The Multiversity

[Samara]

Lustoria… Samara ne s’y était encore jamais rendue. Mais elle en avait entendu beaucoup de bien. Cet archipel paisible était dirigé par une Reine, Ruby, qui avait récemment croisé la route de la Déesse Aphrodite. Cela avait permis de populariser cet archipel, et les touristes affluaient donc. Cela valait pour Samara, qui avait décidé de s’y accorder quelques jours de repos. La démone avait donc entrepris de s’y rendre en rejoignant l’un des navires qui y menaient. Elle était une femme assez influente, une Archimage dotée d’une politicienne qui gagnait en puissance. Ce voyage était donc autant personnel que professionnel, c’était certes l’occasion pour elle de se détendre, mais aussi de se renseigner davantage sur Lustoria, sur ses protections, sur la manière dont l’archipel se défendait face aux monstres ou aux pirates. Samara avait donc rejoint le port de Lustoria, et commença à se perdre dans la ville principale.

La capitale de Lustoria était vivante et très animée. Une sorte de paradis de jovialité où Samara se promena librement. Elle attirait naturellement bien des regards, mais elle y était habituée. En temps normal, elle dissimulait ses formes généreuses et sa tête de démone en avançant avec un long manteau à capuche, mais, ici, à Lustoria, elle l’avait retiré. Elle avançait donc dans sa tunique noire moulante et ses magnifiques bottes en cuir. Autant dire qu’elle passait difficilement inaperçue, ce qui ne la dérangeait pas. Elle avait envie qu’on la remarque. Samara rejoignit finalement une bibliothèque, curieuse de voir le savoir de Lustoria.

*On n’avait pas exagéré les qualités de l’archipel…*

Il régnait sur cet archipel un parfum de volupté, mais aussi de luxure. Samara le sentait bien, sans doute parce qu’elle était une démone. La petite taille de l’archipel ainsi que son isolationnisme lui garantissaient d’être un havre de paix. Samara constata que la bibliothèque abritait de nombreux ouvrages magiques, et, tandis qu’elle les regardait, elle tourna son regard vers une jeune femme qui lisait un livre médicinal sur une table. Samara fronça les sourcils.

*Cette femme à lunettes… Je sens une aura chez elle…*

Intriguée, Samara se rapprocha d’elle.

« Bonjour, Mademoiselle… J’espère que je vous ne dérange pas ? Je suis l’Archimage Samara, je viens de Mijak pour visiter Lustoria. Vous êtes une étudiante en magie ? »

[Ratiya]

Ce matin Ratiya en se revaillent pris la décision de confectionner de nouveaux remède. Elle se prépara en tenu discrète pour passer inaperçue , comme a son habitude sous sa forme humaine. En arrivant a la bibliothèque, elle se rendis directement au rayon des herbes médicinales. Pour trouver de nouvelle plante quelle n'a pas encore découverte sur son ile.

Tout en lissant ces livre médicinales , ce qui la plongerait dans son monde. Elle ne s'occupe pas de se qui peut l'entourer. S'entend un léger cour en d'air arriver jusqu'à elle , une faible odeur familière la fit sortie de sa bulle et lui donna un léger frison qui lui parcourra le long de sa colonne vertébrale .L'humaine n'y preta pas attention et se retourna vers la lecture de ses bouquins.

En entendent une personne s'adresser a elle , Ratiya leva la tête timidement .Répondit d'une voix tremblante.

" Bonjour madame Samara...."

Avant de continuer a répondre elle l'analyse des pieds a la tête. Lorsqu'elle vit son visage , ses joues pris une teinte plus prononcer que d'habitude. Elle ferma les yeux précipitamment et se mis a compter jusqu'à trois pour reprendre ses esprit. Reprennent ses esprits elle décida de la reregarda de nouveaux dans les yeux, et répondit toujours d'une voix timide.

" Moi c'est Ratiya herbologue sur l'archipel de Lustoria, je suis désole. , mais je ne suis pas une étudiante en magie."

