L'Empire de Mijak comprend de nombreuses provinces, bénéficiant de régimes juridiques différents selon les situations et les configurations.
Répondre

Le pillage de la baronnie de Cerveyres [Feat : Les Jumeaux]

Message par Cyra Veluria Tertia »

Cyra Veluria Tertia
Cyra Veluria Tertia
Messages : 16
Enregistré le : 02 mai 2025 22:52
La baronnie de Cerveyres se réveillait doucement des méandres de l'Olympomachie.

Pourtant, ses collines en terrasses, couvertes de vignes et de vergers, ondulaient comme un poème ancien. Les murets de pierres sèches, les haies taillées à la main, les chemins de terre bordés de coquelicots... tout semblait issu d’un tableau pastoral figé dans le temps. Les toitures de tuiles rouges, les puits couverts de mousse, les chapelles au clocher chantant : c'était une barronnie en paix, un monde oublié par l'acier, loin du tumulte de la capitale.

Jusqu'à ce matin-là.

Les sabots des chevaux claquèrent contre les pavés comme des coups de tonnerre. Les portes furent enfoncées, les enfants tirés hors des maisons, les chiens empalés sur des piques. Les vignes brûlaient. Les moulins, d’abord pillés, furent réduits en cendres.

Un peloton de la 8e cohorte de la Légion descendait sur la baronnie comme une meute de loups affamés. Aucun cri ne fut épargné. Aucun corps laissé entier. Les soldats de Cerveyres, en trop petit nombre, furent massacrés avant d’avoir compris l’ampleur de l’attaque.

Les villageois n’avaient jamais vu d’ennemis aussi rapides, aussi cruels, aussi indifférents. Il ne s’agissait pas d’une conquête. C’était une purge. Mais dans quel objectif ? Ce n'était pas les méthodes traditionnelles de la légion. Au sommet d’une butte, à cheval sur une jument massive au poitrail noir, Armelia, centurion de la cohorte, observait.

Elle était née dans les terres de Nemetum Julius, contrée où la tradition militaire de la cavalerie était extrêmement poussée. Petite de taille, mais large d’épaules, ses gestes étaient secs et assurés. Sa chevelure noire, rasée sur les tempes, tombait en tresse sur le côté gauche de son plastron. Son visage était anguleux, marqué par le vent, ses pommettes hautes, ses yeux d’un noir profond — toujours en mouvement, toujours en chasse.

Elle portait une armure souple de cuir laqué, décorée de plaques d’os sculptées, décoré de l'insigne des Filles du Pacte. Particularité de son arme, son glaive était courbe, forgé dans un acier étranger. Elle préférait la selle au sol, la flèche à la parole.

Sa tactique ? Frapper vite, semer la terreur, effacer l’identité de l’ennemi avant même qu’il ne réagisse. Elle ne laissait jamais de survivants capables de raconter.

Dans la Légion, on l’appelait « la Bise Rouge », car ses attaques surgissaient comme un vent froid précédant l’abattoir.

Mais ce jour-là, en bas des collines où les fleurs bucoliques se teintaient de sang, elle sourit d’un air inhabituel. Quelque chose de nouveau allait venir.

"Mort au fidèle de l'empereur déchu." Murmura-t-elle.

Re: Le pillage de la baronnie de Cerveyres [Feat : Les Jumeaux]

Message par Les jumeaux »

Avatar du membre
Les jumeaux
Démons
Messages : 11
Enregistré le : 30 avr. 2025 16:22
Appeler en urgence Thamuz et Amon devaient se rendre avec un escadron pour contenir une révolte qui était fait par la légion. Légion qui avait prit le partie du Baron qui avait en horreur les loyaliste de l’Empereur. C’est pour ça que les jumeaux étaient revenu plus tôt que prévu. Car la plus part du temps dès qu’ils partaient en vacances, ils étaient rappeler pour aller remettre en ordre les révoltes. Chose qui a force les faisaient littéralement chié, ils avaient l’impression de ne jamais avoir du temps pour eux, comme si leurs présences devaient être là tout le temps. Après ce n’était pas tout le temps non plus qu’ils étaient rappelé, mais aux moins quatre fois par an ou plus si besoin, surtout depuis qu’ils avaient prit du grade dans l’armée de l’Empereur. Dès fois ils voulaient juste qu’Amon revienne car il était un fin diplomate, sauf qu’il y avait comme un décrété que si un des jumeaux étaient rappelé, le deuxième devait revenir aussi. Tout ça parce qu’on avait vu avec le temps que les jumeaux travaillaient largement mieux à deux que séparé, même si ils voyaient les choses pas de la même façon lors de bataille. Donc le soucis c’est que aucun des deux n’avaient le choix à vrai dire sur cela.

