The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

« Haaaaa… !! »

Un nouvel orgasme la traversa. Alice portait sa tenue de dominatrice, mais elle ne dominait pas grand-chose. Elle était dans l’une des suites du Lupânoir. Il y a encore quelques jours, la jeune femme était devenue une Naviento suite à un rituel. Elle s’était aussi fiancée à Ishtar, et elle portait son enfant. Pour la cérémonie, beaucoup des centaines de membres de la famille d’Ishtar était venue, et, en ce moment, Alice se faisait donc besogner par son beau-frère… Ou par son frère. Le rituel avait fait d’elle une Nav, alors elle se considérait désormais comme une Naviento. Plusieurs Naviento étaient restés quelques jours, comme l’homme sur qui elle s’empalait. Raven Naviento était massif, musclé, et puissant. Il la baisait depuis plusieurs heures, après avoir épuisé plusieurs des prostituées de Nachtheim.

« Je comprends pourquoi Ishtar a le béguin pour toi, je ne pensais pas que des humaines si endurantes existaient… »

Raven fit basculer Alice en avant, puis se coucha à côté d’elle, et la baisa sur le flanc, enfonçant de nouveau sa puissante verge en elle. Il avait un anneau doré et magique à la base de son membre, qui permettait à sa verge d’avoir une morphologie compatible. Sinon, il aurait éventré toute femme à qui il devait faire l’amour. Avec cet anneau, il était donc juste à la limite de ce qu’il fallait faire. Cela n’empêchait pas le ventre d’Alice de s’arrondir. Celle-ci gémit sur place, et enroula autour de la taille de Raven sa queue caudale. Depuis qu’elle était devenue une Naviento, Alice avait hérité de certains traits génétiques propres à cette espèce. Elle avait des cornes, des oreilles longues et arrondies, et une queue caudale. Elle pouvait aussi déployer et replier ses ailes. Alice pouvait modifier sa morphologie pour reprendre des traits plus humains, mais elle ne le faisait que pour ses ailes, quand celles-ci gênaient.

Elle sentit la main de Raven empoigner son cou, puis les deux amants s’embrassèrent. Alice avait souhaité se rapprocher davantage de la famille d’Ishtar. Son corps était à ce stade sa meilleure arme diplomatique. Elle n’avait pas encore revu Ishtar depuis la cérémonie, ni Chengzu. Theorem lui avait dit que les deux lui confectionnaient une tenue spéciale, et qu’ils travaillaient pour cela d’arrache-pied, ensemble. Depuis lors, Alice avait passé ses journées au Lupanoir. Elle attendait elle aussi sa tenue pour pouvoir coucher avec les nombreux androgynes que Nachtheim avait, et, en attendant, elle se rapprochait donc des Naviento, qui lui souhaitaient à leur manière la bienvenue dans leur famille.

« Hmmmm… Vas-Vas-y, tu es encore loin d'être au niveau de Maîtresse Ishtar, hihi... ! »

Alice sentit son amant jouir en elle. Il la retourna pour la prendre en levrette, la faisant gémir de plaisir. Bien sûr, Raven était un très bon amant… Mais Alice espérait tout de même revoir sa Maîtresse bientôt. Elle avait beau être devenue une Naviento, elle n’en restait pas moins l’esclave d’Ishtar !

[Ishtar von Nacht]

Raven se donnait à coeur joie avec Alice, et il savait aussi très bien baiser. Mais leurs ébats s'éternisaient un peu et en début de soirée, Ishtar entra dans la chambre, sans aucune gêne. Raven en stoppa son coït après sa troisième éjaculation et vu l'aura de sa soeur, il n'osa pas repartir à l'attaque. Chez les Naviento, le rapport de force tenait toujours. Après tout, on n'acceptait d'être dirigé que par quelqu'un qui savait dominer l'autre.

"... Ishtar... Tu..."

"Oui, dégage."

