tout de même. Makana y était même plus réceptive. Car si elle avait pu se masturber et jouir dans son coin durant quatre longs mois, elle n’avait roulée de pelles à personne dans l’intervalle. Cela ne l’empêcha pas pour autant d’agripper le cul de son amante impatiente pour mieux savourer le corps contre elle, et jouer aussi avec sa rondelle.

Makana jetta aussi un œil à Rini, la voyant débarrasser la table et faire la vaisselle pour s’occuper, mais voyant aussi chez elle de nombreux signes d’excitation, comme les joues rouges, les tétons érigés ou encore la mouille qui commençait à couler sur ses cuisses. C’était déjà incroyable qu’elle n’ait pas déjà commencée à se doigter en les regardant. Mais aussi fort soit son self-contrôle, cette retenue risquait surtout de briser son esprit à plus long terme.

Donc après leur orgasme, il faudrait qu’elles s’occupent de Rini, pour son propre bien, si d’ici là elle n’avait pas encore céder à ses pulsions lubriques.

[Rini Koken]

Sans la discussion initiée par Makana autour de la vie au lycée, le repas aurait été vite expédié ! Rini eut presque le temps de souffler alors qu'elles vidaient leurs assiettes. Elle sentit tout de même, installée à cette table, l'étouffant désir de ses compagnes, toutes proches, gonfler au fur et à mesure qu'elles se nourrissaient. L'influence de l'ile, de sa flore obsédante, était bien trop forte, bien trop poignante, même pour une combattante du calibre de la première année. Ses pensées, de plus en plus entêtantes, mettaient son sang froid légendaire à rude épreuve.
Si elles n'avaient pas eu les mains occupées, Rini en aurait sans doute profité pour s'octroyer un peu de plaisir solitaire sous la table.
Mange, supporte, et surtout tâche de faire comme si de rien n'était.
A court terme, cette stratégie paraissait plus ou moins viable. Mais ça c'était avant que la présidente, après avoir bien mangé, prenne place sur les genoux de Makana et colle son corps contre le sien. Leurs paroles et leur baiser arrachèrent un terrible frisson d'excitation à celle qui ne put s'empêcher de les observer tour à tour.

- Je m'occupe de la vaisselle !

Une excuse bien pratique pour se défiler face à cette situation fichtrement torride !
Rini débarrassa donc la table, battant en retraite jusqu'à l'évier. Outre cette chaleur qui émanait de son corps, elle sentait que ses jambes avaient perdu en légèreté. Elles n'en étaient point au stade de flageoler, certes, mais jamais la jeune femme ne s'étaient sentie aussi maladroite sur ses appuis. Dans son dos, les bruits de bouche se multipliaient.
La lycéenne ferma les yeux, expirant fort par le nez.
Concentre-toi sur ta mission, Rini.
Elle résistait vaillamment aux multiples signaux que lui renvoyaient son corps. Sa poitrine, devenue encore plus sensible que d'habitude, la titillait là où ses joues avaient commencé à flamber. Le long de ses cuisses, c'était pire encore : Rini avait beau les serrer, l'humidité que son intimité produisait y glissait inévitablement.
Si jamais l'une d'entre elles vient à m'approcher dans cet état...
Elle succomberait à la tentation. C'était sûr !
Mais en attendant, l'eau que crachait continûment le robinet faisait barrage aux sons environnants. De quoi accorder un répit salvateur à la presque prude jeune femme dont la vaisselle occupait généreusement les mains. Rini frotta comme jamais elle n'avait frotté, menaçant de poncer les ustensiles de cuisine au lieu de les nettoyer ! Elle dut produire de remarquables efforts pour ne pas jeter de fréquents coups d'œil par-dessus son épaule, là où Shehtra et Makana s'adonnaient à une fiévreuse passion.
Je ne dois pas les déranger avant d'en avoir terminé. Pas encore, non ! Je suis résiliente ; je peux résister, et je...
Inconsciemment déporté entre ses propres cuisses, sa dextre avait abandonné son travail pour en dénicher un beaucoup plus attrayant.
Non. Que dalle ! C'est fichu. Rien ne va plus...
Elle coupa le robinet, sa main gauche lui servant alors d'appui contre l'évier.
Au moins avait-elle bien avancé la vaisselle.
Un bel effort de guerre.

