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Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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La forteresse de Kaer Morhen était désormais en vue pour la petite troupe, composée d'une dizaine de personne qui s'en s'approchait de plus en plus. Parmi ces villageois issus d'un bourg situé à quelques heures de marche, se trouvait la somptueuse Margaux qui venait tout récemment d'atteindre l'âge adulte. Elle était terrorisée à l'idée d'entrer dans cette forteresse maudite, car elle savait qu'elle n'en reviendrait jamais, mais était aussi consciente des forts risques de vengeance du seigneur local si elle n'y allait pas.
Le Baron William Spitzer régnait depuis longtemps sur ces contrées enclavées et montagneuses, difficiles d'accès, mais riches en minerais et avec assez de plaines coincées dans une vallée pour nourrir la population locale. Malgré les proliférations régulières de monstres dans ces zones tout de même densément boisées, la vie des locaux aurait pu être pire, du moins jusqu'à environs une dizaine d'années. Un loup-garou avait alors élu domicile dans la vallée, et terrorisait les habitants locaux. Sire Spitzer avait alors mené une grande battue pour tuer la bête, qui s'était soldée par une victoire coûteuse. Le loup-garou était effectivement mort, mais toute la garnison de Kaer Morhen y était passé, et le baron ne s'en était tiré que de justesse, mais surtout, s'était retrouvé affligé de lycanthropie qui n'avait pas tardée à se manifester.
Depuis, la forteresse était globalement à l'abandon, seul le loup-garou y vivait, mais avait conservé assez de lucidité pour diriger d'une main de fer sa baronnerie. Les choses s'étaient donc dégradées et améliorées dans le même temps. Si il demeurait seul, le Seigneur Spitzer semblait à lui seul lutter contre toute apparition de monstres ou de bandits sur son territoire, mais depuis qu'il était changé, il exigeait un sacrifice annuel d'une jeune femme vierge, qu'on ne revoyait ensuite plus jamais.
Pareil sacrifice avait été mal accepté par la population, qui avait une fois tentée de prendre d'assaut la forteresse. Las, il n'y avait pas grand chose qu'une troupe de paysans armés d'outils pouvait faire contre un loup-garou. Les morts avaient été nombreux, le Seigneur était ensuite retourné au bourg pour y exposer les carcasses déchirées de ceux qui avaient tenté de le tuer, en hurlant aux reste des habitants que leur prochaine révolte serait aussi la dernière.

Depuis, aucune autre tentative n'avait été refaite, le message avait été clair. La seule raison pour laquelle Margaux était accompagnée de villageois armées était pour l'escorter. Même si la prolifération de monstres n'avait jamais été aussi basse que ces dernières années, tout danger n'était pas à écarter dans ces profondes et anciennes forêts, et le Chaperon Rouge se devait d'arriver à destination. L'air avait été pesant durant toute la durée de la marche, pas un seul mot échangé, les paysans étant déchirés de laisser partir encore une des filles du bourg, tout en sachant pertinement que refuser n'était pas une option. Ils laissèrent Margaux ensuite rentrer seule par l'entrée principale de Kaer Morhen, avant de rebrousser chemin. La jeune femme arriva donc dans la grande cour principale, d'où un silence pesant émanait. Il n'y avait aucune forme de vie évidente ici, même les oiseaux semblaient se tenir à bonne distance de ce lieu car elle n'en entendait plus les chants.

Mon Seigneur...Je suis arrivée...

Sa voix était tremblante, car elle était bien consciente que ses derniers instants étaient sur le point d'arriver...

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Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Demande de RP
William Spitzer était le puissant baron de cette région, le seigneur local. Une région difficile d’accès, cernée par d’épaisses montagnes, et dont la voie principale de la vallée longeait la solide Kaer Morhen. Une immense forteresse bâtie à flanc de montagne, le siège d’une antique commanderie qui s’était jadis installée ici. La vallée forestière avait depuis été investie, des villages avaient été édifiés, elle vivait du commerce du bois, de la chasse, de l’agriculture, de la pêche… Mais la vallée était aussi dangereuse. La magie y était présente, ainsi que les monstres, très nombreux.