Baissant la tête elle pris le temps de réfléchir pour lui proposer de lui faire visiter Lustoria ou de s'assoir avec elle. Elle pris une profonde inspiration et senti une légère odeur familière qui lui rappela Mijak , ainsi qu'une odeur de forte puissance qui s'emmena de Samara. Se qui lui fit prendre la décision de lui faire sa proposition avec un léger sourire.

"Madame Samara... souhaitez vous que je vous face la visite de Lustoria ou préférez vous vous installez avec moi?"

Ratiya lui indiqua en même temps une chaise libre a côté d'elle.

[Samara]

Oui, Samara le sentait, il y avait chez cette femme quelque chose de spécial, et ce n’était pas uniquement son joli minois, ou ses belles lunettes rondes. Elle lui indiqua s’appeler Ratiya, et être une herbologue. Samara hocha brièvement la tête, tandis que la femme lui demanda si elle voulait s’asseoir à côté d’elle, ou si elle voulait visiter l’archipel avec elle. Venant d’arriver à Lustoria, le choix était vite fait pour Samara. Elle acquiesça donc, sa queue caudale remuant sur place.

« Voilà une proposition que je ne peux qu’accepter, Ratiya. Je viens tout juste d’arriver, et on m’a dit le plus grand bien de Lustoria. Je serai ravie d’en connaître les nombreux charmes en ta compagnie. »

L’Archimage lui sourit doucement. Il y avait encore chez elle cette aura spéciale. Si Ratiya percevait chez Samara la signature de Mijak, Samara, elle, percevait son aura démoniaque. Sur Terra, il existait des enfants issus de l’union de démons et d’humains, des tieffelins. Ils étaient souvent vus comme des parais selon les royaumes où on se trouvait, et étaient donc victimes de racisme. Est-ce que Ratiya avait fait un sortilège pour masquer ses attributs démoniaques ? C’était possible, mais étonnant, car Lustoria tolérait sans difficulté les démons. Samara était donc intriguée. Elle laissa Ratiya ranger le livre, puis Samara la retrouva dehors.

*Elle a vraiment des yeux très intenses…*

Samara lui sourit encore, et attrapa la main de Ratiya, entremêlant ses doigts aux siens.

« Tu as l’air d’être une très bonne guide, Ratiya… Parle-moi un peu de toi, de Lustoria… Tu es née ici ? Quel genre d’élixirs confectionnes-tu avec tes herbes ? »

[Ratiya]

Ratiya souris a la réponse de madame Samara. Elle se leva précipitamment afin de ranger ses livre pour partir visiter Lustoria . E n regardent ses livre et vis que dame Samara la fixer , elle la regarda en retour et lui sourie timidement. Après avoir tout bien ranger , elle lui demanda dune voix douce et calme.

«  Dame Samara êtes vous prête ? »

Ratiya attendu ça réponse , sauf qu’elle constata a la place ces doigt étaient entremêle au siens . Elle ne pu se contrôler et se mis a rougir et a détourner le regard .L’humaine partie toujours en tenant la mains de dame Samara , qui lui parler. Elle pris la parole gêne qu’on s’intéresse a elle.

«  Te parler de moi… ! Où je suis née.. ? »

Ratiya lâcha la main de miss Samara et réfléchit avant de lui répondre , elle décida de lui cacher la vérité . Ne la connaissant pas assez elle voulait pas prendre de risque. Elle respira profondément avant de lui répondre calmement.

« Je suis née a Lustoria , je confectionne des remède a fin de soigner des blesses , tel que des brûlure , maux de ventre, maux de tête et encore plein d’autre chose et je fait aussi des produit de cosmétique."

Ratiya emmena dame Samara visiter des ruelle remplit de petite boutique joliment d’écorer, les ruelle était animer de passant et d’enfants on pouvais aussi voir des animaux se promener. En se promènent elle fit une présentation de se qu’on pouvait faire a Lustoria.