Raven se redressa, venant rapidement remettre son slip en latex puis son pantalon de cuir tressé avant de mettre une sorte de veste sans manche. Il se pressait tellement qu'il n'avait pas enlevé le préservatif encore présent sur son pénis. Il passa à côté d'Ishtar en baissant la tête alors que la dragonne s'allumait une cigarette qu'elle plaça sur son fume-cigarette. Elle regarda Alice avant de s'asseoir à côté d'elle. Doucement mais fermement, elle vint placer sa main autour du cou d'Alice, serrant un peu juste assez pour montrer sa domination.

"Coucher avec mes frères pour que je sois jalouse ?... C'est un jeu dangereux ma belle... Tu seras punis juste après... Petite salope."

Ishtar commença à la doigter tout en la tenant toujours par le cou. Puis cette séance trouva un autre écho quand Alice poussa des soupirs de plaisir, Ishtar arrêta de la doigter pour claquer son vagin avec force. Elle recommença plusieurs fois, lui donnait un plaisir amer avant de relâcher son cou après une bonne série de claques sur son con. La dragonne se redressa finalement avant d'embrasser Alice avec passion. Une fois la correction donnée, elle apporta l'objet de sa visite.

"Vient dans la suite Burgrave. J'ai quelque chose à te montrer."

La dragonne se dirigea vers la grande suite ayant ramené une boîte couverte de vinyle noir, frappé du sceau des von Nacht. Quand Alice ouvrit cette boîte reposant sur le lit, elle pu découvrir une tenue parfaitement pliée, brillante, à l'odeur caractéristique... Une authentique tenue infernoise faite en lapoxynile, le genre qu'on pouvait porter pour une très longue période de temps, inaltérable dans sa brillance, luxueuse, décoré d'or véritable par endroits.

"Habille-toi devant moi, ma belle..."

[Reine Alice Korvander]

Alice était une Naviento, mais cela était encore assez récent. Elle ne maîtrisait pas encore très bien le fonctionnement de cette vaste famille, mais elle savait que celle-ci reposait sur des liens de force et de domination. Cela, Alice avait déjà pu le constater à loisir avec Ishtar. Raven s’avérait être lui aussi un dominateur, mais Alice le voyait plutôt comme un amant. Elle n’avait qu’une seule Maîtresse, et cela, Raven semblait l’avoir très bien compris. Il était occupé à la prendre en levrette quand Ishtar entra dans la chambre. Dès que Raven la vit, le désir qu’il ressentait s’effaça devant la crainte d’Ishtar, tandis que le visage d’Alice s’illumina instantanément. Son cœur se serra dans sa poitrine, puis bondit sur place.

« Maîtresse !! »

Elle aurait été prête à se jeter à ses pieds, mais Ishtar se rapprocha d’elle, et commença à l’étrangler, tout en venant lui reprocher de coucher avec l’un de ses frères pour la rendre jalouse. Alice écarquilla les yeux à cette idée, et tenta de secouer la tête.

« Maî-Maîtresse, jamais je n’oserai… Haaaaa… »

Ishtar commença à la caresser intimement. La chatte d’Alice était bien humide. Raven avait refusé de juter directement en elle, craignant sans doute le courroux d’Ishtar à cette idée. Alice gémit ensuite quand Ishtar gifla son sexe, ne lui laissant pas l’occasion de s’expliquer. En soi, sans doute cherchait-elle un bon prétexte pour faire culpabiliser Alice et la punir. Si Alice avait couché avec Raven, c’était avant tout pour se rapprocher des Naviento, et découvrir la fratrie de sa Maîtresse… Fratrie qui était de plus désormais la sienne. Elle souhaitait en savoir plus. Ishtar semblait être la plus puissante des Naviento, celle en tout cas qui faisait paniquer les autres. Le contraste était amusant, car Raven était physiquement plus impressionnant qu’Ishtar, la dominant d’une bonne taille. Pour autant, il s’était ratatiné sur place en voyant la Tsarine. Alice ne pouvait qu’en frémir, ressentant toute la différence entre Raven et Ishtar. Cette prestance, cette assurance, ce regard déterminé… Oui, Alice s’émoustillait dès qu’elle voyait sa Maîtresse !