Héritiers du Commandeur qui avait fondé Kaer Morhen, les Spitzer régnaient depuis toujours d’une main de fer sur leur baronnie. William n’avait pas dérogé à la règle. Il avait traqué des brouxes, des alpyres, des graveirs, brûlé vif des sorciers, et était connu pour la sévérité avec laquelle il rendait justice. Mais, depuis plusieurs années, la légende du Baron Rouge s’était encore accrue. Spitzer avait mené une battue contre un Lycan qui avait attaqué et massacré un hameau d’agriculteurs, laissant derrière lui plus d’une dizaine de morts. Il avait tué les deux familles qui y vivaient, en les dévorant. William avait traqué ce monstre abominable jusque dans sa grotte, et un combat terrible en avait jailli. Ses hommes avaient été tués, et il s’était même adjoint l’aide d’un sorceleur, qui avait également été tué contre le monstre. Le sorceleur avait néanmoins suffisamment blessé cette bête pour que William Spitzer lui porte l’estocade finale, plantant sa lame en lui, tandis que le monstre l’avait violemment mordu au cou, tout en lui ouvrant le ventre.

William Spitzer était mort ce soir-là. Mais le Lycan, en mourant, l’avait contaminé. Nuit de pleine lune, William s’était réveillé le lendemain matin, dans son château, après avoir massacré de nombreux serviteurs. Il avait alors compris que la rage du Lycan était en lui. Spitzer s’était alors rapproché de magiciens, mais aucun traitement n’avait fonctionné. Quand il se transformait, il devenait incontrôlable, alors il s’enfermait dans des cages, dans les profondeurs de son château.

Sa situation aurait pu en rester là quand, un jour, une prêtresse d’Aphrodite lui avait offert la solution. Elle avait utilisé un mutagène qui permettait à Spitzer de reprendre conscience tant que le désir sexuel l’animait. Elle lui avait appris à s’éveiller, et il avait baisé celle-ci. Cependant, le mutagène nécessitait d’être réactivé, et, pour apaiser la fureur de la Bête, il fallait le sang d’une vierge, son hymen sur sa queue pendant un rituel qu’il avait appris à maîtriser.

*C’est l’heure…*

Les villageois avaient déjà tenté de le tuer. William les avait tués. Depuis lors, Kaer Morhen était vide, il n’y avait que lui. Tous les ans, il avait ordonné aux villageois de lui sacrifier la plus belle fille de la région, une vierge. Certains avaient naturellement tenté de s’enfuir pour prévenir les autorités royales, mais on avait retrouvé leurs corps massacrés et leurs têtes arrachées plantées sur des pics.

Depuis les hauteurs, William observait la scène. Il était désormais en permanence un Lycan. Il continuait à traquer et à tuer les monstres, avec une efficacité sans pareille, et jaugea de haut le groupe amenant sa promise, recouverte d’un long voile rouge. Il sentit son cœur battre doucement la chamade, tandis que, au milieu de sa toison de poils, sa terrible verge se durcissait déjà.

« On… On ne peut pas aller plus loin, Margaux, je suis désolé… »

Les villageois étaient menés par un homme qui était amoureux de Margaux, Gaston. Ils auraient dû se fiancer quand le Conseil avait décidé de choisir Margaux. Gaston avait été effondré, mais tous se rappelaient de ce qui s’était passé quand un village avait refusé. Spitzer avait attaqué le village, et avait tué la majeure partie de ses habitants. La rage de sang l’avait envahi à nouveau. Depuis lors, ils obéissaient donc.

Gaston se rapprocha de Margaux, et la toucha à l’épaule. William siffla furieusement, et vit Gaston l’embrasser brièvement.

« Je ne t’oublierai jamais, Margaux, jamais… »

Des corbeaux croassèrent alors, et les autres commencèrent à paniquer. William s’avança sur le balcon de sa demeure, à plus d’une trentaine de mètres. Il portait une cape défroquée, et poussa un rugissement terrifiant. Les hommes hurlèrent, tombèrent à la renverse, puis William bondit depuis son balcon.

Une chute vertigineuse qui l’amena à atterrir bruyamment devant Margaux, repliant dans la foulée sa capuche, et la faisant tomber sur les fesses. Sonr égard acéré croisa celui de Gaston.

« TOI ! rugit-il. Tu as posé tes lèvres sur ma promise !
- J-Je, Monseigneur, jamais je ne… »

William grogna alors, et rugit, un cri terrifiant, surhumain. Gaston se mit à courir à toute allure, tandis que la jeune Margaux se retrouvait entre les jambes de Spitzer… Ce dernier avait retiré sa cape, et renifla alors le parfum de la femme.