«  A Lustoria tu ne trouvera quasiment pas de de violence , tout le monde et joyeux et tolèrent . On peut trouver aussi le palais des cavalier de l’apocalypse . On na aussi une prêtresse qui se nomme Naamah , elle est la pour prêcher la parole du dieux de l’aurore et du dieux du crépuscule , ainsi qu’une grande prestesse de temple d’Aphrodite. Je ne sais si tu rend hommage a un de ces dieux mais tu peut faire des offrande et Naamah les récupéré et leur donne . Elle fait aussi des visite du temple et on peut participer a certain rituel."

Ratiya fini ses explication et se tourna vers l’archi mage et lui montra deux petite île , celle a sa droit c’était l’île avec une foret tropicale et celle a sa gauche l’île ou il y avait des montagne.

« Tu peut aller les visiter quand tu veux ! Voila la visite et terminer je tes fait les chose principale je sais pas si il y d’autre chose que tu souhaite voir mais je te conseillerai dit aller demain car la il se fait tard le soleil se coucher…. »

Ratiya marqua une pose et reflechit un instant avait de reprendre la parole timidement .

« Dame Samara avait vous un endroit ou dormir ou vous rentrer directement a Mijak ? »

Ratiya regarda l’archi mage dans les yeux et lui sourie tendrement pendant que le soleil se coucher derrière elle et que le vent souffla et fit envoler des pétales de fleur qui rendit se moment magique et si tendre.

[Samara]

Samara constata vite qu’elle mettait sa jeune guide mal à l’aise. Elle la voyait rougir, détourner le regard en croisant ses yeux. Samara finit par s’en amuser plus qu’autre chose. Pour autant, elle suivit la jeune femme à travers les rues et les ruelles de la capitale. Lustoria était un archipel finalement bien vivant, avec de nombreuses boutiques. L’archipel devait recueillir beaucoup de visiteurs, tout en bénéficiant d’une économie locale. S’agissant d’îles, Samara soupçonnait surtout une activité halieutique, avec des bateaux de pêche qui devaient nourrir la ville. En tout cas, l’économie se portait plutôt bien, à en juger par l’élégance et la splendeur des bâtiments. Tout cela, les Lustoriens le devaient à leur Reine, Ruby, et aux divinités qui veillaient sur Lustoria, un panthéon qui était composé de deux frères et de ce que Samara supposa être leurs agents, ou les divinités mineures du panthéon, les Cavaliers de l’Apocalypse. Qu’il y ait autant de dieux pour un simple archipel témoignait de la puissance de ce dernier. Régulièrement, Samara sentait la magie, surtout à hauteur de fontaines ou de puits.

*L’énergie magique est véhiculée et est condensée à partir des éléments naturels… Je suppose que des nappes phréatiques doivent être très proches de la surface, ce qui expliquerait cette concentration de mana… Ou alors, les fonds marins…*

Samara s’attardait un peu, et, quand elle et Ratiya marchaient, elle s’amusa à lui tenir la main. Elle pouvait la voir rougir, et, à chaque fois que Ratiya était gênée, Samara percevait un peu mieux ce qu’elle cachait. Elle en acquit la conviction au fur et à mesure de leur déambulation, cette femme n’était pas une simple humaine. Elles croisèrent des boutiques, et Samara constata qu’une boutique vendant des produits de Sylvandell était en train d’ouvrir.

« Rien d’étonnant, la Reine de Sylvandell est une fille de la Déesse Aphrodite, je suppose que la Reine Ruby a dû beaucoup apprécier son séjour ici. »

Lustoria ne présentait pas vraiment d’intérêt stratégique militaire, l’archipel n’était pas sur la route maritime menant à Lumen, ce qui expliquait que Mijak l’ait relativement ignoré. C’est ce que Samara expliqua à Ratiya, tout en trempant ses doigts dans l’une des fontaines de Lustoria.