A peine arrivé dans la cour où tous les gardes qui allaient au front se retrouvaient là pour recevoir leurs consignes. On leur expliquait que le Baron qui était hostile envers les personnes qui suivaient l’Empereur, avait commencé une guerre civile. Ça personne ne s’y attendait à vrai dire, ils savaient tous que le Baron n’aimait pas l’Empereur, mais pas qu’il irait jusqu’à créer une guerre pour se rebeller. On leur expliquait que la légion ne faisait pas dans la dentelle, qu’il détruisait tout sur leur passage, tuant hommes, femmes et même les enfants. Les jumeaux étant souvent sur le front en première ligne, Amon savait là qu’au fond de lui, il ne pourrait pas utiliser la diplomatie pour calmer ce conflit. Pour Thamuz s’était limite un cadeau qu’on lui faisait, il allait pouvoir se lâcher lorsqu’il sera dans le tas, sans à devoir se retenir.

Une fois les consignes donnaient, les jumeaux furent les premiers à disparaître pour aller enfiler leurs armures. La leurs étaient différentes que celle de leurs camarades, car contrairement à certains, les jumeaux avaient des ailes. Donc des modifications avaient été faite pour qu’ils soient protégé comme tout le monde, avec juste la particularité de pouvoir utiliser leurs ailes sans qu’elles soient coincé. Les armures étaient toutes de couleurs rouges sombres et noires, il y avait que les armoiries de l’Empereur qui elles étaient en argent pour ressortir du lot.

Thamuz et Amon n’avaient pas de supérieur pour leurs dire quoi faire et ils ne prenaient personnes sous leurs ordres. Tout simplement car ils étaient assez libre de faire comme ils voulaient tant qu’ils protégeaient le royaume comme on leur demandait et de plus tout le monde qui avait combattu à leurs côtés savaient que les jumeaux se complétaient entre eux, surtout sans avoir à parler. Alors ils avaient été convenu qu’ils étaient leurs propre groupe, même si ils ne partaient pas que tous les deux sur le champs de bataille. Il y avait une armé qui les suivaient, eux supervisé par des capitaines qui leurs donnaient des ordres et tout le reste.

Prêt, les jumeaux partirent avant tout le monde e volant, ils allaient plus vite comme ça et voyait le terrain où aller avoir le champ de bataille. Puis le problème c’était que Thamuz aimait être le premier à foncer dans le tas, du coup Amon devait le suivre de prêt pour ne pas que son frère se fasse tuer bêtement. Ils arrivèrent les premiers dans les collines, de là où ils étaient ils ne voyaient rien, lorsqu’ils commencèrent à descendre plus bas, ils virent les fleurs bucoliques teintaient en rouge. Il y avait déjà eu un massacre ici et bientôt cela allait continuer. Cela ne leurs faisaient pas peur, bien au contraire, ils allaient pouvoir déployer toute la force qu’ils retenaient en eux, celle qu’ils avaient hérité de leur géniteur. Restant dans les airs, les jumeaux regardaient dans quelle direction ils devaient aller pour commencer à repousser cette rébellion. Normalement, ils devraient attendre le reste des troupes, mais ils voulaient, du moins Amon voulait visualiser là où se déroulerait le combat, afin de pouvoir éviter les pièges qu’on pouvait leurs tendres. Mais pour l’instant, il ne voyait rien. Bien qu’il survolait tout le tour des collines regardant plus vers le bas qu’en haut, pendant ce temps Thamuz le suivait pour surveillait les arrières de son frère. Car quand celui-ci faisait ses recherches, il ne s’occupait pas de ce qui l’entourait étant trop concentré. C’est pour ça que l’aîné s’occupait de surveiller les alentours pour la sécurité de son frère. Du coup quand il eut fini, les soldats de l’empire venaient enfin d’arriver et restaient sur leurs gardes, attendant de voir quand les hostilité allaient être lancé et par où.

-On sait que vous êtes là ! Sortaient de votre cachette !

Thamuz n’avait pas pu se retenir de crier pour faire savoir qu’ils les attendaient tous et bien armé. Il cherchait à les provoquer de cette façon, cela était plus fort que lui. Il ou du moins on lui avait dit qu’il pourrait se lâcher comme il adorait le faire, sans personne pour le retenir. Alors il ne voulait pas attendre plus longtemps que ça. Pour sa part Amon s’y attendait que son frère fasse en sorte de provoquer ses adversaires, il savait que celui-ci avait besoin de se défouler le plus possible. Puis sans mentir, Amon cachait aussi son jeu, le fait que ses jours de repos soient écourté l’avait énervé du coup lui aussi voulait régler cet histoire au plus vite et aussi se défouler. Il retenait ses coups habituellement, mais aujourd’hui il allait y mettre toute sa force.
Thamuz porte le surnom "Le tricheur noir" qui veut qu'il dire triche de manière sournoise ou de façon discrète et parle en 400000

Amon porte le surnom "Le sculpteur de mot" qui veut dire qu'il est d'une grande finesse d'expression verbale et une capacité à manipuler le langage de manière à avoir ce qu'il veut et parle en 000080
Répondre

Retourner vers « Les Provinces Impériales »