[Shehtra Gonas]

Naturellement, vu qu'elle a appris qu'elle est depuis 4 ans et pas 4 mois, c'est normal qu'elle demande des nouvelles du lycée, et naturellement on répond aux questions. Bien sûr, on lui a parlé de ses potes avec qui elle jouait à cache-cache exhibitionniste, et j'ai dit ce qui s'est passé depuis mon arrivée. L'ambiance n'a pas changé, mais depuis mon arrivée, le respect de certaines règles est maintenant là. Au début, c'est que moi qui me démerde, et d'autres types veulent m'aider. J'avais pas encore formé de groupe pour ça, car c'est que quand je suis en milieu de 2e année que c'est fait. Du coup, on lui a parlé de nouveaux profs, et il y a pas eu tant que ça, et pour ses parents, on les a jamais vus, mais on s'est doutés qu'ils ont eu l'impression que le monde s'est effondrée, et donc il faut absolument qu'on sorte pour qu'on te ramène.

D'ailleurs, Makana se doute que je suis déjà dans cette ambiance de luxure. On dit que c'est que 3 ans à passer, mais ça a déjà largement eu le temps de m'impacter, et c'est pas non plus un truc dont j'aurais honte. Je suis une Ange Noire, mais personne ne le sait, pour l'instant ! Du coup, mon envie était grandissante, et puisque je l'ai acceptée et que Rini sait que je suis impulsive, il fallait bien que ça arrive que je me jette sur celle qui est plus encline à baiser, à savoir Makana. Pas le temps de s'installer, j'ai plus aucune raison de me retenir.

"Hé hé hé ! L'Ange Gardienne est une ange impulsive !"

En tout cas, elle n'a aucune raison de me repousser, au contraire, elle répond favorablement au baiser en le prolongeant, alors qu'on se frotte le corps et la chatte en gémissant de plaisir, les gémissements étouffés par le baiser. D'ailleurs, elle me prend les fesses et commence à titiller mon trou du cul. Alors que moi je la serre encore plus sur la chaise en me frottant plus rapidement contre elle, rendant le baiser plus fiévreux et sauvage.

On passe un petit temps à se frotter la chatte, sans s'arrêter, jusqu'à ce qu'on finisse par rompre le baiser pour jouir un bon coup. Après ça, je reprends mon souffle avant de regarder Rini, qui a cédé à la tentation de se doigter tellement l'ambiance et notre baise ont agi sur elle. Aucun moyen pour elle d'y résister, autant résiliente soit-elle. Je regarde ensuite Makana avec un petit sourire.

"On l'aide à jouir ?"

Je lui vole un petit baiser avant de me relever, m'approchant de Rini par derrière avant de la prendre pour la relever et lui prendre un nichon, la forçant à se coller contre moi alors que je lui regarde le visage.

"Alors, c'est pas facile quand tout te donne envie de baiser, hein ?"

Je masse le sein que j'ai pris et met la main libre entre ses cuisses, la carressant à la place de sa propre main. Ca fait un effet différent que quand on se doigte soi-même.

"Si ça peut te rassurer, moi aussi j'ai essayé de résister quand j'étais en 1re année, mais au bout d'un moment, il faut juste pas chercher à y résister."

Je dis ça alors que j'approche mon visage du sien pour l'embrasser, de manière un peu plus douce car je me doute qu'elle n'a pas beaucoup d'expérience au sexe, alors autant y aller plutôt doucement.

"Et puis, à Uatis, la baise est prédominante. C'est un pays rempli de nymphos complètement assumées. C'est pas un hasard si elles ont voulu installer des trucs ici."

Et pendant que j'explique, je commence à doucement insérer deux doigts dans sa chatte, en massant bien le nichon, embrassant son cou pour lui donner encore plus envie.