« Relève-toi, femelle, et dis-moi comment tu t’appelles. »

Il attendit qu’elle s’exécute, et commença à renifler son creux du cou. Ses mains écartèrent ensuite les pans de son manteau, et il frémit en voyant ses délicieuses formes.

« Cet humain… Est-ce qu’il t’a déjà vu nu ? Est-ce qu’il a fait autre chose que t’embrasser ? A-t-il posé ses mains sur ton corps ? Si tu mens, sache que les conséquences seront terribles ! »

Tandis que Spitzer parlait, sa verge avait commencé à se déployer, et caressait le bas-ventre de la jeune femme, un phallus rose et puissant qui ne demandait qu’à se déployer…
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Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Après le bref baiser que Gaston lui fit, auquel Margaux ne s'était absolument pas attendue, tout alla très vite. Elle entendit un hurlement de loup, qui était si fort et si profond qu'elle le sentit vibrer en elle, avant qu'une forme bipède, très grande, et couverte d'une fourrure noire, n'arrive dans leur direction.

*C'est lui...*

Margaux était tétanisée sur place, et en tomba même à la renverse en voyant la terrible créature s'approcher, et hurler en direction de Gaston. Promise ? Si elle n'avait pas été présentement en état de choc, sans doute que la jeune femme aurait pu se questionner sur le choix de ce mot pour la désigner, elle qui était certaine de se faire tuer par le loup-garou. Mais cette vision était bien trop terrifiante pour qu'elle puisse réfléchir, ou même ne serais-ce que songer à fuir...pour ce que ça aurait pu servir de toutes façons.
Les hommes qui l'avaient accompagnée jusque dans la cour du château prirent donc leur jambes à leurs cous, laissant seule Margaux face à son Seigneur, qui la toisait d'autant plus de sa hauteur qu'elle se trouvait assise sur le sol. Il se rapprocha, délesté de sa cape qu'il portait, et instinctivement, le regard de Margaux se porta au niveau de l'entrejambe de la créature, où un fourreau couvert de fourrure, supporté par une paire de testicules évidente, se trouvait. Elle frissonna quand il lui parla, sa voix était si grave qu'elle avait l'impression de sentir les os de son corps vibrer quand il parlait, et il lui ordonna de se relever.

O-oui Seigneur...J-je m'appelle M-Margaux...

Elle se mit debout face à lui, et le Seigneur Spitzer continuait ainsi de la toiser en ayant une bonne hauteur de plus qu'elle, tellement qu'elle n'osait croiser son regard. Il approcha son museau de son cou, la reniflant. Margaux serra la poings tout en fermant les yeux, persuadée qu'il ne faisait ça que pour sentir l'odeur de sa chair avant de planter ses crocs dans son cou pour la tuer, puis la dévorer. Les coups de crocs ne vinrent toutefois pas, elle frémissait en sentant l'air chaud émaner de ses narines contre sa peau, ainsi que le contact humide de sa truffe, puis elle sentit sa longue cape rouge lui être brièvement écartée pour qu'il constate qu'elle portait bien en dessous son habit pour l'occasion. Il lui posa alors des questions, ce qui l'étonna, pourquoi cherchait-il des réponses si il comptait la tuer ?

N-non mon Seigneur...je...j'ai été surprise, mais je vous jure que rien d'autre que ça ne s'est passé !

Elle était bien trop intimidée pour ne serais-ce que songer à mentir. En bonne pratiquante, elle s'était bien évidemment strictement réservée pour après son mariage, et n'était jamais devenue intime d'une quelconque façon que ce soit avec un homme.

P-pitié Messire je...j'ai si peur...est-ce que vous...v-vous aller me t-tuer ?

Elle était trop appeurée pour se rendre compte que le loup-garou ne comptait pas faire ça.

Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Que Margaux pense qu’il veuille la tuer était tout à fait normal, Spitzer avait travaillé sa réputation là-dessus. Même à l’époque où il était un simple humain, il était un seigneur très exigeant, qui régnait par la fermeté et par l’autorité. Face à la question de la femme, les narines du Lycan soufflèrent fortement, faisant remuer les longs cheveux blonds de Margaux. Spitzer se rapprocha donc d’elle, et frotta ses cheveux avec sa truffe, reniflant son odeur, puis lécha le creux du cou de la femme. Il la sentit se crisper, et continua à lécher, s’attardant sur l’oreille de la jeune femme.

