Allison n’avait pas à rougir de ses performances. Elle était douée, assurément. Mélinda l’avait bien formé, car il n’était pas aisé d’être une dominatrice au sein de son environnement. Si Lissandre était provocante, il y avait beaucoup des pensionnaires de Mélinda qui étaient plutôt endurantes, résistantes, expérimentées, et qui ne se soumettaient donc pas si facilement. De plus, Allison manipulait deux verges en même temps, soit un désir très fort. Elle se laissait aller, grognant sur place, et embrassa Lissandre. Toujours assise, Mélinda caressa le dos de Mélissandre, qui observait la scène. Elle était sans doute heureuse de voir sa mère prendre son pied ainsi. Lissandre se faisait joyeusement prendre par sa partenaire. Allison grognait et soupirait, bavant même sur place.
« Hmmm… Ouais, tra Maîtresse, tâ… Tâche de t’en souvenir, haaaaaa… »
Mélinda se pencha alors vers Mélissandre, et murmura :
« Elles vont jouir toutes les deux. »
Et, effectivement, elles jouirent. Allison gémit, et ses muscles se contractèrent. Le concert de crissements et de claquements se mua en une apothéose finale, et les deux femmes se mirent à jouir. Allison en eut les yeux vagues, et ses queues vinrent remplir Lissandre. Mélinda adorait ce moment, celui de l’orgasme, quand les deux corps se tendaient au maximum, et qu’elles jouissaient ensemble. Un spectacle magnifique, le summum du plaisir, celui où les corps se figeaient. Elle visualisait les spermatozoïdes d’Allison filer par vagues. Ce fut un puissant orgasme, assurément. Les deux corps se crispèrent, tandis que la « Déesse-Allison » jouissait longuement. Elle gicla pendant une bonne minute, avant de soupirer.
En sueur, Allison se retira ensuite, tandis que ses verges se rétractèrent. Elle se coucha sur le dos, respirant longuement, en reprenant peu à peu ses esprits.
« Pfffiouh… Je dois bien admettre que tu es à la hauteur de ta réputation, Lissandre. Je comprends pourquoi Shii t’idolâtre autant. »
Mélinda gloussa, et embrassa Mélissandre sur la joue :
« On dirait que ta Maman s’est fait une nouvelle fan. Maintenant, dis-moi, Mélissandre, que dirais-tu d’un peu de sucreries ? Je dois bien avoir un ou deux gâteaux pour toi, et je pense que ta mère a besoin de repos… Pendant que je cherche dans quelle partie du manoir Fönn est partie… »
« Hmmm… Ouais, tra Maîtresse, tâ… Tâche de t’en souvenir, haaaaaa… »
Mélinda se pencha alors vers Mélissandre, et murmura :
« Elles vont jouir toutes les deux. »
Et, effectivement, elles jouirent. Allison gémit, et ses muscles se contractèrent. Le concert de crissements et de claquements se mua en une apothéose finale, et les deux femmes se mirent à jouir. Allison en eut les yeux vagues, et ses queues vinrent remplir Lissandre. Mélinda adorait ce moment, celui de l’orgasme, quand les deux corps se tendaient au maximum, et qu’elles jouissaient ensemble. Un spectacle magnifique, le summum du plaisir, celui où les corps se figeaient. Elle visualisait les spermatozoïdes d’Allison filer par vagues. Ce fut un puissant orgasme, assurément. Les deux corps se crispèrent, tandis que la « Déesse-Allison » jouissait longuement. Elle gicla pendant une bonne minute, avant de soupirer.
En sueur, Allison se retira ensuite, tandis que ses verges se rétractèrent. Elle se coucha sur le dos, respirant longuement, en reprenant peu à peu ses esprits.
« Pfffiouh… Je dois bien admettre que tu es à la hauteur de ta réputation, Lissandre. Je comprends pourquoi Shii t’idolâtre autant. »
Mélinda gloussa, et embrassa Mélissandre sur la joue :
« On dirait que ta Maman s’est fait une nouvelle fan. Maintenant, dis-moi, Mélissandre, que dirais-tu d’un peu de sucreries ? Je dois bien avoir un ou deux gâteaux pour toi, et je pense que ta mère a besoin de repos… Pendant que je cherche dans quelle partie du manoir Fönn est partie… »