[Makana]

Shehtra était donc une impulsive. Mouais, plutôt léger comme argument. Si c’était le cas, elle lui aurait sautée dessus bien avant. D’ailleurs, elle continua de lui rouler des pelles baveuses en remuant son intimité contre la sienne, leur clito se heurtant à intervalle régulier, délivrant des décharges de plaisir chaque fois plus intense que la précédente. Mais au vu de sa frénésie, on était en droit de se demander qui des deux ne pouvait plus se retenir, si bien qu’il ne fallut qu’une demi-douzaine de minutes pour les amener à l’orgasme, qui s’avéra des plus copieux, chacune expulsant abondamment sa mouille contre l’autre.

– Haaa putain…. T’es comme ça tout les jours, ou ce soir c’est spécial ?

– On l’aide à jouir ?

Sans lui répondre, Shehtra se leva pour rejoindre Rini qui se caressait devant l’évier, laissant la basanée affalée sur sa chaise, encore couverte et dégoulinante de cyprine. Normalement, l’aphrodisiaque dans l’air n’est pas aussi puissant, si ? Est ce qu’elle était comme ça elle aussi les premiers jours, avant que son organisme ne s’y habitue ? Makana ne s’en souvenais plus, mais il lui semblait pourtant bien qu’il lui fallait une bonne demi-heure de plaisir intime avant de jouir… et pas 5min à tout péter.

Le temps que Makana ne se lève pour les rejoindre, Shehtra était déjà en train de l’embrasser tout en la doigtant d’une main et lui pétrissant un sein de l’autre, contre le comptoir de cuisine. La basanée ne pouvait pas vraiment l’aider à jouir dans cette situation.

– Installez vous dans la banquette au moins, j’vais finir la vaisselle en attendant.

Une fois ses deux camarades mieux installées, elle put rallumer le robinet et finir le travail entamé par la plus jeune. Cinq minutes après, elle pu les rejoindre, Shehtra étant assise avec Rini sur elle. S’accroupissant devant les deux filles, elle approcha son visage de son entrejambe et commença à lécher l’intimité de la moins expérimentée des trois, explorant chaque recoin externe comme interne, changeant sa vitesse et l’angle d’attaque selon les réactions de Rini, mais surtout, en faisant durer son plaisir.
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[Rini Koken]

Piégée par son plaisir solitaire, la première année oublia momentanément son environnement. Elle ne prêta aucune attention à l'interruption plus que suspecte des bruits humides, cinq minutes plus tard, dans son dos. Pas plus qu'elle n'entendit la présidente approcher de l'évier. En revanche, elle sursauta à son contact, lorsque l'ange impulsive referma ses mains sur ses bras pour la forcer à lui faire face.

- Je n'étais pas du tout en train de... euhm...

Réaction stupide !
Elle évita son regard. Pas bien longtemps, car cette étouffante proximité couplée à cette main pressée contre l'un de ses seins la rappela très vite à la réalité des choses. Gênée, Rini libéra un gémissement et ancra ses prunelles dans ceux de la séduisante présidente.

- Pas facile du tout, avoua-t-elle d'une voix qui lui paraissait minuscule.

Shehtra alla plus loin encore, intensifiant son massage mammaire autant qu'elle contribuait à son plaisir un peu plus bas. La première année soupira lourdement, son corps plus embrasé que jamais. Elle s'appuya sur l'épaule de son ainée, qui ne faiblissait pas d'un chouïa.
Bon sang ! Elle n'y va pas avec le dos de la cuillère.
Mais Rini ne pouvait point nier l'évidence : ses lèvres entrouvertes exposaient son plein plaisir. Son souffle chaud caressait une oreille de la troisième année, qui dut la redresser pour l'embrasser en retour.

- Hmnnn ?!~

Moins brute qu'avec ses caresses, Shehtra fit les choses bien. Un partage humide que la pugiliste apprécia à sa juste valeur, ses jambes se resserrant doucement sur cette main chaude qui la frottait énergiquement.
Après s'être écartée de ses lèvres, la présidente lui expliqua les mœurs de la région d'Uatis - soit énormément d'échanges comme celui qu'elles étaient en train de vivre.

- J-je... je vois... hhnnn.