« Tu sens bon, femelle… Margaux. »

Spitzer se redressa alors. Il observa que la femme portait des bottes rouges à talon. Spitzer se pencha alors sur elle, et la prit dans ses bras. Il la porta finalement.

« Le sol est boueux, Margaux, je ne voudrais pas que tu salisses cette belle tenue… »

De quoi la surprendre encore. Il la faisait un peu mariner. Tout en marchant, la jeune femme pouvait voir que les cours intérieures de Kaer Morhen comprenaient des enclos avec des porcs, ainsi qu’un poulailler. La nourriture locale du Lycan, assurément, ainsi que des carcasses de monstres qu’il ramenait ici pour les manger. On pouvait voir ici et là ders traces de feu et des os de bêtes noircis.

« Quoi, tu penses que je veux te manger ? Tu as vu comme tu es maigre… Si je voulais te manger, je demanderai le plus gras de vos villageois. Non, je ne vais pas te manger, ni te tuer. Tu es bien trop belle pour ça. »

Ils rejoignirent le grand hall de Kaer Morhen. Un grand feu brûlait dans l’âtre de la cheminée, et il y avait une énorme table de banquet en bois. Spitzer reposa la jeune femme au sol, et marcha un peu. Il avait préparé une corbeille de fruits, et lui tendit une pomme. Des fruits qu’il avait ramassés autour de son château. Il savait qu’elle était nerveuse, elles l’étaient tous.

« Tu disposes d’une chambre à l’étage, parfaitement entretenue. Il est capital pour moi que tu sois vierge, Margaux. J’ai besoin de te faire l’amour et que ton sang virginal soit utilisé pour canaliser mes pulsions de rage. Tous les ans, je dois accomplir ce rituel. Ensuite, la femelle qui a copulé avec moi peut rester avec moi. Sinon, je lui offre le choix entre revenir dans son village natal, prendre le risque d’être considérée comme maudite et ostracisée, ou de l’offrir à une esclavagiste qui prendra soin d’elle, Mélinda Warren. »

Spitzer ignorait ce nom disait quelque chose à Margaux. Il se déplaça lentement, et s’assit sur un fauteuil, en attrapant un pichet de vin, qu’il but sans difficulté.

« Tu es très maigre, tu sais… Tu ne ferais pas une bonne fermière, avec un corps aussi fin. Mais ça te rend très belle. Je crois que tu es la plus belle des amantes que cette vallée ait pu m’offrir. Comme tu le vois, il n’y a pas de corps en décomposition ici, pas de crâne avec des cervelles… Ceux que je laisse dehors, c’est pour intimider les villageois, qu’ils ne fassent rien d’idiot. Mais toi, ma petite, tu as raison d’être nerveuse. Le rituel dont je te parle implique un certain consentement de ta part, ou le rituel ne fonctionnera pas, et je serai définitivement damné, transformé en monstre sauvage. Toi seule peux donc empêcher ça. »
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Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Margaux était terrifiée, mais pour une raison qu'elle ne pouvait pas s'expliquer, il n'y avait de toute évidence pas "que" ça. Le fait était que tout en lui parlant, le Seigneur Spitzer avec son incroyable carrure, était extrêmement proche d'elle, pour ne pas dire qu'elle était collée à lui. Il la toisait non seulement de par sa hauteur, mais aussi par l'amplitude de son corps en général. Et, si ce n'était pas la première chose qui lui traversait l'esprit en ce moment, Margaux avait bien remarquée que le loup-garou était pour ainsi dire nu, et que le grand fourreau contenant son sexe se frottait à elle.
Mais ce fût à ce moment autre chose qui monopolisait toute l'attention de ses sens, sentir sa grande truffe se fourrer dans ses cheveux pour les sentir, faisant qu'elle sentait aussi elle même le souffle chaud et puissant de la créature contre elle...et puis...et puis il lui lécha le cou.

Haaa...

Margaux s'était alors crispée naturellement, car elle cru bien que le coup de mâchoire allait venir, mais il n'en fut rien. Elle était tendue comme une corde de violon, mais sentit alors d'avantage de la bave, ainsi que la longue langue de son seigneur lycan glisser sur sa peau. Il déclara ensuite qu'elle sentait bon...puis il la prit dans ses bras pour la porter.

S-Seigneur...