La dragonne punit donc doucement Alice en lui refusant son orgasme. Ce n’était pas si problématique que ça pour Alice. C’était frustrant, certes, mais c’était une chose qu’elle appréciait. Si elle était désormais une Naviento, elle n’avait pas encore totalement oublié la soumise masochiste qui était en elle, et elle disposait toujours de la tenue de maid que Ishtar lui avait offerte. Elle s’était promise de l’enfiler à nouveau quand elle irait jouer avec Aria. Mais, pour l’heure, elle se faisait gifler. Les claques sur son sexe la faisaient furieusement rougir, et Alice aurait pu en jouir… Ce qui conduisit Ishtar à interrompre cette punition, et à l’embrasser.

Frissonnant sur place, Alice répondit avec envie à ce baiser, se pressant contre elle. Ses ailes de dragonne se déployèrent un peu, et se frottèrent contre celles d’Ishtar, ce qui ne manqua pas d’émoustiller Alice.

« Je… Je vous aime, Maîtresse… »

Elle le lui avait déjà dit, mais c’était le genre de phrase qu’on pouvait dire à loisir sans avoir peur de se répéter. Ishtar lui présenta alors un cadeau. Alice attrapa le paquet, et sentit dessous une tenue assez lourde. Elle rougit alors.

« Oh… Je comprends mieux pourquoi Chengzu était absent. »

Alice suivit sa Maîtresse, en tenant la boîte noire. Elles entrèrent dans l’élégante suite Burgrave, et Alice l’ouvrit ensuite. Elle put voir une tenue parfaitement pliée, très belle, dont elle devina la texture à son contact.

« Oh… Maîtresse… »

Celle-ci demanda à Alice de s’habiller devant elle. La tête blonde acquiesça, puis commença par retirer sa tenue de dominatrice. Elle se mit intégralement nue, puis sortit ensuite la tenue. Elle commença par enfiler les longs collants noirs, notant la ligne dorée qui assurait la finition. Elle constata qu’il s’agissait d’or véritable, ce qui expliquait le poids du paquet. Elle tira sur les deux collants pour bien les mettre, puis attrapa les cuissardes. Elle constata que les lacets étaient faits à partir de fil d’or. Alice les enfila donc, et resserra les lacets pour que les cuissardes épousent ses jambes.

Alice se redressa ensuite, et pivota sur place.

« Mes bottes me vont bien Maîtresse, non ? Je vois que les lingots d’or de Sylvandell ont servi, hihi. »

Entre Sylvandell et Nachtheim, il y avait un solide partenariat économique. Sylvandell disposait de mines abritant des gisements d’or, et avait vendu à Nachtheim des lingots en échange de réserves agricoles, de vêtements, et d’autres denrées. Alice s’attaqua ensuite au reste de la tenue. Les gants étaient reliés à la tunique du haut, qui comprenait donc les gants, un corset avec du fil d’or, des épaulettes en or, et un collier doré. On avait forgé sur le collier des dragons.

« Il y a même une encoche pour la Croix, vous avez pensé à tout, ma Maîtresse ! »

Alice portait toujours sur elle son artefact légendaire, un pendentif en forme de croix draconique, la Croix de Sylvandell. Raven avait essayé de lui retirer tantôt, et avait reçu une vive décharge électrique qui l’en avait dissuadé. Alice comprit que la tenue s’enfilait d’abord par les épaules. Elle posa donc la tenue sur ses épaules, puis enfila un bras après l’autre, maintenant le haut de son tenue et le corset sur ses flancs. Une fois les gants mis, elle put attacher le corset à l’aide des fils dorés. Elle sourit en constatant que les bonnets étaient en forme d’écailles. Alice enfila ensuite les brassards dorés sur ses avant-bras, puis termina par un élégant pagne avec un bas qui filait derrière elle, recouvrant sa queue caudale. Elle termina par la ceinture, et constata, sans surprise, que la tenue ne comprenait aucune culotte ou string, permettant ainsi à sa Maîtresse de la prendre sans difficulté.

Pleinement habillée, Alice se tourna vers sa Maîtresse, puis s’agenouilla devant elle.