« Mélinda Warren et Alice Korvander sont deux des épouses de l’Empereur. Je ne devrais pas te le dire, mais je ne suis pas ici que pour du tourisme. »

Samara était la magicienne personnelle de l’Empereur, et elle avait aussi reçu pour mission d’examiner Lustoria, afin de voir si un traité devait être conclu. Samara aurait pu se contenter de rejoindre le Palais, mais elle préférait s’immerger dans la culture locale. Elle et Ratiya finirent par rejoindre un belvédère sur une falaise. Elles avaient visité la ville toute la journée, et avaient désormais depuis la falaise une vue sur la capitale, ainsi que sur la mer. Le soleil était lentement en train de se coucher, et Ratiya demanda alors à Samara si elle avait un endroit où dormir. En théorie, elle disposait d’une chambre d’hôte au Palais Royal, mais elle choisit de se rapprocher de Ratiya.

Elle posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, son corps désormais suffisamment proche du sien pour que leurs seins se caressent. L’Archimage se rapprocha encore, penchant la tête sur le côté, comme pour l’embrasser.

« Ton hospitalité irait-elle jusqu’à m’inviter à dormir ? Ma foi, je me suis tellement absorbée dans cette visite et dans tes yeux que j’en ai oublié de réserver une chambre… Et il serait inconvenant que je dorme dehors, non ? »

Samara aurait pu l’embrasser à ce stade… Mais elle recula ses lèvres après avoir soufflé sur la bouche de Ratiya, et lui sourit ensuite.

« Je ne peux qu’accepter ton invitation à coucher, Ratiya… Même s’il faudra sans doute que je te dédommage pour cela… Ce que je suis prête à faire. »

Et, en disant cela, Samara lui fit un sourire enjôleur, le genre de sourire qui laissait assez peu de doutes sur ce qu’elle envisageait de réaliser…

[Ratiya]

« Tu n’as pas besoin de me dédommager. Si je t’invite chez moi, ce sera parce que j’en ai envie. Pas parce que tu es Archimage ou ambassadrice impériale. Mais je ne suis pas un lit de passage sur une route diplomatique. »

Sa voix n’était ni dure, ni accusatrice. Elle était douce, presque lasse, comme si ces mots venaient de loin, d’un endroit qu’elle avait longtemps gardé fermé. Ratiya détourna brièvement les yeux, les posant sur la mer qui s’étendait à l’infini sous leurs pieds. La lumière déclinante du jour jetait une lueur dorée sur les vagues tranquilles, et le ciel, strié de nuages effilés, prenait une teinte lilas qui baignait tout Lustoria d’une atmosphère irréelle.

Elle inspira longuement, ses épaules se soulevant lentement avant de retomber dans un soupir presque imperceptible.

« J’ai entendu ce genre de mots avant, tu sais… » reprit-elle, les yeux toujours tournés vers l’horizon. « Des promesses voilées derrière des sourires, des mains sur mes hanches, des souffles brûlants sur mes lèvres. Et à chaque fois, c’était beau… trop beau. Mais ça ne durait jamais. »

Elle se tourna de nouveau vers Madame Samara. La brise marine soulevait doucement une mèche de cheveux qu’elle repoussa du bout des doigts, distraite.

« Je ne dis pas ça pour te repousser. Ce n’est pas de la peur. Pas vraiment. C’est juste que… je suis fatiguée de ne pas savoir ce que je suis pour les gens. Un moment de chaleur ? Une distraction exotique ? Une jolie curiosité, entre deux rendez-vous impériaux ? »

Elle esquissa un sourire un peu triste, un peu tendre.

« Peut-être que je ne suis qu’une simple guide, pour toi. Une silhouette de plus dans les ruelles d’une ville étrange. Ou peut-être que je suis autre chose, je ne sais pas. Ce que je sais, c’est que j’ai envie de te croire. Et ça, Madame Samara… c’est dangereux. »

Elle fit quelques pas, lentement, laissant ses doigts glisser sur la pierre du parapet du belvédère, fraîche et rugueuse sous sa peau.