Que dire ? Que faire ? Margaux ne s'était sincèrement pas attendue à survivre plus de quelques secondes après avoir rencontrée le baron, mais voilà qu'il la portait un peu comme un chevalier porterait sa dame, en déclarant qu'il ne voulait pas qu'elle salisse sa tenue. Elle le regardait alors avec de grands yeux étonnés, et sentait aussi toute la force qu'il avait dans ses bras musclés alors qu'il la portait sans aucun effort. Elle sentait aussi sa fourrure, son épaisseur, et son odeur bestiale qui émanait de lui de façon générale.

*Qu'est-ce qui se passe ?*

Il déclara alors qu'il ne comptait nullement la manger. Le croyait-elle ? Sans doute...qu'avait-il à gagner à lui mentir après tout ? Elle sentit même le rouge lui monter aux joues lorsqu'il déclara aussi qu'elle était bien trop belle pour être mangée. Elle se laissa donc porter en silence, se sentant doucement, mais sûrement redescendre de son état de panique de tantôt, jusqu'à ce qu'ils arrivent dans un grand hall où le lycan la déposa alors. Et puis, alors qu'il prenait place sur un fauteuil assez grand et solide pour le supporter, le Seigneur Spitzer leva une partie du mystère de sa présence ici.

L'-l'amour ?

Alors qu'il parlait, expliquant qu'il avait besoin de faire un rituel impliquant du sang de vierge, mais sans en sacrifier une, tout commençait à faire alors un peu plus de sens pour Margaux qui...se mit à rougit comme une des belles pommes qui se trouvaient non loin, mais qu'elle n'avait osée manger. L'importance du fait qu'elle soit vierge, mais aussi cette tenue qu'elle portait...
Il mentionna alors le fait qu'une forme certaine de consentement était nécessaire pour que ce rituel fonctionne, sinon, il perdrait la raison et deviendrait une bête sauvage.

Je...je vois, du moins je crois, mon Seigneur.

Avec une certaine prudence tout de même, margaux se rapprocha alors de lui qui était assis sur ce grand fauteuil comme un monarque sur son trône, mais il était bien plus impressionnant qu'un roi. Apeurée toutefois, elle commençait à ne plus l'être, car d'autres pensées commençaient à se bousculer dans son esprit.

*Faire l'amour avec un loup-garou...seigneur...*

A quel point étais-ce différent que de se dire qu'elle allait coucher avec un animal ? Peut-être Sire Spitzer s'en était-il rendu compte, mais en touchant, léchant, et en étant contre Margaux, cette dernière n'avait pas forcément ressenti que de la terreur...mais aussi une légère pointe d'excitation, bien que noyée sous la peur qu'elle avait ressentie.

P-pardonnez ma question mon Seigneur...mais si il n'y a personne d'autre que vous ici, cela veut dire que toutes les autres sont ensuite partie et que...peut-être n'ont elles pas été assez consentante. Si...si d'aventure je venais à être complètement consentante et que...je voudrais rester avec vous ensuite...est-ce que votre rituel serait alors plus efficace ?

Par tous les Dieux, ce qu'elle avait chaud. Elle était gênée bien sûr de poser des questions aussi osées, mais il n'y avait pas que ça elle...elle commençait vraiment à fantasmer sur le fait que cette créature si puissante, à la fourrure à la fois douce et chaude...fasse d'elle sa femelle...

Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Aucun risque qu’il la dévore. Spitzer avait été clair. Cependant, la perspective de coucher avec lui, une bête puissante et énorme, les effrayait toujours. Sa verge disproportionnée, son corps bestial et monstrueux… Il n’y avait en soi rien à craindre, car le coït se faisait dans le cadre d’un rituel, mais, si la femme n’était pas consentante, elle ne bénéficiait pas des protections magiques liées à ce rituel. La prêtresse d’Aphrodite qui lui avait conçu ce rituel appartenait après tout au culte d’Aphrodite, et le sexe consenti était le fondement de leur culte. Cela, Spitzer l’acceptait, mais il n’était pas vraiment un grand séducteur. Souvent, il les séduisait en les faisant lécher son sexe, car sa verge dégageait un puissant musc, qui stimulait les parties reptiliennes du cerveau, et excitait les femmes.