En sentant les doigts de la présidente entrer en elle, Rini s'était contractée sur place. Crispation passagère puisqu'elle se détendit une bonne poignée de secondes plus tard, son intimité ouverte et ruisselante alors que les phalanges de l'ange y coulissaient par petits mouvements de va-et-vient. Tandis qu'elle se faisait embrasser dans le cou et pétrir le sein, la première année libéra plusieurs soupirs au plafond.
Ses jambes menaçaient de se dérober sous elle quand Makana leur suggéra à toutes les deux de poursuivre leur expérience sur une banquette. Rini profita de cet intermède pour saisir le poignet de la présidente et lui déloger sa main.

- Elle a raison, parvint-elle à souffler.

Elles ne se séparèrent point, rejoignant main dans la main un endroit où s'asseoir.
Makana en profita pour terminer le travail initié par Rini alors que cette dernière subissait derechef les attouchements fiévreux d'une ange effectivement impulsive.
Mon dieu ! Ça y est : je ne pense plus qu'à ça.
Sous les bons soins de la présidente, Rini grimaça d'un plaisir débridé. Installée sur les cuisses de Shehtra, ses propres cuisses bien écartées, la première année gémissait sans plus aucune retenue. Elle était secouée de petits spasmes à chaque fois que les doigts de l'ange s'aventuraient un peu trop loin dans son puits. Les sensations étaient fortes. Rini, le cœur battant à tout rompre, avait la franche impression qu'on la soulageait d'un poids considérable. Elle n'osait imaginer le résultat une fois qu'elle aurait joui sur cette main... qui laissa finalement place à une langue tout aussi experte et délicate. Celle de Makana, qui en avait vraisemblablement terminé avec la vaisselle.
En la regardant faire, la première année s'empourpra davantage.
Merde ! C'est... encore meilleur que je me l'étais imaginé.
N'y tenant plus, Rini accepta entièrement son sort. Capitulation marquée par l'apposition de sa main droite sur la brune chevelure de l'affairée. La lycéenne se surprit d'abord à lui caresser la tête, avant d'exercer une légère pression dessus comme pour lui en demander davantage. Parce que cette langue habile n'était pas dépourvue d'expérience. Parce qu'elle lui prodiguait un irrépressible plaisir en voyageant partout, en la découvrant, elle et ses points faibles. La première année, toute gémissante, ne mit guère longtemps à encaisser cette merveilleuse débauche. Prise dans le feu de l'action, emportée par une impossible vague de bien-être, elle se cramponna à la tête de la basanée et jouit sur ses lèvres autant que le lui permettait son corps en ébullition. Cette "explosion" de bonheur lui fit un bien fou au point qu'au moment de se tendre vers l'arrière, Rini manqua ficher un coup de boule dans le nez à la présidente sur laquelle elle était assise. Enfin, le souffle court, les bras ballants et les jambes trempées, elle s'affala sur cette dernière.

- Hufff.... hufff... Aaaah... merci, les filles... (Elle dut ravaler sa salive.) C'est...

Elle s'interrompit pour trouver le bon mot. Ce qui, dans son état, prit un peu plus de temps que dans des conditions plus favorables.

- ...Libérateur~

En tournant la tête, la pugiliste croisa le regard de l'ange. Elle mit beaucoup moins de temps à oser l'embrasser qu'à réfléchir au choix de ses mots. Baiser qu'elle savoura les yeux fermés.

Malgré ce début de fatigue, la première année se sentait toujours aussi chaude et disposée à les accompagner toutes les deux dans cette épreuve. Car en leur précieuse compagnie, Rini apprendrait mieux que jamais à satisfaire l'autre. Dans cette optique et à titre d'exemple, elle espérait bien offrir à Shehtra ce que Makana lui avait enseigné avec méticulosité.

[Shehtra Gonas]

Okay, on va attendre un peu Makana, mais ça ne m'empêche pas de la doigter comme il faut. Mais sinon, Rini tente de se mentir à elle-même, ça sert à que dalle. Elle a évité mon regard avant de le reprendre. En tout cas, elle aime ça, et même si je peux pas dire que c'est évident, ça se voit. Elle est surprise de mon baiser, mais elle s'y fera, il y aura pas de problème. Je sais plus qu'elles, c'est sûr, et je suis dans les moeurs d'Uatis, malgré le fait que j'ai rien contre les mecs. Rien du tout, mon daron représente pas tous les mecs, il y a qu'à voir Oncle Pit.