« Je suis infiniment fière de la tenue que vous m’avez faite, Maîtresse. Est-ce que… Est-ce que votre esclave vous plaît ainsi, Maîtresse ? »

Même si Alice essayait de maintenir son calme, les tremblements dans sa voix trahissaient son excitation.

Dieu, qu’elle se trouvait belle ainsi !

[Ishtar von Nacht]

Ishtar savait qu'Alice adorait les uniformes infernois. Après tout, dur de résister à ces tenues constrictives, hyper sexualisés, prônant la force de la figure féminine. Là où son père avait plutôt massivement poussé à porter du cuir dans les uniformes (et plus la proie avait été dangereuse, plus grand était l'honneur de le porter), Ishtar avait d'avantage tablé sur le latex. Bon, quelques officiers un peu old school conservaient leurs cuir, c'est dur de changer les traditions, la dragonne privilégiait son latex de haute qualité provenant des Moracées Noires, ces plantes aux fruits étranges et pestilentielles mais à la sève idéal pour une vulcanisation et la création du lapoxynile. Dur aussi de résister à l'envie de faire d'Alice une égérie vivante du savoir faire de son pays. Maintenant qu'elle était devenue Ryu, ça semblait être juste... logique.

"Bien sûr que ça me plait... Ton corps parfait méritait un écrin de latex pour le sublimer. Le Lapoxynile est comme une seconde peau, tu peux donc le porter des jours durant... Et puis les effluves de latex ont le don de toujours me donner la trique..."

Ishtar ne pouvait guère cacher la finalité de sa phrase. Une bosse bien visible venait redresser le pagne de sa tenue. Ce n'était pas la première fois qu'elle se promenait "commando", sans sous vêtements, mais là c'était bien visible. Elle s'approcha d'Alice, caressant son latex en se mordillant la langue. Sa main gauche vint enserrer un de ses seins, dans un grincement caractéristique de latex, puis ce fut le tour d'une de ses fesse de se faire empoigner. La dragonne empoigna un peu son cou, l'étouffant dans sa poigne avant de lui murmurer des choses perverses.

"Rappel-toi que tu es à moi. Tu m'appartiens. La prochaine fois que tu veux offrir ta chatte ou ton cul, ou même ta gorge, à une autre queue, ou a une chatte, tu dois me demander l'autorisation, que ce soit par téléphone avant ou en personne..."

Elle l'embrassa ensuite, roulant sa langue de force avec celle de l'humaine. Sa langue venait enserrer la sienne, pénétrait sa bouche... Elle lui montrait même dans un baiser qui commandait. En faisant ça, ses deux mains empoignèrent son cul, faisant grincer le pagne queue de pie, écartant son cul avant de finir le baiser avec une Alice à bout de souffle.

"Je t'ordonne de me faire une gorge profonde. Je reste debout, met-toi à genoux devant moi, salope."

Le regard d'Ishtar était dur mais emplit d'une passion brûlante. Son ton était sec mais pas dénué d'érotisme... Cela annonçait une baise dans les règles, punitive mais délicieuse...

[Reine Alice Korvander]

L’excitation d’Alice était palpable. Elle se sentait belle, puissante, désirable… Elle s’observait dans le miroir, mais se mordilla les lèvres quand elle vit que Ishtar avait une belle érection. La libido monstrueuse de sa Maîtresse revenait en force. Alice vit son pagne se soulever sous l’effet du paquet qui se trouvait dessous, à savoir une belle queue assoiffée, tendue, prête à rugir. Alice sourit quand Ishtar caressa sa tenue, sentant ses tétons durcir. Ishtar prenait son temps, faisant claquer ses talons sur le sol. Debout, Alice se mit à rougir doucement, et à soupirer, quand elle empoigna l’un de ses seins. Elle palpait ensuite l’une de ses fesses, et Alice gémit ensuite quand elle lui pressa le cou. Elle était sa poupée de sexe, un objet de désir insatiable. L’appétit débonnaire d’Ishtar se conjuguait avec l’endurance sexuelle semi-divine d’Alice. Elle remua sur place, et sentit ses cuisses chauffer quand, tout en lui serrant le cou, Ishtar lui rappela dans le creux de l’oreille qu’elle lui appartenait, et qu’elle devrait obtenir son autorisation préalable pour coucher avec d’autres personnes.