Il nota néanmoins avec surprise que Margaux ne sembla pas effrayée outre mesure quand il lui annonça clairement son intention de la baiser. Souvent, ses amantes pleuraient, hurlaient, priaient, se tétanisaient sur place, ou tentaient de fuir… Cela le surprit donc. Au contraire, il la vit rougir, tandis que le regard de la jeune femme glissait presque inconsciemment vers son entre-jambes. Le sexe de Spitzer n’était pas déployé en permanence, il était replié sous une sorte de poche de poils. Elle s’était même docilement rapprochée de lui, et lui demanda ce qui se passerait si elle restait ici, et si elle était « complètement » consentante. Spitzer souffla lentement, tout en étant quant à lui attiré par les longues cuissardes rouges de la Chaperonne rouge.

« Eh bien… Elles finissent toutes plus ou moins consentantes, mais, une fois l’excitation retombée, elles refusaient d’admettre leur désir pour moi. Si une amante devait rester… Je suppose que je n’aurai plus besoin de pratiquer ce rituel. »

Cela pouvait-il être vrai ? Spitzer était sceptique. Il ne pensait pas que Margaux accepterait vraiment de rester avec lui.

« Cela signifie aussi que tu porteras mes enfants. Tu vois sur la table ? Il y a une fiole blanche… Elle assure à mes amantes de ne pas tomber enceinte la nuit où nous faisons l’amour. Si tu ne la bois pas, il est quasiment certain que tu porteras mon enfant. D’après la prêtresse qui a façonné ce rituel, elle m’a dit que seul l’amour véritable pourrait mettre définitivement fin à mes crises de rage… Ce qui implique que la femme qui m’aime porte mes enfants, comme dans tout bon conte de fées. »

Spitzer se tut pendant quelques instants, avant de se redresser. Sa main glissa sur la joue de la femme, et son pouce frotta ses lèvres. Il pouvait rétracter ses griffes, ce qui fit qu’il put enfoncer son gros doigt entre les lèvres de Margaux, pour qu’elle le suçote.

« Tu es la première qui ne semble pas effrayée à cette idée. Est-ce que… Est-ce que tu envisages déjà de porter nos enfants ? »
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Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Il s'agissait d'un mixte entre différentes émotions, qui poussa Margaux à avoir cette réaction qui, effectivement, n'allait sans doute pas manquer de surprendre le Seigneur Spitzer. Il y avait tout d'abord le soulagement d'apprendre qu'elle n'allait pas finir dévorée par le lycan, malgré tout ce qu'elle avait pu entendre et croire jusque là, ce qui était mine de rien une part assez importante du fait qu'elle pouvait, en contrepartie, sembler plus ouverte à d'autres options que celle qu'elle avait tant redoutée. Il y avait aussi cette ambiance pour le moins...bestiale et primale, comme si Margaux avait instinctivement sentie, dès que le Seigneur Spitzer avait commencé à la toucher et à la lécher, que ce dernier comptait s'accoupler avec elle...et...c'était une chose à laquelle, même si elle en était gênée, Margaux n'était pas indifférente. Comment être indifférente en effet, à sa carrure qui faisait qu'il la toisait aisément en hauteur, à ces muscles si saillants qui en faisaient une créature aussi forte que rapide. Et puis finalement, il y avait également les propres fantasmes de Margaux, enfouis profondément en elle, car personne n'aurait jamais pu le comprendre...
Margaux l'écouta attentivement, tout en ayant du mal à ne pas laisser son regard se porter sur la paire massive de testicules qu'il arborait, avec ce fourreau de chair et de poils qui abritait et dissimulait son sexe. Elle ne pu toutefois se retenir de laisser échapper un soupir un peu plus grand que les autres, lorsque le lycan évoqua le fait que si elle restait vraiment avec lui, alors elle aurait à porter ses enfants.
La jeune femme n'eut toutefois guère le temps de reprendre ses esprits, après s'être momentanément imaginée enceinte d'une portée de jeunes lycans, car le Seigneur Spitzer se releva de son grand fauteuil. L'une de ses grandes mains s'approcha d'une de ses joues, et cette fois, il prit la peine de rétracter ses griffes. Le lycan pouvait aisément couvrir une bonne partie du visage de Margaux avec sa main, mais surtout, il glissa son pouce entre ses lèvres.

Hmmmf...