D'ailleurs, Makana suggère de s'installer sur la banquette, et je hoche la tête avec le sourire.

"Okay !"

J'enlève les doigts de sa chatte et de son sein pour lui prendre la main pour s'asseoir sur la banquette, tout en incitant Rini à s'asseoir, ses cuisses écartées pour que je puisse mieux la doigter, et donc je mets deux doigts dans la chatte pour la doigter bien comme il faut, et j'en profite d'ailleurs pour me pencher en prenant le sein opposé à ma main pour le mettre dans la bouche histoire de le sucer, tout en la regardant avec le sourire... puis j'entends du bruit de pas, et vu qu'il y a que Makana, je relâche le sein pour regarder plus bas, en direction de Makana, enlevant les doigts de sa chatte pour les écarter, histoire qu'elle puisse bien la lécher. C'est son premier cunni, ça se sent. Je redresse mon dos pour poser ma tête contre son épaule, tout en regardant Rini, et je commence à mettre le pouce sur son clito pour le masser.

Elle finit par jouir sur la bouche de Makana. Ca fait longtemps que Makana n'a rien eu d'érotique dans la bouche, à part des godes. En tout cas, Rini se tend tellement qu'elle aurait pu me foutre un coup de boule que j'aurais de toute façon encaissé sans le moindre problème. Elle s'affale finalement sur moi, sa tête complètement embrumée, cherchant les mots, avant de m'embrasser, et je prolonge le baiser tout en mettant ma langue dans sa bouche pour caresser la sienne. Je relâche la chatte de Rini et caresse son ventre.

"De rien, ma belle. Je sens que tu veux rendre la pareille, hein."

Je l'incite à se lever et j'écarte moi-même ma chatte avec un petit sourire et un regard de braise envers Rini, puis envers Makana.

"Makana, peut-être que tu veux être à côté de moi."

Après tout, Makana est déjà dans la débauche, alors que Rini vient de céder. Je lui laisse une petite place à côté de moi, et libre à Rini de lécher qui elle veut, voire de lécher nous deux en même temps, si elle veut.

[Makana]

Après seulement 4 mois sans sexe — de son point de vue — Makana était pleinement heureuse, léchant avec gourmandise ce coquillage grand ouvert dégoulinant lui aussi de bonheur. Sans doute était-elle devenue complètement nymphomane, entre l’absence de partenaires sur l’île et l’air saturé d’aphrodisiaques. Mais en l’état, elle pourrais très bien couchée avec ces deux filles pendant des heures, maintenant qu’elle était lancée. Et si Shehtra l’était autant qu’elle, Rini allait très certainement finir profondément dépravée avant leur départ.

Quoi qu’il en soit, la basanée se régalait du nectar de cette belle fleur rose, explorant celle-ci dans chaque recoin et en profondeur, insistant sur son point sensible lorsqu’elle le découvrit enfin. Elle heurta plusieurs fois son hymen et se demanda combien de temps allait-elle le conserver avant de perdre sa virginité. Mais à peine sa question formulée que la jeune fille se prit le tout premier orgasme de Rini en pleine poire, et se dépêcha de sceller ses lèvres sur l’intimité pour s’abreuver de son jus abondant, en conservant toutefois une partie.

– Hufff.... hufff... Aaaah... merci, les filles... C'est... Libérateur

La première année fut légèrement poussée en avant pour permettre à Shehtra de se repositionner après avoir partagée un nouveau baisé avec celle-ci. La basanée le voyait, leur regard à toute deux était chaud comme la braise. On pouvait même voir une légère vapeur s’échapper de leur épiderme, ce qui ajoutait un peu de surréalisme à la débauche.

– De rien, ma belle. Je sens que tu veux rendre la pareille, hein ? Makana, peut-être que tu veux être à côté de moi.

Mais dans l’immédiat, Makana avait une autre idée en tête, s’approchant du visage de la novice pour l’embrasser langoureusement durant une bonne minute en lui caressant les hanches, avec en bonus le partage de sa propre mouille, lui permettant donc de goûter à son délicieux nectar. Une fois que la première année fut bien imprégnée, elle se retira un peu, avec un doux sourire.