« Si tu viens avec moi, je ne t’offrirai pas un lit parfumé aux encens rares ni une nuit pleine de promesses qu’on oubliera demain. Il n’y aura pas de velours ni d’ambassade entre mes murs. »

Elle s’arrêta, les bras croisés sous sa poitrine, et la regarda à nouveau.

« Il y aura une porte qui grince, un chat qui déteste les étrangers, un matelas un peu trop dur, et du thé que je prépare trop fort. Il y aura peut-être un oreiller pour deux. Et moi, qui dormirai trop près de toi sans oser te toucher. »

Ses lèvres tremblèrent d’un sourire mêlé de gêne et de sincérité.

« Et si tu bouges trop dans ton sommeil, je vais sûrement paniquer en croyant que je t’ai dérangée. Je vais probablement me réveiller avant toi et te regarder dormir, me demander ce que tu rêves. Si c’est moi. Si c’est ailleurs. »

Un silence, chargé d’émotions non dites, s’étira entre elles. La lumière s’était faite plus douce, presque diaphane. Au loin, les cloches d’un temple sonnaient l’heure bleue. Le moment entre le jour et la nuit, entre ce qui est et ce qui pourrait être.

« Alors oui… tu peux venir. Si tu viens avec ton nom, ton histoire, tes silences. Pas avec un masque de magicienne ou d’espionne. Pas pour jouer. »

Elle tendit la main, paume ouverte, simple et honnête.

Son regard était calme maintenant, mais il y avait dans ses yeux une lueur plus profonde — une invitation réelle, fragile, entière.

« Je ne te demande rien. Juste d’être là. Pour de vrai. Même si ce n’est que pour une nuit. »

Un souffle de vent passa, faisant frissonner ses épaules.

« Alors… Madame Samara. Tu viens ? »

[Samara]

Samara l’écouta doucement, essayant de comprendre ce que Ratiya souhaitait. La démone masquait à peine ses intentions. Ratiya souhaitait quelque chose de sérieux, mais sans trop l’être. Elle lui annonça que sa demeure n’avait rien d’exceptionnelle, et qu’elle souhaitait juste que Samara soit là, sans faux-semblants, en lui disant juste ce qu’elle voulait. Samara réfléchit un peu en voyant la main tendue de sa partenaire, et un sourire amusé vint, alors orner ses lèvres. Plutôt que d’attraper la main de Ratiya, elle posa la sienne sur sa joue, tandis que sa queue caudale se déplaça, et s’enroula tendrement autour de l’une des jambes de la jeune femme, à hauteur de ses cuisses.

« Tu veux que je vienne comme je suis, hein ? Alors, voilà comment je suis, ma belle… »

Elle se rapprocha de son interlocutrice, et lui vola alors un baiser. Elle put voir les joues de Ratiya s’empourprer, ses yeux s’écarquiller sous la surprise. S’attendait-elle à un baiser si rapide ? Sans doute pas… Mais cela faisait partie du charme de la démone ! Elle rompit rapidement le baiser, qui n’était finalement qu’un simple prologue. Sa queue s’était crispée pendant la durée de ce baiser, avant de s’écarter à son tour. Samara lui sourit ensuite, puis attrapa finalement sa main, en la serrant.

« Sache que je me comporte toujours au naturel, ma mignonne… Et qu’un seul lit pour nous deux ne me dérange pas. Pour l’heure, tu es une guide, mais tu peux devenir plus, oui… Et, si cela te semble dangereux, sache que moi, le danger… J’aime ça. »

L’Archimage se rapprocha encore de Ratiya, et posa un doigt sur ses lèvres. Oui, il y avait toujours cette aura spécifique qu’elle ressentait chez sa partenaire, cette aura inhabituelle… Elle avait envie d’en savoir plus, de l’explorer… Et, pour ça, un rapport sexuel était idéal. Ratiya parlait de venir sans masque, ce qui était plutôt ironique venant d’elle.

« Allez, ma chérie, rentrons chez toi… Mais je pourrais peut-être t’inviter à un restaurant, non ? Pour te remercier de m’accorder de ton temps… »