« Haaa… O-Oui, Maîtresse… Je vous appartiens pour toujours, haaa… »

Ishtar l’embrassa ensuite. Un baiser fort, puissant, marqué par l’excitation d’Ishtar, par sa soif de puissance. Alice sentait son odeur forte, enivrante. Ishtar n’était pas la reine de l’hygiène, elle avait l’habitude de faire l’amour pendant des heures, puis de sortir ensuite en public, avec son odeur de sexe sur elle. Alice s’enivrait de cette odeur, de cette bestialité, ce mélange incroyable de sauvagerie et d’élégance. La langue d’Ishtar s’enfonça dans sa bouche, et Alice y répondit avec joie, soupirant longuement. Elle sentit la main d’Ishtar délaisser son cou, et elle empoigna ses fesses, les malaxant avec force. Alice sursauta, et gémit encore, tout en sentant la langue d’Ishtar s’enfoncer dans sa bouche. Elle gémit à nouveau, sentant cette longue langue reptilienne prendre possession de son corps, de sa propre langue, l’emprisonnant avec délectation.

Elle lui ordonna ensuite une gorge profonde. Le cœur d’Alice battait la chamade, et elle était doucement excitée. Elle hocha la tête, et se mit à genoux, son visage atterrissant ainsi devant la belle verge violette d’Ishtar. Elle renifla l’odeur de cette queue, et soupira encore.

« Votre queue, Maîtresse, elle m’excite toujours autant. Rien que sa vue, son odeur, le fait de pouvoir la toucher… Elle est si belle… Vous me faites un tel honneur, Maîtresse… »

Alice commença à la lécher, l’embrassant, tout en la caressant avec ses mains. Elle glissa sur cette hampe, l’embrassant à la base, baisant aussi les testicules d’Ishtar. Elle reniflait également, continuant à devenir accroc de cette queue. Alice n’avait pas oublié qu’Ishtar lui avait ordonné de ne pas faire l’amour sans son autorisation. Alors, tout en honorant sa queue, en la léchant et en la baisant, elle lui fit part de sa suggestion :

« Je pourrais avoir une ceinture de chasteté, hmmm… Que vous désactiveriez à distance, à l’aide d’un code… »

Elle visualisait déjà une ceinture de chasteté similaire à celle qu’elle portait quand elle enfilait sa tenue de maid, avec des vibromasseurs intégrés qui la maintenaient dans un état d’excitation perpétuelle. Alice avait plusieurs facettes, mais, face à Ishtar, toute sa soumission refaisait surface, sans pour autant la castrer. Elle pouvait faire des suggestions et des propositions, comme elle avait déjà eu l’occasion de le faire lors de dîners familiaux sur le cas de Malaurie et de Ruby. Alice arriva ensuite devant cette queue, qu’elle avait honoré de baisers et de léchouilles pendant plusieurs minutes.

Alice ouvrit ensuite la bouche, et referma ses lèvres sur la queue d’Ishtar, puis l’enfonça rapidement en elle. Elle gémit quand la queue d’Ishtar tapa contre le fond de sa bouche, avant de descendre dans sa gorge. Alice soupira ensuite, et s’évertua à déplacer ses mains. Elle les posa en arrière, chaque main sur sa tête, ce qui la mettait dans une position de soumise qu’elle savait qu’Ishtar affectionnait. Ses bras étaient ainsi en équerre, et elle se mit à remuer, tout en faisant longuement durer cette gorge profonde. Le message était clair : Alice savait y faire. Elle se recula ensuite, et commença à remuer d’avant en arrière, s’aidant pour cela de ses genoux, s’en servant comme point d’appui pour remuer en elle, sentant sa queue s’enfoncer dans sa bouche. Elle mouillait, mais se refusait à se toucher. Elle n’en avait pas reçu l’ordre, et son unique objectif était de satisfaire sa Maîtresse… D’être sa salope !