– J’ai une meilleure idée, pour que Rini puisse comparer notre nectar au sien ~

Relâchant les hanches de la susmentionnée, Makana s’approcha de Shehtra, l’embrassant de nouveau en la faisant basculer, l’allongeant dans la longueur du canapé. Elle se redressa ensuite au dessus d’elle, l’attrapant par les chevilles pour relever ses jambes et les replier, avant de venir s’installer en lotus au dessus d’elle, pliant ses propres jambes contre ses flancs. Ainsi leur intimité était l’une au dessus de l’autre, leurs clitoris au contact. Il n’y avait qu’à remuer d’avant en arrière pour se donner du plaisir.

– Comme ça, tu vas pouvoir savourer nos coquillages et nous doigter à tour de rôle ~

Puis, se concentrant de nouveau vers son amante, la basanée lui offrit de nouveau un langoureux baisé, ne comptant pas se détacher de ses lèvres avant leur orgasme.

[Rini Koken]

L'expression et l'appétit pervers de Makana ne lui échappèrent aucunement, mais que pouvait y faire Rini dans son état ? La retrouvée était devenue soudain trop attirante pour qu'elle puisse lui résister. Trop pour qu'elle puisse lui dire "non", ou même prétendre qu'on ne lui avait pas transmis cette faim lubrique. Le piège s'était refermé sur la première année, qui était désormais prête à tout pour participer à leurs ébats.
Shehtra, en l'occurrence, avec ses jambes écartées, l'invitait ostensiblement à lui brouter le minou.
Mais Makana, elle, sauta l'étape de la demande pour venir plutôt directement embrasser Rini. Cette dernière manqua tomber à la renverse alors que leurs langues dansaient l'une contre l'autre dans son propre "nectar".
Un baiser qu'il s'acheva sur un petit claquement humide.
Un moment, Rini resta plantée là, sans voix, les lèvres entrouvertes avec son propre goût intime de collé sur la langue.
Alors ça, c'était franchement osé.
Par réflexe, elle s'essuya la bouche d'un coup de poignet... avant d'y appliquer sa langue.
Ce qui ne valait définitivement pas le contact de celle de Makana, laquelle lui manquait déjà.

La basanée prit alors les rênes de leur émoustillant plan à trois. Elle s'attaqua à la présidente, l'embrassant tout en la faisant s'allonger sur le canapé. Là, la trépignante coquine plia les jambes de Shehtra avant de les coincer avec les siennes. Leurs intimités ainsi rapprochées, les deux étudiantes offraient ainsi une indécente vue en miroir à la néophyte.
Makana tenait à ce qu'elle y participe. Elle y alla de son invitation orale, puis plongea sa langue parfumée dans la bouche de l'ange gardienne.
Une sacrée soiffarde, songea la première année, sans vilaine pensée, en les regardant se bécoter avec force passion.
Rini n'alla pas chercher midi à quatorze heures. Ses deux partenaires avaient aimanté son attention. Elle prit donc place derrière elles, afin de toucher - d'abord tout doucement - leurs lèvres intimes. Moites et gluantes, ces dernières ne la rebutaient pas ; elles avaient plutôt pour effet d'accroître sa propre excitation, notamment son souffle chaud.
J'ai presque l'impression d'avoir attrapé la fièvre.
Elle se passa le dos d'une main sur le front, y récoltant de sa sueur qu'elle n'avait jamais sentie aussi grasse.
Rini ne s'en rida point et, de ses doigts, réaffirma le contact avec les vulves en train de se frotter. Elle fut étonnée de les sentir aspirer aussi facilement.
Visiblement, Shehtra et Makana avaient dépassé le stade de la simple chaleur.
Avant d'oser enfoncer, tour à tour, ses doigts plus loin en elles, la première année se passa la langue sur les lèvres.
Si je dois m'abreuver de leur nectar ? Humpf ! La question ne se pose même plus...
Renonçant à toute dignité, la justicière de la nuit se mit à leur lécher les parties comme un petit chien. Tout en insérant ses doigts dans une fente trempée, elle enchaîna les simples léchouilles le long de sa voisine. A force d'inverser ce succulent schéma, Rini gagna en audace et, de sa langue, fourailla scrupuleusement dans les puits juteux de ses amantes.