Margaux n'offrit pas de résistance, et même si le contact des poils sur sa langue était étrange car inédit, elle ne pu s'empêcher de gémir tout en faisant ce que son Seigneur attendait d'elle, à savoir sucer son pouce. La jeune femme vierge roula de sa langue dessus, les yeux brièvement clos, avant de pour la première fois véritablement oser plonger ses beaux yeux bleux dans le regard bestial de Sire Spitzer. Oh elle aurait pu encore passer un certain temps à sucer son doigt, mais il lui posa une question qui ne pouvait pas attendre une réponse très longtemps.

Haaa je...o-oui Mon Seigneur...

Elle rougissait de plus belle, conservant toute un pan de son visage contre la paume du lycan, avant d'inspirer un grand coup pour étayer sa réponse.

Les villageois pensent qu'ils ont à donner une de leurs filles en pâture à une bête sauvage une fois par an, et si vous êtes terriblement fort, quelque chose de malheureux pourrait arriver à force...Mais si je peut être la dernière, alors il finiront par voir que vous nous protégez Messire...et...et puis...

Elle rougit encore, sa respiration s'accélérant alors qu'elle posa ses deux mains sur les pectoraux de la créature.

Je...j'ai honte de l'avouer mais...i-il m'est déjà arrivée de me demander...sans doute un peu trop souvent...si un lycan pouvait...enfin...faire l'amour...

Re: Red riding hood, and the big bad wolf (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Les narines de Spitzer soufflèrent fort tandis qu’il sentait des fourmillements intenses à hauteur de son entrejambes. Sa verge était repliée, enroulée dans une poche de poils, une sorte de couche protectrice. Quand elle durcissait, sa verge sortait de la poche. Et le Lycan sentait que cela approchait. Il se retint néanmoins, mais, en sentant la petite langue de Margaux lécher son doigt, en voyant ses joues s’empourprer, et en voyant surtout ce regard intensif dans ses yeux bleus, il savait qu’elle ne mentait pas. Il en eut la gorge asséchée, en réalisant peu à peu qu’il n’avait effectivement encore jamais eu une amante comme Margaux ici ! Elle posa ensuite ses douces mains sur ses pectoraux, et d’une voix tremblotante, lui avoua son fantasme.

« Oh… »

Le Lycan clignota des yeux, puis posa sa main sur l’arrière de la tête de Margaux. Il serra ses doigts sur ses cheveux.

« Il est vrai que tu n’as aucun élément de comparaison, Margaux… Mais sache que je vais te faire jouir comme tu n’auras jamais pu l’imaginer. »

Il se rapprocha encore d’elle, et se pencha sur le côté. Sa longue langue sortit alors de son museau, et il lécha les lèvres de Margaux, remontant jusqu’à ses narines, glissa sur son nez, puis redescendit ensuite. Il continua ainsi à lécher ses lèvres, jusqu’à ce que sa truffe heurte son nez. Ses lèvres se collèrent alors aux siennes, et son autre main fila sous le manteau de la jeune femme. Il empoigna l’une de ses fesses à travers sa tunique de paysanne, et la souleva alors. Il la posa sur la table, et continua à l’embrasser, frissonnant en sentant les mains de la femme caresser ses pectoraux, glisser sur sa peau solide. Elle aurait peut-être pu sentir à travers les toisons de poils les cicatrices sur son torse, souvenirs des coups qu’il avait reçus en se battant. Mais lui se focalisait sur les lèvres de Margaux, et, tout en l’embrassant langoureusement, il enfonça sa langue dans sa bouche. Sa salive était elle aussi marquante. Ce n’était pas au niveau de sa verge, mais c’était un excellent avant-goût.

Tandis qu’il l’embrassait, sa main glissée sous son manteau serra sa tunique, et il tira dessus. Le vêtement commença alors à se déchirer. Le Lycan insista encore, et la tunique finit par se déchirer en deux.

« Tu es ma Princesse, maintenant, tu ne peux pas porter une tunique de guenille… »

Il jeta la tunique au loin, et constata alors que, dessous, Margaux portait des sous-vêtements en lingerie fine, blancs et magnifiques. Il frémit encore.

« Ils t’ont bien habillé, ma petite poupée… »

Spitzer se pencha alors, et renifla ses seins, avant de lécher les deux bonnets, puis s’assit ensuite sur un large fauteuil à côté de la table.

« Viens, Margaux… Embrasse-moi… Laisse parler ton instinct, je vais t’offrir un avant-goût de ce qui t’attend cette nuit… »
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DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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